Commentaire de alinea
sur Jacqueline Sauvage : pour une « grâce totale »


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alinea alinea 8 décembre 2016 13:04

@Fergus
Pour faire simple :
1) le père « case » son môme
2) il lui dit qu’il quitte sa mère et se barre aussi de l’entreprise
3) Il l’annonce à « Jacqueline »
4et5) le fils se suicide et la mère tue le père !
Conclusion : Cette famille était le prototype de relations aliénantes réciproques, mais ce qui est clair, c’est que c’est la mère qui en était la « tête ».
Ceci étant dit, elle n’était pas plus responsable de sa manipulation que les autres de leur dépendance.
C’est tranché et simplifié, je te l’accorde, mais ça a le mérite d’être clair.
Crois moi, le bourreau est aussi aliéné que la victime, aussi« irresponsable » de ses actes ; sans compter que les « viols » qui se passent par définition dans l’intimité, n’ont été dits qu’après le meurtre.
Il n’y a pas de bourreaux coupables ( dans ces cas là évidemment !) ni de victimes innocentes, mais un putain de sort qui a fait se rencontrer et se lier ces deux-là.


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