Commentaire de cevennevive
sur La littérature médicale se prend un pavé en pleine tronche
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Bonjour doctorix,
Merci pour l’article et pour tous les autres qui nous confortent dans nos doutes.
Certains d’entre nous savent cela et se méfient des prescriptions quelles qu’elles soient.
Il y a cependant un problème, et de taille : à force de nous mentir, de nous prendre pour des morceaux de viande, « ils » nous poussent à ne pas nous soigner, même si cela devient impératif, car nous n’avons pas confiance.
Prenons conscience nous-mêmes de notre corps, de ses faiblesses et de ses besoins, et, par nos faibles moyens, refusons certains « médicaments » qui sont la plupart du temps des poisons.
Hélas, ce faisant, nous nous plongeons parfois dans l’incertitude et le désarroi. Même le « médecin de famille » est devenu une marionnette, incapable de nous rassurer.
J’ai souvent entendu dans mon enfance cette phrase, dite par ma grand mère et par mes vieux voisins : « bou diou, elle (ou il) est au plus mal. Elle (ou il) a vu le médecin »... Car on appelait le médecin qu’à l’occasion du départ d’un vieux citoyen ou à l’arrivée d’un nouveau !!!
Doctorix, pourquoi n’avez-vous pas fait plus d’émules ? Mon médecin préféré (homéopathie, médecine chinoise, etc...) est parti cette année en retraite. Il n’a pas trouvé un seul étudiant pour le remplacer. Je suis un peu « orpheline ».
Bien à vous.