Soigner ou vacciner ?
Au moment ou l’on essaye de nous fourguer des masques peu efficaces, des vaccins discutables, ou du Tamiflu dangereux, il est peut être temps de choisir une autre façon de lutter contre la grippe A.
Ce remède à un nom : l’homéopathie.
Bien sûr, dans le clan des sceptiques, les sourires vont fleurir.
Il faut pourtant s’interroger sur l’alternative sérieuse que représente l’homéopathie.
D’abord, pour faire taire une fois pour toute l’affirmation qui voudrait que l’homéopathie ne soit qu’un placebo, il faut rappeler une chose.
L’homéopathie sert aussi à soigner les animaux.
Or, dans ce cas précis, il paraît difficile, voire impossible d’évoquer l’effet placebo, puisque l’animal ne se pose aucune question, ce qui ne l’empêche pas de guérir avec l’homéopathie.
Si l’on compare, dans le cadre de la lutte contre le virus h1n1, l’efficacité des remèdes proposés par l’OMS, et celle de l’homéopathie, il n’y a pourtant pas photo.
Histoire :
En 1918, la grippe espagnole fait rage.
Elle frappe les Etats-Unis et en 4 mois elle terrasse 80 millions d’habitants sur la planète, qui sont pour la plus grande part des jeunes et des femmes enceintes.
trois ans après les statistiques démontrent l’efficacité incontestable de l’homéopathie.
Le docteur T.A.Mac Cann, de Dayton (Ohio) rapporte que sur 26000 personnes traitées à l’homéopathie, le taux de mortalité est de 1,05%.
C’est l’utilisation du Gelsemium et du Bryona qui a manifestement guéri les patients.
Le docteur W.A Pearson de Philadelphie arrivait au même résultat sur 26795 cas.
A l’époque, le taux de mortalité s’élevait à 28,2% dans le cas des malades traités traditionnellement.
Une Homéopathe, la doctoresse Ingrid Schutt, a brossé un historique sur l’efficacité de l’homéopathie sur une longue période de 2 siècles.
Le constat est sans appel.
Lors de l’épidémie de choléra de 1830, le taux de mortalité avec les traitements conventionnels est de 40 à 80%.
Or le docteur homéopathe Quin rapporte un taux de mortalité de 10% pour les patients soignés avec l’homéopathie.
Dans les années 1850, lors de la fièvre jaune qui sévit dans le sud des états-unis, le taux de mortalité était de 15 à 85 % chez les patients traités à l’allopathie, et de 5 à 6% pour ceux soignés à l’homéopathie.
On arrive aux mêmes résultats lors des épidémies de diphtérie de 1860 à New York.
Les témoignages concernant l’efficacité de l’homéopathie sont nombreux.
Le docteur Wieland, de Chicago a déclaré à l’époque : « dans une usine de 8000 ouvriers, nous n’avons eu qu’un seul décès, et n’avons utilisé ni vaccin, ni aspirine »
Le docteur R.S Faros ; de Richmond affirmait « je n’ai eu que 5 décès sur 618 cas grâce à l’homéopathie »
Le docteur Swartwout, de Washington pour sa par écrivait : « 7 praticiens ont rapporté 6 décès uniquement sur 3600 cas, et pour ma part je n’ai eu qu’un décès sur 750 cas, en utilisant Gelsemium, Bryonia et Eupatorium ».
Un rapport paru en 1993, émanant des docteurs C.Peter (chef de service), et C. Fremont directeur général de la CPAM (caisse primaire d’assurance maladie) est catégorique :
14 % des sujets vaccinés ont eu la grippe, contre 13% chez les sujets non vaccinés. lien
A lire aussi, le rapport de 38 pages du docteur marc Girard « grippe porcine : vacciner ou pas »
Pour ceux qui sont maintenant convaincus de l’efficacité de l’homéopathie pour lutter contre la grippe A, je vous propose les conseils d’un autre homéopathe, Bernard Biardeau : lien
(Il est l’auteur d’un livre « l’homéopathie au fil de la vie », paru aux éditions Médicis, 2009)
D’abord il faut alterner tous les mois, et des maintenant une dose de :
le premier samedi= influenzinum en 30 CH ou 200K
le deuxième samedi Gelsenium en 30 ch ou 200 K
le 3ème samedi, Bryonia en 30 CH ou 200 K
ensuite, il faut reprendre Gelsemium ou Bryonia en 30 CH ou 200 K après chaque « bain de foule » une fois par semaine tant que perdurera la pandémie,
Enfin, il faut reprendre Gelsemium et Bryonia en 30 CH ou 200 K en alternance tous les trois jours s’il y a des contacts permanents et rapprochés avec des personnes supposées contagieuses (personnel soignant ou particulier soignant des grippés).
car comme disait un vieil ami africain :
« Grande est la force de la douceur » à moins que ce ne soit Constantine Hering qui ait prononcé cette phrase qui résume si bien l’homéopathie.