@JL

On peut et on se doit effectivement le comparer aux fous de dieu.

Mais attention ce que je vais ajouter va sans doute pas te plaire, on se doit d’en voir l’exact complément de nos sociétés athées matérialistes.
Les deux faces d’une même farce totalitaire et concentrationnaire.
Même type d’aliénation, autres dogmes.

Le dogme de la société athée matérialiste actuelle, c’est  :
- la sacralisation de la vie comme la fin ultime en soi, avec rien d’autre que cette vie éphémère et donc surtout pas de transcendance ou immanence (fais ton choix on va pas la refaire de ta discussion avec Washakiri (sic)...) et donc la mort c’est tabou, il faut la prolonger coute que coute etc Et mine de rien c’est un comble de sacraliser quoi que ce soit dès lors qu’il ne faudrait dn le même temps croire en rien : privation compléte de libre arbitre
- ta vie ne t’appartient pas, elle appartient à la société humaine qui est elle même la fin de toute conscience et projection, tu dois donc ta vie à ton entourage, au conformisme social, à la bienséance,etc...

Or s’il n’y a rien après la vie, qu’est ce que cela coûte de la quitter, cela peut apparaître à de nombreux égards comme une délivrance par rapport à la souffrance, la violence, l’injustice et la vacuité.

C’est à tout le moins le moyen de reprendre le contrôle de son destin face à une communauté humaine sourde à toute sensibilité et évolution vers plus de dignité humaine, et peut être plus précisément ici que cette lutte contre ce qu’elle a ressentie comme une injustice majeure ne puisse en rien être banalisée, et que cela vaut même une vie.

Et je pense au demeurant qu’il faut en tirer une analyse et des conclusions générales vis à vis de notre société dans son ensemble, mais ne surtout pas le psychanalyser en cas individuel déviant.