La première splendeur d’Orson
Nous sommes en 1938, et un jeune réalisateur de 23 ans qui n’avait à son actif qu’un simple court-métrage de 4 minutes, "The Hearts of Age", décide de tourner un moyen métrage muet (40 mn), adaptée d’une pièce de théâtre vaudevillesque. Le film s’appelle "Too Much Johnson".
Le cumul des problèmes rencontrés lors du tournage a empêché l’exploitation du film à l’époque.
3 ans plus tard, Orson Welles, car c’est de lui qu’il s’agit, tournera ce qui reste pour de nombreux cinéphiles, le chef-d’oeuvre du 7ème art "Citizen Kane".
Dans une interview accordée en 1978 , le cinéaste raconte dans quelles conditions il a revu le film dans les années 60 :« Je ne me souviens pas si je l’avais laissé au fond d’une caisse ou si quelqu’un me l’a rapporté, mais il était là, devant moi. Je l’ai regardé et la qualité était juste parfaite, avec aucune rayure sur la pellicule. Joseph Cotten (comédien principal que l’on retrouve dans de nombreux films de Welles) était magnifique et j’ai immédiatement pensé à éditer le film et l’envoyer à Joe comme cadeau d’anniversaire ».
Mais peu de temps après Orson Welles apprend que sa maison madrilène est partie en fumée… avec le film.
Mais alors que les cinéphiles le pensait disparu pour toujours, on a retrouvé le film en décembre dernier, plus de 75 ans après son tournage.
Le film est actuellement en cours de restauration aux États-Unis, au musée George Eastman House.
Cette copie inédite devrait être présentée au grand public le 9 octobre prochain, dans le cadre de la Journée du cinéma muet à Pordenone en Italie. La semaine suivante, le film sera projeté à New York.
Paolo Cherchi Usai, en charge de la restauration, a déclaré dans un communiqué : « C’est, et de loin, le travail de restauration le plus important que la George Eastman House ait entrepris depuis très longtemps. Tenir dans sa main la bande, personnellement créée par Orson Welles il y a 75 ans, provoque une émotion impossible à décrire. »
Et d’apprendre qu’il existera bientôt un film visible d’Orson Welles antérieur à "Citizen Kane", est un véritable événement pour de nombreux cinéphiles .
Pour les autres, ils peuvent toujours visionner "La splendeur des Amberson", "La dame de Shanghai", " La soif du mal"......
23 réactions
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Taverne 9 août 2013 10:03
Bonjour,
La splendeur des Amberson (1942) est un souvenir cuisant pour Orson Welles. Le film est remonté en son absence sur ordre de la société de production RKO. A Orson Welles à son tour d’être « remonté » à son retour : il en voudra toujours à Robert Wise d’avoir cédé au diktat des commerciaux, malgré les supplications des acteurs à l’unanimité. Le film a été amputé de 45 minutes. Plus assez rentable pour les studios (deux échecs commerciaux consécutifs), Welles connaîtra des déboires financiers et devra jouer lui-même dans de nombreux films pour financer ses projets.
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fatizo 9 août 2013 21:50
Bonsoir Taverne.
Welles a toujours eu beaucoup de soucis dans son pays . On disait lorsque j’étais môme qu’il était plus reconnu en France qu’aux USA .Merci pour ce commentaire qui apporte un plus fort interessant . -
télé ton destin 10 août 2013 18:38
Mr Fatizo,
à propos du post ci-dessus, il ne s’agit pas d’une erreur d’envoi,
mais d’un message vide de sens, contrairement au message
qui le surplombe et qui finit par cette phrase riche de vérité :
« Merci pour ce commentaire qui apporte un plus fort intéressant » à l’article bien évidemment.
En même temps, ce n’est pas très compliqué.
Mais tout comme « La splendeur des sentiments » en son temps,
votre article peut-être a-t-il été amputé de quelques paragraphes.
Combien, ça on ne sait pas, c’est un fait qui appartient au passé maintenant.
Je voulais vous faire part d’une remarque fort intéressante que vous avez émis
le 31 juillet 2013, à 18:26 sur le fil de commentaires de Mme Rosemar,
dans son article au sujet du respect, je vous cite (in texto) :
« Qu’est ce que le respect ? C’est au sens étymologique du terme un regard en arrière, donc un certain recul, une certaine considération de l’autre, en tout cas, une forme de réflexion indispensable. C’est bien le problème avec ce genre de site, bien souvent on réagit plus qu’on ne réfléchit, on se fait plaisir en balançant une petite vanne. Parfois on s’attarde sur une phrase de l’article sans s’intéresser au fond, juste histoire de trouver la petite faille. Je me rends compte bien souvent que certains survolent les articles. Je commence à connaitre certains des petits comiques qui agissent sur ce site, pour mon propre respect j’ai décidé de ne plus leur répondre. »
Vous êtes un sacré « petit » comique Mr Fatigo, venir importuner un simple commentateur, télévisuel qui plus est, proférant accusation et manque de respect justement, puis vous défiler ensuite comme vous le faites, relève d’un cosmique comique.Si je jette un regard en arrière, comme vous le préconisez dans le cadre du respect,
sur quoi je tombe (et de haut) ? Ceci :
Un regard en arrière.Mes antennes et paraboles en (re)tombent des nues.
Ce qui nous renvoie au présent, ici même, et bientôt au futur proche, si vous ne réagissez pas plus avant, par là-bas.
"C’est bien le problème avec ce genre de site, bien souvent on réagit plus qu’on ne réfléchit."
Votre accusation portée sur ce « genre de site » sur le site en question, est un fait pour le moins surprenant, car il est évident que vous profitez de ce même site pour vous exprimer d’une façon décidemment, très très étrange.
Tenez, un petit + plein de sens pour vous aider dans vos réflexions : ←↑→↓ ou ↔ et ↕.
Télécommandement parlant, à tout à l’heure Mr Fatizo.
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laertes 11 août 2013 16:36
Ce n’est pas Wise qui est responsable des coupures, il n’était qu’assistant à la mise en scène, c’étaient les directeurs de la RKO. Il faut rappeler qu’aux USA ce sont les producteurs qui sont propriétaires du film et non les réalisateurs. Lire à ce sujet le livre extraordinaire d’entretiens « Moi Orson Welles » de Peter Bogdanovitch. Et si Welles n’a pas eu la maîtrise (montage) sur son film c’était parce qu’il était coincé au Brésil pour tourner un documentaire qui était une commande de Roosevelt (propagande).
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Bernie 11 août 2013 18:22
Merci pour cet éclairage que je ne connaissais pas. Wise un lampiste, fusible et victime des obligations guerrières de l’époque.
Voilà qui remet beaucoup de choses en perspective, mais pourquoi O.W ne l’a jamais dédouané ?
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rosemar 9 août 2013 15:23
Salut fatizo
cet article nous donne envie de revoir ces chefs d’oeuvre du cinéma : Citizen Kane, la splendeur des Amberson et bien sûr de découvrir ce film retrouvé que l’on croyait perdu....Belle journée...-
fatizo 9 août 2013 21:53
Bonsoir Rosemar ,
Si cet article sans la moindre prétention sert au moins à cela, c’est déjà beaucoup .Belle soirée à toi .
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escartefigue 9 août 2013 20:42Orson est THE géant du cinema mondial .
Un génie .Si vous aimez Orson , fatizo faites nous un article plus étoffé , merci . -
fatizo 9 août 2013 21:58
Oui, un génie .
Vous aurez sans doute compris que cet article n’a pas pour but de retracer la vie et l’oeuvre de Welles, mais juste de relayer une info que j’ai trouvé hier .Sachant qu’i me faut entre 6 et 10 heures , selon l’acteur ou le film, pour faire un article concernant l’histoire du cinéma, vous m’accorderez que je n’ai pas eu le temps d’inclure l’oeuvre de Welles dans ce billet .Et puis était-ce sa place, je n’en suis pas sur .Entre trop touffu (et une nuit trop courte) et article peu étoffé, j’ai fait mon choix . -
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télé ton destin 9 août 2013 23:45
Bonsoir Mr Fatizo,
regrettant que vous ne m’ayez répondu,
malgré une requête toute en courtoisie de ma part,
je me permets d’intervenir à mon tour de manière détournée,
mais sans omettre au passage un hommage à cet homme brillant,
qui lui a su subjuguer son art à un niveau rarement atteint depuis.
Je ne peux passer sans souligner que votre modeste billet est modeste.
Je crois savoir que vous avez eu une trop courte nuit, puis-je vous demander
pourquoi ? Si vous trouvez cette question déplacée, puis-je au moins vous
demander pourquoi avoir placé cette information dans un de vos commentaires ?
J’ai vraiment cherché avec grand intérêt votre réponse à ma question, mais en vain.
Ne voulant pas me répéter, au risque de vous semblez redondant,
je vous donne le lien qui vous permettra de la relire :
Lien de la question, à laquelle je vous prie de bien vouloir répondre.
Une autre question cependant, pourquoi attendez-vous un billet de ma part ?
Dans l’attente de deux réponses maintenant, je ne manquerais pas de vous
souhaiter une agréable nuit après lecture (de vos réponses).
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Bernie 11 août 2013 13:05
Bonjour l’auteur,
Pourriez vous confirmer la durée de « The hearts of Age », car Wikipédia parle d’une durée de 8 min, ou faire modifier la dite fiche.
Merci.
Nous ferez vous un article sur Sylvester Stallone, j’en serai ravi.
Merci encore
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télé ton destin 11 août 2013 13:16
Cher Bernie,
je crains que l’auteur ne vous réponde, il est dans les filets
à la recherche des ses fiches nous dit-on.Cher auteur,
quand donc allez-vous faire acte d’inabscence ?
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télé ton destin 11 août 2013 13:25
Ou peut-être a-t-il oublié un « u » dans son titre (en plus des paragraphes), ce qui donnerait :
« La première splendeur d’Ourson ».
Et dans ce cas, l’auteur est en mode polaire, il hiberne.
Bisous n’ours à l’auteur, si cela pouvait le réveiller en douceur.
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Bernie 11 août 2013 13:39
Bonjour télé ton destin,
Je voulais aider ce cher mr Fatizo, qui semble bien en peine avec la rédaction de ces articles. Vous rendez vous compte, six à dix heures pour tirer la substantifique moelle de la carrière d’un monstre de cinéma, et cela en rognant sur son sommeil.
D’accord la fiche wikipédia donne tous les éléments de l’article, même l’interview de 1978 en lien et en anglais, et la date de présentation de l’œuvre restaurée, et plus encore.
Ou alors, c’est au cours de la saisie qu’il perds du temps. Peut être ne tape t’il qu’avec un doigt, ce qui dans ce cas, j’en conviens, devient un calvaire dès que le texte devient trop étoffé.
A titre personnel, je souffre beaucoup en ce moment pour me donner une apparence donkinguesque, en effet ayant une nature de cheveux peu compatible avec l’originalité capillaire dont il fait montre, je suis obligé d’en passer par énormément de produits peu recommandables pour ma santé capillaire. J’espère que le jeu en vaudra la chandelle.
Fati bouma yé !
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télé ton destin 12 août 2013 01:01
Bonsoir Bernie,
Mr Fatizo soufflera ses bougies comme il se doit.
De l’écriture mono-doigtale ?
Tout s’explique, merci pour cette évidence qui ne m’était pas venue aux antennes.Wikipédia c’est un peu l’AFP des journalistes de nos jours,
surtout des journalistes aux papiers courts.Les troubles du sommeil de Monseigneur Fatizo me peinent un peu.
Il existe pourtant des chaines qui sont de véritables somnifères,
alors que notre éminent sociologue cinématographe scotche sur LCP apparemment.Je crains que demain, nous ayons droit à un sujet politique, une histoire de pitbull
si j’ai bien compris, et bizarrement là, l’article se fait moins condensé,
Mr Fatizo y livre même quelques avis. Je ne sais que dire, car outre
ce continuel problème de gauche, le billet est (presque) censé.
Nous avons même le droit pour finir, à un jeu de mot qui se veut mettre en avant
la culture Fatizoienne, un truc du genre « François-Marie Arouet », mais chut,
mieux vaut ne pas le dire afin de ne pas gâcher la surprise pour nos téléspectateurs, car toute la force narrative de l’auteur prend sa source dans cette fin justement.
Une force qui prend sa source à la fin, c’est la tout le génie de Mr Fatizoo.
Nous ne manquerons pas de lui faire les honneurs que ce genre de trouvaille littéraire mérite.Encore faut-il que cet article passe le cap de la modération (si l’auteur accepte de nous faire partager sa prose politicienne bien sur). Combien d’heures a-t-il pu passer à rédiger ce texte ? Je lui poserais la question, car il se pourrait que ce soit là la raison de son silence récent.
Au passage, j’ai visionné votre documentaire japonais (qui ne date pas d’hier),
et je dois dire que la plume bernienne me plait. Le coup de caméra est vif,
l’éclairage est au poil et la bande son colle à merveille avec l’image.
J’ai aussi vu 2-3 de vos épisodes presqu’en direct, et là, je dois bien avouer
avoir été enchanté par vos talents d’improvisation. Passons les éloges,
nous sommes sous les lauriers de Mr Welles tout de même.
Aussi, je vous souhaite cher Bernie, une douce et agréable nuit..
P.S : Mr Fatizo, je vous prie de nous excuser pour la gène occasionnée par nos discussions, mais il semble que l’endroit y soit approprié, car nous parlons bien de cinéma, comme vous avez pu le remarquer. C’est que votre splendide billet d’Orson est source d’inspiration.
A ce propos, et bien loin de nos querelles belliqueuses, suite à votre invitation à présenter un article, je me suis mis en rédaction de celui-ci. Mais, étant novice en la matière, j’aimerais faire appel à quelqu’un d’expérience en ce domaine, et il est évident que mon choix se porte sur vous. Sans rajouter cette question à la liste de nos différents, je vous la pose en toute courtoisie, accepteriez-vous de m’aider à la finalisation de mon premier billet ?Respectueusement, Télé ton destin.
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télé ton destin 15 août 2013 00:17
Cher Bernie,
si vous saviez ce qui se trame dans ces bas-fonds agoravoxiens,
comme moi vous poufferiez de rire. N’ayant plus de vos nouvelles,
je m’accorde une légère patiente avant de vous expliquer tout cela.J’espère pour Mr Fatizo que la chaleur nous accompagnera ces prochains jours.
Bien à vous, moi-même (vous comprendrez). -
télé ton destin 15 août 2013 11:42
Bernie,
désolé de ne pas vous dire bonjour, mais l’heure est grave.
Vous et moi même, donc nous, avons été injuriés et accusés à tort
par Mr Fatizo, et ce, en place publique. J’imagine votre absence pour
cause de vacances (évitant l’alarmisme d’une situation plus préoccupante),
et me doute que lorsque vous reviendrez en ces lieux, vous découvrirez avec
effroi la terrible situation qu’il y règne. Alors avant d’exiger réparation
de ces calomnies délirantes, je vous fais un bref résumé :
Mr Fatizo pense que vous c’est moi et moi c’est vous, enfin, je n’ai pas
bien saisis son quiproquo intérieur. Toujours est-il que l’accusation
est pantagruelle. Je vous laisserais remonter le fil de cette histoire confuse,
où la boxe est mêlé (Mr Fatizo doit confondre boxe et rugby),
ainsi que d’autres intervenants pour qui mon respect est grand.
Parait-il que nous nous parlions à nous-mêmes ? C’est étrange, je sais,
mais telle est la vérité de cette fourberie fatizoienne. Je crains décidément
que ce personnage n’imagine pas un instant dans quoi il s’embarque.
Pour l’heure il rame, il rame, alors je vais lui indiquer où sont les berges,
et quand il aura bien rit, il verra que le loup c’est lui et les moutons aussi.
Les « preuves » avancées font peurs ! En d’autres temps, ce genre de comportement a fait grand mal à bien des innocents. Cependant, il me faut trouver en mon fort intérieur de petite boite télévisuelle, la contenance nécessaire pour ne pas tomber dans ces pièges de l’esprit si chers à Mr Fatizo. Sont langage outrancier dénote comme vous le disiez, une aptitude prompte à la colère et l’emportement abusif, phénomènes bien connus chez les personnes souffrantes de pathologies affectives diverses, et dont l’égo ne trouvent satisfaction qu’à travers affabulation et méchanceté (le mot est fort léger, vous en conviendrez en prenant acte du procès verbal qu’il m’a fait parvenir par voie de commentaire).
Sur invitation, il conseille à ceux qui le désirent, de venir ici même vérifier si nous nous parlons à nous-mêmes. Oserais-je mettre en garde ces gens des conséquences de telles croyances ? Oui, messieurs dames (et j’espère que vous ne serez pas nombreux), je vous mets en garde. Lisez si cela vous plait, mais quant à prendre au sérieux les idées de Mr Fatizo, accordez-vous le bénéfice du doute, car lorsque vérité sera faite, nous verrons bien des vestes se retourner, mais je ne doute pas du bon sens dont vous ferez preuve d’ici là.
Voilà cher Bernie, où en est notre Agora en ces jours ténébreux, délation, accusation, flicage et autres mots ballotés. Je regrette de ne pouvoir faire autrement que de réagir, car laisser l’intelligence artificielle de Mr Fatizo à la dérive, risque de porter préjudice au-delà de ces pages, et ternir ce qui encore une fois nous réunis tous ici : AgoraVox.
Gageant que vous seriez assez grand pour vous défendre seul, je veillerais à ne pas mélanger nos PERSONNALITES DISCTINCTES, mais je ne peux vous garantir de ne pas vous défendre tout de même.
P.S : Si Mr Fatizo s’en prend à moi, et qu’il nous confond, cela s’en prend directement à vous, car je suis nouvellement inscrit et vous depuis bien plus longtemps. Donc à travers ces attaques c’est à vous qu’il s’adresse. Tout cela mérite hautement d’être démêlé, car il vous accuse alors, lisez bien, d’être « un pauvre malade mental » ! De plus, et c’est là le plus dénigrant, il abuse d’un tutoiement auquel il ne fut pas invité. Je me garderais bien de faire de même, afin de conserver mes distances avec ce genre de propos forts minables, et non formidables.
Ce message fera évidemment office de trace, et ne manquera pas de provoquer un fou rire général dans peu de temps. Je vous le réaffirme Mr Fatizo, « Bernie » et « Télé ton destin » ne sont pas la même personne physique cachée derrière un pseudo. Espérons que la chaleur nous accompagne, et que la douche ne vous soit pas trop froide. -
Bernie 15 août 2013 12:15
Bonjour télé ton destin,
J’ai pris connaissance des propos accusatoires de Mr fatizo, sur l’autre fil, il y a quelques heures à peine. Nulle colère, mais plutôt un énorme éclat de rire. Le « J’accuse ! » zolaien se transforme vite en pétard mouillé.
Pour mon absence, rien de grave, mais plutôt un travail chronophage qui certains soirs ne me laisse même pas la force d’entrer dans l’arène,(attention, je parle tauromachie, donc tout mot concernant cette discipline vous est dorénavant interdit, ainsi que tout ce qui représente les gladiateurs et le monde romain) et un soir où j’ai diné avec une amie, et je suis rentré trop tard pour me connecter. Me voilà qui déroule mon agenda pour satisfaire la curiosité délirante d’un pisse copie.
Aurions nous affaire à un remake de l’inspecteur Clouseau ? Inspecteur Fatizo, je présume ?
Enfin, je vous rejoint sur la gravité que ce types d’amalgames peuvent produire, pendant des périodes troubles de l’histoire, mais même de nos jours. Combien de délations d’honnêtes citoyens au fisc parce que leur voisin cache surement quelque chose. Il ferait mieux de s’occuper de leurs cul.
Rions-en pour ne pas en avoir à en pleurer
Bonne journée... (arf, 3 petits points, je serai aussi rosemar ? vite un doliprane, je me perds avec toutes mes identités)
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agent orange 15 août 2013 23:26
« Touch of evil » (La Soif du Mal), reste d’actualité... Les méthodes du FBI n’ont pas beaucoup changé depuis (fabrication de preuves).
Welles était un visionnaire et c’est son émission radiophonique La Guerre des Mondes qui le rend célèbre. Citizen Khane lui valu beaucoup d’ennuis de la part du magnat de la presse Hearst.