jeudi 6 février 2014 - par Gabriel

L’offre et la demande

A écouter les experts économiques de droite comme de gauche, pour que la croissance revienne il faut, soit favoriser la demande, soit favoriser l’offre ou bien plus finement, jouer sur les deux mais en favorisant l’une par rapport à l’autre. Voilà le fil d’Ariane, outil de nos pseudos experts, qui guide et enferme la société humaine dans un modèle de vie uniquement basé sur les actes d’achat et de vente depuis des décennies. Leur mimétisme appuyé confère à la singerie.

      Parlons de favoriser l’offre, cheval de bataille de la droite et de notre fauxcialiste mou adepte du scooter à niquab intégral. Favoriser l’offre, cela veut dire baisser les coûts des produits que l’on fabrique et que l’on vend et pour baisser ces coûts, les solutions actuelles sont connues :

1°) Agir sur la masse salariale en licenciant ou en délocalisant la fabrication dans des pays où il n’existe pas de protection sociale et où, si possible, il n’y a pas de droit du travail ce qui permet d’employer des esclaves corvéables à merci pour des clopinettes.

2°) Jouer sur la fabrication en utilisant des matières de qualité médiocre donc moins chères.

3°) Saigner au maximum les fournisseurs en étranglant leurs prix et en leur imposant des conditions d’achats drastiques.

4°) Produire de plus en plus vite et en très grande quantité.

5°) Programmer de manière générale l’obsolescence des biens de consommations proposés. 

      Vous remarquerez que dans cette liste, il n’est pas question de toucher aux très hauts salaires de certains dirigeants et encore moins de rogner sur les bénéfices et les rendements réclamés par les actionnaires. Parce que ceux qui vous donnent ces bons conseils ne se les appliquent évidement pas à eux même.

      Voyons maintenant la demande. Favoriser la demande, cela veut dire donner la possibilité à un maximum de consommateur d’acquérir des produits manufacturés. Pour cela, ce n’est pas magique, il faut que les acheteurs aient les moyens pour financer ces achats et ces moyens ne sont alimentés que si le consommateur a lui-même un travail rémunéré correctement c'est-à-dire, en fonction du coût de la vie du pays dans lequel il évolue. Ce qui exige une répartition des richesses en fonction de ses capacités et de son implication dans la chaine créatrice de bien de consommation et pour cela, il faut aussi fixer un plafond à l’enrichissement personnel sans limite d’une minorité afin de ne pas assécher ou appauvrir la capacité de financement du plus grand nombre.

      Seulement voilà, comme l’homme est financièrement corruptible et pète un câble dès qu’il a du pouvoir où des richesses, cela ne peut se faire sans règles strictes concernant la répartition de ces richesses produites. Jusqu’où, sans tomber dans un égalitarisme idiot qui tuerait tout esprit d’initiative, peut-on fixer ces limites ? Quelle partie doit revenir à un dirigeant, un investisseur, un cadre, un ouvrier ? Et quelle partie doit être réinjectée au bon fonctionnement de la communauté ? Vous l’aurez compris ici, l’individualisme en termes de possession c’est la mort de la société des hommes et nous en voyons les effets dévastateurs aujourd’hui.

      C’est donc un changement de paradigme qu’il faut amorcer rapidement et tous ensembles car non seulement, une majorité s’appauvrit et cela risque de tourner au bain de sang mais de plus, notre système actuel détruit notre environnement vital et, sans une réaction et une prise de conscience générale c’est, à court terme (un à deux siècles), la fin de la vie humaine et animale sur cette planète.  

      Il faut une offre de qualité constituée de produits écologiquement sains pour le consommateur et l’environnement, durable dans l’utilité mais recyclable ou biodégradable dans leur finalité. Des produits dont le besoin, individuel ou public, doit prévaloir sur des produits dont la seule utilité demeure cosmétique ou décorative.

 Il faut un contrôle au niveau du quantitatif comme du qualitatif. Une demande et une consommation raisonnée où, l’indispensable doit être prioritaire sur le nécessaire et le nécessaire chasser le superflu. Il faut donc agir en acquéreur responsable en adaptant ses achats à l’utilité réelle. Exemple ai-je besoin du dernier Smartphone, d’une voiture de 180 chevaux pour ne pas dépasser 130 Km/h, d’une maison de 200 m² pour deux personnes ? Sans parler des doubles, triples etc…

      Vous l’aurez compris, tout cela n’est pas dans nos principes et dans nos modes de vie. Cela demande rigueur et ce n’est pas une partie de plaisir. Il n’est pas question ici de tendance politique, mais de trouver un mode de gestion adapté pour la survie de l’espèce car le modèle actuel est devenu obsolète, il s’est emballé et il est devenu incontrôlable. Consommer sans limite c’est euthanasier la planète, c’est le suicide de masse à court terme. Imaginez que les chinois (1,500000000 d’individus) où que les indiens (1,200000000 d’individus) aient, comme en occident, presque chacun une automobile, eh bien, ce jour là il faudrait se faire greffer deux pots catalytiques à la place des poumons pour respirer sans parler que de toute façon l’énergie actuelle insuffisante pour les faire fonctionner sera déjà épuisée.

      Je n’ai pas abordé dans cet article le problème de surpopulation qui, qu’on le veuille ou non, induit de manière exponentielle par nos comportements tous les autres problèmes.

Je crains qu’ils nous faillent réapprendre la différence entre le coût des choses et leurs valeurs. Il est temps que nous prenions conscience de l'interdépendance totale des êtres et des choses, au sein de l'énergie universelle d'où émane toute Vie.

       Rien n’est bon, tout est bon, l’erreur est dans l’excès.



74 réactions


  • julius 1ER 6 février 2014 10:49

     Il faut un contrôle au niveau du quantitatif comme du qualitatif. Une demande et une consommation raisonnée ou, l’indispensable doit être prioritaire sur le nécessaire et le nécessaire chasser le superflu. Il faut donc agir en acquéreur responsable en adaptant ses achats à l’utilité réelle. Exemple ai je besoin du dernier Smartphone, d’une voiture de 180 chevaux pour ne pas dépasser 130 Km/h, d’une maison de 200 m² pour deux personnes ? Sans parler des doubles, triples etc…

    @ l’auteur
    Le problème c’est que si vous essayez de promouvoir cela vous allez être taxé de communiste, car au nom de la liberté d’entreprendre, la planification c’est caca, les voitures moins chères plus légères moins énergivores, c’est le retour à la Trabant etc.....
    en fait on n’est pas rendu, !!!!!
    en clair il faut repenser les transports les structures et infrastructures remettre la qualité de vie comme principe No 1 pour tous et non pour quelques uns, remettre le train du progrès en marche pour tous mais pour cela il faut un vaste consensus, et là c’est pas gagné avec ce qu’on voit tous les dimanches avec « la manifs pour quelques ZUNS » ......
    je suis d’accord, il faut remettre de l’intelligence et du bon sens à tous les étages de la fusée
    hors de cela point de salut ....

    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 11:07

      Bonjour Julius,

      Entièrement d’accord avec vous, c’est vrai que pour faire court je ne suis pas entré dans les détails mais le fait de mettre l’humain et la qualité de l’environnement au centre de toutes futures alternatives est primordial. Il ne s’agit pas ici de tendances politiques ou de couleur de drapeau mais de la survie des espèces dont la notre. Il faut que dans chaque décision l’aspect écologique prime (Lorsque je parle d’écologie, évidement, je ne parle pas des guignols actuels du gouvernements qui s’en revendiquent). Merci de votre commentaire.


    • Cédric Moreau Cédric Moreau 6 février 2014 15:18

      Au risque de passer pour un monomaniaque : passer à un système monétaire à Dividende Universel, engendrant une monnaie libre, permettrait de résoudre pratiquement tous ces problèmes, à relativement courte échéance.

      Nous avons déjà un consensus à travers la monnaie : simplement, celui-ci repose sur un système qui incite à la concurrence et à la destruction de l’autre : j’ai nommé la monnaie-crédit.

    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 15:25

      Cédric, pouvez vous en dire plus ? Merci


    • Cédric Moreau Cédric Moreau 6 février 2014 16:27

      Gabriel : je vous invite à lire le livre la Théorie Relative de la Monnaie, disponible librement sur Internet. L’auteur, un ingénieur français, y fait une démonstration mathématique (accessible pour un bachelier scientifique, je vous rassure) qui conclue qu’un système monétaire qui se veut respectueux des hommes entre eux à la fois dans l’espace et dans le temps (générations actuelles et futures donc) doit créer sa monnaie à l’aide du Dividende Universel, une forme de revenu de base.


      Autant vous prévenir : cela démonte beaucoup d’idées préconçues, et demande une certaine ouverture d’esprit. Mais le jeu en vaut la chandelle.

      De plus, nous disposons aujourd’hui de moyens informatique pour réaliser un tel système sans le concours des Etats, et 2 projets de systèmes monétaires basés sur le DU sont dors et déjà en cours de développement.

      Bonne lecture smiley

    • tesla_droid84 7 février 2014 10:52

      Pour l’histoire de la monnaie et comment on en est arrivé la, il y a ce magnifique reportage « les secrets du magiciens d’oz », les métaphore qui existait dans l’oeuvre originale Alice au pays des merveilles démontre assez clairement que Lewis Caroll avait compris le fonctionnement du systeme monétaire et l’importance de sa création

       www.youtube.com/watch ?v=Jsk-FdJwL60


      Pour ceux qui veulent « rentrer » dans la bete (argent dette) de façon technique, la video 100% monnaie. Qui est ce que j’ai trouvé de plus clair et avec une solution proposé à la fin.
      Je crois que l’on doit cette vidéo à Jacque Andre Hollbecq.
      www.centpourcentmonnaie.fr

    • tesla_droid84 7 février 2014 10:59

      J’ai écrit une bétise, se sont les métaphores de Lyman Frank Baum dans son oeuvre le magicien d’Oz... qui parle de création monétaire


    • izarn izarn 7 février 2014 12:45

      Introduire la raison dans la consommation est ubuesque. Si vous etes pauvre, vous etes obligé de raisonner. Plus vous etes riche, plus vous faites n’importe quoi...Analysez votre propre comportement quand vous recevez votre paye, et ensuite à la fin du mois...

      Faire de la camelote hight tech, c’est bien sur de l’escroquerie. Comme la batterie soudée à vie (Deux ans !) sur une tablette : Tablette jettable...Croire que le solide est plus cher que la camelote prédestinée à la poubelle est une erreur. La durée de vie de la qualité est plus grande, mais désormais la qualité doit etre aussi destinée à la poubelle dans les deux ans. De bonnes chaussures de marche tiennent plus de douze ans, la camelote bon marché 18 mois. Ca revient cher !
      Bref, c’est le délire industriel, la lobotomisation des individus trépanés par la pub qui est la principale cause. Inutile de jouer une pseudo raison, quand c’est le Système qui devient débile et qui programme l’obsolescence « legacy » lui-meme avec de plus en plus de perversité pour gagner plus...Fondamentalement le système mise sur le mensonge, la bétise et l’escroquerie pour survivre. N’essayons pas de trouver de la « raison » dans ce type de comportement systèmique : C’est du bernie Madoff. Point barre.
      Foutez les taule, vous verrez, ça ira beaucoup mieux !



  • Daniel Roux Daniel Roux 6 février 2014 11:38

    « Parlons de favoriser l’offre, cheval de bataille de la droite et de notre fauxcialiste mou adepte du scooter à niquab intégral »

    Perso, je m’arrêterai là. L’auteur n’est pas sérieux. Qu’il le veuille ou non, le Président de la République a été élu au suffrage universel par le peuple français. C’est la seule règle démocratique (sous contrôle étroit de l’oligarchie, hélas) qu’il nous reste, respectons la.

    Lorsqu’un rédacteur écrivait que Sarko était un népote et un incompétent, il le démontrait par des exemples factuels, (le fils étudiant promit à la direction de l’EPAD, la dette doublée en 5 ans, nous mettant en état de quasi faillite).

    Pourquoi ne pas essayer le style parodique assumé ? Nous rirons ensemble.


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 12:07

      Bonjour Daniel,

      C’est vrai le président a été élu au suffrage universel mais cela ne le dédouane pas de tenir ces promesses parce que, les trahisons successives de ces gens là font des dégâts sur la population alors, permettez moi un peu d’humour avec ce genre de dangereux guignol. Maintenant le but de l’article n’est pas F.Hollande aussi vous devriez peut être faire l’effort de le lire entièrement avant de polémiquer sur un passage sans importance.


    • Fabienm 7 février 2014 08:18

      @Daniel : difficile d’ignorer que ce président a trahi tous les idéaux (les uns après les autres) qu’il a habilement mis en avant pour être élu. C’est un charlatan et un incapable, la parodie est le seul moyen à disposition pour le décrire avec pertinence.
      Son virage social-démocrate récent n’est qu’une pierre à ajouter à l’édifice de son incompétence.


    • Daniel Roux Daniel Roux 7 février 2014 10:27

      @Gabriel et Fabienn

      J’entends bien tous les arguments sur la politique de Hollande mais ce que je réprouve ce sont les attaques sur la personne.

      Concernant la politique, ce n’est une surprise (ou trahison) que pour ceux qui ne s’intéresse pas à la politique mais seulement à son écume médiatique. Hollande n’a pas changé, la dette continue de grossir, les banques de spéculer et la crise financière de prospérer.

      La lutte contre la corruption et le cumul des mandats existe bel et bien.

      Nous avions le choix en Sarko et Hollande, ne regrettons pas d’avoir choisi le moins pire.


  • leypanou 6 février 2014 11:41

    @auteur :

    Vous soulevez là une question que tout citoyen qui se veut un minimum responsable se pose : qu’est ce qu’on peut faire, étant qu’en tant que simple individu, notre « efficacité » est forcément ridicule ?

    Mais, si déjà dans notre vie de tous les jours, on ne « fait rien », il ne faut pas espérer, à mon avis, changer le cours des choses et se contenter au mieux d’être un observateur averti.

    Avec « Consommer sans limite c’est euthanasier la planète, c’est le suicide de masse à court terme », vous rejoignez plus ou moins les idées de S Latouche avec la décroissance, peu connues dans les médias mainstream. Ayant été en Beijing et Shangaï il y a quelques années, je me rends compte aujourd’hui du problème posé par la pollution conséquence de la surconsommation : sans pilotage global -i.e avec le chacun pour soi-, il est impossible d’avoir une amélioration globale de la vie en société sans conséquence néfaste pour l’environnement. La Chine a peut-être produit quelques milliardaires mais combien de laissés pour compte et à quel prix ?

    L’Etat est donc plus que jamais indispensable. Pourtant, c’est qu’« ils » (UMP, PS, UDI, CAC40, Wall Street, etc, etc, la liste est longue) essaient de réduire de plus en plus, avec la privatisation tous azimuts.


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 12:13

      Bonjour leypanou , chaque citoyen peut agir à son niveau car c’est les gouttes de pluie qui alimentent les rivières. N’attendons rien des responsables gouvernementaux ou des adorateurs du capitalisme et du libre échange sans limite ou contrôle. Leur but est l’enrichissement à court terme alors, l’environnement, la planète, ils s’assoient dessus.


    • Le printemps arrive Le printemps arrive 6 février 2014 13:21

      oui, prenons notre destin en main et commençons par réguler nos actes d’achat en fonction de notre éthique.
      Le phénomène de crise engendrée par l’évolution de notre société nous balise le chemin, sachons en comprendre le sens, en tirer les leçons pour aller vers un monde meilleur pour tous.


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 13:34

      Joli pseudo, espérons qu’il soit prémonitoire et que le printemps de l’humanité pointe enfin le bout de son œil pour éclairer la communauté des hommes afin qu’ils comprennent que seul l’altruisme, la fraternité et le respect de chacun pour tous sont les uniques alternatives à la paix et à l’évolution.


  • Neg8 Neg8 6 février 2014 13:42

    Il est grand temps de réguler tous cela à travers des stratégies de sobriété que les Etats oragniseraient (et cela n’est pas du communisme !). Il y a suffisment de raisons pour tendre vers cela tant au niveau humain qu’environnemental.

    Il faut pouvoir dépasser le stade de la plainte et commencer à relancer de l’utopie en proposant de nouveaux modèles de vivre ensemble afin de contrecarrer ce néo-libéralisme morbide et amoral.

    Mais pour cela le peuple doit sortir de son inertie, cesser de s’inscrire dans les divisions exacerbées par les pouvoirs en place (& les lobbies) et enfin reprendre sa place de meilleur garant de l’intérêt commun. Au vu de l’actualité, je crains que nous allons clairement dans la direction inverse.


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 14:00

      En effet, si nous voulons un changement global, ce n’est pas simple. La meilleure manière d’y parvenir est de changer sa propre façon de faire. Car, il faut insister sur ce point, c’est en adaptant d’abord localement une attitude de consommation réfléchie et raisonnée qu’on parviendra à faire évoluer la société positivement. 


  • spartacus spartacus 6 février 2014 14:02
    Mais de quoi vous plaignez vous ? 

    Vous avez votés et vous jouez les cocus ? 
    Vous faites les vierges effarouchées ?
    Hollande aurait fait une politique de droite avec les taxes, les privations de libertés, les mensonges. 

    Pourtant tout est rose et rouge, mairies, régions, présidence, sénat, députés.

    France TV nous abreuve de présentateurs de gauche, tous les soir un docu Keynésien sur la 5 nous vend le bonheur de l’endettement...

    L’AFP fournit des commentaires tout fait pour stigmatiser ce qui n’est pas la pensée unique.

    La justice ne se cache même pas de ses opinions et affiche sur les murs. Le juges sont changés pour « délit d’opinion »

    Les bobos donneurs de leçons ont tous un compte en Suisse comme Gérard Miller, Picoli, Moreau, Cahuzac sans que vous en faites un patacaisse. 

    Le comité d’étique est tellement étique qu’au lieu d’un renouvellement de 9 membres, on en a ajouté 22 de gauche pour que l’éthique soit bien de gauche.

    On envoie le Fisc ! Sans que cela n’émeuve personne qu’il n’y a aucun rapport entre un délit fiscal et un délit d’opinion.


    -La finance a été vaincue en 18 mois grasse aux socialo communistes !. 
    Comme vous pouvez le constater, la finance n’investi plus du tout en France !.
    C’est même un cas unique dans le monde occidental.
    Les socialos ont vaincu les vils actionnaires Français ! Il n’en reste presque plus !

    Les socialos ont vaincu la mondialisation en 18 mois ! !
    Nous allons rester les seuls et pourront garder notre chômage de masse rien qu’a nous ! 
    Les autres pays ont une croissance de 1,7% prévue en 2014.
    Reprise en Italie et Espagne.
    Royaume-Uni, prévision de croissance de plus de 2%.
    Indonésie, Colombie et Pérou croissance attendue entre 4 et 6%.


    Nous allons aussi réussir la « décroissance » bien socialo-ecolo ! N’est ce pas formidable ?
    L’indice PMI Markit  indique que quatre des cinq composantes de l’indice sont en recul, dont commandes et emploi en chute libre ! Nous avons le pire d’europe !
    Tous sont supérieur à 50 quand celui de la France stagne à 47. Même la Grèce (49) a un meilleur indice PMI que la France !

    La gauche donne la parole au peuple. Il a maintenant son mot a dire 
    Un problème ? Une commission sans les concernés. 
    Des commissions sur le chômage sans chromeurs indemnisé représenté.
    Des commissions sur la retraite sans retraités concernés.
    Des commission sur la démocratie avec uniquement l’élite représentée. 
    Des syndicats représentatifs sans adhérents.
    Des dirigeants de partis tous des apparatchik, bien représentifs de l’élite.

    Le socialo-communisme a vaincu ! Nous y sommes vous nagez tous dans le bonheur !

    -La France le seul pays ou les fonctionnaires accaparent la redistribution du pays et sont responsable du creusement des inégalités.

    -La France le seul pays ou les fonctionnaires ne payent pas l’assurance chômage.

    le Capital ?

    -En France, 40% des dividendes de toutes les entreprises est le fait de 5 entreprises dont 2 sont des monopoles étatistes.....

    -En France 0,001% des entreprises versent 80% des dividendes de toutes les entreprises.

    -Le plus fort impôt sur le capital au monde.
    -Le plus fort impôt sur les société au monde.
    -Les charges sociales les plus fortes du monde (pour un rapport prix/prestations ultra merdique).

    Vous avez tué le pays et venez vous plaindre ! Hypocrites !

    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 14:36

      Spartacus, essayer de dialoguer avec vous requière une force mentale limite herculéenne. Voilà un article qui parle de consommation irraisonnée et déraisonnable emmenant droit l’humanité dans le mur et vous, comme à votre sale habitude, vous en politisez immédiatement les propos. De quelle pauvreté d’esprit vous faites preuve ! Dés que cela vous déplait vous sortez votre insulte suprême : « Gauchiste !… » Comme si il s’agissait d’une maladie honteuse genre petite vérole. Va falloir penser à vous renouveler sinon, même vos plus fervents admirateurs vont se lasser. Je vous l’ai déjà dit, je ne suis encarté nulle part donc, vous perdez votre temps en venant brandir votre étendard du profit à Bibi dans des articles qui vous déplaisent et risquent de vous provoquer des aigreurs d’estomac. Pour terminer, la vacuité de vos commentaires n’étant absolument pas en rapport avec le contenu, le but et le fond de l’article, n’appellent donc aucune polémique et c’est d’ailleurs ce qui en fait leur consensuelle richesse.

      Courtoisement Votre.


    • Neymare Neymare 6 février 2014 15:36

      Gabriel, est ce que vous vous rendez compte que vous parlez à une machine ?


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 15:53

      Neymare, évidement sinon cela ne serait pas drôle. L’homme n’est qu’une machine faite à 70% d’eau, 3 grammes d’âme et avec un processeur illimité mais bridé par son attitude.


    • Neymare Neymare 6 février 2014 16:16

      @Gabriel
      Oui c’est vrai, mais ce que je voulais dire c’est qu’il ne pense pas par lui meme : tout ce qu’il dit vient de la propagande, des idées reprises ici ou là sans les passer à la moulinette de son esprit. C’est ce qui est inculqué aux masses par le NOM : une vision manichéenne avec d’un coté d’affreux bolchéviques (? ? pas facile de renouveler ses ennemis héréditaires) détestant la liberté, et de l’autre les gentils libéraux, assoiffés de liberté pour pouvoir faire redescendre la manne céleste sur les pauvres fourmis incultes que nous sommes


    • julius 1ER 6 février 2014 16:27

      alors Spartacus toujours aussi joyeux ???

      on ne doit pas lire les mêmes sources car en nombre de millionnaires par tranche de 10000 habitants, paraît-il que l’on se classe 3ie alors tu noircis vraiment le tableau !!


    • spartacus spartacus 6 février 2014 16:52

      Confus gabriel

      Je reconnais que je suis un peu à coté. smiley
      Cordialement

    • G.L. Geoffroy Laville 7 février 2014 15:28

      Certes Spartacus y va fort ! smiley Dans la forme, pas dans le fond.

      Mais On vit bien dans un pays de l ’OCDE les plus farouchement hostile à la liberté économique et par là à la liberté individuelle.

      Je vais avec ma petite voix timide m’élever symboliquement contre cette belle utopie collectiviste, dirigiste et déterministe.

      Je serais d’accord sur une chose, il faut redonner à chacun sa liberté. Liberté individuelle ! Laissons les gens vivre leurs vies !

      Votre beau projet c’est remplacer une oligarchie par une autre. Et cette nouvelle oligarchie serait magiquement animée par de merveilleux sentiments altruistes et humanistes.

      Moi aussi j’ai cru au Père Nöel. smiley

      Mais il faut être pragmatique, nous sommes des individualistes en puissance. Notre recherche du bonheur qui nous anime tous est à la base égoïste.

      La théorie de l’offre et la demande n’est une idéologie, c’est juste une explication de comment marche l’être humain depuis qu’il a quitté la savane africaine il y a des millions d’années.

      Cessez de rêver et regarder la réalité en face. Là on seulement on pourra envisager des solutions concrètes. smiley

       


    • Gabriel Gabriel 7 février 2014 16:11

      Geoffroy,

      Spartacus est loin d’être idiot et il dit aussi des vérités seulement il est sourd à celles des autres et c’est là son problème majeur. Autrement, loin de moi de faire de l’angélisme, comme vous le dites, nous connaissons très bien la nature humaine. Le libéralisme sans limite, c’est ce qui existe aujourd’hui et l’on en voit les catastrophiques résultats en termes humains et écologiques et cela ne fait que commencer. C’est une locomotive sans frein lancé à pleine vitesse et qui va droit dans le mur, ce n’est pas grave à première vue sauf que nous en sommes les passagers et que le mur on va se le prendre en pleine gueule ! Alors oui, il faut des règles contraignantes et ce n’est pas drôle, je l’admets, c’est juste une question de survie. C’est ca la réalité et elle éblouie tellement qu’une majorité est atteint de cécité. Maintenant, si en gardant le même système vous trouvez des solutions, nous sommes preneurs et applaudiront des deux mains.


    • Gabriel Gabriel 7 février 2014 16:14

      « applaudirons » avec un s évidement. A ces fautes d’orthographe quelle plaie...


  • aviso aviso 6 février 2014 14:13

    Sans une distribution massive de pouvoir d’achat la stratégie de l’offre est voué a l’échec.

    Le seul et l’unique contributeur net a l’économie c’est le Consommateur Solvable...

    Le créateur de richesse est suspendu a sont bon vouloir et a ses désirs !


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 14:39

      Aviso, ce n’est pas faux mais, cela ne règle en rien les problèmes qu’une consommation toujours plus croissante engendre.


  • zygzornifle zygzornifle 6 février 2014 14:15

    Il faut avoir les moyens d’acheter, avec 8,4 de personnes en dessous du seuil de pauvreté de 900€ (le dixième du salaire moyen d’un politique) 3,3 millions de chômeurs indemnisés et plus de 3 millions sans aucunes ressources, les RSA, les consommateurs non alimentaires se font rares car ceux qui travaillent une fois payé le gavage impôts et taxes de l’état, le loyer, les assurances, la mutuelle, la bouffe il ne reste plus pour beaucoup que des pièces jaunes, pour consommer il en faut les moyens autrement ce sera ce que l’on vit en ce moment : fermetures d’entreprises, chômage galopant malgré les radiations et les fins de droit seule arme du gouvernement pour une hypothétique baisse de ce chiffre , on pourra en mettre autant que l’on voudra dans les vitrines des magasins, dans les concessions automobiles si les moyens d’acheter ne sont pas la tout s’écroulera tant qu’il n’y aura que du vide dans les porte-feuilles.....


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 14:44

      @zygzornifle,

      Vous avez raison sur ce point aussi, déjà mis dans un article précédent, Je ne résiste pas à rediffuser ce petit problème de niveau CM2 : « Mon usine compte 6000 salariés dont 6000 sont clients, j’en licencie 3000 qui perdront leurs salaires et je distribuerais les économies générées par cette action anti sociale à 2 actionnaires qui immédiatement s’enrichiront mais, bilan j’aurais perdu la moitié de mes clients.


  • Marc Chinal Marc Chinal 6 février 2014 14:51

    @Gabriel :
    .
    Pouvez vous m’expliquer comment changer de paradigme (changer entre autres le problème de devoir produire encore et toujours même s’il n’y a pas de besoins, afin de créer des salaires, des taxes, etc) sans abandonner l’utilisation de la monnaie, qui fait plus de mal que de bien depuis déjà longtemps ?
    Merci pour votre réponse.


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 15:17

      Bonjour Marc,

      Je vais essayer très modestement de vous expliquer comment nous pourrions éventuellement améliorer les choses. Merci d’avance de votre indulgence pour les erreurs que je pourrais éventuellement commettre en vous énumérant cette suite de proposition.

      1°) Partager le travail en diminuant le temps de celui-ci par individu (exemple semaine de 4 voir 3 jours) afin que chacun puisse participer.

      2°) Redistribution équitable des richesses produites (sans tomber forcement dans un égalitarisme imbécile qui tuerait toute initiative)

      3°) Produire toujours plus n’est pas une solution. Il faut privilégier le qualitatif par rapport au quantitatif. De plus le résultat n’est pas forcement matériel il peut être sous la forme de service.

      4°) Tout acte productif doit répondre en priorité impérativement aux critères incontournable d’écologie et de nécessité.

      5°) La monnaie ne doit pas être un but mais un moyen et pour cela, fixer des limites à son accumulation.

      Etc…


    • Buddha Hotah 6 février 2014 17:49

      °) Redistribution équitable des richesses produites (sans tomber forcement dans un égalitarisme imbécile qui tuerait toute initiative)

      salut Gabriel...la société que tu espérerais différente , pour moi, marche exactement sur ce même principe que je trouve faux et dangereux et qui est entre parenthèses , principe que tu veux appliquer alors même que cette société est celle qui domine encore la planète et qui est : moi je mérite plus, et dont le résultat dément se voit tous les jours !......alors que seul personne ne survit , on ne sait même pas faire du feu smileyseul aucun talent n’a d’ intérêt ni même n’existe ,ce qui affirme la primauté du collectif sur l’ individuel ; ca n’est pas la somme des individus qui fait le collectif mais c’est l’esprit collectif de l’individu qui permets à l’individu d’exister aussi en fabricant ce qui est vital ensemble ...avec les neocons ce qu’il y a de bien c’est qu’il suffit de prendre le contraire de ce qu’il disent pour avoir une sorte de vérité.. smileyc’est donc le collectif qui permet à l’individu d’exister, sans collectif il n’y a plus d’humains,

      un monde bon et juste ,amical et éveillé , là c’est pas gagné , sera égalitaire ou ne sera jamais il n’y a aucune autre option à négocier....et telle que la réflexion se fait globalement , les 10 000 prochaines années seront comme les 10 000 dernières , guerrières , violente destructrices ,objectif unique = pour voler le collectif...avec la paix d’après destruction car avant de détruire et redétruire il faut reconstruire..sans parler du pire des pires qui est, merci la science, enfin possible ...chouette..

      salutations.. smiley


    • Buddha Hotah 6 février 2014 17:59

      et l’espoir étrangement, pour moi, joue contre tout changement, car il ôte l’énergie du désespoir juste et lucide qui contrairement a ce que l’on en pense n’est pas suicidaire mais énorme pour ne plus se laisser faire et/ou comprendre le problème en entier qui montrera ses solutions..voila pourquoi le pouvoir et les religions qui sont les mêmes nous font toujours penser à demain, car demain il ne se passe jamais rien...changer c’est toujours hors du temps qui passe dans le mouvement du présent, là de suite et pas demain...car demain on rase gratis et le coiffeur qui avait mis cela dans sa vitrine eu pendant quelques jours énormément de clients potentiels qui venaient se faire raser gratis en disant que hier ils avaient vu la pancarte, donc ils venaient pour le rasage gratis, alors le coiffeur leur montrait la pancarte qui disait : demain on rase gratis.....

      cela dit merci de ton article bien sur..toujours bien de te lire

      amicalement


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 18:35

      Salut à toi Buddha tu fais parti de ces sages qui réfléchissent et proposent afin d’améliorer le quotidien de tous. Continu ainsi et merci de ta visite.


    • Marc Chinal Marc Chinal 6 février 2014 23:28

      Bonsoir,
      .
      1°) Partager le travail en diminuant le temps de celui-ci par individu (exemple semaine de 4 voir 3 jours) afin que chacun puisse participer.
      .
      Mais dans un monde de monnaie, partager le travail, c’est aussi partager son salaire... Qui va accepter de ne plus avoir les moyens de vivre ?
      .
      5°) La monnaie ne doit pas être un but mais un moyen et pour cela, fixer des limites à son accumulation.
      .
      Le but n’est pas forcément l’accumulation, mais il est « d’en avoir suffisamment », or la monnaie n’est pas des feuilles d’arbres... Elle doit être suffisamment rare pour avoir une valeur d’échange... Donc même avec des lois, il faudra continuer à « se battre » pour avoir de la monnaie, que ce soit entre deux petits producteurs de légumes ou fabricant de chaussures respectueuses de l’environnement...
       ?
      Comment on fait alors ?
      http://www.youtube.com/watch?v=qIpjxz2fN7g&feature=share&list=UU792XVxlREPyCIPdQgsVHJA


    • Gabriel Gabriel 7 février 2014 03:32

      Marc, vous focalisez trop sur le système actuel. Premièrement de la richesse il y en a, le principal problème c’est que 90% de la richesse mondiale est détenu par 0,01% de la population. Deuxièmement, produire toujours plus va assécher la planète car les matières premières s’épuisent donc l’équilibre va être rompu sous peu. Je ne connais pas le système idéal et les solutions que je propose ne sont que parcellaires à nous tous de réfléchir ensemble pour changer ce système qui nous condamne tous à terme.


    • Marc Chinal Marc Chinal 8 février 2014 00:31

      <<<<vous focalisez trop sur le système actuel. <<<<<<<
      .
      Je ne comprends pas. Vous pensez que le système actuel n’est pas bon mais vous ne voulez pas le remettre en cause ?
      .
      <<<<de la richesse il y en a, le principal problème c’est que 90% de la richesse mondiale est détenu par 0,01% de la population.<<<<
      .
      Oui, grâce au système de la monnaie, l’économie n’est pas basée sur les ressources.
      .
      <<<Deuxièmement, produire toujours plus va assécher la planète car les matières premières s’épuisent donc l’équilibre va être rompu sous peu. <<<<<
      .
      Oui. Vous parlez à des objecteurs de croissance, donc nous sommes sur la même longueur d’onde.
      .
      Sinon, à propos d’idées, vous êtes allé voir cette vidéo  ?
      ça vous inspire quelque chose ?


  • colza 6 février 2014 14:58

    Bonjour,
    Vous avez oublié l’Afrique :
    30 millions de km2 (autant que la Chine, les USA, le Canada et une bonne partie de l’Europe réunis), 1 milliard 100 millions environs d’habitants.
    Attendez que ces gens là se réveillent et consomment autant que les Chinois, pour la jouer modeste !

    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 15:24

      Colza, en 2050 10 milliard d’individus minimum d’où, l’impératif besoin de mettre en place des solutions qui risquent, malheureusement, d’être parfois des contraintes.


  • Neymare Neymare 6 février 2014 15:24

    « l’homme est financièrement corruptible et pète un câble dès qu’il a du pouvoir où des richesses »
    Salut Gabriel, tout est dit dans cette phrase. La seule solution est que l’homme change puisqu’il est à l’origine de tous les problemes.
    Malheureusement, il semble que le temps va nous manquer, et il va falloir se résoudre à une chute massive. Des forces énormes sont à l’oeuvre pour le changement, elles utilisent les tendances de l’homme mais leur finalité est quelque peu différente. 
    Celà étant, tout celà est un processus nécessaire, et la survie de l’homme pas plus que celle de la planète ne sont véritablement en cause (heureusement, c’est du boulot pour en arriver là).
    Tout va concourir à faire que l’homme change, qu’il redevienne le véritable « soi » et dépasse l’illusion. Agir dans ce monde illusoire est nécessaire bien sur, mais ne suffit pas, il faut agir dans l’Esprit, qui est la cause, pour agir sur ce monde qui est la conséquence


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 15:40

      Bonjour Neymare,

      Je suis d’accord avec votre vision des choses et y adhère philosophiquement mais, vous abordez le problème de la spiritualité de l’homme et de l’utilité qu’il fait de sa conscience en sous entendant la question : « Quelle est le but de l’existence ici et maintenant » Et bien qu’il serait passionnant d’en débattre avec vous, ce n’est pas ici, même si la finalité en est présente de façon permanente, l’angle d’attaque que je propose. J’aborde le problème de la consommation tel qu’il est aujourd’hui, c’est-à-dire d’un point de vue matérialiste car c’est par là qu’il faudra commencer. Merci de votre passage sur ce fil.


    • Neymare Neymare 6 février 2014 16:00

      @Gabriel
      J’ai bien compris votre angle d’attaque du probleme et je ne suis pas hors sujet : l’homme tel qu’il est actuellement ne changera pas sa vision consumériste (d’autant plus dans les pays en voie de developpement, qui eux, entrent à peine dans cette logique). L’homme doit changer d’abord pour que sa vision/perception du monde change, vous comprenez de quel changement je parle.
      Tout est lié : le principe est de mettre l’homme au pied du mur, le mettre face à l’échec de sa conception du monde, pour qu’il ne lui reste plus qu’une seule solution, mais la chute est inévitable.
      L’homme tel qu’il est actuellement pense très peu par lui meme et n’agit pas, il réagit, et se retrouve balloté par les circonstances. L’homme pense via un schéma mental qui lui a été inculqué, vous pouvez penser tout et son contraire, tant que vous restez prisonnier de ce schéma mental, vous ne pouvez résoudre les problemes fondamentaux, meme si vous en etes conscient. L’homme ne peut résoudre ses problemes qu’en les attaquant à la racine, et la racine c’est ce schéma mental.


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 16:19

      Neymare connaissez-vous la parabole de l’évolution du nénuphar ? Il y a plusieurs stades. Au début, il est empêtré dans la vase ensuite, s’en libérant, il remonte doucement vers la surface avec quelques étapes entres deux eaux pour, finalement flotter à la surface du lac, prendre le soleil et sortir sa plus belle fleur. Il aura fallut un certain temps. Il en va de même pour l’homme et tous ne sont pas au même stade d’évolution mais tous finiront par flotter à la surface, ce ne n’est qu’une question de temps mais peut-être avez-vous raison, nous allons en manquer en ce lieu.


    • Neymare Neymare 6 février 2014 16:31

      Oui Gabriel, je suis d’accord avec vous, tous s’en sortiront, mais ce monde tel qu’il est aujourd’hui ne pourra soutenir très longtemps une telle croissance, à tous points de vue.
      On a beau essayé de changer les mentalités, l’homme a peur du changement, et c’est pourquoi vous ne pouvez passer par son mental superficiel pour le changer, et donc il y aura chute. Mais nous nous relèverons de cette chute, et c’est aujourd’hui que nous préparons cette renaissance, dans des conditions différentes.
      L’homme évolue par bonds, la dernière fois par exemple, l’évolution de son cerveau lui a permit d’inventer l’écriture, un nouveau bond est à nos portes


  • Francis, agnotologue JL 6 février 2014 15:26

    Bonjour Gabriel,

    vous dites : ’’Favoriser l’offre, cela veut dire baisser les coûts des produits que l’on fabrique et que l’on vend et pour baisser ces coûts, les solutions actuelles sont connues :’’

    Et vous citez cinq méthodes ou stratégies.

    Mais vous en avez oublié une sixième, et qui est politique, appelée sournoisement d’ailleurs, la politique de l’offre. Cela consiste à faire du keynésianisme dévoyé, par exemple en baissant la TVA sur les restaurants et café - on a vu le résultat déplorable en terme de baisse des prix à la consommation - ou donner directement de l’argent au Medef (enfin, aux entreprises) sans contrepartie, ce que fait le gouvernement Ayrault.

    Il est clair pour tout le monde qu’il s’agit de stratégie politicienne :

    - Hollande se dit qu’il a balancé la patate chaude du chômage dans les griffes du Medef et qu’aux prochaines échéances présidentielles il pourra se prévaloir du fait qu’il a fait son boulot lui, mais que c’est le patronat, donc la droite qui a échoué.

    - et le Medef se dit que ces milliards c’est toujours bon à prendre, et qu’au fond, un gouvernement de gauche comme ça, on en reprendra volontiers !

    Conclusion : ces gens nous prennent pour des cons mais en plus, pour des moins que rien.

    ps. Sur le reste de votre article, j’approuve sans réserves.


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 15:49

      Bonjour JL,

      Que ce gouvernement, comme ceux qui l’ont précédé, trahit ces électeurs et les citoyens n’est pas une nouveauté. Le fait est que dans très peu de temps ils seront face à des débordements et la situation actuellement critique sera explosive tant du côté des hommes que du côté de la nature et lorsque l’éco système partira en vrille, quelque soit son camps politique, la couleur de son étendard et même sa religion, tous seront égaux devant les catastrophes.


  • gruni gruni 6 février 2014 16:12

    Bonjour Gabriel


    Vous faites des propositions qui vont dans le bon sens et qui sont dans l’intérêt général des populations, sans oublier le souci louable chez vous d’économiser la planète pour les générations futures. Seulement voila Gabriel, il faudrait un changement de mentalité de grande envergure, aussi bien au niveau du citoyen que de la volonté politique, ce n’est pas simple. Je ne dis pas irréalisable mais je ne suis pas loin de le penser. Quant à la surpopulation, il est possible que dans quelques dizaines d’années selon certains spécialistes nous allions vers la décroissance. Combien d’individus cette terre pourrait supporter et faire vivre décemment. J’avoue ne pas pouvoir répondre à cette question.

    Merci pour l’article.

    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 16:24

      Bonjour Gruni, l’équation n’est pas simple aussi faut-il y croire sinon toute évolution est impossible. Merci de votre commentaire.


  • Ecodemos Ecodemos 6 février 2014 17:02

    Très bon article d’introduction et de vulgarisation des concepts économiques (offre/demande) et anthropologiques (décroissance).

    "Exemple ai-je besoin du dernier Smartphone, d’une voiture de 180 chevaux pour ne pas dépasser 130 Km/h, d’une maison de 200 m² pour deux personnes ? Sans parler des doubles, triples etc…"

    Ces exemples résument parfaitement l’idéologie de la croissance qui s’adresse davantage à nos désirs qu’à nos besoins. Malheureusement, on entend encore trop souvent (parmi les alters) parler de croissance sélective, et c’est là qu’il faut rappeler la nature intrinsèque de la croissance qui est une croissance générale de la productions de biens et services qui confine à la fin à l’absurde...Avec la croissance sélective on reste dans cet idéologie, pourquoi pas en transition (ce que prône l’écosocialisme de Mélenchon) mais pas à long terme.


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 17:24

      @Ecodemos,

      Pourquoi pas essayer après tout, il faudra y aller par étape et garder ce qui s’avère viable sur le long terme. Merci


  • soi même 6 février 2014 17:14

    Merci pour votre article, l’offre doit être égal ni plus ni moins que la demande.
    C’est à dire, que l’on sera à terme dans l’obligation économique de pas pouvoir produire plus ce qui est nécessaire.

    C’est une loi économique est développer dans différents ouvrages de Rudolf Steiner,

    Éléments fondamentaux pour la solution du problème social, Éditions Anthroposophiques Romandes, Genève :

    Cours d’économie et Séminaire, Éditions Anthroposophiques Romandes, Genève, 2004

    Nicanor Perlas, La société civile : le 3e pouvoir - Changer la face de la mondialisation, Préfaces de Bernard Ginisty, Agnès Bertrand et Mohammed Taleb ; Éditions Yves Michel, 2003.

    5. La tripartition sociale
    comme plastique de la pensée et de la volonté
    Nous avons vu que la tripartition sociale se caractérise par deux traits fondamentaux :
    ( http://www.triarticulation.fr/Institut/FG/ArticlesFR/2000-12-006-Thmj.html )

    ( L’économie est devenue mondiale, l’organisme social dans sa totalité n’est rien de moins que la planète entière. Et c’est à ce niveau que la mission actuelle de l’humanité (développer l’âme de conscience) peut et doit se réaliser. Il s’agit de remplacer l’idée absurde du profit comme moteur de l’économie (idée dépassée remontant à l’époque où il n’existait encore qu’une économie d’échange) par celle d’une dynamique de la conscience planétaire. De partout s’éveillent des voix et des consciences qui nous incitent à nous inquiéter de ce que l’on a nommé à juste titre, la mise à sac de la planète. Ce que l’on appelle la pensée écologique pourrait aussi bien s’appeler la pensée de l’âme de conscience. Celle-ci en effet, nous confronte partout aux forces de mort, de destruction, elle nous appelle de toutes parts au meurs et deviens ! c’est-à-dire, à la résurrection des forces vivantes de connaissance qui ne peut s’opérer que si le moi humain imprègne la pensée des forces de volonté, seules capables de la métamorphoser à partir d’elle-même.
    La conscience planétaire ne se développera qu’à partir d’instances associatives regroupant consommateurs, producteurs et distributeurs qui traverseront tous les secteurs de l’organisme social de processus de conscience. Une économie de la sorte, non plus à courte vue, ni orientée exclusivement sur le principe étroit et égoïste de profit, mais considérant partout l’intégration organique du tout et de la partie, ne pourra que tenir compte de l’environnement social, humain et naturel.
    Aussi, peut-on dire que s’il est tout aussi absurde de parler de droits de la nature que d’une liberté de la nature (la liberté n’est jamais une donnée naturelle), il est par contre tout a fait juste de parler d’une socialisation de la nature, dès l’instant où la vie économique sera assainie et que les critères de la production ne correspondront plus à des critères autres que strictement économiques (une production au service de l’humanité orientée vers les vrais besoins humains) ; dès cet instant les nécessités de protection de la nature et de l’environnement ne relèveront ni du droit, ni de la vie culturelle, mais bien de cette vie économique reposant sur ses propres bases et seule apte à servir de support à une conscience planétaire écologique (conscience universelle des rapports du tout et des parties, de l’universel et du singulier). Et il en va de même pour les problèmes si aigus aujourd’hui du chômage et de l’inflation. Tous ces problèmes pourraient être facilement réglés par l’autorégulation associative des processus économiques. C’est en ce sens que l’économie devrait être sociale(au sens de socialisée) ou fraternelle (au sens de la loi écologique de solidarité du tout et de la partie).
    Ceci nous permet d’esquisser une des multiples manières dont pourrait être résolu le problème de la désignation des responsables d’une entreprise dans une société organisée selon la tripartition :
    Nous constatons en effet que la résolution du problème pratique précis posé ici en exemple, nécessite l’action conjuguée des trois pôles macrosociaux et des trois instances microsociales correspondantes de l’entreprise, autrement dit, l’interaction vivante du macro et du micro-social.)


    • Gabriel Gabriel 6 février 2014 18:25

      Excellent commentaire et très bonne analyse des fondamentaux. Est ce que la nécessité primera sur le superflu ? Le réveil d’une conscience planétaire se fera sans doute dans la douleur mais il est inévitable. Encore merci pour votre excellente intervention. 


    • soi même 6 février 2014 18:58

      Merci Gabriel, d’avoir prit le temps de le lire et probablement d’en lire plus.

      Tous cela est à la disposition des hommes, si ils le veulent.

      Ce commentaire n’appartiens pas, je suis une passerelle, et j’ai conscience que seul, je ne pourrais rien !

      Par contre, la seul chose de ce que je peu faire est l’appel à la responsabilité, c’est ma seul arme et en même temps ma seul espérance.

      Même si cela de devrait pas aboutir maintenant, ses propos sont profondément justes, et deviendrons un nouveaux ferment qui se réaliseront tous où tard.

      Les hommes non pas encore réalisé, que nous sommes régit par des nécessités qui n’appartient pas aux hommes, et toutes les gesticulations que l’on observent sont justement la perception de leurs inconscients de ses nécessités qu’ils rejettent.

      Et il est probable que nous sonnes appelez à vivre un grand traumatisme sociétal pour que les hommes acceptés de bon grès ses nécessités qui sont exiger pour notre évolution devienne une réalité objective !

       
       


  • tf1Groupie 6 février 2014 19:14

    Si l’on veut protéger la planète, limiter la consommation excessive il y a moyen très simple : payer les gens beaucoup moins.
    Avec moins d’argent les gens consommeront beaucoup moins et l’humanité ne disparaitra pas dans moins de deux siècles.

    En plus si l’on consomme moins les multinationales s’engraisseront moins et il y aura moins d’inégalité.

    J’ai bon là ? Il est bien ce paradigme


  • Gabriel Gabriel 6 février 2014 21:06

    Merci a tous de vos commentaires, ils m’ont enrichie par leur pertinence et donné espoir par leur idées solidaires et humanistes. Cordialement.


    • zelectron zelectron 7 février 2014 02:40

      Bonjour Gabriel,
      L’offre et la demande loyales s’enrichissent réciproquement, c’est là où réside l’extrême difficulté, voire l’impossibilité de les ajuster l’une par rapport à l’autre.
      L’État dans ce sens devrait être qualifié pour arbitrer ces conflits, mais n’a aucun agent formé dans ce sens compte tenu de la multiplicité du sujet. De plus il s’immisce constamment dans les parties, alors qu’un arbitre est radié à vie si il s’avise de « jouer » ...


    • Gabriel Gabriel 7 février 2014 03:48

      Bonjour zelectron,

      Le système actuel est en bout de course et les dirigeants le savent bien aussi, ils en tirent profit au plus vite et tant qu’ils peuvent. Leur unique solution, pour ne rien changer à leur faste, à leur mode de vie, sera comme par le passé de générer des conflits afin de faire baisser la population et la contrôler par la peur. Seul les citoyens de chaque pays, s’affranchissant des gouvernants en reprenant le contrôle du pouvoir, auront une chance de faire évoluer la vie sociale, le vivre ensemble.


  • Hervé Hum Hervé Hum 7 février 2014 09:32

    La liberté économique commence là où s’arrête les nécessités du contrat social et s’arrête là où commence les contraintes écologiques.


  • Ecureuil Bleu Ecureuil Bleu 7 février 2014 10:05

     Sisyphe et son boulet de déchets évoque le revers d’une société tournée vers le commerce, la ruse, mais surtout d’une société qui ne veut pas mourir, et qui se voit punie non par les dieux, mais par sa propre outrance.

    Le système capitaliste avance de crise en crise, tel Sisyphe, il pousse son boulet qui finit toujours par redescendre et l’écraser. Alors bien sûr, il le connaît son boulet, il le voit grossir d’heures en jours, de mois en années, il bien essaye de limiter son enflure mais plus il avance, et plus il grossit... Il n’y a pas d’avenir pour Sisyphe, l’horizon se perd dans chaque instant perdu à sa conservation. Il ne voulait pas mourir, il vivra l’enfer pour l’éternité. 

    « Le pouvoir, c’est l’art de gouverner la liberté des autres » disait Michel Foucault, quand l’homme cessera de vouloir gouverner autre chose que sa vie, il sera libre. Mais il semblerait que la liberté soit comme un précipice, et que pousser le boulet offre une certitude bien plus rassurante que le risque assumé de disparaître.

    La force vitale fait des erreurs mais elle les assume, en tire des leçons, et les laisse se transformer par l’acceptation de la mort, de leur devenir. L’homme fait des erreurs, les revendique, en fait son « propre », sans même comprendre qu’il fait l’erreur de croire qu’il est en cela supérieur. Il a la conscience, l’intelligence, le langage. Il n’est plus un animal. Bref, il prend sa minute d’existence pour un triomphe sur l’éternité. Un enfer.

    • Ecureuil Bleu Ecureuil Bleu 7 février 2014 10:09

      Thanatos piégé par Sisyphe, Charron seul sur sa barque, avance sur un fleuve de détritus.


    • Gabriel Gabriel 7 février 2014 10:41

      Ecureuil, ces boulimiques de l’avoir qui ne sont jamais satisfait, finiront dans l’autre monde comme Tantale.


    • Ecureuil Bleu Ecureuil Bleu 7 février 2014 11:05

      Nous finissons tous dans l’autre monde. 


      Le supplice de me réveiller chaque jour dans un monde cannibale me pousse à faire société avec les arbres. On dit que la foi est une côte sans fin. Mon seul espoir, que l’homme cesse de se prendre pour Dieu, et se voit enfin semblable parmi les êtres.

      Si l’ange peut m’aider à faire passer le message smiley ...

    • Gabriel Gabriel 7 février 2014 10:38

      Parkway, l’idée de petites sociétés parallèles est un excellent début (Voir les colibris de Pierre Rabhi) Elles permettent de court circuiter la grande distribution qui nous empoissonne. merci de votre lecture.


  • vachefolle vachefolle 7 février 2014 14:00

    le pacte de stupidité que Flamby va instaurer est une illusion de droite qui n’a jamais marché. La baisse des charges en tant que tel est evidemment une bonne chose, si elle peut se réaliser sans creuser de trou par ailleurs, donc lorsque l’état est deja en positif, et non pas en deficit permanent, ce qui est le cas depuis 1978.

    Donc l’état doit prendre des mesures a ZERO cout pour lui, mais favorisant l’emploi en france. Ca existe !!!!!

    On peut citer :
    La suppression du 11 nov (mergé avec le 8 mai), soit l’équivalent de 0,5% de productivité supplémentaire.
    L’extension de garantie OBLIGATOIRE pour tous les produits a 2 ou 5 ans suivant les cas, de façon a favoriser les productions de qualité vs chinoise. Encore une mesure a ZERO cout pour l’état....
    Favoriser le télétravail (moins de pollution, de consommation énergétique,...)
    Enfin, j’imagine que ces mesures ne seront jamais prises...


    • Gabriel Gabriel 7 février 2014 14:18

      De la productivité supplémentaire, mais pourquoi faire ? Nous avons déjà 10 millions de personnes sans travail donc sans salaire donc sans capacité de consommer. Commençons par sérieusement partager le temps de travail et les bénéfices générés. Par contre l’idée de télétravail est absolument excellente, voilà une mesure réellement économique et écologique. Mais vous savez très bien qu’ils ne veulent pas changer un système qui les avantages...


    • jaja jaja 7 février 2014 14:19

      « La baisse des charges en tant que tel est evidemment une bonne chose, si elle peut se réaliser sans creuser de trou par ailleurs.. »

      Les « charges » qui s’appellent en fait cotisations sociales font partie intégrante du salaire. Que l’on dit « socialisé »... Baisser les « charges » c’est donc baisser le salaire pour que le produit de ce racket passe dans la poche des patrons !

      « La «  branche famille  » de la Sécurité sociale finance les prestations familiales. Celles-ci se composent principalement des allocations familiales versées à toute famille de plus de 2 enfants (pour 49 %), les prestation concernant les jeunes enfants – naissance, garde... (pour 36 %), et différentes prestations logement (pour 12 %).
      La branche famille est financée aujourd’hui à 62 % par des cotisations sociales dites «  patronales  » correspondant à 5,25 % du salaire brut. Leur montant s’élève à 35 milliards d’euros, les 38 % restant proviennent de la CSG (1) et d’autres impôts et taxes.
      D’ici 2017, les 30 milliards de cotisations versées chaque année par les entreprises privées seront supprimées (alors que, selon le journal les Échos, les 5 milliards dus par les établissements publics continueraient à être versés  !). 30 milliards passeront donc de la poche des salariéEs à celle des patrons. »

      Plutôt que de supprimer des jours fériés et donc de prendre dans notre poche il faudrait, pour résoudre le problème du chômage, partager le temps de travail nécessaire à la production entre toutes et tous !

      Il faut, dans un premier temps, interdire les licenciements et exproprier les actionnaires et patrons des entreprises qui licencient et qui souvent font de juteux profits !


    • tf1Groupie 7 février 2014 21:45

      "Nous avons déjà 10 millions de personnes sans travail donc sans salaire donc sans capacité de consommer." dixit Gabriel.

      Je croyais qu’on consommait trop ?..........


  • Nouvel auteur Lunesoleil 7 février 2014 17:16

    Au lieu de vouloir baisser de 20% les salaires , le plus intelligent avant le pire c’est de casser le prix des loyers. Lorsque l’on pense qu’un individu touchant le smic et ayant a sa charge la moitié de son salaire en loyer sans compter les charges inhérente au loyer mais aussi les factures d’assurances > voiture, santé ect ... nous sommes vraiment dans un monde d’incohérences ....


    • tf1Groupie 7 février 2014 21:43

      Si les loyers baissent les gens auront plus d’argent pour consommer et polluer.

      Ils faut donc augmenter les loyers : c’est bon pour la planète.


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