lundi 18 octobre 2021 - par Breton8329

Coronascroquerie : comment rester riche sans être créatif lorsqu’on a des moyens ?

Il était une fois des investisseurs qui risquaient de perdre leur mise car les brevets de leurs médicaments tombaient les uns après les autres dans le domaine public. Ils prétextèrent d’une maladie bizarre pour enfermer l’ensemble de la population mondiale jusqu’à ce qu’ils acceptent de s’injecter un liquide inconnu qu’ils vendaient fort cher, ce qui leur permit d’encaisser des milliards de bénéfices tout en prétendant avoir sauvé la planète contre une pandémie qui tuait surtout les personnes âgées avec des comorbidités. Ensuite, il décidèrent que les habitants du monde libre devaient montrer un laisser passer pour vaquer à leurs occupations vitales telle que se soigner ou travailler. Ce laisser passé serait activé chaque fois qu’ils auraient besoin de vendre un nouveau produit.

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Alors voilà, c’est la faillite. Les découvertes qui traitent les maladies les plus rentables ont été faites il y a plus de 30 ans et elles sont tombées ou tomberont prochainement dans le domaine public[1] . Le prix Nobel Richard J Roberts dénonça le fait qu’il était plus rentable pour l’industrie pharmaceutique de chroniciser les maladies que de les guérir. C’est le cas par exemple de l’endométriose qui s’opère très bien mais qui assure de confortables revenus lorsqu’elle est traité à vie, au détriment évidemment du confort des femmes atteintes, ce qui est une information qui devrait intéressé ceux qui n’ont jamais aucun doute sur la médecine alors qu’elle est labourée par les conflits d’intérêts[2]. Mais même cette stratégie atteint ses limites si les médicaments deviennent « génériques ». Les nouvelles découvertes, au prix de couteuses recherches, concernent des maladies qui ne touchent pas grand monde, ce qui oblige à monter les prix des traitements. Ainsi, le Myozime utilisé pour traiter la maladie de Pompe revenait à 350.000 euros par an, en 2016[3]. Et puis il y a eu le scandale des antidouleurs, un marché de clients captifs en pleine expansion, développé à coups d’études scientifiques bidons destinées à minimiser l’addiction aux opioïdes, la encore les « scientifiques » n’ont pas déçu, ils ont bien compris où était leur intérêt. Si les pompes funèbre n’avaient pas tiré la sonnette d’alarme, au lieu d’écoper d’une amende record de 26 milliards de dollars pour solde de tous compte[4], Johnson&Johnson et les distributeurs de Fentanyl entre autre, seraient aujourd’hui à la tête d’un marché mondial de plusieurs dizaines de milliards de dollars. Mais voilà, les promesses du progrès perpétuel sont loin d’être tenues, les progrès de l’hygiène réduisent drastiquement le marché des médicaments. Heureusement, il reste encore la malbouffe, source inépuisable de revenus, mais là encore, l’avenir n’est pas rose ; certaines voix discordantes trouvent écho auprès d’un public qui commence à ouvrir les yeux sur la médecine[5]. Et puis en France, il y a eu le scandale Mediator qui a marqué les esprits. 1000 à 2000 décès, tous sur prescription médicale[6] ; comment faire confiance ensuite aux médecins de plateau télé lorsqu’ils enjoignent les français, au nom de cette même science qui conduisit à tous les délits mentionnés ci-dessus, et à bien d’autres encore, de s’injecter une substance inconnue, élaborée en moins de trois mois, par des laboratoires américains, dont certains condamnés à de multiple reprises pour divers méfaits[7], alors même qu’ils ont des conflits d’intérêts avec l’industrie médicale ? D’aucun retorqueront que ces conflits d’intérêts ne concernent pas directement les vaccins mais ceux-là feignent d’ignorer la nature de l’actionnariat des compagnies pharmaceutiques et cet actionnariat s’en met plein les poches depuis deux ans maintenant[8]. Dans la panique qui suivit la mise en place de l’épidémie, même les produits les moins efficaces, les plus dangereux, les moins susceptibles de traiter la maladie, ceux dont les frais de développement menaçaient de ruiner l’entreprise qui les a développé, ont trouvé preneur, avec la complicité active ou passive, cela reste à démontrer, des organismes chargés des contrôles. Ce fut le cas du Remdesivir acheté par la commission européenne[9]. La question que tout le monde devrait se poser est de savoir si Moderna, une jeune société de 11 ans, dont la capitalisation boursière atteint les 100 milliards de dollars, qui n’a jamais vendu aucun traitement significatif, pouvait passer à côté de la crise COVID ? Pouvait-elle simplement déclarer comme le fit SANOFI et Pasteur : mon traitement ne donne pas de résultats probants[10] ? A l’évidence, une telle option aurait eu d’importantes répercussions pour un nombre considérable d’investisseurs.

Alors évidemment, si la réalité est complexe, que la vérité est hors d’atteinte, il n’est pas interdit d’imaginer le scénario le plus probable de cette crise en considérant que son objectif final est l’enrichissement d’une minorité déjà très riche, sans se faire peur en imaginant d’autres objectifs. Considérant les risques qui pèsent sur ses investissements dans la pharmacie industrielle, ces milliardaires ont probablement vu dans le coronavirus une opportunité pour changer le paradigme des soins et encaisser, en passant de juteux bénéfices. La pandémie est peut être arrivée trop tôt, alors que les traitements étaient encore en phase de recherche ? Qu’à cela ne tienne, l’opportunité était trop belle. Il fallait sortir un traitement coute que coute, quitte à mutualiser les risques (pour les cobayes) tout en privatisant les bénéfices. Evidemment, le droit s’oppose à une expérimentation médicale de masse. Il fallut donc convaincre les humains de renoncer à leurs droits fondamentaux, par la force, par la contrainte mais aussi par séduction ou par dépit. L’idée d’enfermer pendant presque un an des personnes pétries depuis le plus jeune âge de liberté fut sans doute le principal déclencheur. Pour les autres, la contrainte se déploie par vagues qui ratissent de moins en moins de personnes, à mesure que les résistances s’érodent à coup d’amendes, de privations de toutes sortes, y compris du droit fondamental de travailler. Nul doute que les derniers récalcitrants, si leur nombre n’était plus suffisant pour créer un problème de dimension étatique, pourraient être vaccinés de force. Et ensuite, les labos auront tous loisirs d’imposer une piqure de rappel. Si la maladie disparait, ils pourront toujours dire que c’est grâce à cette piqure de rappel ; si elle revient, ils diront qu’il faut augmenter la cadence. Et s’il y a trop d’effet secondaires, cela ouvrira de nouveaux marchés. Pfizer est condamné ? Pas très grave, les profits sont déjà remontés vers les actionnaires qui auront tout loisir de créer une nouvelle société pour traiter les effets de la vaccination.

Toutefois, il reste une inconnue et elle est de taille : pas certain que le scénario dans lequel l’industrie pharmaceutique empoisonne la moitié de l’humanité pour s’assurer des milliards de bénéfice finisse bien pour les actionnaires. Souhaitons leur bonne chance !

 


26 réactions


  • Clocel Clocel 18 octobre 2021 13:25

    Il y a quelques semaines votre article ne serait pas passé...

    Assiste-t-on au réveil des veaux ?

    Il ne semble pas pourtant tant ils sont préoccupés par la prochaine tournante démocratique...


    • KALAM KALAM 18 octobre 2021 19:28

      @Clocel


    • devphil30 devphil30 19 octobre 2021 06:07

      @Clocel

      Agora un média citoyen libre mais censuré à la rédaction en fonction des convictions de ses intervenants.

      Le réveil sera très long car la stratégie du choc employé à fait des merveilles dans le subconscient en terme de destructions de la pensée et de la réflexion simple.

      Seule la peur et la terreur du virus conduisent les réactions actuelles d’une grande majorité des Français.

      Si un jour ils se réveillent , la remise en question de l’absurdité de leur comportement prendra beaucoup de temps et pas certain que la plupart acceptent de remettre en question le dogme qui les a lobotomisé pendant plus de 18 mois


    • Clocel Clocel 19 octobre 2021 09:18

      @devphil30

      Hélas, on se dirige plutôt vers ça :

      "Ce qui nous guette, c’est le recul et la résignation ; voyons notre modèle Kubler-Ross.

      Les cinq étapes du modèle sont :

      • Déni (denial). Exemple : « Ce n’est pas possible, ils ont dû se tromper. »
      • Colère (anger). Exemple : « Pourquoi moi et pas un autre ? Ce n’est pas juste ! »
      • Marchandage (bargaining). Exemple : « Laissez-moi vivre pour voir mes enfants être diplômés, se marier… », « Je ferai ce que vous voudrez, faites-moi vivre quelques années de plus. »
      • Dépression (depression). Exemple : « Je suis si triste, pourquoi se préoccuper de quoi que ce soit ? », « Je vais mourir… Et alors ? », « Je vais bientôt mourir, alors à quoi tout cela sert-il ? »
      • Acceptation (acceptance). Exemple : « Maintenant, je suis prêt, j’attends mon dernier souffle avec sérénité. », « Ça va aller. », « Je ne peux pas le combattre ; je fais aussi bien de me préparer. »"


  • zygzornifle zygzornifle 18 octobre 2021 14:04
    Macronascroquerie : comment rester pauvre quand on y est ....

  • phan 18 octobre 2021 14:12

    Remèdes mortels et crime organisé. Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé

    Les médicaments d’ordonnance sont la troisième cause de mortalité après les maladies cardiaques et les cancers.

    Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gøtzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste... Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins... Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique... Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité... Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir. »
    .

    Dr Peter Gotzsche sur le coronavirus : « Une pandémie de panique, plus que tout autre chose »

    Gotzsche a écrit dans un récent article de blog que lui et la plupart de ceux qui l’entourent, à la fois des laïcs et des collègues, « considéraient la pandémie de coronavirus comme une pandémie de panique , plus que toute autre chose ». Il pense que la peur et la panique sont propagées par ceux qui ont un programme de contrôle, et non par ceux qui accordent la priorité à la santé et à la sécurité des citoyens. Il a averti que si les personnes présentant des symptômes bénins sont amenées à paniquer, elles risquent d’inonder les hôpitaux, ce qui fait plus de mal que de bien.


  • eddofr eddofr 18 octobre 2021 14:57

    Je vais juste répondre à la question posée dans le titre (dans ce commentaire)

    Comment rester riche sans être créatif quand on des moyens ?

    En faisant des conneries et en claquant un max !

    Si tu ne fait rien, mais alors rien du tout, tu ne reste pas riche ; tu deviens plus riche.

    Donc pour juste rester riche, faut faire des erreurs de gestion et dépenser un paquet d’oseille.


  • tashrin 18 octobre 2021 15:09

    Dans mon quartier un jour par semaine quasi toutes les vitres de voiture sont pétées. Comme c’etait récurrent, à un moment ya des gens qui ont planqué pour choper le malotru sur le fait... Et il s’est avéré que c’était un « gamin » du quartier à qui le carossier local filait un billet de temps en temps pour se faire plaisir...

    Créer les maladies pour lesquelles on vend des remèdes, c’est la base du business plan... 


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 18 octobre 2021 15:21

      @tashrin
       
       sauf qu’ici, le remède est pire que le mal.


    • tashrin 18 octobre 2021 15:33

      @Francis, agnotologue
      J’ai pas dit le contraire. J’ai insinué que par définition le contexte doit conduire à analyser la contribution des laboratoires avec cet a priori... 
      Mais vous prechez un converti :)


    • jacqcroquant 19 octobre 2021 09:08

      @tashrin
      Autre exemple : Les cambriolages et les ventes d’alarmes pour les maisons ? 


    • tashrin 19 octobre 2021 09:49

      @jacqcroquant
      ou les virus pour les antivirus, ou les produits agro alimentaires pour des régimes, ou... Oui c’est le principe 


  • eddofr eddofr 18 octobre 2021 15:12

    Fondamentalement, les laboratoires et leurs actionnaires : 

    Ils n’ont pas eu besoin de créer une fausse ou un vraie maladie.

    Ils n’ont pas eu besoin de provoquer une fausse ou une vraie épidémie.

    Ils ont juste eu à envoyer leurs scientifiques affidés faire un peu de catastrophisme à la télévision.

    Ils ont juste eu à accélérer un peu les recherches en cours.

    Ils ont juste eu à mettre en production très (trop) vite des produits à peine testés.

    Ils ont juste eu à payer quelques avocats pour faire rajouter une « petite clause » au contrat : « En cas d’effets secondaires néfastes, c’est pas de notre faute, on vous l’a dit que c’était encore expérimental. »

    Ils ont surtout juste eu à laisser la population, les médias et la politique faire tout le travail pour eux.

    Définitivement, l’humanité est trop conne et ne mérite pas de survivre (d’ailleurs, sa tombe bien, ça fait un moment qu’elle scie la branche sur laquelle elle est assise).


    • I.A. 19 octobre 2021 09:46

      @eddofr

      « Définitivement, l’humanité est trop conne et ne mérite pas de survivre (d’ailleurs, sa tombe bien, ça fait un moment qu’elle scie la branche sur laquelle elle est assise). »
      Oui, ça fait un bon moment que je pense la même chose.

      « Ils ont surtout juste eu à laisser la population, les médias et la politique faire tout le travail pour eux. »
      La population n’a fait que suivre, comme elle sait si bien faire... Par contre vous oubliez le « travail » si intelligent des médecins, dans l’affaire :
      « Tout le monde reste chez soi, il y a un sale virus qui traîne dehors ! »
      Il faut quand même avouer que c’est un réflexe plutôt grossier, du vieux docteur pusillanime au jeune président timoré, en passant par toute une population décadente  c’est énorme, incroyable. Jamais la France n’aurait été ce qu’elle était encore en 2019, si elle avait fait le dixième.


  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 18 octobre 2021 15:16

    Le crime était presque parfait : on fabrique le poison et en même temps le contre poison qui va se vendre comme des petits pains. C’est un truc que les abonnés à win dows ont l’habitude.

     

    Le poison n’est pas très efficace, mais le contrepoison est terrible ? Qu’à cela ne tienne, ça plait aux eugénistes, réchauffistes et trans-humanistes de tous poils. 

     

    Alors on fait avec : on vend sans états d’âmes du contre-poison pire que le poison.


    • zygzornifle zygzornifle 18 octobre 2021 22:08

      @Francis, agnotologue

       Comme en informatique on met au point un virus et ensuite on vend l’antivirus ....


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 19 octobre 2021 08:48

      @zygzornifle
       
       ’’ Comme en informatique on met au point un virus et ensuite on vend l’antivirus ... ’’
       
      En quelques sorte, mais ça c’est avec le regard le plus naïf ce qu’ils ont peut-être voulu faire, à savoir, un virus destructeur et un antivirus efficace.
       
      On pourrait admettre qu’ils se sont plantés, qu’ils ont été trompés par le « yes we can » de subordonnés plus ambitieux que compétents puisque pour le virus Covid n’est pas très efficace et en revanche l’antivirus à ARNm est très destructeur.
       
      Et quand on voit qu’ils persistent dans l’erreur, on ne peut que constater qu’ils sont réellement diaboliques. On ne peut plus parler d’erreur : il s’agit de faute, un assassinat en masse et en règle. C’est pas rien.
       
      Il est admis maintenant par toute la communauté scientifique sérieuse que la protéine spike est un poison. Injecter un cocktail composé d’adjuvants secrets  et dont on sait seulement qu’il a pour but de faire produire par nos cellules une protéine spike maléfique, ce n’est ni une vaccination ni une thérapie génique : c’est à la fois une antivaccination et une anti-thérapie, c’est par conséquent un empoisonnement.


    • zygzornifle zygzornifle 19 octobre 2021 09:17

      @Francis, agnotologue

       La protéine Spike,
      nom très bien choisi c’était un méchant vampire dans la série Buffy et les Vampires ....


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 19 octobre 2021 09:32

      @zygzornifle
       
       c’était pas un gentil vampire ?
       
       Il y a un rapport évident entre vampirisme et injections d’ARNm de protéines spike, surtout quand on sait qu’elles ont pour but avoué de modifier notre ADN pour lui faire produire ladite protéine.
       
      https://planetes360.fr/laveu-fracassant-de-bill-gates-sur-les-vaccins-non-seulement-votre-adn-sera-modifiee-avec-ces-vaccins-experimentaux-mais-ces-informations-minuscules-resteront-dans-votre-corps-a-vie/


  • rhea 1481971 18 octobre 2021 17:09

    Comme me le dit mon médecin traitant : « Il n’y a rien de formel »


  • cétacose2 18 octobre 2021 19:53

    Il ne reste plus qu’à savoir qui, de Pfyzer ou de Moderna a lancé le virus ?


  • Edmond 18 octobre 2021 23:03

    Exceptionnel ! Hier encore, nous aurions dit que c’est du cynisme, mais aujourd’hui, compte tenu du merdier dans lequel nous nous trouvons, on pourrait presque dire que c’est de l’optimisme (dans la veine de « l’optimisation fiscale »)


  • ETTORE ETTORE 19 octobre 2021 00:05

    La question que l’on pourrait se poser, c’est....

    Avec tous ces milliards empochés, à quoi devons nous nous attendre dans un très proche avenir.

    On a bien compris le fil rouge sanitaire, on a bien visualisé, la via ferrata, du totalitarisme régnant....

    Alors à quoi, vont servir ces milliards rapinés sur la vie de millions de gens ?

    Même un milliardaire, n’as qu’un seul trou de balle ! Réussir à s’en payer un second, tellement les « PASS VIP » se pressent à l’embouchure.....Et ????

    Régner sur un mode chenil, avec sa montagne de poudre à sniffer, pour se sentir le roi du monde de la déchéance.....Et finir, comme un cafard, écrasé contre une dalle de béton, ,placée trop bas.....

    Et habiter tôt ou tard sous une pierre gravée, dont ils ne maîtriseront pas le texte....

    « Ci gît » dont le nom seras martelé, effacé, oblitéré !

    On les appellera les « cigit » et seras le nom majeur de la « crapulerie humaine »


  • I.A. 19 octobre 2021 09:56

    Rien à redire à ce texte.

    Qu’il s’agisse d’un effet d’aubaine pluriel ou d’un coup finement monté de A à Z, ça reste une affaire de gros sous au final, au mépris des malades, des morts et des bien-portants.

    Ces gens-là vivent sur le dos des malades, et plus il y a de malades mieux ils vivent.

    Un peu comme nos chers médias, qui vivent sur le dos des catastrophes, et plus il y a de catastrophes...

    D’autres vivent sur le dos des peureux, et plus il y a de peureux, plus leurs mesures liberticides font florès.


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