Rendez aussi hommage à Madame Bourarach, dont le mari a été tabassé, tué et jeté dans le fleuve par des barbares juifs. Mais pour lui pas de film, on en parle même pas. Vous ne trouvez pas cela surprenant. Et ceux qui ont été genocidés pendant la période nazie et dont on ne parle pas, ça ne vous gêne pas ? Moi si. La profusion littéraire et cinématographique sur la Shoah est nimbée d’une indécence quand on pense que le nombre de films sur les Tziganes peut se compter sur les doigts d’une main. Ce nombrilisme juif, encouragé par les sionistes est attristant car toute l’histoire présente les juifs comme des victimes, presque des « saints » qui n’ont fait que du bien. La Palestine aujourd’hui prouve que la vistime peut devenir bourreau. Et on ne devient pas bourreau du jour au lendemain.