Commentaire de Alren
sur Loup, grands prédateurs, la désertification rurale commence à payer


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Alren Alren 1er avril 2017 17:07

@Goldored

Les nazis aussi à leur façon défendaient une certaine vision de l’équilibre dans leur Drang nach Osten !

Cette référence est particulièrement insane ! Les nazis voulaient éliminer d’autres êtres humains, les slaves pour prendre leur place alors que le territoire allemand était largement assez étendu pour permettre aux Allemands d’y vivre.

On élimine ce qui nous gêne pour exploiter l’espace et on affirme trouver l’équilibre naturel...

Que vous le vouliez ou non les humains comme les autres animaux sont engagés dans la lutte pour leur vie et, à travers leur descendance, pour la survie de l’espèce.

La prolifération démente de l’espèce humaine la contraint pour nourrir tous ses représentants (avec toujours des famines) à s’approprier une place toujours plus grande de la terre pour sa nourriture à travers l’agriculture et l’élevage.

Elle est contrainte après avoir concentré ainsi les sources de nourriture par son travail rude de combattre les animaux qui consomment celle-ci : les rats pour le blé avec les chats dans la période préhistorique, les criquets sans grand succès, les sangliers qui dévastent aujourd’hui les champs cultivés notamment de betteraves, les chevreuils qui dévorent, faute de prédateurs, les jeunes poussent en forêt, empêchant la régénération naturelle de celle-ci et donc les loups qui partagent avec l’homme le goût pour la viande.

L’agriculture « moderne », le plomb du « super » interdit il y a peu, ont empoisonné pour longtemps les terres et les eaux des plaines.

Les terres de montagnes en forte pente et loin des routes ont été épargnées.

Demain elles seront un recours pour l’agriculture bio de plantes en particulier de légumineuses qui remplaceront avantageusement le blé moderne, trop riche en gluten allergène.

Le lait de brebis et de chèvres pâturant une herbe saine remplacera avantageusement le lait des fermes de 1 000 ou 10 000 vaches pollué à mort.


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