A
la racine, le problème est l’absence de toute politique de fond des transports
en général. Expliquée, discutée raisonnée et évaluée. Pendant ce temps là, les
grandes entreprises de travaux publics et de constructions automobiles et leurs
actionnaires expliquent à nos représentants politiques quoi penser et ce que
l’on peut faire. À charge pour eux ensuite de gérer au mieux les conséquences
au gré des événements et des mises en scène médiatiques dont les instruments sont
heureusement contrôlés par une partie
des mêmes et leurs homologues.