Commentaire de Emile Mourey
sur Humeur de juin
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À Armelle,
Torride, il brûle mon superbe gazon, l’été,
Ma poitrine oppressée, il la fait suffoquer.
Ma peau, par le soleil, brûlée
Et ma gorge assoiffée.
Mais où sont nos jeunes années
De nos rencontres passées
Des fraiches soirées
Nuitées.
Amie, il faut faire une pause,
J’aperçois l’ombre d’un bouchon ;
Buvons à l’aimable Macron,
Chantons pour lui quelque chose.
Depuis ma Bourgogne