mercredi 8 août 2007 - par olivier cabanel

Qui a empoisonné Stanley Meyer ?

Mais qui connaît Stanley Meyer ? Pourtant cet inventeur sera célèbre un jour, car son invention va révolutionner la planète.

Car Stanley Meyer est l’inventeur du moteur à eau. Ne souriez pas... cette invention lui a couté la vie. Stanley Meyer n’est pas un scientifique, juste un inventeur génial.

Il a imaginé extraire l’hydrogène de l’eau, par une application inverse de l’électrolyse, consommant moins d’1/2 ampère. Alexandre Tchernovsky (mort subitement en 1992) travaillait déjà sur ce qu’il appelait « l’énergie du vide » et avait mis au point un appareil produisant cinq fois plus d’énergie qu’il n’en consommait, suivi dans ces expériences par Hal Puthoff, qui appelle ça « energie du zéro absolu ».

L’invention de Stanley va beaucoup plus loin : dans un bac en plexiglas, pourvu de barres métalliques, il verse de l’eau du robinet, alimente en courant (moins d’un demi-ampère, pour une fréquence de 20 000 hertz par seconde) Et ça marche : il fabrique plusieurs centaines de pour cent d’énergie de plus qu’il consomme, et produit de l’hydrogène capable de fondre l’acier.

La température de l’eau contenue dans le container en plexiglas ne change pas.

Son invention est donc un « séparateur d’eau », qui fractionne l’eau en oxygène et hydrogène.

Pour s’en convaincre, il suffit d’aller visionner la vidéo de son expérience sur internet : leweb2zero.tv en tapant « moteur à eau » lire aussi la revue Air et cosmos, n° 1756, du 30 juin 2000.

Il a mis des années a obtenir l’agrément des scientifiques, ceux-ci voyant d’un mauvais œil un chercheur, petit ingénieur, sans le moindre diplôme scientifique, venir leur voler la vedette.

Il y a toujours eu un large fossé qui sépare les inventeurs des scientifiques.

Une équipe de scientifiques anglais a observé que Stanley Meyer a décomposé avec succès de l’eau pure en gaz combustible grâce à des impulsions à haute tension, et faible courant mesuré en milli-ampères. Ils ont remarqué que suffisamment de gaz était produit pour fournir une flamme qui a fait fondre instantannément de l’acier.

La revue Eye-Witness estime que Stanley Meyer a développé un système électrique qui peut extraire de l’eau ordinaire (sans chlore !) des mollécules d’hydrogène et d’oxygène avec peu d’énergie, bien moins d’énergie que ce que requiert une électrolyse habituelle.

En septembre 91, Stanley Meyer a donc fait breveter son invention (aux Etats-Unis, au Japon et en Europe) et a tout de suite eu plusieurs propositions.

On l’a poliment prié de laisser sa découverte dans un tiroir contre 1 milliard de dollars.

Il a reçu aussi des menaces de mort.

Bien sûr, imaginez la révolution que son invention va provoquer !

Car cette invention est une menace pour tout ceux qui vivent de l’énergie du pétrole, puisqu’elle mettrait l’énergie quasi gratuite à la portée de tous : pensez donc, toutes les sociétés qui vendent de l’énergie feraient faillitte !

D’apres Paul Czysz (ancien chercheur à la Nasa, et qui est en contact avec eux sur l’avancement de la recherche), la Nasa a passé un contrat avec Stanley Meyer.

Mais en 2006, Stanley est mort empoisonné. Et son invention avec lui.

Avant de disparaître, il avait installé un nouveau prototype de son invention sur un Buggy, le réservoir de celui-ci ne contenant que de l’eau.

Qu’importe, une brèche est ouverte, et les internautes peuvent même se procurer ses brevets en tapant sur un moteur de recherche le nom de l’inventeur.

Il y a onze brevets déposés : leur liste est en ligne, et chacun peut se les procurer en écrivant à : « Commissioner of Patents & Trademark, Washington dc 20231 USA »

Alors, à qui le tour ?



191 réactions


  • Forest Ent Forest Ent 8 août 2007 13:58

    Ca fait aventures de Tintin et Milou, ce truc-là.

    Désolé, je me raccroche aux lois de la physique : il y a conservation de l’énergie, ou bien le monde n’existe pas.

    Pour séparer les atomes d’une molécule, il faut plus d’énergie que l’on ne peut en récupérer quand ils fusionnent à nouveau. Pas de miracle sous le soleil. Que le procédé de l’électrolyse puisse être amélioré un peu, soit. Mais il ne faut pas rêver.


    • thirqual 8 août 2007 14:28

      Sans parler de « consommer des ampères ». Vous prendrez bien une larme de manque de rigueur avec votre toast de jargon sans queue ni tête ?


    • Forest Ent Forest Ent 8 août 2007 15:28

      Un appareil qui produit plus d’énergie qu’il n’en consomme, ça n’existe pas ailleurs que dans la BD. L’énergie ne se crée pas à partir du vide. C’est le principe de conservation de l’énergie.

      Quand on mélange oxygène et hydrogène, ça explose. L’énergie dissipée provient d’une perte de potentiel électromagnétique de l’ensemble des atomes. Pour les séparer à nouveau, il faut y mettre au moins la même quantité d’énergie.

      Quel que soit le procédé utilisé, la séparation consomme au moins cette quantité d’énergie, appellée « énergie de liaison ». Comme l’on ne peut pas la récupérer en entier après explosion (il me semble la moitié au mieux), le bilan énergétique global de l’électrolyse est négatif.

      Cela fait d’ailleurs qu’une voiture qui roule à l’hydrogène consomme en fait deux fois plus d’énergie qu’une qui roule à l’essence.

      Je ne vais pas faire un précis de thermo ici. Il y en a plein sur internet. Mais il existe à ma connaissance une seule source importante d’énergie disponible non polluante et pas trop chère, c’est de consommer moins.

      Quand à ce que l’on appelle « l’énergie du vide » en mécanique quantique, c’est un phénomène extrêmement faible, à la limite de la mesurabilité, et qui n’a rien à voir avec l’électrolyse.


    • debase 8 août 2007 18:10

      A Forest Ent

      « C’est le principe de conservation de l’énergie. »

      Il me semble que ce principe n’est rien d’autre qu’un postulat qui s’est avèré jusqu’à présent fort commode pour mettre en équation nombre de phénomènes et qu’on ne remet pas en question justement à cause de cela.

      Mais qui sait si un jour ce concept d’« énergie » ainsi que le principe de sa « conservation » ne montreront pas leurs limites et s’il ne faudra pas se baser sur un autre ’postulat’ ?

      Car d’abord qu’est-ce exactement que de l’« énergie » ? Ca serait équivalent à de la « masse » parait-il...

      Un moteur ’à eau’ est-il donc vraiment si inimaginable dans la mesure où il y aurait ’consommation’ d’eau ? Je me souviens qu’il y a quelques années cette idée de moteur à eau avait à nouveau refait surface et qu’il n’y avait pas unanimité totale des points de vue des quelques scientifiques éminents interrogés sur le sujet.

      Distance, temps, masse, énergie, matière, etc... des sujets passionnants n’est-ce pas ? (dont je ne suis pas spécialiste).


    • Forest Ent Forest Ent 8 août 2007 18:27

      Oui bien sûr il est possible de convertir de la masse en énergie, mais c’est un peu compliqué à faire. Il me semble que l’on n’y arrive que dans des accélérateurs géants, puisqu’il faut pour amorcer le débat atteindre déjà de très hautes énergies. Ce n’est pas une conversion qui se fait très spontanément, sinon on la trouverait plus dans la nature.

      A ma connaissance (à confirmer par un spécialiste), cette conversion n’intervient pas dans une centrale nucléaire ou une bombe atomique, dans lesquelles on n’exploite il me semble que l’énergie de liaison électronucléaire faible.

      Quand à une physique sans les principes fondamentaux que sont la conservation de l’énergie et le principe de moindre action, je ne vois pas ...


    • spartacus1 spartacus1 8 août 2007 19:07

      Totalement irréaliste ! Je suis ingénieur de formation et je pense savoir un peu de quoi je parle.

      L’eau n’est, somme toute, que la « cendre » de la combustion (oxydation) de l’hydrogène, au même titre que le gaz carbonique (CO2) est la « cendre » de l’oxydation du carbone.

      La réaction d’oxydation dissipe de l’énergie. La réaction inverse, c’est à dire l’extraction de l’hydrogène de l’eau (ou du carbone du CO2") et qui s’appelle réduction consomme une énergie strictement équivalente à celle procurée par l’oxydation.

      On peut parfaitement dissocier l’eau (opérer une réduction) en lui procurant de l’énergie. Lors de l’oxydation de l’hydrogène obtenu, on récupérera exactement la même quantité d’énergie que celle que l’on avait fournie pour la dissociation. Donc, en principe, un bilan énergétique nul, mais il y a un gros bémol : les deux opératins successives ont provoqué une augmentation d’entropie et l’énergie obtenue est moins utilisable que l’énergie fournie. Bon, j’arrête ici, je ne vais pas faire un cours de thermodynamique.

      Concernant la transformation de la masse en énergie, c’est bien se qui ce passe dans une centrale nucléaire (on parle alors de conservation du couple matière-énergie). Après la fission d’un noyau d’uranium, la masse totale des produits de fission est légèrement inférieure à la masse du noyau d’uranium, une partie de la matière s’est transformée en énergie. La transformation inverse, énergie vers matière, peut se faire dans des accélérateurs de particules (par exemple au CERN), cela n’a strictement aucun intérêt pratique, mais un très grand intérêt en recherche fondamentale.


    • spartacus1 spartacus1 8 août 2007 19:17

      Encore une chose, le fait qu’il y ait des brevets de déposé ne signifie absolument pas que l’invention brevetée soit valable. Les bureau de brevet ne se prononcent pas sur la validité d’une invention, mais sur le fait que cette invention n’a jamais été déposée auparavant.

      Je peux parfaitement faire breveter un des poules modifiées génétiquement pour pondre des oeufs cubiques (plus facile à ranger, lol), encore que, conceptuellement, c’est réalisable. Il suffit que j’aie suffisament d’argent pour faire un recherche d’antériorité et payer les frais d’enregistrement.


    • marc 8 août 2007 20:17

      spartacus1

      Une question, peut-être ( sans doute ) idiote : l’oxydation de l’hydrogène s’est produite dans la nature et a demandé de l’énergie mais ce n’est pas l’homme qui l’a fournie. La dissociation en question dans ce fil devrait en effet produire la même quantité d’énergie, dés lors utilisable, N’y a -t-il pas là forcément un gain pour nous ? non ?


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 8 août 2007 23:47

      Je suis sceptique - vous voyez, comme c’est facile d’être poli ? smiley - mais, malgré cet euphémisme, il y a peut-être ici quelque chose de sérieux, car on peut remarquer la forte présence de l’auteur sur l’édition d’aujourd’hui. Il y a complots... et complots. Voir le lien. http://www.nouvellesociete.org/5141.html

      Pierre JC Allard


    • funram funram 8 août 2007 23:54

      On parle beaucoup de la « loi de la conservation de l’énergie », qui n’est, je le rappelle qu’un modèle physique très commode pour nous autres physiciens.

      Pourquoi ne pas parler d’un autre modèle tout aussi pratique et théorique que cette loi ? Ce modèle ? La formule de physique la plus connue du monde : E=mc². Cette loi, autrement appellée loi de la relativité générale, sous-tend que l’énergie et la matière sont équivalentes, et donc que l’on peut changer de l’énergie en de la matière, et vice-versa, avec un quota de c². C’est exactement ce que fait une bombe nucléaire, au passage.

      Et oui, avec la physique, on peut dire tout et son contraire. Ettonnant, non ?


    • slashbin 9 août 2007 00:29

      Tsss,... conclusion hâtive. L’énergie est matière et vice-versa. Le principe de conservation de l’énergie telle que pensé habituellement est un cas particulier du principe plus général du principe de conservation masse-énergie. Si on considère que la masse n’est qu’une forme d’énergie (comme l’énergie potentielle, cinétique,...), en fait on peut toujours parler de principe de conservation d’énergie.

      En d’autres terme, s’il y a perte d’énergie, elle doit se retrouver sous forme de masse, et vice-versa. Jusqu’à preuve du contraire, il n’y pas de changement de masse avec ce pseudo moteur à eau, donc le principe de conservation d’énergie habituel s’applique, sauf si on venait à prouver que cette loi ne tient pas, et là, je vous garantis un prix Nobel.

      Le principe de conservation d’énergie est donc en l’état actuel de nos connaissances plus qu’une simple commodité, mais un fait physique. Peut-être sera-t-il réfuté un jour (personnellement, j’en doute, mais bon), mais d’ici là, il est cohérent de l’invoquer.


    • spartacus1 spartacus1 9 août 2007 07:37

      @marc qui nous dit : Une question, peut-être ( sans doute ) idiote : l’oxydation de l’hydrogène s’est produite dans la nature et a demandé de l’énergie mais ce n’est pas l’homme qui l’a fournie. La dissociation en question dans ce fil devrait en effet produire la même quantité d’énergie, dés lors utilisable, ...

      Un préliminaire : il n’y a pas de question idiote, par contre, il peut y avoir des réponses idiotes.

      En fait, c’est le contraire qui se produit : l’oxydation dégage de l’énergie, pensez que dans un fourneau, on brûle du charbon, c’est à dire que l’on oxyde le carbone contenu dans le charbon, pour dégager de l’énergie calorifique. La réduction (dissociation), au contraire demande un apport d’énergie. Dans le cas du charbon, ce sont les fougères arborescentes de l’ère secondaire, qui ont opéré cette dissociation à partir du CO2 atmosphérique en utilisant l’énergie solaire par le biais de la photosynthèse.

      @funram qui nous dit :...nous autres physiciens. ...

      Pourquoi ne pas parler d’un autre modèle tout aussi pratique et théorique que cette loi ? Ce modèle ? La formule de physique la plus connue du monde : E=mc². Cette loi, autrement appellée loi de la relativité générale, sous-tend que l’énergie et la matière sont équivalentes, et donc que l’on peut changer de l’énergie en de la matière, et vice-versa, avec un quota de c². C’est exactement ce que fait une bombe nucléaire, au passage.

      Il m’étonnerait vraiment beaucoup que vous soyez physicien, parce que vos connaissances en la matière me paraissent, pour le moins, assez particulières.

      La relation de : E=mc² n’a que très peu de chose à voir avec la relativité restreinte ou générale. Einstein a fait bien d’autres travaux que ceux liés à la relativité. Cette relation exprime simplement la conservation du couple matière-énergie. Relisez une peu mon message plus haut, vous verrez que je fais mention de ce principe physique.

      De toute façon, nous parlons de deux choses totalement différentes :

      1) Des réactions de type chimiques : oxydo/réduction (ou plus, plus simplement combustion/dissociation) qui se passent au niveau de l’atome et plus spécialement au niveau des couches d’électrons entourant le noyau.

      2) Des réactions que l’on va dire, pour simplifier, physiques : fission/fusion de noyaux d’atomes. Qui se passent au niveau subatomique, au niveau du noyau, c’est à dire, dans un monde environ 1000 fois plus petit (je dis plus petit, toujours pour simplifier des notions assez complexes) et qui n’a rien à voir avec le monde du niveau atomique.

      Ces réactions physiques sont de deux ordres :

      a) Des réactions de fission : on « casse » un noyau d’un élément lourd (uranium ou plutonium par exemple). La masse totale des produits de fissions (plusieurs noyaux d’atome plus légers) est légèrement inférieure à la masse du noyau initial, la différence a été convertie en énergie électromagnétique. C’est cette réaction qui est exploitée dans la bombe atomique (hélas) et dans les centrales nucléaires actuelles. Elle génère des produits de fissions radioactifs à très longue durée de vie : les fameux déchets nucléaires dont il faut bien reconnaitre que l’on ne sait pas trop quoi en faire et que, surtout, ils représentent un très grand danger potentiel (je ne travaille pas dans le domaine de l’énergie nucléaire, je suis donc totalement libre pour le dire).

      b) Des réactions de fusion : on fait fusionner des noyaux d’atomes légers (par exemple : hydrogène, deutérinum, tritium ...) pour obtenir un noyau plus lourd (par exemple hélium). La masse du noyau lourd est un peu plus faible que la somme des masses des noyaux initiaux, ici encore, la différence a été convertie en énergie électromagnétique. C’est cette réaction qui est exploitée dans la bombe dite thermonucléaire ou bombe H (hélas). C’est également ce type de réaction que l’on se propose de domestiquer dans le cadre du projet ITER.

      Mais la gageure est d’importance : il faut au moins trois conditions simultanées pour entretenir une réaction de fusion : une température de plusieurs centaines de millions de degré pendant un temps relativement long avec une densité de matière assez importante. Actuellement, nous ne savons faire que deux conditions simultanément. Les recherches seront certainement assez longues (sauf erreur, on parle de 40 ans pour ITER).

      À mon avis, la maîtrise de la fusion est l’avenir en ce qui concerne l’énergie, matière première quasiment inépuisable (eau), impossibilité de réaction en chaîne incontrôlée (il suffit de supprimer l’une des conditions de la fusion), pas de déchets radioactifs ou des déchets ayant une durée de vie de quelques minutes.

      Je ne comprends pas que les recherches sur le sujet ne soit pas plus importantes. Ou, plutôt, je le comprends trop bien : les gens qui ont investis des sommes colossales dans les centrales nucléaires classiques n’ont aucunement l’envie de voir leurs installations périmées avant d’être rentrés dans leurs fonds et comme c’est un lobby assez puissant ...

      [mode_ironique] Après tout, les déchets, cela ne nous concerne pas, après nous, le déluge. Nos descendants des 1000 à 2000 générations suivantes trouveront bien un moyen de s’en occuper ![/mode_ironique]


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 08:29

      c’est vrai que tout cela est tellement invraisemblable que je comprend votre réaction. allez voir la vidéo sur « leweb2zero.tv » et peut etre allez vous changer d’avis.


    • marc 9 août 2007 14:09

      Spartacus

      Merci pour votre réponse. Je réalise l’étendue de mon ignorance

      Je pose le problème autrement : Prenons le pétrole : la transformation des micro organismes en pétrole a dû demander de l’énergie, énergie fournie par la nature et stockée dans ce pétrole. On récupère le pétrole et on en tire de l’énergie , en quantité supérieure à celle nécessitée par l’extraction et le raffinage dudit pétrole. On récupère donc à notre avantge une partie de l’énergie fournie par la nature au cours de millions d’années. ne peut-on pas envisager le problème de l’hydrogène contenue dans l’eau de la meme façon ?


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:11

      bon, d’accord,

      le monde n’existe pas.

      et la terre continue d’etre plate.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:13

      çà fait du bien de rêver.

      titre que j’emprunte à mon dernier cd.

      mais peut etre que vous ne rêvez pas ?

      çà doit pas etre drole tous les jours.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:15

      quelle certitude.

      comme j’aimerais la partager.

      quoique... les vrais scientifiques ne peuvent que douter pour avancer.


    • marc 9 août 2007 14:37

      Spartacus

      Je viens de visionner les videos du Stirling et autres moteurs utilisant de l’eau. Il me semble qu’ils n’infirment pas vraiment la règle de la conservation énergie/matière. Ils diminuent considérablement les pertes d’énergie. c’est différent. Qu’en pensez-vous ?


    • Forest Ent Forest Ent 9 août 2007 15:44

      @ Spartacus

      Il y a perte de masse dans une fusion ? On passe de deux protons isolés à deux protons réunis. Quelle est la particule manquant à l’arrivée ?


    • spartacus1 spartacus1 9 août 2007 18:31

      @Marc qui nous écrit : ... Prenons le pétrole : la transformation des micro organismes en pétrole a dû demander de l’énergie, énergie fournie par la nature et stockée dans ce pétrole. On récupère le pétrole et on en tire de l’énergie , en quantité supérieure à celle nécessitée par l’extraction et le raffinage dudit pétrole. On récupère donc à notre avantge une partie de l’énergie fournie par la nature au cours de millions d’années. ne peut-on pas envisager le problème de l’hydrogène contenue dans l’eau de la meme façon ?

      L’énergie du pétrole a été stockée les micro-organismes végétaux, par photosynthèse, au cours de leur vie. Pour les micro-organismes dépourvus de photosynthèse, elle provient indirectement de la photosynthèse, ceux-ci mangeant les micro-organismes végétaux. En fait toute l’énergie contenue dans le vivant provient directement ou indirectement de la photosynthèse à partir partir de la lumière solaire, à l’exception de certains organisme des grandes profondeurs marines (3000-4000 m.), vivant près de cheminées crachant du soufre à haute température, ces organismes tirent leur énergie de l’oxydation du soufre (à ma connaissance, je ne suis pas biologiste).

      La transformation des micro-organismes en pétrole est une suite de réactions chimiques assez complexes, dont certaines fournissent de l’énergie et d’autres en consomment. Je ne sais pas quel est le bilan énergétique global de ces transformations (je ne suis pas un spécialiste du pétrole), mais, s’il est négatif, l’énergie provient du fait de la compression du à l’enfouissement (lorsqu’on comprime un corps, celui-ci s’échauffe (faites l’expérience avec une pompe à vélo).

      L’eau n’est pas le résultat d’une accumulation d’énergie, mais au contraire, le résultat d’une fourniture d’énergie. Il est donc parfaitement illusoire de vouloir en tirer une énergie chimique quelconque, ce que les pompiers savent parfaitement puisque qu’ils l’utilisent pour éteindre !

      @Forest Ent qui a écrit : Il y a perte de masse dans une fusion ? On passe de deux protons isolés à deux protons réunis. Quelle est la particule manquant à l’arrivée ?

      Je vais essayer d’être simple, mais c’est assez complexe. Contrairement à une opinion répandue dans le grand public, les baryons (neutrons et protons) ne sont pas des particules élémentaires. Ils sont constitués d’autres particules : les quarks. les neutrons comportent deux quarks appelés « Down » un quark appelé « Up », les protons ont deux quarks « Up » et un quark « Down ». Il y a encore d’autres particules dans les baryons, par exemple les gluons, c’est à cause des gluons que l’on peut constituer des noyaux comportant plusieurs protons (de même charge électrique, ils devraient se repousser), c’est les gluons qui sont porteurs de la force de cohésion : l’interaction forte.

      Lorsqu’on fait un bilan de masse, la masse d’un noyau est inférieur à celle des baryons le constituant (par disparition de quarks). En fusionnant des baryons (un noyau d’hydrogène est constitué d’un seul proton) on a une disparition de masse qui est convertie en énergie électromagnétique.

      C’est la fusion de noyau léger qui procure le plus d’énergie, du type :

      Deutérium + Deutérium donne Hélium 3 + neutron

      Deutérium + Deutérium donne Tritium + proton

      Deutérium + Tritium donne Hélium 4 + neutron

      Le deutérinum est un isotope d’hydrogène, 1 proton, 1 neutron,

      Le tritium est un isotope d’hydrogène, 1 proton, 2 neutrons.

      Il est possible de fusionner des noyaux lourds, mais celà ne procure que peu d’énergie, par contre cela permet de fabriquer des corps simples « artificiels » dits transuraniens (neptunium, plutonium, américium, curium, berkélium, californium, einsteinium, fermium, ...).

      Notre soleil produit de l’énergie essentiellement à partir de la fusion de noyau léger. Par contre des étoiles plus massives ont des phénomènes de fusion de noyau lourds.

      Je ne pensais pas qu’un jour, je ferai de la vulgarisation scientifique sur Agoravox ! LOL


    • Forest Ent Forest Ent 9 août 2007 20:47

      « Je ne pensais pas qu’un jour, je ferai de la vulgarisation scientifique sur Agoravox. »

      Pourquoi ? Vous faites cela fort bien. N’hésitez pas à en faire un article par ci par là. smiley


    • BMD 11 août 2007 22:23

      Spartacus, La formation du pétrole n’est pas un phénomène compliqué : c’est de la cuisson à l’étouffée de débris organiques déposés dans des sédiments argileux.Elle a lieu au cours de l’enfouissement extrêmement lent de ces sédiments (des millions d’années)à des profondeurs de quelques km dans des « creux » de l’écorce terrestre que l’on appelle des bassins sédimentaires,sous l’effet des déformations de la croûte terrestre.Ces sédiments sont bien sûr recouverts au fur et à mesure par d’autres sédiments.Le pétrole une fois formé est expulsé par la pression et se retrouve en partie dans des roches poreuses et perméables,des grès par exemple, où il forme parfois des gisements exploitables. L’énergie de la cuisson est la chaleur produite dans le globe terrestre, dont une grande partie est fournie par la désintégration d’éléments radioactifs : uranium 238 et 235, thorium 232, potassium 40. La température augmente comme chacun sait d’environ 30 °C par km. Le pétrole se forme pour l’essentiel à des profondeurs ne dépassant pas 5 km.Le gaz naturel se forme de la même façon, mais demande des températures et donc des profondeurs un peu plus élevées.


    • Tropicase 12 mai 2008 19:03

      Messieurs les Scientifiques, aussi bardé de diplômes que vous soyez vos connaissances se limitent à ce qu l’on vous a appris car conformément au "principe de Peeter", chacun d’entre nous à un moment ou un autre connaitra son niveau d’incompétence, alors SVP un peu d’humilité.

      La Science en l’état, n’explique pas tout et le fait de rejeter d’emblé ce que l’on ne peut expliquer ou comprendre ne fait pas avancer le débat, un peu de pragmatisme que diable.


    • Tropicase 15 mai 2008 12:21

      http://www.dailymotion.com/video/x3hbi2_le-moteur-a-eau-de-stanley-meyer

      Pour ceux qui doutent encore et toujours, voici une des adresses de la vidéo en question


    • karls34 24 avril 2010 23:31

      j’aime bien la reaction de forrest gump et de spartacus colisinus les frères ramollos de la matiere grise et des boutons acnés fleurissant qui peut etre un jour comprendrons comment fonctionne une femme avec leur diplome d’ingenieur et leur esprit etriquer ...parlons de tesla ou de fleishman ou de pons des personnages qui n’ont pas la place dans le monde scientifique à cause de gens comme eux qui refuse d’admettre la vérité pauvre petit !!! rangez vous du coté des cartesien et laissez les reves s’accomplirent ....


    • olivier cabanel olivier cabanel 25 avril 2010 01:17

      belle envolée,
      j’applaudis sincèrement, et je partage
      à+
       smiley


  • garat 8 août 2007 14:12

    Stanley Meyer est, semblerait-il, mort le 29 mars 1998 et non en 2006 comme vous l’indiquez.

    Quant à son invention, j’aurais tendance à la classer avec certaines des inventions de Tesla, la machine de Prioré, ect.

    Mais si on venait me montrer avec un prototype qui marche (on pourrait préciser que Stanley Meyer a été convaincu de fraude en 1996 et a été condamné), j’en serais le premier ravi.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 08:35

      pardon pour cette erreur, effectivement wikipédia confirme la date de sa mort en 1998, et précise qu’il est mort dans des conditions douteuses. wikip. donne aussi des pistes vidéo ou l’on peut voir ses expériences.


  • talife 8 août 2007 15:10

    « produisant cinq fois plus d’énergie qu’il n’en consommait »

    Alors ça, et je suis désolé d’employer un terme pareil, mais il n’y a, à l’heure actuelle, aucun autre qualificatif possible, c’est de la foutaise.

    Qu’il existe des moteurs beacoup plus rentable que le 4 temps largement employé maintenant est une certitude, dommage que vous discréditiez tout ceci avec des abérations physique de ce genre.

    P.S.:j’ai noté que celle-là, mais l’« article » en est truffé de part en part


  • Eric De Ruest Eric De Ruest 8 août 2007 16:00

    C’est quoi de l’hydrogène capable de fondre de l’acier ??? C’est un délire poétique, si on veux, mais faut pas nous faire prendre des vessies...


  • CHTOUNGA CHTOUNGA 8 août 2007 16:06

    Quand on a vrai tuyau pour gagner une fortune, on ne le balance pas sur Gogoravox. Mais bon, on reste ici dans la logique du « 5e Pouvoir » bien sûr. Comme si le Pouvoir, ça se donnait gratos smiley smiley

    Mais bon, comme webistrot où l’on cause gentiment entre amis, pourquoi pas ?


  • Babar38 8 août 2007 17:19

    Vos réactions sont vraiment étranges.

    Avant de parler de conservation de l’énergie, encore faut il savoir de quelles énergies vous parler. Une éolienne prdouit plus d’électricité qu’elle n’en consomme !! Mais il y a conservation de l’énergie car le vent en apporte. Ne parlez pas trop vite !

    Et puis ce concept est désormais reconnu par les scientifiques. Le moteur à hydrogène fonctionne très bien et pollue moins que les moteurs à hydrocarbures. Alors au lieu d’avoir des réservoirs d’hydrogène, l’idée est ici de séparer des molécules d’eau pour le récupérer. Ca marche et de nombreuses recherches sont en cours pour améliorer le rendement et diminuer les couts.

    En tous cas, l’auteur a entièrement raison sur les menaces et les intérets des groupes pétroliers. En Afrique du Nord, de très nombreuses voitures fonctionnent au GPL, moins cher, très peu polluant mais pas avantageux pour Renaut, Toyota et autres. On ne le vera donc jamais, et c’est dommage.

    Conclusion, aux peuples de réaliser lorsqu’une inventin peut les sauver et de l’imposer aux dirigeants. Une invention n’est généralisée que si elle permet à des gens de faire de l’argent ; et pas si elle permet de sauver la Terre.. smiley


    • Forest Ent Forest Ent 8 août 2007 18:22

      Un moteur à hydrogène ne consomme pas moins d’énergie qu’un moteur à essence. Tous les moteurs doivent produire la même quantité d’énergie. Bien sûr, elle peut prévenir de sources différentes. Dans le cas du moteur à hydrogène, elle a pu être stockée par électrolyse, donc consommation d’électricité.

      Si cette électricité a été elle-même fabriquée en brûlant du pétrole, la voiture aura finalement consommé beaucoup plus d’essence, à cause des nombreuses pertes de cycle. Le seul avantage, à la limite, ce serait de polluer ailleurs, mais pour les gaz à effet de serre, ça ne change rien.

      Si cette électricité a été produite à partir du nucléaire, on retombe sur le débat « le nucléaire est-il polluant ? » déjà traité dans nombre d’articles agoravox.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 08:39

      ouf !

      enfin quelqu’un qui admet que nous sommes capables de dépasser le seuil des connaissances acquises, et qui est pret a envisager d’autres portes de sortie.

      merci


    • BMD 11 août 2007 22:32

      Ne racontez donc pas de bêtises ! Si vous voulez rouler au GPL, il suffit d’équiper votre voiture si elle est à essence, ce qui ne coûte pas très cher et d’aller ensuite à la station service ! il y en aurait plus si cela ne faisait pas peur aux Français !A noter que le GPL ne représente qu’une faible partie du pétrole, il n’y en donc pas pour tout le monde.


    • Tropicase 14 mai 2008 15:52

      Et en matière de portes de sorties il n’y a pas que du coté du combustible qu’il faudrait regarder mais sans doute aussi du coté des moteurs !

      Combien d’énergie et d’argent dépensé depuis tant d’années pour améliorer les performances de la technologie aberrante du moteur à 4 temps ! Car il faut bien reconnaitre que s’évertuer à transformer un mouvement alternatif en mouvement rotatif est on ne peut plus stupide.

      Il serait grand temps de reléguer toute cette ferraille aux oubliettes et de se pencher sur une technique de motorisation rotative directe tellement plus logique.

      Certains l’ont fait avec succés à partir d’un compresseur à palettes qui a été tester pendant 2 ans sur une moto BMW, une réussite totale sauf que .....aucun Industriel n’a été interessé par le brevet et que.....peu de temps après l’inventeur est DCD des suites d’un accident, vraiment pas de chance mais depuis personne n’a pris la rélève (je dois encore avoir une parie de ce dossier dans mes archives)

      Salut à tous.


  • Numero 19 selsek 8 août 2007 17:25

    Je vais être pas mal critique envers vos réactions. La science n’a-t-elle jamais été faite de bouleversement d’a-priori ? de renversement des acquis ? La science ne devrait-elle pas être synonyme de curiosité, d’ouverture d’esprit ? Douter du bien fondé de cette invention, oui. Ca peut être un canular. Mais dire que ce principe est impossible à coup sûr en se basant sur les connaissances scientifiques actuelles, n’est-ce pas condamner une porte et se priver à coup sûr de ce qu’il y a derrière ?

    Tout le monde carbure au teflon, en tant que revêtement antiadhésif. Pourtant, une technologie plus fiable avait fait surface : les quasi-cristaux, qui étaient meileurs.... résultat ? un flop. Pas de pub, trop durable. De très bons films comme Idiocracy existent, mais ne marchent pas faute de sponsoring et de publicité (idiocracy a été plombé par la fox... cf google). D’ailleurs, les premiers collants en nylon étaient trop solides et ne nécessitaient pas de renouvellement. Depuis, le nylon utilisé est plus fragile... afin de mieux vendre.

    Quelques exemples pour dire que ce qui est efficace et utile n’est pas toujours mis en avant.

    Ce genre de technologie est tout à fait plausible, si l’on redevient humble et curieux. Mais leur utilisation ruinerait tout simplement de grandes entreprises pétrolières. Il est plus rentable de stopper ce genre de technologies à coups de milliards plutot que de laisser couler sa boite.

    Parmi ces technologies d’énergie « propre », intéressez-vous à la fusion froide et à certaines recherches de Tesla. Il est probable que notre réchauffement soit l’aboutissemet d’un choix et non une fatalité. lien : www.infomysteres.com (il y a des aneries et des choses interessantes dessus, ayez un esprit critique et éclairci pour pouvoir en tirer le maximum)


    • aurelie 8 août 2007 23:58

      Les grands bouleversements en science pouvaient résulter du bouleversement des idées reçues à une époque où on ignorait la démarche scientifique. Alors, chaque idée était acceptée en fonction du degré de persuasion de son inventeur. Aujourd’hui, la science est construite sur des bases qui ne favorisent aucun système politique, social ou religieux. Personne n’a rien à gagner à exploiter les équations de Maxwell. Au contraire, ces postulats de départ permettent de construire un système magnifiquement cohérent, qui permet à chaque génération de faire des pas colossaux en avant et de bénéficier du travail des précédents. Accepter les lois de la thermodynamique, c’est au contraire se réserver la possibilité de chercher en évitant les impasses. La science moderne admet ses lacunes, et c’est là sa très grande force. Il reste d’immenses découvertes à faire. Mais on peut dire dès maintenant dans quelles directions il est nécessaire de creuser. Quant aux magouilles économiques des lobbys, c’est un autre problème.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 08:42

      merci,

      je commençais a me sentir bien seul ! au fait, aviez vous visionné cette vidéo sur le site : « leweb2zero.tv » ?


    • aurelie 9 août 2007 13:29

      Je crains que vous n’ayez mal compris ma réponse... Je pense que cette expérience dont vous parlez est un canular... Sans offense...


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:20

      chere aurélie,

      un canular dites vous ? bon svp faites un tour sur google.

      questionnez sur « stan meyer » regardez attentivement les vidéos proposées.

      peut etre que le « canular, le vilain petit canard », va se transformer.


    • aurelie 9 août 2007 14:32

      L’esprit critique que des dizaines de profs ont essayé de m’inculquer est trop profondément ancré en moi pour que je croie quelque chose parce que c’est sur Internet. Pourquoi croirais-je tous les délires partisans pseudo-justifiés scientifiquement qu’on peut trouver sur Internet ?


    • Dégueuloir Dégueuloir 12 août 2007 21:07

      les lois de la physique vont être bouleversées car il manque de nombreuses pièces pour continuer le puzzle,entre autres ,le chaînon manquant ,relier la force electromagnétique faible à la forte,autrement dit ,l’infiniment petit(le quantique) à l’infiniment grand(l’univers).En plaçant notre réalité dans plusieurs dimensions,voire une infinité,beaucoup de problèmes pourraient trouver leur solution dans ce futur modèle,dont entre autres ,l’énergie libre (du vide) ,la « fusion froide »,la gravité....le mouvement perpétuel en quelque sorte,de toutes façons,il faudra suplanter le pétrole et le nucléaire tôt ou tard(mieux vaut le plus tôt !!).....


  • alberto alberto 8 août 2007 17:31

    Cher Olivier, je suis souvent d’accord avec ce que vous écrivez, mais là : non !

    Comme l’écrit Forest, aucun système ne peut produire plus d’énergie qu’il n’en consomme, sauf peut-être en politique, et encore...

    C’est vrai que c’est sympatique comme histoire, celle de ce petit ingénieur se battant seul contre les méchantes multinationales de l’énergie : en quelque sorte un remake de l’histoire du petit tailleur et des géants, voir David contre Goliath !

    Mais, quand il s’agit de physique, un conseil : prudence, sinon, ainsi que vous pouvez le constater, les lecteurs d’AV rectifieront rapidement les errements ! Ce qui est une preuve d’une certaine fiabilité du principe du « média-citoyen » contrairement à ce qu’essaient de faire croire depuis quelque temps les médias « professionels » !

    Bien à vous.


    • Emmanuel 8 août 2007 19:09

      « Comme l’écrit Forest, aucun système ne peut produire plus d’énergie qu’il n’en consomme »

      Si l’on se restreint au paradigme physique issu des principes de conservation, qui ne sont après tout que des apriori qui ont donné certaines satisfactions en terme de prédiction des phénomènes physiques, mais ne sont en rien des vérités absolues.


    • Forest Ent Forest Ent 8 août 2007 21:30

      Oui mais jusqu’à preuve du contraire ...

      Je ne demanderais pas mieux que de voir une technologie miracle non polluante pour produire de l’énergie, surtout au concours Lépine. Mais j’ai un peu peur aussi que ce genre de lubie n’encourage les gens qui, comme Bush, disent préfèrer parier sur la recherche plutôt que d’admettre qu’il devient vital de faire des économies réelles d’énergie.


    • aurelie 8 août 2007 23:45

      Emmanuel : non. Les deux lois de la thermodynamique définissent des limites physiques absolument impossibles à dépasser. Vous ne pouvez pas réaliser une expérience reproductible dont les résultats s’opposent à une de ces deux lois, ou aux deux.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 08:45

      je comprend.

      je pensais comme vous avant d’avoir visionné la vidéo de l’expérience.

      bien sur on peut toujours imaginer qu’elle a été « bidonnée », mais quid alors des observations faites par les scientifiques anglais notés dans mon article ?

      toutes les personnes à qui j’ai parlé de çà ont eu votre réaction, jusqu’au jour ou ils ont pu visionner cette vidéo.


    • Emmanuel 9 août 2007 10:26

      @aurelie

      « Non. Les deux lois de la thermodynamique définissent des limites physiques absolument impossibles à dépasser. Vous ne pouvez pas réaliser une expérience reproductible dont les résultats s’opposent à une de ces deux lois, ou aux deux. »

      Désolé, même erreur épistémologique : ces deux lois sont en fait des principes et non des lois, c’est à dire des axiomes et non des théorèmes.

      Vous ne pouvez pas prétendre que ces principes sont inviolables même si aucune expérience allant dans ce sens n’a été réalisée.


    • aurelie 9 août 2007 13:27

      Je vais formuler ma réponse autrement. Si vous admettez les deux lois de la thermodynamique, vous pouvez faire des travaux scientifiques fantastiquement efficaces parce que vous travaillerez en accord sur les principes avec des milliers de personnes avant vous. Si au contraire vous refusez la conservation de l’énergie et la croissance de l’entropie, vous pouvez parfaitement imaginer que vous allez vous envoler en sautant d’une falaise, que le mouvement perpétuel existe ou qu’un objet plus lourd tombe plus vite qu’un objet plus léger. En général, quand on commence à admettre ce genre de choses, le mot « miracle » n’est pas très loin et une communauté sociale, religieuse ou politique prête à en tirer parti pour asservir le reste de l’humanité non plus. La science moderne reconnaît l’existence de lacunes dans ses connaissances, ce qui rend plus efficace encore le travail des scientifiques présents et à venir. Les postulats de base permettent d’expliquer le monde sans a priori sur la façon dont les hommes devraient être gouvernés. Il y a d’excellentes raisons pour les respecter.


    • Emmanuel 9 août 2007 13:39

      @aurélie

      Il y a une nuance entre accepter des a-priori, qui certes, ont permis de construire un corpus fertile, et les prétendre inviolables. Je tiens simplement à faire cette distinction épistémologique. Désolé, vous ne pouvez toujours pas prétendre que ces principes ne pourront jamais être remis en cause.


    • aurelie 9 août 2007 14:05

      Dans le cadre de la science moderne, avec la démarche scientifique, les lois de la thermodynamique ne seront jamais remises en cause. Si, un jour, quelqu’un les remet en cause, il sortira du cadre scientifique.


    • Emmanuel 9 août 2007 14:19

      Non, il l’élargira, tout simplement, comme cela a déjà été maintes fois fait (comme par exemple de Newton à Einstein pour la gravitation).


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:23

      vous savez, le plus grand nombre ne m’a jamais conforté dans mon choix.

      je n’en veux que pour preuve que les « artistes » qui font encore aujourd’hui l’unanimité ou presque, comme « hallyday », dit johnny pour les intimes, ne m’ont jamais convaincu.

      un tube reste creux.

      et si le plus grand nombre court dans un meme sens, je serais plutot tenté de partir de l’autre coté.

      sans offense.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:25

      quelle importance si, comme vous le dites, il sort du cadre scientifique.

      l’important n’est il pas qu’il fasse progresser la science, malgré tout ?


    • aurelie 9 août 2007 14:44

      La science a accepté ses limites une fois pour toutes. Le principe d’incertitude par exemple. Chacun a le choix entre deux options : soit accepter les postulats de base qui, je le répère, expliquent merveilleusement notre monde et permettent de forger des outils très utiles ; soit les nier, et avec eux tout le travail des anciens, et faire appel à des notions partisanes servant l’intérêt personnel. Vous avez choisi de ne pas observer une démarche scientifique. Vous n’avez pas tenté de reproduire l’expérience en question. Vous êtes-vous demandé pourquoi personne ne l’avait faite auparavant ?


    • Emmanuel 9 août 2007 16:19

      « La science a accepté ses limites une fois pour toutes. »

      Vous imaginez la réaction d’un physicien de l’an 3000 vous lisant ?

      « Le principe d’incertitude par exemple. Chacun a le choix entre deux options : soit accepter les postulats de base qui, je le répère, expliquent merveilleusement notre monde et permettent de forger des outils très utiles ; »

      Très utiles, nous sommes bien d’accord.

      « soit les nier, et avec eux tout le travail des anciens, et faire appel à des notions partisanes servant l’intérêt personnel. »

      Accepter qu’il puisse être remis en cause n’est pas les nier. Ce ne sont pas des vérités absolues mais des axiomes, qui forment la base d’un paradigme prédictif des phénomènes physiques.

      « Vous avez choisi de ne pas observer une démarche scientifique. Vous n’avez pas tenté de reproduire l’expérience en question. »

      Euh, en 24 heures c’est assez difficile...

      « Vous êtes-vous demandé pourquoi personne ne l’avait faite auparavant ? »

      Je n’en sais rien, mais ce n’est pas une raison suffisante pour la négliger.

      Un exemple déjà cité ici : le procédé pantone limite énormément les émissions polluantes, notamment sur les vieux moteurs et pour un coût d’installation minime, pourtant, aucun institutionnel n’a conduit de programme expérimental sur ce procédé.

      Un autre exemple aussi cité par ForestEnt : quand les médias nous causent des différents agro-carburants (notamment dans le dernier Sciences & Avenir), jamais l’huile végétale brute n’est mentionnée, ni le gaz méthane, alors que ce sont les seuls agro-carburants qui ne nécessitent pas une raffinerie pour les produire...


    • aurelie 9 août 2007 19:30

      Vous avez habilement redécoupé mes propos pour leur donner le sens qui vous arrange. Le principe d’incertitude sera vrai en l’an 3000, comme il est vrai aujourd’hui, comme il l’était il y a cent, cent mille ans. La démarche scientifique n’est pas un doute aberrant, mais un doute au service de la raison. Autrefois la science était faite d’idées reçues ; aujourd’hui il y a toujours des idées reçues, mais moins. On ne justifie plus les lacunes de nos connaissances par des phénomènes surnaturels. Les postulats de base tels que les lois de la thermodynamique ne sont pas des axiomes destinés à masquer des lacunes de nos connaissances, mais bien des lois inviolables. Les défis de demain ne sont pas de remettre en cause les bases de la physique pour servir des intérêts personnels.

      J’ai dit tout ce que je voulais dire, à moins qu’autre chose me vienne à l’esprit, j’arrête de discuter avec vous, c’est fatigant.


    • Tropicase 14 mai 2008 17:06

      Et comme chacun le sait, rien n’est + rigide qu’un cadre surtout quand il est scientifique !


  • Pierre Jay 8 août 2007 17:52

    « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ». Donc, comme on l’a dit précédemment, il est impossible de créer plus d’énergie que l’on en consomme.

    La théorie du complot apparaît souvent quand inventeur dévoile une invention dite « révolutionnaire », surtout dans le domaine mécanique, pour justifier le désintérêt de celle-ci. Mais réfléchissez cinq minutes : vous ne croyez pas que si, un jour, un constructeur automobile mettait sur le marché une voiture dont l’utilisation ne coûterait presque rien, il aurait tout à gagner ? Les gens se rueraient pour l’acheter et il ferait bien plus de bénéfices que ses concurrents ou qu’en vendant des voitures à essence/gasoil !

    Sur ce sujet, voir aussi la « Quasiturbine », un moteur lui aussi révolutionnaire (multi-énergies : carburant, vapeur, air comprimé...) qui devait mettre au placard le moteur à piston avec un rendement bien supérieur. Mais là aussi, le lobby pétrolier empêche soi-disant le développement de l’invention, etc.


    • funram funram 8 août 2007 23:59

      Et bien si dans la vingtaine d’années où il n’y aura plus assez de pétrole (comme nous l’annoncent des statisticiens souvent qualifiés de « chercheurs »), Toyota (par exemple) sort un véhicule révolutionnaire utilisant le moteur à eau, on saura qu’il y a eu complot. Dans le cas contraire, et bien on restera dans l’incertitude, avec une certaine propension pour la remise en cause du complot.

      En attendant, pourquoi ne pas éssayer ladite invention ?


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 08:49

      bien sur, bien sur.

      regardez pourtant les difficultés qu’ont les concepteurs du systeme « pantone » qui consiste, si j’ai bien compris a integrer de l’eau au diesel dans le moteur, afin de diminuer la consommation de carburant.

      ils en sont réduits a bricoler chacun dans son coin la modification du moteur.

      pourtant, les fabricants, comme vous dites, aurait tout a y gagner, puisqu’ils feraient faire une économie aux consommateurs.

      et pourtant.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 08:52

      merci de ce commentaire.

      je pense que c’est surtout une énorme « connerie » d’utiliser le pétrole comme carburant, puisqu’il sera de toutes façon de plus en plus rare, donc de plus en plus cher.

      qui songerait a chauffer des chaudières avec des diamants ?

      le pétrole serait surement mieux employer a fabriquer des produits durables, qu’a simplement le bruler dans un moteur avec les conséquences que l’on sait sur l’environnement.


    • Tropicase 14 mai 2008 17:20

      Ouais, Sauf que le systéme Pantone, les Scientifique n’arrivent pas à comprendre comment cela fonctionne donc : ça ne peut pas fonctionner (retour à la case départ )

      Heureusement que maintenant grace au Net chacun peut gratter qq infos techniques et bricoler dans son coin ( à condition que cela ne soit quand même pas trop compliquer )

      Au moins on peut espérer que sur plusieurs milliers de bricoleurs de par le monde il y en aura bien un qui mettra le doigt sur la solution (miracle)


  • claude claude 8 août 2007 18:32

    cher auteur,

    ce que vous décrivez dans votre article, c’est tout bonnement une électrolyse de l’eau : la séparation de l’oxygène et de l’hydogène : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lectrolyse «  »Dans l’industrie chimique, l’électrolyse est une méthode de séparation d’éléments ou de composés chimiques liés utilisant l’électricité.«  »

    c’est vrai qu’à une certaine époque on parlait d’un moteur à hydogène : http://fr.wikipedia.org/wiki/Moteur_%C3%A0_hydrog%C3%A8ne

    mais les lobby pétroliers on la dent dure et le cuir épais...


    • slashbin 8 août 2007 23:39

      @claude

      On parle toujours du moteur à hydrogène, mais est-ce vraiment une si bonne idée ? Car comme le souligne Forest Enst, il faut de l’énergie pour produire l’hydrogène, et il faut ensuite un réseau de distribution qui suit. Au final, il se peut qu’avec l’hydrogène, on ne fasse que déplacer le problème.

      Il y a un lobby pétrolier, mais il ne faut pas l’accuser de tout, sinon point de véhicules électriques, point de voitures hybrides... Il est vraisemblable que le marché pétrolier ait freiner le développer d’autres solutions, mais ne poussons pas jusqu’à la théorie de la conspiration non plus (ce qui ne me surprendrait de votre part...).


    • claude claude 9 août 2007 12:01

      bonjour slashbin,

      loin de moi l’idée du complot, non mais comme vous l’avez si justement souligné, les lobbies pétroliers sont assez puissants pour retarder les avancées des solutions alternatives, du moins tant qu’ils n’auront pas trouvé le moyen d’avoir accès eux aussi à leur part du gâteau.

      les réserves de pétrole s’épuisent et il va falloir passer à d’autres sources d’énergies pérennes : que se soit issu du jus de carottes ou du pet de vaches...

      c’est une rude bataille qui s’engage, et ceux qui ont le plus de moyens, ont le plus de chance de l’emporter...


    • Forest Ent Forest Ent 9 août 2007 13:38

      Il n’y a pas besoin d’aller chercher très loin. Un exemple évident de « complot du lobby pétrolier », c’est le diester de colza. Les moteurs diesel marchent très bien à l’huile naturelle, mais évidemment il n’y a plus besoin d’industriels ...


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:27

      comme il est dit dans le document vidéo (que manifestement vous n’avez pas encore vu), justement c’est l’inverse de l’électrolyse.


    • xa 13 août 2007 11:21

      Je débarque un peu tard dans ce fil. Mais j’aimerai que l’auteur m’explique en quoi le « principe » de cette expérience est l’inverse d’une électrolyse......

      Un bac d’eau, des barres en métal branché sur une source de courant .... Bref, la définition même d’une électrolyse.

      Quand à la « consommation de moins d’un demi ampère ».......... La consommation d’un tel système ne dépend pas uniquement de l’ampérage, mais du produit Ampérage x Tension. On a donc une consommation similaire si 1A et 20000V ou si 10A et 2000V.

      L’intérêt de la haute tension et du faible ampérage, c’est que le faible ampérage limite les pertes du à la resitance du cablage (dépendantes de la tension et du carré de l’ampérage). Mais le champ magnétique de la haute tension pose d’autres problèmes (c’est pour ca que vous ne recevez pas du 5000 volts à la maison).


    • Tropicase 14 mai 2008 17:27

      Non, il ne s’agit aucunement de l’electrolyse classique car il n’y a pas d’échauffement et que l’ont travaille sous un très faible ampérage ce qui explique que l’énergie récupéree sous forme gazeuse est x fois + importante que celle utilisée pour engendrer la réaction et c’est justement cela que nos génies Scientifiques n’arrivent pas à avaler.


    • olivier cabanel olivier cabanel 18 mai 2008 20:36

      tropicase,

      voyant qu’un article écrit il y a un an suscite encore des réactions, je vous encourage a aller faire un tour sur "les voix du panda" site de presse internet, dans lequel j’ai passé un article qui prolonge l’invention de stan meyer.

      titre de l’article : tout a une fin, meme le pétrole.

      vous y lirez que Boeing vient de mettre au point un avion qui fonctionne grace a un moteur qui transforme les atomes d’hydrogène de l’eau en électricité et en chaleur sans produire de déchets.

      l’avion a volé le 13 avril dernier dans le ciel espagnol.

      voila qui devrait interroger tous ceux qui pensent encore que l’invention de stan meyer n’est qu’une mauvaise blague de potache.


  • dup 8 août 2007 18:40

    je n’ai pas de préjugé, mais alors pourquoi on l’a empoisoné ? . Bien sûr certaines assertions paraissent farfelues . si elles sont non fondées les inventeurs disparaissent dans l’oubli. Le moteur Pantone semble bien avoir des applications pratiques , bien que de principe different. Des qu’il y a assassinat , je me pose des questions .

    la science et l’église ont les allumettes un peu faciles . « Il n’y a de nouveau, que ce qui a été oublié ».


  • Francis, agnotologue JL 8 août 2007 19:00

    Bon, il est clair que notre ami Cabanel n’est pas un scientifique. Quand il écrit par exemple : «  »Il a imaginé extraire l’hydrogène de l’eau, par une application inverse de l’électrolyse, consommant moins d’1/2 ampère. «  »

    Un, on se de mande à quoi correspond une intensité d’un 1/2 A dans une appli inverse de l’élecrolyse ! Cette précision dans ce contexte flou fait marrer.

    Ou bien encore «  » ça marche : il fabrique plusieurs centaines de pour cent d’énergie de plus qu’il consomme, et produit de l’hydrogène capable de fondre l’acier.«  »

    Que vient faire ici la qualité de l’hydrogène, ’capable de faire fondre l’acier’. C’est de l’hydrogène ou c’en est pas, point !

    Ou ceci : «  »Mais en 2006, Stanley est mort empoisonné. Et son invention avec lui.«  » Paix à son âme, mais son ’invention’ ? Empoisonnée aussi ?

    Et plein d’autres phrases aussi vides que naïves. Se procurer un brevet ? Onze ? On ne procure pas un brevet. On le consulte. Eventuellement, on négocie avec l’inventeur, ou ses ayant droit.

    Ceci dit, Je ne critique que la forme. J’ignore tout du fond. Honte à moi ! smiley

    Allez, sans rancune. smiley


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 08:58

      pas de problème.

      effectivement vous avez bien noté que je ne suis pas un scientifique.

      et pourtant elle tourne, disait Galilée, je crois. contre l’avis de tout le monde pendant un certain temps.

      j’ai regardé attentivement, et plusieurs fois, la vidéo visible sur « leweb2zero.tv », j’ai pris des notes, j’ai consulté plusieurs sites, et j’ai été convaincu.

      vous devriez qd meme prendre le temps de le faire à votre tour.

      en tant que militant écolo, lorsque je suis dans une réunion publique, je demande au personnes présentes de ne jamais prendre pour argent comptant ce que je leur dis.

      je leur conseille de faire la même enquete que moi, sachant que s’ils le font, ils seront bien plus convaincants pour les autres.

      à vous de voir.


    • Emmanuel 9 août 2007 10:07

      « j’ai regardé attentivement, et plusieurs fois, la vidéo visible sur leweb2zero.tv »

      Vous pourriez svp donner l’url de cette vidéo ? merci.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 11:49

      pour en savoir plus sur stan meyer : http://quanthomme.free.fr/carburant/wFCMeyer.htm

      pour la vidéo aller sur « leweb2zero.tv », et sur la barre de recherche « energie libre ». la vidéo dure une vingtaine de minute.


  • Frank 8 août 2007 20:00

    Bonjour à toutes et à tous,

    Le grand malheur de l’être humain est de confondre « observer » et « analyser ». Regarder ou plutôt observer ce monde de la manière la plus neutre possible et cela en faisant abstraction de tout sentiment basé sur notre vécu ou sur celui s’attachant à vouloir voir le monde tel que nous voudriions le voir. Dès lors, l’analyse se fera d’elle-même, sans efforts. Il est aisé de constater que le renforcement de l’ego par le simple fait de la certitude ou de la conviction peut conduire à une ignorance et à une souffrance sans pareil. Le principe de l’énergie libre est un concept qui peut nous conduire vers une refonte totale de la physique telle que nous la concevons. La théorie du point zero, de l’énergie du vide,... rejoignent de manière scientifique ce que de grands sages ont eu l’occasion de nous rappeler depuis des millénaires. Eux parlaient en terme d’Absolu, de Lumière, de l’Un, de Vacuité,...Ces éveillés avaient tout simplement pris connaissance du mystère de la Vie sur un plan mystique. La métaphysique et la physique sont deux chemins qui mènent vers la même source si ce n’est que pour y accéder il faut peut-être comme eux se tourner vers soi-même et cesser d’être victime d’un ego parasité par une vision du monde qu’il perçoit comme étant la seule et unique vérité. Je n’ai, croyez-le bien, aucune intention de prétendre faire partie de ces initiés mais l’ouverture vers d’autres horizons est source de découvertes qui interpellent et nous amènent à réaliser que Tout est Un. L’époque dans laquelle nous vivons est réellement le reflet de notre méconnaissance du Monde. Bien à vous Frank


  • aurelien 8 août 2007 20:26

    Et le moteur à eau, ça fonctionne apparemment :


    • Emmanuel 9 août 2007 10:10

      L’eau n’est ici qu’un complément à un carburant classique. Appeler « moteur à eau » le procédé pantone ne peut que le discéditer.


  • herbe herbe 8 août 2007 21:55

    Ce scientifique et ses travaux m’étaient inconnu (merci pour l’article pour le fond, même si dans la forme certaines descriptions ne semblent pas répondre à des critères de science).

    Par analogie NiKola Tesla qui a été cité dans un commentaire a eu une légitimité incontestable et lui aussi a « dérangé » ! :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nikola_Tesla

    Mais bon il y a des hérétiques mal acceptés par l’establishment (à tort ou à raison parfois) :

    http://www.ldi5.com/heret.php


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:30

      merci de votre commentaire.

      tous les chercheurs, inventeurs, scientifiques ou pas, mentionnés dans mon article, évoquent le nom de Tesla.


  • slashbin 8 août 2007 23:10

    Décidément, les théories conspirationnistes sont à la mode sur Agoravox. Même si certaines sont corrigées, faut pas s’étonner après de la mauvaise presse du journalisme citoyen.

    Je passerai sur les arguements physiques qui ont largement démontrés l’absurdité de l’article, en ne signalant simplement que l’autopsie de Meyer, qui a conduit à un anévrisme célébral. Oui, bon, tout de suite, c’est moins romantique.

    Le coup des brevets... c’est sûr, un brevet garantit le sérieux de l’idée. Pour preuve : http://www.crazypatents.com/ ou http://www.freepatentsonline.com/crazy.html

    Et si vous voulez vous aussi brevetez le mouvement perpétuel, petit mode d’emploi : http://www.guardian.co.uk/technology/2006/aug/31/guardianweeklytechnologyse ction2

    Petit guide aussi pour améliorer votre manière de présenter vos révolutions : http://www.amazon.fr/Limposture-scientifique-en-dix-le%C3%A7ons/dp/2020639440

    De toute manière, le moteur à eau, c’est dépassé, grâce au graviton ! http://www.dailymotion.com/relevance/search/graviton/video/x188bn_gerard-et-son-graviton_extreme


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 09:03

      votre réponse démontre parfaitement ce que j’ai écrit.

      stan meyer dérangeait beaucoup les scientifiques, car il n’était qu’un petit ingénieur, sans diplomes.

      çà doit etre vexant pour ceux qui, bardés de diplomes, n’ont pas réussi a découvrir le fil à couper le beurre.

      j’ai connu un inventeur, un vrai, qui a fait fortune en imaginant (sans le moindre bagage scientifique) un appareil (Hydrostop) capable de mesurer en continu le taux d’humidité du béton.

      avant lui, d’énormes quantités de pieces préfabriquées se perdaient, car il est difficile d’avoir toujours la meme hygrométrie pour un sable.

      merci qd meme pour votre commentaire dont l’humour n’est pas absent.

      c’est toujours çà !


    • Francis, agnotologue JL 9 août 2007 09:50

      Le titulaire du brevet n’est pas toujours, pas souvent, l’inventeur : c’est le plus souvent son employeur, plus près des affaires que du coeur de métier. Un brevet c’est d’abord et surtout une queston d’argent, et l’employé lambda qui découvre un « truc » n’a en général pas les moyens de se le payer.


    • Marcel Chapoutier Marcel Chapoutier 9 août 2007 15:33

      @Splashbin

      « Décidément, les théories conspirationnistes sont à la mode sur Agoravox. Même si certaines sont corrigées, faut pas s’étonner après de la mauvaise presse du journalisme citoyen. »

      Voila un post farci de clichés, dès que l’on sort du bourrage de crâne des médias classiques on est forcément un paranoïaque adepte des « théories conspirationnistes », vous n’avez donc jamais entendu parler des lobbies pétroliers ?

      Je vous signale aussi que le journalisme citoyen permet à tous de s’exprimer (parfois de dire n’importe quoi comme vous), cela est un peu pénible c’est vrai, mais les internautes corrigent les erreurs et les errements des rédacteurs dont les arguments sont dignes de ragots de concierges (comme les vôtres). Seul le journalisme citoyen permet cette liberté dont vous semblez abuser...

      Je ne sais pas si le moteur à eau existe (pourquoi pas ?) à la limite je m’en fous, mais le fait que vous pêchiez sur le net n’importe quel site fantaisiste comme preuve de dénégation, et qu’en passant vous vous permettiez de dénigrer la liberté d’expression de ce site prouve en tout cas que vous n’êtes qu’un tout petit esprit... smiley


    • Tropicase 15 mai 2008 12:27

      Objection votre honneur, un anévrisme ne permet ne prévient pas et ne permet en aucun cas de quitter la table du restaurant et de courir jusqu’à sa voiture, c’est la syncope immédiate point barre.


  • Francis, agnotologue JL 9 août 2007 08:13

    Pour ceux qui ne le savent pas, cette histoire du moteur à eau revient régulièrement depuis des années. Comme les soucoupes volantes.

    Rien que le nom est problématique. S’il s’agit de produire de l’hydrogène cela signifierait qu’on pourrait séparer H2 de O avec moins d’énergie que la réaction chimique naturelle n’en produit ! Et que devient dans le moteur l’hydrogène produit ? De l’eau !!! Plus d’eau qu’on en a consommé ? Moins ? Pareil ?

    On le voit cela ressemble à uun gros canular.

    Maintenant il y a peut-être quelque chose de vrai. Mais n’appelez opa ça « moteur à eau », même si de l’eau intervient dans le processus. Un moteur classique n’est pas un moteur à air.

    Merci.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:07

      tiens c’est pas une mauvaise idée.

      qui serait tenté de parler soucoupes volantes ?

      personne j’espère, car comme chacun sait, elles n’existent que dans l’univers de quelques perturbés de la moelle, avides d’hallucinations.

      merci encore de votre intelligent commentaire.


  • Pierrot Pierrot 9 août 2007 10:56

    Bonjour,

    Lorque l’on décompose l’eau en ses constituants hydrogène et oxygène, quel que soit le procédé utilisé (thermique, électrique, sonochimie, chimique etc.) il faut fournir de l’énergie.

    Losque l’on combine l’hydrogène avec l’oxygène pour former de l’eau on récupère de l’énergie. H2 + 1/2 O2 > H2O + Q (voir cours de seconde).

    Mais dans tous les cas de figures l’énergie récupérée est inférieure à l’énergie qui a fallu fournir.

    L’inverse est impossible ou alors il faudrait annuler les lois élémentaires de la physique. Ce qui est impossible car elles sont largement validées depuis des siècles.

    Invention à classer dans les mythes obscurantistes.

    Bonne journée tout de même.


    • Emmanuel 9 août 2007 12:08

      La physique est une science expérimentale. En ce sens, il est incorrect de négliger une expérience avec la théorie comme seul recours.

      C’est plutôt la théorie qui doit se plier à l’expérimentation, si évidemment, celle-ci est suffisamment explicite, reproduite et validée, ce qui, je vous l’accorde, est loin d’être le cas ici.

      Par exemple l’effet Casimir, envisagé en 1948 et démontré en 1997, engendre quelques polémiques à propos de la théorie.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:05

      serait-til possible que des lois validées depuis des siècles trouvent un jour des contradicteurs, et les mettent en défaut ?

      le scientifique n’est-il pas par essence quelqu’un qui doute ?

      mais peut etre n’etes vous scientifique ?


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:34

      dans le cadre des « mythes obscurantistes », je voudrais signaler un champignon, le paxille enroulé, considéré jusqu’il y a peu « bon comestible », est maintenant jugé mortel sous certaines conditions.

      il faut bien le cuire.

      dans le cas contraire, il peut etre mortel si deux fois de suite il n’est pas suffisamment cuit.

      qui l’eut cru ?!

      oups.


    • Marcel Chapoutier Marcel Chapoutier 9 août 2007 15:52

      Oui, ils existent, ce sont les créationistes !...


  • Marcel Chapoutier Marcel Chapoutier 9 août 2007 11:50

    A son époque Albert Einstein (bien que scientifique) était considéré par le milieu officiel de la science comme un trublion fantaisiste peu fiable et caractériel, on voit ce que ça a donné.

    Les grands découvreurs ont été (et sont toujours) des anticonformistes ayant le courage de s’opposer à la connerie ambiante, y compris à celle des autorités scientifiques, dépositaires d’une orthodoxie sclérosée.


    • Pierre Jay 9 août 2007 13:25

      Ah, parce que les lois de la physique, la conservation de l’énergie, tout ça c’est de la connerie ambiante ?


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 août 2007 14:00

      c’est agréable de voir que tous les moutons ne suivent pas le meme panurge.

      puisque nous sommes tous des moutons, pourquoi ne pas tenter de devenir béliers ?

      en tout cas merci,

      au fait , avez vous vu la vidéo sur stan meyer ?

      et puis il y a d’autres info sur " http://quanthomme.free.fr/carburant/WFCMeyer.htm

      ce serait dommage que Stan Meyer soit mort pour rien ? a part amuser les scientifiques, et leurs pseudo, trouvant la un sujet idéal pour se gausser.


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