Commentaire de Emile Mourey
sur Les évangiles sont des textes cryptés ; bis repetita
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@Antenor
La chute de Jérusalem en l’an 70 marque probablement la fin d’une Histoire. L’important, pour l’historien, est de savoir la décoder. Dans mon « Histoire de Bibracte, Dieu caché », j’explique que si Jacob et Esaü étaient frères, fils d’Abraham, c’est dans l’image. Né le premier, Esaü était la troupe militaire occupante, Jacob, une troupe concurrente qui avait dû s’exiler mais qui est revenue en force après avoir contracté des alliances...troupes militaires avec, à leurs têtes, des prêtres. Quand la Bible dit que Jacob et Esaü couraient l’un vers l’autre pour s’embrasser, c’est un euphémisme.
Victoire de Jacob, naissance d’Israël. Le Jacob de Jannée, alias Jamnée, c’est encore et toujours l’armée régulière, en titre, mercenaire en partie peut-être, l’armée d’Israël...
Quand Jacob et Jean entrent à Capharnaüm, c’est l’armée régulière renforcée d’une troupe mobilisée qui l’a rejointe... une mobilisation que seules les communautés esseniennes voisines pouvaient fournir... sous le nom d’autres apôtres. Normalement, le pseudo « Simon » ne devrait concerner que des esséniens de Bethsaïde, Gamala et région proche.
En revanche, et je fais le lien avec l’histoire de la Gaule, c’est bien l’exil des 8000 « Simon » en Gaule qui nous permet de mieux comprendre notre histoire à partir de Chalon/sur/Saône/Taisey/Mt-St-Vincent/Bibracte