Dette : la crise des ânes
(fable de Daniel Rome)
Un jour, un homme portant cravate se présenta dans un village.
Monté sur une caisse, il cria à qui voulait l'entendre qu'il achèterait cash 100 euros l'unité tous les ânes qu'on lui proposerait. Les paysans le trouvaient bien un peu étrange, mais son prix était très intéressant et ceux qui topaient avec lui repartaient le portefeuille rebondi, la mine réjouie.
Il revint le lendemain et offrit cette fois 150 euros par tête, et là encore une grande partie des habitants lui vendirent leurs bêtes.
Les jours suivants, il offrit 300 euros et ceux qui ne l'avaient pas encore fait vendirent les derniers ânes existants.
Constatant qu'il n'en restait plus un seul, il fit savoir qu'il reviendrait les acheter 500 dans huit jours et il quitta le village.
Le lendemain, il confia à son associé le troupeau qu'il venait d'acheter et l'envoya dans ce même village avec ordre de revendre les bêtes 400 euros l'unité.
Face à la possibilité de faire un bénéfice de 100 euros dès la semaine suivante, tous les villageois rachetèrent leur âne quatre fois le prix qu'ils l'avaient vendu et pour ce faire, tous empruntèrent.
Comme il fallait s'y attendre, les deux hommes d'affaire s'en allèrent prendre des vacances méritées dans un paradis fiscal et tous les villageois se retrouvèrent avec des ânes sans valeur, endettés jusqu'au cou, ruinés.
Les malheureux tentèrent vainement de les revendre pour rembourser leur emprunt. Le cours de l'âne s'effondra.
Les animaux furent saisis puis loués à leurs précédents propriétaires par le banquier.
Ce dernier pourtant s'en alla pleurer auprès du maire en expliquant que s'il ne rentrait pas dans ses fonds, il serait ruiné lui aussi et devrait exiger le remboursement immédiat de tous les prêts accordés à la commune.
Pour éviter ce désastre, le Maire, au lieu de donner de l'argent aux habitants du village pour qu'ils paient leurs dettes, le donna au banquier, ami intime et premier adjoint, soit dit en passant.
Or celui-ci, après avoir rétabli sa trésorerie, ne fit pas pour autant un trait sur les dettes des villageois, ni sur celles de la commune et tous se trouvèrent proches du surendettement.
Voyant sa note en passe d'être dégradée et pris à la gorge par les taux d'intérêts, la commune demanda l'aide des communes voisines, mais ces dernières lui répondirent qu'elles ne pouvaient en aucun cas l'aider car elles avaient connu les mêmes infortunes.
Sur les conseils avisés et désintéressés du banquier, toutes décidèrent de réduire leurs dépenses : moins d'argent pour les écoles, pour les programmes sociaux, la voirie, la police municipale... On repoussa l'âge de départ à la retraite, on supprima des postes d'employés communaux, on baissa les salaires et parallèlement on augmenta les impôts.
C'était, disait-on, inévitable mais on promit de moraliser ce scandaleux commerce des ânes.
Cette bien triste histoire prend tout son sel, quand on sait que le banquier et les deux escrocs sont frères et vivent ensemble sur une île des Bermudes, achetée à la sueur de leur front.
On les appelle les frères Marchés.
Très généreusement, ils ont promis de subventionner la campagne électorale des maires sortants.
Cette histoire n'est toutefois pas finie car on ignore ce que firent les villageois.
Et vous, qu'auriez-vous fait à leur place ?
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Que ferez-vous ?
Samedi 15 octobre 2011, journée internationale des indignés.
RV à Bruxelles ou sur la place de votre commune.
La dette, c'est du racket !
70 réactions
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Roosevelt_vs_Keynes
27 août 2011 09:21
« La dette c’est du racket »... ne mélangez pas tout : il y a une dette que nous devons payer.
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miha
27 août 2011 09:50
Des milliards sont brassés tous les jours, les déteneurs de grosses fortunes continuent à vivre dans le luxe, la gabegie, le gaspillage et il faudrait que ce soit nous qui nous serrions la ceinture pour réparer les erreurs des politiques qui se suivent depuis à peu près trois décennies ?
Toujours plus d’argent pour le capital, toujours moins pour nous, voilà ce qu’ ont été les décisions des gouvernants, des élus et qui ont abouti à vider les caisses de la plus élémentaire solidarité. (retraites, sécurité sociale, ...).
Je persiste et signe : la dette, c’est du racket, le racket des peuples.
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moussars
27 août 2011 11:43
Vous faites exprès de ne pas comprendre ou quoi ?
Je vous suggère de lire « L’arnaque » (la finance au-dessus des lois et des règles) de Jean de Maillard, vice-président du T.G.I de Paris. C’est à un prix très abordable dans la collection « Folioactuel » et c’est un ouvrage d’une importance capitale pour la compréhension des 30-40 dernières années.
Après, on pourra discuter... -
Roosevelt_vs_Keynes
27 août 2011 11:53
@ moussars
Soyez explicite, afin que tout le monde puisse découvrir ce que je fais visiblement mine de ne pas comprendre... à moins que ce ne soit vous.
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miha
27 août 2011 12:01
Roosevelt, précisez ce que vous voulez dire ; il y aura moins de malentendu et de discussions stériles.
Parlez plutôt de « devoir » envers les générations futures, par exemple. Et nous irions plus volontiers voir votre lien.
Vous ne croyez pas ?
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Roosevelt_vs_Keynes
27 août 2011 12:29
@Miha
« Parlez plutôt de »devoir" envers les générations futures, par exemple. Et nous irions plus volontiers voir votre lien.
Vous ne croyez pas ?«
Non, et je vais vous dire pourquoi : ne plus utiliser le terme »dette« , c’est abdiquer devant la volonté de l’oligarchie de ne comprendre ce mot qu’en termes monétaristes. C’est abdiquer devant la volonté de l’oligarchie.
C’est comme le mot »nucléaire" : prononcé, il fait fuir comme la peste car il a été sali par 40 ans de spéculation des nucléocrates d’AREVA ou d’EDF. Or, le nucléaire, c’est le HTR, c’est la fusion par laser, c’est la possibilité de transmutation... toutes choses pour l’instant hors de portée de l’humanité par volonté oligarchique.
Renoncer aux mots sous prétexte qu’ils sont salis par l’oligarchie, c’est abdiquer sa raison souveraine.
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miha
27 août 2011 12:40
Alors, indiquez pourquoi vous employez ce mot « dette ».
Vous constatez bien, n’est-ce-pas, que sinon vous provoquez des réactions négatives et un refus de prendre connaissance des arguments avancés sur le site que vous signalez ?
Ce que vous souhaitez, c’est bien de faire évoluer les mentalités et on y n’arrive pas en entretenantt des malentendus.
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joelim
27 août 2011 13:03
Or, le nucléaire, c’est le HTR, c’est la fusion par laser, c’est la possibilité de transmutation... toutes choses pour l’instant hors de portée de l’humanité par volonté oligarchique.Vous ne délireriez pas un peu complètement ? Vous croyez que les scientifiques cachent ces hypothétiques avancées ?
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gaijin
27 août 2011 09:36
qu’aurais je fait a leur place ?
ce que j’ai fait : refuser d’emprunter résultat j’ai une vieille bagnole une vielle télé etc mais zéro crédit
mon problème c’est quand des hommes politiques viennent me dire qu’il m’ont endetté a l’insu de mon plein gré
là défois je dois bien avouer que j’ai le manche de pioche qui me taquine-
lemouton
27 août 2011 15:35
Idem....
nous ne sommes pas des « collabos » 
mais quand je vois que sur mes impots, les politiques prennent autant pour payer les interets de la dettes, que ce qu’ils prennent pour l’école,
En plus ils veulent me faire croire qu’il faudra la rembourser !!! je délire là ..
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miha
27 août 2011 16:04
@lemouton :
Puisque vous parlez d’impôts, si nous mettions dans la rubrique « personnes à charge », sur notre prochaine déclaration de revenu(s), la liste des politiciens responsables de la dette pour avoir vendu leur âme à la finance ?
C’est bien grâce aux impôts qu’ils vivent très confortablement, ces soi-disants représentants du peuple.
Oui, il n’y a pas assez de lignes pour les inscrire tous... faut se répartir les noms.
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Peachy Carnehan
27 août 2011 17:11
« Et vous, qu’auriez-vous fait à leur place ? »
Avec les villageois on élit un conseil municipal de transition, on s’empare de la Mairie, on valide le tout par référendum. Une fois fait on répudie la dette du banquier, on le traduit en justice pour escroquerie, on nomme un préfet municipal au conseil d’administration de la banque, et on fonde un pôle municipal d’investissement.
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miha
27 août 2011 17:35
@Peachy Carnehan
Yeah ! Voilà une proposition qu’elle est bonne !
C’est un peu ce qu’ont fait les islandais, d’ailleurs.
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JL
27 août 2011 09:38
Aussi vrai que la mauvaise monnaie chasse la bonne, la dette odieuse telle un coucou dans le nid de l’Etat, en chasse la dette sociale par la politique de rigueur que ses taux d’intérêts aussi prohibitifs qu’indûs entraînent dans le cercle vicieux suivant décrit par Lordon :
« dégradation de la note → austérité forcée → récession → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → austérité renforcée, ... »
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Roosevelt_vs_Keynes
27 août 2011 10:10
Le problème de Lordon c’est justement qu’il ne fait que « décrire »...
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JL
27 août 2011 14:31
Il vaut mieux décrire que proposer de mauvaises solutions ou en proposer de bonnes qui seront rejetées parce que pas comprises.
Chacun son métier : celui de Lordon c’est de donner du sens, « décrire » comme vous dites, et ce n’est pas rien ! C’est même essentiel.
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chapoutier
27 août 2011 10:04
Miha
j’ai bien aimé votre fable
mais ce n’est pas une fable
ce n’est que la triste réalité
la dette ! Quelle dette ?
Quelques chiffres permettent de mieux appréhender ce qui se passe :
en 1982 les recettes de l’état s’élevaient à 22,5% du PIB national
en 2009 les recetttes de l’état ne s’élevaient plus qu’à 15,1 % du PIB
soit rien que pour l’année 2009 une somme astronomique de 142 milliards d’euros.
SUR 10 ANS CELA FAIT 1420 MILLIARDS D’EUROS en moins dans les caisses de l’état.
***********qui à empoché cette somme faramineuse************
ceux là même qui pleurent que les riches sont trop taxé
DETTE ! QUELLE DETTE ?
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miha
27 août 2011 10:11
Merci, ce n’est pas tout à fait MA fable, c’est une histoire qu’on m’a envoyée et dont j’ai fait cet article.
Pour le reste de votre commentaire : tout à fait d’accord avec vous.
La dette n’est qu’un prétexte pour nous soumettre encore.
« Stratégie du choc » de Naomi Klein : nous sommes en plein dedans.
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Roosevelt_vs_Keynes
27 août 2011 10:14
La dette n’est pas que fictive... surtout celle de la génération qui vient.
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chapoutier
27 août 2011 11:23
malheureusement Roosevelt vous ne lisez pas ce que l’on vous écrit
j’argumente avec des chiffres pour prouver que cette n’existe pas.
si cette dette n’existe pas et cela est prouvé, la question est :
qu’est-ce qu’on fait ?
n’est-il pas temps de réclamer justice
n’est-il pas temps de dire :
RENDEZ LE POGNON -
Roosevelt_vs_Keynes
27 août 2011 11:58
@chapoutier
"malheureusement Roosevelt vous ne lisez pas ce que l’on vous écrit
j’argumente avec des chiffres pour prouver que cette n’existe pas."
Je vous retourne le compliment : la vidéo à laquelle je fais référence n’évoque nullement une dette en termes monétaires (des chiffres).Je vais vous mâche le travail : écoutez-la, cette vidéo, à partir de 2’38. Vous comprendrez de quelle dette il est légitime de parler.
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joelim
27 août 2011 13:09
@Roosevelt_vs_Keynes
Et si vous formuliez des idées plutôt que de fournir uniquement des liens ? -
Richard Schneider
27 août 2011 20:09
Totalement en accord avec vous. N. Klein a déjà tout dit : plus les peuples sont « assommés » par ce qui leur tombe sur la tête ; et plus « on » les assomme, plus ils sont prêts à subir. Voyez la réaction du patron de F.O. au lendemain du plan de rigueur annoncé par Fillon : « On pouvait s’attendre à pire ». No comment.
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chapoutier
27 août 2011 10:22
il y a une dette que nous devons payer dites vous !
Tout le monde dit qu’il y aune dette, que l’on ne peut continuer ainsi, qu’il faut réduire la dette, qu’il faudra bien la payer, et qu’il faut réduire la dépense publique.
Ce même discours prétend que l’on vit au dessus de ses moyens, que la dette résulte d’un excès de services publique et de trop de protections sociales.
Voilà ce que l’on entends à longueur de journaux, tribune, allocution, s éminaires.
En 1993 les dépenses de l’état représentaient 25,5 du PIB
en 2008 ces mêmes dépenses ne représentaient plus que 20% du PIB
soit 100 milliards d’euros économisés sur le dos du peuple et aimablement redistribué aux financiers grace aux miraculeux service de la dette.
DETTE ! QUELLE DETTE ?
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Roosevelt_vs_Keynes
27 août 2011 10:55
La vidéo de Jacques Cheminade postée en référence en début de fil, est en ce sens limpide...
La dette que nous devons payer aux générations futures est du même type que celle que nous devons à tous ceux qui, dans le passé, ont fait en sorte que nous ayons aujourd’hui de l’eau potable et de l’électricité pour construire sur AV.
Aujourd’hui, cela s’appelle NAWAPA, Tunnel sous le détroit de Béring, Transaqua, Pont terrestre eurasiatique. Une plateforme d’équipement de l’homme et de la nature au niveau international, tirée de l’avant par le vecteur de l’exploration spatiale, telle que l’envisageaient des Roosevelt, de Gaulle, Mendes-France, JF Kennedy, et aujourd’hui MM. Cheminade en France ou LaRouche aux USA.
Cela implique non pas de se considérer en crise, mais en guerre contre un ennemi parfaitement identifié : les intérêts de la Couronne britannique : La City de Londres et Wall Street. L’arme : le Glass-Steagall international que les Indignés espagnols exigent.
Voici ce qu’a déclaré à ce propos l’ancien président de l’APEC et démissionnaire du Medef Eric Verhaeghe, et le 8 août 2011 le sénateur démocrate du Kentucky Perry Clark.
Le mot « dette » en lui-même n’arppartient pas au monétarisme de la Couronne britannique. Nous n’avons aucune dette envers les intérêts spéculatifs de La City et Wall Street. Par contre nous en avons une véritable envers les générations à naître.
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joelim
27 août 2011 13:12
Nous n’avons aucune dette envers les intérêts spéculatifs de La City et Wall Street.
C’est beau, la vie sur les nuages ? -
JL
27 août 2011 17:48
Mais oui, joelim, vous avez raison : nous avons contracté de gré ou à notre insu, une dette odieuse envers ces gens-là.
Cette dette odieuse, nous avons le choix de la payer ou non, puisqu’un peuple souverain a tous les droits.
Le tout est de choisir en connaissance de cause, quant aux tenants et aboutissants. Mais il est clair que leurs médias et tous ceux qui leur sont inféodés feront tout pour empêcher le vrai débat. Comme vous,est-ce qu’i lfaut vous le dire ?
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chapoutier
27 août 2011 18:23
jl
cette nous l’avons déjà payé
en 10 ans nous avons payé plus de 1400 milliard d’euros
ces 1400 Milliards d’euros consistent en baisse d’impôts consentis aux entreprises du cac 40 et aux plus fortunés depuis 10 ans, il faudrait faire le calcul depuis 30 ans.
ces sommes astronomiques étaient du au titre de l’impôts.
ces sommes qui n’ont pas été prélevé, c’est autant de moins pour les écoles, la santé etc.
mais mieux, pour les plus nantis , ces sommes faramineuses que les gouvernements leurs ont généreusement offert est devenu un trésor de guerre.
Ces sommes faramineuses qui ont endetté le budget de la France sont prêtées aux états.
Et ces états doivent en sus servir l’interet de la dette à ceux même a qui l’on a réduit les impôts.
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miha
27 août 2011 10:39
@Roosevelt_vs_keynes : lire (ou relire) Etienne de la Boétie « discours sur la servitude volontaire ».
Et cessons de répéter les discours manipulateurs de l’oligarchie.
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Roosevelt_vs_Keynes
27 août 2011 10:58
@Miha
Je vous en pris, développez votre pensée, pour que tout le monde sache de quoi on parle explicitement.
Je copie-colle mon développement que j’ai posté précédemment :
La vidéo de Jacques Cheminade postée en référence en début de fil, est en ce sens limpide...
La dette que nous devons payer aux générations futures est du même type que celle que nous devons à tous ceux qui, dans le passé, ont fait en sorte que nous ayons aujourd’hui de l’eau potable et de l’électricité pour construire sur AV.
Aujourd’hui, cela s’appelle NAWAPA, Tunnel sous le détroit de Béring, Transaqua, Pont terrestre eurasiatique. Une plateforme d’équipement de l’homme et de la nature au niveau international, tirée de l’avant par le vecteur de l’exploration spatiale, telle que l’envisageaient des Roosevelt, de Gaulle, Mendes-France, JF Kennedy, et aujourd’hui MM. Cheminade en France ou LaRouche aux USA.
Cela implique non pas de se considérer en crise, mais en guerre contre un ennemi parfaitement identifié : les intérêts de la Couronne britannique : La City de Londres et Wall Street. L’arme : le Glass-Steagall international que les Indignés espagnols exigent.
Voici ce qu’a déclaré à ce propos l’ancien président de l’APEC et démissionnaire du Medef Eric Verhaeghe à propos de la BNP, et le 8 août 2011 le sénateur démocrate du Kentucky Perry Clark.
Le mot « dette » en lui-même n’arppartient pas au monétarisme de la Couronne britannique. Nous n’avons aucune dette envers les intérêts spéculatifs de La City et Wall Street. Par contre nous en avons une véritable envers les générations à naître.
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miha
27 août 2011 11:17
OK, je n’avais pas pris le temps d’aller voir votre lien... avouez que « la dette n’est pas que fictive » pouvait prêter à confusion et ne donnait pas envie d’aller plus loin.
Je pensais que vous vouliez dire : « les gouvernements ont raison de demander aux peuples de payer »... d’où ma référence à la servitude volontaire.
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PhilVite
27 août 2011 11:02
Où l’on voit parfaitement à l’oeuvre - et des deux côtés (profiteurs et pigeons) - les trois ressorts principaux de l’humanité : cupidité, crédulité et panurgisme.
Certes, les affameurs sont à liquider, mais ils faut aussi être conscient qu’ils ne seraient pas ce qu’ils sont si nous n’étions pas ce que nous sommes.
L’organisation de la société doit prendre en compte les tares et faiblesses de l’humain afin d’empêcher les dérives telles que celles qu’on voit aujourd’hui. Si en tant qu’individu, nous ne sommes bien évidemment pas responsables du merdier actuel, en tant que brique de base de la société, nos comportements et nos valeurs personnelles ne sont pas nulles et sans conséquence sur le tout.
Tiens au fait, je viens de retrouver un Napoléon, un vrai, en or qui brille. Est-ce que ça intéresse quelqu’un ?
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miha
27 août 2011 11:21
meuh, non, je ne veux pas un napoléon, je veux un âne : ça vaut 500 euros quand même
Plus sérieusement, oui, vous avez raison : il faut tout simplement que l’argent soit à sa place, c’est à dire un outil d’échange, pas une finalité.
Les billets, les pièces ne se mangent pas (ou ils sont très indigestes, je suppose).
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Peachy Carnehan
27 août 2011 17:51
« ...je viens de retrouver un Napoléon, un vrai, en or qui brille. Est-ce que ça intéresse quelqu’un ? »
Ton Napoléon qui vaut 250€ je te l’achète le double de sa valeur (500€) si tu m’en achètes quatre au prix imbattable de 2000€. Pour t’aider à financer cet achat je te propose un crédit à taux variable dont le pourcentage est établi en fonction de ta capacité à me rembourser. Toi, « PhilVite », j’évalue ta solvabilité à Triple A.
Je te donne immédiatement un billet de 500€ et quatre Napoléon. Intéressant non ? Toi tu me files ton Napoléon et à la fin de chaque mois tu me verseras 250€ pendant un an.
Après douze mois tu m’as remboursé 3000€ pour quatre Napoléon qui n’en valent plus que 100 parce que, de mon coté, j’ai fait la même proposition à « Roosevelt_vs_Keynes », « Chapoutier », « Milha » et tous les autres intervenants d’Agoravox ; provoquant ainsi une émission de Napoléon qui a fait s’effondrer les cours. Mais me concernant ce n’est pas grave - tu vas rire - parce que ce ne n’est plus l’Etat qui bat la monnaie, mais c’est moi !
Ah, oui, au fait. Si tu ne réduits pas ton train vie dare-dare pour me rassurer quant à ta capacité à rembourser la dette je dégrade ta note et j’augmente tes taux d’intérêts. Et je te conseille de m’obéir sinon je fais saisir tes Napoléon dépréciés, ta télé et tes pantoufles.
Alors, c’est qui le chef ?
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miha
27 août 2011 17:59
@Peachy Carnehan
J’adoooore votre humour !
Sauf que... vous n’êtes pas très attentif : je l’ai déjà dit, je ne veux pas de Napoléon, je veux un âne à 500 euros... il va falloir que je le répète combien de fois ?
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Peachy Carnehan
27 août 2011 18:10
Il va falloir que je me renseigne sur le cours de l’âne avant de te rédiger ton contrat de prêt bancaire.
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PhilVite
27 août 2011 19:07
Ah flûte, je viens de me rendre compte que ma mémé c’était fait enfumer. Il est en tungstène son napoléon !!
ça fait rien je le vends quand même ni vu ni connu. Je trouverai bien un banquier (15 % pour lui) pour m’aider à le refourguer à un petit vieux qui voudra le mettre sous son matelas !
Que j’aime ce monde... -
Richard Schneider
27 août 2011 21:05
à PhilVite :
On ne peut qu’être d’accord avec vous : les trois principaux ressorts de l’humanité sont la cupidité, la crédulité et le panurgisme. Ajoutons peut-être le cynisme et la lâcheté, ainsi on en aura fait le tour ... -
miha
30 août 2011 10:31
@Richard Schneider :
Ce type de discours (les hommes sont cupides, etc...) démotivant, démoralisant, décourageant fait le jeu des oligarques et, surtout, est erroné.
Quand je vois quelqu’un dans la souffrance, je ressens de l’empathie or, je n’ai rien d’exceptionnel, il y a donc beaucoup de personnes qui éprouvent la même chose que moi.
Qaund je vois un petit enfant dans la détresse, une personne âgée en difficulté, un malade qui geint, j’ai envie de cpnsoler, d’aider, de soulager. Or, je n’ai rien d’exceptionnl, il y a donc beaucoup de personnes comme moi.
Combien de bénévoles qui se dévouent sans relâche au quotidien ? Ils sont nombreux et on en trouve partout. C’est leur faire injure de répéter que les humains sont cupides et égoïstes et, encore une fois, cela arrange ceux qui nous oppriment.
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PhilVite
30 août 2011 17:49
Vous avez raison miha, les hommes sont bons, généreux et bienveillants, et d’ailleurs, c’est pour ça qu’on vit tous si bien ici.
Et sinon, il fait beau à Babarland ?
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miha
31 août 2011 15:49
Les hommes sont capables du pire ET du meilleur.
Ne parler que du pire, c’est être cynique et le cynisme ne fait pas avancer les choses.
Je préfère vivre à Babarland, tout en sachant que tout n’est pas rose, loin de là, qu’à Barbareland où tout est irrémédiablement noir.
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BHL=MST
27 août 2011 11:30
Quels candidats proposent de revenir sur la loi du 3 janvier 1973, devenue article 104 du traité de Lisbonne ? Un certain nombre. Parmi ces derniers, combien ont une chance de parvenir au second tour ? Une seule. Je vous entends déjà, vous et votre bonne conscience, manipulés que vous êtes : « Fasciiiistes ! »
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miha
27 août 2011 11:51
Il est bien sûr évident qu’il faille revenir sur la loi de janvier 1973 et sur le traité de Lisbonne refusé par référendum par les français, je le rappelle.
Quant à voter FN pour cela... non !
Malgré les efforts de MLP pour faire croire que son parti est compatible avec les valeurs républicaines, certains de ses « fans » polluent régulièrement le « mur de la démocratie » des indignés d’insultes, d’obscénités, de propos racistes, d’appels à la haine, à la violence, à la guerre ou/et arrachent les affiches, les articles qui y sont apposés.
Ils ont donc une attitude anti-démocrate... qu’en serait-til s"ils étaient au pouvoir ?
Ne voter ni UMP, ni PS, ni FN, ce trio de tête qu’on veut nous imposer.
La possibilité de voir le FN au second tour n’est qu’une garantie pour l’UMP ou le PS d’obtenir un score égal ou approchant celui de Chirac en 2002. C’est un rêve qu’ils voudraient voir se réaliser.
Un duel UMP/PS les inquiète car la différence entre le nombre de voix serait très serré.
UMP et PS, c’est bonnet blanc et blanc bonnet (d’âne), le FN est anti-démocrate.
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BHL=MST
27 août 2011 12:07
Sans ces mots-valises devenus creux vous êtes incapables d’argumenter. On dirait Martine Aubry. Soyez réalistes, nous ne vivons plus dans une « démocratie », mais bien sous un régime oligarchique de ploutocrates. Si tel n’était pas le cas, le traité de Lisbonne aurait été récusé et l’UMPS ne serait pas le seul parti représenté dans notre assemblée. Quant à ces fameuses « valeurs républicaines », qui décide qui en est digne, et qui ne l’est pas ? Juge et parti...
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miha
27 août 2011 12:24
J’appelle à ne pas voter PS et mes arguments ressemblent à ceux de Martine Aubry ? Ah ????
Bien sûr que nous vivons pas sous une démocratie, bien sûr que nous sommes en ploutocratie ou en oligarchie.. et le FN en fait partie... ils ont des députés au parlement européen, quelle hypocrisie ! Ils profitent bien de la soupe dans laquelle ils font mine de cracher..
Les valeurs républicaines : Liberté, égalité, fraternité... c’est pour quand ?
Si vous comptez sur le FN, comme sur tout autre parti en place, pour les respecter et les faire respecter, vous vous faites des illusions, car, en effet, nous ne sommes pas en démocratie.
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Roosevelt_vs_Keynes
27 août 2011 12:24
@BHL=MST
Je cite l’incompétente Marine Le Pen :
"Marine Le Pen explique que « c’est parce que l’euro a beaucoup affaiblit notre économie que nous souffrons terriblement, évidemment de cette crise financière. Il faut réarmer notre pays contre la mondialisation, retrouver notre souveraineté, et donc notre marge de manœuvre monétaire et budgétaire entre autre. Mais au niveau international, il faut œuvrer à la fin de Bretton Woods, il faut lutter à la fin du privilège exorbitant du dollar et la spéculation qui en a été la conséquence qui aujourd’hui en a prit des proportions inimaginables ! »"
Les accords de Bretton Woods, qui assuraient des taux de changes fixes entre monnaie - seul moyen pour des Etats-nations souverains, de pouvoir s’engager sur des projets à très long-terme en en maîtrisant les coûts - ont été abrogés le 15 août 1971 par Richard Nixon.
Dites-moi :
quand le FN a-t-il déclaré publiquement qu’il avait l’intention de proposer à l’ensemble des nations du monde de s’attaquer frontalement aux spéculateurs avec la procédure Glass-Steagall, comme l’exigent les Indignés ?
Quand le FN a-t-il proposé que chaque nation du monde reprenne son pouvoir régalien d’émettre du crédit productif public dans un cadre international de taux de changes fixes, dans le but de lancer des grands projets pour sortir l’humanité de la misère ?
Ah mais c’est vrai, le job de Le Pen père et fille est d’être incompétent (pour fourvoyer le peuple) et populiste (pour acheter le temps de cerveau disponible des gens).
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HELIOS
27 août 2011 17:21
FN est anti-démocrate.
vous avez parfaitement raison, el FN est anti-democrate, j’attends que vous nous demontriez où et quand il a eu une attitude anti-democrate.... par contre l’UMP (et le traité de Lisbonne rejeté par référendum a travers le TCE un peu avant) lui, est democrate n’est-ce pas ?
Vous avez la democratie bien selective... -
chapoutier
27 août 2011 17:25
oui le FN a la haine de la démocratie
en interne il disent démocrassouille non
hitler était démocrate aussi jusqu’à la prise du pouvoir, ensuite .... on a vu la suite ! -
miha
27 août 2011 17:47
@Helios
Les fans du FN ont une attitude anti-démocrate, je peux en faire le constat à chaque fois que le mur de la démocratie est sali par leurs graffiti... et c’est signé, puisque ils prennent soin de coller des bulletins d’adhésion au FN... souvent accompagné d’une BD donnant des conseils pour sélectionner des victimes qu’on peut agresser sans difficulté... on l’a vue au moins déjà dix fois, cette BD d’appel à la violence.
La phrase « ne voter ni UMP, ni PS, ni FN, ce trio de tête qu’on veut nous imposer » subit régulièrement une rature sur les lettres « FN »... jamais sur UMP ou PS... pourtant, parmi les passants, il y en a bien qui votent UMP ou PS, n’est-ce-pas ?
Eux n’éprouvent pas le besoin de raturer, ils sont pour la liberté d’expression.
Je parle des citoyens... en ce qui concerne les cadres de ces trois partis, ils sont tous à mettre dans le même sac de l’oligarchie.
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HELIOS
27 août 2011 20:18
... désolé pour moi la democratie c’est lorsque le peuple choisi ses representants et que ceux ci , quel que soit leur parti, representent tous les français, respectent la volonté des electeurs et fassent leur boulot !
Déja lorsqu’un elu se presente a un autre mandat simultanement il est deja en faillite avec la democratie... et des cumulards, il y en a ! Lorsqu’un parlement tente par tous les moyens possibles d’empecher des français d’avoir des representants a ce même parlement soit en redecoupant les circonscriptions soit en s’alliant avec d’autres partis « contre-nature » pour faire barrage, y compris par la perte d’election, je ne vois plus la democratie mise en oeuvre.
Vous confondez les quelques sauvages qui tagguent les affiches avec des representants du FN, vous faite un amalgame et une generalisation inconvenante et surtout, je voudrais que vous y pensiez, vous m’obligez à defendre le FN que je n’aime pas trop dans certaines de ses options, juste parce qu’il a droit au respect des citoyens en tant qu’entité politique reconnue et autorisée.
Je vous le repete, je comprends bien que vous ne vouliez pas defendre des idées mais vous opposer a ceux qui ne sont pas dans votre cercle d’interet, pour les empecher de rentrer outrepasse l’action politique democratique que vous croyez defendre. Vous n’etes pas democratique !
Peu importe pour qui je vais moi-même voter, je l’ecris depuis quelques interventions dans quelques articles auxquels je participe, vous l’avez lu, vous le savez. je fais mon choix en fonction de la situation du moment, en fonction de l’objectif poursuivi et finalement avec les outils qui me semblent les plus efficaces. Je voterai pour le FN, avec difficulté mais je le ferai. je ne rejette pas les autres parce qu’il ne votent pas comme moi, parce que leur parti ne respectent pas les français ou la France, je me bats sur des idées et des moyens, au dessus de la ceinture dans une action politque.
Le FN n’est pas moins democratique que tous les autres partis, le PS ou l’UMP. -
miha
30 août 2011 10:22
@Hélios
Je ne doute pas un seul instant que certains de ceux qui sont prêts à voter FN aux présidentielles soient sincèrement persuadés de faire le bon choix pour le pays.
D’ailleurs, j’en ai le ceour serré pour eux, car, malheureusement, ils se trompent et ils sont trompés.
Ceux dont je dénonce les agissements comme anti-démocratiques forment le socle du FN. Pour l’instant, ils sont plus ou moins tenus en laisse par MLP qui veut donner une image rassurante, mais... si le FN est au pouvoir, plus iren ne les freinera et, en tant que militants actifs, ils auront des postes de responsabilité.
Vous faite le jeu de ces personnes-là en défendant le FN, Hélios, prenez-en conscience.
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sisyphe
27 août 2011 11:56
Comme l’Argentine en 2001, comme l’Islande plus récemment, exigeons l’annulation de la dette ; nous ne la paierons pas.
Les usuriers se sont suffisamment gavés ; ils ne doivent pas avoir un sou de plus.Qu’ils partent en faillite, ou dans leurs paradis fiscaux, et soient empêchés de créer de la monnaie fictive.Chassons les usuriers du temple.-
miha
27 août 2011 12:04
100 % d’accord !!!!
En plus, en Islande, des citoyens sont en train de ré-écrire leur constitution afin de permettre au peuple d’exercer un contre-pouvoir à la classe politique et à la finance.
Les français n’en seraient-ils pas capables ?
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aobc
27 août 2011 12:44
Bonjour miha,
merci pour la publication du texte sur Agoravox.
Pourriez vous s.v.p. m´indiquer votre source - je ne trouve rien avec « Daniel Rome » - et pourtant j´aimerais bien voir, si j´y trouve plus de ce genre.
J´avais lu plusieurs fois et a differents endroits qu´il sagit d´une « histoire circulant sur internet d’après une fable espagnole dont l’auteur reste inconnu » ??
Merci d´avance et cordialement aobc -
foufouille
27 août 2011 12:53
un bon coup de katana dans le bide
et pendu par les tripes au lampadaire -
chapoutier
27 août 2011 13:12
Quels candidats proposent de revenir sur la loi du 3 janvier 1973, devenue article 104 du traité de Lisbonne ? Un certain nombre. Parmi ces derniers, combien ont une chance de parvenir au second tour ? Une seule. Je vous entends déjà, vous et votre bonne conscience, manipulés que vous êtes : " Fasciiiistes ! "
en 10 ans les financiers et les grands patrons ont récupéré 1420 MILLIARDS D’EUROS grace aux cadeaux fiscaux de toutes sortes.
Qu’attends mlp pour dire : rendez cet argent au peuple français
elle à trop peur de s’en prendre à ses amis les grands patrons et banquiers.
Bhl, cette loi de 73, quand mes amis et moi l’avons combattu, le front national en était partisans. Aujourd’hui vous venez en donneur de leçons.
Ce n’est qu’une vulgaire propagande
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Vipère
27 août 2011 14:47
Bonjour à tous
Miha, j’ai beaucoup aimé votre fable !
Qui soit dit en passant, ressemble à s’y méprendre à la crise des sub-primes, à l’endettement des Etats et dont devine aisément qui sont les dindons !
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Bobby
27 août 2011 15:36
Il n’y a pas de dette !
Ce ne sont que balivernes pour assujettir le peuple, l’escroquer encore plus, et le faire marcher dans le chemin choisi par les plus riches... pour leur propre intérêt. !
... où plutôt si, il y a une dette, précisément celle que ces « bigs spenders » doivent aux plus démunis, celle que tous nous devons à ceux qui meurent de faim... celle que notre « intelligence » économique crée en imposant de telles disparités, que plus de 800 millions de gens sont en train de mourir de faim sur près de 7 milliards d’habitants, alors que la planète pourrait nourrir près de douze milliards d’êtres humains sans rien changer ! (à son agriculture, etc...)
Les seuls profiteurs sont bien à l’abri, et protégés par des personnes armées contre ceux qui légitimement crient leur colère. !
Quand cela va-t-il changer ?.. Je ne suis pas sûr qu’écouter dans le vent à la manière de Peter, Paul and Mary nous fasse avancer beaucoup... mais c’est bien joli tout de même !
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BA
27 août 2011 22:10
« En Europe, les Etats doivent régler le problème de leur dette et les banques ont besoin d’une recapitalisation urgente. »(Christine Lagarde, samedi 27 août 2011)-
Peachy Carnehan
27 août 2011 22:43
« ...les banques ont besoin d’une recapitalisation urgente ! »
Mais oui, mais oui... il faudrait encore renflouer les joueurs de casino aux frais de la princesse contribuable qui est au bord de la révolte. Laissons les banques se « décapitaliser » complétement pour qu’elles crèvent dans d’atroces souffrances comptables. Quand ces racailles de banquiers seront à terre alors les Etats seront bien obligés de les exproprier pour garantir les dépôts, les opérations de crédit, et la gestion des moyens de paiement.
Et ils en profiteront peut-être pour tous les jeter en prison.
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Peretz
29 août 2011 20:42
Le problème de la dette, comme je l’ai dit il y a quelques temps sur Agoravox, est un faux problème qui ne sera résolu que par le peuple comme en Islande, en changeant de Constitution. C’est un pb politique et non économique.
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chapoutier
27 août 2011 23:14
rasmussen se fait asperger de peinture et traiter de criminel de guerre
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chapoutier
28 août 2011 09:26
j’ai pris mes désirs pour la réalité
cette scène date de 2003
ce n’est que partie remise
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ubotugy
29 août 2011 01:47
Excellent, très triste mais excellent, une petite histoire (vraie) hélas trop commune.
L’esclavage par la dette n’est pas une figure de style : R.I.P. littles humans :->
- Samedi 15 octobre 2011, RDV à Bruxelles ou sur la place de votre commune.
- Mercredi 7 décembre, RDV à vos banques pour videz vos comptes.
Nan, c’est une blague, trop peureux pour oser.
nous ne sommes pas des « collabos » 
