Commentaire de AmonBra
sur La France en perdition morale : De la lepénisation à la sionisation des esprits
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@Julien30
Enfin un élément étayant vos dires et quelle référence !
De notoriété publique, un des nombreux outils que finance G. Soros et d’autres $ionnards spécialisés dans les prétendus « révolutions de couleurs » et autres « printemps arabes », traduisez par la déstabilisation de tous les pays dont la souveraineté les dérange, exactement ce que cherchent actuellement vos « crapules » de dirigeants avec l’Algérie, faute d’y avoir réussi en instrumentalisant le Hirak, mais ce ne peut être qu’un hasard.
[. . .] « des médiocres et des crapules, »[. . .]« des vôtres de dirigeants dont vous devriez vous préoccuper »[. . .]
En souhaitant que la répétition n’enseigne pas que l’âne, je vous rappelle qu’en Algérie les crapules locaux sont déjà à l’ombre pour de longues années et que, ne vous déplaise, les nouvelles autorités donnent pour le moment satisfaction aux algériens.
Par contre les vendus bradant la France et dont les français se plaignent, dont votre personne, la ramènent toujours et noient le poisson, en se mêlent, comme vous, de ce qui ne les regardent pas en Algérie, d’où, je vous le rappelle, l’objet de ce débat et, somme toute, une énième histoire de la paille et de la poutre.
Contrairement à la ripoublique des coquins, depuis son Hirak la jeune république algérienne se porte bien, elle ne s’est même jamais porté aussi bien.
Avec l’aide et s’inspirant du prodige chinois, la nouvelle équipe dirigeante est bien décidée a sortir de la rente des hydrocarbures, outre les logements, les infrastructures routières, ferroviaires, sanitaires et portuaires, elle met en route des projets d’envergure nécessitant de plus en plus de bras et de cerveaux pour leur mise en œuvre et elle en a les moyens financiers, mais au train où les travaux sont engagés et se poursuivront durant au moins la décennie à venir, le retour même massif de sa diaspora, bien que satisfaisant certains « algérophobes », ne suffira probablement pas. . .