vendredi 11 septembre 2009 - par olivier cabanel

Soigner ou vacciner ?

Au moment ou l’on essaye de nous fourguer des masques peu efficaces, des vaccins discutables, ou du Tamiflu dangereux, il est peut être temps de choisir une autre façon de lutter contre la grippe A.

Ce remède à un nom : l’homéopathie.

Bien sûr, dans le clan des sceptiques, les sourires vont fleurir.

Il faut pourtant s’interroger sur l’alternative sérieuse que représente l’homéopathie.

D’abord, pour faire taire une fois pour toute l’affirmation qui voudrait que l’homéopathie ne soit qu’un placebo, il faut rappeler une chose.

L’homéopathie sert aussi à soigner les animaux.

Or, dans ce cas précis, il paraît difficile, voire impossible d’évoquer l’effet placebo, puisque l’animal ne se pose aucune question, ce qui ne l’empêche pas de guérir avec l’homéopathie.

Si l’on compare, dans le cadre de la lutte contre le virus h1n1, l’efficacité des remèdes proposés par l’OMS, et celle de l’homéopathie, il n’y a pourtant pas photo.

Histoire  :

En 1918, la grippe espagnole fait rage.

Elle frappe les Etats-Unis et en 4 mois elle terrasse 80 millions d’habitants sur la planète, qui sont pour la plus grande part des jeunes et des femmes enceintes.

trois ans après les statistiques démontrent l’efficacité incontestable de l’homéopathie.

Le docteur T.A.Mac Cann, de Dayton (Ohio) rapporte que sur 26000 personnes traitées à l’homéopathie, le taux de mortalité est de 1,05%.

C’est l’utilisation du Gelsemium et du Bryona qui a manifestement guéri les patients.

Le docteur W.A Pearson de Philadelphie arrivait au même résultat sur 26795 cas.

Lien

A l’époque, le taux de mortalité s’élevait à 28,2% dans le cas des malades traités traditionnellement.

Une Homéopathe, la doctoresse Ingrid Schutt, a brossé un historique sur l’efficacité de l’homéopathie sur une longue période de 2 siècles.

Le constat est sans appel.

Lors de l’épidémie de choléra de 1830, le taux de mortalité avec les traitements conventionnels est de 40 à 80%.

Or le docteur homéopathe Quin rapporte un taux de mortalité de 10% pour les patients soignés avec l’homéopathie.

Dans les années 1850, lors de la fièvre jaune qui sévit dans le sud des états-unis, le taux de mortalité était de 15 à 85 % chez les patients traités à l’allopathie, et de 5 à 6% pour ceux soignés à l’homéopathie.

On arrive aux mêmes résultats lors des épidémies de diphtérie de 1860 à New York.

Les témoignages concernant l’efficacité de l’homéopathie sont nombreux.

Le docteur Wieland, de Chicago a déclaré à l’époque : « dans une usine de 8000 ouvriers, nous n’avons eu qu’un seul décès, et n’avons utilisé ni vaccin, ni aspirine »

Le docteur R.S Faros ; de Richmond affirmait « je n’ai eu que 5 décès sur 618 cas grâce à l’homéopathie »

Le docteur Swartwout, de Washington pour sa par écrivait : « 7 praticiens ont rapporté 6 décès uniquement sur 3600 cas, et pour ma part je n’ai eu qu’un décès sur 750 cas, en utilisant Gelsemium, Bryonia et Eupatorium ».

Un rapport paru en 1993, émanant des docteurs C.Peter (chef de service), et C. Fremont directeur général de la CPAM (caisse primaire d’assurance maladie) est catégorique :

14 % des sujets vaccinés ont eu la grippe, contre 13% chez les sujets non vaccinés. lien

A lire aussi, le rapport de 38 pages du docteur marc Girard « grippe porcine : vacciner ou pas »

Pour ceux qui sont maintenant convaincus de l’efficacité de l’homéopathie pour lutter contre la grippe A, je vous propose les conseils d’un autre homéopathe, Bernard Biardeau : lien

(Il est l’auteur d’un livre « l’homéopathie au fil de la vie », paru aux éditions Médicis, 2009)

D’abord il faut alterner tous les mois, et des maintenant une dose de :

le premier samedi= influenzinum en 30 CH ou 200K

le deuxième samedi Gelsenium en 30 ch ou 200 K

le 3ème samedi, Bryonia en 30 CH ou 200 K

ensuite, il faut reprendre Gelsemium ou Bryonia en 30 CH ou 200 K après chaque « bain de foule » une fois par semaine tant que perdurera la pandémie,

Enfin, il faut reprendre Gelsemium et Bryonia en 30 CH ou 200 K en alternance tous les trois jours s’il y a des contacts permanents et rapprochés avec des personnes supposées contagieuses (personnel soignant ou particulier soignant des grippés).

car comme disait un vieil ami africain :

« Grande est la force de la douceur » à moins que ce ne soit Constantine Hering qui ait prononcé cette phrase qui résume si bien l’homéopathie.



127 réactions


  • janequin 11 septembre 2009 11:03

    Olivier,

    Il est dommage que tu aies donné des recettes telles que celle indiquée par le Dr. Biardeau.

    Car l’homéopathie ne souffre pas les recettes. Pour choisir un remède, c’est un travail de recherche permanent.

    Je dis permanent car une maladie telle que la grippe évolue au cours du temps et nécessite de changer de remède lorsque les signes changent, car le corps ne réagit plus de la même façon au dérangement initial.

    Il est vrai que très souvent, un remède comme Gelsemium, Bryonia ou Eupatorium suffira (ou exclusif), mais il faut faire un diagnostic différentiel du remède. Il est par exemple totalement inefficace de prendre à la fois Bryonia et Gelsémium, qui ont des signes (modalités) presque opposés, quoique présentant les signes pathognomoniques de la grippe.

    D’autre part, n’espère pas convaincre ceux qui ne le veulent pas.
    En effet, quoiqu’ils ne connaissent rien à rien en homéopathie, ils émettent doctement un jugement péremptoire qui ne repose que sur leur culture profonde, à savoir le « scientisme ».
    Qui n’est pas la connaissance scientifique, bien sûr.

    Un de mes amis matheux me dis d’ailleurs ne rien y connaître, mais y être opposé, sans pouvoir m’en expliquer la raison profonde.

    En ce qui concerne les décès attribués à la grippe espagnole aux EU, il faut aussi se souvenir que la fin de la première guerre mondiale coïncide avec la découverte de la réaction de Kolbe, qui permet obtenir l’acide salicylique à partir du phénol, ce qu’à exploité Bayer pour synthétiser des quantités industrielles d’aspirine.

    Peut-être a-t-on cru, vu le faible coût de cette aspirine synthétique, qu’en augmentant les doses ont guérirait mieux... On sait maintenant quelles hémorragies l’aspirine peut provoquer... Curieux tout de même le caractère hémorragique de cette fameuse grippe espagnole !


    • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 11:36

      Janequin,
      je comprend tout a fait ta réaction,
      j’ai voulu surtout être pragmatique, afin que ceux qui seraient tentés de s’y mettre aient déjà quelques éléments,
      d’ailleurs c’est le docteur Biardeau, qui lui même, à donné sur son blog ces indications,
      et contrairement à ce que tu dis, j’espère convaincre ceux qui ne le sont pas, ou du moins les inciter à se poser la question.
      qui ne tente rien...


    • 1984 11 septembre 2009 16:11

      Mon cher Janequin qui vous y connaissez tant en homéopathie, vous pourriez nous en faire l’historique ?

      Et l’auteur pourrait-il se rappeler qu’il est un animal ?


    • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 16:30

      1984 ;
      merci de me rappeler que je suis un animal,
      je crois même pouvoir préciser que nous sommes, nous les humains, placés entre l’ours et le singe ?
      ce que voulais seulement dire, et que aviez compris, c’est que les autres animaux sont soignés parfois avec l’homéopathie, qu’ils guérissent, et que l’explication donnée par ceux qui ne croient pas en l’homéopathie (effet placébo) ne tient pas.


    • 1984 11 septembre 2009 16:48

      J’avais compris effectivement, mais il est bon de le re-préciser tant une bonne partie de la population ne le sait pas.
       Dans quelle conditions sont traités les animaux dont vous parlez ?

      Si je prends soin de mon chat il le sait et l’effet placebo peut jouer.


    • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 17:10

      1984,
      l’effet placebo joue pour les humains,
      ils ont (en principe) conscience de prendre un médicament.
      si celui ci n’est qu’un cachet de farine, et qu’ils ne le savent pas, ils peuvent guérir.
      pour l’animal, je ne suis pas certain qu’ils aient cette conscience.
      si on les soigne, comme ç’est parfois le cas, par l’homéopathie, je ne vois pas comment l’effet placebo pourrait jouer ?


    • janequin 11 septembre 2009 19:06

      Il faudra que je songe à en faire un article, à l’occasion d’une actualité pouvant y être associée.


    • Mmarvinbear mmarvin 13 septembre 2009 13:38

      Pourquoi vous ne répondez pas à la question posée par 1984 ?

      Un « je ne sais pas précisément » suffirait mais vous noyez le poisson, ce qui rend suspect votre argumentaire.


    • Mmarvinbear mmarvin 13 septembre 2009 14:30

      Après renseignement, les scientifiques pensent que pour les animaux, c’est l’effet observateur qui joue.

      Explication.

      Deja, tous les animaux soignés sont domestiqués (je suis réservé quand à l’emploi de cet adjectif en ce qui concerne les chats mais bon, c’est une autre histoire...).

      Ils ont donc une relation avec l’humain qui s’en occupe.

      Face aux signes de maladie, le soigneur est inquiet pour son animal. Il lui donne un traitement. Il s’attend donc à une évolution positive, c’est l’effet placébo. Le soigneur se détend, se calme. L’animal ressent la baisse du stress du soigneur et l’interprête comme un signe de danger moindre pour lui. Il se calme à son tour, détresse, ce qui favorise l’action de son système immunitaire. Et active la guérison.

      Cela serait aussi valable en ce qui concerne les nourrissons.


    • Mmarvinbear mmarvin 13 septembre 2009 14:37

      « Curieux tout de même le caractère hémorragique de cette fameuse grippe espagnole ! »  :C’est n’importe quoi ! La grippe espagnole n’était absolument pas de nature hémorragique !


    • janequin 13 septembre 2009 19:00

      Effet observateur, mon ... !!!


    • Mmarvinbear mmarvin 13 septembre 2009 22:34

      C’est une théorie.

      Mais elle n’est pas plus ridicule que celle qui croit qu’une substance quelconque diluée au point de ne plus avoir de principe actif en son sein puisse guérir un patient.


    • janequin 13 septembre 2009 22:50

      Je n’y crois pas, je sais !

      Et je suis un observateur tout aussi rigoureux que vous-même, croyez-moi.


    • olivier cabanel olivier cabanel 14 septembre 2009 06:04

      MMarvin,
      mais j’ai parfaitement répondu à la question de 1984,
      ne me faites pas de procès d’intention, et relisez tous les commentaires,


    • janequin 14 septembre 2009 07:24

      La grande différence entre l’effet observateur et l’effet de la dynamisation est que le premier est une théorie qui n’a aucune base expérimentale et qui est mise en avant pour démolir l’homéopathie, alors que le second est un observable, une donnée expérimentale, et non une théorie absconse.


  • verbre verbre 11 septembre 2009 11:29

    Oui, l’homéopathie ou la phytothérapie à base d’huiles essentielles.

    On peut même utiliser l’acupuncture pour stimuler le système immunitaire.
    Il y a beaucoup de moyens naturels très efficaces de protéger, restaurer et soigner notre corps.
     
    Malheureusement dans une société de malbouffe et de comprimés... le message ne passe pas bien.
    Et puis la médecine occidentale est un gros bussiness basé sur la peur, et la dépendance.

    Et puis n’oublions pas que le meilleur médicament c’est nos anticorps, et une vie saine. C’est une lapalissade de le dire mais combien peu agissent en fonction de ça...

  • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 11:40

    Verbre,
    bien sur, la phytothérapie, les huiles essentielles,
    perso, au moindre démarrage de grippe j’utilise « infludo »,
    10 gouttes toutes les heures, et c’est rudement efficace.
    comme tu le dis, l’acupuncture n’est pas à négliger,
    et aussi se nourrir de produits sains et équilibrés, si possible bio.
    le bio ne mérite pas la réputation de « produit cher » qu’on lui fait,
    en fait, la qualité compense largement la quantité.
    un pain bio cuit au feu de bois me fait une semaine.. (500g)
    et çà me nourrit,
    alors que les baguettes de pain blanc qui durcissent en moins d’un jour, c’est surtout du vide.


  • Alpo47 Alpo47 11 septembre 2009 11:52

    Tout d’abord, je n’ai aucune confiance dans nos gouvernants, l’industrie pharmaceutique, la médecine allopathique, pas davantage dans la majorité de médecins qui n’aspire qu’à « gagner plus de fric » et sont trop liés aux industriels... Donc ...

    L’homéopathie ? Pourquoi pas. Je fais cependant remarquer à l’auteur que la majorité de ses références datent du 19e siècle (?). La médecine n’aurait pas évolué depuis ?

    Je lis ailleurs que certains recommandent la vitamine D, pour renforcer notre système immunitaire (?).

    Et enfin, je pense qu’il faut rappeler encore et encore, que cette grippette est bénigne et que du repos et du paracétamol en viennent à bout en quelques jours.


    • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 16:32

      Alpo47,
      l’historique donnée se base sur les autres épidémies, et fort heureusement, il n’y en a pas eu tant que çà, du moins depuis que l’homéopathie existe,
      d’où les exemples donnés.


  • janequin 11 septembre 2009 12:12

    Alpo,

    le principe de Carnot date du début du XIXème, et pourtant on l’utilise toujours aujourd’hui dans les réfrigérateurs, les pompes à chaleur.

    La nature de l’entropie, elle, est peu à peu mise en lumière au cours des XIXème et XXème siècles, mais le principe court toujours...

    Il en est de même en Homéo. Le principe de similitude est toujours le même, on l’applique encore aujourd’hui. Il existe des substances bien étudiées, et il n’y a pas de raison d’en changer. Mais on peut toujours faire des « provings » (et en particulier grâce à la toxicologie) avec de nouvelles substances. Là est le progrès, et non pas dans le remise en cause des principes.

    La compréhension du phénomène de similitude nous échappe encore ? Rien de choquant à cela. On a bien découvert que tout récemment (20 ans) le rôle fondamental du monoxyde d’azote dans la cellule. Et pourtant on croyait tout savoir ! LOL !

    Le mythe du renouvellement des paradigmes est d’ailleurs propre à la médecine officielle, et ce n’est pas à son honneur !


  • janequin 11 septembre 2009 12:32

    Et puis, comment référencer ce qui s’est produit en 1918, si ce n’est en utilisant des informations datant de cette époque-là ?

    Alors, il faudrait obtenir des informations sur ce qui se passe en Inde, qui est le pays où l’homéopathie est la plus utilisée, selon le vœu du Mahatma Gandi.


  • Francis, agnotologue JL 11 septembre 2009 13:39

    Bonjour Olivier, vous dites : « Elle frappe les Etats-Unis et en 4 mois elle terrasse 80 millions d’habitants sur la planète, qui sont pour la plus grande part des jeunes et des femmes enceintes. »

    Etes-vous sûr qu’elle a frappé davantage les jeunes et les femmes enceintes ? Ou bien est-ce la légende à la mode ?

    Ouest- France écrit : "Avec une mise sur le marché à la mi-octobre, le vaccin ne pourra enrayer la pandémie de grippe A. ... Des produits, qui dans leur grande majorité, ont été fabriqués à partir d’une variation du vaccin contre le virus H5N1 (grippe aviaire). Pour les rendre plus efficaces, les laboratoires leur ont ajouté des « adjuvants ». Un produit, ici une « émulsion lipidique », censé améliorer la défense immunitaire du patient. « Cet adjuvant a déjà été massivement utilisé dans différents vaccins et notamment en Angleterre. Il n’y a pas, à ce jour, de contre-indications ou d’effets secondaires, rassure Daniel Floret. Avec une mesure de précaution non négligeable quand même : « Nous n’avons pas assez de recul et d’expérience pour connaître les conséquences de cet adjuvant chez les nourrissons dont le système immunitaire est en cours de construction et chez les femmes enceintes. » (C’est moi qui souligne)

    http://www.ouest-france.fr/actu/actuDetFdj_-Grippe-A-une-pandemie-avant-l-arrivee-des-vaccins_39382-1065037_actu.Htm


    Or l’on sait que le gouvernement français s’apprête à vacciner en priorité les jeunes enfants et les femmens enceintes.

    Ne croyez-vous pas que cette stratégie vise à offrir au labo producteur du vaccin un terrein d’essai destiné à tester cet adjuvant ? Il sembkle que cela se confirme puisque ce midui il se dit à la radio que ces personnes seront suivies, et qu’une partie recevra le vaccin avec cet adjuvant, l’autre sans adjuvant.

    Selon moi, - mais qu’est-ce que ça vaut ? - on serait en train d’élaborer un vaccin contre un virus qui serait à la fois très contagieux et mortel qu’on ne s’y prendrait pas autrement. Car si un tel virus apparaissait, c’est pour le coup que le vaccin deviendrait attractif ! Il vaudrait de l’or !


    • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 16:34

      JL,
      ce n’est pas moi qui le dit, mais ce sont les statistiques de l’époque, et si vous ouvrez les lien proposés, vous pourrez vous en assurer.
      pour le reste de votre commentaire, je le partage globalement.


  • cathy30 cathy30 11 septembre 2009 14:24

    bonjour Olivier,
    qu’est ce Infludo ?

    tous les ans je prends le vaccin homéo, et pas de grippe, sauf l’année dernière, mais elle était rikiki.
    Il y a cinq ans, je n’ai pas pris mon vaccin homéo, aie aie aie. Une grippe carabinée. Une semaine sans pouvoir me lever, et aussi d’autres cochonneries sont venues s’ajouter après la grippe. Disons que ça à durer 1 mois.

    Alors depuis je ne me pose pas de question, je prends mon vaccin homéo.


    • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 16:40

      cathy30
      Infludo est un produit commercialisé par Weleda.
      il y a dedans de l’aconitum napellus, Bryonia, eucalyptus globulus, eupatorium perfoliatum, ferum phosphoricum, sabadilla officinarum et c’est un petit flacon de 30 m et c’est bien sur un médicament homéopathique.
      toutes les pharmacies ne l’ont pas, il faut parfois le commander, ce qui permet aux autres patients de l’obtenir à leur tour.
      (je n’ai pas de pourcentage sur les ventes...ah ah ah)


    • Mmarvinbear mmarvin 13 septembre 2009 22:41

      Question de chance aussi...

      Le vaccin grippal change chaque année et est élaboré en fonction des virus les plus présents à un moment de la saison. Il est courant que le vaccin soit un cocktail protégeant contre trois voire quatre types de grippes différentes, bien qu’il y en ait plus dans la nature.

      De ma naissance à mes 18 ans, je n’ai pas été vacciné contre. J’ai choppé la grippe une fois durant cette période.

      Etudiant, je me suis fait vacciner. Un cocktail (je l’ai su ensuite) prévu contre quatre types présents cette année là. J’ai choppé un virus du cinquième type, tellement rare qu’il n’était pas présent dans le facteur de risque... Une semaine out... J’étais heureux...

      Depuis, plus une grippe.

      La conclusion ? Le vaccin PEUT protéger. Mais quand le virus vous cherche, il finit invariablement par vous trouver...


    • janequin 13 septembre 2009 23:16

      Oui, c’est vrai, le virus a trouvé mon épouse et une de mes filles en février dernier..., deux jours out, et c’était reparti - et sans seconde cloche -, évidemment avec mes petits granules.


  • verbre verbre 11 septembre 2009 14:53

    Et pour sans parler de soigner mais plutôt comme prévention supplémentaire à renouveler chaque automne ou avant les épidémies, une petite cure d’oligo-éléments « Cuivre Or Argent » et de vitamine C naturelle à base d’Acerola (en magasin bio).
    Et si vous êtes fatigués, 50 gouttes chaque jour de Teinture Mère Eleutherococcus senticosus.


  • njama njama 11 septembre 2009 15:15

    Le Gouvernement ment, l’OMS ment.

    Pas plus tard qu’hier j’apprends d’une relation médecin qui ne s’affole pas du tout avec cette grippe H1N1 qui se soigne très bien comme la grippe saisonnière, qu’elle a reçu en consultation une mère avec ses 4 enfants. Elle constate qu’ils sont atteints de symptômes grippaux. Or rien ne permet de différencier au plan symptomatique la grippe saisonnière de la grippe dite pandémique H1N1, qui sont des grippes A l’une comme l’autre.

    Par acquis de conscience et probablement influencée par le battage médiatique en cours, elle se renseigne auprès de quelques pairs pour savoir quelle conduite tenir face à ce cas de figure.
    On lui répond qu’il faut le traiter comme une grippe ordinaire, surtout ne pas les envoyer à l’hôpital, que les tests coûtent environ 300 € par personne, et que de toute façon on n’aurait pas les résultats des analyses avant 4 semaines au mieux !!!!!!!

    Ces 4 cas d’enfants contaminés par « une » grippe seront vraisemblablement ajoutés sans la moindre preuve scientifique aux statistiques concernant l’évolution de la pandémie H1N1

    On nous mène en bateau avec cette histoire, LE GOUVERNEMENT NOUS MENT, L’OMS NOUS MENT.

    ça s’appelle « une forfaiture » il me semble ! ou une déloyauté, un abus de pouvoir ou une concussion ...

    Il serait peut-être temps que le corps médical réagisse à cette imposture qui devient de plus en plus évidente,


    • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 16:43

      Njama,
      merci de votre réaction et de votre dénonciation tout a fait justifiée,
      il y a derrière cette affaire de virus une grosse opération financière,
      (et peut etre plus= relisez mon article récent, et d’autres, sur av= « h1n1, un scénario épouvantable »)


    • njama njama 11 septembre 2009 17:29

      Les chiffres on leur fait dire ce que l’on veut ! aucune information qualitative ne les accompagne.

      Concernant ceux que vous annonçaient concernant cette grippe (dite) espagnole, il me semble largement exagérés. Suivant différentes sources je trouve entre 20 et 100 millions de victimes. L’écart est de taille.
      Même 20 millions me paraît largement exagéré, au regard de ce témoignage canadien, qui laisse penser qu’il existe des chiffres assez précis dans les archives des nations :

      LA GRIPPE ESPAGNOLE(LA TUEUSE)
      (Source : le mémorial du Québec)

      "Le 7 octobre 1918, cette forme d’influenza qu’on appellera la grippe espagnole fait sa première victime dans la population civile, à Montréal. Cette grippe aussi appelée la tueuse, a bien mérité ce nom : à Montréal, 30 000 cas, 3 000 décès ; au Québec, 460 000 cas, 13 000 décès ; dans l’ensemble du Canada, près de 43 000 morts. Aux États-Unis, 400 000 décès attribuables à l’influenza, contre 116 000 morts sur les champs de bataille européens.

      "Pourquoi cette appellation de grippe espagnole ? Parce que le premier diagnostic de cette maladie infectieuse, qui deviendra bientôt pandémique, a été fait en Espagne. De la même manière, bien des années plus tard, le grand public appellera grippe asiatique, une épidémie d’abord signalée à Hong Kong.

      "En réalité, il est plus qu’incertain que la grippe espagnole soit arrivée au Canada en provenance de l’Espagne. ce qui est plus probable, c’est qu’elle a été rapportée des tranchées de Vimy ou d’ailleurs. En effet, dès avant le 7 octobre, il y a eu 34 morts et 622 malades chez les militaires de Saint-Jean. À Montréal, 213 soldats ont été atteints.

      http://grippe.espagnole1918.site.voila.fr/
      Voir autres détails concernant cette maladie contagieuse sur le site Web ... >>

      Il n’y a aucune étude historique sérieuse sur cette épidémie à ma connaissance (étonnant non ?), pourtant les faits ont dus être largement documentés par le corps médical « impuissant » à la soigner, et avoir retenu l’intérêt curieux des « biologistes » de l’époque. Les réponses sont dans des archives ... 

      Voir aussi J’ai été témoin de l’épidémie de grippe de 1918
      Eleanor McBean

      Du mythe à la réalité, il n’y a pas loin parfois !

      Contrairement à ce que vous dites, d’après les quelques témoignages que j’ai pu lire, ce sont de jeunes personnes (de 20 à 40 ans) qui ont été atteintes surtout, et non pas les jeunes enfants et les personnes âgées.

      La grippe espagnole aurait-elle été déclenchée par les vaccins ?

      Pourquoi pas ? après tout, une vaccination de masse est une contamination organisée, puisque le principe de la vaccination est d’inoculer un agent pathogène dit’ atténué« , ou »affaibli", voire quelquefois « tué ... mais pas tout à fait ! »


    • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 17:59

      Njama
      les chiffres, on leur fait dire ce qu’on veut, dites vous...
      en fait dans wiki une explication est donnée,
      l’estimation est bien de 20/40 millions, mais ils signalent une réévalution en cours qui porterait le chiffre à 100 millions :
      voici ce qu’on peut lire dans wiki.
      La grippe de 1918, aussi nommée à tort « grippe espagnole », est due à une souche (H1N1) particulièrement virulente et contagieuse de grippe qui s’est répandue en pandémie de 1918 à 1919. Cette pandémie a fait de 20 à 40 millions de morts, 30 millions selon l’Institut Pasteur, voire 100 millions selon certaines réévaluations récentes. Elle serait la pandémie la plus mortelle de l’histoire dans un laps de temps aussi court, devant les 34 millions de morts (estimation) de la Peste noire
      ceci dit, je pense plus important de s’attarder au pourcentage de ceux qui ont été soignés traditionnellement et ceux qui l’ont été avec l’homéopathie,
      dans mon article, il apparait clairement (et là, il s’agit d’un comptage précis/ d’une statistique) que l’homéopathie a été très efficace, et au fond, c’est l’important.
      non ?


    • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 18:05

      Njama,
      je n’ai jamais écrit ce que vous dites, vous semblez avoir mal lu une partie de mon article :
      j’ai écrit exactement :
      « la plus grande part des personnes qui ont été touchée par la pandémie ont été des jeunes et des femmes enceintes ».
      c’est d’ailleurs ce que déclarait en faisant l’historique de l’homéopathie, le docteur ingrid Schutt (il y a un lien dans mon article)


    • persea 11 septembre 2009 20:44


      N’oublions pas le contexte de la grippe espagnole, en 1918 l’Europe sortait d’une guerre, les gens était mal nourris et mal soignés, les organismes pas résistants.

      L’hygiène n’était pas celle d’aujourd’hui et au niveau médicaments on ne savait pas soigner les complications comme aujourd’hui.

      Il ne faut tirer aucun parallèle entre cette grippe d’il y a presque un siècle et nous aujourd’hui.

      On ne peut vraiment pas comparer.


    • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 22:28

      Persea,
      je ne suis pas d’accord avec vous,
      mais je ne suis pas un scientifique.
      et vous ?
      je crois que la qualité de vie était bien supérieure à celle que nous avons aujourd’hui
      nous sommes assaillis d’anti-biotiques, (qui ne sont pas automatiques, mais sont là, et bien la)
      nos corps sont affaiblis par des nourritures industrielles, par des pesticides,
      je ne vais pas vous en faire la liste, mais elle doit être longue.
      je crois que nous pouvons vraiment comparer la situation d’il y a un siècle avec la notre.
      car nous avons perdu une qualité de vie d’une façon incontestable (pollution de l’air, de l’eau, de la terre)
      ce qui revient à dire que malgré tout, la médecine traditionnelle a été moins efficace que l’homéopathie.
      aujourd’hui, le décalage sera encore plus grand.
      pensez vous réellement que je me trompe ?


    • Mmarvinbear mmarvin 13 septembre 2009 22:58

      « je crois que la qualité de vie était bien supérieure à celle que nous avons aujourd’hui »  : Il faudrait nous expliquer pourquoi alors l’espérance de vie était en moyenne de trente ans inférieure à ce qu’elle est maintenant, pour les hommes comme pour les femmes.

      « je crois que nous pouvons vraiment comparer la situation d’il y a un siècle avec la notre. car nous avons perdu une qualité de vie d’une façon incontestable (pollution de l’air, de l’eau, de la terre) » : Un vrai hymne à la nature faite par un homme qui n’a jamais connu la réalité de ces époques...

      Il y a un siècle, l’air, l’eau étaient tout aussi pollués que maintenant, même si les détritus étaient d’une nature toute autre.

      Il y a un siècle, les villes utilisaient massivement le gaz pour l’éclairage (bonjour CO, CO2) et le bois et le charbon pour le chauffage. Les cheminées crachaient un cocktail tellement malsain que les murs et les arbres en étaient parfois noirs de suie ! A Londres, dans les années 50, le smog de charbon stagna sur la ville du fait d’un anticyclone pendant des semaines. Des centaines de personnes moururent, victime d’insuffisance respiratoire. Ce n’est qu’après que le gouvernement anglais mena une campagne pour inciter la population à remplacer leurs poeles à charbon pour des techniques modernes.

      L’eau des fleuves connaissait le même sort : il n’y avait que peu de stations d’épurations, pas de règles d’hygiènes et les industriels y déversaient à peu près tout ce qu’ils y voulaient. Plomb, mercure, autres métaux lourds. L’exemple de la ville de Minamata au Japon en est la pire illustration. Le recours massif aux engrais azotés par les agriculteurs a fini de rendre une grande partie de nos eaux impropres à la vie. Ce n’est que depuis quelques décennies que la qualité s’améliore, permettant dernièrement le retour du saumon dans la Seine à Paris d’ou il avait disparu depuis 1938, c’est à dire en plein dans ton age d’or !

      Il faut se dire une bonne foi pour toute que non, ce n’était pas mieux avant !


    • janequin 13 septembre 2009 23:14

      En cela je vous suis à 98%, mmarvin.

      Les transports, le chauffage, la nourriture, voilà ce qui a amélioré véritablement notre vie. Et cela grâce à quelle découverte ? Celle de la maîtrise de l’électricité !! Vive les équations de Maxwell !

      Ce n’est pas la chirurgie qui a évolué, c’est la miniaturisation de l’imagerie. Ce n’est pas le diagnostic qui s’est amélioré, sinon celui obtenu par l’utilisation de la RMN, là encore grâce à la fée électricité.

      Le seul domaine où nous n’évoluons pas, ou très peu, c’est celui du médicament, qui ressort essentiellement de la chimie et de la biochimie (c’est la même chose).

      Tout simplement parce que nous ne parvenons pas à étudier convenablement les processus d’échange électronique (oxydoréduction) et de molécules (réactions électrophiles ou nucléophiles) dans un système complexe comme la cellule.

      On modélise beaucoup trop à une échelle micromètrique, voire à quelque 10 nm, sans parvenir à tout saisir. Oh ! on avance, mais bien lentement. Parfois se détachent des chercheurs géniaux (Furchgott et Ignarro, Daniel Mansuy,...) Mais on est vraiment loin de tout comprendre.


    • olivier cabanel olivier cabanel 14 septembre 2009 05:15

      MMarvin,
      comment pouvez vous écrire pareille contrevérité ?
      il y a quelques siècles, il y avait évidemment une qualité de vie supérieure à celle que nous connaissons,
      pour la bonne raison qu’il n’y avait pas de centrales nucléaires, d’expériences atomiques, donc moins de pollution radioactive, moins de déchets (pour la petite histoire, rien qu’en France nous en avons deux millions de tonnes sur les bras, dont personne ne veut)
      et puis il y a la pollution de la terre,
      pour la bonne raison qu’auparavant, on ne connaissait pas les pesticides, les insecticides, les herbicides, les ogm,
      je pensent qu’ils faisaient du « bio » sans le savoir,
      pour finir, l’eau n’était pas ce qu’elle ait aujourd’hui, puisque toutes les cochonneries décrites plus haut finissent par y retourner,
      en y ajoutant les « agents de nettoyage » (tensio actifs)
      vous devez savoir qu’aujourd’hui il y a mutation des espèces, et que celles ci sont entrain de se féminiser, signifiant a terme leur disparition, puisqu’il n’y aura plus de males.
      alors, elle est pas belle la vie ?!


    • Mmarvinbear mmarvin 14 septembre 2009 08:36

      « il y a quelques siècles, il y avait évidemment une qualité de vie supérieure à celle que nous connaissons, » : Encore une fois, si il y a quelque siècles la qualité de vie était infiniment supérieure à celle que nous connaissons, pourquoi l’espérance de vie des hommes et des femmes était proche des 30 40 ans alors qu’aujourd’hui elle est de 70 80 ???

      Il est certain qu’en l’an 1 000, il n’y avait ni pesticides, ni déchets nucléaires.

      Il y avait juste des rendements agricoles médiocres, très dépendants des conditions climatiques, avec très peu de marge de manoeuvre : une pluie trop tardive ou un ensoleillement insuffisant et la famine menaçait. Et peu de progrès à ce niveau avant les apports extérieurs.

      Il y avait le manque d’hygiène. On ne faisait que peu bouillir l’eau pure de la rivière dans laquelle un chien crevé dans un coin déversait ses germes pathogènes.

      Le manque de connaissances médicales. Le soin d’une simple migraine était plus de l’ordre de la magie et de la superstition. Une crise d’appendicite tournait bien plus souvent à la péritonite mortelle. Et que dire des épidémies qui ravageaient parfois le pays ou le continent, ce jusqu’au milieu du XIXè siècle ! Avec comme point d’orgue la Grande Peste qui a tué le tiers du continent au XIVè siècle !

      Dans ces conditions, comment oser que la vie y était plus belle qu’aujourd’hui ???


    • Mmarvinbear mmarvin 14 septembre 2009 08:54

      "donc moins de pollution radioactive, moins de déchets (pour la petite histoire, rien qu’en France nous en avons deux millions de tonnes sur les bras, dont personne ne veut)"  : Ce chiffre, c’est n’importe quoi ! Il y a dans le monde un total de 250 000 tonnes de déchets radioactifs de toute nature. Un peu plus de 1 000 tonnes sortent chaque années en France et gagnent les fillières de traitement ou de stockage. Les déchets ultimes sont estimés à 50 000 tonnes.


    • janequin 14 septembre 2009 09:26

      Ce ne sont pas les déchets radioactifs qui polluent et qui font du mal. Les écologistes font une fixation sur le nucléaire, qui est cent fois moins dangereux que la chimie sous toutes ses formes, du moins lorsqu’elle n’est pas maîtrisée.

      Et cette même chimie, impliquée lors de la décomposition des matières organiques avec formation de composés toxiques (soufrés, aminés,...) est certainement responsable de la mauvaise qualité sanitaire des siècles précédent le 20ème.


    • olivier cabanel olivier cabanel 14 septembre 2009 09:40

      Jannequin
      je ne renvoie pas dos à dos nucléaire et chimie,
      je les mets tous les deux dans le même sac.
      cette fixation dont vous dites les écologistes faire, est heureusement partagée par un nombre de citoyens, bien au delà de l’écologie, fort heureusement.
      il est temps de tourner la page de cette énergie (nucléaire) qui est chère, désuette, dangereuse,et qui produit des déchets dont nous ne savons que faire.


    • olivier cabanel olivier cabanel 14 septembre 2009 09:46

      Marvin,
      vous dites que mon chiffre est n’importe quoi ?
      vous délirez.
      ouvrez les yeux,
      vous avez un outil formidable pour prouver ce que j’ai écrit,
      voici un lien parmi tant d’autres
      http://blog.francetv.fr/justedesideekiderangent/index.php/2009/02/03/104044 -alerte-a-la-contamination-aux-dechets-radioactifs
      bonne lecture.


    • olivier cabanel olivier cabanel 14 septembre 2009 09:56

      Marvin,
      je persiste et signe
      la vie est beaucoup plus polluée aujourd’hui qu’elle l’a jamais été.
      c’est même une lapalissade.
      bien sur l’espérance de vie était inférieure à aujourd’hui
      mais la raison est facile à comprendre.
      ce sont des statistiques.
      or, il y avait une mortalité enfantine très importante auparavant,
      surement des question d’hygiène.
      ce qui a plombé les statistiques.
      mais ceux qui survivaient vivaient bien mieux, et bien plus longtemps.
      et puis, il faudrait hélas évoquer la qualité de la vie.
      que pensez vous de ces personnes agées encasernées dans des maisons de retraite, souvent véritables mouroirs.
      ces personnes comptent dans les statistiques.
      aujourd’hui, on peut maintenir quelqu’un en vie pendant longtemps.
      mais quelle est la qualité de vie de ces personnes.
      pour résumer, je ne conteste pas le progrès d’aujourd’hui,
      je suis pour beaucoup de nos nouvelles technologies,
      je suis pour l’énergie photovoltaïque, l’internet, l’informatique,
      je ne suis pas pour retourner à la bougie,
      mais il y a une partie de nos progrès (ogm, nano-technologie, pesticides, engrais chimiques,nucléaire, etc etc) auquels je suis opposé.
      je pense que nous oublions souvent de respecter cette terre sur laquelle nous vivons,
      et qu’il y a un manque total de respect de l’équilibre de la nature chez beaucoup de nos chercheurs,
      le vaccin proposé en est l’une des preuves.


    • Mmarvinbear mmarvin 14 septembre 2009 13:51

      Oui, ce chiffre est n’importe quoi.

      Il ne faut pas confondre déchets nucléaires et résidus miniers.

      L’uranium est un élément NATURELLEMENT présent sur Terre. Notre planète est NATURELLEMENT radioactive.

      J’ai regardé le reportage en question, on le trouve sur Youtube sous-titré en italien. Il y avait pas mal de choses qui me genaient, comme le fait qu’aucun ordre de grandeur n’était donné pour expliquer les doses émises. En fouinant plus, l’exposition annuelle serait de l’ordre d’un scanner subi. Il est dommage que le reportage fasse l’impasse sur les éléments techniques mais accessibles pour laisser la champ libre à des scènes certes impressionnantes, renforcées en cela par une musique bien oppressante et anxiogène.

      Je dois dire être dubitatif en voyant le militant de la Criirad arpenter le parking fautif, son détecteur à la main, sans combinaison de protection ni même un masque. Si le niveau des radiations était dangereux, n’aurait-il pas eu à se protéger d’avantage, même pour une courte période ?

      Un élément me chagrine au sujet de la Criirad... Il semble que leur site ne soit pas trop à jour à ce sujet. La situation est bloquée au 14 mai 09.

      Il est d’ailleurs cocasse en lisant le compte-rendu du conseil municipal de la ville que le maire déplore que la Criirad se serait livrée à des actions de propagande pour défendre sa position au cours de réunions préliminaires : http://www.gueugnon.fr/ville/delib.htm ,page 16 et suite...


    • Mmarvinbear mmarvin 14 septembre 2009 13:53

      « mais ceux qui survivaient vivaient bien mieux, et bien plus longtemps. »  : même en période de guerre ou de famine ?


    • olivier cabanel olivier cabanel 16 septembre 2009 22:34

      Mmarvin,
      même en période de guerre ou de famine,
      de quelle période voulez vous parler ?
      2009 ?
      des bruits courent qu’il y aurait des guerres ?
      qu’il y aurait des morts ?
      qu’il y aurait des sans abris ?
      et une rumeur affirme qu’un employé de france télécom se serait défenestré ?
      heureusement, vous avez raison, aujourd’hui tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes...possible.
      courage.
      positivez.


    • Mmarvinbear mmarvin 17 septembre 2009 12:22

      On peut bien évidemment comparer la situation actuelle de la société française avec celle qui régnait au début des migrations barbares à la chute de l’empire romain.

      Ou comparer le calvaire des SDF actuels avec celui vécu par les francs lors des raids sarrasins et vikings au VIIIè - Xè siècles.

      Le mal-être des salariés de France Télécom avec l’épidémie de Peste Noire du XIVè siècle qui élimina le tiers de la population du pays. Le bacille devrait postuler à un poste de Directeur des Ressources Humaines, soit dit en passant.

      On peut aussi gloser sur la dure vie des chomeurs comparée à celle des Protestants lors des Guerres de Religions.

      La liste n’est bien sûr pas exhaustive.

      On peut aussi parler des années de famines qui ont précédé 1789, quand les mauvaises récoltes n’étaient pas compensées par les importations comme aujourd’hui.

      On peut aussi voir la chose sous l’angle de la médecine, quand une femme qui accouchait avait 5 % de chances (à peu près) de mourir sans que personne ne puisse rien y faire.

      Les blessures qui dégénéraient, la chirurgie embryonnaire, toutes ces petites choses qui faisaient qu’un homme ou une femme qui échappait à la mort juvénile ne dépassait pas souvent l’âge de 50 ou 60 ans. Sans système de retraite bien entendu. Le travail du berceau à la tombe, quel beau symbole... Celui qui perdait toute sa famille avant n’avait plus que les ponts ou les hospices, à trois ou quatre dans le même lit.

      Et aujourd’hui, dans un monde pollué aux hydrocarbures mais avec une médecine de pointe, aux champs emplis de pesticides, herbicides, et autres trucs en -ides mais à la nourriture exempte de germes pathogènes amusants tels qu’en ont encore les pays du Sud, avec un air aux quelques relents des milliers de Tchernobyls relachés pendant quarante ans, on arrive facilement à vivre 75-80 ans. Alors que les africains actuels qui ne connaissent ni hydrocarbures, ni pesticides, ni radio-éléments trépassent souvent 10 20 30 et même 40 ans avant selon les régions.

      A mon avis, le manque d’eau potable, de nourriture suffisante, de médecine et de paix civile et extérieure, bref tout ce qui caractérise le XXIè siècle européen, doit y être pour quelque chose...

      Sinon c’est à n’y rien comprendre...


  • patroc 11 septembre 2009 16:38

    Bon article. Perso, depuis que j ’ai liquidé un staphylo de la pire espèce (3 opérations, anti bio inefficaces) en moins de 10 jours (alors que je le trainais depuis des mois !) grâce aux huiles essentielles (tea tree et surtout origan pour le staphylo c’est radical !!!, je ne me soigne plus qu’à la phyto (depuis plus de 10 ans), et je n’ai plus jamais pris un seul médicament.. Je vais très bien !.. Dernièrement, à l’escalade, j’ai fissuré un morceau de ménisque du genou : les toubibs voulaient opérer, j’ai dit halte là, je sais me soigner tout seul !.. J’ai donc, avec du repos, fait une cure de prêle (dans toutes les sauces et salades) ainsi qu’un peu de silice en boisson et c’est reparti sans problème, le ménisque ayant ressoudé aussi rapidement qu’un os !.. Pour la grippe A, ils peuvent garder leur vaccin ou autre tamiflu, je vous conseille l’ail (les virus detestent l’ail !!!) ainsi que des tisanes de buis, ortie, anis étoilé, eucalyptus et thym.. Avec çà, vous pourrez vous balader au milieu des malades sans aucune inquiétude !.. Il suffit juste de tester pour s’apercevoir de l’efficacité des plantes, fruits ou légumes.. Et en plus, on ne grossit pas et on mange sainement, si possible bio bien sûr..


    • GITIBERT 15 septembre 2009 18:22

      bien entendu Bravo ! c’est, de mon humble avis le meilleur moyen de se battre contre ces lobbies mafieux que sont les labos, la médecine allopathique, les politiques et autres médiocres fonctionnaires qui aliènent les gens par leur incommensurable ignorance. La nature a tout mis à notre disposition..et ces gens, ces humains, passent le plus clair de leur temps à détruire, à polluer.. l’espèce humaine est la plus dangereuse prédatrice de la planète et nos politiciens ne sont que de sombres pauvres d’esprit. Que de sacrifiés au nom d’une science qui n’est qu’un lobby criminel.


    • olivier cabanel olivier cabanel 15 septembre 2009 19:32

      Gitiber,
      à mon tour de vous remercier,
      je crois qu’il y a de plus en plus de personnes qui prennent des distances avec « la médecine traditionnelle », surtout quand elle prescrit à tour de bras anti-biotiques, et vaccins,


  • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 16:45

    Patroc,
    merci d’avoir rappelé que l’ail est un puissant bactéricide,
    et très appréciable dans une salade, une bouillabaisse, et autres plats.
    je n’hésite jamais à l’utiliser,
    bien sur, l’haleine en prend un coup, mais si nos partenaires en prennent, çà n’a au fond aucune importance.


  • Jacques 11 septembre 2009 16:55

    Bonjour,

    Oui, l’homéopathie ne fonctionne pas uniquement avec des recettes « toutes faites »... néanmoins, des solutions génériques qui ont fait leurs preuves existes, comme l’explique l’homéopathe Bernard Biardeau dans l’article paru sur Energie-Sante.net : 
    Après à chacun de se faire sa propre opinion, suivant son propre goût du risque...

    • janequin 11 septembre 2009 17:47

      Tu as raison, Jacques, je suis un puriste (on dit uniciste dans le langage homéopathique). Je reconnais que certains mélanges peuvent avoir une action bénéfique, mais jamais ils ne permettront de prendre conscience du type de désordre de la santé que va atteindre le remède unique.

      J’avoue qu’intellectuellement, l’unicisme me convient bien par sa logique mathématique.

      Mais il faut, c’est vrai, être bien trempé, parce que l’amélioration dans une grippe apparaît souvent 6 heures après la prise, pour rétablir la santé le lendemain. Et c’est vrai surtout avec ses propres enfants..., qui, soit dit en passant, font peut-être un court épisode fébrile tous les cinq ans !


  • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 17:05

    Jacques,
    merci de ce lien supplémentaire,
    j’en profite pour vous rappeler qu’il a aussi écrit un livre dont les références sont dans mon article,
    (je ne suis pas intéressé à la vente de celui ci !)


  • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 19:19

    Néwick
    une preuve ?
    bien sur...
    http://www.boiron.com/fr/htm/homeopathie-veterinaire/animaux-homeopathie.htm
    mais en allant sur un moteur de recherche, vous en trouverez plus qu’il n’en faut,
    j’ai d’ailleurs écrit, il y a quelques temps, un article sur av qui traitait de çà.


    • Mmarvinbear mmarvin 13 septembre 2009 14:03

      Marrant... On te demande une preuve et la seule que tu donnes c’est un lien vers un site d’un laboratoire qui VEND des médicaments homéopathiques vétérinaires...


  • Pierrot Pierrot 11 septembre 2009 22:32

    Toutes les études sérieuses montre que l’homéopathie n’a aucune efficacité au delà de l’effet placebo.

    Autant manger un morceau de pain, c’est moins cher et bon.

    L’industrie homéopathique n’a jamais souhaité soumettre ses produits aux protocoles de mises sur le marché des médicaments.
    Ils savent que le résultat est patent : aucune efficacité.

    Seuls quelques gogos et médecins attirés par l’appat du gain facile le promeuent.


  • olivier cabanel olivier cabanel 11 septembre 2009 22:41

    Pierrot,
    vous êtes évidemment toujours dans l’autre camp.
    du mauvais coté.
    vous êtes pro-nucléaire, anti homéopathie,
    rassurez moi, vous n’auriez pas voté sarko ?
    çà vous ferait beaucoup d’handicaps.
    je vous ai donné dans cet article des statistiques.
    elles sont là,
    incontournables.
    indéniables.
    elles prouvent que les vaccins et la médecine traditionnelle n’ont rien a envier de l’homéopathie, bien au contraire.
    elles prouvent que nous devrions songer à prévenir plutôt qu’a guérir.
    connaissez vous le prix d’un cancer ?
    entre 3000 et 6000 euros par mois.
    une bonne partie de ceux ci sont du à l’activité nucléaire.
    lorsque l’on connait le deficit de la sécu, on pourrait imaginer d’autres façons de se soigner, moins onéreuses, plus respectueuses de l’environnement.
    libre à vous de ne pas en tenir compte.
    n’hésitez pas à vous vacciner pour la prochaine grippe A...
    ce serait dommage de ne plus avoir sur ce post vos commentaires de mauvaise foi,
    mais enfin, c’est vous qui voyez.


    • Paul Muad Dib 12 septembre 2009 10:50

      Salut Olivier, merci de cet article, nous sommes adeptes de l’homéopathie chez nous,c’est ma femme qui gère cela, elle a déjà quelques talents innés de guérisseur...
      on en est content...certains ici parlent aussi de nourriture, je donne quelques trucs qui marchent pour moi , je profite du sujet..
      premier truc : intestins dérangés pendant 10 ans « irritable bowel syndrome » ,mis dans le vocable fourre-tout en francais de « colites » ..8 années de fatigue énorme,handicapante, traitement traditionnel inefficace , me nourrir de produits complet, pâtes,riz,pain, et légumes a résolu le problème en quelques semaines...
      - eau salée pour laver les dents, un truc de dentiste en Irlande , super pour moi et ma famille
      -le pain de seigle,genre 1 tranche par jours , pour les problèmes de circulation et hémorroïdes, ca demande de la patience, ca ne supprime pas le problème qui semble revenir après arrêt, mais pendant la prise de seigle ,c’est efficace, pour ceux qui connaissent ,...ma femme était dépendante de veinamitol, plus de médicaments depuis..
      bon etc etc...tout regrouper a nouveau ces « trucs » serait génial...
      dernière chose petite recette préventive goutteuse façon indienne,, je suis cuisinier,
      cuire en petits morceaux ,oignons,ail,champignons,poivrons sans peau,tomates ,ajouter sel,poivre,anis étoilée,curry, un peu de chilli fort, thym,laurier,sauce soja... après ébullition,cuire lentement a feu doux, genre 30 minutes..ensuite mixer ou pas suivant votre goût, ca se garde environ 1 mois au frigo, voir plus, on ne peut plus s’en passer ,avec riz,pommes de terres,pâtes,poisson,viande ,légumes c’est génial..
      encore merci de cet article...salutations..


    • olivier cabanel olivier cabanel 12 septembre 2009 11:03

      Paul,
      merci de tous ces précieux conseils dont les lecteurs vont, j’espère, faire leur « choux gras », et a bientôt sur un autre fil.
      je prépare quelque chose sur la voiture électrique.


    • janequin 12 septembre 2009 20:27

      C’est sûr, Paul, que les mirabelles et les questsches de fin août-début septembre ne conviennent pas dans ce cas-là... LOL !


    • olivier cabanel olivier cabanel 14 septembre 2009 05:19

      Newick,
      sur le prix du cancer, je confirme les chiffres, entre 3000 et 6000 euros, ils sont faciles a retrouver, allez sur google, tapez « prix du cancer », et vous aurez sous les yeux la preuve de ce que j’ai écrit,
      argument que l’on retrouve dans un article que j’ai écrit dans av, il y a peu.


    • olivier cabanel olivier cabanel 14 septembre 2009 15:18

      Newick
      désolé si vous avez eu le sentiment que je ne répondais pas entièrement à vos commentaires,
       mais si vous relisez attentivement tous (et pas seulement les votres) et les réponses que j’’ai pu y faire, vous aurez normalement de nombreux éléments de réponse.
      sinon n’hésitez pas à me faire savoir à quelles questions (question) je n’aurais pas répondu.


  • Serge Serge 12 septembre 2009 13:26

    Au delà du matraquage politico-médiatique sur cette « pandémie à venir » se révèle aussi de quelle façon est considérée « la France d’en bas » par le Ministre de l’Intérieur, le sieur Hortefeux...cette France,c’est à dire vous,est ravalée au rang de bétail...
    Dans une circulaire du 21/08/2009 ce triste personnage précise les modalités de la vaccination,à savoir...« 30 INJECTIONS PAR HEURE ET PAR AGENT VACCINATEUR »
     Je vous laisse apprécier une telle directive !!!


    • olivier cabanel olivier cabanel 12 septembre 2009 14:13

      Serge,
      Hortefeux est depuis longtemps la honte porte drapeau de ce gouvernement,
      dans l’alffaire de racisme qui est aujourd’hui au devant de la scène médiatique, sa défense est tout simplement inqualifiable
      il n’a même pas le courage de reconnaître sa faute, et d’affirmer son racisme.
      mais le plus à plaindre, c’est celui qui a été mis en cause, et qui fait profil bas.
      çà s’appelle la lâcheté.


    • Mmarvinbear mmarvin 13 septembre 2009 14:23

      Ou est le problème ?

      Je me suis fais vacciner contre la grippe l’an dernier. La totalité de l’opération (désinfection, injection) ne prend même pas une minute.

      On est loin des cadences infernales.


  • Mmarvinbear mmarvin 13 septembre 2009 14:21

    Le problème de base qui se pose avec l’homéopathie, c’est sa justification scientifique.

    Aucun homéopathe ou partisan n’est jamais arrivé à démontrer le fonctionnement de cette méthode. Et nous sommes pourtant assez avancé technologiquement pour pouvoir le démontrer...

    Il y a bien eu la « mémoire de l’eau » de Benveniste, mais dès le départ des problèmes de procédures scientifiques ont entaché ces travaux. Les essais refaits ont montré la non-reproductibilité de ses expériences, ce qui ne peut laisser la place qu’à une conclusion : la fraude. Ce d’autant plus que Benveniste était en grande partie financé par un célèbre laboratoire homéopathique jusqu’en 89. Un labo dont le nom commence par un B, je vous laisse deviner lequel...

    Le second point qui me pose problème est que l’homéopathie actuelle viole un principe fondateur de son créateur : Hannemane avait démontré que " En général, il est incroyable combien ce médicament, de même que tout autre, perd de sa force lorsqu’on le fait prendre sur du sucre, par exemple, ou qu’après l’avoir instillé dans une liqueur, on ne remue pas celle-ci. Mais il ne faut pas non plus, après avoir remué la dose, la laisser plusieurs heures sans l’administrer : le véhicule, ainsi tranquille, subit toujours quelque peu de décomposition, ce qui affaiblit ou même détruit les médicaments végétaux mêlés avec lui."

    Or la plupart des préparations homéopathiques actuelles sont faites à base de sucre...

    Comprenne qui pourra...


    • olivier cabanel olivier cabanel 14 septembre 2009 06:00

      MMarvin,
      après toutes les réponses que vous avez eu, vous continuez de nier l’efficacité de l’homéopathie,
      à ce stade de ce que l’on pourrait appeler facilement l’obscurantisme, j’ai peur qu’il n’y ait plus grand chose à faire pour tenter de vous faire comprendre la réalité homéopathique.
      vous avez eu sous les yeux, en chiffres statistiques, donc indéniable, (à part douter des statisticiens), et pourtant vous continuer à ne pas vouloir comprendre que l’alternative homéopathique est une alternative crédible,
      alors désolé, mais vous vous mettez vous même dans l’impasse.


  • janequin 13 septembre 2009 15:58

    Je suis désolé, mmarvin, les cas mortels de la grippe de 1918 présentaient, selon wikipédia lui-même, « une mousse sanguinolente qui s’échappait des lèvres », cela signant l’atteinte pulmonaire. Le caractère hémorragique des cas mortels existait bel et bien.

    Et comme les moyens diagnostics étaient de qualité très moyenne, il n’y avait pas moyen de savoir d’où venait cette atteinte pulmonaire hémorragique.

    Le terme « mémoire de l’eau » ne signifie absolument rien. La fraude en question peut très bien venir de Randi et du Lancet. Pourquoi leur donner un blanc seing ? Simplement parce, tout en n’y connaissant rien, ils dénigrent l’homéopathie ? Allons, allons, soyons sérieux.

    En ce qui concerne le mécanisme d’action, il faut savoir qu’on ne connaît le mécanisme d’action - au niveau de la chimie et le la molécule - que de moins d’un pour cent des médicaments. Obtenir une AMM ne signifie pas qu’on sache comment la molécule agit précisément. On a de vagues présomptions, mais c’est tout.

    On peut très bien savoir mathématiser un phénomène, sans comprendre comment il a lieu. On a la connaissance des lois de la gravitation, et pourtant, on s’évertue toujours à essayer de comprendre ce qu’est cette gravitation.

    De la même manière, les lois de l’homéopathie (similitude) sont évidentes pour celui qui la pratique selon la méthode stricte, mais le mécanisme du phénomène lui-même nous est encore largement inconnu. Perso je pense qu’il faudrait explorer la résonance paramagnétique électronique pouvant apparaître entre les niveaux zeeman du dioxygène. Mais cela, pour vous, c’est du chinois, et peu de médecins sont capables d’avancer jusque là.

    Il faut savoir que de grands noms de la médecine, tel le professeur Luc Montagnier, s’intéressent aux phénomènes en question. Une vidéo est parue sur Agoravox il y a quelque temps.

    Personnellement, je m’en fiche de Boiron, et n’ai aucun conflit d’intérêts, n’étant pas médecin et donc ne pouvant pas percevoir de pots de vin. LOL !

    Par contre, j’ai intérêt à connaître la manière d’utiliser l’homéopathie si je veux permettre à mon entourage familial d’être en meilleure santé possible. Et si on ne trouve plus ces remèdes dynamisés, je les ferai moi-même.


    • Mmarvinbear mmarvin 13 septembre 2009 20:14

      « Le caractère hémorragique des cas mortels existait bel et bien. » : Je suis bien d’accord que dans certains cas, une atteinte aux poumons tellement forte puisse provoquer une telle hémorragie, mais ce ne fut pas le cas de toutes les personnes atteintes, loin de là !

      Un virus véritablement hémorragique, comme Ebola ou Lhassa vous font vider de votre sang par tous les trous et même en dedans.

      Il est donc grandement abusif de parler de grippe hémorragique.


    • janequin 13 septembre 2009 20:22

      Oui, mais celles qui sont mortes sont bien mortes de pneumonie. Les personnes atteintes mais qui n’ont pas eu de complication respiratoire ne sont pas mortes.


    • Mmarvinbear mmarvin 13 septembre 2009 22:31

      Exact. Mais la pneumonie n’a rien d’hémorragique. Les écoulements de sang ne sont pas systématiques.


    • janequin 14 septembre 2009 19:52


      Lorsque je lis en détail les modes d’actions fournis par rxlist, je me rend compte de la pauvreté de la connaissance concernant le mécanisme chimique de l’action du médoc. L’impact du médoc en tel point de la protéine qui se transmet en un autre endroit pour permettre l’action curative nécessite une transmission chimique qui est généralement très mal étudiée. Je demande à connaître le mécanisme au niveau de la molécule, de la chimie intime, car c’est bien là ce que vous demandez pour l’homéopathie, à savoir de connaître le mécanisme intime de la similitude.

      Tout ce qui se trouve à la surface de la terre est baigné depuis les temps immémoriaux dans un champ magnétique, qui a varié, certes, en intensité, en direction, voire en sens, mais qui est de l’ordre d’une dizaine de microtesla.

      Le dioxygène étant paramagnétique (état triplet), ce champ fait apparaître trois niveaux d’énergie entre lesquels peuvent être absorbées (ou émises) des ondes électromagnétiques de faible fréquence. La fréquence de ces ondes e.m. dépend de l’environnement chimique du dioxygène, et en particulier, de la disposition des molécules d’eau autour de cette molécule d’oxygène, disposition régie par l’« existence de liaisons hydrogène importantes, et dont la réalité peut être vérifiée en spectroscopie infrarouge.

      On a constaté expérimentalement que l’absence d’oxygène lors de la succussion (dilution+ agitation très forte) faisait disparaître toute activité au remède. Donc l’oxygène dissous et piégé dans les clusters de molécules d’eau ou d’alcool (qui présente aussi des liaisons hydrogène) est primordial pour que ces remèdes agissent.

      Je me demande donc si, en fonction de la nature des remèdes utilisés, l’arrangement des molécules d’eau autour des molécules d’oxygène ne se fige pas dans une certaine configuration, imposant aux états énergétiques apparus sous l’effet du champ magnétique terrestre une valeur précise.

      Evidemment, pour qu’il y ait interaction avec le vivant, il faut que dans la cellule existent des molécules paramagnétiques capables d’absorber ou d’émettre des fréquences du même ordre, fréquences capables d’entrer en résonance avec l’oxygène (phénomène classique en électromagnétisme).
      Si, en plus, les différences d’énergie entre ces niveaux ont un impact important sur la vie cellulaire et varient en fonction de celle-ci (grâce à l’environnement chimique), on peut poser comme hypothèse que ces molécules paramagnétiques vont acquérir une configuration nouvelle en émettant une ondes qui entre en résonance avec l’oxygène. Je me demande donc si le »remède homéopathique" n’est pas en fait un dipôle magnétique fixe dont la proximité va perturber les dipôles variables qui existent dans la cellule ( je pense par exemple au monoxyde d’azote, qui est, lui aussi une molécule paramagnétique à l’état doublet.


    • janequin 15 septembre 2009 13:02

      De toutes façons, vous ne connaissez rien à l’homéopathie, Néwick !
      Alors, pourquoi vous mêlez-vous de ce qui vous échappe et vous passe largement au-dessus de la calotte.


    • olivier cabanel olivier cabanel 15 septembre 2009 13:56

      Néwick,
      pour prolonger ce passionnant débat, je vous invite sur le nouvel article : « ces plantes qui tuent les virus »,
      à+


    • janequin 15 septembre 2009 15:26

      En ce qui concerne les études fiables, avec ce qui se passe en se moment, en particulier aux EU, on peut se demander s’il y en a quelque part que ce soit pour l’homéo ou pour la méecine classique. Tout peut être manipulé. Alors...

      Je crois ce que je vois, et je vois que, lorsque j’applique la loi de similitude, mes enfants, ma femme, les animaux que je côtoie guérissent immédiatement.

      ça, c’est de la science, car il n’y a de science qu’expérimentale (pas nécessairement au labo, mais je parle d’observation. Notez que le labo, je connais !)

      Et je n’ai pas besoin de comprendre comment ça fonctionne pour l’appliquer. Comme déjà indiqué,on n’a pas besoin de savoir comment fonctionne la gravité pour pouvoir expliquer le mouvement des planètes.

      A+


    • olivier cabanel olivier cabanel 15 septembre 2009 15:37

      Jannequin,
      merci de cette intervention claire.
      lorsqu’on utilise un médicament, quel qu’il soit, lorsque on en constate les effets, on n’a pas besoin de statistiques.
      pour moi, l’infludo, cité plus haut, est vraiment un médicament efficace (et pas cher)
      malheureusement pas remboursé par la sécu,
      mais, il n’est pas cher, alors...


    • janequin 15 septembre 2009 17:48

      J’aimerais bien savoir, Philippe, comment je pourrais faire du pognon avec, moi qui n’ai pas le droit d’exercer une profession où je touche à la santé d’autrui ? Peut-être en allant m’installer en Allemagne, certes, où l’on peut devenir « Heilpraktiker » sans diplôme de médecine.

      Non, je n’ai aucun intérêt financier, les deux seuls pistes que vous pouvez suivre, c’est mon intérêt pour la santé de ma famille et mon intérêt scientifique.

      Bon, si vous voulez comprendre l’homéo, il faut lire at relire - je l’ai fait une vingtaine de fois - un bouquin tel que les « principes de thérapeutique homéopathique » d’Eugène Beauharnais Nash. C’est un bouquin écrit en 1898, et qui est beaucoup moins coriace que l’Organon de Sam.

      Au début, quand on est habitué à la nosologie classique, on ne comprend strictement rien à ce qu’il raconte, puis, on se rend compte que la nosologie découlant de l’application du principe de similitude est totalement différente de la nosologie classique. Et j’écris bien :
      découlant de l’application du principe de similitude
      C’est-à-dire que l’on ne classera pas les maladies selon ce qu’il nous apparaît « à fleur de peau », mais selon le remède qui atteindra un grand nombre de souffrances diverses et cataloguées comme complètement différentes classiquement.

      Ainsi, on sait que toutes les affections qui nécessitent Bryonia ont en commun de présenter des douleurs très aggravées au mouvement. Ce peut-être une pleurésie, une phlébite, une méningite, une paralysie a frigore, même une péritonite, si la personne ne peut pas bouger sans laisser échapper un cri de douleur, celui qui pratique l’homéopathie sait que le premier remède auquel il doit penser est bryonia.
       
      Cela pousse bien dans les fourrés, et c’est rassurant, car on pourra toujours en avoir. Maintenant, la racine de la bryone est bien toxique - sinon les symptômes toxicologiques développés ne seraient pas si violents.

      Perso j’ai déjà vu, de mes yeux vu, une paralysie a frigore du bras, avec grande douleur au moindre mouvement et qui nécessitait l’hospitalisation, disparaître en une minute grâce à Bryonia dynamisé. On y croit même pas tellement c’est rapide.

      Maintenant ce signe très net - aggravation au moindre mouvement - fait penser en premier à Bryonia, mais d’autres remèdes le possèdent aussi, le répertoire de Kent en donne16 au degré maximum. Il faut donc d’autre signes pour circonscrire le remède. Parmi ces signes, certains sont toxicologiques, d’autres ont été obtenus au chevet du malade, par apparition répétée de ces signes quand le remède, chois sur ses signes toxicologiques, avait un effet maximum. par exemple, pour Bryonia, un signe important est la concomitance d’un refroidissement ou d’un réchauffement brusques avec l’apparition des douleurs (signe ab usu in morbis). Ou encore une très forte sécheresse des muqueuses buccales, mais aussi intestinales (toxico). Mais aussi amélioration des douleurs par la pression.

      Tous ces signes concomitants convergent vers Bryonia, et, bien entendu, un logiciel a été conçu qui permet de réaliser plus rapidement cette concomitance.

      C’est d’abord cela l’homéopathie.
      Vient le problème de la dynamisation. Hahnemann, aux débuts de sa découverte, utilisait ces substances à la limite de la dose toxique, et avait des résultats, soyez en sûrs, sinon il n’aurait pas pu persévérer. Il a donc voulu diluer les teintures-mères qu’il fabriquait..., sans résultat. C’est-à-dire qu’il se passait ce que nous aurions tous attendu à sa place.

      Pourquoi a-t-il eu l’idée d’agiter très fortement ses dilutions ? Personnellement, je n’en sais rien. C’est peut-être là le propre des génies. Ce qui est sûr, c’est qu’il a découvert cette propriété étrange et l’a mise en pratique. Cependant, la dynamisation n’est pas l’essentiel de l’homéopathie, ainsi que l’écrit Nash p 85 : il a utilisé aussi bien une dynamisation au 10000ème qu’une autre, de l’ordre de10^-30. La pointe de l’homéo, c’est de trouver le remède qui a a fait apparaître (toxico) ou guéri le maximum des signes présentés par le malade.

      Il est vrai que la lecture de personnes désignées comme de grands homéopathes (Hahnemann, Kent) nous laisse parfois sur notre faim, car ils sont trop dogmatiques. Je préfère nettement un Nash qui montre vraiment comment il faut la pratiquer. Et c’est un travail intellectuel très long mais exaltant.


    • janequin 15 septembre 2009 18:17

      Cela veut dire quoi « scientifiquement », Philippe ? Vous savez, je suis bien mieux placé que vous pour savoir ce que cela signifie.

      Si quelqu’un souffrait de l’abdomen avec un fièvre élevée, je l’emmènerais à l’hôpital, tout en lui donnant le remède le plus semblable - et c’est souvent Bryonia.On verra à l’arrivée...

      Et la théorie des signatures, ont s’en tape vraiment. Tout ce qu’ont fait Hahnemann et ses successeurs, ce sont des études purement expérimentales, et c’est cela qui est scientifique, et non pas ce que dit tel ou tel. Revenez à l’expérience, il n’y a que cela de vrai.


    • janequin 15 septembre 2009 19:36

      Tout simplement parce les expérimentateurs n’ont pas fait d’homéopathie ! LOL !


  • janequin 13 septembre 2009 16:04

    En ce qui concerne le problème du sucre, il faudrait savoir de quelle édition de l’organon vous tirez cette sentence, car Hahnemann a édité 6 version de son ouvrage théorique - dan sle langage d el’époque, bien sûr - et il a modifié assez profondément de nombreux chapitres, cela au fur et à mesure de l’avancée de ses découvertes.

    Il a donc testé différentes méthodes d’administration du remède, et ce qu’il en dit dans la 6ème édition est parfois en réelle contradiction avec ses propos de la 4ème édition, preuve même qu’il n’y avait là aucun immobilisme de sa part. C’est là l’attribut du véritable chercheur.

    On peut évidemment reprocher à ses successeurs de ne pas avoir approfondi théoriquement la méthode, mais si c’est de l’ordre de ce que j’ai dit plus haut, vous reconnaîtrez que ce fut longtemps un vain espoir.


  • verbre verbre 14 septembre 2009 20:41

    Les arguments de Janequin me font penser à ceci (ça s’adresse aux sceptiques et scientifiques, et pourra paraître bien naïf) :
    A-t’on trouvé scientifiquement pourquoi notre corps se dégrade et nous mourrons ?
    Hi hi hi...


    • olivier cabanel olivier cabanel 15 septembre 2009 16:31

      Philippe Boiron,
      tout d’abord je tiens à vous rassurer, je n’ai aucun accointance financière avec les laboratoires Boiron, d’autant qu’infludo que j’ai évoqué est de chez velleda.
      pour le reste, permettez moi de ne pas être d’accord.
      l’efficacité d’un produit se mesure à sa réussite sur le terrain,
      or les nombreux exemples que j’ai donné prouvent que l’homéopathie est bien plus efficace que les vaccins,
      si les exemples donnés remontent au siècle dernier, c’est que fort heureusement, les pandémies sont fort heureusement assez rares depuis quelques années.
      maintenant, si vous préférez vous faire vacciner, libre à vous.
      en tout cas, vous ne pourrez pas dire que vous n’avez pas été prévenu.
      si votre emploi du temps vous le permet, vous pouvez donner votre avis sur le dernier article publié « les plantes qui tuent les virus »,
      nous attendons avec impatience votre plume acerbe.


    • olivier cabanel olivier cabanel 15 septembre 2009 16:32

      euh, bien sur, il fallait lire « philippe Reneve »,
      je doute que vous soyez de la famille Boiron...
      désolé.


    • janequin 15 septembre 2009 18:35

      Tout ce qu’on peut vous proposer, Philippe, pour répondre à votre questionnement, c’est que vous vous mettiez à étudier l’homéopathie et de la pratiquer.

      Allons ! Au travail !


    • janequin 15 septembre 2009 18:36

      Tout ce qu’on peut vous proposer, Philippe, pour répondre à votre questionnement, c’est que vous vous mettiez à étudier l’homéopathie et à la pratiquer.

      Allons ! Au travail !

      (L’édition sur ordinateur est un piège à orthographe)


    • janequin 15 septembre 2009 19:38

      Alors fichez-nous la paix !


    • janequin 15 septembre 2009 19:44

      C’est fin ! Ces manipulateurs-là, je les exècre.


    • janequin 15 septembre 2009 19:55

      Parce qu’il faut avouer qu’il y a du vrai dans ce que vous dites en ce qui concerne pas mal de personnes qui se donnent le titre d’homéopathe..., et qui ne pratiquent ni homéopathie, ni d’ailleurs quoi que ce soit. Ils gagnent des sous à gruger les patients, en marmonnant des mantras ou autre chose pendant la consultation.

      Et c’est assez tentant de verser dans l’ésotérisme quand on est dans le midi, qu’il y a trop de médecins au m2. ça peut rapporter gros. Et là, personne ne dit rien.

      Il m’est arrivé d’avoir des prises de bec avec ces soi-disant homéopathes, qui vous regardent de haut comme les autres médecins.

      Ils feraient de se cacher six pieds sous terre.

      Les personnes qui pratiquent la loi de similitude, celles-là ne sont pas vraiment majoritaires, d’après mon expérience.


    • janequin 15 septembre 2009 20:56

      je m’en fiche que les granules ne soient pas remboursés, pourvu que leur prix demeure à 1,8 €.

      Et pourvu que je puisse m’en procurer, voire les fabriquer moi-même.
      Ce qui coûte quand on pratique la méthode homéopathique, c’est le temps de la recherche du simillimum.


    • olivier cabanel olivier cabanel 15 septembre 2009 16:24

      le Furtif,
      désolé d’avoir interverti involontairement votre pseudo,
      mais avouez qu’entre le furtif et le perfide, la marge est mince.
      j’aimerais au passage que vous nous expliquiez en détail ce que sont les « mercenaires de la cendre de mulot » ?
      une nouvelle secte ?
      un parti politique ?
      en tout cas, çà promet d’être passionnant,


  • olivier cabanel olivier cabanel 15 septembre 2009 15:32

    Le perfide,
    votre approche du sujet un peu surréaliste me laisse à penser que vous devriez ralentir votre consommation de psychotropes.
    ou alors, soyez sympa, explicitez pour le mécréant que je suis le sens profond de votre prose, je vous avoue avoir un peu pataugé.
    d’accord ?


    • olivier cabanel olivier cabanel 15 septembre 2009 16:25

      Philippe Reneve,
      çà ne tient qu’à vous de nous éclairer.
      j’imagine une chouette explication.


    • olivier cabanel olivier cabanel 15 septembre 2009 17:41

      Le Furtif,
      mes préoccupations artistiques n’ont pas grand chose à voir avec le contenu de l’article, et je déplore que le personnel de l’hopital ne vous ait pas encouragé sur la piste homéopathique,
      par ces temps ou ils sont débordés de travail, et manquent de personnel, ce serait pour eux une manière de résoudre une partie de leurs problèmes.


  • Annie 15 septembre 2009 16:33

    Je suis très partagée à propos de l’homéopathie (je dis toujours cela pour ne passer pour une parfaite imbécile), mais j’avoue y avoir recouru pour des piqûres d’abeilles pour mes enfants (apis mellifica) et pour les bleus (arnica).
    J’espère Olivier que vous nous ferez l’honneur ensuite d’un article sur les magnétiseurs. Dans mon village de l’Isère, il y avait un poissonnier qui était aussi magnétiseur (non cela ne s’invente pas). Tous les médecins du coin lui envoyaient sous le manteau les patients atteints de zona, surtout des zonas à l’oeil qui sont extrêmement dangereux. Pour avoir été témoin, ces zonas disparaissaient en l’espace de 8 à 10 jours. Je précise que ce poisonnier/magnétiseur ne se faisait pas payer. Il est malheureusement mort et il n’y a plus de poisonnerie à Roussillon, mais son fils a pris la relève dans une autre commune.


    • olivier cabanel olivier cabanel 15 septembre 2009 17:39

      Annie,
      pour les piqûres d’abeilles, il y a un remède facile et efficace,
      çà marche aussi pour toutes les piqûres d’insectes, moustiques etc
      il faut avoir un briquet sur soi, et réagir quelques secondes après la piqûre.
      en approchant doucement la flamme, sans se bruler bien sur, d’endroit piqué, on guérit instantanément le piqûre, sans laisser la moindre trace.
      au moins essayez, à la prochaine grippe, ou au prochain refroissement, infludo.
      c’est velleda qui fabrique, ça ne coute pas cher, et pour l’utiliser régulièrement, c’est très efficace si on l’utilise des le début de la grippe.
      c’est un remède homéopathique.
      pour les magnétiseurs, c’est une bonne idée,
      j’y penserait.
      même si je m’attend à quelques réactions.


    • janequin 15 septembre 2009 17:58

      Ben si, justement, Philippe, c’est parce qu’Arnica est homéopathique à la douleur survenant après un traumatisme qu’il agira, même en solution à 7%.

      Voyez, je suis sûr que vous ne comprenez pas pourquoi j’ai utilisé cette tournure de phrase. Et pourtant c’est là l’essentiel.

      Toute substance qui marche bien est généralement homéopathique à un ensemble de symptômes. Le malheur de la médecine classique c’est qu’elle a perdu le moyen d’individualiser.


    • olivier cabanel olivier cabanel 16 septembre 2009 06:31

      Philippe Renève,
      vous dites que chauffer la piqûre ne marche pas toujours,
      pour ma part, il n’y a jamais eu d’échec, à condition bien sur d’intervenir très rapidement,
      si on laisse le « poison » se diffuser, il est évidemment trop tard.


    • ZEN ZEN 16 septembre 2009 11:16

      Nos manifs pro-smileys ont donc produit leurs fruits
      Merci qui ? smiley


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