mardi 29 novembre 2011 - par mortelune

Comment David Rockefeller et ses amis dirigent le monde

La commission Trilatérale contrôle le gouvernement Obama

L’oligarchie US défend ses intérêts de classe et garde le contrôle du pouvoir politique à l’échelle nationale en s’appuyant sur des sociétés secrètes telles que les Skull & Bones ou des clubs sélects comme le Council on Foreign Relations(CFR). Au plan international, elle utilise des groupes élitistes, par exemple le groupe de Bilderberg qui cherche à intégrer à son projet les oligarchies d’autres pays pour l’émergence d’une gouvernance mondiale. Le rôle de la Commission Trilatérale a récemment été remis en lumière avec la nomination du chef de sa section Europe, Mario Monti, comme Premier ministre italien.
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Kissinger à la Maison-Blanche pour coordonner avec Obama les travaux de la Trilatérale, à gauche George Shultz
Maison Blanche, 20 mai 2009.
Pendant ses dix premiers jours de sa présidence, Barack Obama a nommé onze hauts fonctionnaires issus de la Commission trilatérale à des postes clés de son administration, introduisant ainsi une puissante force extérieure dans le leadership de son gouvernement, mais avec un agenda de base qui porte plutôt préjudice aux citoyens des États-Unis.
Outre ces nominations, Obama a appelé à la Maison-Blanche plusieurs membres illustres de la Commission trilatérale, dont Zbigniew Brzezinski, son principal conseiller en politique extérieure. Brzezinski est cofondateur de la Commission (1973) avec David Rockefeller.
 
La Commission trilatérale a une grande responsabilité dans l’état actuel du monde. Elle fut constituée en 1973 comme un forum mondial de « penseurs », devenus les artisans du tournant multinational pris par le capitalisme dans le sens d’une radicalisation du courant de pensée keynésien le plus classique de l’économie : rôle de l’État, intensification de l’exploitation mondiale du travail, hégémonie militaire mondiale des pays les plus riches de la planète et de leurs compagnies transnationales.
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Henry Kissinger avec Sarah Palin, John McCain, Hillary Clinton et George Bush Jr.
La Trilatérale est une sorte de grand parti politique mondial. D’après son site Web, elle fut créée par des personnalités du Japon, de l’Union européenne, et d’Amérique du Nord (États-Unis et Canada) dans le but de promouvoir et de construire une coopération plus étroite entre les principales régions démocratiques et industrialisées du monde [en opposition au camp socialiste de l’époque] pour partager les responsabilités dans la direction d’un système international élargi.
Selon sa liste officielle, la Commission trilatérale compte 424 membres, dont 87 seulement sont États-uniens. Ainsi, au cours de ses deux premières semaines à la Maison-Blanche, le nombre de représentants gouvernementaux désignés par Obama constitue 12 % de la représentation des États-Unis à la Commission. Il entretient bien d’autres liens avec la Trilatérale, comme par exemple la présence en qualité de membre permanent de William Jefferson Clinton, le mari de la Secrétaire d’État, Hillary Clinton. Voici les onze personnes désignées par Obama :
 Tim Geithner, secrétaire au Trésor
 Susan Rice, ambassadrice auprès des Nations unies
 le général James L. Jones, conseiller à la Sécurité nationale
 Thomas Donilon, conseiller pour les questions de Sécurité nationale
 Paul Volker, président de la Commission pour la reprise économique
 L’amiral Dennis C. Blair, directeur du Renseignement national
 Kurt M. Campbell, secrétaire d’État adjoint pour l’Asie et le Pacifique
 James Steinberg, Député secrétaire d’État
 Richard Haass, envoyé spécial du Département d’État
 Dennis Ross, envoyé spécial du Département d’État
 Richard Holbrooke, envoyé spécial du Département d’État
L’administration Obama et la Commission trilatérale entretiennent bien d’autres liens. À titre d’exemple, signalons que le groupe informel de conseillers du secrétaire au Trésor, Tim Geithner, réunit les membres de la Commission : E. Gerald Corrigan, banquier et ancien président de la Réserve fédérale ; Paul Volker, aujourd’hui à la tête pensante de la relance économique d’Obama ; Alan Greenspan, le dernier responsable de la Réserve fédérale, et Peter G. Paterson, éminent banquier et investisseur.
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Giscard d’Estaing et la Trilatérale
Frais émoulu de l’Université, Geithner se mit immédiatement au service du « trilatéraliste » Henry Kissinger, aux bureaux Kissinger & Associates. Un autre membre de la Commission trilatérale, le général Brent Scowcroft, un commerçant devenu banquier, fut conseiller officieux d’Obama et mentor de l’actuel secrétaire à la Défense Robert Gates. Robert Zoelick, ancien secrétaire au Commerce et actuel président de la Banque mondiale nommé sous l’administration G.W. Bush, est lui aussi membre de la Commission.
Le site Web signale : « La Commission trilatérale est composée de près de 400 noms illustres du monde des affaires, des médias, des universités, des services publics (à l’exception des ministres de cabinets nationaux actuels), des syndicats et d’autres organisations non gouvernementales des trois régions. Trois présidents (un dans chacune des trois régions du monde susmentionnée), des présidents régionaux, un vice-président et des directeurs constituent la direction de la Commission Trilatérale, en collaboration avec un Comité exécutif incluant une quarantaine d’autres membres ».
Depuis 1973, la Commission trilatérale se réunit régulièrement en séances plénières pour discuter de manifestes politiques élaborés par ses membres. Les politiques sont débattues jusqu’à obtention d’un consensus. Les membres regagnent leurs pays respectifs pour appliquer ou faire appliquer les politiques ainsi approuvées par consensus. L’objectif initial du groupe était l’instauration d’un « Nouvel ordre économique international » [ce qu’on appelle aujourd’hui la mondialisation]. Son discours actuel encourage une « coopération plus étroite entre les régions industrialisées démocratiques dominantes du monde, qui assument des responsabilités partagées dans la conduite d’un système international élargi ».
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Prix Nobel de la Paix (comme Obama), Henry Kissinger est impliqué dans plusieurs génocides.
Depuis l’administration Carter, les membres de la Commission trilatérale ont exercé leur influence à de hauts postes contrôlés par le gouvernement des États-Unis : six des huit derniers présidents de la Banque mondiale ; les présidents et les vice-présidents des États-Unis (à l’exception d’Obama et de Biden) ; plus de la moitié de l’ensemble des secrétaires d’État des États-Unis ; et les trois quarts des secrétaires à la Défense.
Durant la période 2009-2012, l’agenda de la Commission reposera sur deux grandes convictions. Premièrement, la Commission trilatérale est appelée à jouer un rôle plus important que jamais pour préserver la direction partagée des pays riches dans un système international élargi. Deuxièmement, la Commission « élargira son cadre pour refléter des changements plus vastes dans le monde ». Ainsi, le Groupe japonais s’est transformé en Groupe Asie-Pacifique, qui inclut des membres venus de Chine et d’Inde, tandis que des personnalités du Mexique ont rejoint le Groupe Amérique du Nord (Canada et États-Unis). Et le Groupe Europe continue d’augmenter avec l’élargissement de l’Union européenne.
 
 
Mise à jour de Patrick Wood (d’August Review.com)
La question de l’« influence indue » nous interpelle, lorsque l’on constate le nombre de membres de la Commission trilatérale nommés à des postes élevés au sein de l’administration Obama. Ils ont la mainmise sur des domaines liés à nos besoin nationaux les plus urgents : crise financière et économique, sécurité nationale et politique extérieure.
Le conflit d’intérêts est flagrant. Avec 75 % des membres non-US, quelle influence cette écrasante majorité continue-t-elle d’exercer sur les 25 % restant ? Par exemple, lorsque Chrysler s’est placé sous la protection et le contrôle de la loi états-unienne sur les faillites dans le cadre du plan de sauvetage de l’administration Obama, un accord a été conclu à la hâte avec le groupe italien Fiat pour sauver cette compagnie. La personne désignée pour conclure l’accord fut le secrétaire au Trésor ou ministre des Finances Timothy Geithner, membre de la Commission trilatérale. Seriez-vous surpris si on vous disait que le président de Fiat, Luca di Montezemolo, est lui aussi un membre de la Commission ? Le Congrès aurait dû interdire ce partenariat au moment où il a été suggéré.
Beaucoup des membres européens de la Commission trilatérale sont aussi de hauts dirigeants de l’Union européenne. À quelles oscillations politiques et économiques sont-ils soumis par la branche états-unienne ?
Si on faisait un sondage sur la question, la grande majorité des ressortissants US diraient que les affaires des États-Unis leur appartiennent, et qu’ils doivent se fermer à toute influence étrangère dictée par des programmes non étasuniens. Mais l’immense majorité des citoyens US n’a pas la moindre idée de ce qu’est la Commission trilatérale, et encore moins de l’énorme pouvoir qu’elle a usurpé depuis 1976, quand Jimmy Carter a été le premier membre de la Trilatérale élu président des États-Unis.
À la lumière de la crise financière actuelle sans précédent, les « trilatéralistes » seraient voués à l’exécration s’ils lisaient les déclarations de Zbigniew Brzezinski (cofondateur de la Commission avec David Rockefeller) consignées dans son livre paru en 1971 intitulé « Entre deux âges : le rôle de l’Amérique à l’ère technotronique ». Brzezinski signalait : « La nation-État, en tant qu’unité fondamentale de la vie organisée de l’homme, a cessé d’être la principale force créatrice : les banques internationales et les corporations transnationales sont [à présent] les acteurs et les architectes au sens que prenaient autrefois ces termes appliqués à la nation-État ». [Autrement dit, il a jeté au placard les concepts de base d’État-nation, de souveraineté des pays et du rôle de l’État dans la société, pour défendre la vision d’un monde gouverné par les banques et les corporations transnationales].
C’est exactement ce à quoi nous assistons dans toutes les sphères. Les banques et les corporations mondiales sont des cercles qui se resserrent autour de la nation-État, y compris les États-Unis. Elles n’ont aucun respect pour aucun processus, ni pour le Congrès, ni pour la volonté des peuples.
Pourquoi ont-elles maintenu les citoyens US dans l’ignorance sur un sujet qui ébranle les fondations mêmes de notre pays ?
 
La Trilatérale contrôle les grands médias
La réponse est simple : on compte parmi les patrons des grands médias de nombreux membres de la Commission trilatérale, et ils peuvent détourner les informations pertinentes mais dérangeantes. Parmi ces décideurs figurent :
 David Bradley, président d’Atlantic Media Company.
 Karen Elliot House, ex-vice-président senior de Dow Jones & Company, et éditrice du Wall Street Journal, qui appartient à Rupert Murdoch.
 Richard Plepler, coprésident de HBO.
 Charlie Rose, de PBS, Service public de radio et télévision des États-Unis.
 Fareed Zakaria, rédacteur du Newsweek
 Mortimer Zuckerman, président de l’U.S. News & World Reports.
Il existe beaucoup d’autres connexions avec la haute direction des médias, résultant de l’appartenance ou de la participation aux leviers de commande des transnationales et de l’actionnariat commun. Pour plus d’information, consulter le livre publié originalement en 1978 « Trilaterals Over Washington », disponible [en anglais] en format électronique et gratuitement sur www.AugustReview.com. Ce site contient aussi beaucoup d’articles qui traitent divers aspects de l’hégémonie de la Commission trilatérale aux Etats-Unis et dans le monde.
 
 
Coup d’état Italien : La commission Trilatérale fait main basse sur l’Italie
« Nous arrivons vers l’émergence d’une transformation globale.
Tout ce dont nous avons besoin, c’est de LA CRISE MAJEURE
et le peuple acceptera le Nouvel Ordre Mondial »
David Rockefeller au C.F.R. (Council on Foreign Relations). 
 
 
Reprenons la citation de Rockefeller : « Nous arrivons vers l’émergence d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de LA CRISE MAJEURE et le peuple acceptera les hommes du Nouvel Ordre Mondial ». 
 
De là à penser que la crise de la dette a été préparée de longue date il n'y a qu'un pas. La commission Trilatérale serait-elle décidée à ruiner les ménages sur l'autel de la mondialisation ?
Ce qui vient de se passer en Grèce puis en Italie est peut être une avancée décisive. Une avancée avec la nomination de Mario Monti (Président de la Commission Trilatérale zone Euro) vers l' émergence de ce que Nicolas Sarkozy nous a promis en ces termes en janvier 2008 "Nous irons ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial et personne , je dis bien personne ne pourra s' y opposer". 
 

 
On comprend mieux la nécessité de faire tomber par tous les moyens (y compris la guerre) les gouvernements des pays du monde qui ne jouent pas le jeu. 
 
 
Trente ans d’une institution secrète

Les Pouvoirs opaques de la Trilatérale
 
Dirigeants des multinationales, gouvernants des pays riches et partisans du libéralisme économique ont vite compris qu’ils devaient se concerter s’ils voulaient imposer leur vision du monde. Dès juillet 1973 (la même année - création de l’argent dette dans un contexte de mondialisation financière sans limites - la Banque de France abandonne son rôle de service public), David Rockefeller lance la Commission trilatérale, qui va marquer le point de départ de la guerre idéologique moderne. 
 
Il y a trente ans, en juillet 1973, à l’initiative de M. David Rockefeller, figure de proue du capitalisme américain, naissait la Commission trilatérale. La Commission entend alors devenir un organe privé de concertation et d’orientation de la politique internationale des pays de la triade (Etats-Unis, Europe, Japon). Sa charte fondatrice résume : « Centrée sur l’analyse des enjeux majeurs auxquels font face l’Amérique du Nord, l’Europe de l’Ouest et le Japon, la Commission s’attache à développer des propositions pratiques pour une action conjointe. Les membres de la Commission regroupent plus de 200 distingués citoyens provenant des trois régions et engagés dans différents domaines . »
La création de cette organisation opaque, où se côtoient à huis clos et à l’abri de toute compromission médiatique des dirigeants de multinationales, des banquiers, des hommes politiques, des experts de la politique internationale, ou encore des universitaires, coïncide à ce moment avec une période d’incertitude et de turbulence dans la politique mondiale. La Trilatérale s’impose comme un des principaux instruments, soucieuse à la fois de protéger les intérêts des multinationales et d’« éclairer » par ses analyses les décisions des dirigeants politiques.
L’élite rassemblée au sein de cette institution fort peu démocratique ­ et que la démocratie inquiète dès lors que des groupes autrefois silencieux s’en mêlent ­ va s’employer à définir les critères d’une « bonne gouvernance » internationale. Elle véhicule un idéal platonicien d’ordre et de supervision, assuré par une classe privilégiée de technocrates qui place son expertise et son expérience au-dessus des revendications profanes des simples citoyens.
Les thèmes débattus au sein de cette oligarchie de la politique internationale, dont les réunions annuelles se déroulent en différentes villes de la Triade, le sont dans une discrétion qu’aucun média ne semble plus vouloir troubler. Chaque sujet fait l’objet de rapports annuels (The Trialogue) et de travaux thématiques (Triangle Papers) réalisés par des équipes d’experts américains, européens et japonais triés sur le volet. Edités régulièrement depuis une trentaine d’années, ces documents publics traduisent l’attention de la Trilatérale à des problèmes globaux censés transcender les souverainetés nationales et appeler l’intervention des pays riches : réforme des institutions internationales, mondialisation des marchés, environnement, finance internationale, endettement des pays pauvres, etc.
Ces interventions s’articulent autour de quelques idées fondatrices qui ont été largement relayées par le politique.

- La première est la nécessité d’un « nouvel ordre international ». Les attentats du 11 septembre 2001 ont fourni une nouvelle occasion de rappeler, lors de la rencontre de Washington en avril 2002, la nécessité d’un « ordre international » et d’« une réponse globale » auxquels les principaux dirigeants de la planète sont enjoints de collaborer sous la houlette américaine. Lors de cette réunion annuelle de la Trilatérale, MM. Colin Powell (secrétaire d’Etat américain), Donald Rumsfeld (secrétaire à la défense), Richard Cheney (vice-président) et Alan Greenspan (président de la Réserve fédérale) étaient présents.

- La seconde idée fondatrice, qui découle de la première, est le rôle tutélaire des pays de la triade, en particulier des Etats-Unis, dans la réforme du système international. Les autres pays devront l’intégrer en acceptant le commandement qu’il s’est donné. L'Intervention américaine en Irak, l'appui à la politique israélienne, etc. en sont des exemples.

- La troisième caractéristique fondatrice de la Trilatérale : son aversion pour les mouvements populaires. Elle s’était exprimée dans le célèbre rapport de la Commission sur la gouvernance des démocraties rédigé par Michel Crozier, Samuel Huntington et Joji Watanuki.
Dès 1975, ce texte dénonçait les « excès de la démocratie » qu’exprimaient aux yeux des auteurs les manifestations contestataires de l’époque. Celles qui, un peu comme aujourd’hui, mettaient en cause la politique étrangère des Etats-Unis (rôle de la CIA dans le putsch chilien, guerre du Vietnam, etc.) et réclamaient la reconnaissance de nouveaux droits sociaux. Ce rapport provoqua à l’époque nombre de commentaires indignés, qui dirigèrent leurs feux contre l’administration démocrate du président Carter, qui fut membre de la Trilatérale (comme, plus tard, le président Clinton).
 
Loin d’être un « vieux serpent de mer » qui referait surface au ravissement de quelques adeptes d’ésotérisme et de « théorie du complot », la Commission trilatérale est une institution bien établie, dont la discrétion facilite la collusion entre responsables politiques et grandes entreprises. Selon M. David Rockefeller : « Les idées mises en avant par les rapports de la Commission trilatérale sont devenues des politiques officielles ».
Ainsi se dessine la trame d’un pouvoir diffus, opaque, presque insaisissable, qui tisse ses liens à travers des clubs fermés et des rencontres internationales dont le forum de Davos représente l’expression la plus ostentatoire. Dans ces lieux de rencontres, d’échanges, de tractations gravitent les mêmes protagonistes, s’élaborent les analyses et les compromis qui précèdent souvent les grandes décisions. La Commission trilatérale est une des pièces de cet échiquier polymorphe. Elle consolide l’alliance entre le pouvoir des multinationales, de la finance et de la politique, grâce à un réseau d’influences dont les ramifications s’étendent aux principaux secteurs de la société.
 
 
En écrivant cet article je ne puis m'empêcher de penser au livre de Aldous Huxley « le meilleur des mondes »
Dans le monde décrit par l'auteur, l'immense majorité des êtres humains vit au sein de l'État Mondial – seul un nombre limité de sauvages est regroupé dans des réserves. Bien que l'enseignement de l'Histoire soit jugée parfaitement inutile dans ce monde, on apprend néanmoins que les sociétés anciennes ont été détruites par un conflit généralisé connu sous le nom de « Guerre de Neuf Ans ».
 
 
Sources :

« August Review.com », 30 janvier 2009, « Obama : Trilateral Commission Endgame », par Patrick Wood.
Etudiant chercheur Sarah Maddox.
Tuteur : Peter Phillips, Université d’Etat de Sonoma.
Patrick Wood (August Review.com) / Réseau Voltaire / Projet censuré.
David Rockefeller, Georges Berthoin et Takeshi Watanabe, préface aux Task Force Reports : 9-14, New York University Press, 1978, p. IX.
Olivier Boiral Professeur à l’université Laval (Canada) 
Alain Cotta, membre de la Trilatérale
Alain Cotta, membre de la Trilatérale flingue la monnaie unique
La liste des de la commission Trilatérale en Europe
La liste des membres de la commission Trilatérale en Amérique du nord
La liste des membres de la commission Trilatérale dans la zone Asie/Pacifique


148 réactions


  • Robert GIL ROBERT GIL 29 novembre 2011 17:11

    sacré David, il fait parti de tout les bons clubs.....
    http://2ccr.unblog.fr/2010/10/19/le-bilderberg-fantasme-ou-realite/


  • Mor Aucon Mor Aucon 29 novembre 2011 17:19

    Comment fait-on pour écrire sans sourciller que : « [le] courant de pensée keynésien le plus classique de l’économie : rôle de l’État, intensification de l’exploitation mondiale du travail, hégémonie militaire mondiale des pays les plus riches de la planète et de leurs compagnies transnationales. »

    Avez-vous lu Keynes ou vous limitez-vous à exacerber la violence des foules , telle une tricoteuse de 1789, sur toutes les places publiques ( infoguerilla.fr, sos-crise.over-blog.com, anendtoempire.wordpress.com ,babylon-burning.blogspot.com, le réseau du faisan [voltai] rien, etc...) ? Patrick Wood ou Mortelune ?.. Du Faisan ou du Couillon ? De l’aile ou de la cuisse ?


    • symbiosis symbiosis 29 novembre 2011 19:07

      Demande à Patrick Wood


    • mortelune mortelune 30 novembre 2011 06:42

      @Mor Aucon

      C’est quoi qui vous gène dans l’article ? 
      - Mettez-vous encore en doute l’existence de la commission Trilatérale ?
      - Avez-vous encore des doutes sur le fait que Rockefeller a créé cette commission ?
      - Avez-vous encore des doutes sur les projets de cette commission ?
      - Avez-vous encore des doutes sur l’aide qu’apporte les gouvernements à la Trilatérale ?
      - Avez-vous encore des doutes sur ce qui s’est passé en Libye ? Et sur ce qui se passe en Syrie ?
      - Avez-vous encore des doutes sur le rôle des armées nationales et de l’Otan en particulier ?
      - Avez-vous encore des doutes sur l’origine de la crise ?
      Je n’ai aucun doute de vous avoir donné des informations qui vont vous faire douter et c’est déjà pas mal...



    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 12:08

      Trilatéralistes vous va comme compliment ?


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 14:50

      Ah ! Je n’avais pas vu que vous radotiez et répétiez votre question. Votre article est à l’image de la vidéo de Sarkozy que vous avez voulu monter pour illustrer votre délire. C’est à se tordre de rire de voir ce pathétique idiot s’essayer à un discours rooseveltien pour entrer dans l’Histoire de son vivant et de vous voir interpréter son cirque comme une preuve du grand complot NWO. Si les illuminatis comploteurs sont tous du même calibre, on va gagner la révolution les doigts dans le nez. Pas de soucis à se faire.


    • Traroth Traroth 30 novembre 2011 16:14

      @Mor Aucon : en voyant l’état de la France après seulement 5 ans de sarkozysme, j’en suis moins sûr que vous !


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 18:19

      Oui, bon. C’est vrai que la capacité de nuisance de l’idiot est inversement proportionnelle à son QI. Mais cela n’en fait pas un Fu Manchu, non plus.


    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 22:56

      Bon Gov. Sachisme !


  • iris 29 novembre 2011 17:42

    ou l’art de tirer les ficelles !!
    très bon article -merci



  • ON SAVAIT BIEN QU ’ILS ETAIENT DERRIERE TOUT CELA ....LA CRISE ET CIE..LES

    ROTSCHILD...ROCKFELLER...KISSINGER...GOLDMAN SACHS...LEHMAN BROTHERS

    SARKOZY...MERKELL. societe generale....BNP...

    TOUS AUX ORDRES DE LA FINANCE INTERNATIONALE.

    SOUTENONS LES INDIGNES...DE WALL STREET DE LA DEFENSE ... DE MADRID DE

     LONDRES ET DE TOUTES LES CAPITALES DU MONDE

    INDIGNEZ VOUS ET S’ IL LE FAUT REVOLTEZ VOUS CONTRE CES MONSTRES CUPIDES...


  • Richard Schneider Richard Schneider 29 novembre 2011 18:02

    à l’auteur :

    Très bon article - un peu long. Peut-être parce qu’il se veut le complet possible.
    Certes, j’ai du mal à partager entièrement tous vos points de vue, mais j’ai appris beaucoup de choses.
    En tout cas, vous démontrez parfaitement que cette « mondialisation heureuse » est un sorte de magmas, indéfinissable, qui profite à un petit nombre de privilégiés et abruti littéralement les peuples.
    Je tiens à vous féliciter pour les sources que vous avez noté en fin d’article.


    • ObjectifObjectif 15 avril 2012 23:37

      Je soutiens ces compliments.

      Il faut bien comprendre qu’il y a une seule action que nous faisons tous pour le moment, qui permet à ces oligarches de maintenir et accroitre leur pouvoir : accepter leurs monnaies !

      Pour mieux comprendre : http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/pour-un-systeme-monetaire-112936

      Tant que vous acceptez leurs monnaies en échange de votre travail ou de vos biens, et tant que vous leur implorez des « crédits », vous augmentez leur pouvoir, car vous leur donner votre propre pouvoir sur vous-même : vous donnez votre liberté et vous devenez leur esclave consentant...


  • citoyenrené citoyenrené 29 novembre 2011 18:22

    merci pour cet article très détaillé et documenté


  • Jason Jason 29 novembre 2011 18:30


    Je ne veux pas défendre ce genre d’associations.

     je dirai simplement que le droit de réunion, publique ou privée existe, qu’on le veuille ou non. Et que le secret est la marque de fabrique de ces associations.

    Maintenant, ce qu’il faut regarder, c’est le fait que le capital connaît une forme d’internationalisation jamais égalée, tandis que le travail et les mouvements qui le représentaient ne se sont jamais vraiment internationalisés. On est passé du communisme dans un seul pays (URSS) au capital dans le monde entier.

    Nous sommes en face d’une défaite d’un mouvement né au XIXème, et je crains bien que ça ne changera pas avant longtemps.

    Scandale ou pas. S’indigner, quand on n’a aucun pouvoir à l’échelle mondiale, ça ne sert à rien.

    Désolé, mais je ne crois plus au pouvoir des urnes. C’est trop frelaté. Et, je n’ai rien d’autre à proposer.


    • Richard Schneider Richard Schneider 29 novembre 2011 18:44

      @Jason :

      Je souscris entièrement à votre remarque qui est frappée du coin du bon sens :
      « Maintenant, ce qu’il faut regarder, c’est le fait que le capital connaît une forme d’internationalisation jamais égalée, tandis que le travail et les mouvements qui le représentaient ne se sont jamais vraiment internationalisés. On est passé du communisme dans un seul pays (URSS) au capital dans le monde entier. »
      Ce capitalisme mondialisé a complètement annihilé les forces réellement capables de lui résister.
      Complètement « choqués », les peuples sont manipulés et divisés. Ce n’est certes pas par les urnes que viendra le salut. Ni par la rue - à moins d’une extraordinaire prise de conscience internationale ...
      En réalité, je n’ai pas, moi non plus, grand-chose à proposer.
      Amicalement,
      RS

    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 12:03

      C’est pas l’idéologie qui compte pour un mondialiste si les lieux de production sont séparé du lieu de consommation. C’est une technique très ancienne de domination impériale dont nous a sauvé le concept novateur de nation sans expansionnisme.


    • al.terre.natif 30 novembre 2011 15:41

      « S’indigner, quand on n’a aucun pouvoir à l’échelle mondiale, ça ne sert à rien »

      C’est bien la nature du piège dans lequel nous sommes. Nous avons l’impression que face à cette monstruosité globale, la seule solution possible devrait être globale.... et donc qu’il nous faut passer par un gouvernement, ou bien par l’Europe, ou encore par l’ONU ... et donc que nous, petites fourmis, nous n’avons aucun pouvoir.

      Je suis persuadé (peut être à tord) que la (les) solutions sont avant tout locales.
      (voir d’ailleurs ce docu « Solutions locales pour un désordre global »)

      Petite explication : 
      - il faut que beaucoup agisse pour que les choses changent.
      - Au niveau de l’individu les seuls actions concrètes et répétées sont locales !
      - Plusieurs changements locaux amènent à des changements plus globaux.
      - Donc agir au niveau local, avec ses propres convictions et moyens, est la seule solution pour changer réellement les choses.

      Pour aller plus loin, il n’existe pas 1 solution miracle, mais une multitude de petits bouts de solution. La diversité est une force, et les actions qui paraissent contradictoires au niveau strictement local sont parfois convergentes à un niveau plus global... 

      Tu ne crois plus au pouvoir des urnes, moi non plus. Mais est-ce que ma proposition pourrait t’aider ?


    • Traroth Traroth 30 novembre 2011 16:18

      @Jason : le droit d’association, comme tout droit, a ses limites. Ou en tout cas devrait en avoir. Le problème de fond, c’est la participation de tous les secteurs d’influence à ces organisations : médias, politiques, chefs d’entreprises, hauts fonctionnaires, chercheurs, syndicalistes, et le fait qu’on y prend des décisions en secret. La véritable démocratie implique que les électeurs sachent ce que les élus font, afin de pouvoir choisir en connaissance de cause au moment des élections. C’est totalement incompatible avec le secret ! Le secret transforme l’exercice démocratique en simple comédie !


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 18:26

      Le secret vs la démocratie. C’est intéressant mais il faudrait développer car faire de la transparence totale une condition nécessaire de la démocratie me paraît un peu beaucoup extrémiste. Je ne défend pas plus le culte du secret que le culte de la transparence. Cette dichotomie me semble, elle aussi, un reflux judeo-chrétien mal digéré.


    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 22:37

      La question n’est même pas pour ou contre le secret en général mais de quel secret il s’agit. Améliorer le monde à sa façon (donc en se réservant le pouvoir) non merci. L’impérialisme n’est pas une blague.


    • ObjectifObjectif 16 avril 2012 23:15

      @ al.terre.natif : « Je suis persuadé (peut être à tord) que la (les) solutions sont avant tout locales.

      (voir d’ailleurs ce docu »Solutions locales pour un désordre global")

      Petite explication : 
      - il faut que beaucoup agisse pour que les choses changent.
      - Au niveau de l’individu les seuls actions concrètes et répétées sont locales !
      - Plusieurs changements locaux amènent à des changements plus globaux.
      - Donc agir au niveau local, avec ses propres convictions et moyens, est la seule solution pour changer réellement les choses.
      "

      J’arrive à la même conclusion. Une action nécessaire est de refuser d’utiliser des monnaies arnaques, c’est à dire des monnaies que seuls les banquiers privés peuvent créer.

      cf http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/pour-un-systeme-monetaire-112936

      Il nous faut une ou des monnaies équilibrées entre les citoyens.


  • Marc Blanchard Marc Blanchard 29 novembre 2011 18:52

    On a les noms.
    Peut être devrions nous organiser et nous cotiser pour engager des mercenaires. Pour cela il suffit d’aller en Libye ou e Syrie. Il y en a plein.
    400 mecs et sales bonnes femmes style Hilary à éliminer. C’est ce qu’ils arrivent à faire en 2 heures à Gaza à Tripoli, au Yémen et dans de nombreux autres endroit du monde.


    • Daniel D. Daniel D. 29 novembre 2011 23:10

      Ou bien finir le travail inachevé en 1789 et re-meriter notre réputation de leaders intellectuels dans les changements actifs.

      Tant qu’on en seras à refaire le ménage, occupons nous aussi des coupables de hautes trahisons que sont certains politiques, ainsi que des grands patrons du CAC40 (avec leurs légions de sous directeurs), les éditeurs des journaux télé, ainsi que tout ceux qui ont prêté leur image pour véhiculer la propagande !

      Ça vas relancer l’emploi si on libère ces postes occupé par ces vendus, et ils seront remplacés par des gens normaux qui ne demanderons pas des salaires astronomiques cette fois ci(sous peine de rejoindre leurs prédécesseurs)

      L’armée, la police, la gendarmerie sont des citoyens comme nous, tireront ils sur ordre ? qui leur donneras l’ordre ? Combien rejoindrons nos rangs, car eux aussi souffrent et ils ont des familles, des amis plus réels et humains que ce pseudo nouveau monde dont on voit déjà la forme et qui détruit l’humanité pour se mettre en place.

      Sans les tetes leur nouvel ordre mondial n’existeras pas, et ils ont attaqués leurs propres peuples, où donc pourront ils se cacher ?

       Pour eux c’est la victoire ou la mort, et de facto pour nous ce seras bientôt la révolte ou l’esclavage !

      Le futur ne promet pas le bonheur pour demain, mais bien le sang et les larmes, quoi qu’il se passe.

      Quelle tristesse.

      Daniel D.



    • ok JE SUIS VOLONTAIRE

      1 EURO POUR LA TETE DE ROCKFELLER

      100 EUROS POUR LA TETE DE SARKO

      OBELIX


    • Talion Talion 2 décembre 2011 01:05

      De toutes façons, une fois que la crise aura fait son œuvre et créé toute la cohorte de miséreux que l’on peut prévoir, je pense qu’il n’y a pas un seul endroit sur Terre ou ces connards seraient susceptible de partir se réfugier (sauf peut-être l’Antarctique, et encore...).

      Tout le monde voudra leur faire la peau... Et sera prêt à le faire gratuitement qui plus est...

      Pour ma part, si jamais je tombe sur un de ces salopards après l’effondrement, je pense que je ferai durer le plaisir.


  • Jason Jason 29 novembre 2011 18:57


    Bonjour R.S.

    Ce qui est navrant, c’est ce qui est dans « l’air du temps ». 

    A savoir que des élections (de quelque nature qu’elles soient) peuvent changer l’hégémonie de la finance internationale sur les Etats. L’imposture absolue consistant à faire croire aux foules que les représentants qu’ils éliront ont un pouvoir effectif sur la finance mondiale, ou qu’ils peuvent en atténuer les effets pervers. Les représentants que les électeurs éliront (les fameux candidats) brandissent un pouvoir qu’ils n’ont pas. Et ils n’en parlent jamais.

    Il faudra bien un jour que les électeurs se rendent compte que la fatalité financière mondiale n’en est pas une. A moins que l’appareil de propagande ambiant ne les tétanise pour longtemps.

    Dans 100 ou 200 ans ?


  • paul 29 novembre 2011 19:06

    Les naïfs et les imbéciles qui accusent de complotisme ceux qui parlent du nouvel ordre mondial
    et de l’oligarchie , devraient lire cet article .
    Voir aussi l’article de Médiapart : « les 147 entreprises qui dirigent le monde » .
    Informer le plus de gens possible sur le dessous des cartes ( bonjour JC. Victor ) est déjà un bel objectif .


  • lauraneb 29 novembre 2011 19:18

    mais c’est justement parce qu’il est devenu unique (bien qu’il se cherche et se crée des ennemis) qu’il s’effondre par son épicentre l’argent, avalant tout comme un trou noir ...Le capitalisme est basé sur une opposition qui permet de spéculer sur la valeur de la reussite de l’un ou de l’autre. quand celui qui a gagné possede tout, sans opposition pour se comparer, la valeur s’effondre inevitablement...Quand il ne reste plus que vous en face du monopoly, quand vous avez tout gagné, que vaut vos gains ??? puisque vous etes seul à les posseder....


    • picpic 30 novembre 2011 02:04

      C’est précisément à ça que travail monsanto, éviter qu’on ne puisse sortir du jeu.
      Si tu possèdes l’alimentation, la, tu as tout ad vitam et personne peut quitte la partie !
      Pourquoi monsanto, au nom d’une lutte contre la famine, fabrique des semences...« stériles » ?
      C’est un non sens, cela produit le contraire...C’est pour cela d’ailleurs qu’ils ne mettent pas en avant ce...« détail » dans leurs semences, mais leurs soit disant efficacités techniques.

      J’imagine bien un scénario de sf, ou une compagnie sauve l’humanité d’un fléau en nous implantant à tous des supers poumons artificiels, quelques générations plus tard, c’est dès la naissance qu’on implante les super organes...Cette société est toute puissante, car il faut non seulement rembourser nos poumons implanté à la naissance, mais payer régulièrement pour leur entretient...
      Le final, c’est qu’on découvre que la fameuse maladie fut créée par la compagnie elle même.


    • lauraneb 30 novembre 2011 09:28

      juste pour info, il est interdit en france de faire pousser les graines de blés naturels et de faire commerce de leur produit, j’ai été moi aussi tres supris d’apprendre cela....Vous pouvez le faire pousser uniquement dans un but scientifique...

      Ghana : afin de relancer l’economie, le fmi a offert un sac de 50kg de semence mosanto contre le droit de cette entreprise de s’y installer...75% des agriculteurs ont accepté...

      prix de la casserole d’eau : 1$....soit la moitié des revenus des familles pauvres....


  • Pierre-Marie Baty 29 novembre 2011 19:23

    J’aimerais signaler aux lecteurs de cet article que cet article est une copie (je n’ose dire « plagiat », car il y a sûrement des choses que j’ignore ?) d’un article écrit par Patrick Wood pour Project Censored, et publié il y a cinq jours sur le site du Réseau Voltaire.

    http://www.voltairenet.org/La-Commission-Trilaterale-controle

    Je trouve l’auteur(e) un peu cavalière de ne pas le préciser ... ?

    Sans vouloir vous offenser... C’est un très bon article, et je suis sûr que son auteur ne verrait aucune objection à ce qu’il soit repris, mais il me semble honnête de dire que ce n’est pas vous qui l’avez écrit.


    • mortelune mortelune 29 novembre 2011 21:11

      Le but est de rassembler les idées déjà développées par ailleurs pour que chacun puisse donner enfin un nom, un visage au véritable dictateur du monde

      Dans les sources j’ai cité Patrick Wood sur le réseau Voltaire et je vous remercie d’avoir mis le lien.
      Pour le reste j’espère que vous avez compris qui sont les véritables complotistes. Cet article n’a nul intention de nourrir mon égo mais juste de vous informer dans un but pédagogique.

    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 01:01

      Mais, ma bonne dame, remerciez-moi aussi. J’ai mis tous les liens, un peu plus haut, vers votre club international de conspiranoïaques. Ne mérite-je point un petit mot gentil ?


    • mortelune mortelune 30 novembre 2011 03:32

      @ Mor aucon

      Merci pour vos liens. Vous avez juste oublié de mettre un lien vers un bon psychiatre que vous pourriez consulter le plus rapidement possible. J’ai le sentiment que vous en avez grand besoin Monsieur. Je vous recommande aussi de retourner quelques temps à l’école pour vous instruire ça ne peut pas vous faire de mal. Ah oui, j’oubliais ! Si je trouve un lien vers un chirurgien qui fait des transplantations de cerveaux je vous communiquerai son site web. Vous verrez le monde tel qu’il est et pas comme TF1 vous le montre.

    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 12:06

      Pas si tord que ça d’incriminer Keynes vu l’opposition d’un de ses fans à toutes remises en question du système de contrôle supranational hors démocratie. 


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 14:58

      « Je vous recommande aussi de retourner quelques temps à l’école pour vous instruire ça ne peut pas vous faire de mal. »

      Sage conseil que je vais m’empresser de suivre puisque provenant d’une haute autorité intellectuelle spécialisée en économie financière et bancaire. Un moment ! Vous dites spécialisée et non pas spécialiste serait-ce un demi-aveu de votre mythomanie ?


    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 22:52

      Merci de prouver que les keynésiens ne veulent absolument pas change le système bancaire. Ce qui donne raison à Larouche sur la distinction entre Roosevelt et Keyenes.
       


    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 22:53

      Ah oui le systême bancaire c’est ça :

      - Votre dépôt vous rapporte 1,51 %/an.
      - La banque fonctionne avec 4% de solvabilité, soit 20X comme levier (et je compte pas les cds hors bilans qui permet d’encore augmenter le levier).

      - Eux espère 3 ou 4%/an comme return. Donc 4%X20=80% !!!

      - En plus, l’instabilité qui ressort d’avoir autant de masse monétaire sur rien (4% de mise de départ c’est rien) est encore plus juteuse que d’avoir une stabilité et des perspective seulement à très long terme de bénéf.

      Vous appelez ça comme vous voulez, un boulot si vous voulez ! MAIS rougir quand quelqu’un appelle ça une arnaque, ou pire, en appeler aux pires heures de l’histoire est vraiment pathétique.


  • lauraneb 29 novembre 2011 19:24

    Ils seront riches de monnaie mais comme cette monnaie n’aura plus cours dans le monde, ils n’auront rien, sinon du papier....

    Pour les battre changer de referentiel...une monnaie indivisible de l’individu, universelle dans le sens ou il est impossible pour quiconque de la posseder et sa base de calcul est la meme pour tous et pour chacun....


    • Pierre-Marie Baty 29 novembre 2011 19:43

      Le troc ? smiley

       

      Le premier homme qui a inventé la première monnaie d’échange a été le premier voleur.

      Imaginez qu’il existe cinq poissons en tout et pour tout sur Terre. Trois sont dans la mer, deux sont chez un pêcheur qui les vend (en l’occurence, qui les troque). Arrive un autre pêcheur qui lui dit : j’ai eu la flemme de pêcher aujourd’hui. Mais je te file ce coquillage en forme de poisson, et tu me donnes un poisson. Ce coquillage vaut un poisson, et quand j’aurai pêché un poisson et que tu auras mangé les deux tiens plus tu pourras me donner ce coquillage et je te donnerai un poisson à mon tour.

      Ce mec a créé quelque chose qui n’existait pas. Son coquillage étant censé représenter un poisson, il devrait donc y avoir six poissons sur Terre pour représenter la totalité de la richesse. Or il n’y en a que cinq. Il a donc créé ex nihilo un poisson qui n’existe pas.

      Réfléchissez plus loin : si tous les biens du monde sont achetables avec une fraction seulement de tout l’argent qui existe dans le monde, que représente le reste ?

       

      C’est le concept même de la monnaie qui est défectueux.


    • lauraneb 29 novembre 2011 20:18

      c’est bien ce que je dis


    • lauraneb 29 novembre 2011 20:20

      peu importe le nom monnaie, troc ou coquillage... c’est le referentiel qui est a changé


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 15:00

      « Le premier homme qui a inventé la première monnaie d’échange a été le premier voleur. »

      Ah... héritage judéo-chrétien quand tu nous tiens !


    • King Al Batar King Al Batar 30 novembre 2011 15:41

      Non je suis désolé de vous dire que le premier voleur est l’inventeur du concept de la propriété.
      Le premier homme de cro magnon venu qui a décidé que tel ou tel truc lui appartenait c’est en fait servi et a priver les autres hommes.
      Aucune ressource n’est inépuisable sur terre, même pas l’argent. Si il y a 100 pommes dans toute la ville et qu’une personne en possede 98, il lèse tous les autes habitants de sa ville.
      C’st pareil pour le pognon, celui qui en a trop lèse les pauvres...


    • Defrance Defrance 30 novembre 2011 15:53

        La seule vrai valeur : L’EAU , notre ultime ressource vitale ? 

         La Monnaie, l’or, la M.. , c’est juste fait pour opposser les humains les uns aux autres ? 


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 17:01

      Rien de plus vrai, c’est d’ailleurs l’explication de l’intelligence extraordinaire des dauphins. Allez hop, tous à l’eau !


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 17:13

      « Le premier homme de cro magnon venu qui a décidé que tel ou tel truc lui appartenait c’est en fait servi et a priver les autres hommes. »

      Vous avez déjà essayé de convaincre un chimpanzé que s’il mange sa banane tout seul, il prive les autres de cette même banane ? Quelle caricature de l’étude du concept de propriété privée et de la liberté économique, vous faites. C’est comme un catéchisme, votre truc. Le premier cromagnon, comme vous dites, ne serait-il pas le descendant d’autres hominidés qui eux aussi, avaient une structure économique soutenant l’espèce héritée, en partie, de leurs prédécesseurs ?

      Il y a un terrain à explorer dans les structures économiques pré-civilisation, mais la manière dont vous présentez les choses revient à étudier l’histoire de l’humanité par la Bible.


    • al.terre.natif 30 novembre 2011 17:14

      L’eau est une matière essentielle à notre vie, mais attention, en aucun cas elle ne dois devenir valeur de référence ... sinon on tombera dans le même problème... : celui qui est à la source de la rivière contrôle l’eau pour toute la rivière ... Ce qui donne des guerres de l’eau comme en Mésopotamie ...

      Non, la vraie valeur d’échange, universelle et quasiment égalitaire, c’est le temps ! Chaque être humain (en vie, ça va de soit) à par jour, 24H de temps à sa disposition. Si on remettais le temps au coeur de nos systèmes d’échanges, (par exemple avec les SEL Systeme d’Echanges Locaux), nous aurions un fonctionnement beaucoup moins inégalitaire.

      Mais pour cela, il faut que chacun se pose la question suivante :
      « Est-ce que je veux bien renoncer au prétendu droit de toujours gagner plus ? »

       smiley


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 17:38

      « L’eau est une matière essentielle à notre vie, mais attention, en aucun cas elle ne dois devenir valeur de référence »

      Ne vous inquiétez pas. Il est extrêmement difficile d’aller faire ses courses avec des seaux d’eau. On peut être tranquille de ce côté, au moins.


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 17:50

      « « Est-ce que je veux bien renoncer au prétendu droit de toujours gagner plus ? » »

      Voilà une question intéressante. Mais il faudrait d’abord en mettre les facteurs à plat. Renoncer ? Comme ça, tout seul, comme une loi naturelle ou divine ? Prétendu droit ? Ben voilà, c’est par là qu’il faut commencer. Quel est ce droit prétendu ? La liberté économique. Comment est né ce concept ? Est-il totalement illégitime ou peut-il être adapté, par le Droit, à une notion de bien commun de la même manière que le fut celui de liberté individuelle ? Ce n’est pas en amalgamant tout le problème dans un grand sac conspirationniste que l’on pourra espérer comprendre quelque chose et par conséquent modifier la situation sans l’empirer afin d’éviter de provoquer le carnage avec des bêlements de moutons se prenant pour des aigles.


    • al.terre.natif 1er décembre 2011 16:21

      @ Mor Aucon : (pseudo légèrement suicidaire : on est tous le con de quelqu’un d’autre smiley)

      sur l’eau, et en suivant ton raisonnement, heureusement que l’or et le pétrole ne sont pas des valeurs de référence... sinon on serait obligé de faire nos courses avec un baril, et pleins de bijoux ? .... allons, soyons sérieux !

      sur le reste ... voici quelques réponses à toutes les questions que tu te pose ( smiley :

      « Renoncer ? Comme ça, tout seul, comme une loi naturelle ou divine ? »
      Ben non, renoncer, c’est une action personnelle, qui n’a pas besoin de loi ... juste d’une décision prise suite à une réflexion. Mais c’est vrai que ce n’est plus à la mode, alors attendons une loi européenne (faite par un gouvernement européen), c’est ce qui arrive.

      « Prétendu droit ? Ben voilà, c’est par là qu’il faut commencer. Quel est ce droit prétendu ? La liberté économique. »
      Pour moi tu as la liberté de te pourrir la santé. Pourtant est-ce bien raisonnable ? Donc oui, tu as la liberté économique ... mais à quel prix ! ...

      « Ce n’est pas en amalgamant tout le problème dans un grand sac conspirationniste que l’on pourra espérer comprendre quelque chose et par conséquent modifier la situation sans l’empirer afin d’éviter de provoquer le carnage avec des bêlements de moutons se prenant pour des aigles. »
      Oui, bon ben la je t’avoue que je ne comprend pas ou tu veux en venir ... Si ce n’est placer « conspirationniste » ... tu as l’air d’accord pour dire que le « carnage » est prévisible ... que propose tu en tant que mouton comme solution ? Peut être continuer de brouter ... au moins il y a encore de l’herbe à consommer ...


    • Mor Aucon Mor Aucon 1er décembre 2011 21:06

      Vous avez oublié cette question, oubli qui a l’air d’être en rapport avec une certaine allergie au droit de votre part : Comment est né ce concept ? Est-il totalement illégitime ou peut-il être adapté, par le Droit, à une notion de bien commun de la même manière que le fut celui de liberté individuelle ?


    • al.terre.natif 2 décembre 2011 09:52

      @MAC smiley

      « La liberté économique. Comment est né ce concept ? Est-il totalement illégitime ou peut-il être adapté, par le Droit, à une notion de bien commun de la même manière que le fut celui de liberté individuelle ? »

      Je n’ai pas dit que la liberté économique soit illégitime, j’ai simplement évoqué la possibilité de voir ce droit autrement. Si c’est une liberté de chacun de pouvoir chercher à gagner plus d’argent, c’est aussi librement que l’on peut décider de ne pas utiliser ce droit. La question de la légitimité n’entre même pas en compte. Je ne suis pas pour l’abrogation de ce droit, ou d’aucun autre d’ailleurs, mais je penses que nous sommes assez grands pour décider chacun de la bonne conduite à tenir, sans être constamment forcés par une société qui ne vis que pour l’argent. Si tu considère que c’est une bonne chose de continuer à chercher à gagner plus, libre à toi, mais la liberté permet à d’autres de préférer une solution plus ... cohérente.

      Tu n’est pas de cet avis, libre à toi, et c’est enrichissant d’en discuter.

      Toi non plus tu ne réponds pas aux questions ... que dois en conclure ? que c’est une allergie au mot mouton ? ... à moins que ca ne soit « herbe » qui te donne des boutons ? smiley

      « tu as l’air d’accord pour dire que le »carnage« est prévisible ... que propose tu en tant que mouton comme solution ? Peut être continuer de brouter ... au moins il y a encore de l’herbe à consommer ... »
      De manière un peu plus concise : que proposes tu pour améliorer les choses ?


    • Mor Aucon Mor Aucon 2 décembre 2011 13:33

      Voyons-voir ! Avec quoi d’autre que le Droit pensez-vous pouvoir encourager un comportement vertueux ? Une nouvelle religion, le retour aux sources d’une ancienne, une philosophie new age ? Il me semble que cela fait 10.000 ans que l’histoire montre que le Droit est le contrat social par excellence. Si vous aviez à servir de guide à une dizaine d’enfants pour une ballade en forêt vous comprendriez. Vous pourriez effrayer les enfants en leur parlant du grand méchant loup qui les guettera depuis les fourrés prêt à les attaquer s’ils quittent le chemin, vous pourriez aussi les enchaîner les uns aux autres ou engager une équipe de mercenaires en uniforme qui les surveilleraient. Le plus facile est d’établir quelques règles et de les expliquer avant le départ, ils comprendront le danger et souscriront aux règles, le mieux possible malgré leur curiosité naturelle.


  • Pierre-Marie Baty 29 novembre 2011 19:45

    Petite correction dans mon message précédent. Il y a un mot en trop dans la phrase suivante (ici corrigée) :

    « Ce coquillage vaut un poisson, et quand j’aurai pêché un poisson et que tu auras mangé les deux tiens, tu pourras me donner ce coquillage et je te donnerai un poisson à mon tour. »


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 01:23

      Problème ! S’il veut de la viande et que le chasseur vend la viande contre des galets verts, il va falloir qu’il aille chez l’artisan qui vend des sacs, contre du sel, pour pouvoir transporter tout ce bazar. Dès qu’ils en auront marre de faire des allez et retours avec un barda pas possible pour manger du poisson et de la viande pourrie du fait de leur kilométrique manège, ils se mettront d’accord pour trouver une autre combine à la première occasion. Logiquement, le choix portera sur une matière rare, inaliénable et facile à transporter. De l’or ou de l’argent par exemple. Puis pour éviter de transporter la balance, on fait des rondelles d’un poids précis, on en raye le pourtour pour détecter les petits malins qui les liment et refondent la limaille, puis on les décore, on y fait figurer le chef ou le lieu où elles sont battues, etc... Après, viennent les billets, c’est une autre histoire qui n’a, elle non plus, de premier individu inventeur ( quelle manie ! ). Alors on retourne à cette forme de troc ? Combien de coquillages, galets verts et sacs de sel dois-je apporter si je veux construire une maison ?


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 02:02

      Rien de mieux que l’humour caustique de Keynes pour expliquer les limites de l’étalon-or :

      « Si la Trésorerie était disposée à emplir de billets de banque des vieilles bouteilles, à les enfouir à des profondeurs convenables dans des mines désaffectées qui seraient ensuite comblées avec des détritus urbains, et à autoriser l’entreprise privée a extraire de nouveau les billets suivant les principes éprouvés du laissez-faire (le droit d’exploiter les terrains billetifères étant, bien entendu, concédé par adjudication), le chômage pourrait disparaître et, compte tenu des répercussions, il est probable que le revenu réel de la communauté de même que sa richesse en capital seraient sensiblement plus élevés qu’ils ne le sont réellement. A vrai dire, il serait plus sensé de construire des maisons ou autre chose d’utile ; mais, si des difficultés politiques et pratiques s’y opposent, le moyen précédent vaut encore mieux que rien.

      Entre un semblable expédient et les mines d’or du monde réel l’analogie est complète. Aux époques où on trouve de l’or à des profondeurs convenables, l’expérience prouve que la richesse réelle du monde s’accroît rapidement ; et, quand on ne le trouve qu’en faible quantité, la richesse reste étale ou même décline. Les mines d’or ont pour la civilisation une valeur et une importance extrêmes. De même que la guerre a été le seul cas où les hommes d’État aient pensé que de larges dépenses sur fonds d’emprunt fussent justifiées, de même l’extraction de l’or est le seul prétexte à creuser des trous dans le sol que les banquiers aient considéré comme de la finance saine ; chacune de ces deux activités a joué un rôle dans le progrès - à défaut d’une solution meilleure. Indiquons en passant que l’a tendance du prix de l’or à monter pendant les périodes de dépression par rapport au prix de la main-d’œuvre et des marchandises aide à la reprise éventuelle, parce qu’elle augmente la profondeur et diminue la teneur, à partir desquelles l’extraction du minerai aurifère est payante. »

      J.M. Keynes - Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie - 1936


    • lauraneb 30 novembre 2011 09:18

      bon revenir a l’etalon or est ce que certains proposent mais

      a qui appartiennent les mines d’or ?
      Qui étaient le mieux placé pour connaitre l’arrivée de la crise, et qui a mis ses billes dans l’or ?

      Pourquoi voulez vous absolument que se soit necessairement du materiel ?

      argh, quand la notion de propriété nous tient jusqu’aux oreilles....

      « Ma cassette, ma cassette »


    • Pierre-Marie Baty 30 novembre 2011 10:20

      Je soulignais le fait que la création de monnaie s’accompagne nécessairement d’une escroquerie, car elle fait augmenter la quantité de richesse virtuellement disponible de manière erronnée.

      Et cela, même John Maynard Keynes n’a rien à dire sur la question.

      Pourquoi ? Les économistes sont-ils des sots, ou bien des escrocs ? smiley

      Les conspirationnistes pensent que ce sont des escrocs.

      Moi, ...


    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 12:12

      Pas besoin de Keynes pour ça !


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 14:30

      « Je soulignais le fait que la création de monnaie s’accompagne nécessairement d’une escroquerie, car elle fait augmenter la quantité de richesse virtuellement disponible de manière erronnée. »

      Splendide argumentation, vous m’avez convaincu. J’ai échangé le semi-remorque plein de coquillages, galets verts et de sel pour quelques lingots. Ça pèse mais les gosses du quartier vont m’aider à les transporter. Il faudra seulement les enchaîner pour parcourir le trajet. C’est dégueulasse, je sais, mais je ne prendrais que des petits pauvres, ça leur fera une occupation. Ce sera toujours mieux que de les manger, vieille tradition anglaise, comme il se doit.

      Au fait, le propre de l’homme n’est-il pas l’anticipation basée sur l’observation des facteurs d’une situation pour mieux prévoir l’évolution du système observé ? Prévoir ce que l’on peut obtenir si l’on invertit une dose d’effort à tel ou tel endroit ? Ce résultat anticipé n’est-il pas virtuel et supérieur à la simple somme des efforts appliqués pour l’obtenir ? Savez-vous faire la différence entre un système chaotique et le désordre entropique ?


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 14:39

      « « Ma cassette, ma cassette » »

      Vous faites bien de citer nos classiques. Vous me faites penser à Pangloss et sa logique lumineuse : « Les malheurs particuliers font le bien général ; de sorte que plus il y a de malheurs particuliers, et plus tout va bien »


    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 22:39

      faut arrêter de pomper CSOJ !


    • Pierre-Marie Baty 30 novembre 2011 22:57

      M. Mor Aucon me répond ceci :

      « Au fait, le propre de l’homme n’est-il pas l’anticipation basée sur l’observation des facteurs d’une situation pour mieux prévoir l’évolution du système observé ? Prévoir ce que l’on peut obtenir si l’on invertit une dose d’effort à tel ou tel endroit ? Ce résultat anticipé n’est-il pas virtuel et supérieur à la simple somme des efforts appliqués pour l’obtenir ? Savez-vous faire la différence entre un système chaotique et le désordre entropique ? »

      Je me dois de répondre à cette gentillette provocation smiley

      L’anticipation est l’un de nos attributs en tant qu’espèce. Mais affirmer que le résultat d’une pichenette est supérieur à la simple somme des efforts appliqués pour l’obtenir est spécieux : il n’est supérieur qu’à la somme de vos efforts considérés à partir de l’instant où vous décidez d’intervenir. Vous omettez ce faisant de dire que l’état du système avant d’y appliquer votre pichenette était, lui, le résultat d’une toute autre somme d’efforts, qui incluaient les vôtres !

      Et pour l’entropie, n’employez pas ce mot sans bien en connaître toute la signification ; certains y voient du désordre mais Claude Shannon y voyait, et à raison, bien autre chose. smiley


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 23:44

      Êtes-vous sûr que vous voulez réellement discuter du concept d’entropie ? Où voyez-vous contradiction entre l’entropie dans le cadre du second principe de la thermodynamique et l’entropie de Shannon. Il me semble que vous vous laissez abuser par le sens vulgaire du mot désordre. Dans les deux cas, il est question d’équiprobabilité et donc d’impossibilité de prévision de l’occurrence d’un événement singulier.


    • Mor Aucon Mor Aucon 1er décembre 2011 00:03

      Quant à ça : « L’anticipation est l’un de nos attributs en tant qu’espèce. Mais affirmer que le résultat d’une pichenette est supérieur à la simple somme des efforts appliqués pour l’obtenir est spécieux : il n’est supérieur qu’à la somme de vos efforts considérés à partir de l’instant où vous décidez d’intervenir. Vous omettez ce faisant de dire que l’état du système avant d’y appliquer votre pichenette était, lui, le résultat d’une toute autre somme d’efforts, qui incluaient les vôtres ! »

      Je ne comprends pas du tout ce que vous pensez réfuter par là. Bien sur que les conditions initiales du système comptent et que les modifications sont définitives et ne peuvent être inversées. De même que le système n’est prédictible qu’en termes probabilistes bien qu’il soit déterministe. C’est la théorie du chaos. J’ai l’impression que vous voulez me balader.


    • Pierre-Marie Baty 1er décembre 2011 11:41

      M. Mor Aucon,

      J’ai l’impression que vous vous baladez tout seul. Permettez-moi de vous instruire : le sens de l’entropie selon Shannon est la mesure de la quantité d’information en valeur absolue échangée par toutes les composantes d’un système à un instant t.

      Il s’agit de la Théorie de l’information de Shannon prise au sens large, sans la restreindre au champ d’application du traitement automatique des informations qu’on a nommé informatique.

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_de_l’information

      Rien à voir avec la notion d’ordre ; restez avec nous, et vous devriez finir par y voir plus clair.


    • lauraneb 1er décembre 2011 12:14

      etant donné que vous etes le seul, comme vous l’affirmer de vive ecriture qui n’appelle à aucune contestation (puisque tous ceux qui s’opposent à vous sont des cons), a connaitre et a maitriser les tenants et aboutissants de la théorie du chaos, des principes de la systemique, je ne peux qu’abdiquer et remettre entre vos mains avides, mon servage....
      le premier pas vers la dictature est la connaissance érigée en vérité intangible... voir absolutisme, pratiques scientifiques, pratiques religieuses et pratiques financières (qui n’est rien d’autre que l’émergence absolue d’une nouvelle religion, avec ses prophètes, ses symboles, ses dieux...)

      la systémique appelle normalement à plus d’humilité, apparemment je me trompais....


    • lauraneb 1er décembre 2011 12:15

      c’etait pour mor aucon


    • Mor Aucon Mor Aucon 1er décembre 2011 14:19

      Mais M. Baty, il faut bien lire ce que vous envoyez. Si vous lisez la partie qui concerne l’entropie de Shannon, vous trouvez un lien vers l’article http://fr.wikipedia.org/wiki/Entropie_de_Shannon où vous pouvez lire :

      « L’entropie de Shannon, due à Claude Shannon, est une fonction mathématique qui, intuitivement, correspond à la quantité d’information contenue ou délivrée par une source d’information. Cette source peut être un texte écrit dans une langue donnée, un signal électrique ou encore un fichier informatique quelconque (collection d’octets). Du point de vue d’un récepteur, plus la source émet d’informations différentes, plus l’entropie (ou incertitude sur ce que la source émet) est grande, et vice versa. Plus le récepteur reçoit d’information sur le message transmis, plus l’entropie (incertitude) vis-à-vis de ce message décroît, en lueur de ce gain d’information. La définition de l’entropie d’une source selon Shannon est telle que plus la source est redondante, moins elle contient d’information. En l’absence de contraintes particulières, l’entropie est maximale pour une source dont tous les symboles sont équiprobables. »

      Puis, vous pouvez lire dans http://fr.wikipedia.org/wiki/Entropie :

      « Plus récemment, le concept d’entropie a été généralisé, et étendu à de nombreux domaines, tels que par exemple :


      Puis, plus loin dans le même article, le paragraphe intitulé Entropie et désordre.

      Donc, c’est bien ça. Vous voulez me balader.


    • Mor Aucon Mor Aucon 1er décembre 2011 14:30

      Je vous ferais aussi remarquer que c’est vous qui parlez d’ordre. Je n’ai fait que parler de système chaotique et de désordre entropique ( soulignant ainsi le contexte du désordre ).


    • Pierre-Marie Baty 1er décembre 2011 21:15

      M. Mor Aucon,

      J’aurais quelques réticences à vous faire un cours complet sur le sujet, étant donné que nous digressons depuis déjà assez longtemps par-rapport au sujet initial. Je n’ai nul doute cependant, au vu de votre culture affichée, que vous en saisirez le sens un jour au détour d’une autre lecture ; vous comprendrez alors pourquoi votre diatribe pouvait être qualifiée de hors sujet. Je relève simplement que vous avez voulu me provoquer sur des sujets que vous manipulez tout juste vous-mêmes, et je regrette qu’une intelligence mieux disposée que la moyenne telle que la vôtre soit employée aussi puérilement à rechercher la controverse pour elle-même, au lieu du débat constructif.

      C’est comme je le disais ailleurs, soit l’expression d’un syndrôme de solitude intellectuelle, soit d’une insécurité à ce niveau, et je vous invite à la considérer pour notre plus grand bien à tous. smiley

       


    • Mor Aucon Mor Aucon 1er décembre 2011 22:52

      Bla bla bla. Vous savez très bien, maintenant, ce que je pense de vous. Alors inutile de continuer de vous adresser à moi et encore moins avec la boite de cirage et la brosse à reluire à la main.


  • mahatma mahatma 29 novembre 2011 19:53

    Bon article,

    il n’y a pas si longtemps, il aurait été taxé de conspirationniste ...
    des sujets seulement dans des sites planqués quelque part dans un recoin du web
    étonnant que cela soit publié sur Agora et que les internautes en discutent tranquillement comme si cela se savait depuis longtemps ... smiley


    • mortelune mortelune 29 novembre 2011 21:24

      C’est vrai qu’il est bien rare de trouver un média mettre en lien la crise et la famille Rockefeller. Je remercie Agora pour cet espace de liberté.

      Du reste dans mes cours d’économie, je parlerai dorénavant de la CRISE ROCKEFELLER ce qui sera plus juste que la CRISE DE LA DETTE.


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 02:30

      Merci à la Goure à Vox pour me permettre de qualifier cet article et les commentaires favorables de conspiranoïaques.

      Cela se sait depuis longtemps mais le propre de l’innocence n’est-il pas de s’émerveiller à chaque instant ? L’innocence est tellement bien vue maintenant, que certains en arrivent à la feindre tout en en ressassant les mêmes vieilles litanies. Changez de disque ! Faites preuve d’imagination, au moins. A force de plagier les conspis américains vous allez terminer évangélistes, en cage de verre dans le projet Vénus, survivalistes au milieu de bûcherons canadiens ou que sais-je encore. Faites gaffe quand-même !


    • mortelune mortelune 30 novembre 2011 06:47

      @Mor Aucon

      C’est quoi qui vous gène dans l’article ? 

      - Mettez-vous encore en doute l’existence de la commission Trilatérale ?

      - Avez-vous encore des doutes sur le fait que Rockefeller a créé cette commission ?

      - Avez-vous encore des doutes sur les projets de cette commission ?

      - Avez-vous encore des doutes sur l’aide qu’apporte les gouvernements à la Trilatérale ?

      - Avez-vous encore des doutes sur ce qui s’est passé en Libye ? Et sur ce qui se passe en Syrie ?

      - Avez-vous encore des doutes sur le rôle des armées nationales et de l’Otan en particulier ?

      - Avez-vous encore des doutes sur l’origine de la crise ?

      Je n’ai aucun doute de vous avoir donné des informations qui vont vous faire douter et c’est déjà pas mal...


    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 12:10

      Entre le trilatéralisme et le Gov. Sachisme, ton coeur de keynésien balance au point que ni l’un ni l’autre ne pourrait être critiqué en ta présence !  


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 14:02

      « C’est quoi qui vous gène dans l’article ? »

      Sa tendancieuse connerie. Vous me faites le coup classique du fanatique : « la terre est plate, eh banane ! Mais non elle est ronde, je t’assure. Remettrais-tu en doute l’existence de la terre ? »

      Votre micmac est pathétique. Vous attribuez à Keynes ce qui peut-être attribué à l’école de Chicago ( Milton Friedman ), juste pour pouvoir faire le gros amalgame des économistes escrocs, les mettre tous dans le même sac et le balancer dans la rivière avec un chat dedans.

      Vous êtes des révolutionnaires fanatiques, c’est-à-dire que le romantisme de l’acte révolutionnaire vous intéresse beaucoup plus que la profondeur des idées qui l’ont provoqué. Ce n’est que du snobisme de petit bourgeois, du m’as-tu-vu. Vous salissez le sacrifice des vrais révolutionnaires, ceux qui se sont vus réellement opprimés et n’ont eu d’autres solutions que d’ouvrir la boite à gifles. Tout cela est très comique mais vos mensonges et fantasmes à peine voilés polluent beaucoup d’esprit et l’heure n’est plus celle de jouer au Gavroche de salon.


    • henry_jacques henry_jacques 30 novembre 2011 15:23

      @ mort aux cons

      C’est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son, que certains et certaines paraissent brillants avant d’avoir l’air Cons...

      D’où votre pseudo probablement ! Alors pour éclairer votre ’’lumière éteinte’’, voici quelques infos vérifiables.

       

      La problématique de la situation économique qui frappe la planète à ce jour, remonte à une soixantaine d’années. C’est à cette époque que l’on a pris le virage de façon négative. On l’a loupé ! C’est juste après la fin de la seconde guerre mondiale dans les années cinquante, qu’en toute ‘’discrétion’’ s’est décidée la cannibalisation de la planète.

      Oosterbeek, village des Pays-Bas, ignore totalement que son seul hôtel va acquérir une réputation mondiale involontaire et empoisonnée. On est en 1954 et c’est la première réunion du groupe Bilderberg, justement à l’hôtel Bilderberg qui donnera son nom au groupe.

      Ce groupe sera la ‘’vitrine légale’’ de l’OTAN. Effectivement, une majorité pense que c’est ce club très secret qui manipule l’opinion mondiale. Alors que c’est l’OTAN qui se trouve en haut de la pyramide. ( Application progressive de la théorie de la pyramide de Maslow)

      Ce n’est guère par hasard que le prince Bernhard des Pays-Bas a été choisi pour mener rondement et donner le ton à cette première réunion. Au vu du passé nazi du prince Bernhard (il a servi dans la cavalerie S.S. jusqu’à son mariage en 1937 avec la princesse Juliana), il est évident que les ‘’questions d’une grande importance pour la civilisation occidentale’’ tournent autour de la lutte contre le communisme (instauration de la guerre froide).

      Le général De Gaulle était visionnaire en faisant sortir la France de l’OTAN le 7 mars 1966. Sarkozy n’a guère caché sa fierté de réintégrer l’OTAN après 43 ans d’indépendance plus ou moins souveraine pour notre pays. Lorsque l’on sait à quoi et à qui est dû l’élection du toutou de Washington, les doutes que nous puissions avoir deviennent évanescents.

      Victime d’avidité morbide la pieuvre étendra sa stratégie sur l’Occident. Si l’on observe le phénomène cancéreux avec attention, depuis sa création et au fil du temps, ces ‘’élites’’ semblent appliquer ligne pour ligne la vision ‘’science fiction’’ de Georges Orwell décrite dans son livre 1984.

      Il y a des coïncidences qui lorsqu’elles se répètent sont troublantes. Ainsi en 2009, la réunion Bilderberg se tenait à Vouliagnémi près d’Athènes, avec entre autres participants de ‘’l’élite’’ mondiale de l’économie donc de la finance, Jaap Hoop Scheffer, secrétaire général de l’OTAN. Peu de temps après, la Grèce entamait sa descente aux enfers.

      En 2010, la conférence Bilderberg se déroulait à Sitges à 30kms au sud de Barcelone en Espagne. Ici également, après les rituels trois jours de conférence, l’Espagne à son tour entrait dans la spirale destructrice.

      Avec il y a peu de temps, la nomination de Mario Monti comme premier ministre d’Italie apparaît comme le paraphe d’une mainmise de fer. Mario Monti fait parti des cent premières sommités du sinistre groupe.

      Cordialement. H


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 16:38

      Mais oui, H. Vous êtes un chercheur indépendant qui a trouvé sous quelle pierre se cachait le serpent maléfique. Pourquoi n’allez-vous pas balancer vos salades ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Groupe_Bilderberg


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 16:57

      Ah ah... Les réunions Tupperware et le club du Reader’s Digest... C’était déjà le début de l’infiltration de la cinquième colonne capitaliste et chez nos braves ménagères, en plus. Aux armes, citoyens ! Vengeons nos filles et nos compagneuuuuus !


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 17:24

      Il faut bien que je mange et les conspirateurs juifs payent très mal, c’est bien connu.


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 18:00

      Vous devriez éviter les mots dont vous ne comprenez pas le sens. Cela vous éviterait de faire le ridicule.


    • Mor Aucon Mor Aucon 30 novembre 2011 18:37

      Vous vous décrivez très bien. Connaissez-vous le vieil adage espagnol : el ladrón piensa que todos son de su condición ?
      http://translate.google.com/#es|fr|el%20ladr%C3%B3n%20piensa%20que%20todos%20son%20de%20su%20condici%C3%B3n


  • lloreen 29 novembre 2011 21:46

    et surtout : le revenu universel


    • Sat is Fay 30 novembre 2011 00:27

      Tremblez ordures smiley


    • Constant danslayreur 30 novembre 2011 13:05

      Merci pour le lien, je sens que je vais aimer ce site oui une intuition...

      ça fait des siècles que je répète qu’il y a des règles ici-bas et que ceux qui s’en prennent à des innocents peuvent faire une croix sur le sentiment de sécurité

      Des règles qu’on me dit ? et pourquoi pas un ami imaginaire... smiley
       


    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 13:31

      Dans le WSJ d’hier (qui était pas mal pour une fois), un article disait justement que Wall Street n’avait rien à craindre comparer aux autres crises financières : 

      1° Les exemples de meurtres (à la bombe, au couteau,...) ou de tentatives (un banquier aurait survécu à une balle dans le cou) étaient légion avant.

      2° Les traders et banquiers se réfugient maintenant derrière les politiques puisque c’est une monnaie électronique qui est régulé alors qu’avant la gestion de l’or rendait responsable les banquiers   

      Quand au soucis de sécurité, c’est partagé par tout le monde, mais eux ont les moyens ! 


  • lloreen 29 novembre 2011 21:56

    n’oublions pas les copains du ci-dessus dénommé dans le club des bilderberg où Lagarde a été adoubée en juin 2011...
    http://blog.syti.net/index.php?article=380


  • lloreen 29 novembre 2011 22:30

    J’espère que les gens commenceront à comprendre à quoi cela sert de voter...et qu’il sen tireront les conséquences pour 2012
    Boycott des élections, démocratie directe, plus de partis ni de « représentants », les très mal nommés...
    Il est temps que nous gagnions notre majorité citoyenne c’est à dire notre souveraineté.
    J’ai toujours eu énormément de mal à digérer la mentalité d’esclave de la masse dès l’enfance.Voir mes camarades de classe ramper et fayoter devant les professeurs m’a toujours laissé un sentiment indicible de malaise.
    Quant au monde professionnel, n’en parlons pas...


    • Daniel D. Daniel D. 30 novembre 2011 01:21

      Ne pas voter reviendras a favoriser les partis en place, soit Sarkonazy ou Groslande.

      Si ne pas voter créais l’opportunité d’annulé les élections cela aurais un sens, mais ce n’est pas le cas en France.

      Votez blanc (ou Méluche a la limite) mais exprimez votre opposition a l’alternance des couleurs dans la continuité des idées (meme politique UMPS seule la couleur change)

      Existez, ne renoncez pas, voter diminueras les pourcentages des scrutins, et feras barrages aux cons-vaincus de l’UMPS rassembleur.

      Daniel D.


    • Bilou32 Bibi32 30 novembre 2011 09:03

      Voter blanc ne sert à rien, puisque non comptabilisé. L’abstention semble la seule alternative, surtout au second tour !


    • rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2011 13:41

      Vous avez jamais eu autant de choix : l’internationalisme de gauche à la Mélanchont, le souverainisme technologique contre la finance folle de Cheminade, le souverainisme de droite de NDA, l’antiunionisme (même de progrès comme Monnet) de Asselineau et l’anti-immigration de Marine !!!

      Avec tout ceux là vous seriez en opposition frontale avec les 40 piteuses... Et vous ne voulez pas aller voter ???


    • lauraneb 1er décembre 2011 12:21

      certes mais voter meme blanc justifie le maintient du systeme en place : celui de personnes voulant s’accaparer les privileges de ceux qui sont en place....les gens ne votent pas pour le bien, mais pour ce qu’ils veulent imposer aux autres...


  • lloreen 29 novembre 2011 23:06

    Ces parasites ont du sang sur les mains.
    http://www.youtube.com/watch?v=_vfxPIDsG-A&feature=related

    Il est temps que ces criminels contre l’humanité soient déférés devant les tribunaux.
    Un tribunal malaisien a déclaré Bush et Blair coupables de crimes contre l’humanité.
    Kissinger n’a pas osé se montrer à la réunion des Bilderberg à St Moritz en juin 2011 parce que les suisses l’ont déclaré persona non grata et devant la présence des activistes les membres du Bilderberg ont levé le camp un jour plus tôt que prévu.

    http://911nwo.info/2011/11/24/bush-et-blair-condamnes-en-malaisie-pour-crimes-de-guerre/

    Espérons que Sarkozy et ses complices suivront le même chemin après ce qu’ils ont fait en Libye.


  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 29 novembre 2011 23:38

    Kissinger, celui par qui Pinochet est arrivé au Chili, via le coup d’Etat du 11 septembre 1973.

    Ces gens sont prêts à tout.

    La démocratie a été un argument de vente de leur système, à une certaine époque. Aujourd’hui, il ne sert plus à rien, et la voix directe de la population leur devient même gênante.

    Tant qu’ils peuvent nous manipuler, ils s’en contentent. Mais le jour où cela ne suffit plus, ils n’auront aucun scrupule à organiser une vraie dictature, à la Pinochet, ou à l’Argentine, y compris dans les pays capitalistes centraux.


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