Commentaire de Hervé Hum
sur Notre bien commun


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Hervé Hum Hervé Hum 31 juillet 2014 19:34

@ Le Gaïagénaire,

Pour le test, je dirai que si je veux faire du bruit, c’est la main gauche qui frappe la main droite, , les deux se frappent mutuellement.

Pour Alice Miller, ce que j’ai lu d’elle sur Wikipédia, me plait. Toutefois, je pense que tout commence avec l’embryogenèse et non à partir de la naissance. Disons pour le résumer en une phrase, avant la naissance, l’esprit est au corps car ils ne font qu’un, mais au moment de la séparation mère enfant, le corps passe à l’esprit.

Dans cette phase post natal où le corps est à l’esprit, le bébé est un être total c’est à dire, qui n’arrête pas le flux énergétique qui le traverse. Conséquence, il ne fait pas la différence entre lui et autrui. Il va l’apprendre dans cette phase bébé.

En fait, je pense que nous évoluons non de manière linéaire, mais par phase, que j’appelle « dimension de conscience d’être ». Ainsi il y a celle du bébé, du jeune enfant, de l’ado, etc.
Or, lorsque nous passons d’une dimension à une autre, la et les précédentes restent vivantes en nous, elles ne meurent pas et continuent à s’exprimer, nous parler au présent sauf qu’elles sont enfermés dans le passé. Résultat, toutes les souffrances qui n’auront pas été traités vont se transformer en frustration dont la puissance dépendra de la conscience qu’on en a dans la, les dimensions supérieures. Bon, c’est très simplifié, car si le principe est simple, cela devient complexe et très complexe ! Je l’ai développé dans mon esprit, mais pas formulé par écrit de manière exhaustive, en théorie quoi. Cela rejoins ce que dit Alice Miller, car nous sommes tous des êtres relationnels, avec nous même et autrui.

Pour ce qui est de la « reine des fourmis » j’ai bien noté ton passage sur l’article « la fourmi dans la fourmilière ». J’attends ton commentaire s’il y a lieu.


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