Une action de commando pour réarmer la France : Renaud Bouchard 2017 !
Adresse aux 645.124 élus que compte la France et aux 44,3 millions de Français composant le corps électoral pour l'obtention de 500 parrainages à l'appui de ma candidature à l'élection présidentielle de 2017.
En avant ! Calme et droit !
« Le prix de la paix, c'est l'effort de guerre »
Général Pierre de Villiers, chef d'Etat-Major des Armées, 22 décembre 2016
« La politique du commerce extérieur est un outil, pas un dogme ; un outil pour bâtir un pays fort et indépendant avec une classe moyenne riche et prospère ».
A.Hamilton
Le constat
« Nous sommes à la fois dans l’économique, le financier, le monétaire et bien sûr la géopolitique, écrit l'excellent Bruno Bertez (analyste financier, La Tribune, Le Blog a Lupus) à propos de Donald Trump. Il va y aller à bras le corps, là où cela fait mal. C’est un homme d'action, un joueur et il ne s’embarrasse pas de principes ou de règles, les règles sont faites pour être brisées.
Trump aime le jeu, la dette et l’incertitude. Il sait ce que c’est que le levier et il l’a utilisé toute sa vie, ajoute-t-il. Il aime l’incertitude parce que c’est ce qui lui a permis d’accéder maintenant au sommet, il aime en tirer parti. Le fait, pour lui d’être atypique, imprévisible est un point fort qu’il faut cultiver. Et il le cultive.
Nous pensons, écrit encore B. Bertez dont je cite encore les propos au sujet de D. Trump, que son atout principal réside dans le fait de ne pas partager le sentiment d’impuissance des politiciens et des fonctionnaires ; il a affirmé : « Nous avons beaucoup de pouvoir sur la Chine, et les gens ne s’en rendent pas compte, ils font comme s'ils n’en avaient pas ». Cela nous fait penser à ce que nous pensons de la France face à l’Allemagne : elle a beaucoup de pouvoirs sur l’Allemagne, elle peut lui faire mettre les épaules à terre mais elle n’utilise pas ce pouvoir, à cause des collabos et des défaitistes. Elle se considère comme inférieure, elle a une mentalité de perdant. De victime. »
https://leblogalupus.com/2017/01/06/essai-trump-classe-tous-risques-par-bruno-bertez/
« Plutôt que de favoriser la famille, la natalité, l’épargne , la préoccupation pour le long terme, la transmission des patrimoines, la méritocratie, les socialistes de droite et gauche, les mondialistes, les Onusiens, les élites non fiscalisées et cooptées préfèrent un système dans lequel ils ne subissent pas la concurrence des classes moyennes. »
Comment ne pas voir comme l'analyse finement encore B. Bertez, que ces gens « préfèrent un système où l’épargne est remplacée par le crédit, la légitimité par les réseaux, les castes et les « frangins », et bien sûr ils préfèrent importer des populations de migrants dans le cadre du remplacisme plutôt que de promouvoir, encourager et favoriser la natalité hétérosexuelle locale.
Ils préfèrent importer les investissements étrangers, c’est à dire les capitaux apatrides, les fonds du Qatar qu’ils exonèrent d’impôts », plutôt que d’accepter l’accumulation nationale de richesses et la formation d'un capital national, ajouterais-je.
« Ce qui les intéresse, c’est le système de la servitude, le système à deux vitesses, sachant que eux, ont l’espoir de rester les élites, de créer des dynasties, et de se reproduire entre élites. »
Le processus qui conduit à la catastrophe est donc bien En Marche ! Pire encore sont ces malheureuses classes moyennes qui se leurrent en croyant encore faire partie du haut du panier ou être membres du club des nantis alors que s'effritent, s'érodent et s'effondrent des pans entiers de leur pouvoir d'achat comme de leur patrimoine fragilisé et fusillé en deux générations par des droits de mutation ou de succession démentiels. Ce n'est pas grave !Les gens votent contre leurs intérêts, tel le crocodile qui entre dans une maroquinerie...Sarkozy, Hollande, Macron, Fillon, rien vu, rien compris, on en redemande ! Mesdames et Messieurs, faites vos jeux ! Rien ne va plus !
On tue la famille et tout ce qui en constitue le fondement, on la prive de ressources, on empêche la reproduction de la cellule familiale pour importer des remplaçants inassimilables, inintégrables, dangereux, qui nous détestent, nous méprisent, entendent nous imposer leurs "valeurs" tout en niant les nôtres, mais que l’on nous force à accueillir, soigner, loger et entretenir avec l’argent ponctionné sur les familles, leur travail et leur épargne ! Triste système, triste peuple que celui qui accepte cela. Criminels, surtout, ceux qui imposent à leur peuple de telles sujétions !
La Révolution est donc à faire, une révolution intelligemment progressiste, en réalité, puisqu'elle saura garder les valeurs et piliers intangibles garants de la solidité et de la pérennité du pays, la France, de notre continent, l'Europe, et réformer ce qui doit évoluer sous peine de stagnation ou d'obsolescence.
http://www.lefigaro.fr/impots/2017/01/05/05003-20170105ARTFIG00090-la-fiscalite-sur-les-heritages-accusee-de-favoriser-les-inegalites.php?xtor=EPR-211
Lafarge, Péchiney, Alcatel, Gemalto, Alstom, Areva, et aujourd’hui les Chantiers navals de l’Atlantique, qui passent sous pavillon italien, par décision d'un tribunal...coréen !N'oublions pas les plate-formes aéroportuaires comme Toulouse, Lyon, Nice, bradées par M. Macron. S'agissant de l'aéroport de Toulouse, personne ne s'est posé la question de savoir pourquoi les Chinois ont préféré investir à Toulouse plutôt que dans la construction de l'aéroport de N-D. des Landes.
Il se trouve que je n'aime ni les traîtres à leur pays et à leurs concitoyens, ni les collabos, ni les perdants et encore moins ceux qui ont une mentalité de victimes. A tous ceux qui ont la trouille de V. Poutine et de D. Trump, ces deux chefs d'Etat qui ont pris ou décidé de prendre en main leur pays et de le réformer avec succès, malgré de réelles difficultés, ma réponse est nette : « Vous n'avez encore rien vu ! »
23 avril 2 mai 2017. L'élection présidentielle approche et les jeux ne sont pas encore faits. Alors pensons à nous ! Restaurons nous aussi la France et avec elle l'Europe !Question de volonté et de courage : en avant ! Calme et droit !
I - Action
Voilà pourquoi il faut mener d'urgence une action de commando pour redresser la France et la réarmer sur tous les plans, économique, politique, social, diplomatique, stratégique. Voilà pourquoi moi, Renaud Bouchard, m'adresse à chacun de vous ainsi qu'aux 645.124 élus que compte la France et aux 44,3 millions de Français composant le corps électoral.
J'ai besoin de vous et sais que vous pouvez m'aider dans la réalisation de cet objectif. Il s'agit de nous, de vos enfants, de nos familles, de notre pays, cet extraordinaire pays qu'est la France dans cette Europe non moins exceptionnelle. Il faut se lever, se battre !
Deux quinquennats désastreux, dix ans de gabegie économique et financière, des politiques ruineuses d'incurie et de choix ineptes et insensés, des fonctions régaliennes avilies, abaissées, exercées par des amateurs et des incapables, une perte complète de crédibilité nationale et internationale ! Chacun connaît les détails de ce tableau.
Encore cinq mois de perdus avec un chef de l'Etat qui eût été fort inspiré sinon avisé et courageux d'annoncer son retrait définitif et sa démission lors de ses « voeux » pour 2017 ! Au lieu de quoi, cinq mois de pseudo-campagne électorale en vue d'une élection présidentielle où, comme d'habitude, tout semble déjà joué, chaque acteur, chaque faction politique ayant déjà distribué les rôles pour les candidatures à l'élection présidentielle elle-même et pour les élections législatives qui suivront, en attendant les élections euopéennes, les uns tentant de minimiser la casse électorale, les autres s'efforçant de tenter leur chance à l'occasion d'un processus de présélection inepte, d'autres enfin, considérant que les jeux sont faits et que le ou les candidats « naturels » qui drapent leur pleutrerie dans l'imposture d'une stature Churchillienne n'ont selon eux plus qu'à attendre le moment venu pour étrenner le fauteuil qu'ils considèrent déjà leur revenir de droit.
Cette perspective particulièrement insupportable qui relève de la sombre plaisanterie sinon de la pure tromperie m'oblige à proposer de rattraper précisément ce temps perdu en remontant la file avec l'idée d'un commando politique qui, à 100 jours de l'élection présidentielle, agissant comme les troupes de choc, agiles, efficaces, rapides, sûres de leur objectif et du résultat à obtenir, saura m'aider à mettre en place avec détermination et succès un ensemble de 10 mesures chocs afin d'ouvrir et consolider une tête de pont suffisamment solide pour initier un mouvement susceptible de rallier les énergies désireuses d'offrir à la France et à ses citoyens une feuille de route et des objectifs réalistes en matière politique, économique et sociale.
Ces 10 mesures chocs sont en effet destinées à frapper les esprits et à montrer sur les plans national et international, français et européen, que la Grande Nation, qualificatif privé de son sens péjoratif et désormais paré des qualités qui lui permettront avec sûreté de s'affirmer comme un acteur incontournable, que la France est bien de retour et qu'elle entend s'imposer en tant que pays et Etat décidé à ne plus se laisser dicter par des gens incompétents et qui ont fait leur temps une politique mortifère tant pour elle que pour l'Europe.
Ces 10 mesures chocs procèderont d'une triple opération d'assainissement, de grand ménage, de nettoyage de printemps destinée à débarrasser le terrain des pesanteurs, des obstacles, des acteurs, qui encombrent le paysage politique, économique et social et empêchent le pays de faire face comme de prendre en main les orientations géostratégiques, géopolitiques, géoéconomiques et géofinancières afin de s'incrire pleinement dans ce XXIè siècle bouillonnant.
On ne sera donc pas surpris que l'auteur de ces lignes puisse clairement déclarer ici qu'il n'a que faire des équations politiques partisanes qui tentent une fois encore, à l'issue de deux quinquennats calamiteux d'où se sont échappés des candidats faussement nouveaux car déjà largement compromis dans des gouvernements faillis, de rouler les gens dans la farine , subvertir une population et un électorat auquel il est plus que jamais urgent d'offrir des perspectives autres que celle du retour vers le Passé avec l'éternelle politique d'essuie-glace gauche-droite désormais aussi obsolète que leurs acteurs.
Foin des Mélenchon,Valls, Peillon, Hamon, Macron, Fillon, chacun complètera la liste, ayant bien conscience que tous ces gens ont vécu, que leurs temps sont révolus, que ceux qui n'ont pas été élus ne le seront pas, que la course à l'échalote est terminée et que le moment est venu de passer à autre chose et de s'inscrire dans d'autres perspectives avec des hommes, des femmes déterminés, volontaires, courageux, libérés des pesanteurs et compromissions idéologiques et partisanes, animés d'idées novatrices.
Aucun des candidats politiques actuels n'a eu jusqu'à ce jour le cran, pour ne pas dire autre chose, d'aborder de front les deux seules questions qui vaillent et qui s'imposent avec la puissance et la masse d'un front de banquise d'où se détachent des icebergs mortels : la guerre économique et financière avec la mort de la zone euro et l'équilibre géopolitique et civilisationnel de l'Europe en guerre avec l'immigration et la peste islamique.
L'explication est très simple : refus de voir la réalité, manque de courage et incompétence pour comprendre les termes des problèmes et les résoudre,
II- Question technique
Pour l’élection présidentielle qui aura lieu les 23 avril et 7 mai 2017, tous les noms des parrains des candidats seront connus et tous les bureaux de vote fermeront à 19 heures.
Les règles applicables à l’élection présidentielle ont changé. Désormais les parrainages des candidats doivent être adressés au Conseil constitutionnel par celui ou celle qui parraine et non plus par le candidat.
Chaque « parrain » doit remplir un formulaire, daté et signé qu’il retourne lui-même, sous enveloppe spéciale, par courrier postal ou par dépôt au siège du Conseil constitutionnel. L’envoi par voie électronique fonctionnera dès qu’un décret en aura fixé la date. Ce ne sera sûrement pas pour les élections présidentielles d’avril-mai 2017.
C’est donc aux élus qui parrainent d’envoyer eux-mêmes les formulaires de parrainage. Et non de les remettre aux candidats pour qu’ils les envoient au Conseil constitutionnel comme auparavant.
En pratique :
- les formulaires et enveloppes seront envoyés aux grands électeurs le jour de la publication au Journal officiel du décret de convocation des électeurs à l’élection présidentielle.
- ils devront être retournés par les parrains au Conseil constitutionnel au plus tard le sixième vendredi précédant le premier tour du scrutin.
Autre nouveauté, tous les noms des parrains (et non plus 500 d’entre eux tirés au sort) seront publiés au fur et à mesure de leur réception et au moins deux fois par semaine. Le public pourra donc prendre connaissance de la liste complète de tous les parrains. En principe le Conseil constitutionnel publiera la liste sur un site Internet prévu à cet effet, à partir de février-mars 2017.
La règle des 500 parrainages pour être candidat à l’élection présidentielle demeure en vigueur.
Autre question : qui peut parrainer un candidat à l’élection présidentielle ? Réponse : les grands électeurs. Il s’agit, compte-tenu de la réforme territoriale, des élus suivants : maires, maires de communes déléguées, maires délégués des communes associées, maires d’arrondissements de Paris, Lyon, Marseille, présidents des communautés de communes, des communautés d’agglomération, des communautés urbaines et des métropoles, députés, sénateurs, tous les conseillers régionaux et départementaux, les conseillers de Paris, les conseillers des métropoles et ceux de l’assemblée de Corse.
Références : loi organique n° 2016-506 du 25 avril 2016 de modernisation des règles applicables à l’élection présidentielle ici https://www.legifrance.gouv.fr
La France compte 645.124 élus. 577 députés, 348 sénateurs, 74 députés européens, 1.880 conseillers régionaux — nombre maintenu malgré la réduction du nombre de régions —, 4.108 conseillers départementaux, 36.000 maires et 521.661 conseillers municipaux, 80.400 élus intercommunaux…Chiffres ahurissants !
Lors des présidentielles françaises, le premier choix des électeurs était déjà restreint par le principe des 500 signatures de maires, principe biaisé lui-même par le poids des deux principales formations politiques qui avaient donné des consignes quant aux signatures.
Ainsi donc l’arène politique s’auto-élit avant de passer au prisme médiatique.
III- La clé de l'élection présidentielle
Ma question est simple : n'y aura-t-il pas au minimum 500 de ces élus précités, titulaires d'un mandat, pour me consentir un parrainage ? Si la réponse devait être négative, nul doute alors qu'un jour ou l'autre ce sera une lame de fond démocratique qui choisira ses élus. Que pèsent en effet les 645.124 élus que compte la France face aux 44,3 millions de Français composant le corps électoral ?
Rien, s'ils bloquent la possibilité pour un citoyen Français de concourir à l'élection au suffrage universel.
Tout, s'ils lui permettent de recevoir cette investiture – la seule qui tienne – qui sera ensuite celle de 44,3 millions d'électeurs qui feront leur choix et parleront en âme et conscience au nom des 66.627602 habitants de notre pays.
Je vais donc être très précis.
C’est la clé de l’élection de demain : celui qui gagnera la légitimité du pouvoir ne sera pas nécessairement celui qui présentera le meilleur programme, mais celui qui présentera la meilleure conjonction entre sa personnalité et la situation de crise que nous vivons. C’est à ce titre qu’il aura la légitimité qui lui permettra d’entreprendre les réformes voire les bouleversements nécessaires, avec clarté, fermeté, détermination. Celui qui sera élu sans cette légitimité n'aura rien devant lui sinon un horizon incertain et sera dépourvu du seul carburant qui lui sera nécessaire pour gouverner : la confiance du pays qui l'aura élu.
IV- Un chef de guerre
Soyons franc, l’époque impose un chef de guerre.
Dans le cas français, les électeurs attendent un programme qui leur donnera l’assurance que la politique économique changera véritablement et servira le plus grand nombre et non une minorité ; un programme qui leur donnera l’assurance que l'économie repartira pour la prospérité, la sûreté et le bien-être de tous ; un programme qui leur donnera l’assurance que l’État social, le bien commun, les richesses communes et particulières seront créées, accrues, protégées ; un programme qui leur donnera l’assurance que ce qui fait l’identité française sera préservé, que la politique étrangère française retrouvera son indépendance et la France son rôle international.
Un programme qui saura sans faillir porter le fer dans les principaux maux de la France : le corporatisme - haute fonction publique et syndicats en tête ; L’islam, salafistes en tête, le terrorisme et l'immigation non contrôlée - et l’Europe, Commission de Bruxelles et BCE en tête.
V - Un agenda immédiat
Les premiers rendez-vous internationaux obéiront à un agenda immédiat : D. Trump (Etats-Unis), V. Poutine (Russie), Xi Jinping (Chine), A. Guterres (ONU), J. Stoltenberg (OTAN), T. May (Royaume-Uni), D. Tusk (Président du Conseil européen), A. Merkel (Allemagne), M. Draghi (BCE), M.Rajoy (Espagne), S. Mattarella (Italie), A. Duda (Pologne),V.Orbán (Hongrie), B.Sobotka (République Tchèque), Recip Tayyip Erdoğan (Turquie).
Alors ? Alors en avant ! Calme et droit !
'Give light, and the darkness will disappear of itself.'