Commentaire de Joséphine
sur La meute ou le troupeau ?
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@olivier cabanel
Un grand merci à vous surtout ! Et à propos du panurgisme , nous avons pu constater à quel point la démence sanitaire nous a assujettis. Le port du masque est passé comme une lettre à la poste, personne n’a bronché. Pire, pendant « la guerre du coronavirus », j’observais un phénomène tout à fait paranormal dans les rues, je voyais des conducteurs tout seuls dans leur voiture avec un masque sur le visage. Qui pouvaient-ils contaminer seuls dans leur voiture ?
En France il n’y a jamais eu de débat en sur le masque alors qu’il y’a des débats interminables sur le voile des musulmanes. Que de contradictions dans ce pays !
Je voulais vous montrer ce petit extrait de texte qui colle bien à votre article, il s’agit de soumission :
« La contrainte du port du masque est organique à la pandémie. Elle repose sur un mécanisme fétichiste. Elle saisit le visage, dont la capture est au centre du processus d’assujettissement.
Au contact de ce fétiche, l’individu est envahi par un sentiment d’altération de sa personnalité. Le masque impose de consentir à la perte de son humanité.
Le covidisme prive les individus de leur visage. Il porte une violence, surpassant celle résultant de la suppression des libertés publiques et privées, réalisée par le droit antiterroriste. Si « la lutte antiterroriste » s’est principalement attaquée aux dimensions imaginaire et symbolique de la société, la « guerre contre le coronavirus » enferme dans le Réel de la psychose.
Le port du masque exhibe le consentement des populations au non sens de l’ensemble des dispositions « hygiéniques », à l’acceptation de mesures qui les détruisent. Si bien que refuser cette effraction de notre dignité mettrait fin à « l‘état d’urgence sanitaire. Au contraire, s’appuyant sur un passage à l’acte qui suspend la conscience, la généralisation du port du masque produit une homogénéisation des comportements. Elle supprime tout processus de différenciation et se pose comme religion universelle. »
J’espère que ce court extrait vous plait. Il faudra songer un jour à dresser le portrait psychologique des psychopathes qui défigurent leurs semblables et qui semblent jouir du spectacle .