Commentaire de AmonBra
sur « 2084 : La fin du monde » de Boualem Sansal, un îlot de bon sens dans un océan de bien-pensance


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AmonBra AmonBra 28 mars 12:15

Pour la fin de son monde, l’incriminé ne s’est planté que de vingt ans, car la justice algérienne a tranché conformément à ses lois, sans toutefois suivre la réquisition du procureur : Cinq ans de prison ferme et 500 000 dinars d’amende.(3464,73 €)

Mais dans le forfait est compris un suivi médical gratuit par les meilleurs médecins d’Algérie, car en matière de martyrologie les ex indigènes en connaissent un rayon !

Le dossier du prétendu algérien, mais véritable sayan, B. Sansal est donc juridiquement clos, de manière satisfaisante pour l’opinion publique algérienne, que certains considèrent, vieille habitude, comme quantité négligeable.

N’est pas V. Hugo qui veut, le ci-devant écrivaillon rejoint derrière les barreaux ses ex protecteurs corrompus l’ayant précédé, avec lesquels d’ailleurs les habituels et indécrottables néocolonialistes espéraient beaucoup(trop ?) se refaire une santé économique, après les échecs subis en matière de déstabilisation du pays depuis son indigeste indépendance.

Est il encore utile de préciser que les cris d’orfraies desdits suprémacistes n’y changeront rien, au contraire, sauf peut être si, une fois calmées, au niveau suprême puisse se décider un échange de cadeaux, type « gagnant-gagnant », établissant ainsi et enfin une relation diplomatique normale, entre nations égales en droits et devoirs. . .


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