jeudi 19 décembre 2013 - par Bernard Dugué

Cosmologie quantique, boucles ou cordes, la fin du monde moderne est-elle en vue

Les grandes révolutions scientifiques ne se font pas en quelques années et prennent parfois plus d’un siècle pour s’affirmer. Dans un article consacré au développement inachevé de la cosmologie quantique, Carlo Rovelli se plait à souligner que 144 années séparent la publication du « De Revolutionibus » de Copernic et l’édition des « Principia » de Newton (http://fr.arxiv.org/abs/gr-qc/0604045). Pendant cette longue période, la compréhension du cosmos a complètement changé, entraînant dans son sillage des notions nouvelles ainsi qu’une sémantique inédite servant à discourir sur la nature. Le philosophe Alexandre Koyré a analysé de près ce changement de vision opérée entre la fin de la Renaissance marquée par les figures de Nicolas de Cues et Copernic et ce qu’on peut désigner comme l’aurore de la Modernité avec la grande figure de cette époque, le génial Newton. Le monde est passé de l’univers clos médiéval à l’univers infini moderne, pour reprendre le titre du plus célèbre ouvrage de Koyré.

L’enseignement majeur à tirer de ces réflexions, c’est que la science, qu’elle soit antique, médiévale ou (et surtout) moderne se fait en corrélation avec un changement de vision du monde que portent en général les « savants » puis les « sachants », autrement dit ceux qui savent et comprennent. Le principal résultat de la physique moderne après Newton s’expose en une formule : le monde est calculable. De plus, le monde est fait de masses, de forces, d’énergies, de champs, d’actions et réaction, de mouvements, de figures, le tout avec des lois mathématiques qui régissent les phénomènes. La physique moderne est pour l’essentiel une phénoménologie. Je laisserai de côté pour l’instant cette autre révolution scientifique initiée par Darwin et adossée à une nouvelle compréhension du temps au milieu du 19ème siècle. L’histoire de la biologie risque de surprendre autant sinon plus que celle de la physique à laquelle je consacre ces quelques modestes lignes. En exposant des points précis.

I. Mécanique quantique (MQ) et cosmologie relativiste (GR), deux nouvelles physiques nées au début du 20ème siècle. Il se passe quelque chose dans le monde de la physique contemporaine. Comme se plaît à le souligner à dessein Rovelli, la physique moderne a été ébranlée au début du siècle précédent par deux grandes révolutions postérieures au déclenchement de la Grande Guerre. La cosmologie relativiste d’Einstein et la mécanique quantique. 1917 et 1927, deux dates importantes. Et une révolution inachevée, voire deux.

II. MQ et GR, deux physiques, mais aussi deux enjeux fondamentaux. Les savants du 20ème siècle ont vite compris que la Mécanique quantique offrait une image de la nature irréconciliable avec celle de la physique classique du 19ème siècle héritée de Newton. Le monde quantique nous est devenu étranger et surtout étrange. Les réalités quantiques, si elles existent, ne collent pas avec le sens ordinaire. La cosmologie relativiste adhère avec une vision ordinaire du cosmos étendu mais elle décrit autre chose que la mécanique de Newton. L’espace-temps n’est ni euclidien ni absolu. De plus, il possède une structure (donnée par plusieurs métriques possibles). De cette situation nouvelle découle un enjeu ontologique, celui d’élaborer une nouvelle vision de la nature et du cosmos reposant sur la signification physique de la MQ et la GR. Un autre enjeu passionne les physiciens depuis 1927. Cet enjeu est de nature épistémologique. Il concerne l’unification de la physique quantique et de la cosmologie relativiste. Et c’est une histoire compliquée qui commence vers le milieu du 20ème siècle mais qui n’est pas encore achevée en 2013.

III. La cosmologie quantique. Les physiciens ont constaté une incompatibilité entre les deux physiques, ce qui conduit à concevoir une physique qui synthétise en les dépassant les deux branches à moins qu’il faille admettre que ces deux branches sont étrangères, ce qui en adoptant une sorte de « minimum syndical ontologique » revient à penser que la nature est dédoublée en deux mondes dont les lois et principes ne sont pas transposables d’un monde à l’autre. Mais si le monde quantique et le monde cosmologiques sont distincts, ils n’en sont pas moins raccordables. Il serait impensable d’envisager que la nature étudiée par la physique quantique puisse être complètement étrangère à celle formalisée par la cosmologie relativiste. Ce qui conduit à envisager l’existence de deux univers ontologiques découverts avec une science élaborée par les hommes mais que l’on peur raccorder ou alors l’existence d’un seul univers qui selon la manière de l’étudier, conduit à des théories divergentes.

IV. La divergence épistémologique et le rôle de l’homme. En supposant l’unicité de l’univers, on peut imaginer que l’incompatibilité entre MQ et GR soit causée par le dispositif d’expérimentation façonné par l’homme. Une interprétation ordinaire de la MQ dit qu’avec l’observation, le dispositif expérimental influence la mesure. On peut être plus radical et supposer qu’en étudiant le monde quantique, l’homme n’étudie pas la nature telle qu’elle est mais une sorte d’univers phénoménologique construit à l’interface de la Nature et de l’Homme, autrement dit la matière qui est découpée finement. Avec parfois des énergies colossales, ce qui permet d’observer d’étranges particules. Cette situation de divergence peut se résumer ainsi. La mécanique quantique serait une phénoménologie derrière laquelle on cherche une ontologie. La cosmologie reposerait sur une ontologie dont on cherche une phénoménologie. Au final, la cosmologie quantique (dans la version boucles) consisterait à appliquer à l’ontologie du cosmos la phénoménologie quantique. Ce n’est qu’une manière de voir parmi d’autres. De plus, la multiplicité des théories ne facilite pas la tâche de compréhension de l’univers.

V. Une situation bien compliquée. Admettons l’idée de deux mondes. Le monde quantique n’est pas décrit par une seule théorie, celle dite orthodoxe et consignée en 1927. Le cosmos est décrit par les équations d’Einstein mais il existe bon nombre de solutions. Par ailleurs, ces équations déterminent non seulement le phénomène gravitationnel mais aussi la structure de l’espace-temps. On est loin de l’époque classique avec une seule théorie, celle de Newton, ou disons deux avec la mécanique rationnelle. Je laisse de côté la thermodynamique. Cette multiplicité des théories physique a considérablement brouillé l’image de la nature.

Le monde quantique est donc décrit par quatre ou cinq théories auxquelles s’ajoute la MQ relativiste et son équation de Dirac. Dans la théorie quantique, les observables constituent l’ensemble des phénomènes. Les particules sont alors la « substance » des observables. Mais il y a aussi les particules que l’on observe, avec les trois interactions fondamentales. D’où l’existence d’une autre physique qui si elle utilise le formalisme quantique ne se réduit pas à la MQ. C’est la physique des particules. Avec d’autres formalismes décrivant les champs quantifiés. La QED pour l’interaction électromagnétique, la QCD pour l’interaction forte, le modèle standard unifiant les forces électromagnétique et faible. Le champ quantifié décrit une situation globale dans laquelle les particules sont des éléments singuliers, interprétables comme manifestations du champ.

VI. Théorie du Tout et cosmologie quantique. D’audacieux physiciens projetèrent d’élaborer une théorie complète capable de contenir la gravitation et les trois interactions particulaire. C’était le rêve d’une théorie du Tout formulé dans les années 1980 une fois le modèle standard achevé. La théorie des cordes répond à cet enjeu mais ne semble pas aboutir. Une option plus raisonnable mais aussi ambitieuse vise à formuler la cosmologie dans un cadre quantique. C’est la voie de la gravitation à boucle, élaborée notamment par Lee Smolin et Carlo Rovelli. Cette option ne vise pas la théorie du Tout. Son objectif étant de trouver une théorie quantique des champs qui contienne la gravitation ou inversement. D’importants résultats théoriques ont été obtenus (Rovelli, Loop quantum gravity, the first twenty years, Classical and quantum gravity, 2011). L’espace-temps dans la « gravitation à boucle » n’est pas continu, il est discrétisé, quantifié. Le champ de gravitation devient un opérateur (ce qui illustre l’idée ci-dessus à propos d’une application de la phénoménologie quantique à la l’ontologie relativiste). Enfin, la gravitation à boucle n’inclut pas la physique des particules. Au contraire, la théorie des cordes tente de raccorder la gravitation aux trois interactions particulaires. Son objectif est plus audacieux mais sans doute irréalisable et comme le souligne Rovelli, il vaut mieux avancer sûrement avec des ambitions modestes et des résultats intermédiaires. En un mot, la gravitation à boucle c’est le cosmos quantifié sans les particules, alors que la théorie des cordes, c’est les particules dans un cosmos imaginaire (avec plus de quatre dimensions). En fait, les boucles sont devenues des graphes et des réseaux de spin, alors que les branes ont remplacé les cordes, jouant de rôle d’éléments singuliers.

VII. Les mystérieux trous noirs. La cosmologie relativiste permet de construire le trou noir comme « objet gravitationnel ». Rien ne s’échappe du trou noir, même pas la lumière. Mais le trou noir n’est pas un objet informe, loin s’en faut. Le trou noir possède une surface, une entropie, il retient l’information dans l’univers et possède une structure. Le trou noir stationnaire est théoriquement possible mais en règle générale, un trou noir est dynamique car il échange de l’énergie et de l’information avec le milieu dans lequel il « baigne ». Si le trou noir fait l’objet d’une attention spéciale de la part des physiciens, c’est parce qu’il est un point de rencontre entre thermodynamique, MQ et GR. Par exemple, la gravitation à boucle permet de calculer l’entropie avec la formule classique dérivée de Boltzmann car la quantification de l’espace-temps fait que le nombre de « complexions » du trou noir n’est pas infini. D’autres résultats importants concernent l’interprétation de l’entropie du trou noir comme une entropie d’entanglement, notion découlant de la MQ et qu’on peut traduire par intrication. Deux particules ayant interagi sont en relation informationnelle.

A ce stade, on doit mentionner les résultats obtenus avec le principe holographique dans le contexte des cordes ou plus précisément, des branes, avec notamment Leonard Susskind et Juan Maldacena et la correspondance AdS/CFT que nombre de spécialistes en cosmologie quantique jugent importante alors que Rovelli n’est pas convaincu, préférant se pencher sur l’entropie d’entanglement dans le trou noir et le lien avec la gravité, problématique qu’il éditera prochainement dans un numéro spécial d’une revue consacré à la cosmologie (Rovelli, communication personnelle). Ce qui montre le déplacement du statut de la gravité vers une « ontologie de l’information et de l’entropie ».

VIII. La physique contemporaine a donc produit des résultats surprenants. Une chose semble acquise, c’est l’abîme grandissant entre les formalismes mathématiques et un sens, ou disons une image physique issue du sens commun. Avec comme conséquence rigoureuse l’impossibilité de raccorder les cosmologies quantiques avec une ontologie primitive et de considérer ces physiques comme des phénoménologie. L’image brouillée issue de la GR et MQ est encore plus voilée dans le contexte de l’achèvement de la cosmologie et peut-être de la MQ.

Une nouvelle vision de la nature et du cosmos émerge actuellement derrière ce brouillard. L’entropie et l’information sont au centre de cette vision mais avec une refonte complète des dispositifs mathématiques, phénoménologiques et ontologiques. Ce n’est pas tout. Les résultats de la cosmologie quantique semblent représenter une réalité différente de l’étendue phénoménale moderne. Je ne peux pas en dire plus, ayant quelques idées en vue mais pas assez nettes.

Juste une métaphore assez parlante. La vision monoculaire livre une perception en deux dimensions. La vision binoculaire permet, par la superposition des images produites par les deux yeux, une vision tridimensionnelle. Imaginons maintenant deux images du monde, celle obtenue à partir des mécaniques quantiques avec les détails de la structure élémentaire de la nature, puis celle de la cosmologie relativiste standard (en ajoutant l’information comme élément subsidiaire et révélateur). En superposant ces deux images, on obtient un raccordement qui fait apparaître une nouvelle « dimension » du réel ou même un élément supplémentaire du réel. C’est cette dimension que je cherche actuellement et qui si l’idée se précise, risque d’entraîner le basculement de la vision du monde, à l’instar du monde infini ayant succédé au monde clos médiéval. La Modernité aura alors fait (épuisé) son temps.

Le changement de compréhension du monde matériel et du cosmos aura certainement des conséquences sur la théorie du vivant et de l’évolution. Difficile de préciser en quelques lignes le tournant des choses. Disons que la cosmologie quantique ouvre vers une vision inédite de la nature et que le vivant étant plongé dans cette nature et fait de cette nature, alors la vie prend une autre dimension, un autre sens. Les failles du darwinisme pointées par Nagel seront comblées par un nouveau dispositif qui incorpore la phénoménologie, l’ontologie et une certaine conception de la téléologie. Tout est dit mais rien n’est établi. Et c’est tant mieux car le rôle et l’essence du savant est de chercher, et trouver les compréhensions du monde après la Modernité. Le changement de vision opéré depuis 1927 nécessitera encore une ou deux décennies pour être accompli et deux décennies de plus pour être entériné.

Liens utiles

 http://fr.arxiv.org/pdf/1012.4707

http://fr.arxiv.org/pdf/gr-qc/0604045



75 réactions


  • claude-michel claude-michel 19 décembre 2013 08:58

    (En supposant l’unicité de l’univers)...et si ma tante avait....vous connaissez la suite je pense... ?

    Vos explications sont faites pour quelques personnes connaissant ces sciences...Vous n’avez aucun talent pour conter l’univers au commun des mortels...vous parlez a votre tableau noir uniquement...Carl Sagan avait cette façon simple et unique d’expliquer les choses...vous pourriez peut être vous en inspirer.. ?

    • bourrico6 19 décembre 2013 09:22

      Le problème, c’est qu’il aborde des sujets qui ne s’expliquent pas.
      Il faut les pratiquer, il n’y a pas d’autre alternative.

      Ce problème est aggravé par le vocabulaire, les mots utilisés en science sont souvent des « au mieux » voir des « erreur » que l’on conserve parce que l’erreur date du début, et par habitude.
      Ces mots désignent des concepts et des notions qu’il faut pratiquer pour comprendre.
      De fait, les « non initiés » vont interpréter les mots selon le langage courant, et seront donc dans l’erreur.
      La couche suivante est donnée par le fait que les notions abordées défient les capacités de représentation du cerveau humain.

      Au final, des notions ardues, un vocabulaire mal compris, aboutissent à une construction mentale forcément fausse.

      Ceci pour le simple aspect « physique », car il faut maitriser au même degré tout le pan philosophique.

      Bref, articles réservés à une minorité, et je ne suis même pas sur que la compréhension soit suffisante pour pouvoir déboucher sur un débat, d’ou l’effet « vous parlez à un tableau noir ».
      Un peu comme un cours magistral dont on ne peut discuter car il va falloir un moment pour le digérer si tant est qu’on y arrive.


    • claude-michel claude-michel 19 décembre 2013 09:35

      Par bourrico6...Merci pour votre commentaire (compréhensible)...à défaut de son article.. !


  • Pepe de Bienvenida (alternatif) 19 décembre 2013 09:14

    « une certaine conception de la téléologie », ça reste de la téléologie. Elle a été virée par la porte mais vous persistez à la faire entrer par la fenêtre. Il ne peut pas y avoir « un peu » de finalité, c’est une finalité ou pas, point.
    La science est là pour explorer les représentations du réel, pas pour apaiser les angoisses métaphysiques.


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 19 décembre 2013 11:03

      Quel rapport avec les angoisses métaphysiques ?

      La téléologie n’a rien d’angoissant et quand je dis une certaine, ça ne veut pas dire un peu, mais une téléologie ancrée dans le réel qui émerge de la science.


    • claude-michel claude-michel 19 décembre 2013 11:12

      Par Bernard Dugué....Vous n’êtes qu’un prétentieux qui fait pale figure à côté d’un Stephen Hawking... !


  • Francis, agnotologue JL 19 décembre 2013 09:40

    J’ai compté onze fois l’apparition du mot ontologie ou d’un dérivé dans ce texte qui n’est pas très poétique, comme l’a souligné claude-michel ci-dessus : j’ai l’impression d’entendre monsieur Jourdain, le jour où il découvrit le mot prose.

    A l’entrée ’ontologie’, mon Larousse - oui, quand je peux, j’évite de nourrir les moteurs de recherches - dit : ’’ étude de l’être en tant qu’être ; de l’être en soi.

    Comme j’aimerais que Bernard Dugué se renouvelle un peu ici, je lui suggère de ne pas nous parler d’ontologie sans mettre en contrepoint ce tout aussi joli concept qu’est celui de ’ontique’.

    Ontique  : ’’Chez Heidegger, qui relève de l’étant (par opposition à ontologique).’’


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 19 décembre 2013 11:35

      Je crois qu’on assiste à un événement historique considérable, la révolte des bonnets d’âne sur Agorovox, qui veut prendre la tête du mouvement, JL peut-être, ou un autre


    • Francis, agnotologue JL 19 décembre 2013 14:12

      Dugué,

      vous devriez exercer vos talents d’onto-épistémologiste dans un domaine qui vous concerne de beaucoup plus près que ces grands espaces lointains ou inaccessibles.

      En effet, si la prise de pouvoir par les bonnets d’ânes devenait un événement historique comme vous dites, vous devriez chercher une réponse à cette question : pourquoi, jusqu’ici, les gens de pouvoir qui ne seraient selon vous - et là je vous suis volontiers - pas des ânes, n’ont-ils pas encore fait appel à votre génie ?


  • Francis, agnotologue JL 19 décembre 2013 12:07

    Dugué,

    vous me rappelez cet adjudant qui, s’étant vu refuser le grade de lieutenant, pérorait devant ses collègues en disant, je n’invente pas : ’’Il vaut mieux être un grand chez les petits qu’un petit chez les grands’’.

    Vous écrivez ici des articles qui seraient refusés dans les revues scientifiques sérieuses.

    A bon entendeur, salut.


    • claude-michel claude-michel 19 décembre 2013 12:39

      Par JL....Il me fait penser aux frères Bogdanov.. ?

      Aussi doué que ces deux rigolos..il nage dans son néant intérieur et ne trouve pas la sortie.. !

  • #gcopin fessesbouc 19 décembre 2013 12:28

    Bonjour

    Je ne partage pas l’idée générale des internautes vis à vis de l’article, à l’inverse je remercie l’auteur pour son article compréhensible, passionnant et qui remet en cause notre façon de penser la cosmologie, on est dans la vulgarisation ce qui n’est pas toujours le cas concernant l’auteur, où parfois les articles sont dans un langage trop technique (d’où le merci). Néanmoins, je comprends la frustration de ne pas saisir le fondement d’un texte pour l’avoir vécu dans certains domaines, en ce qui concerne la MQ, la RR et RG ça demande de consacré du temps, d’ailleurs en ce qui me concerne, il ne me reste plus de temps pour lire les articles concernant la politique, mais ce n’est pas grave du fait que l’on répète en boucle (ne pas confondre avec la gravitation à boucle) depuis 30 ans les mêmes théories, La folie consiste à « répéter » encore et encore la même chose tout en attendant des « idées » différentes.


    • bourrico6 19 décembre 2013 12:49

      on est dans la vulgarisation

      Absolument pas.
      La vulgarisation, c’est de rendre accessible, pour cela, il faut ... expliquer.

      L’auteur n’explique rien, il balance des phrases dont certaines contiennent des mots « étranges » et des notions en pagailles sans une once d’explication, rien.

      exemple choisi : Par exemple, la gravitation à boucle permet de calculer l’entropie avec la formule classique dérivée de Boltzmann car la quantification de l’espace-temps fait que le nombre de « complexions » du trou noir n’est pas infini.

      C’est ça la vulgarisation ? T’as vu la gueule de l’exemple ? smiley

      Chaque branche (ici 2) dans son domaine demande des connaissances.
      Mais autant la physique renvoi à des notions relativement claire et qui tôt ou tard peuvent être tranchée (pas toutes hélas), autant la partie philo, avec l’usage abusif du terme vague « ontologie » vous expédie directement dans le flou le plus absolu.

      Etant profane en la matière, la définition la plus claire que j’ai pu trouver c’est ça :
      On a coutume de définir l’ontologie comme la discipline qui tente de répondre à la question : « Qu’est-ce qui existe ? »

      C’est pourquoi je pense aussi parfois que l’auteur se la « pète » en publiant ça ici, je sais pas, je doute encore.


  • bourrico6 19 décembre 2013 12:38

    La cosmologie relativiste d’Einstein et la mécanique quantique. 1917 et 1927, deux dates importantes. Et une révolution inachevée, voire deux.

    Quelle révolution ?
    Il y avait des questions urgentes à répondre, on avait une théorie médiane dont on atteignait les deux extrémités.
    Les deux autres ne font que combler les bords, et n’ont en aucun cas invalidé newton qui est toujours enseigné, et toujours utilisé.
    Au final, seul la MQ défie réellement l’entendement, mais elle fonctionne et n’est pas mise en défaut à ce jour.

    Il est évident que si vous attendez la fumeuse théorie unifiée, le graal de la physique moderne, alors oui, c’est inachevé.
    Si vous attendez que l’Humain saisissent l’essence de l’Univers, vous êtes dans la merde, ça reviendrait à saisir « Dieu ».
    La physique est une interprétation, pas la vérité, les concepts métaphysiques sont nécessaires à la réflexion, pour tenter une approche plus large.
    Mais on ne peut les faire entrer tels quels dans le formalisme, formalisme nécessaire pour donner corps à la théorie.
    Les mathématiques restent une énigme à part entière, et s’ils sont l’armature de la physique moderne, ils sont insensible à sa métaphysique, ils ont la leur, à mon sens bien plus « ésotérique » que toutes les autres.
    Je ne sais pas si je suis très clair.

    En superposant ces deux images, on obtient un raccordement qui fait apparaître une nouvelle « dimension » du réel ou même un élément supplémentaire du réel.

    Dans le cas de l’oeil, ils sont identiques et regardent la même chose.
    Vos deux théories sont différentes et ne regardent pas la même chose, elle ne peuvent pas regarder la même chose.
    La comparaison est assez fumeuse, et la trouver en conclusion est assez curieux.

    Si c’était pour dire que vous cherchiez « Dieu » ou la « Vérité » comme je l’ai dit plus haut, ce n’était pas peine de faire autant de chichi avec des histoires d’univers « quantique » (car différent selon le point de vue) ou autre « ontologie » balancé à toute les sauces.

    Votre quête est aussi vieille que l’Humanité, et elle va vous survivre.


    • claude-michel claude-michel 19 décembre 2013 12:42

      Par bourrico6....Bravo pour la démonstration +++....mais je ne pense pas qu’il puisse la comprendre..c’est le problème de ces soi disant scientifique de salon Parisien.. !


    • bourrico6 19 décembre 2013 12:54

      Si vous attendez que l’Humain saisissent l’essence de l’Univers, vous êtes dans la merde, ça reviendrait à saisir « Dieu ».

      J’irai même plus loin, cela reviens à faire de l’Homme l’égal de Dieu.


    • claude-michel claude-michel 19 décembre 2013 14:14

      Par bourrico6....Y a notre apprenti sorcier.. ?


    • #gcopin fessesbouc 19 décembre 2013 15:29

      vous attendez que l’Humain saisissent l’essence de l’Univers, vous êtes dans la merde, ça reviendrait à saisir « Dieu ».

      Je suis d’accord avec cet phrase, néanmoins c’est intrinsèque à l’homme de vouloir saisir la pensée de Dieu, on est tous damnés par la phrase de Leibnitz -Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Et les seuls jouets que l’on possède pour comprendre c’est la philosophie, la théologie, la science (Sans le scientisme ou le positivisme) de plus on a conscience que la vérité n’est pas saisissable et c’est temps mieux, je pense que la vérité détruirait notre raison. La recherche ne détruit rien elle est productrice d’espoir.


    • bourrico6 19 décembre 2013 15:55

      Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?

      J’en conviens, mais les théories physiques existantes ne lui seront d’aucun aide pour ça, la science n’a jamais eu vocation à répondre au « pourquoi ».
      Partir de théories dont on sait pertinemment qu’elle ne représentent pas la réalité, ne permet en rien de réfléchir à l’existence des choses.
      Il faut s’intéresser aux cheminements qui ont aboutis à ces théories, et la , il y a des surprises.

      A mon avis, il a plus de chance de croiser Dieu dans les mathématiques, que dans les concepts physiques.

      Et j’avoue que par curiosité, j’aimerai savoir ou il place les mathématiques dans son édifice.


    • Arnaud69 Arnaud69 19 décembre 2013 16:10

      bourrico6

      Dans le nombre d’or et les fractales en principe, puisque les fractales sont la base mathématique des éléments naturels.
      Ceci-dit, aucun archange n’est jamais venu me le confirmer personnellement ...


    • Pepe de Bienvenida (alternatif) 20 décembre 2013 10:19

      Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?
      Parce que s’il n’y avait que le néant, personne ne serait là pour se poser la question « Pourquoi n’y a-t-il rien plutôt que quelque chose ? ». Vu les délires qu’occasionne la première question, on en viendrait à regretter de ne pas être dans ce cas...


    • epicure 20 décembre 2013 22:18

      effectivement la science ne cherche pas le pourquoi , mais le comment car c’est la seule chose qu’on peut étudier de façon scientifique.
      Déjà pour parler de sens il faudrait connaitre le début et la fin de ce à quoi on définit un sens.
      Prendre une photo instantanée de quelque chose et en déduire le sens global, éternel de la chose observée, c’est juste une illusion, cela nous donnera juste le sens du déplacement à cet instant donné mais pas là où finira la chose. Autant la chose pourrait tourner dans un autre sens ou faire demi tour, revenir en arrière.
      Hors les chercheurs de sens ne se basent que sur leur point de vu anthropocentrique, limité sur un court moment de l’univers pour déduire la finalité de l’univers sur des milliards d’année.

      C’est pour ça que la téléologie n’a pas sa place dans al science , c’est une approche uniquement subjective de la réalité, pas une approche scientifique.


    • philouie 20 décembre 2013 23:11

      C’est pour ça que la téléologie n’a pas sa place dans al science , c’est une approche uniquement subjective de la réalité, pas une approche scientifique.

      je dirais plutôt, « c’est pourquoi la science n’a pas sa place dans la théologie », puisque effectivement, elle ne dit rien sur le sens.


  • Robert GIL ROBERT GIL 19 décembre 2013 14:45

    juste pour vous dire qu’aujourd’hui une fusée Soyouz a lancé avec succès, à 10 h 12, depuis le Centre spatial guyanais de Kourou, le télescope spatial européen « GAIA » qui va donner aux scientifiques du boulot pour les 20 prochaines années, et peut-etre faire de nouvelles decouvertes qui revolutionneront ce que l’on connait sur notre galaxie.


  • Ruut Ruut 19 décembre 2013 16:30

    Associer des théorie entre elles ne font pas une science.
    Une science se reproduit une théorie doit se démontrer.
    Or la relativité ne se retrouve que dans la statistique jamais a 100 %.
    Il y as donc un facteur manquant.
    se baser sur une théorie bancale n’est jamais salutaire.


    • bourrico6 20 décembre 2013 09:06

      Or la relativité ne se retrouve que dans la statistique jamais a 100 %.

      Vous pouvez expliquer ça ?
      Parce que moi je n’y comprends rien.


    • Pepe de Bienvenida (alternatif) 20 décembre 2013 09:44

      L’explication m’intéresse aussi. Avec sources SVP.


    • christophe nicolas christophe nicolas 20 décembre 2013 10:54

      C’est exact, la relativité est une connerie de septique. Cela se démontre ainsi. La vérité n’existe pas mais pour affirmer cette vérité, il faut croire en la vérité donc le septique se nie lui même.

      Pour la théorie scientifique, elle est prise en défaut de partout mais tout est mis sous le tapis que ce soit en astronomie ou pour les expériences antigravité. Pourtant la relativité est confirmée dans de nombreuses expériences à tout niveau. Quand on connait l’origine de la relativité et ce que fit Einstein, on comprend rapidement que c’est une explication ad hoc sans réel fondement. Il introduit un espace temps absolument catastrophique car il a quelque chose de magique ce qui n’empêche pas de faire des calculs, au contraire, mais ce qui bloque l’imagination conceptuelle qui permet de progresser.

      Au niveau des calculs, la relativité se reproduit, c’est tout ce qu’elle fait mais elle n’a toujours pas de fondement.

      Quand on croise un pépé et un bourricot, ça donne une vielle carne.


    • Pepe de Bienvenida (alternatif) 20 décembre 2013 11:01

      bourrico6 et moi sommes des instruments du grand complot, c’est clair.


    • Pepe de Bienvenida (alternatif) 20 décembre 2013 11:05

      D’ailleurs, en tant que septiques (sic), nous ne pouvons qu’être source d’infection.


    • christophe nicolas christophe nicolas 20 décembre 2013 12:38

      Ce n’est pas ce que j’ai dit, c’est toi qui te crois persécuté. Le scepticisme comme outil pour explorer est correct pas comme directeur de l’esprit. Démonte mes preuves, pas en se camouflant sur la réputation de la science officielle qui a refusé tout débat parce qu’elle sait qu’elle a tort.

      Ne vois tu pas que les « grands » prennent les petits pour des crétins. Ils ne complotent pas, tu es juste quantité négligeable. Le problème c’est que leur esprit est castré par leur orgueil alors ils ont encore besoin de nous... les hommes de pouvoir qui désirent le bien changeront si la vérité remonte par le bas.


    • el cogno 21 décembre 2013 06:52

      Tiens, le retour de l’antigravité et autres fumisterie.

      AV, cour d"asile ! smiley


    • christophe nicolas christophe nicolas 21 décembre 2013 21:00

      Mon pauvre garçon si tu discutes sérieusement tu es mort. Même ce pauvre Cern est obligé de se mettre à l’antigravité mais sous terre c’est une très mauvaise idée.

      Il faut dire qu’après le coup qu’il ont fait sur les neutrinos, je crois qu’ils ont apprécié ma réponse sur l’antigravité, je préfère ne pas la publier, c’est choquant


    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 21 décembre 2013 21:04

      L’anti gravité est un petit pas pour l’humanité ,mais un grand pas vers l’humour !


    • baldis30 21 décembre 2013 22:48

      Non ... une théorie se vérifie elle ne se démontre pas . Un travail théorique, fruit d’une réflexion basée sur des faits essaye de corréler des faits éloignés entre eux et d’en prévoir de nouveaux ou de donner la juste mesure de phénomènes.

      Il y a deux exemples en Mécarat qui sont révélateurs d’une approche de la compréhension de certains phénomènes qu’on dit avoir été découverts par la RG ....laquelle n’a fait par contre que donner la bonne valeur des phénomènes.

      a) le trou noir : le premier concept remonte à Laplace mais ne donne a l’horizon du trou noir que la moitié de sa valeur ( le calcul en trois lignes est au niveau d’un bac C)
      b) la déviation des rayons lumineux .... même travail possible du temps de Newton et bien sûr de Laplace avec aussi la moitié de la valeur par rapport à la RG. 

      La RG a permis pour la première fois d’aborder le problème cosmologique sous une forme qui n’est plus théologique .... quoique le Big Bang possède des relents de création du monde mais qu’il n’est pas la seule vision mathématiquement possible ( personnellement la première fois que j’ai lu quelque chose sur un univers « pulsant » c’était sous la plume de Gamow... donc pas n’importe qui ...)
      Actuellement on peut parler de physique quasiment bloquée, Est-ce que les tentatives liées à une idée intiale de Dirac - reprise aussi par bien d’autres, dont récemment par Shu-
      consistant à proposer que les constantes dites « universelles » - c, h, G,e - varient dans le temps seront fructueuses , on verra ! Cela ne remet pas en cause l’homogénéité et l’isotropie de l’espace ( conservations de l’énergie et du moment cinétique) 


    • Ruut Ruut 7 janvier 2014 14:07

      Aller je vais vous aider a mieux comprendre le problème de la théorie quantique :

      Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Physique_quantique

      Paragraphe

      Les paradoxes liés à la mesure amènent à se poser la question : la physique quantique décrit-elle la réalité ?

      Et intéressez vous a l’Arbre des solutions du problème de la mesure :

      Rien que l’existence de cet arbre montre que la théorie Quantique est un bricolage non fini.


  • julius 1ER 19 décembre 2013 17:02

    L’enseignement majeur à tirer de ces réflexions, c’est que la science, qu’elle soit antique, médiévale ou (et surtout) moderne se fait en corrélation avec un changement de vision du monde que portent en général les « savants » puis les « sachants », autrement dit ceux qui savent et comprennent. 

    @ Dugué
    So what ???????????????
    est-ce que la compréhension de ces phénomènes rend le monde meilleur ?????? je me permets de douter de cela, lorsqu’on sait, que les restaus du coeur enregistrent leur millionième client ce mois- ci, plus de science, toujours plus de science et de techniques et le monde est à deux doigts de la barbarie, l’extrème- droite est partout en progression et cette crise est appelé à durer 30 ans, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans l’« humanosphère » !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • veraunika 19 décembre 2013 17:33

    La fin du monde ca veut tout dire et rien dire en même temps. Fin de la terre ? Fin de la race humaine ? De toute vie sur terre ? Je pense que nul ne peut le dire avec précision.


  • berry 19 décembre 2013 20:09

    Les trous noirs, l’espace-temps, l’énergie sombre, la gravitation à boucle, la théorie des cordes....
    Quel bestiaire invraisemblable.
    On est pas obligés d’y croire.

    Je constate surtout qu’il n’y a aucune découverte majeure en physique depuis des décennies.
    Officiellement en tout cas.
    On est pourtant loin d’avoir tout découvert.

    Officieusement, il doit en être tout autrement.
    Toutes les recherches importantes sont « secret défense ». C’est bien logique puisque la physique, c’est des armes et des moyens de déplacement pour les militaires.

    Il est évident qu’il y a une désinformation massive dans le domaine de la physique, encore plus qu’en politique et en histoire.
    Tous les magazines de vulgarisation scientifique s’auto-censurent. Science et vie et les autres magazines similaires ne valent rien, c’est de la littérature, du vent, du pipeau, du promène-couillon pour adolescents avec des articles vides sur l’avant big-bang ou la théorie des cordes.

    Le public n’a pas accès à l’information dans ce domaine.
     


    • bourrico6 20 décembre 2013 10:03

      On est pas obligés d’y croire.

      La croyance est réservée à la religion, tu t’es visiblement trompé de fil.

      La croyance aux complots en matière de science est réservé à des personnes présentant des troubles psychiatriques tels que la paranoïa.
      Oui, c’est de toi que je parle.


    • Aristoto Aristoto 21 décembre 2013 20:51

      Ha enfin qqchose de potable !! Bravo berry !!!

      Tout de meme on remerciera jamais le monde de nous avoir donné JPP !!


  • JMBerniolles 19 décembre 2013 20:23

    Derrière tout cela il y a le débat fondamental sur l’unicité en laquelle je crois personnellement.


    Ce qui compte c’est qu’Einstein y croyait totalement.* 

    Le problème actuel est que la Physique fondamentale avec Einstein, Bohr, Dirac... et beaucoup de grands noms prestigieux, s’est nourrie de l’expérience. On l’a encore vu avec la mesure de la vitesse des neutrinos qui aurait eu d’importantes implications théoriques s’il s’était avéré que cette particule allait plus vite que la lumière. 

    Là, on bute aussi sur le fait que la matière et l’énergie noires, rien moins que la grande majorité d’ailleurs, ne résultent que d’une connaissance ou une existence théorique, si l’on peut dire.


    * donc comme ceux qui veulent unifier Physique relativiste et Physique quantique.



    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 19 décembre 2013 20:37

      La Palice est éternel ...


    • Ricquet Ricquet 19 décembre 2013 21:06

      Einstein disait aussi : « Si c’était à refaire, je me ferais plombier »

      Vu l’empreinte que laisse l’homme sur la planète, on peut le comprendre !

      De toute façon, si le créateur a bien fait les choses, l’arbre de la connaissance est resté au jardin d’Eden, donc tu peux toujours tirer sur une ficelle de la connaissance, il en manquera toujours un bout.  smiley
      (à moins de réinventer le fil à couper le beurre)

      à part ça, bon courage pour la branlette neuronale.
      « Dans la pierre même un verbe est attaché... »
      Tant que l’homme n’aura pas compris ça, Aragon pourra toujours dire :
      « le poète a toujours raison parce qu’il voit plus loin que l’horizon »
      C’est un nyctalope à sa manière, ...
      à contrario, pour citer C de Gaulle :
      "Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent on en cherche.
      Tout un programme, pour aller le mur avec des œillères pour apprentis sorciers.

    • christophe nicolas christophe nicolas 20 décembre 2013 13:06

      Arbre de la « connaissance du bien et du mal » pas « arbre de la connaissance ». Attention, cela n’a rien a voir. Pour connaitre le bien et le mal, il faut connaitre l’intention ce qui oblige a inverser la façon de d’aborder l’autre.

      Pour connaître le bien et le mal, il faut avoir une forme intentionnelle d’intelligence et non plus de bonté, c’est le piège qui plonge l’esprit dans le faux. Le piège du serpent de la bible est de changer la forme intentionnelle de l’esprit.

      Cela n’a rien à voir avec la connaissance rationnelle, c’est l’inverse puisque en ayant un regard de bonté on perçoit la vérité et donc la connaissance rationnelle.

      Attention à ce point, tout le monde se trompe. Dieu veut nous faire connaître mais « le bien et le mal » c’est un jugement et cela est réservé à Dieu et à ceux qui ne respectent pas la loi.


    • Ricquet Ricquet 20 décembre 2013 16:53

      Merci Christophe.


  • christophe nicolas christophe nicolas 19 décembre 2013 21:36

    Il y a beaucoup de choses, c’est chargé. Prenons un thème, ainsi les trous noirs ne peuvent que croitre et vont finir par consommer l’univers.... Ah bon... et comme l’univers est par définition unique et éternel et que le bigbang est une ânerie, il y a un problème

    Evidemment, parce que dans l’échelle des âneries, on n’arrête pas le progrès. voyons cela par rapport à la théorie de l’intrication et par rapport à l’antigravité.

    Vous vous souvenez des patineurs, pour tourner plus vite, ils resserrent les bras près du corps et un trou noir est très petit et tourne donc très vite. S’il tourne très vite, tous les moments magnétiques s’alignent ce qui a pour effet d’augmenter le poids des particules aux équateurs et d’annuler celui des particules aux pôles qui n’ont plus d’interactions et peuvent s’échapper du trou noir qui n’est pas un objet à gravitation uniforme. En plus, à très haute vitesse, ce n’est pas la masse des particules qui augmente mais les interactions qui diminuent alors les truc einsteiniens sont à prendre avec des pincettes dès lors qu’on y mêle l’antigravité.

    On peut aussi imaginer que le cycle d’injection et d’éjection d’une particule est beaucoup plus court que le temps de propagation que la lumière met a nous parvenir. Dans ce cas, on aurait au centre de la galaxie un noyau très lumineux et le trou noir en question nous apparaitrait « noir » car sans interaction avec nous.

    Bref, plein de choses à découvrir mais qui doivent être observées à différentes distances pour comprendre. Il faut donc voyager et constater sur place.

    Conclusion : Inutile de dépenser des milliards dans des satellites d’observation, il vaut mieux les utiliser pour construire un centre d’essai antigravité, la croix glorieuse de Dozulé en l’occurrence.

    Voyez vous, dans le faux, plus on travaille plus on s’enfonce et plus ça donne du travail et de la destruction.

    Dans le vrai, tout se simplifie, le travail aliénant s’amenuise et la nature est préservée. C’est un peu le débat sur les épicycles de Ptolémée mais ce coup çi on ne pas se permettre d’attendre un siècle et demi.


    • Pepe de Bienvenida (alternatif) 20 décembre 2013 09:48

      C’est l’heure des cachets ! Bien le bonjour à Jack Nicholson.


    • christophe nicolas christophe nicolas 20 décembre 2013 10:38

      Pépé est désabusé.... il n’a pas la fritte, et il essaie de refiler ses cachets. J’ai regardé tes commentaires, c’est du réactionisme, tu sais, ces gens qui critiquent comme s’ils possédaient une vérité supérieure qu’ils ne disent jamais. Allez Pépé fait ton coming out, allonge toi...


    • Pepe de Bienvenida (alternatif) 20 décembre 2013 10:49

      Excuse-moi, j’ai dû être formaté par la fréquentation des sciences officielles. Par exemple on m’a appris à docilement ne pas mélanger moment magnétique et poids tant que l’hypothétique théoris unificatrice ne sera pas à l’ordre du jour. Je suis borné, c’est vrai. Mais tu peux peut-être citer des soources sérieuses à l’appui de tes théories ? Dans le cas contraire, il se peut aussi que tu soies un génie méconnu (comme on en rencontre tant sur AV), et mon cerveau limité ne peut que s’incliner. La croix de Dozulé a autant de valeur scientifique que ma théorie selon laquelle l’univers est né de l’éternuement du Grand Aliboron Cosmique.


    • christophe nicolas christophe nicolas 20 décembre 2013 11:40

      C’est clair que la science t’échappe comme les révélations prouvées : La Tilma

      Voici des expériences qui mettent la relativité en défaut et qui montrent la relation entre les moments magnétiques et les poids. Ensuite, il faut comprendre que les essais des machines antigravité nécessitent une tour de quelques centaines de mètres, un canal horizontal en hauteur, un prolongement vertical de la structure au dessus du canal horizontal. La structure doit être métallique pour absorber le champ antigravité et ne pas perdre l’engin, le temps de bien comprendre et de quantifier tout cela. Il n’y a pas d’autre moyens pour étudier et maitriser l’antigravité.

      Si tu fais confiance à la science du Cern, tu es foutu, ils sont dirigés par des espions, des menteurs et des truands qui servent les lobbys de l’argent et de la big industrie qui dévorent les richesses du monde. Désolé de t’enlever tes illusions mais l’avenir est dans le ciel, pas sous terre.

      Expérience russe (très sérieux, c’est une expérimentation de la machine de John Searl, les Russes sont au courant des ovnis depuis longtemps et ne font pas de démagogie.)

      Expérience et théorie brésilienne de Fran de Aquino (très sérieux pour les expériences, la théorie ne part pas sur les bonnes bases. Les Brésiliens sont bien au courant des ovnis et ont un discours très ouvert. Le Cern n’a jamais répondu à ce brillant chercheur)

      Pour la France, il y a Claude Poher, neveu d’Alain Poher (Président du Sénat, et 2 fois Président par intérim), initiateur de du GEPAN video claude poher ou voir son site

      Expérience finlandaise Eugène Podkletnov : mise en rotation d’un supraconducteur et brimé injustement.

      Docteur Ning Li : mise en rotation d’un supraconducteur – A compris le rapport avec les spins, travaille pour l’armée américaine.

      Martin Tajmar  : mise en rotation d’un supraconducteur – Expérience reproduite à l’institut Göde sans succès mais avec une géométrie différente alors que c’est très important. Il a mis le doigt sur la façon d’orienter les moment magnétiques par le mouvement.


      Pour info, Einstein était tout à fait au courant que sa théorie merdait. Il n’a pas trouvé la solution mais il a bien posé la question avec l’expérience ERP qui a été faite après sa mort et qui donne tort à la relativité mais les enfumeurs jouent avec les mots parce que sans la solution il est difficile de jeter les vieilles idées. La solution est la théorie de l’intrication Mais comme les abrutis n’ont espionné pendant 10 ans dans mon dos en siphonnant mon travail, ils ont bloqué. Je m’en tape du Cern, je veux que ce méthodes cessent car elles se pratiquent à tous les niveaux, parce qu’elle se pratiquent au plus haut niveau. 

      Le système est pourri et il doit tomber et il va tomber. Ces gens nous prennent pour des crétins. Il suffit de faire connaitre la vérité et de lire tous mes commentaires, l’antigravité y est expliquée à un endroit.

      Il faut savoir que la science officielle est désormais à l’agonie, engagée dans des voies sans issus dans presque tous les domaines, c’est ainsi, l’intelligence doit travailler sous la spiritualité et non l’inverse ce qui se traduit dans ma théorie.


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 20 décembre 2013 11:54

      L’expérience ERP qui est en fait EPR et n’est pas une expérience mais un paradoxe formulé par Einstein Podolsky et Rosen ne prend pas en défaut la relativité mais la mécanique quantique. Il n’y a aucune expérience possible, sauf avec la reformulation sous forme des inégalités de Bell ce qui a donné les expériences d’Alain Aspect.

      Ne prenez pas de cachets, ça ne fera qu’aggraver votre état. Plutôt une bonne cure de sommeil


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 20 décembre 2013 11:59

      J’utilise cette fenêtre pour répondre à Hervé ci-dessous Un proton ne donne jamais de quarks. Tout dépend avec quoi on le bombarde. Si c’est des électrons, ça donne une diffraction et si c’est un hadron, ça donne d’autres hadrons. Le quark est inobservable en vertu du confinement. Plus on essaie de l’extraire, plus il résiste. Le quark n’est qu’une forme mathématique dans la QCD dont les bosons de jauge sont les huit gluons. avec les quatre autres bosons électrofaibles, cela donne le modèle standard


    • christophe nicolas christophe nicolas 20 décembre 2013 12:50

      Alors là, c’est nouveau. Avez vous écouté les conférences d’Alain Aspect où il s’énerve sur le genre de réflexion que vous faites ? Einstein, n’a t-il pas conçu cette expérience pour trancher entre relativité et mécanique quantique ? L’expérience EPR montre que la mécanique quantique est non locale et qu’il n’y a pas de variables cachées ce qui défie la science ou alors la relègue sous autre chose.

      « Paradoxe », vous jouez avec les mots, cela veut dire incompatibilité entre relativité et mécanique quantique.


  • Hervé Hum Hervé Hum 20 décembre 2013 01:16

    Bonsoir Bernard Dugué,

    j’ai mon petit article prêt, avec la démonstration de mon petit théorème, mais je n’ai pas encore pris la décision absolu de le publier. D’autant qu’il m’entraîne dans des considérations dont je n’ai pas fini le tour. Ainsi, cela me conduit à regarder ce qu’est cette fameuse théorie des cordes. Enfin, tout en restant uniquement dans le domaine de l’idée !

    En attendant, je me posais une question simple et voulait vous la soumettre.

    J’ai lu que lorsqu’on bombarde un proton dans un collisionneur, on voit celui ci se diviser en ce qu’on appelle des quarks, mais qui se reconstituent systématiquement (si j’ai bien lu).

    Or, peut on dire que ces quarks existent réellement, s’ils ne peuvent rester séparés isolément ?

    Prenons un exemple, je coupe la tête à un homme mais au lieu de mourir, celui ci se la replace sur la tête, et ce systématiquement que j’essaie de la lui couper. Ne serais je pas tenté de conclure que la tête et le corps n’existent pas séparément et donc que cette personne étrange n’existe réellement qu’avec sa tête sur son corps ?

    Autrement dit, je peux considérer que les quarks n’existent pas et ne sont que des chimères inutiles, sinon bonnes à dérouter l’esprit.


    • Pepe de Bienvenida (alternatif) 20 décembre 2013 10:37

      Prenons un exemple, je coupe la tête à un homme mais au lieu de mourir, celui ci se la replace sur la tête, et ce systématiquement que j’essaie de la lui couper.
      Si ça pose problème, il n’y a qu’à le pendre. La théorie des cordes est là pour ça smiley


    • Hervé Hum Hervé Hum 20 décembre 2013 11:29

      Merci pour la note d’humour Pepe. smiley

      Mais faut faire gaffe de lui lier les mains avant, parce que sinon il lui restera toujours la possibilité de se couper la tête lui même !!!

      Cela dit, vous ne répondez pas à la question posé.

      Pour aller plus loin, imaginons que je me dis, bon, la tête se recolle, mais si je lui coupe le tronc ? Et merde, il fait de même. Alors je fais l’hypothèse que je peux lui couper un bras et ensuite les jambes.. Bon vous connaissez la chanson. J’avais bien vu juste, je peux le couper en morceau, en remarquant qu’il se recolle toujours.

      Donc au final, je me retrouve toujours avec un corps entier, mais où le gars va commencer à s’énerver vraiment et peut finir par me la couper en deux ma tête smiley


  • rhea 1481971 20 décembre 2013 08:47

    La vie a pour essence des nombres transcendants, l"humain pourra imaginer des tas de théories et les complexifiées à l’infini sans jamais aboutir à la véritè.


    • bourrico6 20 décembre 2013 09:12

      La vie a pour essence des nombres transcendants

      C’est quoi cette association de mots qui n’a aucun sens ?

      La fin de votre phrase est vraie par contre.


  • Hervé Hum Hervé Hum 20 décembre 2013 11:43

    Penser que le fait de comprendre l’ontologie de l’Univers ferait de l’humain l’égal de Dieu est d’une arrogance sans pareil et en lui même un défi à l’observation la plus élémentaire de l’Univers. En fait, affirmer une ineptie pareille c’est nier l’existence de l’Univers physique avec ses galaxies et même qu’il y ait une galaxie dans l’Univers.

    Franchement, faire de l’humain le Dieu plénipotentiaire de la Terre ne fera de lui que le maître grandiose d’un grain de sable sur la plage Universelle.

    Et Dieu dans tout cela ? Le jour ou vous serez capable d’attention et d’empathie pour un microbe perdu sur un grain de sable de la plage ou vous allez en vacance, vous aurez alors atteint le niveau de l’empathie divine ! smiley


    • Hervé Hum Hervé Hum 20 décembre 2013 11:49

      Ah, ce commentaire n’est pas adressé à Bernard Dugué, mais aux commentaires que j’ai pu lire ici ou là.


  • mimusops 20 décembre 2013 13:02

    Encore un bon article. Cela me fait toujours plaisir de vous lire.


    Comme vous le dites la clé de cette nouvelle appréhension de l’univers et du vivant passe par une réelle compréhension du lien entre l’information et l’entropie (ou plus simplement l’énergie). Mais sur ce point, je pense que nous pensons à l’envers ou partiellement. Nous négligeons l’autre face, la néguentropie, cette tendance que la matière a à « s’agréger », à échanger et à se complexifier pour justement utiliser au mieux l’énergie potentiel du vide dans des boucles auto-organisatrices. C’est comme si nous ne voyons que de multiple explosions sans voir les implosions que cela entraine entre les ondes de choc !  

    Je n’ai pas la solution, et encore moins la démonstration mais je pense que nous devrions plus chercher autour du lien entre l’information, la vitesse et la stabilité de l’échange, et la température (ou potentiel énergétique). Voir le « vivant » comme une propriété de cristallisation dynamique de la matière pour une utilisation optimisée de l’énergie dans un cadre de refroidissement général. Regarder encore la beauté d’un flocon de neige... 



  • christophe nicolas christophe nicolas 20 décembre 2013 13:24

    Pour mimusops, ceci peut t’intéresser : http://www.searlsolution.com/evidence2.html

    L’expérience fait baisser la température ce qui veut dire une baisse de l’énergie cinétique des molécules ce qui veut dire que ces espèces de murs magnétiques ordonnent les mouvements et les ralentissent, ce qui veut dire que l’entropie décroit et qu’on gagne de l’énergie.

    C’est le problème du Démon de Maxwell , dès 1870 environ, la science peut partir sur la bonne voie mais on est dans le paradigme de la causalité locale et on n’envisage pas une théorie non locale. Maxwell bâtît l’électromagnétisme et Einstein en déduit la relativité et à la fin on arrive à Bernard Dugué qui nous fait des trucs un peu compliqués pour éviter Dieu, non ?

    Ce n’est pas compliqué, c’est très simple, c’est un vautrage mondial pour refus psychologique de nos élites qui se prennent pour Dieu. Les pauvres chéris sont traumatisés de s’apercevoir qu’ils servaient Lucifer, c’est trop chou de voir les blaireaux se faire passer pour des enfants du bon Dieu...


  • Hervé Hum Hervé Hum 20 décembre 2013 14:52

    J’utilise cette fenêtre pour répondre à Hervé ci-dessous Un proton ne donne jamais de quarks. Tout dépend avec quoi on le bombarde. Si c’est des électrons, ça donne une diffraction et si c’est un hadron, ça donne d’autres hadrons. Le quark est inobservable en vertu du confinement. Plus on essaie de l’extraire, plus il résiste. Le quark n’est qu’une forme mathématique dans la QCD dont les bosons de jauge sont les huit gluons. avec les quatre autres bosons électrofaibles, cela donne le modèle standard

    Bonjour Bernard

    D’accord, pour autant, on laisse bien entendre que ces quarks existent réellement et les grands collisionneurs sont censés les traquer.
     
    Alors tantôt les spécialistes en parlent comme des réalités tangibles, tantôt cela ne l’est plus. Vous me direz que c’est cela la mq !

    Résultat, on se perd en conjecture et chacun peut y aller librement de sa propre théorie. Il y en a d’élégantes et d’autres plus farfelus ou carrément« abracadabrantesque ».

    Je trouve cela très bien, sauf que les tenants de la version officielle ne veulent rien entendre d’autres que leur propre discours et se muent en doctrinaire de la pensée unique, alors que si l’objectif est de percer la réalité, ils devraient recevoir toutes suggestion ou théorie nouvelle avec bienveillance et curiosité. Autrement dit, les qualités qui furent leurs meilleures armes pour libérer leur esprit du carcan religieux.

    Par exemple celle proposé ici même par Christophe Nicolas est élégante et n’a rien d’invraisemblable. Or, l’auteur ne semble avoir reçu qu’indifférence voir mépris.

    Et j’en connais d’autres ainsi, dont le travail mérite respect, même s’ils se trompent, dès l’instant où la volonté manifeste est de chercher la réalité et non de chercher à manipuler les esprits faibles.


    • christophe nicolas christophe nicolas 20 décembre 2013 19:40

      Je te remercie en tout cas tes remarques trinitaires sont très pertinentes. Ce qui se passe, c’est que je suis la seule personne au monde qui ne devait pas produire cette théorie pour une raison très simple, les expériences supraluminiques sont certainement parties de chez moi par effraction. Je travaillais dans le BTP et ces gugus espionnent la vie privée à cause des magouilles sur les appels d’offres. C’est infâme ce qui se passe dans les milieux du pouvoir, c’est mensonge, chantage, coup de putes et putes, ces gens sont des proxénètes du travail. Ils sont tombés sur l’inversion de la problématique des variables cachées, je travaille près de Lyon, certains sont bien introduit dans les milieux Lyonnais donc...

      Concernant le Cern, ils ont tout de suite pigé, tout le monde à pigé mais à l’époque, certains avaient blindé ma réputation, homosexuel, pédophile, partouzeur, échangiste, j’ai eu la totale par des psy manipulateurs et ils ont utilisé mes proches pour m’accuser. Ces cons ont manipulé ma femme et toutes mes relations pendant des années. Les intermédiaires qui ont sorti l’information ont tout miné pour ne pas rendre de comptes à la justice mais je les y trainerais un jour, je ferais la justice par la vérité. Il s’agit de l’entreprise Legrand à Couzon au Mont d’or, ce n’est un secret pour personne. Après, ça a du se gérer plus haut puisque la présidence à reçu un exemplaire, toute la planète est au courant car je me savais espionné par Alstom et les grands du BTP ,la SNCF, RFF et compagnie alors j’ai informé le monde, même les autorités religieuses. Pour moi, la vie, ce n’est pas la démocratie, c’est une fumisterie de croire à la démocratie, c’est pour ceux qui n’intéressent pas le système.

      Mi 2012, j’ai commencé à comprendre l’ampleur de la manipulation, c’était facile de bloquer, les expériences sont quasi impossibles. Oui mais l’antigravité peut s’expliquer et bien d’autres choses, ce n’est pas si compliqué. J’ai résolu le problème une fois et j’ai vite oublié la solution pour ne rien dire sous la contrainte. L’antigravité, c’est simple à prouver, c’est la technologie des Ovnis mais cela a de sacrées conséquences sociologiques qui nécessitent une évolution spirituelle.

      Pas facile de s’apercevoir que Dieu existe pour les gens qui ont craché dessus ou dont l’esprit est dominé par les pulsions du corps. Ce n’est pas simple non plus pour les religions qui ont tendance à « fermer la révélation ». En tout cas, je crois que j’ai compris, je pense pouvoir unifier correctement les trois monothéismes sans fermer la connaissance et sans brimer les autres révélations et les personnes agnostiques de bonne volonté. C’est le songe de Jacob, toutes les pierres s’unissent à confirmer car toutes les versions ne concordent pas.

      Je suis certain que Dieu souhaite que nous allions de l’avant vers les étoiles mais pas comme des prédateurs. Ils nous met sur la bonne voie, outillés pour résister aux collectifs allienigènes et pour cela le dieu idole argent doit mourir. Si on réfléchit bien, le monde est parfaitement injuste et est gouverné par les intérêts.


  • el cogno 21 décembre 2013 06:56

    Pas facile de s’apercevoir que Dieu existe

    Mais merde, c’est quoi ces conneries encore, moi je me suis aperçu de rien en tout cas.

    Dieu et antigravité.... MOUAHAHAHA merci pour le rigolade matinale.

     smiley


    • el cogno 21 décembre 2013 06:57

      vas donc sur « on nous cache tout.com », et restes y, ta« science » ne manquera à personne.


    • christophe nicolas christophe nicolas 21 décembre 2013 15:01

      Tu portes bien ton nom...

      Bien sur que Dieu existe, voila le mystère de La Tilma et des tonnes de preuves :

      À tapao, un petit village du vietman, une statue de la vierge devient vivante, Miracle de Gudiawaye qui rappelle l’attroupement de Kades où Moïse « frappe le rocher » au lieu d’être face au rocher, miracle_lourdes hostie en lévitation devant tous les évêques qui préfèrent ne rien dire, le monde à l’envers, huile miraculeuse, statue et tableaux qui saignent (les analyses montrent toujours que les larmes et le sang sont humains, un sang de groupe AB pour le christ, le plus rare), statue qui bouge en côte d’ivoire ”Si vous voulez voir Dieu, allez en Côte d’Ivoire”, c’est ce que répondit le Général Poncet ancien responsable du dispositif militaire Licorne en Côte d’Ivoire à Chirac avant d’être mis au placard pour non respect des ordres, statue qui s’illumine et bouge, apparition dans le ciel, halo lumineux à abidjan (phénomène impossible dans les pays chaud, cela nécessite de la glace dans les nuage), miracle des trois fontaines (pour les communistes ou adventistes), les-corps-incorrompus (impressionnant), apparitions de Zeitoum Les films qui datent de 1968-1971texte, Garabandal 6 fois 20 mn (Le plus grand miracle de l’histoire avec l’archange Michel et la Vierge qui se présentent sous la dame du Mont Carmel, Lieu où Elie défia et mit à mort les prêtres de Baal.


    • christophe nicolas christophe nicolas 21 décembre 2013 15:08

      Tu fais rire, rien qu’à voir ton pseudo

      Expérience russe (très sérieux, c’est une expérimentation de la machine de John Searl, les Russes sont au courant des ovnis depuis longtemps et ne font pas de démagogie. Ils avaient envoyé une mission "Isis en Égypte pour découvrir les secrets des pyramides qu’ils pensaient d’origine extra terrestre)

      Expérience et théorie brésilienne de Fran de Aquino (très sérieux pour les expériences, la théorie ne part pas sur les bonnes bases. Les Brésiliens sont bien au courant des ovnis et ont un discours très ouvert. Le Cern n’a jamais répondu à ce brillant chercheur)

      video claude poher voir son site internet

      Expérience finlandaise Eugène Podkletnov : mise en rotation d’un supraconducteur et brimé injustement.

      Docteur Ning Li : mise en rotation d’un supraconducteur – A compris le rapport avec les spins, travaille pour l’armée américaine.

      Martin Tajmar  : mise en rotation d’un supraconducteur – Expérience reproduite à l’institut Göde sans succès mais avec une géométrie différente alors que c’est très important. Il a mis le doigt sur la façon d’orienter les moment magnétiques par le mouvement.


      Tout le monde peut juger de ton intelligence.... as tu des preuve de ta cognitude à nous montrer. Allez dégage


    • christophe nicolas christophe nicolas 21 décembre 2013 15:19

      Je m’excuse je vois que tu es nouveau , ne parle pas sans savoir, sinon tu te fais remettre en place. Il faut que tu comprennes que les forum internet ne sont pas les actualités. Les gens sont de très bon niveau. On n’est pas d’accord, mais on peut apporter des preuves ce que je fais.

      interview-j-kisling-juin08 (apporte la preuve que les Américains ont bien détenus des corps)

      revelations astronautes (rapide et édifiant)

      rapport COMETA de l’armée Française (preuve que les Américains ont fait une politique de désinformation)

      rapport-etape-31-mai-2010-sigma-3af-pdf.pdf

      lettre-ouverte du contre amiral Pinon à la Présidence (Le contre-amiral Pinon est l’auteur d’un livre où il doute du grand miracle du soleil de Fatima à cause des Ovnis mais il fait des confusions car il ne comprend pas le fonctionnement des Ovnis)

      Les ovnis filmés sont importants car ils montrent deux catégories d’engins : des engins technologiques et des formes de pure lumière.

      plus grande vague ovnis 1954 

      mexique-vague-d-ovni-ete-1991 durée 14 mn

      la-grande-vague-du-mexique 1992 Reportage long 1 heure

      vague d’ovnis 2005 1 mn d’images impressionnantes

      race-alien-extraterrestre-les-petit-gris.html Je ne me prononce pas

      les-mutilations-animales pas drôle mais réel et qui laisse suggérer qu’il y a eu des contacts...

      eisenhower-et-sa-rencontre-avec-des-extraterrestres Je ne me prononce pas mais certainement exact, le Vatican a aussi certainement eu des contacts...


      Bon c’est la base pour ton intronisation, ce n’est pas grand chose, si on commence à aborder les prophéties... là tu vas avoir peur. Tu ne le savais pas que Dieu existait, sérieusement... il y a plusieurs milliers d’apparitions de la Vierge depuis ce qu’on appelle l’ère mariale. Allez courage.


    • epicure 21 décembre 2013 21:02

      bah le culte de la vierge est un culte bidonné par l’église catholique pour rattraper les cultes païens de déesses.
      Tout comme le culte des saints a remplacé le polythéisme.
      Donc le fait que l’église catholique ait décidé de faire de marie la mère de jésus l"équivalent d’une déesse , ne devrait rien changer au fait que c’est une humaine comme les autres, selon les évangiles eux même.
      Donc les apparitions mariales n’ont aucune valeur de preuve.
      Et surtout les hallucinations ça c’est un phénomène connu, notamment dans certains type d’épillepsie, comme par exemple quand mahomet avait des révélation avec les yeux révusés et la bave coulant à la bouche, peuvent générer des hallucinations dont certaines sont de nature religieuse.

      Enfin pour un détenteur de la vérité tu ne semble pas disposer de ce qui est indispensable pour approcher la vérité : l’esprit critique. Tes liens en sont al preuve, tu mélanges tout et n’importe quoi qu sort de l’ordinaire.

      Mais si tu crois aux Et qui viennent visiter la terre, ne t’es tu pas posé la question de savoir si les visions religieuses ne pouvaient pas être provoqué par les ET.


    • christophe nicolas christophe nicolas 21 décembre 2013 23:03

      Tu as quel âge ?


  • Hervé Hum Hervé Hum 21 décembre 2013 10:27

    Bonjour Bernard

    je viens de mettre mon article à la modération pour publication.

    Celui ci s’intitule « la genèse des nombres premiers ».

    Il fait la démonstration du mécanisme d’apparition des nombres premiers dans la suite des nombres entiers naturels. Et donc, du théorème que je vous avais communiqué dans un commentaire précédent.

    Il y a une erreur que je pensais avoir corrigé, mais vous devriez la voir si vous lisez l’article.


    • Hervé Hum Hervé Hum 21 décembre 2013 10:30

      Ah, la démonstration ouvre la résolution de la conjecture ABC et d’autres liés aux nombres premiers. Le mathématicien japonnais, Shinichi Chinozuki a à priori résolu aussi la conjecture, mais en utilisant l’arsenal mathématique, contrairement à moi.

      toutefois, je ne sais pas si sa démonstration s’appuie exactement sur les mêmes bases de raisonnement.


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