vendredi 7 décembre 2007 - par N.E. Tatem

Quand la diversité est gagnée, les discriminations dans le boulot restent à élucider

Avant de soulever les discriminations qui se maintiennent dans les contenus des médias, d’après le rapport/bilan 2007 du Club Averroès diffusé en ce début de décembre, parlons de ce qui se passe dans le boulot... Que de ségrégations subies dans le silence entier.

Mis au devant, les deux difficultés d’accès au travail et au logement qui frappent de plein fouet les citoyens hexagonaux d’origine non française d’abord, les émigrants ensuite, sont presque une secondaire banalité dans le contexte où 30 % des Français se déclarent ouvertement racistes. Les disparités entre personnes sur les lieux de travail ne sont pas tellement rendues publiques. Ces illégales et fréquentes malversations à l’encontre d’autres individus ont pour but l’exploitation d’aptitudes sans rétributions équitables. Ce qui rapporte illégitimement aux employeurs une rentabilité juridiquement bannie. Les critères discriminants ne changent pas en amont et en aval de l’ultime moment d’un recrutement : homosexualité, âge avancé, handicap, couleur de la peau, origine ethnique, patronyme, domiciliation...

A la fermeture du site Renault Boulogne-Billancourt pendant les années 80, il a été révélé que les travailleurs maghrébins, bien plus nombreux que d’autres employés étrangers alors que les Africains étaient encore rares, vivent leurs carrières aux mêmes grades hiérarchiques et aux mêmes postes de travail. C’était la révélation, faite tel le pschitt ou bien l’aile du papillon soufflant la tempête. Dans la même entreprise, les autres salariés de nationalités différentes, Portugais et Italiens parmi les Européens, qui les côtoient dans les ateliers terminaient leurs vies professionnelles, avec quelques promotions et avancements dans leurs parcours. Mais la priorité est accordée aux autochtones. La dernière en date de ces malversations va à l’usine Bosch de Vénissieux, le label des outillages, dont le procès de 25 salariés aux Prud’hommes s’est tenu le 4 décembre 2007. Lors de l’audience, il est démontré que des évolutions des carrières sont constatées depuis 2002, soit depuis que la requête a été faite par la section CGT.

La façon dont s’effectue la prise de fonction d’un recruté balise le contexte où s’exercera le travail contracté. Une fois le stade de l’embauche dépassé, des disparités multiformes sont suivies par les ressources humaines des entreprises dans une impénétrable opacité. La plus connue, et qui n’a pas trait à l’origine des employés, consiste à favoriser le mouchard parmi l’équipe. Le salarié qui entre en connivence avec la direction pour espionner ses collègues obtient des privilèges de paie ou des avantages en jours de repos, primes et autres gratifications. Il est plus considéré que ses collègues quelle que soit sa compétence. Il faut reconnaître que ce profil de protégé voit souvent sa promotion bloquée. Hélas ! Son utilité de servilité envers les supérieurs, le rend sollicité donc il est maintenu éternellement à sa fonction.

Les victimes de la discrimination dans le travail sont très vulnérables, l’épée de Damoclès les guette pour couper leur lien avec le travail. Les fautes professionnelles sont créées de toutes pièces pour les évincer. Le harcèlement dans le travail existe justement pour mettre sur la défensive ces proies. Pour qu’il ne porte pas sur la place publique son cas, l’employé visé évite de s’exposer à un éventuel déchaînement ou multiplication de ce qu’il subit. C’est surtout une fois un licenciement consommé qu’il tente de ramasser ses preuves pour intenter une action devant les tribunaux.

La banale différence, entre agents d’une même boîte, est la promotion qui induit sine qua non une augmentation du salaire au bénéficie d’une catégorie du personnel, subjectivement d’abord définie par le bon teint ou la consonance du patronyme et ensuite entrent d’autres considérations. Elle se manifeste par l’augmentation des uns sans les autres d’une manière discrétionnaire et arbitraire alors qu’ils effectuent les mêmes tâches et occupent les mêmes postes. Endosser plus de besognes aux lésés sont des cas communs.

La dissemblance du traitement des éléments humains, dans une même boîte, est vécue par la pression continuellement mise à l’encontre de l’exploité pour taire son souffre-douleur. Priver injustement un subordonné de ses primes parce qu’elles relèvent de l’appréciation de l’employeur ou du supérieur touche toujours les mêmes, qui dès leur recrutement sont déclassés puisqu’ils décrochent les emplois qu’après des acrobaties.

Dans beaucoup de cas, il n’est pas admis que l’arrivant sur le lieu de travail avec une posture particularisée mette au devant ses diplômes, son savoir-faire et son génie. Il serait de suite soupçonné d’ambitieux, débarqué pour piquer une place qu’il mérite, mais ne lui revient pas. Mesurons dans telles situations la perte de rentabilité des entreprises négligeant les compétences.

Dans son rapport publié en mars 2007, mois où le législateur français a entériné la validité du testing pour les postulants à l’emploi dont le BIT (Bureau internationale du travail) a pu faire usage dans son enquête. Cette institution séculaire spécialisée dans le suivi dans le travail a dressé un bilan accablant de la fameuse discrimination à l’embauche en France. A l’issue de la vaste opération qui a duré plusieurs mois de l’année 2006, mobilisant une centaine d’enquêteurs, de comédiens, de statisticiens et de superviseurs, bien plus de 80 % des candidatures susceptibles ou exposées à la discrimination sont rejetées. Il souligne en particulier que "près des neuf dixièmes de la discrimination est enregistrée avant même que les employeurs ne se soient donné la peine de recevoir les deux testeurs en entrevue". L’indication suivante « *Pour de nombreuses raisons, ce serait une erreur de regarder le nombre de plaintes, et a fortiori de condamnations en justice, comme une évaluation satisfaisante des discriminations » montre les précautions pour une appréhension profonde de la problématique de ce type de discriminations en France.

* La suite de ce sujet concerne le rapport du club Averroès de novembre 2007 qui traite de la représentation des minorités visibles dans les médias.
* http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/054000466/0000.pdf

· Rapport-BIT-discriminations-France.pdf - Le rapport du BIT sur les discriminations à raison de « l’origine » dans les embauches en France a été élaboré en étroite collaboration avec la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES) et du ministère français de l’Emploi et de la Cohésion sociale.
· P.S. (Point Spécial) et IMPORTANT : le seul forum forum de discussions que nous avons déniché, consacré aux discriminations sur les lieux de travail.

* *Page 8 du rapport du BIT.

Pour écrire et publier un article de cyberpresse avec POPULISCOOP - scoop populaire.



15 réactions


  • tvargentine.com lerma 7 décembre 2007 11:29

    Votre article n’est qu’un tissu de revisionnisme à la sauve de la répendance que vous voulez exiger de la France

    vous dites "Mis au devant, les deux difficultés d’accès au travail et au logement qui frappent de plein fouet les citoyens hexagonaux d’origine non française d’abord, les émigrants ensuite, sont presque une secondaire banalité dans le contexte où 30% des français se déclarent ouvertement racistes’

    Si la France est aussi raciste pourquoi avons nous autant d’immigrés en France,dans les universités,dans mes entreprises

    Votre article donne a vomir par tant de haine de la france


    • Zenobia Zenobia 7 décembre 2007 12:08

      Vous êtes payé au mot pro sakrosy ou quoi ????


    • N.E. Tatem N.E. Tatem 7 décembre 2007 14:22

      Bonjour. smiley

      Le résultat, quasi connu, du sondage qui porte les 30% de français se déclarant ouvertement racistes n’est plus un mystère. Il est à multiplier par 3 (même de par 3,5 à 4) selon les experts. C’est une réalité vraiment honteuse. Mais ce n’est pas le seul cas de la population française, d’autres peuples ont des souffrances de cette espèce. Les autorités françaises ont cru apporter, sous le dernier règne de Chirac, quelques remèdes en créant d’un seul coup la HALD (Haute Autorité de Lutte contre les discriminations) et le secrétariat d’Etat pour l’égalité des chances. Alors, c’est tellement frappant, il ne faut se cacher la face. L’audace de l’ex. président a été jusqu’à interpeler les médias au sujet de la représentation des exclus.

      Mon prochain article concerne le rapport du « Club Averroès ». Il a trait à la présence des minorités dans les médias. C’est une sorte d’apartheid.

      L’ouverture de piste, comme mon modeste article, est bien en place. Depuis hier, 6 décembre 2007, dans le métro parisien -Belle coïncidence avec ce sujet- un affichage de l’OIT (Organisation Internationale du Travail) UN AFFICHAGE TRES LARGE - dans beaucoup de stations- soulève au grand public, la ségrégation dans les lieux de travail. Et dont sont victimes quelques catégories, toutes désignées, de français : habitants les banlieues, au patronyme à consonance extra-hexagonale, les séniors, les handicapés... etc. Il n’y a que ceux qui ne veulent pas voir...

      Je suis désolé, je n’ai aucune haine de la France. J’aime une France juste, équitable... Et qui met bien en application son slogan républicain : Liberté - Egalité - Fraternité.

      La vérité est une pilule qui n’est pas dragéifiée de chocolat ou de sucre. On l’avale d’un trait quand on a entièrement confiance. On la suce aussi pour mieux la déguster, et dans ce cas elle lâche son goût... Amère pour ceux habitués au mensonge et à la cachoterie.

      La société de demain se fera sans quelques uns. Qui ont encore, dans leur travail AU SENS DE GAGNE-PAIN, la mission abjecte de discriminer autrui pour des raisons subjectives.

      Si vous voulez discuter des discriminations sur les lieux de boulot, depuis le mouchard parmi le personnel jusqu’au raciste banal suivez le lien ci-dessus.

      http://discrim-stres-harcel.forumsjobs.com/

      Cordialement.


    • N.E. Tatem N.E. Tatem 7 décembre 2007 14:26

      Salut.- :/

      J’aimerai bien savoir, découvrir, selon votre interprétation : à quel passage de ce modeste sujet, le pro-Sarko est apprent.

      Je vous remercie de m’aider.

      Cordialement.


    • fouadraiden fouadraiden 7 décembre 2007 17:40

      pas grave.bien des pays en ce bas monde se prétendent ceci ou cela avec le résultat xénophobe qu’on connait.

      et puis quelles raisons valables auraient la société français à insérer des gens par ailleurs qu’elle estiment etre une menace contre son identité ? on partage pas son diner avec n’importe qui qd meme,si ?

      mais si vs hésitez encore ds votre pensée et afin de ne plus vs torturer l’esprit avec des slogans 3 fois cons (liberté et blabla) le sort des noirs américians devrait devrait couper court à ces inutiles arguties

      les Hommes sont de mauvaise foi et la France n’est pas là pour émanciper les autres et encore moins pour donner une identité à ts ceux qui les exilés de la terre.

      pourtant le colonialisme français et son échec aurait du vs l’enseigner ça ,non ?

      les émeutes des banlieues démontrent quoi d’autres sinon.....


  • shampoo 7 décembre 2007 13:59

    En langage orwellien : diversité = uniformité.

    La VRAIE diversité = chacun chez soi !


    • N.E. Tatem N.E. Tatem 7 décembre 2007 14:28

       smileyOK ! Et d’Accord... selon Orwell.


    • Zalka Zalka 7 décembre 2007 16:22

      Peut être tout simplement parce que c’est un pays où il y a des racistes et non un pays raciste. Hors je ne connais aucun pays qui n’héberge pas des personnes comme vous ou wilkinson.

      Bref, s’il y a des racistes partout, la volonté d’aller dans tel ou tel pays ne tient pas au racisme.


  • Cris Wilkinson Cris Wilkinson 7 décembre 2007 14:33

    « sont presque une secondaire banalité dans le contexte où 30 % des Français se déclarent ouvertement racistes »

    30% c’est le PS + le PC + extrème-gauche (au présidentiel).

    Je savais bien qu’à gauche, c’était tous des salauds.


  • ouvaton 7 décembre 2007 16:54

    Il ne faut pas se acher derrière le petit doigt, les discriminations existent... directes et indirectes

    Supposons que seuls 30 % à 50 % des décideurs (ceux qui vont décider d’une ambauche ou d’une promotion ) discriminent une catégorie quelconque de personnes.

    Si la décision se fait de manière collégiale, cela suppose que quasi la majorité des « décideurs » soient d’accord. Or parmi les décideurs qui ne discriminent pas, tous n’auront pas dorcément un bon avis sur le candidat. D’autre part il y a forcément des luttes de pouvoir au seins des décideurs, et donc même ceux qui a priori ne discimineraient pas préfèrent soutenir un candidat qui a plus de chance de passer et de plaire à tout le monde. Au final, le candidat issu de la minorité disciminée n’a que très peu de chances d’être choisi...

    La collégialité est quasi intrinsèquement un « amplificateur de discriminations »... car individuellement être choisi seraient réduites par 2 pour une décision individuelle, mais en pratique, les choses sont en général bien pires pour une décision collégiale. De manière schématique, le candidat retenu est vouent celui qui « déplait » le moins et pas celui qui « plait » le plus...

    Les français ne sont pas plus racistes que les autre, mais la structure de la prise de décision est susceptible d’amplifier beaucoup le phénomène... surtout quand le ration postes/candidats est faible.

    Donc les « discriminés » trouveront beaucoup plus facilement un CDD qu’un CDI, et bien entendu seront souvent lésés au niveau de l’avancement et des promotions.

    Remarque aussi en ce qui concerne la discrimination raciale, il est notoire que les hommes en sont plus victimes que les femmes...

    bienvenus dans le monde réel...


  • Marcusgarvey 7 décembre 2007 23:41

    POUR LES 9 MILLIONS DE FRANCAIS ISSUS DE LA DIVERSITE QUI SOUFFRENT IL N Y AURA PAS D EXISTENCE SOCIALE TANT QU’il n’auront pas UNE EXISTENCE POLITIQUE soyez en sur !

    UN MILITANT DU PARTI MULTICULTUREL FRANCAIS

    http://www.parti-multiculturel-francais.fr


  • vieuxcon vieuxcon 8 décembre 2007 03:22

    Lerma, si je vous suis bien, vous avez travaillé, en vsd, en deuxième emploi, (l’autre au noir sans doute) et avec le magot amassé, sans payé ni charges, ni impôts je présume, vous vous êtes payés plusieurs entreprises, où vous employez des émigrés. J’espère au moins que ce ne sont pas des Sénégalais illégaux réduit à l’esclavage comme dans telle entreprise du fief de Fillon.

    Je crois surtout que votre pseudo est utilisé par le bureau de propagande de l’ump. Vous êtes sans doute un de ces fils d’immigrés (mais de ceux qui ont fuit après guerre pour ne pas être jugé pour crime contre l’humanité)qui essayent de piller la France au nom de la revanche à prendre contre les résistants. Amusez-vous bien derrière vos écrans, d’autre travaille à essayer de sauver la France du pillage.


  • Merlin 8 décembre 2007 08:22

    La « diversité » nous a été imposée par une élite politique, médiatique et économique dont les enfants ne subiront jamais les conséquences de ce singulier concept.

    C’est encore, et comme d’habitude, le peuple français qui sera la victime de cette notion fumeuse.

    On parle de « diversité » parce que nos dirigeants ont renoncé à assimiler ceux qui venaient s’y installer. Ils y ont renoncé par idéologie pseudo-humanisme et par la volonté de détruire l’identité de la France, mais aussi parce que cette assimilation n’est plus possible, les flux d’immigration étant démesurés et les différences culturelles et religieuses trop importantes.

    Au lieu de réformer le code de la nationalité sur des bases rationnelles (suppression du droit du sol et de la double nationalité) pour l’adapter à notre époque, tout est fait pour que la notion de peuple français soit vidée de son sens. De moins en moins de points communs culturels ou religieux entre Français réels et supposés, de plus en plus de demandes communautaristes de la part de groupes qui n’ont aucunement l’intention de se fondre dans le creuset français, des demandes délirantes de repentance émanant de lobbies de plus en plus écoutés par des élus dont leur seul horizon est la prochaine élection... L’accélération de la déliquescence de notre société est effrayante.

    Et pour clore ce triste constat, se met en place la discrimination positive, véritable machine de guerre qui aboutira à la marginalisation des autochtones coupables de s’appeler Dupont ou Martin !

    Il faut donc se poser la question : à qui profite le crime ?


  • vieuxcon vieuxcon 8 décembre 2007 12:21

    N.E Tatem Pardonnez moi. Je pense que Zenobia réagissait comme moi aux propos de Lerma. Lerma qui est si présent, et qui affirme tant de chose différentes au fil de ses posts, qu’il est impossible, qu’il soit une seule et même personne. Je pense plutôt que ce Lerma est une machine de guerre de L’ump, mais si peu discrète qu’elle ne devient risible.

    N.E Tatem pour en revenir au fond votre article, bien sur que vous avez raison. Mais comment en serait-il autrement ?

    Le marché est censé tout réguler, les prix, la concurrence... etc. Mais on a fait de l’homme une marchandise. Une ressource humaine. Quand dans une entreprise plus personne n’accepte un travail au niveau de salaire où il est, le marché voudrait que le salaire soit rendu attractif, jusqu’à ce que, loi du marché oblige, il trouve preneur. Or là aussi on à mondialisé le marché. Quand dans un abattoir du Fief de Monsieur Fillon ; on ne trouve plus d’ouvrier, on fait appel à des Sénégalais. Et si l’inspection du travail s’en mêle on fait appel au président pour régulariser en nombre. Voilà ce que signifie immigration choisi.

    Il y a peu encore on appelait cela du commerce triangulaire. On emmenait des marchandises, puis pour aller chercher des matières premières on trimballait des esclaves entre l’Afrique et L’Amérique. Aujourd’hui on a rentabilisé le process. Plus besoin de triangle. L’homme étant devenu une matière première, il suffit de ramener en retour des esclaves.

    On y trouve un double intéret. plus besoin de parcours complexes, mais surtout, salaires maintenus artificiellement bas, par une main d’œuvre bon marché et corvéable.

    Diversité disiez-vous ? Les amateurs de Beneton vous ont répondus. La multitude de couleur ils la portent sur leur dos. Pour le reste, rien de changer, là ou vous voyez des esclavagistes ils ne voient que de grands capitaines de navire.


  • Kingli Kingli 13 décembre 2007 13:52

    Il y a autant d’immigrés en France parce qu’en plus d’être racistes, les français racistes sont hypocrites. Ils se retrouvent donc devant un dilemne : Appliquer ou non les droits de l’homme qu’ils prônent tant. Les immigrés profitent de leur long moment d’hésitation pour ... immigrer ! Tant qu’ils continueront à hésiter, les immigrés ne se gêneront pas, bien au contraire. Voilà pourquoi LePen avait tant séduit ces français racistes. Et Sarko l’a bien compris... Voyez le résultat !

    Heureusement qu’il y a les autres 70% qui j’espère ne sont pas racistes... smiley


Réagir