mardi 20 février 2018 - par Stratediplo

Conversions forcées et inconscientes de mineurs

En France comme dans toute l'Europe on entend de plus en plus parler de visites de mosquées par les élèves.
 
Ces visites sont très souvent organisées à l'avance, mais secrètement, et non annoncées, pour que les parents ne puissent pas les prévenir. Elles sont effectuées pendant les horaires d'étude de la scolarité légalement obligatoire, ce qui est évidemment un détournement de moyens puisque les parents confient leurs enfants à l'Etat quelques heures par jour, et lui allouent un budget d'éducation auquel ils contribuent sur leurs revenus, dans l'unique but d'apporter à leurs enfants une instruction expressément détaillée par un programme scolaire dont les grandes lignes sont définies par les représentants des citoyens réunis en parlement. Mais c'est surtout un détournement d'autorité temporairement déléguée à des fins spécifiques par les parents, seuls titulaires de l'autorité parentale comme de la responsabilité parentale, qui inclut la responsabilité de décider ce qui est bon pour leurs enfants (et d'en répondre en cas de mauvaise décision), jusqu'à la majorité de ceux-ci. Et c'est un franc abus d'autorité si on impose ces visites par la menace, ou l'application, de punitions disciplinaires à l'encontre des enfants récalcitrants ou des enfants de parents protestataires.
 
On objectera que le gouvernement a reçu du parlement le mandat d'imposer des obligations aux mineurs même à l'encontre de la volonté des titulaires de l'autorité parentale et de la responsabilité nourricière et éducative, par exemple des vaccinations individuelles à finalité collective pour l'éradication définitive des anciennes épidémies européennes ou la tentative de circonscription des nouvelles épidémies exotiques importées par ledit gouvernement. Ou encore, on objectera que, se voyant confier les enfants plusieurs heures par jour, le gouvernement doit aussi leur fournir des moyens d'éducation et de développement personnel au-delà de la stricte instruction, par exemple en matière physique et sportive, que les populations contribuables ne contestent d'ailleurs pas (il n'en est certes pas de même des populations redistribuables mais la corrélation n'est peut-être que coïncidente).
 
Cependant, dans la plupart des pays uniopéens l'Etat n'a aucun mandat d'instruction religieuse. Non seulement les peuples administrés ne lui ont pas confié la mission d'enseigner le christianisme, ou le judaïsme, ou même l'athéisme, mais dans la majorité des cas ils ne lui ont pas demandé non plus d'éveiller les enfants au sentiment religieux ou de leur présenter l'éventail des diverses religions. Les programmes d'humanités (quand il en reste) destinés aux adolescents sont censés présenter les philosophes grecs antiques, les français du siècle des lumières et les allemands de la révolution industrielle et capitaliste, mais ni les incitations à la méditation de Bouddha, ni les incitations à l'amour de Jésus ni les incitations au crime de Mahomet, ces dernières étant d'ailleurs prohibées (pas pour leur auteur mais pour leur nature) par la plupart des codes pénaux du monde civilisé, France incluse puisqu'en dépit de son autorisation de prôner le djihad, radiodiffusée le 5 août 2014, le gouvernement n'a pas encore demandé au parlement d'abroger les articles 211-2, 412-8, 431-6, 433-10 et R625-7 et similaires du code pénal.
 
Mais il y a bien plus grave. Aujourd'hui pour que les enfants s'assimilent (se sentent similaires) à ce qu'on leur présente, on le leur fait tester en personne et pas seulement observer. Les hussards de la république font marcher les petits garçons en talons hauts, fût-ce sur quelques mètres, pour qu'ils se rendent compte "dans leur peau" comme il est difficile d'être une femme, et ils font sauter ou s'accroupir les petites filles en pantalons serrés, fût-ce sur quelques obstacles, pour qu'elles se rendent compte "dans leur peau" comme il est difficile d'être un homme. Ils font peut-être aussi déambuler les enfants visages-pâles maquillés au cirage noir ou à la marmelade de citron, fût-ce dans la rue en face de l'école, pour leur faire expérimenter le regard des racistes blancs sur les passants noirs et jaunes. On ne leur fait pas visiter une entreprise de travaux publics sans les asseoir aux commandes d'une pelle mécanique, un régiment de cavalerie sans les faire pointer à l'écran d'une caméra infrarouge de visée, ou une ferme apicole sans goûter un peu de miel. Et, évidemment, on les fait se déchausser en entrant dans la mosquée, d'ailleurs pas par mimétisme mais parce qu'ils n'y seraient pas admis autrement, et ils racontent ensuite aux parents qu'on leur a même fait répéter quelques mots d'arabe, à titre d'illustration de la diversité culturelle et linguistique bien sûr.
 
Il est certes normal de se déchausser pour entrer dans une mosquée où c'est une règle, par respect un peu plus impératif que pour entrer dans la maison d'un proche-oriental ou d'un slave où c'est une simple coutume de savoir-vivre, comme il est normal (pour un homme) de se découvrir pour entrer dans une église où c'est la règle, par respect un peu plus impératif que pour entrer dans la maison d'un européen où c'est une simple coutume de savoir-vivre. Cependant on peut visiter une synagogue sans être circoncis, et on peut visiter une église sans être baptisé. Toutefois, hormis quelques rares cas à vocation prosélyte (permanente ou exceptionnelle type "journée portes ouvertes") et qui n'existent que dans quelques pays, la règle générale est qu'on ne peut pas entrer dans une mosquée, et en particulier la salle de prière, si on n'est pas musulman. Certes il suffit de prononcer une phrase pour être fait musulman.
 
Le régime n'en est pas à son coup d'essai. Pour mémoire, le 24 novembre 1979 au moins un officier et deux sous-officiers de l'armée de terre française ont été convertis à l'islam par obligation de service, c'est-à-dire sur ordre gouvernemental. Il s'agissait en l'occurrence du capitaine Paul Barril et d'au moins deux sous-officiers du Groupement d'Intervention de la Gendarmerie Nationale, envoyés par le gouvernement français pour concevoir, préparer et superviser la libération de la Grande Mosquée de La Mecque où quelques centaines de terroristes tenaient en otage plusieurs milliers de pèlerins depuis le 20 novembre. Arrivé par avion spécial pour cette mission secrète la veille après une entente intergouvernementale au plus haut niveau l'avant-veille, ce n'est qu'au moment d'entrer dans les lieux saints le 24 que l'officier, engagé pour servir son pays sous un régime prétendument séculier, reçut l'ordre de se convertir et de faire convertir ses subordonnés.
 
Il ne s'agissait pas d'une feinte ou d'un rite sans signification. Le sacré ne se feint pas, d'ailleurs la tentative de feinte est une profanation. On peut feindre un acte (sauf peut-être en pornographie), on peut tirer une cartouche chargée à blanc, mais on ne feint pas une parole, elle est prononcée ou elle ne l'est pas. Il n'y a pas de doublure comme pour une cascade. Dans d'autres religions il y a un examen de connaissances ou de motivation, ou un élément matériel indispensable, mais pour la conversion à l'islam il n'y a qu'une phrase à prononcer, d'ailleurs valide même si elle est prononcée sous la contrainte. Et on ne saurait duper les oulémas, convoqués par le roi Khaled pour suspendre exceptionnellement l'interdiction pluri-séculaire d'utiliser et même de porter des armes à La Mecque, mais qui n'ont pas autorisé l'entrée de non-musulmans donc ils n'ont eu aucun doute sur la validité de cette profession de foi des meilleurs anti-terroristes du monde. La question n'est pas de croire en ceci ou de ne pas croire en cela, comme on pourrait le penser en référence à d'autres philosophies ou religions. Elle n'est pas non plus d'entrer dans une communauté avec laquelle on pourrait aussi facilement ne plus être en communion ultérieurement.
 
Faire par mimétisme une génuflexion en entrant dans une église catholique n'engage à rien, et même se signer ne sera pas considéré par la communauté ou le clergé chrétien comme un engagement irréversible (ou même révocable) envers soi, envers les autres et envers Dieu. Poursuivre dans une secte ses questionnements essentiels et existentiels d'adolescence n'est pas s'engager à vie sans possibilité de revirement. Mais la profession de foi mahométane n'est pas rétractile. Au contraire du baptême chrétien, qui par l'effacement des conséquences du "péché originel" inhérent à l'espèce humaine entend rendre à l'homme le libre arbitre de ses choix (et les conséquences de ses seuls choix), la chahada musulmane ôte définitivement sa liberté à l'homme puisqu'elle le met en soumission (signification du mot "islam" en arabe) irrévocable.
 
Car, bien plus sérieusement que toutes les questions de croyance personnelle, l'entrée en islam change, aux yeux de tout l'Islam, la nature même de l'homme. Celui qui a prononcé cette formule change de nature, et passe de l'état ou plutôt de la nature de "infidèle" à celle de "croyant", une différence aussi importante qu'entre homme et femme et plus qu'entre homme libre et esclave. Toute personne qui a prononcé la chahada est désormais considérée comme musulmane, à vie, par les autorités et la communauté musulmane. Cette personne a des devoirs, certes, à acquitter selon ses capacités et dont seul Allah est juge. Mais elle a aussi l'interdiction formelle de prétendre quitter l'islam, c'est-à-dire d'apostasier, sous peine de condamnation à mort prononcée et appliquée par les hommes. Cela sera opportunément rappelé un jour à ces islamisés scolaires.
 
Au-delà de la violation de la liberté de conscience et de religion, donc de la violation de la Charte des Droits de l'Homme, de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales, et aussi de la constitution française, faire réciter à un enfant, dans une langue qu'il comprend ou pas, sous prétexte d'exodulie, la profession de foi mahométane, est un crime suprême contre sa personne. Obliger un enfant à changer l'eau des fleurs sur l'autel de Shiva ou à s'agenouiller sur un tapis de prière, sans l'autorisation de ses parents, est certainement un délit. Lui faire répéter la chahada est un crime pire qu'une tentative d'assassinat ou qu'un viol consommé.
 
Que celui qui a des doutes sur ce qui peut réellement se passer lors de ces opérations scolaires illégitimes et illicites dans les mosquées se rappelle qu'elles sont conduites par le même régime qui a sciemment et volontairement imposé aux populations, entre autres forfaitures, les transfusions empoisonnées au rétrovirus du syndrome immuno-déficitaire acquis et les pluies radioactives venues de Tchernobyl. Si on fait répéter quelques mots d'arabe aux écoliers qu'on amène dans les mosquées, c'est très certainement de cela qu'il s'agit.
 
Il est impératif et urgent de restaurer un régime laïque appliquant le principe chrétien de séparation des autorités temporelles et religieuses.


18 réactions


  • Samy Levrai samy Levrai 20 février 2018 18:06

    Paranoïa, quand tu tiens quelqu’un...


    • Paul Leleu 20 février 2018 21:30

      @samy Levrai



      oui... c’est un peu délirant... mais bon... 

      Quant à Paul Barril et les autres barbouzes, je pense que les musulmans ont pas du aller leur chercher des crosses à la maison smiley ... je crois plutôt que c’est vachement humiliant d’être obligé de faire appel à des « roumis » convertis en 15 secondes pour dégager des barbus de leur ville sainte... 

      Sur le fond, les français « de souche » étant totalement américanisés et soumis au fric, on se demande si une France existe encore. Même au niveau ethnique. Franchement, je croise très rarement des français... 

  • Decouz 20 février 2018 18:44

    Pour info : je me rappelle avoir encadré des visites d’églises, avec des crachats d’élèves de confession musulmane sur le seuil.

    Ces visites avaient un intérêt historique et artistique, franchement je ne vois pas l’intérêt pour la pédagogie de faire visiter une salle vide de tout tableau ou de toute ornementation, comme beaucoup de mosquées
    sauf s’il s’agissait d’un édifice historique comme la mosquée dite « de Paris » parce qu’elle offrirait un exemple d’art artisanal sacré, 
    beaucoup de touristes chinois ou autres visitent ND de Paris sans pour autant se convertir, alors que les signes religieux sont foison, contrairement à la sobriété des mosquées,
    comme si le simple fait de visiter une mosquée allait faire de l’élève (quant on connait le caractère rebelle des élèves...) un musulman, même si cette histoire était vraie, alors dans ce cas le simple baratin d’un copain d’école aurait été bien plus efficace.
    Attention si vos yeux tombent par hasard sur la shahada et que involontairement vous la prononcez, vous devenez musulman.

    • Stratediplo 21 février 2018 02:16

      @Decouz
      Non, visiter une mosquée ne fait pas de vous un musulman. Mais prononcer la formule, fût-ce involontairement, fait de vous un musulman aux yeux de tous les musulmans qui vous ont entendu.


    • Decouz 21 février 2018 09:44

      @Stratediplo
      Les intentions sont prises en compte, en cas de manipulation ou de contrainte cela n’a aucune valeur religieuse.

      Cela a pu avoir une valeur dans le cas de conflit ou effectivement « islam » signifiait la capitulation, pas la foi, la distinction existe. 

    • sleeping-zombie 21 février 2018 15:07

      @Stratediplo
      Mais prononcer la formule, fût-ce involontairement, fait de vous un musulman aux yeux de tous les musulmans qui vous ont entendu.
      c’est ridicule
      - les musulmans ne sont pas plus stupides que n’importe qui.
      - quand bien même se serait le cas, ça ne vous donne aucun devoir
      - quand bien même se serait le cas, ça ne leur donne aucun droit sur vous.

      Exemple : supposons que les Raéliens considère que bailler à 10h10 fait de vous un raélien. Aujourd’hui, j’ai baillé à 10h10, je suis donc forcé de rejoindre leur secte ?


  • Jean Roque Jean Roque 20 février 2018 19:01

    Les visites en mairie pour voir des mariages homosexuels offre un complément aux élèves dans leurs choix pour une vie équilibrée.


  • Montdragon Montdragon 20 février 2018 20:27

    Même une croix ça fait mal au petit momo qui visite un cimetière de la 1ère GM..
    ohhh tu as mal momo la crasse ? embrasse la crois ça ira mieux.


  • Jonas Jonas 20 février 2018 22:51

    Vous voulez réellement connaître la vérité sur l’Islam ?
    Alors regardez et écoutez les prédicateurs et imams dans les plus grandes mosquées de France endoctriner des centaines de milliers de musulmans au fondamentalisme islamique misogyne, antioccidental, antichrétien et antisémite :
    http://islamineurope.unblog.fr/
    https://vimeo.com/user75660018


  • Philippe Stephan Philippe Stephan 21 février 2018 12:56

    WC et hygiène dans les hôpitaux et les lieux publique

    Diyanet, l’une des plus hautes autorités religieuses de Turquie a annoncé que les musulmans pouvaient à présent utiliser du papier toilette, même si elles conseillent de privilégier l’eau :

    Si de l’eau ne peut pas être trouvée pour se nettoyer, d’autres moyens peuvent être utilisés. Même si le papier n’est pas un outil de nettoyage, car il est utilisé pour l’écriture, il n’y a pas de problème à l’utiliser pour cela.

     Appelée le Qadaa al-Haajah, cette interdiction d’utiliser le papier pour s’essuyer est antérieure à l’existence du papier toilette.

    Selon le code strict, les musulmans doivent s’asseoir ou s’accroupir pour se soulager mais ne pas rester debout.

    Ils doivent également rester silencieux quand ils sont aux toilettes et se lever avec le pied droit tout en récitant une prière.

    Sur sa lancée, Diyanet a également affirmé que les musulmans pouvaient se nettoyer les mains avec du liquide contenant de l’alcool.


  • alain_àààé 21 février 2018 14:02

    excelent article et je suis d accord avec l auteur.je prendrais mon exemple j ai été président de région et j avaiis dis que lors des derniers déportés.on arréte d abord de payé les enfants juifs dont les parents ont été déportés.lors du renouvellement d élections a mon association de déportés non juifs.les juifs ont faient des mains et des pieds pour que je ne sois pas réelu mais manque de chance j ai été réelu.j ai donc demandé a d autres associations et a des maires d arrété d envoyé les jeunes lycéens d étre obligé d aller a auswitch tous les ans.grace a CHIRAC et a d autres ministres qui ont reconnu que la france était responsable de déportation de juifs et non juifs la sa été le jacquepote pour les juifs car de 35000 juifs comptabilisé en 1945 Karsfel les a fait passer a 75000 juifs lorsqu une historienne sous les ordres de karfel avait écri un livre sur les déportés communistes qui ont été 75000 communistes.


  • alain_àààé 21 février 2018 14:02

    excelent article et je suis d accord avec l auteur.je prendrais mon exemple j ai été président de région et j avaiis dis que lors des derniers déportés.on arréte d abord de payé les enfants juifs dont les parents ont été déportés.lors du renouvellement d élections a mon association de déportés non juifs.les juifs ont faient des mains et des pieds pour que je ne sois pas réelu mais manque de chance j ai été réelu.j ai donc demandé a d autres associations et a des maires d arrété d envoyé les jeunes lycéens d étre obligé d aller a auswitch tous les ans.grace a CHIRAC et a d autres ministres qui ont reconnu que la france était responsable de déportation de juifs et non juifs la sa été le jacquepote pour les juifs car de 35000 juifs comptabilisé en 1945 Karsfel les a fait passer a 75000 juifs lorsqu une historienne sous les ordres de karfel avait écri un livre sur les déportés communistes qui ont été 75000 communistes.


  • alain_àààé 21 février 2018 14:03

    j ai oublié d écrire que ma famille et bien d autres non juifs ont été eux aussi déportés


  • zygzornifle zygzornifle 21 février 2018 14:10

    Faites gaffe Cahuzac va se faire radicaliser en prison .....


  • zelectron zelectron 21 février 2018 15:00

    Le viol revêt bien des formes . . .


  • Esprit Critique 21 février 2018 19:13

    En Allemagne a Partir de 1933 environ ils avaient créé les jeunesses Hitlériennes.

    C’est un peu ce que l’on nous propose la avec avec l’Islam.

    Les français devront se prononcer rapidement et fermement.


  •  C BARRATIER C BARRATIER 21 février 2018 20:00

    Ce texte mat mal à l’aise et c’est tres bien, c’est que viscéralement nous sommes laïques. Mais personnellement je comprends cette simulation de conversion, pour obtenir une libération, c’est de la diplomatie.
    Bien sûr soyons de plus en plus vigilants saur la liberté de conscience, la laïcité

    Je rappelle qu’au moment de l’interdiction de la religion protestante, les gens se convertissaient par force ce qui ne les empêchait pas de se réunir dans leur vraie croyance et en cachette, dans les forets, pour des cultes « au désert » c’est à dire dans la forêt. Les camisards ont pedu des batailles mais leur religion s’en est plutot trouvée renforcée.

    Renforçons notre laïcité qui n’est pas une religion mais le respect de toutes les philosophies, de plus en plus non religieuses d ’ailleurs


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