Commentaire de Ben Schott
sur Jacqueline Sauvage : pas de permission pour Noël
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« Et, pendant ce temps, Jacqueline Sauvage voit défiler les jours, les semaines, les mois dans sa cellule. »
Eh oui. Dura lex sed lex. Faut-il rappeler à Fergus que cette femme a été condamnée à deux reprises par deux jurys populaires à dix ans de réclusion criminelle pour meurtre avec circonstances atténuantes ?