mercredi 14 juillet 2010 - par Croa

Un petit président petit

Le 12 juillet 2010 les « Guignols » étaient déjà en vacances ! Par chance ce soir là nous avions mieux au programme, au moins en théorie, puisque le vrai Président de la République en personne recevait David Pujadas à l’élysée et tous les français qui le voudraient bien grâce à France 2 télévision. En plus, ce rendez-vous étant supposé important, autant ne pas rater ça ! Ce fut facile finalement puisque l’émission commença à 20h15, ce qui avait laissé une bonne marge aux habitués des guignols.

La discussion n’a malheureusement pas été marante. Nous n’avons jamais ri, ni au premier, ni au second degré. Nous n’avons même pas ri jaune ; Nous avons juste été consternés.

Nous avons entendu un Président plus petit que jamais, mesquin, menteur, méchant et frivole face à un Pujadas surprenant qui osait risquer quelques petites impertinences.

La discussion commençait fort mal sur les scandales politiques du moment, des trucs récurrents sans grand intérêt vu la faible intégrité notoire des gouvernants actuels sur lesquels plus rien ne reste à prouver… Un bon quart d’heure fut ainsi perdu de même que, je suppose, quelques téléspectateurs.

Comme tout vient à point à qui sait attendre, il fut enfin question de nos pensions de retraite et de « la réforme ». Cela valait la peine car les masques tombaient aussitôt ! Monsieur Sarkozi présentant l’avènement antérieur d’une retraite à soixante ans comme « une erreur historique », enchaîna aussitôt avec une de ses locutions favorites disant que « nous n’avons pas les moyens de faire cela », des paroles que nous réentendrons plusieurs fois ! Dans le même élan, c’est aussi un gros menteur qui se révèle à nous puisqu’à l’évocation d’une hypothétique diminution des pensions de retraite il affirmait sans pudeur aucune : « Je m’y refuse ! »
Et à propos « d’erreur historique », un même habillement sera taillé sur les 35 heures. Contre celles-ci, il présenta justement les affranchissements concédés aux heures supplémentaires comme un moyen de neutraliser la réduction du temps de travail, ce qu’on savait déjà. C’est toutefois bien qu’il l’ait dit, révélant ainsi un mesquin travail de sape et en passant ses actes de classe… Nous n’en attendions pas moins d’un avocat d’affaire, l’étonnant étant jusqu’à présent la complicité mutique des médias. Ce n’est pas tout et notre Président avait encore des trucs à dévoiler ! De plus en plus petit à mesure qu’il parlait, il y mit des formes et une certaine douceur mais osa aller au fond de son cœur et nous avouer quelques perversions vénales qu’il savait peut-être déjà connues de tous... Il nous dit que, certes, on ne saurait adorer l’argent mais qu’il est tout à fait bienséant de s’en accommoder ! (En fait je ne me rappelle plus des mots exacts mais que ces choses étaient bien dites !)

Avec des mots de haine le sommet fut atteint. Oui, il y a des gens qui ont des problèmes avec leurs enfants… Mais pourquoi faudrait-il, en plus, les punir de ça ? Pour ajouter du malheur au malheur ? Monsieur Le Président, ça ne vous viendrait pas à l’idée que ces gens auraient plutôt besoin d’aide ? Ou au moins besoin d’espérer ? Par un bilan objectif de la situation sociale actuelle créatrice d’exclusions ce serait possible… Mais non, pour vous il faudra toujours rajouter de l’exclusion à l’exclusion et de la haine au désespoir ! Le pire étant que là, vous ne nous décevez même pas car il y a longtemps que nous vous connaissons !

Au bout d’une heure environ, enfin un peu de détente puisqu’il fut question de foot. Non pas que ce soit réjouissant mais à coté de ce que nous venions d’entendre, ce sujet banal et anodin fut comme une bouffée d’air frais. Nicolas nous aurait parlé de la bonne manière de peigner une girafe, ça aurait été bien aussi… Quoiqu’il prenait ça au sérieux, le bougre ! Bon, l’équipe française a perdu… La belle affaire ! L’affaire de onze types d’ailleurs, ce qui même pour eux n’est pas grave car il faut bien des perdants dans un jeu, non ? Ce n’est pas l’affaire des français sauf pour les passionnés, lesquels sont sûrement conscient du domaine à y réserver. C’est encore moins, il me semble, celle d’un président, sauf à titre privé peut-être. Ceci dit, en faire une affaire d’état n’est pas grave, c’est juste futile, une bonne fin en somme pour un entretien globalement navrant.


25 réactions


  • furio furio 14 juillet 2010 08:33

    Navrant oui ! comme le petit personnage de talonetto1er, qui déshonore chaque jour un peu plus la fonction de Président de la République !


  • Alpo47 Alpo47 14 juillet 2010 09:03

    Sarkozy ... on a déjà tout dit sur lui ... on sait ...
    A mon sens, l’erreur est tout de même de s’acharner sur lui, notamment en faisant constamment allusion à sa petite taille, au lieu de se tourner vers le « système » qui l’a amené au pouvoir.
    Sarkozy est remplaçable, d’ailleurs les volontaires ne manquent pas, mais si le changement est uniquement de personne, rien ne changera et le « système » prédateur qui conforte les quelques centaines de familles au pouvoir, continuera, comme si de rien n’était .


    • Croa Croa 14 juillet 2010 11:20

      J’ai été effectivement au plus facile ! smiley

      Monsieur Sarkozi est toutefois plus qu’un simple fantoche, un composant même du système ! Il est effectivement remplaçable mais la position de l’oligarchie commence à s’affaiblir. Il suffit de voir outre-atlantique l’évolution Buch-Obama...


    • liberta 14 juillet 2010 13:17

      en effet, vous avez raison, disserter sur le physique de Sarkozy amoindri l’impact néfaste et

      calamiteux de son quinquénat

      Mais son attitude guignolesque attire évidemment ce genre de quolibets

      Nous ne sommes pas très loin des pamplets qui circulaient dans le Paris des années

      précédent 1789


    • non666 non666 14 juillet 2010 16:22

      Non seulement il est remplaçable alpo, mais il est desormais evident qu’entre les forces du nouvel ordre mondial qui nous ont imposé Sarkozy et toute sa clique, il y a desormais deux camps :

      1) Ceux qui veulent poursuivre l’experience coute que coute , quitte a epuiser Sarkozy jusqu’a la corde (amais en lui faisant enterriner des reformes sans retour arriere possible)

      2) Ceux qui veulent nous presenter d’or et deja son successeur (au hasard DSK) comme un sauveur, en chargeant des a present sarkozy pour mieux nous vendre l’offre du camps « d’en face » : le clone peint en rose.

      En vérité , si il y a divergence sur le candidat qu’ils vont essayer de nous imposer, ils sont bien d’accord sur le fait qu’aucun autre candidat n’est acceptable que les leurs.
      Entre ceux qui sont axé sur leurs simples interets economiques (Bouyghes, Lagardere, Bettencourt ; Bolloré , Arnault ) et ceux qui veulent en plus defendre israel (Dassault, Rottschild, Weil, Betterlsmann...) il y a quelques divergence de casting.

      Mais ce qui est clair, c’est qu’ils ne defendent surement pas nos interets


  • ravachol 14 juillet 2010 11:39

    Il va bien un jour falloir appeller un chat un chat,tout le systeme marche sur la tete.
    Quand un appareil ne fonctionne plus moi ca m’enerve,j’ai envie de le dynamiter, le
    ventiler,de l’eparpiller facon puzzle aux 4 coins de Paris


    • Croa Croa 14 juillet 2010 11:57

      Le « système » fonctionne pourtant !

      Ce qui nous trompe vient de ce qu’il n’est pas au service de l’intérêt public, contrairement à ce que l’on pourrait espérer.

      Attention, essayer de le casser pourrait même être dangereux ! (Mais moins certainement que d’attendre et de le laisser faire ses destructions tranquilles.)


    • furio furio 14 juillet 2010 13:45

      Appeler un chat..un chat ou .....un calmos.....lui le neu neu il a encore rien compris. militant de l’ump il est né, militant il restera quelque soit la vase, la fange dans laquelle s’ébroue cette faction politique de pieds nickelés !


    • TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE TOUSENSEMBLE 17 juillet 2010 10:06

      PETIT PAYS QUI JOUE AU GRAND..

      PETIT PRESIDENT BEAUCOUP TROP PETIT POUR METTRE LE COSTULE DE PRESIDENT...


      GROSSES AFFAIRES..

      PAUVRE PETITE FRANCE...ET GROSSE TRESORERIE..

      TOUSENSEMBLE LES...PETITS FRANCAIS


  • Pyrathome pyralene 14 juillet 2010 12:08

    Excellent billet !
    Les guignols de l’info , c’était sur la 2 lundi soir avec Pujadas et Sarkoland.....
    Franche partie de rigolade, Charlot et son lèche boule préféré de service....


    • Pyrathome pyralene 14 juillet 2010 14:12

      Merci pour ce prout constructif , monsieur cocu....


    • Croa Croa 14 juillet 2010 16:01

      Calmos mon minou ! smiley

      Tu rampe, moi je vole et vu d’en haut tu es petit, petit, petit...


    • non666 non666 14 juillet 2010 18:38

      Je n’ai jamais lu le moindre argument dans les posts du minet.

      C’est un simple lobbyiste pro-sarko, pro-israel, pro-usa.
      Mais bon, on n’en manque pas sur avox.
      Il suffit de les montrer du doigt pour ce qu’ils sont, regulièrement, et cela suffit a retirer leur pouvoir de nuisance.
      Ils peuvent changer de pseudos et de posture, j’ai l’odorat delicat et une grande capacité a reperer mes cibles dans le marigot.

      Shalom, machin truc.


  • sisyphe sisyphe 14 juillet 2010 13:53

    Affaire Bettencourt/Woerth : Sarkozy parle, les soupçons restent

    Contrairement à ce que Nicolas Sarkozy a bien voulu dire, lundi soir sur France 2, ni lui ni Eric Woerth ne sont lavés de tout soupçon. Tour d’horizon des questions qui se posent toujours.


    Pour Nicolas Sarkozy, le sujet est clos. Il l’a fait savoir, lundi 12 juillet, lors de son intervention sur France 2, à force d’indignation contre cette affaire Woerth/Bettencourt faite, a-t-il fulminé, de « mensonges », de « calomnie ».
    A ses yeux, le rapport de l’Inspection générale des finances (IGF), rendu public dimanche soir, a suffi à « lever tous les soupçons » qui pesaient sur Eric Woerth, en concluant que son ministre du Travail n’était pas intervenu, lorsqu’il était au Budget (2007- mars 2010) dans la gestion du dossier fiscal de Liliane Bettencourt.
    Sauf que, d’une part, ce rapport a été effectué par une instance qui est tout sauf indépendante, puisqu’elle est sous la tutelle du ministère de l’Economie. D’autre part, quand bien même on ajouterait foi à ses conclusions, elles ne répondent qu’à une seule question sur une liste qui n’a cessé de s’allonger depuis trois semaines.
    Quant aux suspicions qui portent sur l’éventuel rôle de Nicolas Sarkozy dans cette affaire, se borner à crier à la « honte », comme s’il s’agissait d’un crime de lèse-majesté, c’est un peu léger comme défense.

    Non, ne lui en déplaise, l’affaire n’est pas encore morte, et encore moins enterrée. L’opération déminage de lundi est un raté. Il y a trop de questions qui attendent encore une réponse.

    Florence Woerth était-elle au courant de la fraude fiscale de Liliane Bettencourt ?

    L’IGF affirme donc qu’Eric Woerth n’est pas intervenu dans le dossier fiscal de la milliardaire. Et ce, même si le procureur de la République de Nanterre, Philippe Courroye, a fait savoir que « l’administration fiscale avait été prévenue le 9 janvier 2009 du fait que le dossier fiscal de Liliane Bettencourt était susceptible de mettre en évidence des éléments de fraude fiscale ».
    Reste que la Tribune de Genève et Libération ont relayé des propos prêtés à un banquier anonyme selon lequel Eric Woerth « ne pouvait pas ignorer que sa femme venait très régulièrement à Genève » ces deux dernières années. Et si Florence Woerth, qui a travaillé de fin 2007 à fin 2010 dans la société Clymène, qui gère les actifs de l’héritière de L’Oréal, s’est rendue à Genève, « ce n’était certainement pas pour voir son jet d’eau », selon ce banquier. Florence Woerth, elle, assure qu’elle ne savait pas que Liliane Bettencourt avait des comptes en Suisse.
    Alors, savait ? savait pas ? Jusqu’à présent, ce n’est que parole contre parole.



    Le couple Bettencourt a-t-il financé illégalement l’UMP ?

    L’ex-comptable de Liliane Bettencourt, Claire Thibout, a déclaré aux policiers que le gestionnaire de la fortune de l’héritière de L’Oréal, Patrice de Maistre, lui avait réclamé 150.000 euros en liquide pour les remettre à Eric Woerth, en tant que trésorier de l’UMP, afin de financer la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007. Elle en aurait retiré 50.000 à la banque, somme maximale qu’elle pouvait se procurer par ce biais, et assure que Patrice de Maistre lui aurait dit qu’il allait « se débrouiller pour le reste ».
    Ces allégations sont contestées par Eric Woerth et Patrice de Maistre. Ce dernier a même assuré aux policiers qu’il ne s’était « jamais occupé d’hommes politiques » et de financement de parti avant les régionales de 2010. Pourtant, le Nouvel Observateur a révélé, mardi 13 juillet, qu’il avait été contact dès septembre 2006 avec Eric Woerth dans le cadre du financement, par le couple Bettencourt, de la campagne de Nicolas Sarkozy. Pourquoi avoir menti ? Qu’est-ce que cela cache ? L’une des enquêtes conduites par le parquet de Nanterre est censée faire la lumière sur cet aspect de l’affaire Bettencourt/Woerth.



    Eric Woerth a-t-il demandé à Patrice de Maistre d’embaucher son épouse ?

    Dans les enregistrements réalisés clandestinement par le maître d’hôtel de Liliane Bettencourt, on entend Patrice de Maistre assurer à Liliane Bettencourt que c’est Eric Woerth qui lui a demandé d’embaucher sa femme, Florence, dans la société Clymène : « J’avoue que, quand j’ai accepté, son mari était ministre des Finances [en réalité du Budget, ndlr], il m’a demandé de le faire ». Eric Woerth dément aussi cette information. Il est néanmoins curieux qu’il est remis, en janvier 2008, soit quelques semaines après l’embauche de son épouse, les insignes de chevalier de la Légion d’honneur à Patrice de Maistre.



    Eric Woerth est-il intervenu pour que le couple Bettencourt obtienne l’Hôtel de la Monnaie ?

    Là aussi, le soupçon vient des enregistrements. On y entend Patrice de Maistre déclarer à Liliane Bettencourt, le 27 octobre 2009 : « J’ai demandé au ministre Eric Woerth, qui est un ami, d’être là, parce que c’est grâce à lui qu’il y a eu l’Hôtel de la Monnaie », destiné à accueillir l’auditorium André Bettencourt, le mari défunt de Liliane.



    Voilà pour Eric Woerth. Et c’est déjà beaucoup. Autant dire que tous les soupçons qui pèsent sur lui sont loin d’avoir été levés, quoi que puisse en dire notre président. Qui n’a pas non plus répondu à toutes questions le concernant.



    Les Bettencourt ont-ils remis des enveloppes à Nicolas Sarkozy ?

    L’accuser d’avoir « ramassé des enveloppes » d’argent liquide chez Liliane Bettencourt ? « C’est une honte ! » Et puis, « vous [l’]imaginez, pendant un dîner, devant les convives à table, repartant avec de l’argent ? » Hormis cette manifestation d’une indignation portée à son comble, Nicolas Sarkozy n’a rien déminé du tout, lors de son intervention sur France 2. Certes, ces allégations de l’ex-comptable de Liliane Bettencourt publiées par Mediapart, elle les a ensuite démenties, ou plutôt nuancées. « Je n’ai jamais dit que des enveloppes étaient remises régulièrement à M. Sarkozy », a-t-elle déclaré ensuite à la police. Mais, a-t-elle assuré, « il y avait des enveloppes d’espèces qui étaient remises par M. Bettencourt ou de temps en temps par Mme Bettencourt à des politiques ». Nicolas Sarkozy était-il concerné ? Réponse de Claire Thibout : « c’est possible ». Qui dit vrai ? Là encore, on n’en sait fichtre toujours rien.
    Par ailleurs, il semble, à l’écoute des enregistrements, que Liliane Bettencourt aurait signé un chèque en faveur de Nicolas Sarkozy, le 4 mars 2010. Sur ce point aussi, on attend toujours que l’Elysée nous donne des explications.



    Nicolas Sarkozy est-il intervenu dans le dossier Bettencourt/Banier ?

    Enregistrements toujours, et c’est toujours Patrice de Maistre qui s’adresse à Liliane Bettencourt : « Il [Patrick Ouart, ancien conseiller pour la justice de l’Elysée, ndlr.] a voulu me voir l’autre jour et il m’a dit, M. de Maistre, le président continue de suivre ça de très près... (...) ». En effet, Nicolas Sarkozy a rencontré deux fois Patrice de Maistre à l’Elysée, dont une en présence de Liliane Bettencourt, en novembre 2008, comme l’a révélé Le Nouvel Observateur, « pour évoquer les conséquences, sur le groupe l’Oréal, du procès intenté à François-Marie Banier par la fille de Mme Bettencourt », selon Pascal Wilhelm, l’avocat de Patrice de Maistre. S’en est-il tenu à ces seules rencontres, ou en a-t-il tiré, justement, des « conséquences » ?



    Comment explique-t-il qu’à l’Elysée, on connaissait des décisions de justice avant qu’elles soient rendues ?

    La raison invoquée par l’avocat de Patrice de Maistre ne permet pas, ainsi, d’expliquer comment Patrick Ouart a pu informer, en juillet 2009, le gestionnaire de la fortune de Liliane Bettencourt d’une décision de justice avant même qu’elle soit rendue. A savoir que la plainte pour « abus de faiblesse » déposée par sa fille allait être classée sans suite par le procureur de Nanterre le 3 septembre, ce qui s’avéra exact.
    Et ce n’est pas tout. Dans les bandes pirates, on entend encore Patrice de Maistre déclarer à la milliardaire : « En première instance, on ne peut rien faire de plus mais en cour d’appel, si vous perdez, on connaît très très bien le procureur. »

    Et dire que le gouvernement nous rabâche depuis des jours qu’il n’y a pas de raison de s’inquiéter, que la justice est indépendante. Espérons néanmoins qu’elle le sera assez pour tirer au clair une partie, au moins, de ces questions.

    (Sarah Halifa-Legrand - Nouvelobs.com)


  • hunter hunter 14 juillet 2010 15:56

    Salut à tous !

     "Nous avons entendu un Président plus petit que jamais, mesquin, menteur, méchant et frivole..."

    Absolument ! En résumé, égal à lui-même quoi !

     smiley

    H /


  • gimo 14 juillet 2010 16:24

    erratum


    REGARDEZ ET SURTOUT ECOUTEZ  CETTE VIDEO VOUS COMPRENDREZ



    QUE   CEUX  QUE VOUS  ELISEZ SONT CONTRE VOUS
     


    • Dingo117 14 juillet 2010 17:41

      C’est vraiment nauséabond ! cet Eric Raoult !


    • gimo 14 juillet 2010 21:56

      @ démo  


      5X5 OK !!!  bien 
      Allez j’y vais, je pars voter et oui c’est la Démocratie, ça ne protége de rien mais ça rassure.

  • JJ il muratore JJ il muratore 14 juillet 2010 23:03

    @ Croa. Croa croa !
    si ce que vous avez à dire passe par la sempiternelle attaque contre la taille petite de ce président révisez donc vos classiques et vous apprendrez à votre imbécile étonnement que c’est du même ordre que tout fascisme qui s’en prend au faciès.
    Votre billusion de vous croire de gauche n’est pas incompatible avec ce paradoxe : de gauche et facho !


    • Croa Croa 14 juillet 2010 23:23

      Dans le titre du billet il y a deux fois le mot petit. Le premier n’a pas d’importance, c’est juste pour désigner le personnage.

      Et où tu as vu que je me croyais de gauche ?

      Quoique...

       smiley je sois encore moins de droite, en effet ! smiley


  • JJ il muratore JJ il muratore 15 juillet 2010 08:09

    @ croa. Oui ta défausse est habile ! Ce qui m’étonne et me révolte ce ne sont pas les attaques politiques qui elles sont légitimes, ce sont les systhématiques attaques sur le physique : petit, nabot, nain, talonette, etc... (D. Pujada y a droit itou)
    Ces attaques sont indignes d’autant plus qu’elles sont essentiellement faites par des individus qui se prétendent de gauche et j’ai dit pourquoi !
    Il n’y a aucune différence entre l’injure raciale et celles-ci : elles sont de même nature : une caractéristique corporelle est stigmatisée.
    Si je dis « le bronzé » ou bien « le gris » en parlant de tel homme public d’origine africaine je passe immédiatement au Tribunal et je suis automatiquement condamné A JUSTE TITRE !
    Les fachos de tout bord en abusent et ils feraient bien de s’interroger, ici en particulier sur AgoraVox, sur leur prétention à être « du bon côté »



  • Albar Albar 15 juillet 2010 09:00

    Dédaigner plus, pour rabaisser plus, il faut bien tirer la main qui vous a été tendu a une certaine époque déjà, tel est le message subliminal d’une certaine caste maintenant bien introduite, autrement comment comprendre les propos tenus par Eric Raoul en bémol ou la relation entre le dossier des retraites des français et un état voyou, bien au dessus des lois internationales, est inexistante. Les branches tentaculaires de la mainmise sont là, en sein même de la bien nommée « machin » qu’est l’ONU ; La France est tout bonnement sous la coupe d’une caste qui travaille pour son propre compte, pour un objectif hautement supérieur, pour en faire justement un membre armé afin de servir, je le dis tout de go, le Sionisme international ; Tel est la mission du soldat Sarkoléon, il envoi des jeunes en terrain lointain se faire tuer, mais surtout pas son fils, le successeur se doit être couvé.

     


  • Albar Albar 15 juillet 2010 09:02

    Petit président certes, mais de Grand idéaux que les français moyens (majoritaires) n’arrivent pas a  percevoir.


    • Croa Croa 15 juillet 2010 20:15

      Je n’ai pas perçu ça en effet, sinon j’aurais titré : « Un petit président impérial ! » smiley

      Les grands idéaux, c’est pas lui il me semble... Sa clique peut-être ?


    • Croa Croa 15 juillet 2010 20:17

      Je n’ai pas perçu ça en effet, sinon j’aurais titré : « Un petit président impérial ! » smiley

      Les grands idéaux, c’est pas lui il me semble... Sa clique peut-être ?


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