samedi 25 septembre 2010 - par Donald Forestier

J’accuse : les délits d’initiés du 11 septembre 2001

Après avoir résumé la version officielle des attentats du 11 septembre, je propose dans les deux chapitres suivants la démystification des deux « zones d’ombre » les plus polémiques entourant cet événement. Dans le présent chapitre, je m’intéresse aux soi-disant délits d’initiés qui auraient été constatés dans la semaine précédant les attentats.

Préambule

 Pour composer ce chapitre, j’ai été contraint de m’intéresser au monde de la finance. Je n’ai certes pas pu l’explorer en détail. Je n’en avais ni le temps ni les moyens. Je me suis focalisé sur les aspects les plus en rapport avec l’affaire que je voulais résoudre. Mais j’ai vite été frappé d’une chose : de toute évidence, avec le « monde de la finance », l’humanité a créé un univers parallèle, tout à fait étrange, déconnecté de la réalité, gouverné par ses règles propres, et qui doit inspirer la plus grande méfiance.

 Ses acteurs semblent parler une langue inconnue du commun des mortels : on y parle stock options, joint ventures, sociétés offshore, swaps de devises, capitaux flottants, couponnage, externalisation, prévision autoproductrice, récession à double creux, surréaction, etc. Pour rappeler une histoire que tout le monde a encore forcément fraîche en tête, je ne pense pas qu’il se trouve beaucoup de gens dans la population française qui ait compris même dans les grandes lignes en quoi consiste la fameuse crise des subprimes qui a été au fondement du krach boursier de 2008.

 Une image me fera peut-être mieux comprendre : le monde de la finance ressemble fortement à celui du jeu. La plupart des opérations qui s’effectuent sur les marchés, portent le nom de spéculation. Ce terme vient du monde de la philosophie où il n’a déjà pas très bonne presse. La spéculation financière ressortit pour l’essentiel à des paris sur l’évolution à la baisse ou à la hausse du cours des actions. Comme dans le monde du jeu, les acteurs doivent faire preuve de sang froid, saisir les occasions au bon moment, avoir du flair, de la chance... et être absolument dénués de scrupules. Le fonctionnement du monde de la finance est si proche de celui du jeu que les sociétés de trading et de courtage depuis quelques années ont eu l’idée d’embaucher dans leurs desks les meilleurs joueurs de poker de la planète.

 Ses acteurs brassent des quantités d’argent inimaginables pour les citoyens qui travaillent dans l’économie réelle. Les montants mis en jeu défient l’imagination. On y compte en millions, milliards, et dizaines de milliards de dollars. Un simple clic derrière un écran peut avoir des répercussions fantastiques, des profits ou des pertes colossales, la ruine d’une entreprise, l’anéantissement de l’économie d’un pays. La Société Générale se souviendra longtemps des 5 milliards d’euros perdus par le trader Jérôme Kerviel. Incidemment, les gens qui y travaillent sont richissimes et vivent coupés du reste de l’humanité. Beaucoup d’entre eux en sont même si éloignés, qu’ils considèrent tous ceux qui ne s’occupent pas de finance comme des moutons aveugles et stupides dont l’existence n’a qu’une raison d’être, celle d’être tondus.

 Le monde de la finance est par ailleurs le seul de l’univers professionnel, avec le sport de haut niveau, où figurent à côté du salaire, souvent supérieurs à celui-ci, les fameux « bonus ».

Introduction

 Depuis bientôt neuf ans, les conspirationnistes rengainent une romance étonnante : en plus d’avoir vu quatre avions de ligne s’effondrer sur diverses cibles symboliques, la journée du 11 septembre 2001 aurait été l’occasion, pour certains spéculateurs avisés, de participer à l’un des plus grands délit d’initiés de l’histoire.

 Ces spéculateurs, avertis de la date des attentats, se seraient retrouvés en état d’anticiper la chute du cours d’actions d’entreprises directement concernées par l’événement, à savoir, les deux compagnies aériennes des 4 avions détournées, United Airlines, et American Airlines, des entreprises qui avaient des locaux dans l’une des tours du complexe du World Trade Center, comme JP Morgan ou Merill Lynch, enfin des compagnies d’assurances engagées sur le site comme AXA ou Munich Re.

 Anticipant la chute du cours de ces compagnies, ils auraient massivement spéculé à la baisse sur ces actions, et engrangé ainsi en quelques jours des dizaines de millions de dollars de profit.

 Craignant de ne pas être bien compris dans le traitement de cette épineuse « zone d’ombre » du 11 septembre, il m’a semblé de bonne pédagogie de faire une mise au point, au moins sur ces deux notions clés, pour l’affaire qui nous intéresse, que sont les délits d’initiés et la spéculation à la baisse.

Deux exemples célèbres de délits d’initiés

 On peut parler de délit d’initiés dès lors que des acteurs, avertis à l’avance d’informations cruciales sur le devenir d’une entreprise, de résultats excellents ou exécrables, ou encore d’une OPA juteuse en préparation, sont en état de spéculer à la hausse ou à la baisse, pour engranger des profits records en un temps extrêmement bref. Pour reprendre ma comparaison avec le jeu, c’est comme si à une table de poker vous aviez la possibilité de savoir à l’avance quelles sont les cartes qui vont tomber. Dans ce cas là on parle plus simplement de triche ; et c’est bien cela qu’est, tout bien pesé, un délit d’initiés.

 Quelques exemples célèbres en leur temps ont défrayé la chronique. L’analyse sommaire de deux d’entre eux permettra au lecteur de se faire une idée bien nette du caractère scandaleux de ce procédé.

 L’affaire Pechiney triangle est un scandale politico financier qui a éclaté en mai 1988. A cette époque, la société Pechiney (http://fr.wikipedia.org/wiki/Pechiney), groupe industriel public, et fleuron des entreprises françaises, spécialisée dans l’aluminium, l’électrométallurgie, et le combustible nucléaire, ambitionne de racheter la société américaine American National Can, numéro 1 mondial de l’emballage, mieux connu sous le nom de « Triangle ». L’action Triangle est alors sous-côtée à 10 dollars. L’OPA de Pechiney fera remonter le cours de l’action, quelque temps plus tard, à 56 dollars

 D’ordinaire une telle information reste secrète jusqu’au dernier moment. Seules les personnes les plus haut placées dans l’entreprise sont censées être au courant, et n’ont évidemment pas le droit de spéculer en cette occasion pour leur propre compte. Or des fuites ont lieu avant que l’OPA ne soit entérinée, encourageant 8 personnages importants du monde de la politique et de la finance de réaliser des profits substantiels. Parmi elles, un vieil ami de François Miterrand, l’homme d’affaire Roger Patrice Pelat, qui réalise 350000 euros de plus value, et Max Théret, financier du parti socialiste qui réalise 1,4 millions d’euros de plus value. Aux Etats Unis, des gens comme Bernard Madoff réaliseront de fructueuses transactions

 C’est la SEC (Securities and Exchange Commission) qui va révéler ce scandale au grand jour. La SEC est l’équivalent aux Etats Unis de notre AMF (Autorité des Marché Financiers), chargée de détecter les transactions boursières suspectes. Celle-ci relève, dans la semaine précédant l’OPA, du 14 au 18 novembre 1988, une quantité anormalement élevée de mouvements sur le marché des actions Triangle : alors que d’ordinaire ne s’enregistrent en moyenne que 17500 transactions par semaine, cette semaine-là ce chiffre bondit à 200000 transactions, ce qui correspond à une augmentation d’un facteur 12 par rapport au volume ordinaire. La SEC, dont nous aurons l’occasion de reparler plus loin, avertit son homologue française, l’affaire est révélée au grand jour, Mitterrand est contraint de désavouer publiquement son vieil ami Pelat, des peines de prison, avec sursis pour l’essentiel, et de fortes amendes sont prononcées. L’affaire Pechiney Triangle est sans doute la plus grande affaire de délits d’initiés qu’ait connu la France ces trente dernières années. 

 L’affaire Enron : fondée en 1985, Enron était, au moment de sa banqueroute, la 7ème entreprise étasunienne, avec un chiffre d’affaires de plus de 139 milliards de dollars. Son coeur de métier était l’extraction de gaz, et son acheminement par le biais de gazoducs aux entreprises et aux particuliers. Depuis des années, son président, Kenneth Lay, avec la complicité de son directeur général Jeffrey Skilling, avaient monté un système complexe de milliers de sociétés off shore dans lesquelles ils pouvaient ponctionner autant d’argent qu’ils le voulaient, sans que ces retraits apparussent dans les comptes de l’entreprise. L’entreprise, justement, qui affichait des taux de croissance record, était en fait un gouffre financier insondable.. Suite aux attentats du 11 septembre, la bourse plonge, et les banques veulent récupérer les sommes astronomiques prêtées à Enron. La SEC, le 31 octobre, ouvre une enquête sur la firme : les défauts de paiement de l’entreprise s’élèvent à 40 milliards de dollars. Le 2 décembre, la société se déclare en faillite. 5000 personnes perdent leur emploi et leur retraite, et des centaines de milliers de petits épargnants sont ruinés. (source vidéo)

 En 2005, les deux dirigeants, entre autres chefs d’inculpation, sont accusés d’escroquerie, de fraude, de mensonges, etc... et de délits d’initiés. Ce n’est pas pour rien que Jeffrey Skilling et Kenneth Lay ont été surnommés (avant que la chaîne de Ponzi de Madoff ne soit révélée au grand jour), les « gangsters du siècle ». En effet, ces hommes d’affaires se sont rendus coupables, avant que le navire ne sombre, du plus grossier délit d’initiés jamais commis : dans le mois qui a précédé la banqueroute, et avant que le cours de l’action ne s’effondre à la valeur d’un dollar symbolique, les deux dirigeants ont revendu, l’un pour 90 millions, l’autre pour 185 millions de dollars de stock options dont ils s’étaient gavé année après année. Ironie particulièrement infâme, alors qu’ils anticipent l’effondrement de l’action et vendent les leurs en masse, ils n’ont de cesse d’encourager dans le même temps les employés de la firme, sans doute pour que le cours de l’action ne s’effondre pas trop vite, à acheter des actions en promettant que la tornade qu’ils traversent était un incident de parcours sans lendemain. Kenneth Lay, mort d’un infarctus avant la fin du procès dont le verdict est rendu en juin 2006, ne purgera jamais la peine de 6 ans à laquelle il a été condamné. Jeffrey Skilling, quant à lui, est aujourd’hui derrière les barreaux, où il purge une peine de 24 ans de prison pour ses forfaits.

 Le lecteur aura compris, à partir de ces deux exemples emblématiques, en quoi consiste un délit d’initiés, une forme de criminalité impliquant presque toujours des personnes haut placées dans les entreprises concernées, et de chanceux “amis” qui peuvent au passage gagner en peu de temps des sommes qui se chiffrent en millions de dollars. Il aura pu apprécier également l’efficacité d’une instance comme la SEC, qui dans ces deux cas est intervenue efficacement pour révéler le scandale, n’hésitant pas dans le premier cas à s’aventurer hors des frontières étasuniennes.

 Je regrette qu’en France notre Autorité des Marchés Financiers (AMF, ex COB) ne soit pas plus efficace et déterminée, et que les responsables de délits d’initiés bénéficient d’autant d’indulgence à l’issue des procès qui leur sont intentés, quand on leur en intente. La comparaison des peines prononcées dans ces deux affaires est éloquente. Pour l’affaire Pechiney Triangle, seul Alain Boublil, le directeur de cabinet de Pierre Bérégovoy, a été condamné à de la prison ferme (un an), ses huit comparses initiés n’écopant que de peines de prison avec sursis. Si les Etats Unis sont plus intransigeants en la matière, c’est sans doute qu’ils sont habitués depuis beaucoup plus longtemps à ce type de malversations. La SEC a été créée en 1934, suite à la désastreuse crise de 1929. En France, il faudra attendre 1973 pour que l’AMF, largement sur son modèle, voit le jour.

 Qu’est-ce qu’une spéculation à la baisse ?

 Le monde de la finance, disais-je, est vraiment un univers étrange. C’est le seul endroit sur terre où l’on peut faire de substantiels profits sur des produits dont la valeur est en chute libre. Car c’est un peu çà en résumant grossièrement ce qu’est une spéculation à la baisse : plus le produit sur lequel je spécule baisse, plus le profit que je réalise est élevé.

 Prenons le cas d’une action dont le cours est de 100 euros. Je connais cette entreprise et sais qu’elle bat de l’aile en ce moment. Le cours de l’action ne s’en est pas encore ressenti, mais il est très probable que son cours va baisser dans un avenir proche. Je décide donc d’acheter une option de vente. Dans le contrat je spécifie que je parie que le cours de l’action aura, d’ici un mois par exemple, chuté de moitié, et qu’elle ne vaudra plus que 50 euros. Si mon estimation s’avère exacte, un mois plus tard, la personne à qui j’ai acheté l’option de vente sera obligé de m’acheter mes actions au prix où elles étaient au moment où j’ai acheté l’option, c’est à dire au cours de 100 euros, dans le même temps je paierai le même paquet d’actions au prix où j’aurai parié qu’elles chuteraient, en l’occurrence 50 euros. Mon profit s’élèvera à la différence entre les deux cours de l’action multiplié par le nombre d’options achetées. Ce type d’opérations présente l’autre avantage de ne pas peser sur l’évolution du cours de l’action, puisque l’opération ne devient effective qu’au moment où mon pari arrive à échéance.

 Ce genre de transactions est rendu d’autant plus alléchant, qu’il est possible d’acheter les options à découvert. Autrement dit je ne suis pas obligé de posséder la somme totale que je veux mettre en jeu. Il me suffit de mettre au départ 20% du montant en garantie. Si par exemple je veux acheter 10000 options de vente, pas besoin d’avancer toute la somme : j’en paye effectivement 2000, je paierai les 8000 restantes au moment d’encaisser les fruits de mon pari.

 Le recours à de tels procédés n’est pas sans risque. Si je me trompe dans mon pari, si au contraire le cours de l’action s’envole, je peux être amené à devoir (surtout si j’ai acheté à découvert), des sommes largement supérieures à ma mise de départ. Ceci explique au passage que les options de vente ne soient pas les produits les plus courus, loin de là, dans les salles de marché. En revanche, si j’ai la chance d’être initié, d’être certain que le cours de l’action va chuter, une opération de cette espèce cesse de présenter des risques, devenant au contraire la plus formidable des aubaines.

 Nous voilà à la croisée des chemins. Armé qu’il est maintenant de la connaissance de ce que sont les délits d’initiés et la spéculation à la baisse, le lecteur est en mesure de comprendre tous les tenants et aboutissants de cette « zone d’ombre » que seraient les transactions financières inhabituelles observées la semaine précédant les attentats du 11 septembre 2001. J‘espère que par ricochet, mon but principal sera atteint : démontrer le caractère monstrueux des hypothèses conspirationnistes sur ce point particulier.

 Etat des lieux sur les transactions financières dans la semaine précédant le 11 septembre 2001

 De nombreux acteurs bien avertis ont d’abord pensé que les attentats du 11 septembre ont été l’occasion du plus grand des délits d’initiés de toute l’histoire, avec au coeur de la machination de massifs mouvements de spéculation à la baisse sur un certain nombre d’entreprises fortement impactées par les attentats.

 Comme l’annonçait de façon prophétique Bernard Madoff à Amir Weitmann dans les minutes suivant l’impact du premier avion : “ce n’est pas un accident. C’est une attaque terroriste. Le marché va maintenant être fermé quelques jours et rouvrira en forte baisse...”.

 Et de fait, lorsque la bourse, située à trois rues de là, rouvrit 4 jours plus tard, l’indice du Dow Jones affichait une baisse globale de 13,7%. Les entreprises concernées par les attentats étaient évidemment affectées dans des proportions dramatiques. Il y avait, en particulier, les compagnies aériennes des avions détournés par les terroristes, les compagnies occupant des étages dans les tours, enfin les compagnies du secteur de l’assurance liées au site. C’est en anticipant cette chute des cours, que de massives opérations de spéculation se seraient déroulées dans la semaine précédant les attentats du 11 septembre.

 Je donne à présent, sous la forme d’une liste laconique, le détail de ces anomalies. Fidèle à mon credo, je veux enraciner mon raisonnement dans les faits les plus précis, en citant systématiquement mes sources. J’informe le lecteur que c’est exactement de ces informations que partent les truthers pour farcir leurs tomates conspirationnistes. J’aboutis évidemment à une conclusion très différente. Comme d’habitude en effet, sur ce point, les truthers ont toutes les peines du monde à demeurer rigoureux dans leurs observations. Ils ne peuvent s’empêcher de plaquer des images mentales et des préjugés sur les éléments de réalité qu’ils essayent de comprendre. Comme d’habitude, ils explorent le territoire avec la mauvaise carte.

 Voici à présent la liste non exhaustive des transactions “suspectes” qui auraient été réalisées la semaine précédant le 11 septembre. J’ai choisi les plus « spéctaculaires », celles qui sont, évidemment, mises en avant par des sites conspirationnistes comme reopen911.

 Options de vente sur les compagnies aériennes.

 Entre le 6 et le 7 septembre, à la bourse de Chicago, , 4744 options de vente ont été enregistrées sur les actions United Airlines, dont deux avions, le UA175 et le UA93 ont été détournés par les terroristes.Volume 25 fois supérieur à la normale. Lors de la réouverture de la bourse le cours de l’action avait chuté de plus de 40%.

 Le 10 septembre, toujours à la bourse de Chicago, 4516 options de vente ont été enregistrées actions d’American Airlines. Volume 11 fois supérieur à la normale. Les vols AA77 et AA11 appartenaient à cette compagnie. Lors de la réouverture de la bourse le cours de l’action avait chuté de près de 40%.

 Aucune autre compagnie aérienne n’a fait l’objet de spéculation d’ampleur comparable dans le même intervalle.

 Options de vente sur des compagnies possédant des bureaux dans les tours

 Le 8, 9, et 10 septembre, 2157 options de vente sont acquises sur des actions de la banque d’investissement Morgan Stanley, qui occupait 22 étages des tours jumelles. Volume 25 fois supérieur à la semaine précédente. Quand la bourse rouvre, l’action a chuté de 13%..

 Le 8, 9, 10 septembre, 12215 options de vente sont achetées sur des actions Merryl Lynch, dont le siège était à proximité des tours jumelles. Volume 12 fois supérieur à la normale. Lors de la réouverture de la bourse, l’action a chuté de 11%.

 Les 6 et 7 septembre, 5900 options de vente sur des actions de Bank of America, qui occupait 4 étages dans les tours. Volume 5 fois supérieur à la normale. Lors de la réouverture de la bourse, l’action a chuté de 6%.

 Options de vente sur des compagnies d’assurance concernées par les destructions des attentats.

 Le 6 et le 10 septembre, Citigroup, qui perdra plus de 500 millions de dollars suite à l’événement, voit acquérir des volumes d’options de vente sur ses actions 45 fois supérieurs à la normale. Lors de la réouverture de la bourse, l’action a chuté de 7%.

 Le 10 septembre, 1209 options de vente ont été acquises sur des actions de March et Mc Lennan, groupe de services aux entreprises qui intervient principalement dans le domaine de la gestion des risques. Volume 13 fois supérieur à la moyenne des 13 jours précédents. Cette entité occupait par ailleurs 8 étages de la tour nord.

 D’autres entreprises spécialisées dans la gestion des risques et l’assurance ont été l’objet d’options de vente, par exemple AXA, ou encore Munich Re.

 Autres types de transactions inhabituelles

 -On aurait relevé de très importants volumes d’achat de bons du trésor américains à moyen terme, qui constituent des valeurs refuges en tant de crise économique ou de guerre. Leur valeur a fortement augmenté après le 11 septembre et la guerre de libération de l’Afghanistan.

 -Des sommes massives d’argent (jusqu’à 100 millions de dollars) auraient transité par des ordinateurs situés dans une des tours, entre le moment du crash et celui de l’effondrement. Les opérateurs de cette manoeuvre auraient voulu profiter de la confusion et commettre le crime parfait, tous les indices devant être détruits dans les décombres. L’entreprise Convar, spécialisée dans le recouvrement des données informatiques sur des supports très abîmés, mandatée par des clients, a cependant pu récupérer les données contenues dans certains disques durs, et a d’abord déclaré avoir trouvé dans certains d’entre eux des indices de tels transferts d’argent.

 Je ne peux évoquer ces deux autres faits qu’en passant. Le premier me semble un peu tiré par les cheveux, quant au second, Peter Henschel, dans une interview donnée à l’agence Reuters, est plus nuancé : « Il est évidemment possible que des raisons parfaitement légitimes expliquent la hausse inhabituelle du volume des transactions. » la société Convar a fini par se rétracter un an après avoir rendu publique cette “découverte”. Les experts auront donné leurs conclusions trop tôt, se seront aperçu d’une erreur dans leur reconstitution, et auront préféré, in fine, se dédire de leur première opinion. Cette histoire de 100 millions a tout l’air d’une rumeur, en fait.

 Quelques réactions alarmistes du monde de la finance

 Quelques journaux et personnalités en vue du monde de la finance ont relayé rapidement ces informations et fait part de leur étonnement.

 John Kinnucan, directeur de Broadband Research : « J’ai vu des volumes d’options d’achat et de vente qui dépassaient tout ce que j’avais pu voir en dix ans d’observation des marchés. »

Encore plus catégorique, Dylan Ratigan de Bloomberg News assène : « il pourrait bien s’agir là du plus horrible et diabolique délit d’initiés de tout ce qu’on a pu voir au cours d’une vie. Ce serait l’une des coïncidences les plus extraordinaires de l’histoire de l’humanité si c’était une coïncidence ».

Dans une étude approfondie sur le sujet parue en 2007, le professeur de finances à l’université de Zürich Marc Chesnay déclarera, plus nuancé, mais tout aussi suspicieux : « la probabilité pour qu’il y ait eu délits d’initiés est forte (pour de nombreuses compagnies). Ce n’est pas une preuve juridique mais le résultat de méthodes statistiques montrant des signes d’irrégularités ».

 Résultats de l’enquête de la SEC et du FBI

 Le lecteur a vu dans les deux exemples des affaires Pechiney et Enron résumées plus haut, que les délits d’initiés étaient presque toujours le fait de personnes haut placées dans les entreprises concernées. Si délits d’initiés il y eut pour le 11 septembre, alors il y a extrêmement fort à parier que les responsables soient les organisateurs des attentats, à savoir, Ben Laden, Khaled Sheikh Mohamed, et leurs acolytes. La piste d’Al Qaida est en effet la première qu’explorèrent les enquêteurs.

 Beaucoup furent donc surpris, lorsque deux ans plus tard, le FBI rendit les conclusions de son enquête. Son porte-parole annonçait en effet que, malgré le faisceau d’indices en apparence concourants, il n’y aurait « absolument aucune preuve » que les spéculateurs s’étant livrés à ces opérations aient eu la pré-connaissance des attentats. Les conclusions sont identiques du côté de la SEC dont le rapport d’enquête fut finalisé en mai 2002 et rendu partiellement public en avril 2010. « Les transactions financières peuvent être assimilées à une stratégie de trading ordinaire » (p 1 du rapport de la SEC). Le rapport de la commission d’enquête, qui reprend mot pour mot cette explication à la note 130 de la page 499 du rapport, notifie « qu’un investisseur institutionnel individuel sans le moindre lien avec Al Qaida a acheté 95 % des options de vente sur United Airlines le 6 septembre. » Les commissionnaires prennent soin toutefois de préciser que cet investisseur, dans la même période, a conclu l’achat de 115000 actions d’American le 10 ; tout cela dans le cadre d’une stratégie globale de trading.

 la CIA, le vigile des marchés financiers

 Comme la SEC, le FBI, et les les commissionnaires ne vont pas plus loin dans l’explication de ce point mineur de l’affaire, il ne me semble pas inutile d’éclairer le lecteur par une remarque de bon sens : en vérité Ben Laden et ses acolytes auraient été extrêmement mal inspirés d’essayer de se « refaire » sur les marchés en même temps qu’ils faisaient tomber les tours.

 Les transactions financières anormales étant presque toujours l’indice d’une manoeuvre importante en préparation, c’est une des fonctions cardinales de la CIA que d’avoir un oeil sans cesse rivé sur les marchés. La fonction de surveillance était assumée, dans la période précédant les attentats, et jusqu’à la fin de sa mission, en 2004, par le directeur exécutif de la CIA, A.B. Krongard. Avant cela, l’homme avait été directeur de la banque d’investissement Alex Brown, et avait été aux manettes de la fusion de cette dernière avec la respectée Banker’s trust, cette dernière devant par la suite fusionner en 2000 avec la Deutsh Bank pour devenir la plus grande banque du monde. En plus d’un accès privilégié aux informations concernant l’évolution des marchés, A.B. Krongard, par son expérience connaissait parfaitement l’univers de la finance. C’est semble-t-il une tradition de la maison, puisque de très nombreux directeurs exécutifs ou généraux de la CIA ont occupé auparavant ou par la suite d’importantes fonctions dans des postes clés d’entreprises du monde de la finance. George H Bush, directeur de la CIA entre 1975 et 1976, est devenu par la suite consultant rémunéré pour le groupe Carlyle, classé au 11ème rang des plus grands investisseurs dans le secteur de la défense. John Deutsch, directeur de la CIA de 95 à 96, siège actuellement au conseil d’administration de Citigroup, deuxième banque de la nation. L’un des plus fameux d’entre eux, Bill Casey, directeur de campagne de Reagan en 1980, et directeur de la CIA sous le même de 81 à 87, a même présidé la SEC de 71 à 73.

 Si Ben Laden et ses acolytes avaient tenté de faire de l’argent en bourse, grâce à leur bien compréhensible précognition des attentats, ils n’auraient manqué d’être repérés au moindre mouvement un peu bizarre. Le rapport de la Commission d’enquête, qui n’hésite jamais à brocarder l’impréparation et les insuffisances de la CIA, comme nous l’avons vu au chapitre précédent, ne formule sur ce point aucune critique envers l’agence de renseignement. On doit donc être certain que la CIA a eu raison de n’avoir rien trouvé de suspect, dans les spéculations à la baisse dans la semaine précédant les attentats sur les entreprises dont j’ai dressé la liste.

 Quelques objections des truthers

 De nombreux aspects du dossier ont éveillé la méfiance de ces machines à douter que sont les cerveaux des conspirationnistes. Je présente les trois principaux d’entre eux sous la forme d’une objection type de truther, soulignée en italiques, que je fais suivre d’une réfutation rapide.

 C’est tout de même étonnant que le rapport de la commission d’enquête ne consacre qu’une note de bas de page aux anomalies observées dans les transactions financières ! Malgré leur caractère il est vrai un peu lapidaire, les conclusions de la SEC et du FBI ne laissent aucune place à l’ambiguïté. Pourquoi les commissionnaires auraient ils éprouvé le besoin de remettre en cause les conclusions d’une agence qui s’était montrée si efficace dans la révélation des affaires Pechiney-Triangle et Enron ? Mon opinion, est que cette soi-disant « zone d’ombre » n’aurait tout simplement jamais dû être évoquée, et j’en viens presque à regretter, vu la polémique à laquelle elle a donné naissance, que les commissionnaires aient jugé utiles d’y faire un sort, fût-ce dans une note de bas de page.

 Pourquoi le FBI et la SEC ne veulent ils pas révéler le nom des investisseurs responsables des transactions suspectes, et notamment celui de l’acheteur de 95% des options de vente d’American Airlines ? Il existe un mot dont beaucoup de truthers, apparemment, ignorent le sens : déontologie. C’est extrêmement grave de révéler l’identité des investisseurs agissant sur le marché, surtout s’ils ne sont coupables de rien. Les attentats du 11 septembre ont eu un impact si profond et durable sur les esprits que si le nom de ces investisseurs était rendu public il ne manquerait pas d’être associé immédiatement à cette infamie. Dès lors que les enquêteurs s’aperçurent que les investisseurs n’avaient aucune espèce de lien, de près ou de loin, avec Al Qaida, pourquoi auraient-ils révélé leur identité ?

 Les réactions stupéfiées de personnalités du monde de la finance devrait tout de même constituer l’indice qu’il existe dans ces transactions quelque chose qui n’est pas naturel. Chacun sait, que lorsque nous sommes sous le coup d’une vive émotion, nous avons tendance à faire des déclarations enflammées dans lesquelles nous exagérons nos impressions. On a vu que la société Convar, qui avait cru d’abord avoir pu reconstituer des disques durs, se ravisa finalement après avoir fait sa révélation fracassante. On doit supposer également que les hommes dont j’ai cité les propos plus haut, sont depuis eux-aussi revenus à des opinions plus sensées. Du reste, j’ai bien l’impression que la communauté financière dans son ensemble n’a accordé pratiquement aucun intérêt à cette affaire. Très peu de gens depuis 9 ans se sont exprimés sur le sujet. Quand on compare avec le déluge de Unes et de commentaires dont l’affaire Enron, deux mois plus tard, a fait l’objet, on est encore plus convaincu que cette histoire de délits d’initiés, a tout de la légende urbaine.

 Conclusion

 Je conclurai cet article en me rangeant une nouvelle fois du côté de la SEC, du FBI, et de la commission d’enquête. Les transactions boursières inhabituelles ne pouvant être reliées d’aucune façon à Al Qaida, on doit s’orienter vers la piste de la coïncidence. Aucune des entités que je viens d’évoquer n’utilise ce mot, mais il me semble l’avoir lu en creux dans chacun des argumentaires dont elles se servent pour tuteurs. Je veux bien qu’un investisseur ait acheté 95% des options de vente sur les titres American Airlines, mais quid de toutes les autres dont j’ai donné la liste ? Une telle conjonction, de toute évidence, doit forcément être extrêmement rare.

 Je ne connais pas grand chose à la finance, mais apparemment de telles coïncidences ne présentent statistiquement rien d’impossible. Un tel événement, comme le fait remarquer le professeur à l’université de Zürich Marc Chesney a une probabilité de se produire deux à quatre fois en dix ans. La semaine précédant les attentats a tout simplement été l’occasion pour cette probabilité infime de se produire. Potentielle, ne fallait il pas qu’elle devînt concrète tôt ou tard ? Chacun sait qu’il est extrêmement rare de faire un quintuple 6 avec un cornet de cinq dés. Un tel événement devient inéluctable si on lance les dés à des milliers de reprises.

 Dans ce sens, j’estime qu’il n’y a pas de raison de s’indigner de ce que la SEC, en réponse à une demande formulée par David Callahan en décembre 2009, fasse part de ses regrets de ce que, sans doute en raison de l’insignifiance de l’affaire, toutes « les pièces d’archives qui auraient pu correspondre (à un délit d’initié) avaient été détruites ». En conséquence de quoi toute enquête sur cette « zone d’ombre », en l’absence d’éléments nouveaux, est désormais impossible. Voilà au moins un point sur lequel les truthers, qui vivent perdus dans le monde de leurs inférences, ne sont plus en mesure d’aller inutilement faire perdre leur temps à la police.



139 réactions


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 26 septembre 2010 19:17

      Mmarvinbear :

      "Comme à leur habitude, les truthers se sont servis d’une phrase isolée, sortie de leur contexte. Voyons la phrase, et surtout le paragraphe entier."

      Leur plus grande spécialité pour tenter de prouver un complot interne : que ce soit pour les vidéos ou les discours, chaque information qu’ils présentent est systématiquement tronquée et sortie de son contexte. Cela leur permet d’échafauder des thèses plus surprenantes les unes que les autres. On peut interpréter ces méthodes grossières comme de la manipulation ou des mensonges, mais c’est surtout la preuve d’une bêtise à toute épreuve.


    • Mmarvinbear Mmarvinbear 26 septembre 2010 23:25

      Vraiment ? C’est pas ce que tu m’as dit hier soir... :)


  • joelim joelim 26 septembre 2010 16:06

    Je remets dans le fil ma réponse à Marvin :

    On va mobiliser quatre avions, des milliers de complicités sans pour autant être certain que personne ne vendra la mèche et tuer 3000 personnes juste comme ça 

    Non, mon hypothèse n’expliquerait que la destruction des tours (dont on est sûrs de rien je précise). Pour la percussion des avions, les motivations habituelles (celle des terroristes, la stratégie politico-militaire, le pétrole, les bénéfices des « Halliburton », le fanatisme du Choc des civilisations, entre autres) sont bien plus probables.

    alors qu’ une broyeuse à documents, une allumette et un samedi soir de libre suffirait amplement pour faire le même travail sans attirer l’attention ?

    broyeuse à documents : ce sont des documents comptables et il y avait beaucoup, donc déjà il faut trouver lesquels détruire, et ensuite cette destruction laisserait des traces puisque les chronologies auraient des trous. D’où suspicion de destruction et comme le bâtiment est j’imagine très bien sécurisé les soupçons se porteraient vite sur le pote du président d’Enron.

    Quant à maquiller ces documents comptables sur place, pour peu que beaucoup de mouvements financiers soient à cacher, je prétends que c’est hautement délicat même avec les meilleurs spécialistes en y passant tous les week-ends. Il faut trouver toutes les occurrences à maquiller. En plus il faut remettre les piles de dossiers exactement comme elles étaient pour ne pas provoquer de soupçon... Et en laissant la poussière (éventuelle) s’il vous plaît.

    une allumette : impossible de faire passer cela pour un accident ; le monde entier saurait qu’il y avait d’importantes choses à cacher et que peu de personnes pouvaient les détruire ; ce remède serait donc pire que le mal.

    Pas très crédible, ton affaire...

    Ben si. Imagine que les percussions d’avions soient déjà programmées. Comment détruire les documents de la SEC sans attirer l’attention ? Je prétends qu’il n’est pas impossible que des criminels aient fait un coup de billiards à trois bandes. Ou alors trouve une autre façon de détruire ces documents qui soit sûre et ne provoque aucun soupçon.

    Je ne prétends pas que ce soit 100% sûr, je dis juste que contrairement à ce que les officialistes soutiennent, on peut trouver des scénarios cohérents expliquant les nombreuses bizarretés que la VO a laissé de côté. Et je constate que :

    1) les destructions de documents d’instruction, même supposément accidentelles, font normalement l’objet d’une enquête (de police, judiciaire...)

    2) mais pour le WTC7 ce n’est pas prévu

    3) l’argumentation étant, en gros, qu’il n’y a pas lieu de se poser des questions, puisque le WTC7 a forcément été détruit de manière accidentelle. Et inversement mon cher Watson !

    4)  c’est mal vu de le dire, il y a même un péquin qui trouve çà déviant !

    Regardez le monde dans lequel on vit : pour certains c’est déviant de penser qu’une destruction massive de documents judiciaires importants (l’affaire Enron ce n’est pas rien, et il y avait WorldCom aussi) puisse être criminelle. smiley Alors qu’aucune enquête en ce sens n’a été diligentée ! Qu’on me cite un seul autre cas où ce genre de chose est arrivé...

    Ce romulus en est même à soutenir que les scénarios alternatifs (appelés théories du complot) serait un complot de l’extrême droite ! On entre dans le domaine du ridicule. Comme si les gens ne pouvaient penser et réfléchir par eux-mêmes. Romulus veut les interdire de penser, parce que c’est « déviant » et que c’est d’« extrême droite » de penser librement. smiley 

  • Oduesp Oduesp 26 septembre 2010 17:43

    Moorea a écrit :
    « Marc Chesney qui a fait une étude statistique sur ces volumes le dit d’ailleurs clairement (je reviendrai sur cette étude) : même si les volumes sont importants, la seule chose que l’on peut dire c’est qu’une enquête est nécessaire. »


    Bien sûr que Marc Chesney dit qu’une enquête est nécessaire... mais une vraie.
    Il dit également clairement, aussi bien dans sa conférence que dans ses quelques interviews, qu’il a utilisé les mêmes outils statistiques sur d’autres affaires de délits d’initiés.

    Petit extrait d’une interview de Chesney :

    « ... Je veux dire que le résultat est clair pour nous... il y a une forte présomption de délit d’initiés, on a utilisé des outils objectifs qu’on aurait pu utiliser pour d’autre suspiscions et la conclusion c’est que de notre point de vue, du point de vue statistique, c’est très clair. Maintenant si juridiquement parlant on conclut de manière opposée, encore faudrait-il expliquer pour quelles raisons, je crois que cela intérresse tout citoyen... »

    Chesney sait de quoi il parle, c’est un spécialiste internationalement reconnu. Un spécialiste comme vous les aimez, Moorea... quand il jouent pour votre équipe. Pas vrai ? 
    Entre parenthèses, je remarque que, soudain, vous vous affublez d’une belle casquette de boursicoteur première classe... alors que vous n’hésitez pas à reprocher aux « trufiers » de s’aventurer dans des domaines qu’ils ne connaîssent pas, bref. 



    Moorea a écrit :
    « C’est pour cela que la SEC a enquêté. Elle a décortiqué des millions d’opérations. Interrogé les donneurs d’ordres... A chaque fois, les volumes s’inscrivaient dans une stratégie boursière. »

    La SEC a enquêté ? Très bien... et où pourrait-on consulter cette enquête. Je ne parle pas du pauvre memo de 18 pages grassement censuré que les pro-VO on l’habitude d’exhiber. Je parle de l’enquête détaillée. Peut-on en prendre connaissance ? Vous l’avez consultée ?


    En ce qui concerne l"article de tête, pas grand-chose à dire... à part que l’auteur aurait mieux fait de se renseigner un minimum avant de jouer les chevaliers blancs. On voit beaucoup de pro-VO de pauvre qualité ces derniers temps.


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 26 septembre 2010 18:34

      Oduesp, vu qu’avec tous les éléments scientifiques disponibles vous remettez encore en cause l’existence d’un avion de ligne au Pentagone, je pense que vous êtes d’emblée disqualifié pour débattre d’un sujet aussi subtil que les transactions boursières.

      Soyez cohérent avec vous-même un minimum : toutes les données informatiques, les témoignages et les preuves matérielles concernant le Pentagone ne sont pas suffisantes selon vous pour établir la réalité des faits.

      Je ne vois donc pas comment vous pourriez engager une discussion à propos d’une enquête qui repose en grande partie sur des données informatiques et les témoignages des investisseurs sur leur stratégie de trading, sauf à vous contredire sur la pertinence des preuves relatives au Pentagone.


  • moorea34 26 septembre 2010 20:33

    Oduesp,

    vous dites que pour lever les doutes sur les volumes importants (Chesney dit exceptionnels, moi je dis importants, c’est la seule différence, cela relève d’une analyse statistique) il fallait une enquête... Je suis d’accord !

    Par chance, elle a eu lieu : c’est celle de la SEC.
    Et vous en avez une synthèse qui est publique.

    Pour la remettre en cause, soit vous avez des éléments sérieux, soit vous êtes dans la diffamation (collusion, mensonge des enquêteurs, etc...)
    Des éléments sérieux, ça se porte devant un tribunal pas sur gogovox...

    La seule chose que vous mettez en avant c’est le fait que le nom des acheteurs n’ait pas été publié.
    Quand on voit comment sont harcelés par des truthers exaltés (restons polis) les personnes ayant de près ou de loin été touchées par le 11 septembre, ça se comprend !
    Je ne prendrai qu’un exemple, celui du pauvre taximan du Pentagone qui s’est fait cuisiner comme un pestiféré par les deux co....miques du CIT... A croire qu’ils voulaient lui faire avouer que sa mère était caucasienne. Ils ont alors présenté 13 témoignages en les coupant en 4 alors qu’une quinzaine de témoins ont vu l’avion heurter les lampadaires ce qui réduit leur théorie à du pur délire. Pourquoi ne parlent-ils pas des ces quinze là ? Parce que ce sont des illuminés (ou des escrocs) tout simplement.

    Oui, c’est pour cela que les noms n’ont pas été divulgués... Et franchement, je le comprends tout à fait.
    Si vous avez des éléments portez plainte en justice et arrêtez de nous les briser menu.







    • charmord 26 septembre 2010 21:44

      Rien à voir mais tant qu’à faire, autant être précis...


      Voici la liste communément admise par les debunkers des témoins qui ont vu l’avion frapper les lampadaires :

      1. Mark Bright, 28 septembre 2001. Ne dit pas précisément combien de pole. « A couple down ». 
      2. Elliot Bruce, témoignage du 12 septembre 2001, source non disponible, pas de mention de lampdaires dans l’extrait fourni mais d’un utility pole guide wire. Je ne sais pas si c’est la même chose mais j’en doute...
      3. Evey Walker Lee, source indisponible, date impossible à établir. C’est le project renovation chief et il dit que l’avion a arraché 1 lamppole et une antenne de voiture, volant à six feet du sol... Il a dit aussi ailleurs beaucoup de choses qui se sont avérées débiles notamment que c’est le nez de l’avion qui a produit le trou dans l’anneau C... 
      4. Gaines Kat : témoignage du 19 février 2002. Elle parle du sommet des poteaux téléphoniques elle et ne dit pas combien. Poteaux téléphoniques, c’est pas des lampadaires...
      5. Hagos Hafework : témoignage du Gardian du 12 septembre 2001. L’a vu heurter quelques lampadaires. Mais dans le témoignage repris dans le Washington Post de la veille, jour des attentats, pas de mention des lampdaires. Source disparue mais intégralement lisible ici : http://forum.reopen911.info/p113241-22- … ml#p113241 L’article du Guardian a également disparu mais il est aussi intégralement retranscrit dans ce forum : http://forum.reopen911.info/p113507-23- … ml#p113507
      6. Hovis Tom : N’a pas été témoin des faits. est venu au Pentagone seulement le 14 septembre 2001. Ne parle pas du nombre de lampadaires mais en parle au pluriel http://www.911-strike.com/eyewitness_supporting.htm A noter qu’il ne fait que rapporter des témoignages perçus depuis et qu’il ne conçoit pas comment cet accident a pu se produire.
      7. Mason Don : Egalement au Pentagon renovation program, également coincé dans la file devant le Pentagone. Son témoignage date du 8 janvier 2002. Il a vu l’avion couper trois lamppoles et comme son collègue, a vu l’avion couper une antenne de voiture, celle qui était derrière lui. Son témoignage est l’un des quelques retenus dans le rapport de l’ASCE. C’est celui qui a été choisi comme étant la mémoire de la théorie officielle. Son témoignage est cependant aussi précis que tardif, comme beaucoup...
      8. McGraw Stephen : témoignages que bcp de truthers suspectent et qui date du 28 septembre 2001 et 5 septembre 2002. Bcp trop d’incohérences pour être pris en considération outre qu’il est tardif. Le témoin est former U.S. Department of Justice attorney. Il a vu deux lamppole tomber.
      9. Morin Terry : témoignage non daté mais datant probablement de septembre 2001, la source ayant aujourd’hui disparu. Il a vu un flash qu’il a interprété plus tard comme étant le heurt d’un lamppole sur la Highway 110. Ne peut être considéré comme témoin du phénomène que nous étudions.
      10. Owens Mary Ann : témoignage apparemment du 11 septembre 2001 (même si source non identifiable again). Dans l’extrait quoté par le site que j’ai consultés, elle ne parle à aucun moment du fait que l’avion ait heurté des lampadaires dans ce témoignage. Peut-être en dispose-tu d’un autre ? Un an plus tard, elle dit que l’avion, qu’elle n’a pu identifier vu la proximité, a heurté un nombre indéterminé de lampadaires. Du second témoignage, on apprend qu’elle aussi se rendait à GanettCo. Il est probable qu’elle travaillait donc comme plusieurs témoins ayant identifié l’avion chez USA Today.
      11. Ramey Wanda : 22 septembre 2001, source introuvable. N’a pas bien vu la scène mais a vu un avion heurter un lampadaire.
      12. Riskus Steve : Vieille connaissance qui a donné lieu à beaucoup de débats sur le forum de reopen et ailleurs. Dernier article en date : http://stevenwarran.blogspot.com/2006/1 … sh-is.html, dont il ressortirait que l’auteur de ce blog ayant posté et étudié les photos de Riskus a dû fermer sa banque de données sur ordre de l’administration Bush... Voir aussi : http://stevenwarran.blogspot.com/2007/0 … fraud.html ou l’auteur prétend que S. Riskus serait un certain James Shauer de la Navy. Allégations tout autant à vérifier que le reste. Son témoignage proprement dit date du 11 mars 2002. La source est à nouveau corrompue. C’était apparemment une réponse à un e mail qui lui posait des questions. Il affirme avoir vu très clairement le sigle AA sur la queue de l’avion et ce dernier a heurté quelques poteaux.
      13. Sepulveda Noel : Témoignage du 15 avril 2002. Décrit le heurt de deux lamppole.
      14. Walter Mike : , ne parlait pas de lamapdaires dans son témoignage initial du 11 septembre 2001 ni du 12 septembre 2001, lendemain. Journaliste à USA Today, encore un. Il a parlé du heurt d’un lamppole dans une interview du 22 mai 2002 où on lui demanda de confirmer son témoignage. Personnage également hautement controversé. Voir ici par exemple : http://fr.youtube.com/watch?v=Qouaq9GFtOk
      15. Washington Rodney : Témoignage du 12 septembre 2001 repris dans le Boston Globe. The plane was flying low and rapidly descended, Washington said, knocking over light poles before hitting the ground on a helicopter pad just in front of the Pentagon and essentially bouncing into it. On parle d’un nombre indéterminé de lampadaires dans cet article du Boston Globe. Il ne semble pas que les propos relatifs aux lampadaires soient reliés à ses dires. Vieille technique journalistique mêlant mode direct et indirect. A noter qu’à ce moment là, le 12 septembre 2001, la thèse dominante dans les médias est encore de dire que l’avion s’est écrasé devant le Pentagone sur l’helicopterpad.
      16. Kirk Milburn : « I heard a plane. I saw it. I saw debris flying. I guess it was hitting light poles, » said Milburn. « It was like a WHOOOSH whoosh, then there was fire and smoke, then I heard a second explosion. » A noter que ce témoin n’a fait aucune déclaration sur le type d’avion. Pas de précisions sur le nombre de pole et il ne fait que deviner. Il semble dire que les débris ont volé.

      Résultat : 

      - Sur les 16 témoignages proposés, pas un ne décrit le heurt de poteaux le jour des attentats, ce qui est tout de même étonnant. 

      - Certains témoins en parlent le lendemain mais ils sont rapportés par les médias et ne constituent pas des sources directes

      - Les sources directes apparaissent (bien) plus tard avec les témoignages qui croissent en détails. Pour ces derniers témoignages, de nombreuses questions subsistent sur leur fiabilité et leur authenticité qui ne pourraient être acquises qu’au terme d’une enquête correctement menée.

      - Les témoignages postérieurs sont souvent peu précis quant au nombre de poteaux heurtés. Un seul en a vu trois, nombre maximum répertorié, et il appartient au Pentagon Renovation Program. Son témoignage très précis est la voix officielle du rapport de l’ASCE que d’aucun considère comme une supercherie de dimension...


    • Philou017 Philou017 27 septembre 2010 00:19

      Charmord : je l’avais déjà remarqué. C’est assez drole qu’aucun témoin n’ait remarqué le chute des lampadaires, alors que ceux-ci se trouvaient tous à proximité des voies de circulation. Certes, ils voient passer l’avion, mais un lampadaire cassé et projeté à proximité de sa bagnole, ca se remarque. D’autant qu’une des deux voies de l’autoroute était bloquée pour cause d’embouteillage.

      Moorea « Ils ont alors présenté 13 témoignages en les coupant en 4 »
      C’est faux évidemment. Les témoignages sont filmés pour la plupart en continu, de la première à la dernière seconde. Spécialement ceux particulièrement significatifs de la station Citgo.

      C’est drole comme Moorea se contente des pires choses approximatives des que ca l’arrange, alors qu’il est d’une incroyable suspicion quand ca l’arrange pas.


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 27 septembre 2010 00:37

      @ Charmord :

      Toujours aussi bête mon pauvre... Lance-toi dans une carrière de comique, involontaire j’entends...

      Tu cites de nombreux témoignages qui attestent de l’arrachage des poteaux par les ailes du Boeing près du Pentagone, et malgré ça tu conclus :

      "Résultat : 

      - Sur les 16 témoignages proposés, pas un ne décrit le heurt de poteaux le jour des attentats, ce qui est tout de même étonnant. "

      Une preuve de plus que la logique des truthers n’est pas des plus rigoureuses...


    • charmord 27 septembre 2010 00:59

      Toujours aussi bête, sans doute...


      Mais pas au point de ne pas vérifier les misérables désinformations que tu as répandues notamment ici mais plus généralement dans ce fil, où tu t’es véritablement fait laminer par tes opposants, notamment quand tu es venu plein d’assurance avec le témoignage de l’ingénieur en chef de la Fema, G. Corley qui a affirmé à la BBC avec plein de conviction qu’il avait fouillé les décombres pour rechercher des explosifs, alors qu’en fait, il n’y a jamais eu accès...

      On aura pu aussi comprendre à quelle genre sur la base de quelles « preuves » tu bases tes raisonnements tronqués pétris de mensonges à répétitions...

  • joelim joelim 26 septembre 2010 20:39

    J’invite tous ceux qui s’interrogent au sujet du thème de cet article à visionner cette interview du professeur Chesnais qui est tout à fait significative : elle révèle une forte probabilité de délits d’initiés liés au 11 septembre, sur les bases de la méthode scientifique (en l’occurrence ici, statistique appliquée à la finance).

    Cette interview ayant déjà 2 ans, il est étrange que que les travaux de ce professeur de finances de Zurich n’aient pas provoqué plus d’effet dans la presse. Et il est drôle que les officialistes soutiennent encore que tout est normal à ce sujet. Félicitons quand même l’auteur d’avoir mentionné ces travaux. 

  • Oduesp Oduesp 26 septembre 2010 20:46

    Vous êtes amusant, Romulus. Où avez-vous trouvé que je remettais en cause l’existence d’un avion de ligne au Pentagone ? Toujours votre imagination ?

    J’ai juste mis en évidence votre mensonge à propos de « l’abondance » des débris, rien d’autre.
    Il y a peut-être bien eu un 757 au Pentagone ; mais, désolé pour vous, ce n’est pas avec ces quelques pauvres débris que vous allez persuader quelqu’un, ce n’est pas probant.

    Voyez-vous, je n’aime pas le mensonge et encore moins les menteurs qui racontent des bobards pour arriver à leurs fins... et vous en êtes un magnifique exemple.

    Je vous accorde quand-même quelques circonstances atténuantes, notamment le fait que, vu l’extrême porosité de votre cerveau aux idées officialistes, vous êtes plus enclin que n’importe qui à vous laisser mener par le bout du nez par un personnage comme Quirant.

    J’ai donc répondu point par point à votre post kilométrique, dans lequel vous avez été jusqu’à trois fois la même vue dans le but de rajouter des débris.
    A ce sujet, je vous reposte ma conclusion, puisque manifestement, vous persister à vouloir nous reservir ce mensonge manifeste.

    Ne me remerciez pas, je sais qu’avec les gens qui ont l’esprit un peu lent, il faut répéter souvent les choses

    Oduesp avait écrit, pour l’édification de Romulus :

    « Vous voyez, Romulus, vous avez gâché votre temps et le mien. Parce-que, que reste-t’il de votre liste de débris quand on en retire tous les doublons et le fruit de votre imagination ? 

    Il reste : 
    Une
    jante de pneu.
    Une pièce de jambe de train d’atterrissage... quinze kilos, maxi (allez, trente kilos, soyons sympa).
    Deux roulettes de turbine.
    Une partie de refroidisseur avec trous... pas plus d’un mètre carré.
    Deux ou trois pièces qui se tranportent facilement d’une seule main.
    Deux boites noires.
    ... et à l’extérieur, une dizaine de tôles dont la plus grande ne fait pas deux mètres carrés.

    Le tout tient bien dans une petite fourgonnette, non ?

    Et donc, comme je le disais...
    C’est sidérant ce culot de revenir constamment à la charge en montrant ces rares débris comme »preuves« de la présence d’un 757 »


    Si vous voulez me prouver, à moi qui n’ai pas d’idée préconçue, qu’il y a bien eu un 757 au Pentagone, il faudra trouver autre-chose.
    Alors, seulement, quand vous m’aurez effectivement apporté de vrais éléments qui pourraient me convaincre qu’il s’agit bien d’un 757, vous pourrez vous attaquer au problème de savoir s’il n’était pas spécialement préparé pour provoquer ces étranges dégâts... je sais, c’est du boulot  !



    Concernant le délit d’initiés, qui nous concernent içi... je n’ai pas à me prononcer, puisque d’éminents spécialistes se sont déjà exprimés sans ambiguité... Ernst Welteke (président de la Deutsche Bundesbank), Allen Poteshman, Marc Chesney... ...
    Je vous conseille quand-même de jeter un petit coup d’oeil à la liste qu’a posté Philou avant d’encore une fois vous laisser aller à raconter des bêtises. 

    Encore un autre conseil que j’aimerais vous donner, simplement parce-que vous m’êtes sympathique dans votre bonhommie, c’est de ne pas trop suivre votre gourou Quirant sur ce coup là... il marche hors des clous et surtout hors de sa spécialité. Vous avez quand-même remarqué qu’il dit n’importe quoi ?

    Quirant a écrit (entre-autres bêtises) :

    « Bla bla... le marché était baissier ! »

    Non, sans blague !?... et ce Marc Chesney et tous ces experts boursiers qui ne l’avait pas remarqué ! 
    Heureusement que Jérome veillait.
     smiley

    Marc Chesney a écrit :

    « ... Je veux dire que le résultat est clair pour nous... il y a une forte présomption de délit d’initiés, on a utilisé des outils objectifs qu’on aurait pu utiliser pour d’autre suspiscions et la conclusion c’est que de notre point de vue, du point de vue statistique, c’est très clair. Maintenant si juridiquement parlant on conclut de manière opposée, encore faudrait-il expliquer pour quelles raisons, je crois que cela intérresse tout citoyen... »

    Et oui ...


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 27 septembre 2010 00:13

      Oduesp :
      "Il y a peut-être bien eu un 757 au Pentagone ; mais, désolé pour vous, ce n’est pas avec ces quelques pauvres débris que vous allez persuader quelqu’un, ce n’est pas probant.« 

      Cette phrase est d’une malhonnêteté incroyable. Les débris d’avion ne sont bien évidemment pas la seule preuve du crash dans le Pentagone, mais est-il vraiment nécessaire de le rappeler ? Je ne crois pas. En bon désinformateur de seconde zone, vous connaissez toutes les preuves scientifiques de l’existence d’un avion de ligne, mais vous les passez sous silence en laissant croire que seuls les débris permettraient d’établir ce fait.
      Vous adhérez donc dans les grandes lignes à cette mise en scène.

      Parmi toutes les preuves accablantes contre la théorie du complot, les données informatiques qui authentifient les boîtes noires retrouvées dans les décombres, en corroborant les données radar et le plan de vol du AA 77, tiennent une place non négligeable.
      En ne prenant que cet exemple, j’en déduis que vous ne considérez pas les données informatiques comme recevables en tant que preuves.

      Dans ce cas, vous ne pouvez pas vous prononcer, ne serait-ce qu’en citant des noms de »spécialistes" du milieu financier, sur l’existence ou non de délits d’initiés avant le 11 septembre, puisque l’enquête sur ces transactions boursières s’appuie en majorité sur les données informatiques recueillies, lesquelles ne seraient pas fiables d’après ce que vous avez soutenu à propos du Pentagone.

      Désolé mais vous êtes coincé : si vous soutenez l’existence d’un délit d’initié avant le 11 septembre, alors vous reconnaissez la fiabilité des données informatiques en général lors du recueil d’éléments probants, c’’est-à-dire le contraire de ce que vous affirmiez pour le vol AA 77.
      Mais on a l’habitude de vos sophismes, ce n’est pas grave ! Une contradiction de plus ou de moins, ce n’est qu’une goutte dans une océan de désinformation...


  • Oduesp Oduesp 26 septembre 2010 22:03

    Moorea a écrit :
    « Pour la remettre en cause, soit vous avez des éléments sérieux, soit vous êtes dans la diffamation (collusion, mensonge des enquêteurs, etc...)
    Des éléments sérieux, ça se porte devant un tribunal pas sur gogovox... »

    Et vous vous dites rationnel ? Vous vous lancez souvent à dire des choses, comme-ça, sans réfléchir ?

    Je ne fais que retranscrire Chesney, ou Poteshman. Je ne suis pas infatué comme vous, au point de critiquer grossièrement ces professionels de la finance.

    Ce sont eux qui mettent le doigt sur le comportement de la SEC.
    Je reposte... et même remarque que pour Romulus à propos des esprits épais. Mais ce n’est pas grave, j’ai beaucoup de patience.

    Marc Chesney a dit :
    « ... Je veux dire que le résultat est clair pour nous... il y a une forte présomption de délit d’initiés, on a utilisé des outils objectifs qu’on aurait pu utiliser pour d’autre suspiscions et la conclusion c’est que de notre point de vue, du point de vue statistique, c’est très clair. Maintenant si juridiquement parlant on conclut de manière opposée, encore faudrait-il expliquer pour quelles raisons, je crois que cela intérresse tout citoyen... »

    Et oui ...


    Tiens, Vous n’avez pas répondu à ça, Moorea ?

    Oduesp a écrit :
    « La SEC a enquêté ? Très bien... et où pourrait-on consulter cette enquête. Je ne parle pas du pauvre memo de 18 pages grassement censuré que les pro-VO on l’habitude d’exhiber. Je parle de l’enquête détaillée. Peut-on en prendre connaissance ? Vous l’avez consultée ? »

    Parlons juridique, justement. Des citoyens américains ont essayé d’obtenir cette enquête par le biais du FOIA... le résultat :
    http://www.reopen911.info/News/2010/06/17/delits-dinities-la-sec-a-detruit-tous-les-documents-de-son-enquete/

    Avouez quand-même que détruire ces documents ne va calmer les doutes des gens. Vous ne trouvez pas ? (excusez-moi, il va vous falloir clicker sur Reopen... vous supporterez le choc ?)

    Bon, il nous reste donc ce truc, ce « mémo », d’une vingtaine de pages avec rien dedans :

     http://www.911myths.com/images/2/2a/SEC_memo.pdf

    On lit dans la conclusion :
    « We have not developed any evidence that suggests... etc. »

    Et Monsieur Quirant est satisifait avec ça ? On entre dans le domaine de la confiance aveugle, voir de la croyance...



    Et dites, Moorea, tant que vous êtes là, clickez encore une fois sur reopen (je sais c’est dur, mais vous pouvez le faire). Dans les commentaires sur l’article à propos du délit d’initiés, je vous ai laissé un petit message sous le pseudo de « Marre des journalynx ».

    Il se trouve que j’ai contacté Marc Chesney à propos de votre problème de distribution selon la loi gaussienne... et devinez quoi ? Ben il a aimablement répondu.


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 27 septembre 2010 00:26

      Oduesp :

      Tiens pendant que vous y êtes (ou plutôt pendant que tu y es, pas de chichis entre nous), réponds à mes questions, qui sont de première importance concernant le degré de fiabilité que tu confères aux éléments scientifiques recueillis.


  • Oduesp Oduesp 27 septembre 2010 14:42

    Romulus a écrit, quelque-part, dans un de ses quelconques posts :

    « J’en déduis donc que... ! »

    Voilà le problème, Romulus... il faut absolument que vous arrêtiez de déduire, ce n’est manifestement pas votre truc. Vous l’avez prouvé en de maintes occasions sur tous ces fils que vous polluez allègrement.
    Vous me faites penser à ce Donald Forestier : une grande estime de lui-même avec rien pour la justifier.

    J’en suis désolé pour vous ; mais croyez bien que, compte tenu de l’état de déconfiture du substrat dans lequel vos pauvres pensées errent, c’est la meilleure réponse que je puisse faire ici à toutes vos « questions » et ceci dans votre propre intérêt (ne me remerciez pas, c’est tout naturel).

    A titre purement illustratif, j’en citerai juste une.

    Romulus a gribouillé sur ce forum :

    «  Oduesp, vous dites :
     » Présenter des boîtes noires sans identification, c’est louche... avec numéros, c’est mieux. « 
     » Selon vous, Oduesp, le fait que les boîtes noires corroborent le plan de vol du AA 77 ainsi que les données radar n’est pas suffisant pour les authentifier, mais deux ou trois numéros de série ajoutés au milieu du métal brûlé le seraient ? « 


    Ce à quoi je réponds, maintenant, ici, ce jour... et sans hésiter :  »Présenter des boîtes noires sans identification, c’est louche... avec numéros, c’est mieux." (C’est un simple copier/coller).

    Vous saisissez le grave problème de compréhension qui vous accable ?
    Vous en êtes à écrire d’abord ma réponse avant votre question.

    Avant de faire un copier/coller de ce que j’avais déjà expliqué et ré-expliqué, de manière concise, à propos de mon sentiment sur cette absence de numéros de série (à savoir que c’est juste une incongruité de plus dans ce dossier qui en compte tellement que ça tourne à la rigolade), j’aurais pu vous écrire, en substance, la même truc avec d’autres mots... une fois de plus.
    Mais je ne vous ferais évidemment pas l’insulte de vous traiter comme un enfant qui ne comprend rien à rien et à qui l’on doit répéter trente-six fois la même chose (sans compter que ça me prendrait un temps fou, alors qu’ici j’essaye de faire court).

    Non, je préfère tenter de vous faire prendre conscience de l’espèce de boucle infinie... ou du trou noir insondable, c’est un peu comme vous le voulez, dans lequel votre pauvre esprit semble prisonnier.

    Et, si un jour vous arrivez enfin à percuter (on pourrait en douter,... mais ne soyons pas négatif), vous vous frapperez le front en pensant à quel point votre bêtise infatuée a fait perdre comme temps à un nombre incalculable de gens en dites, en redites et en reredites. Tout cela parce-que vous étiez dans l’impossibilité de comprendre, vu votre grave dissonance cognitive.

    En ce qui concerne, évidemment, il ne faudra rien regretter... c’est avec grand plasir que je vous offre mon aide.
     

    Quand à me tutoyer, je ne peux évidemment pas vous en empêcher ; mais, pour ma part, j’en viendrais peut-être à ce genre de familiarités quand vous aurez pris un peu de plomb dans la cervelle (au sens figuré, bien sûr).


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 27 septembre 2010 17:38

      Mon cher Oduesp,

      vous êtes incapable de tenir un raisonnement logique, et c’est précisément ce qui nous différencie. C’est même la raison pour laquelle vous êtes truther et moi pas.

      Cette phrase « Présenter des boîtes noires sans identification, c’est louche... avec numéros, c’est mieux. » aurait un sens si les preuves d’un avion de ligne au Pentagone étaient peu nombreuses, mais puisqu’il existe une quantité mirobolante d’éléments scientifiques qui prouvent qu’un Boeing s’est réellement crashé dans le Pentagone, alors votre théorie implique une organisation phénoménale des comploteurs pour maquiller la scène et faire croire en l’existence d’un avion à cet endroit.
      Ils auraient donc réalisé une mise en scène très impressionnante, dont je décris les grandes lignes dans ce message.

      Selon votre logique paranoïaque, aucun élément scientifique présent au Pentagone n’est recevable en tant que preuve, que ce soit les éléments matériels (dégâts qui ne peuvent avoir été causés que par un avion de grande envergure, ADN, débris, affaires personnelles, pylônes arrachés sur le passage de l’avion, explosion identique à celle d’un engin rempli de carburant, trou de 28 mètres de large...), les données informatiques (boîtes noires, plan de vol du AA 77, les données radar...), les témoignages (104 déclarent avoir vu l’avion percuter le Pentagone, 16 ont vu les pylônes être arrachés... ) ou encore les vidéos ou photographies (caméra de surveillance...).

      Quand on ne se satisfait d’aucune de ces nombreuses preuves, il est complètement absurde de considérer les numéros de série comme étant un élément en faveur de la version officielle. Donc non, les numéros de série, ce n’est pas « mieux », mais vous le comprendrez quand votre cerveau aura mûri et que vous serez sorti de votre adulescence (j’ai bien écrit adulescence : fusion des mots adulte et adolescence, car les truthers n’ont jamais dépassé la puberté psychologiquement).

      Par ailleurs, je RE-cite votre phrase :
      « Présenter des boîtes noires sans identification, c’est louche... avec numéros, c’est mieux. »
      Ce à quoi je réponds avec tout l’aplomb dont vous faites preuve : cette affirmation est fausse car les boîtes noires ont été identifiées grâce aux données informatiques qu’elles contenaient.

      La question la plus importante de ce post était la troisième : vous n’avez pas voulu y répondre et pour cause ! Elle est embarrassante car si vous y répondez par la négative, cela prouvera qu’une nouvelle enquête serait parfaitement inutile.
      Je vous la repose donc ici pour que vous ne puissiez pas faire diversion comme dans vos nombreux messages-torchons :

      « Quelles sont les preuves qui seraient capables de vous convaincre de la véracité de la version officielle ?
      Quelles preuves informatiques ?
      Quelles preuves matérielles ?
      Quelles vidéos ou photographies ?
      Quels témoignages ?

      Et si aucune preuve de ces quatre catégories n’est susceptible de le faire, alors à quoi pourrait bien servir une nouvelle enquête ? »

      J’espère que si vous ne vous défilez pas, vous abandonnerez dans votre message les insultes habituelles et le dénigrement de vos interlocuteurs.


    • Mister_Will Mister_Will 27 septembre 2010 20:11

      @Romulus, je vous cite :

      Selon votre logique paranoïaque, aucun élément scientifique présent au Pentagone n’est recevable en tant que preuve, que ce soit les éléments matériels (dégâts qui ne peuvent avoir été causés que par un avion de grande envergure, ADN, débris, affaires personnelles, pylônes arrachés sur le passage de l’avion, explosion identique à celle d’un engin rempli de carburant, trou de 28 mètres de large...), les données informatiques (boîtes noires, plan de vol du AA 77, les données radar...), les témoignages (104 déclarent avoir vu l’avion percuter le Pentagone, 16 ont vu les pylônes être arrachés... ) ou encore les vidéos ou photographies (caméra de surveillance...).

      Je m’insère dans ce débat pour vous prier de bien vouloir communiquer asap ces derniers documents cités, que tout le monde attend depuis 9 ans.
      Vous remerciant de votre diligence, recevez mes salutations paranoïaques.


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 28 septembre 2010 00:09

      1 vidéo et des photographies de la boule de feu, si vous préférez.


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 28 septembre 2010 00:22

      J’ajouterais, Mister Will, qu’en suivant votre raisonnement, même une vidéo montrant clairement un Boeing 757 au moment du crash dans le Pentagone ne serait pas une preuve : à l’ère du numérique et des effets spéciaux, il est très aisé de truquer un film pour faire croire en la présence d’un avion de ligne.
      Vous avez donc attendu 9 ans pour rien, c’est bien dommage : une vidéo n’est pas une preuve suffisamment pertinente car elle peut avoir été « fabriquée » par les comploteurs.

      Ben oui, soyez cohérent jusqu’au bout : on est paranoïaque ou on ne l’est pas !


    • Mister_Will Mister_Will 28 septembre 2010 11:06

      @Romulus

      Soit, mon esprit névrosé va donc tenter d’analyser votre déduction ...
      Le fait est que tous les enregistrements vidéos autour du pentagone ont été saisis par les autorités. Ces dernières n’ont toujours pas révélé ces images exceptée la fameuse vidéo « boule de feu » (et une autre en Noir et blanc, prise d’un hôtel et très éloignée, d’où on ne voit rien de précis).
      Soit ces images ne correspondent pas au récit officiel (pas de boeing en vue mais un missile, un drone, une bombe, un facteur-kamikaze ou rumsfeld merdant avec le barbecue) et l’on peut légitimement envisager cette hypothèse face au black-out des autorités.
      Soit ces images montrent effectivement le boeing et dans ce cas, il y également de quoi s’interroger sur le black-out...
      Mais grâce à vous Romulus, j’ai compris !! Si les autorités rechignent à montrer les images du Boeing, c’est parce que cela va inciter plein de méchants comploteurs à clamer que c’est truqué.
      Ou bien non .. les vilains comploteurs bushiste n’osent pas truquer les images car ils savent que les comploteurs d’en face savent les déchiffrer.
      A moins que ... je sais ! Les images sont gardées secrètes car le lobby militaro-industriel possède tous les forums internet et se fait de l’argent sur le dos des citoyens internautes !

      Bon trève de plaisanterie... Je stop le Troll Feeding... Car dans votre cas Romulus, pas besoin de vidéo, vos commentaires ne laissent aucun doute sur la nature de vos intentions : Trolling ! 


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 28 septembre 2010 16:43

      "Mais grâce à vous Romulus, j’ai compris !! Si les autorités rechignent à montrer les images du Boeing, c’est parce que cela va inciter plein de méchants comploteurs à clamer que c’est truqué.« 

      Raisonnement typique des truthers : se poser en victime pour ne pas assumer leur paranoïa.
      Evidemment que vous iriez clamer que la vidéo est truquée, vous soutenez que TOUT est truqué au Pentagone, que tout n’est qu’une formidable mise en scène ! Ce n’est pas une vulgaire vidéo montrant clairement un Boeing qui pourrait vous arrêter !

      Vous avez fait un lapsus révélateur : les truthers ne sont pas des comploteurs mais des complotistes, ce n’est pas la même chose. A moins peut-être que vous ne complotiez en secret pour inonder les médias de vos sophismes et mensonges à répétition, mais ça ne trompera personne.

       »les vilains comploteurs bushiste n’osent pas truquer les images car ils savent que les comploteurs d’en face savent les déchiffrer."

      Bush n’est plus président des Etats-Unis, donc ce que vous dites n’a pas de sens. Il ne vous est sans doute pas venu à l’idée que les autres caméras n’ont pas filmé le crash ?
      En cherchant sur internet à quoi servent les caméras de surveillance du Pentagone et vers quels endroits elles sont orientées, vous comprendrez pourquoi il est probable que la caméra dont les images ont été mises à la disposition du public fut la seule à avoir filmé le Boeing, elle n’enregistre je le rappelle, qu’une seule image par seconde.


    • charmord 28 septembre 2010 17:06

      Dans feu le zététique forum, on pouvait lire ceci :

      D’abord réglons le problème du temps d’obturation : pour une caméra de vidéosurveillance, l’objectif grand-angle, ou le zoom positionné en grand-angle (comme c’est le cas sur cette vidéo), une grande ouverture de diaphragme permet une assez bonne profondeur de champ, suffisante pour filmer net depuis environ 1m jusqu’à l’infini. Les objectifs de ces vidéos caméras de surveillance sont la plupart du temps une focale fixe très gramd angulaire, réglée d’office sur une ouverture*mise au point permettant la netteté entre quelques dizaines de cms et l’infini. Grande ouverture de diaphragme + grand soleil, cela donne un temps d’exposition très court, permettant de « geler » un objet en mouvement. On constate d’ailleurs que l’explosion de l’impact est gelée, et non floue (comme cela aurait donné avec un long temps d’obturation). 1/60 de sec. suffit pour geler suffisamment un avion se déplaçant à plus de 100 mètres, volant à 250 mètres seconde. Encore plus net si on prend vos chiffres de 110 mètres/seconde seulement de vitesse de déplacement (ici, 1/30 sec. d’obturation serait largement suffisant).

      Ensuite, le problème de la fréquence de prise de vues, les fameux fps en anglais (frames per second) :

      La fréquence de prises de vues d’une caméra peut aller de 25* im/sec pour vitesse normale, à plus rapide pour des images que l’on veut visionner au ralenti (50 im/sec, 100 im/sec, etc.), et plus lente, pour les vidéos de surveillance, afin d’économiser sur le stock d’informations. C-à-dire 1, 3, 6, 12 images/seconde.

      * 30 images/seconde aux states, vu leur système de balayage, et toutes les divisions y subséquentes, voire multiplications.

      Donc, on visionne maintenant les deux plus célèbres vidéos surveillance mises à disposition pour le public : aucune ne contient l’avion ! Quoique, dans l’une d’elles, on voit un truc blanchâtre. C’est le hasard qui en aurait décidé ainsi ? Voyons voir :

      - sur une longueur filmée de 250 mètres,
      - à un fps de 1 image/secondes,
      - un avion de vitesse 250 mètres/seconde,
      - de longueur 5 fois plus petite que la distance en question,

      L’avion a 100 % de chances qu’une partie de lui-même soit pris par la caméra ! Que ce soit le nez ou la queue !

      Mais la vitesse de l’avion étant de moitié, selon vos calculs à 110 mètres/sec, les chances restent toujours de 100 %: on verrait en fait plus de prises avec un bout d’avion. Mathématiquement le double. Encore plus, proportionnellement, si l’angle de vue prend un horizon plus large (ou distance parcourue par l’avion dans la séquence, ce qui revient au même).

      Si la fréquence fps était de 2, 3 voire plus d’images/seconde, les chances restent de 100 %, mais on verrait un bout de l’avion sur chaque image intermédiaire, au prorata de l’augmentation d’images intermédiaires.

      Tout cela pour dire non pas que les vidéos furent truquées, ni que le Boeing n’existe pas, mais que selon ces chiffres minimalistes, 1 image/seconde seulement, on peut espérer voir l’avion ou un bout de l’avion sur chaque video qui aurait pris un champ minimum de 110 mètres. Et plus encore de prises contenant l’avion ou un bout de l’avion, au prorata de l’augmentation de champ/longueur prise par l’objectif.

      Et à un to-sphiste qui lui demande :

      Ça donne quoi déjà, un objet qui bouge vite sur une photo prise en longue pose ?

      Il répond :

      Bouh ! Question pour un champion je parie ? La question est tellement floue qu’elle mérite une réponse précise...

      Ca donne un objet flou proportionnellement à sa vitesse de déplacement/temps d’exposition.

      - Si L’objet se déplace à 1 m/sec pour un temps d’exposition de 1/2 sec, sa « traînée » sera de 50 cms... Pour 1/50 sec, elle sera de 2 cm, pour 1/100 sec, elle sera de 1 cm, et ainsi de suite. OK ?

      Une traînée (un flou) de 2 cms sur un avion de plus de 50 mètres de longueur, donnera, si l’avion est à envirom 100 mètres de distance, une image très nette au flou négligeable, voire invisible selon la résolution de l’image. A partir de là, vous pouvez facilement faire vous-même tous les calculs par combinaisons possibles.


      Qu’en penses-tu, Romulus Minus ?


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 28 septembre 2010 21:46

      J’en pense que tu viens de prouver que les avocats en immobilier ne sont pas les plus rigoureux lorsqu’ils essaient de suivre un raisonnement logique, et qui plus est, scientifique.


  • charmord 27 septembre 2010 17:31

    Peu avant la conclusion de cet article mémorable de nullité, on lit ceci :

    « On a vu que la société Convar, qui avait cru d’abord avoir pu reconstituer des disques durs, se ravisa finalement après avoir fait sa révélation fracassante ».

    Ce passage renvoir à un lien d’un article de foxnews du 17 décembre 2001 où selon l’auteur, Convar aurait finalement avoué ne pas être parvenu à reconstituer les disques durs...

    Or, quand on va voir le lien qu’il indique, on se rend compte que l’article en question se conclut comme suit :

    « We’re helping them find out what happened to the computers Sept 11 as quickly as possible. I’m sure that one day they will know what happened to the money.’’

     Avec un titre aussi explicite que »German Firm Probes Final World Trade Center Deals« , on aurait pu chercher longtemps cette fracassante révélation de Monsieur Donald Forestier, selon laquelle Convar ne serait pas parvenu à reconsituer les disques durs.

    Décidément, Monsieur Forestier se pose en atout n°1 du truth mouvement, malgré la forte concurrence dans le milieu des debunkers.

    Pour un abord plus sérieux et mesuré de cette affaire »Convar", on peut lister les liens suivants :

    http://www.youtube.com/watch?v=Nh3_wWmS6lk&feature=player_embedded

    http://www.journalof911studies.com/volume/2008/GhostWTC.pdf

    http://forum.reopen911.info/p205479-07-10-2009-17-26-10.html

    Dans un article de CNN du 20 décembre 2001, on lit ceci :

    (...)

    That’s where Convar Systeme Deutschland GmbH comes in. The company is helping reconstruct data from hard disk drives found in the ruins of the twin towers. While other data-recovery companies are also involved in the effort, the company says it has a special edge : a laser-based scanning technology developed about two years ago.

    Using the technology, « It’s possible to read the individual drive surfaces, and then create a virtual drive, » said Peter Wagner, a spokesman for the company, a subsidiary of U.K.-based Convar Europe Ltd. « Our competitors mostly work with (magnetic) heads, which is a very tedious process, but also risky. »

    Because of the fine dust created by the explosions that destroyed the towers, which was driven at high pressure into devices, physically touching the drive surfaces can damage them, he said.

    « Laser scanning is a good deal quicker, has a higher success rate, and is also cheaper, » he added. Companies contracting with Convar pay between US$20,000 and $30,000 per drive for the work.

    When Convar discovers encryption keys on a drive, indicating a financial record, it saves the information and hands it over to its U.S. clients, who are in turn cooperating with the FBI, he said.

    The company has completed processing 39 drives ; another 42 have arrived, and a further 20 drives are expected in early January, Wagner said.

    (...)

    Il résulte par conséquent du dernier passage que j’ai mis en évidence, la technique utilisée par Convar non seulement a été mise en application mais est parvenue à reconstituer les données des disques de dur.

    La vidéo citée en premier lien permet de comprendre que les données financières retrouvées ont été mises au frigo. Toutefois, un employé de Convar avait eu le temps de révéler que :

    The suspicion is that inside information about the attack was used to send financial transaction commands and authorisations in the belief that amid all the chaos the criminals would have, at the very least, a good head start,« said Convar director Peter Henschel. »

    « Richard Wagner, a data retrieval expert at the company, said illegal transfers of more than $100 million might have been made immediately before and during the disaster. »

    « There is a suspicion that some people had advance knowledge of the approximate time of the plane crashes in order to move out amounts exceeding $100 million, » Wagner said.

    « They thought that the records of their transactions could not be traced after the main frames were destroyed. »

    « Henschel said the companies in the United States were working together with the FBI to piece together what happened on September 11 and that he was confident the destination of the dubious transactions would one day be tracked down. »

    Autrement dit que, les disques durs dont les données ont été exumées par Convar en concertation avec le FBI avaient révélé des transactions fortement suspicieuses au moment même où les attaques se déroulaient et pour des montants conséquents. Le représentant de Convar, Mr Henschel, ajoutait qu’il espérait bien que les autorités en charge de l’enquête retrouveraient les titulaires de ces transactions, car à son estime, ils pensaient que ceux qui les avaient effectuées pensaient que l’on ne pourrait plus tracer en raison de la démolition complète des données.

    Etrange assertion quand on sait que l’effondrement progressif des WTC n’était pas une fatalité, compte tenu de l’absence totale d’antécédent à un tel phénomène...

    Finalement Convar a expliqué dans une émission néerlandaise Zembla que la nature compromettante des transactions était bel et bien acquise mais qu’il valait mieux ne pas se mêler de ce qui ne le regardait pas, ces données controversées étant secrètes...

    Voir ici :Peu avant la conclusion de cet article mémorable de nullité, on lit ceci :

    « On a vu que la société Convar, qui avait cru d’abord avoir pu reconstituer des disques durs, se ravisa finalement après avoir fait sa révélation fracassante ».

    Ce passage renvoir à un lien d’un article de foxnews du 17 décembre 2001 où selon l’auteur, Convar aurait finalement avoué ne pas être parvenu à reconstituer les disques durs...

    Or, quand on va voir le lien qu’il indique, on se rend compte que l’article en question se conclut comme suit :

    "We’re helping them find out what happened to the computers Sept 11 as quickly as possible. I’m sure that one day they will know what happened to the money.’’

     Avec un titre aussi explicite que « German Firm Probes Final World Trade Center Deals », on aurait pu chercher longtemps cette fracassante révélation de Monsieur Donald Forestier, selon laquelle Convar ne serait pas parvenu à reconsituer les disques durs.

    Décidément, Monsieur Forestier se pose en atout n°1 du truth mouvement, malgré la forte concurrence dans le milieu des debunkers.

    Pour un abord plus sérieux et mesuré de cette affaire « Convar », on peut lister les liens suivants :

    http://www.youtube.com/watch?v=Nh3_wWmS6lk&feature=player_embedded

    http://www.journalof911studies.com/volume/2008/GhostWTC.pdf

    http://forum.reopen911.info/p205479-07-10-2009-17-26-10.html

    Dans un article de CNN du 20 décembre 2001, on lit ceci :

    (...)

    That’s where Convar Systeme Deutschland GmbH comes in. The company is helping reconstruct data from hard disk drives found in the ruins of the twin towers. While other data-recovery companies are also involved in the effort, the company says it has a special edge : a laser-based scanning technology developed about two years ago.

    Using the technology, « It’s possible to read the individual drive surfaces, and then create a virtual drive, » said Peter Wagner, a spokesman for the company, a subsidiary of U.K.-based Convar Europe Ltd. « Our competitors mostly work with (magnetic) heads, which is a very tedious process, but also risky. »

    Because of the fine dust created by the explosions that destroyed the towers, which was driven at high pressure into devices, physically touching the drive surfaces can damage them, he said.

    « Laser scanning is a good deal quicker, has a higher success rate, and is also cheaper, » he added. Companies contracting with Convar pay between US$20,000 and $30,000 per drive for the work.

    When Convar discovers encryption keys on a drive, indicating a financial record, it saves the information and hands it over to its U.S. clients, who are in turn cooperating with the FBI, he said.

    The company has completed processing 39 drives ; another 42 have arrived, and a further 20 drives are expected in early January, Wagner said.

    (...)

    Il résulte par conséquent du dernier passage que j’ai mis en évidence, la technique utilisée par Convar non seulement a été mise en application mais est parvenue à reconstituer les données des disques de dur.

    La vidéo citée en premier lien permet de comprendre que les données financières retrouvées ont été mises au frigo. Toutefois, un employé de Convar avait eu le temps de révéler que :

    The suspicion is that inside information about the attack was used to send financial transaction commands and authorisations in the belief that amid all the chaos the criminals would have, at the very least, a good head start,« said Convar director Peter Henschel. »

    « Richard Wagner, a data retrieval expert at the company, said illegal transfers of more than $100 million might have been made immediately before and during the disaster. »

    « There is a suspicion that some people had advance knowledge of the approximate time of the plane crashes in order to move out amounts exceeding $100 million, » Wagner said.

    « They thought that the records of their transactions could not be traced after the main frames were destroyed. »

    « Henschel said the companies in the United States were working together with the FBI to piece together what happened on September 11 and that he was confident the destination of the dubious transactions would one day be tracked down. »

    Autrement dit que, les disques durs dont les données ont été exumées par Convar en concertation avec le FBI avaient révélé des transactions fortement suspicieuses au moment même où les attaques se déroulaient et pour des montants conséquents. Le représentant de Convar, Mr Henschel, ajoutait qu’il espérait bien que les autorités en charge de l’enquête retrouveraient les titulaires de ces transactions, car à son estime, ils pensaient que ceux qui les avaient effectuées pensaient que l’on ne pourrait plus tracer en raison de la démolition complète des données.

    Etrange assertion quand on sait que l’effondrement progressif des WTC n’était pas une fatalité, compte tenu de l’absence totale d’antécédent à un tel phénomène...

    Finalement Convar a expliqué dans une émission néerlandaise Zembla que la nature compromettante des transactions était bel et bien acquise mais qu’il valait mieux ne pas se mêler de ce qui ne le regardait pas, ces données controversées étant secrètes...

    Peu avant la conclusion de cet article mémorable de nullité, on lit ceci :

    « On a vu que la société Convar, qui avait cru d’abord avoir pu reconstituer des disques durs, se ravisa finalement après avoir fait sa révélation fracassante ».

    Ce passage renvoir à un lien d’un article de foxnews du 17 décembre 2001 où selon l’auteur, Convar aurait finalement avoué ne pas être parvenu à reconstituer les disques durs...

    Or, quand on va voir le lien qu’il indique, on se rend compte que l’article en question se conclut comme suit :

    "We’re helping them find out what happened to the computers Sept 11 as quickly as possible. I’m sure that one day they will know what happened to the money.’’

     Avec un titre aussi explicite que « German Firm Probes Final World Trade Center Deals », on aurait pu chercher longtemps cette fracassante révélation de Monsieur Donald Forestier, selon laquelle Convar ne serait pas parvenu à reconsituer les disques durs.

    Décidément, Monsieur Forestier se pose en atout n°1 du truth mouvement, malgré la forte concurrence dans le milieu des debunkers.

    Pour un abord plus sérieux et mesuré de cette affaire « Convar », on peut lister les liens suivants :

    http://www.youtube.com/watch?v=Nh3_wWmS6lk&feature=player_embedded

    http://www.journalof911studies.com/volume/2008/GhostWTC.pdf

    http://forum.reopen911.info/p205479-07-10-2009-17-26-10.html

    Dans un article de CNN du 20 décembre 2001, on lit ceci :

    (...)

    That’s where Convar Systeme Deutschland GmbH comes in. The company is helping reconstruct data from hard disk drives found in the ruins of the twin towers. While other data-recovery companies are also involved in the effort, the company says it has a special edge : a laser-based scanning technology developed about two years ago.

    Using the technology, « It’s possible to read the individual drive surfaces, and then create a virtual drive, » said Peter Wagner, a spokesman for the company, a subsidiary of U.K.-based Convar Europe Ltd. « Our competitors mostly work with (magnetic) heads, which is a very tedious process, but also risky. »

    Because of the fine dust created by the explosions that destroyed the towers, which was driven at high pressure into devices, physically touching the drive surfaces can damage them, he said.

    « Laser scanning is a good deal quicker, has a higher success rate, and is also cheaper, » he added. Companies contracting with Convar pay between US$20,000 and $30,000 per drive for the work.

    When Convar discovers encryption keys on a drive, indicating a financial record, it saves the information and hands it over to its U.S. clients, who are in turn cooperating with the FBI, he said.

    The company has completed processing 39 drives ; another 42 have arrived, and a further 20 drives are expected in early January, Wagner said.

    (...)

    Il résulte par conséquent du dernier passage que j’ai mis en évidence, la technique utilisée par Convar non seulement a été mise en application mais est parvenue à reconstituer les données des disques de dur.

    La vidéo citée en premier lien permet de comprendre que les données financières retrouvées ont été mises au frigo. Toutefois, un employé de Convar avait eu le temps de révéler que :

    The suspicion is that inside information about the attack was used to send financial transaction commands and authorisations in the belief that amid all the chaos the criminals would have, at the very least, a good head start,« said Convar director Peter Henschel. »

    « Richard Wagner, a data retrieval expert at the company, said illegal transfers of more than $100 million might have been made immediately before and during the disaster. »

    « There is a suspicion that some people had advance knowledge of the approximate time of the plane crashes in order to move out amounts exceeding $100 million, » Wagner said.

    « They thought that the records of their transactions could not be traced after the main frames were destroyed. »

    « Henschel said the companies in the United States were working together with the FBI to piece together what happened on September 11 and that he was confident the destination of the dubious transactions would one day be tracked down. »

    Autrement dit que, les disques durs dont les données ont été exumées par Convar en concertation avec le FBI avaient révélé des transactions fortement suspicieuses au moment même où les attaques se déroulaient et pour des montants conséquents. Le représentant de Convar, Mr Henschel, ajoutait qu’il espérait bien que les autorités en charge de l’enquête retrouveraient les titulaires de ces transactions, car à son estime, ils pensaient que ceux qui les avaient effectuées pensaient que l’on ne pourrait plus tracer en raison de la démolition complète des données.

    Etrange assertion quand on sait que l’effondrement progressif des WTC n’était pas une fatalité, compte tenu de l’absence totale d’antécédent à un tel phénomène...

    Finalement Convar a expliqué dans une émission néerlandaise Zembla que la nature compromettante des transactions était bel et bien acquise mais qu’il valait mieux ne pas se mêler de ce qui ne le regardait pas, ces données controversées étant secrètes...

    http://www.youtube.com/watch?v=Nh3_wWmS6lk#

    Ces données figureraient-elles parmi celles qui ont été détruites par les autorités ? 

    Vous savez, celle dont l’inexistence arguée de normale, permet aux Moorea et Consorts de parader sur ces forums en invoquant, à l’appui de deux maigrichons rapports censés faire la synthèse des « années d’enquêtes » sur les délits d’initiés par la SEC et le FBI, un leitmotiv aussi burlesque que " Et vous êtes même pas ’cap’ de prouver l’inexactitude des données et conclusions de ces rapports, alors vous pouvez que la fermer ?

    Mais notre garde forestier de la mythologie officielle - ce grand écrivain qui ne s’ignore pas - pulvérise les sophismes de ces debunkers pour marteller un énorme mensonge ni vu ni connu.
     
    Il nie la reconstitution des données par le procédé de Convar, à l’encontre des affirmations de certains représentants de cette société, et en se fondant sur un article qui ne dit pas du tout ce qu’il lui fait dire, à savoir que Convar n’aurait en fait jamais été en mesure de retrouver la trace des disques durs des oridinateurs...

    Résultat : 0/100, Monsieur Forestier. Recalé !



  • charmord 27 septembre 2010 18:03

    Texte un peu refait : Quand l’auteur D. Forestier délire à propos de l’affaire Convar

     

    a) Peu avant la conclusion de cet article mémorable de nullité, on y lit ceci :

    « On a vu que la société Convar, qui avait cru d’abord avoir pu reconstituer des disques durs, se ravisa finalement après avoir fait sa révélation fracassante ».

    Ce passage renvoie à un lien d’un article de foxnews du 17 décembre 2001 où selon l’auteur, Convar aurait finalement avoué ne pas être parvenu à reconstituer les disques durs...

    Or, quand on va voir le lien qu’il indique, on se rend compte que l’article en question se conclut comme suit :

    "We’re helping them find out what happened to the computers Sept 11 as quickly as possible. I’m sure that one day they will know what happened to the money.’’

     Avec un titre aussi explicite que « German Firm Probes Final World Trade Center Deals », on aurait pu chercher longtemps dans cet article cette fracassante révélation de Monsieur Donald Forestier, selon laquelle Convar ne serait pas parvenu à reconstituer les disques durs.

    Tout gros mensonge, donc ou incompréhension telle que le métier de journaliste même cyber devait être refusé à Monsieur Forestier, pour le reste de sa pauvre existence.

    b) Dans un article de CNN du 20 décembre 2001, on lit ceci :

    (...)
    That’s where Convar Systeme Deutschland GmbH comes in. The company is helping reconstruct data from hard disk drives found in the ruins of the twin towers. While other data-recovery companies are also involved in the effort, the company says it has a special edge : a laser-based scanning technology developed about two years ago.

    Using the technology, « It’s possible to read the individual drive surfaces, and then create a virtual drive, » said Peter Wagner, a spokesman for the company, a subsidiary of U.K.-based Convar Europe Ltd. « Our competitors mostly work with (magnetic) heads, which is a very tedious process, but also risky. »

    Because of the fine dust created by the explosions that destroyed the towers, which was driven at high pressure into devices, physically touching the drive surfaces can damage them, he said.

    « Laser scanning is a good deal quicker, has a higher success rate, and is also cheaper, » he added. Companies contracting with Convar pay between US$20,000 and $30,000 per drive for the work.

    When Convar discovers encryption keys on a drive, indicating a financial record, it saves the information and hands it over to its U.S. clients, who are in turn cooperating with the FBI, he said.

    The company has completed processing 39 drives ; another 42 have arrived, and a further 20 drives are expected in early January, Wagner said.(...)

    Il résulte par conséquent du dernier passage que j’ai mis en évidence, que la technique utilisée par Convar non seulement a été mise en application mais est parvenue à reconstituer fut-ce partiellement, les données des disques de dur.

    c) Une personne travaillant chez Convar a eu le temps de révéler ensuite que :

    The suspicion is that inside information about the attack was used to send financial transaction commands and authorisations in the belief that amid all the chaos the criminals would have, at the very least, a good head start,« said Convar director Peter Henschel. »

    « Richard Wagner, a data retrieval expert at the company, said illegal transfers of more than $100 million might have been made immediately before and during the disaster. »

    « There is a suspicion that some people had advance knowledge of the approximate time of the plane crashes in order to move out amounts exceeding $100 million, » Wagner said.

    « They thought that the records of their transactions could not be traced after the main frames were destroyed. »

    « Henschel said the companies in the United States were working together with the FBI to piece together what happened on September 11 and that he was confident the destination of the dubious transactions would one day be tracked down.
     »

    Autrement dit que, les disques durs dont les données ont été exumées par Convar en concertation avec le FBI avaient révélé des transactions fortement suspicieuses au moment même où les attaques se déroulaient et pour des montants conséquents.

    Le représentant de Convar, Mr Henschel, ajoutait qu’il espérait bien que les autorités en charge de l’enquête retrouveraient les titulaires de ces transactions, car à son estime, ils pensaient que ceux qui les avaient effectuées pensaient que l’on ne pourrait plus tracer en raison de la démolition complète des données.

    Etrange assertion quand on sait que l’effondrement progressif des WTC n’était pas une fatalité, compte tenu de l’absence totale d’antécédent à un tel phénomène...

    Finalement, Convar a expliqué dans une émission néerlandaise Zembla que la nature compromettante des transactions était bel et bien acquise mais qu’il valait mieux ne pas se mêler de ce qui ne le regardait pas, ces données controversées étant secrètes...

    Voir ici : http://www.youtube.com/watch?v=Nh3_wWmS6lk#

    Ces données figureraient-elles parmi celles qui ont été détruites par les autorités ? 

    Vous savez, celle dont l’inexistence arguée de normale, permet aux Moorea et Consorts de parader sur ces forums en invoquant, à l’appui de deux maigrichons rapports censés faire la synthèse des « années d’enquêtes » sur les délits d’initiés par la SEC et le FBI, un leitmotiv aussi burlesque que " Et vous êtes même pas ’cap’ de prouver l’inexactitude des données et conclusions de ces rapports, alors vous pouvez que la fermer ?

    Mais notre garde forestier de la mythologie officielle - ce grand écrivain qui ne s’ignore pas - pulvérise les sophismes de ces debunkers pour marteller un énorme mensonge ni vu ni connu : La reconstitution des données par le procédé de Convar n’a pas eu lieu, à l’encontre des affirmations de certains représentants de cette société. Le tout en se fondant sur un article qui ne dit pas du tout ce qu’il lui fait dire, à savoir que les experts n’auraient en fait jamais été en mesure de décrypter les données des disques durs des oridinateurs...

    Résultat : 0/100, Monsieur Forestier. Recalé !

    d) Pour un abord plus sérieux et mesuré de cette affaire « Convar », on peut lister les liens suivants :

    http://www.youtube.com/watch?v=Nh3_wWmS6lk&feature=player_embedded

    http://www.journalof911studies.com/volume/2008/GhostWTC.pdf

    http://forum.reopen911.info/p205479-07-10-2009-17-26-10.html


  • charmord 27 septembre 2010 18:19

    Quand l’auteur D. Forestier délire à propos de l’affaire Convar
     

    a) Peu avant la conclusion de cet article mémorable de nullité, on y lit ceci :

    « On a vu que la société Convar, qui avait cru d’abord avoir pu reconstituer des disques durs, se ravisa finalement après avoir fait sa révélation fracassante ».

    Ce passage renvoie à un lien d’un article de foxnews du 17 décembre 2001 où selon l’auteur, Convar aurait finalement avoué ne pas être parvenu à reconstituer les disques durs...

    Or, quand on va voir le lien qu’il indique, on se rend compte que l’article en question se conclut comme suit :

    « We’re helping them find out what happened to the computers Sept 11 as quickly as possible. I’m sure that one day they will know what happened to the money.’’

    Avec un titre aussi explicite que »German Firm Probes Final World Trade Center Deals", on aurait pu chercher longtemps, dans l’article qu’il cite, cette fracassante révélation de Monsieur Donald Forestier, selon laquelle Convar ne serait pas parvenu à reconstituer les disques durs.

    Tout gros mensonge, donc ou incompréhension telle que le métier de journaliste - même cyber - devait être refusé à Monsieur Forestier, pour le reste de sa pauvre existence.

    b) Dans un article de CNN du 20 décembre 2001, on lit ceci :

    (...)
    That’s where Convar Systeme Deutschland GmbH comes in. The company is helping reconstruct data from hard disk drives found in the ruins of the twin towers. While other data-recovery companies are also involved in the effort, the company says it has a special edge : a laser-based scanning technology developed about two years ago.

    Using the technology, « It’s possible to read the individual drive surfaces, and then create a virtual drive, » said Peter Wagner, a spokesman for the company, a subsidiary of U.K.-based Convar Europe Ltd. « Our competitors mostly work with (magnetic) heads, which is a very tedious process, but also risky. »

    Because of the fine dust created by the explosions that destroyed the towers, which was driven at high pressure into devices, physically touching the drive surfaces can damage them, he said.

    « Laser scanning is a good deal quicker, has a higher success rate, and is also cheaper, » he added. Companies contracting with Convar pay between US$20,000 and $30,000 per drive for the work.

    When Convar discovers encryption keys on a drive, indicating a financial record, it saves the information and hands it over to its U.S. clients, who are in turn cooperating with the FBI, he said.

    The company has completed processing 39 drives ; another 42 have arrived, and a further 20 drives are expected in early January, Wagner said.(...)

    Il résulte par conséquent du dernier passage que j’ai mis en évidence, que la technique utilisée par Convar non seulement a été mise en application mais est parvenue à reconstituer fut-ce partiellement, les données des disques de dur.

    c) Une personne travaillant chez Convar a eu le temps de révéler ensuite à l’agence Reuter que :

    The suspicion is that inside information about the attack was used to send financial transaction commands and authorisations in the belief that amid all the chaos the criminals would have, at the very least, a good head start,« said Convar director Peter Henschel. »

    « Richard Wagner, a data retrieval expert at the company, said illegal transfers of more than $100 million might have been made immediately before and during the disaster. »

    « There is a suspicion that some people had advance knowledge of the approximate time of the plane crashes in order to move out amounts exceeding $100 million, » Wagner said.

    « They thought that the records of their transactions could not be traced after the main frames were destroyed. »

    « Henschel said the companies in the United States were working together with the FBI to piece together what happened on September 11 and that he was confident the destination of the dubious transactions would one day be tracked down. »

    Autrement dit que, les disques durs dont les données ont été exumées par Convar en concertation avec le FBI avaient révélé des transactions fortement suspicieuses au moment même où les attaques se déroulaient et pour des montants conséquents.

    Le représentant de Convar, Mr Henschel, ajoutait qu’il espérait bien que les autorités en charge de l’enquête retrouveraient les titulaires de ces transactions, car à son estime, ils pensaient que ceux qui les avaient effectuées pensaient que l’on ne pourrait plus tracer en raison de la démolition complète des données.

    Etrange assertion quand on sait que l’effondrement progressif des WTC était loin d’être une fatalité suite au crash d’avion, compte tenu de l’absence totale d’antécédent à un tel phénomène...

    Finalement, Convar a confirmé lors de l’émission néerlandaise Zembla la nature compromettante des transactions mais qu’il valait mieux ne pas se mêler de ce qui ne le regardait pas, ces données controversées étant secrètes...

    Voir ici : http://www.youtube.com/watch?v=Nh3_wWmS6lk#

    Ces données figureraient-elles parmi celles qui ont été détruites par les autorités ?

    Vous savez, celle dont l’inexistence arguée de normale, permet aux Moorea et Consorts de parader sur ce forum et d’autres en invoquant, à l’appui de deux maigrichons rapports du FBI et de la SEC censés faire la synthèse des « années d’enquêtes » sur les délits d’initiés, un leitmotiv aussi burlesque que " Et vous êtes même pas ’cap’ de prouver l’inexactitude des données et conclusions de ces rapports, alors vous pouvez que la fermer ?

    Mais notre garde forestier de la mythologie officielle - ce grand écrivain qui ne s’ignore pas - pulvérise les sophismes de ces debunkers pour marteller un énorme mensonge ni vu ni connu : La reconstitution des données par le procédé de Convar n’a pas eu lieu, à l’encontre des affirmations de certains représentants de cette société. Le tout en se fondant sur un article qui ne dit pas du tout ce qu’il lui fait dire, à savoir que les experts n’auraient en fait jamais été en mesure de décrypter les données des disques durs des oridinateurs...

    Résultat : 0/100, Monsieur Forestier. Recalé !

    d) Pour un abord plus sérieux et mesuré de cette affaire « Convar », on peut lister les liens suivants :

    http://www.youtube.com/watch?v=Nh3_wWmS6lk

    http://www.journalof911studies.com/volume/2008/GhostWTC.pdf

    http://forum.reopen911.info/p205479-07-10-2009-17-26-10.html


  • Romulus Augustule Romulus Augustule 27 septembre 2010 19:00

    Question à tous les truthers :

    Les comploteurs ont réussi à envoyer deux avions de ligne réels dans les Tours Jumelles le 11 septembre. Alors pourquoi auraient-ils choisi d’opérer différemment pour Shanksville et le Pentagone ?

    Décidément, vos théories sont vraiment abracadabrantesques, et le pire est certainement que vous n’avez pas le courage d’assumer vos opinions. Votre esprit est incapable d’intégrer les principes fondamentaux de la logique, comme par exemple la non-contradiction d’un raisonnement utilisé. Un modèle dans ce genre de sophismes est sans doute Oduesp avec sa phrase «  »Présenter des boîtes noires sans identification, c’est louche... avec numéros, c’est mieux." qu’il faudrait encadrer et mettre en page d’accueil de tous les sites de Debunking pour montrer à quel point les truthers sont atteints de dissonance cognitive !


    • birdy 28 septembre 2010 17:28

      Mais pourquoi vous entêtez vous à essayer de raisonner des gens en plein délire ?


      Vous savez bien que toute cette mascarade n’a qu’un but et un seul : mettre les attentats islamistes sur le dos des américains et des juifs.

      Croyez vous un instant que les truffiers croient à leurs propres mensonges ? CE N’EST QUE DE LA PROPAGANDE.

  • agent orange agent orange 28 septembre 2010 15:41

    J’ai arrêté la lecture à : "en plus d’avoir vu quatre avions de ligne s’effondrer sur diverses cibles symboliques".
    Moi perso j’ai vu que deux avions (à la télé) percuter les tours du WTC, mais pas les deux autres.
    Si l’auteur à des images des crashes du Pentagone et celui de Pennsylvanie, je suis preneur.


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 28 septembre 2010 17:18

      Vous vous appelez Saint Thomas.
      C’est vrai qu’une bonne petite vidéo est une preuve supérieure à tous les éléments retrouvés sur place (ADN, débris, dégâts collatéraux, pylônes arrachés, boîtes noires, affaires personnelles des passagers, données radar, plus de 150 témoignages, trou de 28 mètres...) ainsi que les appels de certains passagers à leurs familles.
      C’est un peu comme si vous disiez que les empreintes d’un malfaiteur, son ADN, ses affaires, sa signature et l’enregistrement de sa voix au moment des faits n’étaient pas une preuve de sa culpabilité, parce qu’il n’a pas été filmé clairement au moment de son forfait. Tous les procès des 20 dernières années (et même davantage) doivent donc être révisés sur-le-champ dites-moi...


    • charmord 28 septembre 2010 17:43

      Auguste Minus,

      Ce n’est pas en répétant tout le temps des affirmations non étayées et précédemment réfutées que tu vas convaincre quiconque, et ce quel que soit le ton vindicatif utilisé du gars à qui on le fait pas...

      Le fait est que tes « preuves » sont déterminantes sur le papier mais quand on les examine dans les détails, elle tombent comme les feuilles en automne. Elles ne réunissent en effet pas les qualités d’ordinaire attribués à des éléments dun dossier pour devenir probantes : absence de procédé d’authentification (des données de la boîte noire, de l’immense majorité des récits de témoins, des photographies, des vidéos), absence de l’application du principe de « chain of custody » (eesentiel à la validation des preuves dites "génétiques, voir lien précité), absence de vérification interne et externe des éléments à charge, absence de cohérence par rapport à d’autres éléments à décharge oubliés dans la théorie officielle, soupçons de mensonges et d’invraisemblances de certains éléments à charge, ... 

      Tu peux continuer à crier au négationnisme. Pour ma part, je trouve ce terme plus approprié pour qualifier l’auteur de cet article qui prétend que, contrairement aux dires de ses représentants, dont le directeur général, Convar n’aurait en fait jamais été en mesure de reconstituer les données des disques durs des ordinateurs ayant enregistré l’augmentation massive de transactions supectes en temps réel, alors que les tours vivaient leurs derniers instants.


    • agent orange agent orange 28 septembre 2010 17:46

      Donc on retrouve l’ADN et les effets personnels des passagers des crashes du Pentagone et en Pensylvanie mais aucun des moteurs ou une grosse pièce distinctive des avions ?

      Par ailleurs les appels téléphoniques depuis les avions fonctionnaient à merveille alors qu’au sol à Washington toutes les lignes étaient en dérangement (jammed) si l’on en croit les sénateurs Tom Daschle et Patrick Leahy. Le Capitole avait été évacué, bien avant la « frappe » sur le Pentagone et ils essayaient, ainsi que leurs collègues, de joindre leurs proches, leurs amis ou simplement les divers centres décisionnels.

      Sur quelle planète vivez-vous Romulus ?


    • Romulus Augustule Romulus Augustule 28 septembre 2010 21:54

      Assurément pas sur la vôtre, qui est envahie par des pantins lobotomisés tels que vous et charmord : vous mériteriez une médaille pour service rendu à la Grande Désinformation.


  • Guit'z Guit’z 29 septembre 2010 12:31

    Je ne résiste pas au plaisir de diffuser ce petit texte envoyé à mes amis le 11/9 2001, histoire d’ajouter mon Flux RSS à l’infinissable « déforestation » du Donald...
    Donald Forestier, l’homme qui se voulait l’écho ramollo des cancans de nos canards laquais !

    11/09/2010

    Bonjour,

    La météo d’hier, qui prévoyait de la pluie, s’est encore gourée : le soleil brille entre les nuages, la vie est belle !

    ***

    On va, comme toujours, m’accuser d’idées fantaisistes, intolérables, « conspirationnistes », et patati et patata : c’est avec les mots les plus vides de sens qu’on se rassure le mieux !

    Ha ! Ha ! Ha !

    Notables respectables c’est-à-dire respectueux, communicants qui ne disent que des conneries du matin au soir, et journaleux certifiés conformes n’enquêtant plus que dans les clous, sont bien sûr unanimes en leurs vases clos : le 11-Septembre, c’est un coup des méchants Muslims qui veulent détruire notre belle société de consommation démocratique, virtuelle et biométrique ! « Nous » les gentils versus « Eux » les méchants : CQFD !

    Alors que l’accumulation d’évidences contraires se poursuit à vitesse grand V, le scénario grotesque imposé par l’Administration Bush et relayé le jour même par l’effrayant suivisme de la domesticité médiateuse, reste la seule formulation autorisée des faits - quoiqu’elle-même interprétative jusqu’au déni de réalité pur et simple ; et dès lors accusant de délire tout contradicteur susceptible de la mettre à mal. J’appelle conspirologue l’espèce d’illuminé catatonique voyant des conspirationnistes partout... Or, comme il paraît que le « conspirationniste parano » est un négationniste masqué, comment ne pas voir a contrario que le conspirologue est un militant de l’orthodoxie, un demandeur obnubilé de dogmes, un fondamentaliste des Versions Officielles... Et c’est vrai que j’en ai entendu, des cons de leur propre aveu ignorants du sujet, m’expliquer sans rire que douter de l’abracadabrant baratin néoconservateur sur le 11/9, c’était ipso facto nier la Shoah... Sacrés petits curés vigilants, radieux de confusionnisme imbu !

    Quand même, un seul exemple : qui parmi vous a jamais entendu parler de la tour WTC 7 ? Ce gratte-ciel de 180 mètres de haut, dont l’effondrement inexplicable à 17h20 dans la foulée des twins, suffit à faire s’effondrer à son tour l’hypothèse Ben Laden - ce Lee Harvey Oswald du 11-Septembre ! Et savez-vous, contrairement à ce que vous racontent vos torche-culs chéris façon Le Monde/Libé/Le Figaro, qu’il existe aux USA diverses associations rassemblant chacune DES MILLIERS DE SAVANTS, D’UNIVERSITAIRES & DE PROFESSIONNELS : ARCHITECTES, INGÉNIEURS, PILOTES CIVILS & MILITAIRES, ANALYSTES FINANCIERS, EX-AGENTS DES SERVICES SECRETS, etc, etc, TOUS CONVAINCUS A PARTIR DE LEUR PROPRE CHAMP D’EXPERTISE DE L’INANITÉ ABSOLUE DU RÉCIT OFFICIEL.

    Et que, n’en déplaise aux parisianistes emmurés, la vérité est que PLUS DE LA MOITIE DES AMERICAINS ne croient désormais plus un traitre mot du discours institutionnel au sujet de ce jour où tout a changé - et où l’Empire, du Patriot Act à l’Afghanistan, nous a montré son vrai visage, celui d’une dictature de moins en moins soft, c’est peu de le dire !

    Comme disait le Marquis de Sade aux premiers jours de la Révolution : Français, encore un effort !


  • Jesse Darvas Jesse Darvas 30 septembre 2010 21:58

    @agent orange : « Sur quelle planète vivez-vous Romulus ? »

    Je ne veux pas répondre pour lui mais je suppose qu’il vit sur la même planète que moi : celle où les soit-disant millions (ou milliards ?) de truthers ont péniblement réuni à ce jour 88 000$ pour faire « éclater la vérité »..
    trois explications possibles :
    - ils sont plutôt quelques centaines que quelques milliards...
    - ce sont tous des RMIstes
    - ce sont des crocodiles : « grandes gueules, petit bras »

    Dans tous les cas la CIA, les Illuminati, le Mossad, les Bilderberg et les Sages de Sion peuvent dormir sur leurs deux oreilles. La « vérité » (au sens des truthers) n’est pas prêt de « triompher »...
     smiley

    J’aime bien le site BuildingWhat (supporté d’ailleurs par Reopen911) car il permet de mesurer, en espèces sonnantes et trébuchantes, le poids réel de la centaine (tout au plus) de combattants qui distribuent les plus et les moins sur Agoravox (je suppose qu’ils sont fiers des 85% d’opposants à l’article de D.Forestier... c’est vrai que sur 83 personnes cela fait une masse d’une soixantaine de vengeurs qui doit faire trembler la CIA !)

    Ce qui me fascine vraiment c’est que certains trouvent encore un intérêt à discuter avec eux... comme Virgile avec Salim dans le dernier Nabe. On peut y trouver le plaisir d’une joute verbale mais encore faudrait-il avoir en face de soi autre chose qu’une cour des miracles aussi bizarrement composée avec son ressassement obsessionnel, ses tours qu’on fait sauter pour faire disparaître un dossier, ses avions holographiques et ses coups de fil fictifs. Je dois cependant avouer que ces clowns me font moins rire depuis que j’ai entendu l’ignominie d’Avery accusant (tout en reconnaissant ne pas avoir le dixième du courage nécessaire pour le faire en face) le père d’un gamin de 11 ans mort dans un des avions d’avoir envoyé sciemment son fils à la mort en allant jouer au golf.

    http://video.google.com/videoplay?docid=-7216643725166640147&hl=en#

    Je dois reconnaître que l’envie de vomir est assez tenace en écoutant ce genre de saloperie... avec en prime l’hypocrisie du Loose Change « dédié aux victimes » dont ce gamin mal élevé se moque en direct à la radio.


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