jeudi 7 mai 2009 - par Gasty

Jésus revient avec Karl Marx

C’est la crise, c’est le moment. Osons le retour du religieux, remplaçons l’échec politique par du solide, du spirituel buriné dans les siècles des siècles.

N’a-t-on pas eu à comparer les souverainetés du temps de Césars et de Jésus. La souveraineté de Césars construite par la force brutale des armes, les annexions, les conquêtes, l’impérialisme, le colonialisme, pouvoir politico-militaire et de l’autre les sectes d’amours et de paix.

Jésus faisait-il parti des contre-pouvoirs de l’époque, les prémices d’une souveraineté des peuples vers l’accession à la démocratie, une recherche du compromis entre la force destructrice et le doux espoir que peut avoir tout être en ce bas monde…une vie meilleure. En ces temps difficile, l’espoir fait et continue à faire vivre. Les jours meilleurs qui ne peuvent de toute évidence qu’être devant nous, au-delà de ce maudit présent… dans l’inconnu, disons le royaume des Dieux pour la touche spirituelle. Inaccessible bonheur remis aux lendemains qui chantent, il n’y avait qu’un pas à franchir pour que certains en propose la gestion au royaume des cieux.

 Ah ! Comme ces certains aimeraient savoir ce qu’il y a devant eux, mais ne nous leurrons pas, c’est uniquement pour en détenir la maîtrise et le pouvoir. Pourtant à défaut d’en savoir avec certitude les aboutissants, ils délèguent de savants artificiers prévisionnistes semblant avoir la maîtrise du devenir des biens des populations de la terre pour finalement s’apercevoir qu’ils étaient dirigés par un élitisme.

 Les grandes pensées humaines ont toujours eu l’objectif d’un monde meilleur, la recherche d’une protection moralisatrice à l’encontre des dérives des pouvoirs en place. Les premières tables des droits de l’homme écrites par des hommes ( Moïse ) dans le contexte de l’époque donnait une base à un ordre humain pour un monde meilleur rempli d’espoirs.

« Bien d’autrui ne convoiteras pour l’avoir malhonnêtement. »

La déclaration des droits de l’homme, toujours écrit par des hommes dans le contexte d’une époque monarchique, remplaçant le défunt féodal, donnait un nouvel ordre citoyen toujours vers le même objectif d’un monde meilleur rempli d’espoirs.

« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ; les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune »

Mais les meilleures résolutions se font immanquablement vampiriser par ceux à qui le peuple a délégué l’usage du pouvoir. Jusqu’à nos représentants du peuple qui ne sont que des mandataires temporaires, nos porte-parole dont la mission est de faire connaître et de faire respecter les opinions de ceux qu’ils représentent, sans jamais s’y substituer ni la trahir. Afin que le peuple puisse de son côté vaquer à ses tâches quotidiennes, celle de la communauté humaine et à son épanouissement.

Vous aussi, vous voudriez connaître votre avenir ? Auriez-vous majoritairement la faculté de rechercher le :

Totalitarisme
Système politique totalitaire où les différents pouvoirs sont concentrés aux mains d’un seul.

Autocratie
Système politique dans lequel le souverain dispose d’un pouvoir absolu.

Autoritarisme
Caractère autoritaire d’un système politique

Despotisme
Pouvoir absolu et arbitraire, autorité tyrannique et oppressive.

Dictature
Régime politique dans lequel tous les pouvoirs sont entre les mains d’une seul personne.

Fascisme
Régime autoritaire établi par Mussolini, voir dictature.

Monarchie
Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une seul personne, spécialement un roi héréditaire.

Féodalité
Organisation politique du moyen âge fondée sur les fiefs.

Impérialisme
Politique menée par un état en vue de dominer d’autres états.

A qui appartiennent toutes ses dérives de pouvoirs ? A l’est, à l’ouest, à gauche, à droite, à l’Espagne, à l’Allemagne, à l’Italie, à l’histoire…Et peut-être même au présent caché sous les couvertures démocratiques des nations.

Ce qui domine notre univers politique aujourd’hui est une fainéantise intellectuelle, un renoncement sans précédent, que ce soit du gouvernement en place ou de l’opposition. Seraient-ils eux aussi, sujet à une annihilation de l’action, subiraient-ils le phénomène de la mondialisation et de ses aléas imposant cette destruction de la société, les groupes financiers, les dynasties écrasantes, le terrorisme contrôlé ou incontrôlé par on ne sait qui, l’organisation du chaos ? Seraient-ils sujet à un vecteur infectieux de laisser faire propagé par des flux continus d’événements extérieurs qu’aucune nation d’ailleurs ne semble en mesure de stopper ou de maîtriser. Au même titre que le commun des lobotomisés télévisuels, subiraient-ils les mêmes effets injectés par les propagandistes officiels, une information catastrophe, un renoncement programmé à dose régulière, midi et soir, toute contestation d’agissement doit être cassée par le renoncement, ne pouvoir agir sur les événements jusque dans ses destinées, le message dominateur « subir ». Les nations sont-elles, elles aussi dans le renoncement ?

Les idées de Jésus ont depuis très longtemps elles aussi été vampirisées, récupérées par la force brutale des armes, les inquisitions, les conquêtes, les croisades, le colonialisme, le pouvoir politico-religieux. Les succursales des pouvoirs associés et de leurs représentants commerciaux en espoir reporté sur l’échéance du dernier souffle de vie et jugement dernier.

Et d’abord me direz-vous ? Ou je veux en venir avec ce Jésus ? Tapez dans votre moteur de recherche préféré, « Richard Wurmbrand ». C’est lui qui m’a fait bondir à la lecture de ses écrits :

Aucuns compromis entre le marxiste et le christianisme, de même qu’entre Dieu et le diable. Certains prétendent être des chrétiens marxistes, ils veulent tromper les autres. On ne peut pas être un chrétien marxiste adorateur du diable.

Définitivement écœuré des paroles religieuses sans lendemain Karl Marx a fini par développer l’espoir d’une application possible dans la société. En quoi ses paroles sont-elles divergentes ? N’avaient-elles pas les mêmes ambitions, celle d’un monde meilleur, un peu comme Jésus dont on sait aujourd’hui comment il a pu se faire récupérer. Marx à son tour aura attiré les religieux les plus extrêmes mais pas pour les même raisons. Au point qu’il devint un maître inspiré par SATAN. Aurait-il mis le doigt ou il ne fallait pas ? Leurs fonds de commerce mis en péril par ce personnage désireux de libérer ce qu’ils ont emprisonné depuis des siècles.

Richard Wurmbrand, ministre évangélique, fondateur des « Voix des Martyrs » décédé en 2001 a lui aussi fait l’expérience de l’emprisonnement. Il passa de nombreuses années dans les prisons Roumaines sous le régime communiste. Il est vraisemblable que cette expérience ne lui aura pas laissé de très bon souvenir et a fortiori un ressentiment compréhensible à l’encontre de ce régime totalitaire (voir ci-dessus). Homme d’église cependant et nécessairement proche de la misère humaine ( je suppose) il aura comme il se doit, su peser ses propres paroles en tant qu’homme d’église et en apprécier sa portée.

Ses livres sont semble-t-il des best Sellers. Entre autre celui de « Karl Marx et Satan  »

On trouve tout au long de ses écrits sur Karl Marx, des églises sataniques, des hallucinations orgiaques, des interprétations de la correspondance avec son père comme étant des craintes d’une influence démoniaque sur son jeune fil.

Pour en conclure que Marx est simplement le porte parole d’un autre. Comprenez le malin.

Et comme Marx avait des ambitions d’artiste, RW en arrive à faire des comparaisons des plus suspects. Que ses poèmes qu’il considère sans valeur le propulse par une stupéfiante comparaison à celui de Hitler et son échec en peinture et architecture. Goebbels dans l’échec du dramatique. En philosophie et peinture, deux autres criminels, Rosenberg et Streicher.

A se demander si Karl Marx le satanique est la cause de tous nos maux.

Karl Marx développe une philosophie basée sur la lutte des classes (exploitants et exploités) qui est le moteur de l’histoire. Le matérialisme dialectique se caractérise par le primat de l’histoire (tout évolue), le progrès venant de contradictions résolues, l’action réciproque des choses les unes sur les autres, le progrès par bonds, par crises brusques et soudaines (révolutions). Le prolétariat doit s’organiser à l’échelle internationale afin de s’emparer du pouvoir et, après une période de transition (dictature du prolétariat), conduire à l’abolition des classes et la disparition de l’Etat (communisme). Karl Marx prédit la fin de la société actuelle où le capitalisme se détruira lui-même, permettant ainsi l’avènement d’un état ouvrier.

http://civisme.politique.free.fr/4-civisme.du.chretien/4355-derive.htm

http://www.fsa.ulaval.ca/personnel/vernag/EH/F/cause/lectures/derive_sectaire_catho.htm

http://sentinelles.centerblog.net/1419925-Eglise-Charisma-la-derive-de-l-eglise-evangelique

Gasty



22 réactions


  • John Lloyds John Lloyds 7 mai 2009 11:10

    Karl Marx prédit la fin de la société actuelle où le capitalisme se détruira lui-même, permettant ainsi l’avènement d’un état ouvrier.

    Un état ouvrier .... smiley Boudiou, j’ai failli recracher mon café. Je suis pas pour le capitalisme, enfin surtout pas pour le nôtre, mais là, un état ouvrier ... j’ai du mal à imaginer. Une société dont les membres seraient des beaufs dont le seul idéal est leur barbaque le WE sur leur bout de gazon bien taillé, ça doit être bien fun.

    _______________________________________

    ALERT INFO


    • Gasty Gasty 7 mai 2009 11:18

      Je suis vraiment désolé « John Llods » de vous avoir mis de cet état.

      Un p’tit Calva peut-etre ?


    • appoline appoline 7 mai 2009 12:55

      @ John,

      On est bon pour se mettre à la belote, je couperai mes tee-shirts pour faire de beaux marcels, sur le camerbert et le verre rouge, ma foi, je ne dis pas non.

      Nous risquons surtout d’échanger un beau bordel contre un autre. Sacré Karl, toujours un brin d’humour pour détendre l’atmosphère.

      Si Jésus, essénien, grand initié avait su en son temps comment l’homme jouerait de ses pouvoirs en son nom, il aurait sauter lui-même sur la croix, car là aussi, rien n’est moins sûr, la religion confiée à de simples hommes devient vite dangereuse.


    • Reinette Reinette 7 mai 2009 14:13

      à JL bonjour
      Un état ouvrier ....  Boudiou, j’ai failli recracher mon café. Je suis pas pour le capitalisme, enfin surtout pas pour le nôtre, mais là, un état ouvrier ... j’ai du mal à imaginer. Une société dont les membres seraient des beaufs dont le seul idéal est leur barbaque le WE sur leur bout de gazon bien taillé, ça doit être bien fun. (John Lloyds)

      DOMMAGE que vous n’ayez pas avalé de travers... ça nous aurez évité de lire vos bofferies !


    • plancherDesVaches 7 mai 2009 16:44

      Reinette.
      Il a raison.

      Cela va vous parraître un peu fou, mais le nivellement par le bas n’est pas non plus une solution.

      Il faudrait une solution INTERMEDIAIRE.
      J’en ai un peu marre d’écrire en permanence que les excés sont mauvais en tout, mais......
      Vu les excés que nous commençons à payer et qui vont nous faire des 80% de chômeurs, je ne peux lui donner tort.
      1929 en pire.
      Et guerre à la clef.
      Vive le capitali... libéralisme. Les deux mots sont identiques. Et pas seulement par la fin.

      Nous prendre par autre chose que le matériel... ou la spiritualité à outrance. J’en doute. C’est ainsi que sont arrivés au pouvoir les pires dictateurs. Enfoirés.


    • Le péripate Le péripate 7 mai 2009 20:21

      On ne dit pas « Boudiou » mais « Badiou », Alain de son petit nom.


  • paul muadhib 7 mai 2009 12:42

    ainsi l ouvrier n est qu un gros beauf selon john Lloyd....qu en est il ?
    l ouvrier meprise est quand meme celui par qui toute production necessaire est faite...attendre les intellectuels purs , les vrais faineants selon moi !! pour produire de la nourriture, des maisons, des objets etc.je dis bien produire, faire ,suer ,etre fatigue..use.. ??????
    j ai exerce plusieurs metiers certains intello, securite sociale,vrp centrales achats, certains manuels, cuisnier,ebeniste,chauffeur routier, ouvrier d usine..c est en usine que j ai trouve le plus de gens sympa si si je vous le dit...cela dit je vois peu de differences entre les categories sociales dans l intellect , et je vais peut etre vous apprendre une chose , c est que meme un ouvrier reflechi si si .faire un meuble demande un inne donc un talent , de l aprentissage, de la relexion, de l application de certaines formules mathematiques, de planifier etc...
    etre un bon paysan, pas l agriculteur productiviste d aujourd hui non, etre un bon paysan demandait bcp de qualite, metier difficile physiquement vous savez.
    construire une maison , c est dur , difficile fatiguant.
    ce serait bien un peu de sympathie pour les ouvriers john ...vous savez la difference entre les metiers intello et manuels que j ai connu , dans les metiers intello je voulais et pouvais faire du velo apres le « travail », travaillant en usine je peux vous dire que je n en avais pas envie. Derniere chose je trouve que le travailleur manuel travaille de trop, la cadence impose est trop importante, et j avoue que ca donne envie de boire un bon canon apres , car c est dur, un bon canon permet de se relaxer , de se sortir la tete du trop de travail..et c est vrai que c est abrutissant le travail manuel impose par les arrogants.car peu creatif, fatiguant, insense etc..du moins dans notre monde , vous imaginez monter des murs et des murs jours apres jours pendant des annees des annees et au bout du compte vous attrappez la maladie du ciment , vous etes uses, et pourquoi , pour du mepris..
    j ai connu des pdg de grosses boites, des cures , des politiques, des petits truands, des drogues, des sportifs de haut niveau , des paysans , des grosses tetes a gros QI , des gens a petits QI ,, ..je ne frequente plus le haut du pave par gout personnel , tout y est si superficiel, sauf le vin qui est de meilleure qualite...humour


  • paul muadhib 7 mai 2009 12:45

    sinon a l auteur , je dois vous relire avant de commenter, interessant d apres un premier survol en tous les cas..
    a propos il parait que a l origine du mot diable serait le sens de « diviser »
    le diable serait ce qui divise ...les hommes ??


  • être humain révolutionnaire 7 mai 2009 13:12

    Pour moi les ouvriers sont l’essence du capitalisme, quand il se sera auto-détruit cette classe n’existera plus.


  • pendragon 7 mai 2009 13:14

    Un auteur qui voudrait être plébiscité n’aurait qu’à allonger la liste des banalités et lieux communs. 


  • Reinette Reinette 7 mai 2009 14:25

    Gasty bonjour

    J’ai beaucoup apprécié votre article. (je n’ai fait que survolé « Marx et satan », je vais y retourner)

    A LIRE : Daniel Bensaïd, Marx mode d’emploi, illustré par le dessinateur Charb, vient de sortir en librairie cette semaine : 

    Sommaire
    1. Comment on devient barbu - et communiste
    2. De quoi Dieu est-il mort ?
    3. Pourquoi la lutte, c’est classe
    4. Comment le spectre devint chair. Et pourquoi il sourit
    5. Pourquoi les révolutions ne sont jamais à l’heure
    6. Pourquoi la politique perturbe les horloges
    7. Pourquoi Marx et Engels sont des intermittents du parti
    8. Qui a volé la plus-value. Le roman noir du capital
    9. Pourquoi M. le Capital risque la crise cardiaque
    10. Pourquoi Marx n’est ni un ange vert ni un démon productiviste
    11. Comment -et à quoi- pense le Dr Marx
    12. Un héritage sans propriétaires, en quête d’auteurs

    Dans les années 80, en pleine offensive néolibréale, le magazine Newsweek pouvait titrer, triomphalement : « Marx est mort. »
    Mais les spectres ont la peau dure. Aujourd’hui, Marx est de retour. En ces temps de crise fracassante du capitalisme et de grande débandade idéologique, on le redécouvre. Même le très libéral conseiller de l’Élysée, Alain Minc, s’est récemment déclaré « marxiste » - sans rire - en matière d’analyse économique.
    Mais qui fut Marx ? Qu’a-t-il vraiment dit ? Ce petit ouvrage offre une introduction ludique à sa pensée, sa vie, son œuvre. Un panorama clair et souvent drôle qui associe bande dessinée et philosophie, humour et esprit de synthèse pour présenter dans toute son actualité la pensée du principal théoricien de l’anticapitalisme.
    Marx est resté célèbre pour son explication des contradictions et des crises du capitalisme. Pour en savoir plus, on suivra le roman policier du Capital  : à la recherche de la valeur perdue, on retracera les mécanismes de l’accumulation du capital jusqu’à percer le secret du fétichisme de la marchandise.

    À la fois aide-mémoire, cours d’introduction et lecture récréative, Marx, mode d’emploi, offre une petite trousse à outils pour la pensée et pour l’action.


  • Forest Ent Forest Ent 7 mai 2009 15:06

    Je ne suis pas sur d’avoir compris l’idée de l’article.

    Il ne faut déjà pas confondre Marx et marxisme. Marx a écrit des textes qui étaient selon les cas de nature historique, économique, politique ou religieuse. Ce n’est pas une oeuvre homogène ni facilement caractérisable. Elle a engendré plusieurs « marxismes » de la même manière que les idées de Freud ont engendré d’innombrables écoles médicales, philosophiques, sociologiques, ...

    La plus connue est l’école du « matérialisme dialectique », qui est une pensée philosophique et religieuse, effectivement totalement contradictoire avec le christianisme, dont je ne suis pas certain que Marx l’aurait approuvée.

    Ce n’est pas que le christianisme n’encourage pas aux améliorations sociales, bien au contraire. Mais il considère que cela ne peut être une tâche achevable et qu’il ne peut pas exister un état parfait qui serait le « bonheur sur terre ».

    Cela rejoint d’ailleurs une forme de pensée politique qui énonce que « le pouvoir corrompt », et qu’un pouvoir ne peut être régulé que par des contre-pouvoirs. La négation de cela, c’est le léninisme, pouvoir absolu sans contre-pouvoir, qui s’est effectivement avéré absolument corrompu, et dont l’échec n’est plus contestable.

    L’objectif du christianisme n’est pas une forme d’organisation sociale, mais de travail d’amélioration permanent de chacun sur lui-même. Il est totalement contradictoire avec le « matérialisme dialectique » qui prône la recherche d’une forme d’organisation sociale optimale.


    • Gasty Gasty 7 mai 2009 18:11

      « L’objectif du christianisme n’est pas une forme d’organisation sociale, mais de travail d’amélioration permanent de chacun sur lui-même »

      MMMmmm ! avec une église dans chaque village ?


    • Forest Ent Forest Ent 7 mai 2009 18:50

      Non, une cellule, avec un chef de section et un commissaire politique.


  • LE CHAT LE CHAT 7 mai 2009 15:11

     karl Marx fait des concert de paroles bibliques ! 

    Jésus left chicagooooooo ..............


  • La Taverne des Poètes 7 mai 2009 15:54

    « Le peuple a délégué l’usage du pouvoir », mais il n’a pas délégué l’usage de la raison.


Réagir