jeudi 4 février 2010 - par Kyja70

Projet citoyen pour une Décroissance sereine, soutenable et conviviale en Île de France !

Dans le cadre des élections régionales, nous proposons une série d’uto-pistes pour une Décroissance sereine, soutenable et conviviale en Île-de-France.

Ces propositions s’articulent principalement autour de quatre grandes thématiques : la relocalisation, la gratuité du bon usage couplée au renchérissement du mésusage, le ralentissement et la convivialité.

Décroissance des nuisances de la voiture et réduction des transports entre les lieux de travail et de vie :

23 millions de transports mécanisés par jour dans l’agglomération parisienne, plus de la moitié effectués en voiture individuelle. 4 millions de voitures en Île-de-France, 50% de l’espace public occupé pour le stationnement de véhicules.


- Interdiction de l’utilisation de voitures individuelles dans Paris intra-muros (sauf pour les services, les artisans, les taxis avec tarifications adaptées pour les personnes à mobilité réduite, les livraisons...) dans le cadre d’une relocalisation des activités, et une politique ambitieuse en faveur des transports en commun et doux.

- Développement des transports doux, en particulier des vélos.

- Vélib dans toute l’Île-de-France à condition que cela soit directement géré par des fonds publics et non pas publicitaires.

- Mise en place d’une infrastructure adaptée : parkings à vélos, pistes cyclables, réaménagement de garages à vélos dans les immeubles.

- Réduire les vitesses autorisées en ville à 30 km/h et à 70km/h sur les voies rapides dans l’agglomération parisienne.

- Mise en place de services de voitures partagées. Développement du covoiturage. Réserver une voie sur les grands axes pour les véhicules respectant ces critères (auto-partage, covoiturage).

- Développement du transport fluvial.

- Gratuité (sous conditions) des transports en commun de proximité.

Une croissance infinie dans un monde fini est une absurdité !

Vers un exode urbain choisi :


- Créer des emplois ruraux dans l’artisanat, l’agriculture biologique et vivrière, mais aussi dans le social et la culture, financer des aides à la mobilité, des bourses, des prêts à taux zéro.

- Favoriser la coopération plutôt que la compétition entre les régions à travers des échanges culturels, de savoir-faire, de personnes, d’investissements mutualisés : par exemple instaurer des partenariats inter-régionaux afin de permettre aux personnes le souhaitant de partir s’installer dans des régions moins peuplées afin d’y recréer de l’activité dans des domaines d’avenir (agriculture paysanne, artisanat) avec financement de formations professionnelles, d’aides à la mobilité, d’installations, de rachats de terre.

Travailler moins pour vivre mieux !

Réappropriation de l’espace - Vers une autre agriculture - Vers une autre ville :


- Couverture du périphérique et de certaines voies de chemin de fer pour en faire des espaces verts ou des jardins partagés.

- Retour de la terre dans la ville : développement des jardins potagers partagés et des espaces verts, à la place de parkings ou de routes.

- Reboisement des villes. Réimplantation de haies en zone rurale.

- Réquisition des terrains industriels pour dépollution et retour de la biodiversité.

- Développement des habitats coopératifs, communautaires : éco-quartiers.

- Création de chartes de bonne conduite sur l’implication, la sobriété comportementale, le temps collectif.

- Utilisation du budget dédié à la réduction des bidonvilles pour permettre aux « gens du voyage » d’accéder à des logements ou à des terrains aménagés selon leurs besoins spécifiques.

- Forte restriction du trafic aérien : interdiction des vols en provenance ou à destination d’un aéroport de moins de 1 500 km, et entre 19 h et 7 h sauf cas de force majeure.

- Aide à la mise en place de lieux conviviaux pour les associations, activités culturelles, réunions politiques, et réappropriation du savoir, du politique, du temps.

Afin d’économiser les ressources énergétiques pour l’agriculture, alléger la dépendance au pétrole (intrants : engrais, pesticides, mécanisation), préserver et restaurer les milieux, développer l’emploi local (tout en assurant de bons rendements) et diminuer la dépendance alimentaire de la région :


- Racheter des exploitations productivistes via un fonds dédié, pour relancer l’agriculture paysanne, développer les fermes bio locales et, de fait, favoriser la biodiversité.

- Favoriser les circuits commerciaux courts via les monnaies locales, par exemple.

- Favoriser les restaurateurs qui cuisinent eux-mêmes, avec des produits locaux et utilisent moins d’emballages. Création d’un label et réduction de leur TVA.

- Encourager une politique de formation professionnelle et d’apprentissage pour orienter vers les besoins agricoles (prise en charge des formations, reconversions ).

- Inciter à manger moins de viande dans les cantines, maisons de retraite, restaurants d’entreprises.

- Opter pour une nourriture biologique et locale dans les cantines : mise en place à travers la région d’Île-de-France avec subventions pour aider au retour à la terre, à l’achat de terrains et aux formations professionnelles.

« Vivre plus simplement pour que d’autres puissent simplement vivre. »


Favoriser les alternatives concrètes - Gratuité du bon-usage et renchérissement du mésusage :


- Gratuité de l’eau, du gaz, de l’électricité jusqu’à un certain niveau de consommation décidé localement et démocratiquement, puis renchérissement de l’utilisation supplémentaire.

- Production locale d’énergies par retraitement des déchets, de la biomasse.

- Adaptation des bâtiments publics aux normes écologiques.

- Aide à la mise en place d’AMAP (Association pour le Maintien de l’Agriculture paysanne).

- Subventions aux Systèmes d’Echanges Locaux (SEL).

- Incitation aux « monnaies » locales, par exemple sous forme de carte de crédit Région Île-de-France ne fonctionnant qu’en Île-de-France et pour des productions locales, peu emballées, labellisées.
 La monnaie pourrait être fondante (contre l’épargne) donc à utiliser assez vite, encouragée par un bénéfice à l’achat (5%) pris en charge par la région (mais avec des quotas pour empêcher la capitalisation).

- Incitation au développement de villes lentes en Île-de-France (réseau « transition towns »).

Création de fonds afin de se donner les moyens d’une politique de rupture dans le cadre de la Région Île-de-France avec :



- Rachat d’entreprises pour les gérer/louer sous le statut de SAPO, ou de SCOP ou en autogestion, entreprises qui ne dépendraient ni de l’état ni d’actionnaires et auraient pour mission de produire des biens ou services socialement utiles.

- Achat de terres permettant l’installation de paysans en agriculture biologique.

- Transformation des logements anciens en habitat plus écologiques (isolation et efficacité énergétique, matériaux locaux..).

Plus de liens, moins de biens !


Pour une décroissance des déchets :



- Taxation des sur-emballages, des portions individuelles.

- Mise en place de toilettes sèches, de zones de compostage dans les quartiers où des jardins potagers sont développés et création de services publics pour les gérer.

- Grand plan de réduction des rejets de méthane dans les décharges.

- Limitation du recours à l’incinération, vers son interdiction.

- Interdiction des produits d’entretiens chimiques dans les lycées ; promotion d’une filière « verte » et de nouvelles méthodes de nettoyage respectueuses de l’environnement, des utilisateurs et des usagers.

Pour une autre politique :


- Favoriser l’indépendance des médias régionaux par rapport aux grosses entreprises locales et aux élus (France 3, radios locales...).

- Interdire la diffusion des journaux gratuits qui ne vivent que de la publicité.

- Financer des médias alternatifs sans publicité (journaux, radios, télés...).

- Interdire la publicité dans les espaces publics, remplacer les espaces publicitaires par des espaces de libre expression politique, culturelle, avec emplacements réservés aux enfants.

- Normaliser le salaire des élus et réduire leur train de vie : suppression des chauffeurs, du parc automobile, obligation de refuser toute invitation et tout cadeau.

- Restaurer la confiance dans le politique et favoriser la participation et la connaissance citoyenne par le biais de contrôles financiers des budgets, des appels d’offres...

- Impliquer les associations citoyennes et politiques par la mise en place d’un budget participatif qui serait géré directement par les citoyens.

- Organiser des référendums locaux, développer la démocratie participative.

L’utopie d’aujourd’hui sera la réalité de demain !

Développer les formations et les recherches liées à la Décroissance :



- Créer un laboratoire qui listerait les recherches nécessaires à développer pour impulser la transition.

- Créer un laboratoire des nouveaux métiers et des nouvelles formations nécessaires pour assurer la transition.

- Confier au service public de l’enseignement le développement de ces formations.

Pour une Décroissance conviviale :



- Privilégier les associations, les initiatives citoyennes, la mise en place d’ateliers de rencontres, d’échanges de connaissances et de savoir-faire dans les domaines de l’artisanat, du jardinage, de la culture...

- Favoriser les expérimentations pédagogiques (lycées autogérés).

- Favoriser la découverte des langues régionales (celles de la région et celles des autres) et étrangères.

- Favoriser les lieux alternatifs communs (bibliothèques, lieux Internet, lieux de réunions, lieux de jeu...).

- Favoriser les universités populaires dans chaque région.

- Favoriser la réduction du temps de travail avec la mise en place d’une bourse pour la mutualisation des emplois (emplois partagés à compétences équivalentes pour un même poste).

- Organiser des conférences sur les innovations sociales et écologiques, les expériences alternatives.

Pour une Décroissance soutenable, sereine et conviviale en Île-de-France !


Appel Île-de-France Décroissance : Introduction

Un projet de rupture pour le grand Paris : des villes en transition !
- Projet citoyen et politique pour les élections régionales en Île-de-France



 


27 réactions


  • Terran 4 février 2010 15:15

    La décroissance ça ne peut pas exister sur terre.
    La vie est une dynamique. Elle ne connait pas la décroissance.
    Quand une espèce décroit, c’est qu’elle est malade et non soignée.
    Si elle continues à décroitre, elle meurt.


    • yoananda 5 février 2010 00:21

      L’équilibre, c’est croissance et décroissance dans ton corps.
      Tu décrois quand tu expires !
      Si tu ne décrois pas, tu es un cancer.


    • Terran 5 février 2010 07:12

      Et ta mère c’est pas un cancer ? elle t’a mis au monde...
      Suicides-toi si tu trouves que tu es un « serarien »


    • Francis, agnotologue JL 5 février 2010 07:59

      Sauf erreur, terran est avec léon, le deuxième d’Agoravox a avoir écrit, je cite : « suicide toi ».

      Je pense que l’on devrait exclure sans autre forme de procès ceux qui écrivent cela.


    • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Webster Rorschach 5 février 2010 18:44

      Non, c’est faux, moi aussi j’ai écrit ça, il y a longtemps. Et j’assume.

      Typhon


  • Terran 4 février 2010 15:41

    Après l’escrologie, la dictature verte.

    On va importer les villes lentes...de Suisse ?

     smiley smiley


    • yoananda 5 février 2010 00:23

      Argument spécieux !
      On est en démocratie non ? on impose le choix de la majorité. C’est tout. Et on peut encore proposer il me semble !


    • Terran 5 février 2010 07:10

      Oui, on est en démocratie, et je prendrai jambes à mon coup, direction Chine.

      Surement pas envie de vivre avec des fachos vert. Je veux voir l’homme sur Mars ou ailleurs.
      Et pas dans des tas de fumier...

       smiley smiley


  • sobriquet 4 février 2010 15:42

    Vous ne manquez pas de projets, bravo !

    Je ne suis pas favorable à la présentation de listes décroissantes aux scrutins électoraux, mais malgré ça, souhaitons que vos projets se concrétisent !

    Attention, cependant, j’ai deux réserves dans les idées que vous proposez :

    1) La Décroissance ne devrait pas, ou quasiment pas, connaître les mots « interdiction » et « obligation ». Le côté radical de cette « utopie » rendrait en effet ces contraintes intolérable pour les plus réticents. Surtout dans un cadre électoral.

    2) Utiliser la biomasse pour produire de l’énergie, c’est détruire le sel de la Terre, la fertilité du sol. Les déchets organiques ont pour vocation d’être compostés pour retourner à la terre. Négliger cela, c’est favoriser l’appauvrissement du sol. Altérer le processus de compostage pour produire de l’énergie nuit également à l’équilibre et à la productivité naturelle d’un sol.


  • faxtronic faxtronic 4 février 2010 15:54

    Sieg heil mein grunn fuhrer


    • faxtronic faxtronic 4 février 2010 16:46

      moi, tous ces projets de creation de l homme nouveau pour un monde meilleur a coup de trique et de propagande, que ce soit brun, rouge ou vert, cela me donne pas envie


  • Biaise Biaise 4 février 2010 17:36

    Des idées bonnes et logiques.
    Des idées trop radicales et arbitraires. -> Des partis pris qui desservent la cause défendue.


  • Thierry LEITZ 4 février 2010 18:31

    Nous sommes si éloignés de ce qu’on pourrait nommer « un mode de vie compatible avec la planète » qu’il est difficle d’imaginer comment ce fossé sera comblé.

    De plus, cette volonté existe-t-elle suffisamment pour infléchir les évolutions ?

    A quels avantages sommes-nous prêts à renoncer ?

    Serons-nous capables de revoir nos valeurs et nos priorités ?

    Quels budgets sont induits par ces pistes « uto » et pour les dégager, à quelles dépenses « inutiles » devra-t-on renoncer ? (il y en a, si, si...)

    Ceux qui sont au pouvoir, entourés par des affairistes viellissants et vénaux qui les sponsorisent auront-ils le courage fou de s’affranchir de leur intérêt personnel pour privilégier celui du collectif en s’attaquant aux INEGALITES ?
     
    C’est vers une nuit du 4 août bis qu’il faudrait aller. Quand les privilégiés ont initié l’abandon de LEURS privilèges et que les plus aisés ont célébré l’Egalité dans un élan quasi-mystique. On en est loin. A moins que la pression populaire, argumentée et résolue ne naisse d’une prise de conscience large et profonde.

    Encore de l’utopie...


  • Asp Explorer Asp Explorer 4 février 2010 19:34

    C’est décidé, aux prochaines municipales, je vote à droite.


  • imarek imarek 4 février 2010 20:59

    Le fascisme vert dans toute sa splendeur.


    • yoananda 5 février 2010 00:26

      Le fascisme vert c’est la taxe carbone qui transforme l’air en marchandise et pas des propositions qui visent à inventer un nouveau mode de vie moins capitaliste et moins déshumanisé !


    • Terran 5 février 2010 07:18

      Oui, c’est aussi le fascisme vert qui a fait stopper superphoenix.
      On aurait pu avancer loin dans le nucléaire.
      Ben non...

      Pendant ce temps les tirs laser et la fusion vont bon train, mais...ailleurs !


  • Christian Delarue Christian Delarue 4 février 2010 21:31

    Faire décroitre les très hauts revenus et les hauts revenus.
    Faire monter les bas revenus jusqu’à aisance financière (2500 à 3000 euros par mois)
    Bouclier social et fiscal des moins de 3000 euros par mois

    Ensuite promotion d’un grand service public national de l’énergie propre (et sale car le pétrole ne va pas disparaitre des autos du jour au lendemain !)

    Décroissance de l’économie marchande
    Croissance de l’économie non marchande : plus de services publics orientés vers la satisfaction des besoins sociaux


    • Terran 5 février 2010 07:16

      Et sinon, l’incinération ce sera autorisé ?

       smiley


    • Terran 5 février 2010 09:34

      "Me font marrer les gens qui comparent ça a du fascisme, il vivent dans un monde fascisant et ultraviolent depuis tellement longtemps qu’ils le considèrent comme normal."

      Me font marrer les gens qui pensent que le monde est violent. Ils pensent que la vie c’est le pays des bisounours. Les bobos à l’abri du besoin réclament le rationnement, quand d’autres n’ont de cesse de lutter pour survivre et bouffer.

      La cervelle retournée.


  • yoananda 5 février 2010 09:37

    Y a des réactions tellement navrantes sur ce thread ...
    Une belle paire d’abrutis qui sont à la limite du trolling !
    Tellement hypnotisés par les bienfaits de la croissances qu’ils en sont resté au « TINA » (there is no alternative) au point qu’être décroissant est quasiment assimilable a un génocide.
    Essayer de repartir sur des bases plus saines pour éviter le syndrome de la grenouille et du boeuf n’a pas de sens pour eux.
    Ben qu’ils ailles aux zétat-zunis, ils pourront croitre jusqu’a l’obésité, comme dans Wall-E !

    S’il est très difficile, voire impossible de définir ce qu’est l’intelligence, on peut peut-être plus facile dire ce qu’elle n’est pas ! Ces posts en sont dépourvu !
    Même pas un début d’once d’esprit critique, juste une réaction épidermique.
    Pour en plus nous rameuter ce facho de Larouche !

    Alors que pourtant la décroissance n’est en rien compatible avec le progrès (technologique et scientifique). Ca ne nous empêchera pas d’avoir des CERN et des Z-Machine. Mais au moins, elles ne seront pas utilisées pour gonfler artificiellement la taille des tomates pour grapiller quelques centimes sur la concurrence ou autre délire capitalistique du genre !!!

    On va dans le mur, mais eux veulent accélérer. Vers l’homme cybernétique qui sera le seul a être adapté a ce futur environnement ultra pollué qu’ils nous promettent. Après tout les cynao bactéries ont bien terra formé la terre pour nous a leur propre détriment ! Laissons place a la nouvelle race des machines ...

    Tu m’étonnes que l’un d’eux parle de suicide. La tentation morbide est bien inscrite profondément dans cette engeance !


    • Τυφῶν בעל Perkele Hermann Webster Rorschach 5 février 2010 18:47

      « 

      S’il est très difficile, voire impossible de définir ce qu’est l’intelligence, on peut peut-être plus facile dire ce qu’elle n’est pas ! »

      Raisonnement absurde basé sur une ignorance totale du sujet et des supputations non moins absurdes.

      Si on ne peut pas définir l’intelligence, on ne peut pas définir ce qu’elle n’est pas, et prétendre l’inverse, c’est montrer qu’on n’a pas la plus petite idée de ce dont on parle.

      L’intelligence, c’est la capacité à comprendre, à assimiler, à reformuler et à produire des raisonnements.

      Typhon


  • joelim joelim 5 février 2010 11:04

    Des bonnes idées, des idées infaisables, et des mauvaises, disons que çà manque de pragmatisme et le résultat serait bien pire que maintenant. Par ex, il y aurait bien plus de circulation (à 30 à l’heure !). Et puis, les zélites municipales, leurs familles, leurs amis, les amis de leurs amis, utiliseront les points de suspension de votre liste d’exception à la conduite dans Paris. Une nouvelle féodalité quoi...

    Et on voit bien que vous n’habitez pas en banlieue, vous n’évoquez même pas le transport public (hors vélo et fluvial) ! Tant que les gens auront à se déplacer et que leur voiture mettra moins de temps que le train.......

    Mais la base de discussion n’est pas pire qu’une autre... Il faudrait aussi une politique de taxation des entreprises qui satisfont à des critères objectifs d’environnement et de santé et surtout qui défavorise les autres.

  • Thierry LEITZ 5 février 2010 11:15

    @ agora-intox

    Vous vous voyez dans quelle catégorie ? Les 10% qui méritent de vivre ?
    Comment comptez vous vous débarrasser la terre des 90% d’indésirables qui en infestent la surface ?

    Après il faudra stériliser les 700 millions de « riches » pour éviter que çà recommence et ainsi ils pourront devenir vieux en restant riches jusqu’à la mort, tout en polluant assez mais pas trop. Il faudra vivre ici et polluer là où il n’y a personne. Cool, rien à changer dans les habitudes, no souci.
    Staline disait (à propos de ses opposants) « pas d’homme, pas de problèmes ». Vous en faites une application étendue, une panacée. Bravo !
     
    Super.


  • clostra 5 février 2010 12:21

    Un inventaire plein d’idées où piocher, expérimenter pour la seule croissance qui serve l’homme : celle de son ingéniosité, de son amour de la nature et des autres.
    Vive la croissance humaine !


  • dapeacemaker911 5 février 2010 12:46

    j aime bien voir tous ces gens qui regorgent de haine (souvent envers eux meme) qui invite leurs contradicteurs au suicide.

    Surement des tendances personnelles.

    Ce sont d ailleurs ces memes lumieres qui hurlent au « fascisme vert » et qui soutiennent que la, aujourdhui, tout de suite.... on est en Democratie.... LOUL.

    >Un conseil a ces gens pour qui j eprouve bcp de compassion :

    appliquez a vous meme les regles et conseils que vous prodiguez aux autres, vous en sortirez grandits... l Humanité aussi.

    Dam


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