jeudi 3 octobre 2019 - par LATOUILLE

Vérité, informations, place et valeur de l’Homme (1er volet : le malaise policier)

Jamais écrire sur la place de l’Homme dans la politique ne m’est apparu comme aussi essentiel. Le décès de Jacques Chirac a été l’occasion pour l’évêque de Paris de prononcer une homélie dans laquelle il a rappelé que l’objectif et la finalité de la politique c’est la recherche du bien commun : « Nous le savons aussi, le bien commun n’est pas l’intérêt général car celui-ci peut supporter le sacrifice et l’oubli du plus faible. » Aujourd’hui le « plus faible » est oublié autant par les politiciens que par les journalistes.

 

Le plus faible ce n’est pas que celui qui n’a pas d’argent, pas de maison, ni que celui qui est atteint par la maladie ou le handicap. Aujourd’hui, plus que jadis, dans un monde de communication, le plus faible c’est celui à qui on ne donne jamais la parole. Pierre Rosanvallon a très bien parlé de ce « plus faible » dans son livre Le Parlement des invisibles (ed Seuil) : « Le pays ne se sent pas représenté. Les existences les plus humbles et les plus discrètes sont certes les plus manifestement concernées. Mais le problème est plus général et vaut pour toutes les composantes de la société. La démocratie est minée par le caractère inaudible de toutes les voix de faible ampleur, par la négligence des existences ordinaires, par le dédain de vies jugées sans relief, par l’absence de reconnaissance des initiatives laissées dans l’ombre. La situation est alarmante, car il en va à la fois de la dignité des individus et de la vitalité de la démocratie. » Et, mardi 1er octobre sur France Info Monseigneur Aupetit, évêque de Paris, a dit fort justement qu’il pouvait ne pas aller manifester puisque sa parole est portée par les médias mais qu’il ne reste que la manifestation dans la rue pour ceux qu’on n’écoute jamais.

 

J’ai parlé de ce phénomène social, le refus de prise en compte de la parole des humbles, dans mon livre Gilets Jaunes[1] ; j’expliquais surtout comment les médias plus particulièrement les chaînes d’information en continu et en boucle produisent une information théâtralisée où causes et conséquences sont négligées. Au passage contrairement à ce que peut laisser entendre tout écrit qui généralise comme c’est le cas de mon livre et la recension que l’hebdomadaire Le 7 (à Poitiers)[2], en fait et sincèrement je n’ai aucune acrimonie envers les journalistes en tant que tels, mais je critique fortement la façon dont certains médias, et donc les journalistes qui y travaillent, conçoivent le métier d’informer. Face à cette pratique il me semble que nous ne devrions pas nous étonner d’être dans une société de l’émotionnel et où la politique se limite très souvent à des coups médiatiques et communicationnels. Cela mérite une analyse plus profonde mais, pour l’instant, je demande à mes lecteurs de se contenter de ces quelques rappels d’un contexte social pour tenter de voir qu’elle place la vérité, celle vécue par les Hommes occupe dans notre société politique.

 

Je propose de cheminer à travers deux exemples contemporains : la crise dans la police et l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen. Le premier volet concernera la crise de l’institution police, le second s’appesantira sur l’incendie de Rouen et sur la faiblesse de la communication aussi gouvernementale que journalistique (précaution oblige : dans certains médias).

 

Revenons à l’intention initiale qui est d’évoquer la crise de la police. J’ai récemment publié un billet sur mes blogs[3] un billet que j’intitulais « sauvons nos policiers » dans lequel je tentais d’expliquer succinctement les raisons compréhensibles par chacun du malaise chez les policiers et les gendarmes. En même temps je rappelais que tout n’excuse pas tout : le malaise justifié n’excuse pas la brutalité de la répression contre les Gilets Jaunes. Je suis allé jusqu’à écrire que si on peut toujours opposer à un professionnel qui se plaint de son travail qu’il pourrait démissionner, cela n’est pas simple ; qu’est-ce ça veut dire, à notre époque surtout, de quitter son travail et son salaire ? Face à des consignes telles que nous les voyons et à la stratégie de « maintien de l’ordre » du gouvernement et du ministre de l’intérieur la tentation est forte de dire aux policiers de démissionner ou d’exercer un droit de retrait ; la démission je viens d’écrire schématiquement ce que j’en pense, quant au droit de retrait il expose le fonctionnaire qui y recourt à des difficultés incommensurables, jugez-en en lisant l’alinéa 1 de l’article R.435-5 du code de déontologie[4] de la police et de la gendarmerie  : « Obéissance,

I. - Le policier ou le gendarme exécute loyalement et fidèlement les instructions et obéit de même aux ordres qu’il reçoit de l’autorité investie du pouvoir hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public.

S’il pense être confronté à un tel ordre, il fait part de ses objections à l’autorité qui le lui a donné, ou, à défaut, à la première autorité qu’il a la possibilité de joindre, en mentionnant expressément le caractère d’illégalité manifeste qu’il lui attribue. Si, malgré ses objections, l’ordre est maintenu, il peut en demander la confirmation écrite lorsque les circonstances le permettent. Il a droit à ce qu’il soit pris acte de son opposition. Même si le policier ou le gendarme reçoit la confirmation écrite demandée et s’il exécute l’ordre, l’ordre écrit ne l’exonère pas de sa responsabilité.

L’invocation à tort d’un motif d’illégalité manifeste pour ne pas exécuter un ordre régulièrement donné expose le subordonné à ce que sa responsabilité soit engagée.

Dans l’exécution d’un ordre, la responsabilité du subordonné n’exonère pas l’auteur de l’ordre de sa propre responsabilité. »

Chacun jugera des difficultés de carrières auxquelles vont être confrontés le capitaine de gendarmerie qui à Nice a refusé de « charger la foule » et le commandant de CRS qui à Nantes a refusé l’emploi des gaz lacrymogènes. Chacun verra qu’exercer son droit de retrait n’est ni simple réglementairement ni évident conceptuellement : à partir de quand considérer qu’un ordre est néfaste à un intérêt public.

 

C’est ça que des journalistes qui creuseraient leurs sujets pourraient expliquer ce qui permettrait, sans doute, de montrer comment c’est bien le gouvernement qui en donnant une image extrêmement négative (c’est un euphémisme) des Gilets Jaunes en a fait un « objet à abattre » à l’instar des pires Djihadistes. Bien au contraire soit, comme BFM TV, ils emboîtent les pas de la communication gouvernementale, soit ils tombent dans reportages où n’ont de place que les policiers et l’émotion. Ce fut le cas mardi 1er octobre au JT de France2 où un ancien policier est venu dire son malaise. Ce malaise est à entendre mais aussi à relativiser par rapport à d’autres situations professionnelles si on veut qu’il soit compris. Par exemple quand cet homme disait qu’il avait peu de week‑ends de repos, des difficultés à participer aux fêtes familiales, comment cela peut-il être entendu par les personnels des hôpitaux ou ceux de la restauration (pour ne citer qu’eux). Du coup la question ne serait-elle pas celle des effectifs qui est identique pour les hôpitaux ? Mais on préfère faire pleurer le quidam que l’amener à réfléchir. La cause originelle du malaise décrit par ce policier ne se trouve pas dans les manifestions des Gilets Jaunes qui exercent un droit légitime de manifester, c’est la gestion de l’institution policière (sous effectifs, moyens matériels, etc.) et surtout l’absence de réponse de la part du gouvernement ou pire les fausses réponses et les réponses mensongères faites en décembre 2018 qui provoquent ce malaise ; les Gilets Jaunes ne sont qu’un catalyseur que certains médias ont érigé au rang de cause première. Mais gardons bien à l’esprit que ce policier a raison, le problème n’est pas dans la véracité de ses propos mais dans la façon dont ils sont transmis, véhiculés et au bout reçu par les hommes et les femmes qui les entendent à l’aune de leur propre situation. C’est ainsi, que vient le thème du désamour de la police qui a aussi été évoqué par ce policier. Cette question est un vrai sujet pour les sociologues et les historiens que je résumerai par « quand est-ce que les policiers ont‑ils été aimés ? ». Je renverrai vers des études approfondies comme celles de Sébastien Roché qui met bien en évidence dans des comparaisons internationales l’impact dans l’opinion de la différence entre police répressive et police de service ; en France, surtout sous la direction de M. Castaner, nous avons une police qui se montre majoritairement sous un aspect répressif qui de surcroît est revendiqué par certains syndicats de policiers qui bénéficient du plus grand temps d’antenne sur certains médias. Pour faire simple je dirai : « où sont passés les gardiens de la paix ? ». La suppression des commissariats de quartier et celle de la police de proximité (enclenchées sous l’ère Sarkosy) ne sont sans doute pas étrangères au fossé qui s’est creusé entre la police et la population. Et il y a aussi eu la période des confusions avec des mesures grand-guignolesques dans le cadre des politiques de la ville où on demandait aux policiers de jouer les éducateurs comme on continue d’ailleurs de le faire dans certaines politiques scolaires. Je me souviens de ce gamin rencontré (en 1993) en banlieue lyonnaise alors que je faisais mes études de sociologie et à qui je demandais s’il était content que les policiers viennent animer des séances de conduite de moto ; il me répondit ; « tu sais on n’a pas besoin d’eux pour ça, nous, on tire une bécane tous les samedis soir ». Alors les policiers et les gendarmes doivent évoluer dans un cadre flou ou du moins vu flou par les populations ; or on ne peut pas être aimé si on n’est pas aimable, ni être respecté si on n’est pas respectable. Les conditions dans lesquelles le gouvernement fait travailler les policiers et les missions qu’il leur confie ne mettent pas les policiers en position d’être aimables ni d’être respectables.

 

C’est cette complexité que les médias devraient expliquer plutôt que de rester dans la théâtralisation et l’émotion, c’est aussi de cette complexité dont devraient s’imprégner certains syndicats de policiers qui attisent le feu plutôt que de le calmer, d’ailleurs tout comme certains politiciens. Mais, pour que les journalistes expliquent cette complexité il faudrait que le format des médias change, que la temporalité de l’information soit modifiée en même temps que les journalistes retrouvent leur puissance de curiosité et leur culture du « terrain » ce qui ne les dispensera pas d’avoir des partis pris. Laissons-nous aller à rêver que les journalistes et les syndicats seront touchés par la grâce du respect dû à ceux du « parlement des invisibles » et qu’à l’instar de l’Association professionnelle nationale des militaires de la gendarmerie du XXIème siècle ils sauront dorénavant proposer des analyses éclairées des situations. Celle faites par cette association à propos du suicide chez les policiers et les gendarmes est un véritable bijou d’analyse qui situe merveilleusement bien le problème et peut permettre à tout à chacun de s’emparer sans acrimonie de cette question aussi complexe que grave. Car lorsqu’on évoque sans détailler le 50e suicide de policier qu’est-ce que ça veut dire au regard des 10 000 suicides par an en France ce qui place la France dans le « peloton de tête » des pays européens, plus intimement qu’est-ce que ce chiffre signifie par rapport à la complexité même d’un suicide dont la cause n’est que très exceptionnellement unique. Le suicide c’est quelque chose de particulièrement compliquée à appréhender et ne dire qu’un chiffre brut ne peut qu’être contre-productif quand il est confronté, par ceux qui le vivent, à d’autres professions ; d’ailleurs une étude de Santé Publique France montre que les secteurs où les travailleurs sont les plus touchés par des idées suicidaires sont, par ordre décroissant, l’hôtellerie-restauration (où on travaille quand les autres se reposent), les métiers des arts et spectacles puis l’enseignement. Ne pas être clair, ne rêvons pas d’exhaustivité, dans l’information donnée sur ces sujets ne peut pas contribuer à revaloriser l’image des policiers dans l’opinion publique. Les policiers doivent être respectés, les femmes et les hommes en ont aussi le droit et ce respect passe par une information « juste » non théâtralisée et qui sait se mettre à distance du tout « émotionnel ».

Ce type d’information on le trouve dans l’analyse du suicide[5] que propose l’Association professionnelle nationale des militaires de la gendarmerie du XXIème siècle, je n’en ferai pas l’analyse, chacun des lecteurs pourra la lire et analyser à l’aune de sa vie et de ses connaissances et actualiser les données ; je me contenterai à titre de conclusion de ce billet d’en livrer deux très courts extraits.

 

« La surmortalité par suicide touche l’ensemble des forces de l’ordre, avec en 2015 une correction à la baisse dans la police (par rapport à un « plus haut » historique en 2014 et un retour à la hausse dans la gendarmerie. Les taux de mortalité par suicide passent de 38,5 à 31,5/100.000 en PN et au contraire de 23,1 à 26,3/100.000 chez les gendarmes. Mais cette surmortalité par rapport à la moyenne de la population française sur 10 ans (16,8/100.000), présentée dans le graphique ci-dessus, est en partie trompeuse, parce que les forces de sécurité comptent en proportion bien moins de femmes que la population française et aucun enfant… or les taux de suicide sont bien plus faibles chez les femmes, et extrêmement faibles chez les plus jeunes.

La question qui se pose est donc de savoir, si la surmortalité des gendarmes et policiers est seulement liée au fait qu’ils sont plus souvent des hommes dans la force de l’âge…

 

On constate donc bien que le taux de mortalité par suicide des gendarmes et policiers reste, presque chaque année, supérieur à la population générale française même si elle était composée exactement suivant la même répartition en âge et sexe que les effectifs des forces considérées. Ce qui tend à démontrer l’existence de facteurs de passage à l’acte spécifiques. »

 

Et, loin de fustiger la Justice qui pourrait être une cause du malaise policier comme les Gilets Jaunes, comme le font certains syndicats de policiers « extrémistes » qui semblent appeler de leurs vœux un État policier, l’association donne quelques pistes de réflexion que les politiciens feraient bien d’étudier plutôt que de lancer des invectives aussi stupides que scandaleuses : « Actions des magistrats et efficacité de la peine : GendXXI propose que soit enfin donné aux magistrats les moyens en personnel et le budget nécessaire à une application stricte des lois. Ils doivent être conscients de la réalité du terrain. En effet eux seuls, au travers des décisions qu’ils rendent donnent le signal d’une justice souveraine. La sanction pénale doit être certes adaptée mais également dissuasive tant au regard de la commission que de la récidive. L’administration pénitentiaire a elle aussi un rôle à jouer. Les magistrats, souvent désignés comme responsables de la situation actuelle doivent être associés aux discussions. L’atmosphère des palais n’est pas la même que celle de la rue. »

 

Prochain article : la communication à propos de l’incendie de Rouen.



54 réactions


    • Yanleroc Yanleroc 3 octobre 2019 10:40

      @eau-du-robinet

      LE MUR DE LA HONTE


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 3 octobre 2019 11:06

      @Yanleroc

      Bonjour, précieux document visuel. A afficher dans toutes les villes, les villages, pour que le peuple qui n’a pas rejoint encore les Gilets jaunes prenne conscience de qui l’attend dans un avenir proche. La télé est là, tous les soirs pour dénigrer systématiquement le mouvement, depuis le début, pour transformer les gilets jaunes, dans l’opinion en « délinquant » et justifier le traitement que lui réservent les mercenaires nationaux et européens au service de l’impitoyable ploutocratie qui tire le ficelles.
      Mais, je vois que les policiers conscients commencent à réagir, ce qui nous permet de garder l’espoir, très mince, il est vrai.


    • Yanleroc Yanleroc 3 octobre 2019 11:56

      @Nicole Cheverney, bjr.

      Mince espoir en effet, on ne se refait pas comme ça, surtout quand il « faut aller à la gamelle » pour nourrir des rejetons qui prendront la relève !

      Ce que nous en pensons, c’ est aussi ce qu’ en pense cet internaute sur Avox Bleu, et que je reproduis tel quel ici (qui ne m’ en voudra pas j’ espère..) :

      « Malaise dans la police ...  Sacrément gonflés, les mecs. I
      ls sont les bras armés de la ripoublique, elle-même une courroie de transmission de la haute finance,

      ils sont les gardiens de cet immense camp de concentration à ciel ouvert qu’est devenu la France,
      irrespirable et d’une coercition totalitaire,
      et ça vient faire ses chialeuses. (souligné par moi.)

      Faut quand même être sacrément déstructuré pour avoir choisi un »métier« pareil, alors si t’as choisi, au moins assume ton rôle de fossoyeur ! » 

      Je rappellerai encore une fois l’ expérience de Milgram  qui démontre à quel point les hommes peuvent être vils et assassins,
      quand ils sont soumis à l’ Autorité,
      à la Hiérarchie
      et adeptes de l’ identification au Groupe !!

      Et dire que certains flicards osent se réclamer de cet auteur : Le pluriel



    • Yanleroc Yanleroc 3 octobre 2019 12:13

      @Nicole Cheverney bjr.

      Mince espoir en effet quand il faut « aller à la gamelle » pour élever des rejetons qui prendront la relève !

      Je copie-colle tel quel ce qu’ en pense également cet internaute sur Avox Bleu (et qui ne m’ en voudra pas j’ espère) :
      « Malaise dans la police ...  Sacrément gonflés, les mecs.
      Ils sont les bras armés de la ripoublique, elle-même une courroie de transmission de la haute finance,
      ils sont les gardiens de cet immense camp de concentration à ciel ouvert qu’est devenu la France,
      irrespirable et d’une coercition totalitaire,
      et ça vient faire ses chialeuses.
      (souligné par moi)
      Faut quand même être sacrément déstructuré pour avoir choisi un »métier« pareil, alors si t’as choisi, au moins assume ton rôle de fossoyeur ! »

      Je remet ici l’ expérience de Milgram qui montre à quel point les homes peuvent être vils et assassins quand ils sont soumis à l’ Autorité, à la hiérarchie, et au besoin pathologique de l’ Identification au groupe !

      Pour détendre, cet excellent et glorieux auteur,

      mais en n’ oubliant pas que certains flicards osent s’ en réclamer, prouvant par là s’ il le fallait, qu’ ils sont en pleine dissonance cognitive ! 


    • izarn izarn 3 octobre 2019 15:57

      @Nicole Cheverney
      On attends que l’immensité des gilets jaunes votent pour un referendum contre la privatisation des aeroports de Paris...
      700 000....Il faudrait 4 millions...
      On vous attends les mecs !
      Juste un petit effort sur le net...
      Même pas de LBD...
      Vous avez un crane vide ? Déjà ?
      Comme des zombies vers les flic sur les Champs Elysés ?
      Vous ne connaissez pas internet ? Ha ?
      Vous sortez la planète néerdanthal ou quoi ?
      Je fais de la provoc gratuite : Remuez vous !


    • izarn izarn 3 octobre 2019 16:11

      @Yanleroc
      Effectivement, les GJ donnent des conditions déplorables de travail à la Police...
      Snif !
      En plus Macon déplore la Police de Hong-Kong...Mais une balle perdue...
      Vas t-on finalement vers des tirs réels contre le peuple ? Pour soulager la police ?
      Consultons Bachar Al Assad sur le sujet...Lui n’a jamais tiré contre son peuple d’aprés Thierry Meyssan.
      Mais nous sommes en plein complotisme...
      Macron « le boucher » ?
      La Capital n’a jamais hésité longtemps à tirer sur les travailleurs ; relisez votre Histoire !
      La Commune de Paris par exemple...Mais aussi Vichy !
      Syndicalistes ? Tous en taule !
      Ya Ya ! Mein General !
      Maréchal Pétain aux ordres !
      Heil IG Farben !
      Heil Roosevelt !
      Heil Ford !
      Heil Standart Oil ! Heil Rockefeller !
      Ein volk, ein reich, ein dollar !


    • eau-du-robinet eau-du-robinet 3 octobre 2019 16:50

      Bonjour Yanleroc,
      .
      Merci pour ce lien. smiley
      .
      Il nous serra utile pour partager ses crimes au grand public, ses crimes ordonnée par le gouvernement Macron, pas seulement sur internet mais aussi sur les pancartes et autres supports durant les manifestions notamment.


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 3 octobre 2019 19:47

      @ Izarn

      Bonsoir, Les Français pourraient tous voter pour ce référendum contre la privatisation des aéroports de Paris. Mais il y a un petit problème, ce sont ceux qui sont déjà inscrits sur des listes électorales qui ont accès au vote. Et comme il y a une proportion de gens qui ne votent plus, ou qui ont déménagé et ne se sont pas encore souciés de s’inscrire sur les listes de leur nouvelle résidence, cela minimise le nombre des participants au référendum.
      Ils sont malins au gouvernement, ils ont tout prévu.


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 3 octobre 2019 19:57

      @Yanleroc

      Je viens de discuter avec un de mes voisins dont le fils est flic à Paris. Son témoignage rejoint ceux des flics sur Internet : pressions d’une hiérarchie inhumaine, fatigue intense, problèmes personnels dus à un rythme de travail infernal, infiltration dans les rangs de la police classique de recrues problématiques, etc. etc.
      En fait, ils sont tenus par les crédits et ne peuvent lacher ce métier sans courir le risque de se retrouver au chomage, donc, ils préfèrent souffrir et obéir aux ordres les plus cons, finalement, par un processus d’auto-flagellation, pour nourrir leur famille.
      Ils savent pertinemment que quoi qu’ils fassent, ils ont l’épée de Damoclès sur la tête, le crédit, avec tout ce que cela comporte d’aliénation sociale. Quant aux plus vieux, proches de la retraite, le principe, c’est pas de vagues. Donc on se tait.
      C’est pourquoi il faut féliciter un Alexandre Langlois pour son courage à s’opposer frontalement à ce gouvernement. Mais il faut bien se dire qu’ici bas tout a un prix !


    • banban 3 octobre 2019 21:14

      @Nicole Cheverney

      Oui pour ma part impossible d’y participer. Je ne suis n’y présent dans ma commune n’y dans la Précédente, je ne pense pas que cela changera en allant la prendre en cerfa à la mairie. J’aurais aimé pouvoir le faire par lettre recommandé avec copie de la carte d’identité et justificatifs de domicile( avant un envois de confirmation pour la sécurité) mais ai-ce possible, ?? Les personne âgé peu fait d’internet, ainsi que les mystérieux disparue de la liste electorale aurait pu facilement grossir les rants. Et puis 4 millions pour juste gagné le droit de se faire rabroué au parlement..... si au moins c’etait 2m. J’espere que lon trouvera un solution pour imposer le RIC dans les prochaine années. Mais appart un candidat charismatique qui émergerait sans tutelle de l oligarchie, et qui en ferrait un sujet de son élection.... pas gagné.


    • Yanleroc Yanleroc 4 octobre 2019 08:37

      @Nicole Cheverney,

      ce que vous décrivez est aussi valable pour un grand nombre de métiers hélas fonctionnaires des Finances (au niveau des agences locales-centres des impôts) et Hôpitaux par ex,
      ils ne sont pas traités différemment des autres qui subissent la même pression, à la différence que les autres n’ éborgnent pas, au contraire ils soignent et essayent d’ aider !

      Que Langlois dénonce c’ est bien, qu’ il profite de sa liberté, Marc Granier CRS de l’ Elysée, qui dénonçait les implications maçonniques et les magouilles sur la mort de Coluche, lui, est retourné en psy !
      Il est vrai qu’ il semblait un rien naïf, mais ça ne fait pas de lui un déséquilibré !

      On ne s’ engage pas dans la Police juste pour nourrir sa famille, et on ne se couvre pas de crédits, à notre époque, quand on a un brin de jugeote !!


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 4 octobre 2019 12:34

      @Yanleroc

      Hôpital psychiatrique pour les récalcitrants, comme au bon vieux temps du sinistre Beria !


  • gaijin gaijin 3 octobre 2019 09:18

    place et valeur de l’homme ?

    une variable d’ajustement ..........


    • izarn izarn 3 octobre 2019 15:48

      @gaijin
      Moi je connais des ajusteurs qui à Airbus font du meilleur boulot...
      Tu parlais des guignolos, la, au Parlement ?
       smiley
      Putain, avec eux ; Blériot n’aurait jamais pu traverser la Manche...
       smiley


  • Clocel Clocel 3 octobre 2019 09:21

    On pourrait organiser un poulethon !? smiley

    Sans déconner... Fallait bosser à l’école, apprendre un vrai métier.

    Dans un pays en ordre, la police n’a pas sa place.


    • Eric F Eric F 3 octobre 2019 10:05

      @Clocel
      « Dans un pays en ordre, la police n’a pas sa place »

      Un pays sans délinquance, sans agression, sans meurtre, sans viol, ça n’a jamais existé ni ne peut exister, il y a donc nécessité de forces de maintien de l’ordre. Ceci étant, le taux de délits et de violence dans la population augmente malgré des statistiques lénifiantes, l’ordre est de moins en moins intrinsèque à la société, comme il était dans ces villages où chacun laissait sa porte de derrière ouverte en s’absentant, pour que les voisins puissent emprunter leur échelle en cas de besoin (exemple vécu).

      « Fallait bosser à l’école, apprendre un vrai métier »
      Cette remarque relève du préjugé, le métier de policier ou gendarme relève d’un besoin de la société et d’une forme de service, si on vous vole votre mobylette, vous êtes content que la police la retrouve....



    • jmdest62 jmdest62 3 octobre 2019 15:07

      @Clocel
      c’est comment un pays « en ordre » ?
      @+


    • Clocel Clocel 3 octobre 2019 15:12

      @jmdest62

      C’est un pays hors capitalisme, hors chaos organisé et entretenu et hors clowns qui le servent en prétendant le combattre.


    • Clocel Clocel 3 octobre 2019 15:43

      @Raymond75

      Z’êtes de la police ? smiley


    • izarn izarn 3 octobre 2019 15:43

      @Clocel
      Ce qui se nomme ordre démocratique.
      Mais cet ordre ne se fait pas par la répression.
      Il est dans l’esprit du peuple... Qui vote pour des connards.
      Comme avait dit un flic : « Tu assumes »
      Alors tu votes Macron, et tu assumes ta connerie...


    • gaijin gaijin 3 octobre 2019 16:50

      @Eric F
      «  si on vous vole votre mobylette, vous êtes content que la police la retrouve... »
      ça arrive ?


    • bebert titi 3 octobre 2019 18:56

      @Eric F
      Sauf dans les territoires perdus de la Ripoublique qui s’agrandissent d’année en année mais là-dessus pas un mot des MerDia qui sont pratiquement tous des bourges qui habitent dans les beaux quartiers avec patrouilles de chiens de garde résidence secondaire dans le Sud avec des murs de 3 m de haut , ils oublient qu’ils seront touchés eux aussi un jour pas si lointain que çà.


    • Eric F Eric F 3 octobre 2019 20:26

      @gaijin
      oui, ça arrive que la police retrouve une mobylette volée, j’ai justement cité cet exemple parce que c’est arrivé à un de mes enfants. Mais de manière générale, on a besoin de forces de surveillance, enquête et action contre les délits et atteintes aux personnes et aux biens, dans toute société en tout lieu et de tout temps.


    • placide21 4 octobre 2019 08:24

      @Clocel
      On redescend sur terre car l’homme est un loup pour l’homme,et un cadre social sera toujours nécessaire pour contenir certaines pulsions , errances ou anomalies  ; la nature nous a donné la capacité de conscience et nous a libéré de la programmation des comportements, il faut une instance pour gérer. (Le père ? )


  • Yanleroc Yanleroc 3 octobre 2019 10:21

    FdP en noir d’ un côté,

    LE MUR JAUNE de l’ autre !


  • Eric F Eric F 3 octobre 2019 10:30

    L’article évoque la question des effectifs et des moyens, autant pour les forces de l’ordre que pour l’hôpital et la justice. Mais dans notre pays où plus 55% du PIB est affecté à des dépenses publiques (record mondial, avec la Finlande)

    , on ne peut pas continuer à demander toujours plus, il faudrait deux fois le PIB si on additionne les demandes jugées indispensables par chaque secteur (sauvegarde de l’environnement, transition énergétique, soutien aux agriculteurs, prise en charge de la dépendance, aide aux démunis, prise en charge des migrants, maintien des régimes spéciaux de retraite, réfection de l’équipement routier, généralisation des classes à 12 élèves, etc...).

    Il faut d’abord et avant tout cibler l’effort là où les carences se répercutent sur l’ensemble de l’activité. Ainsi -hormis la question des manifestations et des débordements associés-, le premier problème de maintien de l’ordre semble être non pas la police ou les décisions de justice, mais les carences d’exécution des peines prononcées. Pour la santé, s’ il y a engorgement des hôpitaux, c’est du fait des carences de la médecine de proximité.


    • Yanleroc Yanleroc 3 octobre 2019 10:56

      @Eric F 

      Ces citoyens exemplaires qui n’ auront plus jamais de problèmes de cataracte,
      participent grandement au désengorgement des cabinets d’ ophtalmologie

       ! 

      Gloire lui soit doublement rendue !


    • jmdest62 jmdest62 3 octobre 2019 11:33

      @Eric F
      « mais les carences d’exécution des peines prononcées. »
      D’accord sur ce point , mais au lieu de se montrer solidaires des magistrats qui eux aussi dénoncent le manque de moyens de la justice ...les représentants syndicaux de la police préfèrent évoquer le soit-disant laxisme des magistrats ....
      Ces gens là sont des irresponsables qui implicitement encouragent les exactions des quelques « cow-boy » qui sévissent dans les rangs de la police. smiley

      @+


    • leypanou 3 octobre 2019 12:14

      @Yanleroc
      le lien donne « cette page n’existe pas ! vous allez être redirigé... »


    • foufouille foufouille 3 octobre 2019 15:14

      @jmdest62

      Il n’existe aucun manque de moyens chez les magistrats car ils défendent juste les rance d’en haut comme la plainte contre le chant du coq ou l’interdiction aux sans dents d’avoir un ascenseur, un logement décent.


    • izarn izarn 3 octobre 2019 15:22

      @jmdest62
      Toujours pareil...Politique. Les magistrats noyautés par des sectes et des réseaux...
      Le peuple n’y est pour rien.
      Je ne ferais aucun autre commentaire, qui tomberait sous le coup de la censure...


    • izarn izarn 3 octobre 2019 15:31

      @Eric F
      La médecine de proximité, c’est la médecine généraliste...OK ?
      C’est la qu’on commence un vrai débat...
      Pourquoi, il y a de moins en moins de médecins généralistes, et pourquoi ceux-ci envoient tout « aux urgences » ?
      Hum ?
      Mal payés, incompétents, lobby des ambulanciers, pas assez nombreux ?
      Dépenses publiques ou conneries privatisées ? Magouilles et mafioseries (Voir Cahuzac, par exemple)
      Dés fois que les dépenses publiques aillent dans les poches des salopards grâce à des ripoux dans les gouvernements, hein ?
      Y a pas assez d’exemples ?
      Ben voyons !
      Alors on s’en prends à l’Administration, à l’Etat ?
      Comme c’est facile !
      Fais gaffe à qui tu votes...
      Sutout à leur bonne mine d’enc....


    • izarn izarn 3 octobre 2019 15:35

      @izarn
      Bolsonaro me fait déraper...Mince !
      Pourtant je le déteste !
       smiley


    • leypanou 3 octobre 2019 17:44

      @Yanleroc
      OK, merci.


    • Eric F Eric F 3 octobre 2019 20:35

      @izarn
      plus encore que le « numérus clausus », la désertification médicale vient du fait que les diplômés de médecine préfèrent des spécialités rémunératrices, des régions huppées, ou des emplois salariés (notamment du fait de la féminisation croissante de la profession). Or dès lors que les études médicales sont payées par l’état, il devrait y avoir une période d’astreinte, et notamment la « première affectation », en fonction d’une « carte médicale », un peu comme les enseignants. Et des mesures fiscales incitatives selon le secteur. Qu’un pays développé comme le nôtre fasse venir des médecins de pays dont les besoins médicaux sont plus faiblement assurés, c’est une aberration.


  • the clone the clone 3 octobre 2019 12:05

    Pour cogner sur les manifestants la il n’y a pas de malaise .....


    • izarn izarn 3 octobre 2019 14:26

      @the clone
      Devant ; une rangée d’abrutis macroniens (Clones de Benalla), soit 1%, derriere la majorité des flics, soit 99%
      Devant BFM TV, les lanceurs d’alertes pourris version Soros (Rien à voir avec Snowden), les ptits cons soraliens, les abrutis trotskos...
      Bref du Spectacle à la Guy Debors...
      Ca fait le « buzz », le Spectacle toujours...
      Cela efface les GJ...


    • Eric F Eric F 3 octobre 2019 20:41

      @Cadoudal
      Ben Allah, c’est le « fils de Dieu » (en arabe). Emmanuel, c’est « Dieu parmi nous » (en hébreu), et Christophe c’est « celui qui porte le Christ » (en grec ancien). Nous avons notre trinité divine issue des trois religions du Livre.


    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 3 octobre 2019 20:53

      @Eric F

      Et biloute c’est mon fils en chti ...


    • Sandro Ferretti Sandro Ferretti 3 octobre 2019 22:01

      @Aita Pea Pea
      Hier soir, j’étais bien évidemment là :

      https://www.parismatch.com/Culture/Musique/Hier-soir-a-Paris-Immortel-Bashung-1650647

      Et dans « l’after des happy few », comme on dit dans le microcosme, j’ai pu échanger quelques phrases et une coupe avec HFT.
      Assez accessible et lucide sur tout cela, of course.
      Il se tient bien, brushing impeccable, et tout et tout.
      Sa (très) petite taille m’a en revanche étonné, je ne le voyais pas ainsi.
      Une belle image toutefois que sa complicité avec le fulgurant Yann Péchin, que Bashung lui a volé, mais bon, tout ça c’était avant...
      Sa version de « la nuit je mens », en revanche, ne m’a pas transporté : trop violente, trop « crachée » et expédiée en force, sans nuance dans le phrasé. Mais vocalement, à 4 mètres, il est plus puissant que je ne le pensais.
      Bon, les dingues et les paumés partent se coucher. Demain, Y’ a du taff.


    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 3 octobre 2019 22:31

      @Sandro Ferretti

      Bonsoir. T’as du bol mais en même temps non . Pour les reprises en ayant lu l’article...Pour mon vieux Hubert Felix c’est comme Alain reprenant Alligator 427 . C’est comme ça . Je pense que tu as pris ton pied , et de l’amitié que tu avais pour Alain ...et là est l’essentiel.


  • the clone the clone 3 octobre 2019 12:07

    La police est une arme entre les mains du gouvernement ....

    Pas besoin de cerveau la moelle épinière leur suffit comme le disait Einstein pour les militaires 


  • BuSab 3 octobre 2019 12:33

    Les policiers se plaignent des lourdeurs administratives.

    Les personnels hospitaliers se plaignent des lourdeurs administratives.

    Les enseignants se plaignent des lourdeurs administratives.

    Tous ces parasites de l’administration, pour justifier leurs emplois, passent leurs temps à pondre de nouveaux règlements et pourrissent le travail de tout ceux qui sont véritablement confronter à la réalité.

    C’est la bureaucratie qui tue notre pays.


    • Eric F Eric F 3 octobre 2019 20:45

      @BuSab
      les lourdeurs administratives, c’est vrais dans le public et c’est la même chose dans le privé, c’est pourquoi des usines ferment, mais des immeubles de bureau se construisent en permanence. Certes, ça ne pollue pas l’air ...mais la vie des salariés et administrés.


  • ETTORE ETTORE 3 octobre 2019 12:51
    Yanleroc 3 octobre 10:40

    @eau-du-robinet

    LE MUR DE LA HONTE

    Etrange paradoxe des faits.....

    Alors que cet état mutile et défigure le citoyen, passe en boucle sur le petit écran,

    une publicité pour les « Gueules Cassées  ».

    Spot se voulant pédagogique afin d’expliquer aux jeunes génération où va une « partie » de l’argent misé sur les jeux de hasard.

    (à l’état bien entendu )

    Voilà comment on crée sa propre richesse quand on corrompt.... même l’histoire.


  • izarn izarn 3 octobre 2019 14:17

    Je remarquerais, pour mettre bien mes pieds dégeulasses dans le plat, que Mélenchon a qualifié les policiers de « barbares ».

    Vous les gauchos, vous en dites quoi ?

    Au lieu de pleurnicher sur le simple flic ?

    Silence ?

     smiley

    Vous savez que la majorité des policiers et des gendarmes votent RN (ex FN)

    Bref vous compris la manip. Et pourquoi il ne dit pas le Merluchon :

    « Castaner est un barbare » !

    Hé non, un ancien socialiste, comme lui, barbare ? Un ex-député, corps con-sacré de la Nation ?

     smiley

    Et puis aussi « Macron est un barbare ! »

    Lui qui se prépare à voter Macron contre MLP en 2022....

    Ca ferait mauvais effet...

    Mon opinion ?

    Bien entendu que la barbarie ne vient pas du simple flic.

    Bien sur...

    Alors ce discours sur la Police :

    -Allez tous vous faire enc...


  • ETTORE ETTORE 3 octobre 2019 14:35

     Izarn @

    Je retiens tout d’abord l’émoticône avec le sourire et la..... proposition finale !

    Nous sommes tous conscients de la hiérarchie des ordres...

    Nous sommes tous conscients que dans la pagaille et dans le feu de l’action , certains policiers se découvrent un sacerdoce à la Clint Eastwood .

    Et que certains,.......suivent par simple corporatisme.

    (Ou par négation du film...genre Mélanchon, qui veut un autre scénario, pas encore écrit en totalité, car retouché sans fin, et qui finiras peut être en film « X », qui sait.. ? )

    C’est pour cela, que je souhaiterai que vous réitériez votre proposition finale à leur chef de corporation, Monsieur Castaner, avec si vous le souhaitez, en y joignant votre petite icône souriante, genre munition de flashball.


  • SPQR audacieux complotiste chasseur de complot SPQR Sono Pazzi Questi Romani 4 octobre 2019 06:04

    Dans l’état profond il y a de moins moins d’ hétéro et de plus en plus de ......donc l ‘ état profond soutien Macron et sa politique de menteur...... Si l . Ouvrier de la police se trouve à l’ étroit dans son métier alors qu’il change de métier, ils ne lâcherons rien .


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