Quand les gauchistes auront compris que tout l’appareillage conceptuel (l’idéologie) et matériel (les officines de subversion) de l’antiracisme officiel et institutionnel sont dans la main du lobby à la petite main jaune, ils auront fait un grand pas dans la compréhension des ressorts de leur aliénation à ce sujet, et donc de leur domination par les mêmes forces qu’ils prétendent combattre, et qui est tout à fait pathétique. 

Dernier exemple en date de la folie, du délire antiraciste qui confine au terrorisme intellectuel, sous couvert de tyrannie du politiquement correct :