mercredi 22 janvier - par chapoutier

L’Union européenne va tester la manipulation des élections en Roumanie avant de généraliser aux autres nations

 

Pour les européistes béats, le peuple est sourd aux grands enjeux du monde et ils ne veulent plus laisser le droit de vote à ce peuple ; laisser le peuple voter librement est un luxe qu'ils ne peuvent plus se permettre. Lors de la mise en place de l'Union européenne et du Traité de Maastricht, la future dictature européenne était encore balbutiante, mais depuis, la bête a pris de l'assurance et elle se cache à peine. Une dictature qui a de plus en plus de mal à cacher sa vraie nature, plante ses griffes dans le corps des vieilles nations européennes.

 

Le processus entamé par l'annulation pure et simple de l'élection présidentielle roumaine du 24 novembre 2024 annonce les funérailles des prétendues valeurs démocratiques européennes, qui sont tant vantées, et pour lesquelles il faudrait mourir face aux « orques » russes.

 

Le peu de démocratie formelle qui avait encore cours dans l'Union européenne, à savoir la liberté de se prononcer pour tel ou tel candidat, de se déclarer publiquement en sa faveur et d'appeler à voter pour lui, la liberté d'opinion et d'expression politique, le droit d'avoir une activité politique, sont devenus de trop pour les technocrates de Bruxelles, et ces libertés formelles risquent de devenir de l'histoire ancienne si l'Union européenne parvient à ses fins. Et absolument aucun dirigeant politique, de quelque bord que ce soit, ne s'est, pour l'instant, saisi de ce qui est en train de se passer en Roumanie et qui préfigure l'avenir de l'Union européenne.

  l'ingérence russe bien sûr, car les autres sont des saints !

 

C'est en effet à l'occasion des nouvelles élections présidentielles prévues en mai 2025 que Bruxelles va mettre en œuvre une variante du candidat unique, ou tout du moins de l'idéologie unique.

La Roumanie est devenue, contre son gré, le laboratoire dans lequel les « institutions de Bruxelles » vont affiner leur technique de bidouillage du système électoral afin de garantir que la « future démocratie européenne » soit tout à fait conforme aux exigences de ceux qui sont aux commandes. Ils vont tester ce qu’il est possible de faire sur le terrain de la manipulation des élections.

 

Pour rappel, Thierry Breton avait publiquement reconnu que les instances de l’Union européenne sont à l’origine de l'annulation des résultats de l'élection présidentielle roumaine de novembre 2024. Ce même Thierry Breton a également menacé l’Allemagne du même sort que la Roumanie au cas où le vote des Allemands, pour les prochaines élections, ne correspondrait pas à ce que l’Union européenne attend.

 

L’annulation du premier tour des élections en Roumanie a été la première étape de ce qui n'est rien d'autre qu'un complot contre les peuples, contre la démocratie, et, de toute évidence, les chefs d’orchestre européens ne veulent rien laisser au hasard d'un vote, aussi peu démocratique soit-il.

Ils veulent des résultats garantis à 100 %, et pour cela, il est nécessaire d'avoir en lice uniquement des candidats « conformes à 100 % » avec l'idéologie européiste.

Ils ne peuvent pas permettre aux peuples d'élire des candidats qui ne sont pas adoubés 100% Soros.

 

Bruxelles va donc tester en Roumanie, lors du nouveau vote qui aura lieu en mai, une variante du candidat unique, candidat qui sera automatiquement férocement dans la ligne de ses maîtres de Bruxelles, le but étant d'interdire la victoire au premier tour des élections présidentielles d'un nouveau Cӑlin Georgescu, qui était arrivé en tête avec 23% des voix.

 

Concrètement, les informations qui sont parvenues de Roumanie semblaient tellement extraordinaires qu’elles semblaient être des « fake news ».

Le gouvernement « provisoire » de la Roumanie a édicté une ordonnance réglementaire d’urgence visant à interdire aux citoyens de s'exprimer sur les intentions de vote ou d'appeler à voter pour tel candidat. Toute infraction sera punie d'une amende de 3 000 à 10 000 € alors que le salaire moyen mensuel en Roumanie est de 350 € par mois.

La démocratie n’a pas de prix, mais elle a un coût.

Le texte exact de cette ordonnance est :

« Aux fins de cette ordonnance d'urgence, lors des élections présidentielles de Roumanie en 2025, tout matériel écrit, en ligne, audio ou vidéo utilisé au cours de la campagne électorale qui incite directement ou indirectement les électeurs à choisir ou non, à voter ou ne pas voter pour un candidat indépendant ou pour un candidat d'un parti politique clairement identifié est considéré comme du matériel de publicité politique. La violation de ces dispositions constitue une contravention si les faits n'ont pas été commis dans des conditions telles qu'ils sont considérés comme des délits au regard du droit pénal et sont sanctionnés d'une amende de 15 000 à 50 000 lays. (soit 3000 à 10000 euros) »

Pour info, le salaire moyen en Roumanie est de 350 euros mensuels !

 

Ce texte réglementaire a été édicté avec la bénédiction de Bruxelles qui ne trouve rien à redire quant à l'interdiction de la liberté d'expression du citoyen, à l'interdiction des droits démocratiques, à l'interdiction de l'activité politique.

Les citoyens auront interdiction de parler en faveur de leur candidat, auront interdiction de lui faire de la « publicité » par quelques moyens que ce soit : matériel écrit, en ligne, audio ou vidéo, sous peine d'une amende de 3000 à 15000 euros , à titre de comparaison, en France, proportionnellement, l'amende serait de 15000 à 75000 euros.

Les seuls contacts autorisés entre le candidat et la population seraient les télévisions et les radios officielles, ce qui revient à dire que seuls les candidats adoubés par l'Union européenne auraient le droit de s'exprimer.

 

Si un tel système est appliqué en France, les petits candidats n'auraient plus aucune visibilité, ce qui est le but poursuivi.

Les distributions de tracts sur les lieux publics seraient interdites, les meetings et les réunions publiques seraient des infractions pénales, y compris les candidats n'auraient plus le droit de s'exprimer sur leurs chaînes internet d’informations.

Ce qui revient à l’interdiction pure et simple des petits candidats, puisque seules seraient autorisées les expressions organisées dans le cadre réglementaire par les grandes chaînes d’informations et, comme on le sait, on ne peut vraiment pas dire que l’égalité du temps de parole soit respectée sur les grandes chaînes d'info, mais cette ignominie va encore plus loin : ce qu’on appelle les discussions de bistrot seraient sous le coup de la loi dès lors que l’on parlerait des élections autrement qu'en termes généraux.

Il en va de même pour les forums de discussion ou pour les commentaires qui tombent directement sous le coup de la loi.

 

La loi qui sera expérimentée en Roumanie détruira la liberté d’expression, le droit de manifester, la liberté de râler, la liberté de dire ce qu’on pense, Macron en rêvait, l'Union européenne va l'expérimenter, adieu gilets jaunes et manifs retraite.

Et ce n’est pas de la propagande prorusse, c’est ce que l'Union européenne va expérimenter en Roumanie, c’est un test en grandeur nature qui pourrait être généralisé à l’ensemble des pays de l’Union européenne.

 

Ils justifient les attaques contre la démocratie en expliquant qu’ils veulent protéger son processus électoral.

On interdit la démocratie pour protéger la démocratie. Orwell ne l'avait pas vu venir, celle-là : c’est la marche en avant de la dictature européenne.

 

 

Thierry Breton revendique l’annulation des élections présidentielles roumaines par Bruxelles

Élections en Roumanie : l’OTAN gagne contre la démocratie

L’ingérence russe a bon dos



24 réactions


  • Samy Levrai Samy Levrai 22 janvier 15:49

    L’UE c’est la liberté...

    L’UE, c’est la richesse et la prospérité...

    L’UE c’est la paix...

    L’UE c’est la democratie...

    Ca pique !


  • Gérard Luçon Gérard Luçon 22 janvier 16:17

    Le SMIC en Roumanie net en poche est de 2.574 Lei soit 520 euros ... depuis le 1er janvier.

    Le salaire moyen est de 1.150 euros avec de grandes disparités entre les grandes villes et le reste du pays ..


    et la monnaie est le « Leu » (pluriel Leî) ... sinon oui, un laboratoire de l’UE, bien vu !

  • Eric F Eric F 22 janvier 18:11

    De telles restrictions sont contraires à la « Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne » article 11.1 : Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontières.

    On passe donc en régime d’exception !


  • Seth 22 janvier 18:44

    Et le Venezuela dans tout ça ? Et l’arrivée de pinochet à la tête du Chili à cause du cuivre ? Et la présence des taliban en Afghanistan, et les mouvements kurdes en Irak et Syrie, jusqu’à l’existence d’al qaida, etc, etc... ? Le zézé en Ukraine...

    Le referendum de 2005 en france avec l’épisode 2008. Les exemples de tripatouillages, d’arrangements et d’interventionnisme sont légions.

    Je dois être conspirationniste sans doute à voir le mal partout. smiley

    Et l’anti-conspirationnisme cultivé par le mec quidam reichstadt au service du pouvoir financé par cette pintade de schiappa dans son opération marianne...


    • pasglop 23 janvier 11:22

      @Seth
      T’avais déjà vu une pintade Chevalier de la Légion d’Honneur ?
      Ben maintenant, c’est fait !


  • ETTORE ETTORE 22 janvier 19:31

    Je crois qu’en Roumanie, comme dans d’autres pays, voulant arrêter de se faire pisser dessus par cette extra territorialité politique, financière, et immorale qu’est cette youRope faisandée, pourrie au plus profond d’elle même...

    Les murs vont se remettre à parler.

    Pas besoin de tracts papier, de banderoles portées par des manifestants !

    Les murs, ne servent pas de collecteurs de balles, juste pour les fusillés !

    Ils peuvent devenir le support majestueux,de l’expression, d’une volonté assumée, d’un coup de pied au cul, même à distance .


  • saint louis 22 janvier 20:25

    Il flotte comme un air de fin de règne pour cette organisation mafieuse.

    Il faut espérer que cela ce produise au plus vite pour notre avenir.

    Les chefs d’état Orban et Fico ont dore et déjà annoncés les prémices du futur de l’UE.

    Pour la France il nous faut une vrai chef, comme ces derniers cités.


  • L’Europe des politiciens c’est un panier de crabes.

    Une mafia permanente animée par les peuples germains et les sionistes(? ).


  • MAIS QUI EST DONC ASTRID, CETTE MINISTRE QUI VEUT CRÉER UNE TAXE SPÉCIALE SUR LES RETRAITÉS GAGNANT PLUS DE 2000 €/MOIS ?

    Née en 1971 dans un milieu favorisé, d’un père d’origine arménienne et d’une mère norvégienne, Astrid Panosyan-Bouvet, nouvelle ministre chargée du Travail et de l’Emploi, a commencé sa carrière aux États-Unis après HEC et Sciences-Po.

    Diplômée de la John Kennedy School of Government à Harvard (réputée proche de la CIA), elle entre ensuite comme consultante dans le cabinet de « conseil en stratégie » A.T.Kearney à Chicago, né d’une scission avec McKinsey en 1946.

    Son fondateur Andrew Thomas Kearney eut un rôle important dans l’organisation du plan Marshall dans l’immédiat après-guerre, prouvant ainsi sa proximité du gouvernement américain et de ses services de renseignements.

    Revenue en France en 1997 après avoir vécu 5 ans aux États-Unis, Astrid Panosyan se marie avec Laurent Bouvet, fondateur du « Printemps Républicain », mouvement politique voulant lutter contre l’extrême droite et contre l’islamisme politique.

    Dans la foulée, elle entre au PS en 2001, où elle s’affiche « strauss-kahnienne », juste le temps de se faire élire conseillère municipale de Paris.

    Constatant que le PS n’est qu’un infâme panier de crabes où elle n’arrivera pas à se faire sa place au soleil, elle en claque la porte et décide de « soutenir » la candidature de Bayrou à la présidentielle de 2007.

    Dotée d’un cynisme à toute épreuve et d’une capacité inépuisable à se pousser du col, elle quitte Bayrou en 2014 pour entrer au cabinet de Macron, alors ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, comme conseillère chargée de l’attractivité économique.

    Puis elle devient « cofondatrice » d’En marche !" en 2016. Pendant la campagne présidentielle de 2017, elle est chargée de conseiller Macron sur les questions de santé alors qu’elle n’y connaît strictement rien.

    Pour les législatives de 2022 à Paris, elle intrigue pour se faire investir par « Ensemble » dans la 4e circonscription de Paris 17e, contre la candidate sortante LR Brigitte Kuster, pourtant membre de la majorité et bien implantée localement.

    Pour mener à bien ce hold-up politique, Astrid reçoit les soutiens des escrocs les plus connus de la Macronie : Édouard Philippe, Bruno Le Maire, Darmanin, Oudéa-Castéra et Gabriel Attal.

    Cerise sur le gâteau, Sarkozy en personne lui apporte son soutien, à la grande fureur de la candidate LR sortante qui ne se remettra pas de cette trahison politique puisqu’elle en perd son siège de députée au profit d’Astrid.

    Devenue députée, Astrid Panosyan-Bouvet rejoint le groupe Renaissance et siège à la Commission des Affaires sociales où elle défend la réforme de l’assurance-chômage qu’elle qualifie de « texte nécessaire, efficace et juste ». Elle peaufine son image en se faisant élire vice-présidente du groupe d’amitié France-Israël et se donne un air de gauche en créant une polémique calculée, quand elle qualifie le RN de « xénophobe ».

    Astrid obtient enfin le fruit de ses efforts en entrant au gouvernement Barnier, qui ne lui en veut manifestement pas d’avoir tué politiquement la députée LR Kuster. Il la nomme ministre du Travail et de l’Emploi le 21 septembre 2024, et Bayrou la renomme au même poste le 23 décembre.

    Dans ses nouvelles fonctions de ministre, Astrid fait feu de tout bois pour imposer les mesures les plus antisociales possibles, au nom du prétendu sérieux de la gestion de la mafia macroniste qui a ruiné la France !

    Ainsi la ministre prône-t-elle :

    le report au-delà de 64 ans de l’âge du départ à la retraite

    les 7 heures de travail supplémentaires non payées

    une taxe nouvelle spéciale sur les retraités gagnant plus de 2000€/mois.

    Cette dernière proposition provoque un tel scandale que Bayrou va devoir calmer Astrid : https://lefigaro.fr/politique/taxer-les-retraites-aises-la-piste-explosive-de-la-ministre-du-travail-20250121

    En bref, Macron, Bayrou et Astrid Panosyan-Bouvet font exactement le contraire de ce que les Français ont voulu lors des législatives de juillet dernier.

    https://x.com/f_asselineau/status/1882089486303342950


    • Furax Furax 23 janvier 12:06

      @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
      J’aime bien cette nana, elle a de très bonnes idées :
      Si on est riche à 3000 euros mensuels, je suggère de lancer une pétition nationale pour que les revenus des députés, sénateurs et ministres soient plafonnés à 3 000 euros mensuels.


  • Dans la soirée du 22 janvier, une série d’explosions ont été enregistrées dans différentes régions d’Ukraine et dans les territoires contrôlés par la partie ukrainienne. Les plus grandes destructions ont été constatées à Zaporojie. Les résidents locaux signalent d’importantes pannes d’eau et d’électricité à la suite de l’attaque. Selon les données préliminaires, l’impact a touché une sous-station de la rue Ivanova, qui a pris feu après l’explosion.

    Les chaînes d’information locales notent la forte activité des pompiers et des ambulanciers dans la zone touchée. Les habitants se plaignent également des interruptions des communications mobiles et d’Internet, ce qui rend difficile la communication de l’ampleur des destructions.

    Les explosions ne se sont pas produites seulement à Zaporozhye. Des opérations de systèmes de défense aérienne et des attaques contre des infrastructures ont été signalées dans les régions de Kharkov, Dnepropetrovsk et Odessa. Dans la région de Nikolaev, la frappe a été enregistrée dans la zone de l’aérodrome militaire de Voznessensk. Les attaques auraient été menées à l’aide de drones, notamment des drones kamikaze Geranium.


  • Du RIFIFI chez les flics, les magouilles vont bon train .

    https://www.francesoir.fr/politique-france/la-porte-parole-du-ministere-de-l-interieur-demissionne-apres-avoir-sorti-un-livre

    La porte-parole du ministère de l’Intérieur démissionne après avoir sorti un livre critique

    La démission de Camille Chaize, porte-parole du ministère de l’Intérieur depuis 2019, survient après la publication de son livre dans lequel elle critique les syndicats de police et s’interroge sur le rôle de l’administration.

    La politique du secret et de la réserve a un prix, et Camille Chaize ne veut plus payer. Après la publication de son livre Porte-parole où elle critique l’influence des syndicats policiers, notamment d’Alliance, la porte-parole du ministère de l’Intérieur a été poussée à la démission. En cause, des propos qui semblent incompatibles avec son statut de fonctionnaire, notamment son appel à défier l’obéissance hiérarchique si les ordres vont à l’encontre de l’intérêt public.

    "J’ai envie de sortir de cette sacro-sainte réserve, de défendre haut et fort mes valeurs républicaines. Je relis le statut général des fonctionnaires sur l’obligation d’obéissance hiérarchique (...). Je comprends que si l’agent public estime que l’ordre hiérarchique nuit à l’intérêt public, il n’est pas tenu de se conformer aux instructions", écrit-elle, comme le rapporte l’AFP. Un aveu sans détour qui n’a pas manqué de déstabiliser la communication ministérielle.

    Dans son livre, Camille Chaize dresse un portrait accablant de la place des syndicats de police dans les rouages de l’État. Elle évoque le pouvoir disproportionné qu’ils exercent et l’influence qu’ils ont sur les décisions politiques. Le Canard Enchaîné rapporte que des responsables d’Alliance ont exercé des pressions pour obtenir son départ, bien que ces accusations aient été formellement démenties par les parties concernées, y compris la direction générale de la police nationale. Quoi qu’il en soit, c’est l’argument du « devoir de réserve » qui est venu sceller son départ. 


  • ETTORE ETTORE 23 janvier 12:32

    Du RIFIFI chez les flics, les magouilles vont bon train .

    https://www.francesoir.fr/politique-france/la-porte-parole-du-ministere-de-l-interieur-demissionne-apres-avoir-sorti-un-livre

    ....................

    Ce n’est qu’une preuve de plus, que ce gouv de porteurs de queues de billard, ne tient que, par soumission forcée, à des « lobby multiples et variés » qui pèsent bien plus que lui, et qu’il est désormais pendu par les cou...es ( si jamais il s’avère qu’il y en ait plus d’une paire, et qui se touchent )

    Un gouv, qui se voulait puissant, hautain,et qui disait avoir la volonté forte

    « emmerder » ceux « qui devait venir le chercher », et qui se retrouve aujourd’hui, à la merci de ses ex mercenaires, à genoux, juste pour avoir le droit de faire semblant de tenir sa place, en instance de fonte accélérée .

    C’est sidérant de bassesse .

    Il suffiras d’un pas de côté, pour que la tête soit mise sous le pied !


  • https://www.amazon.fr/Porte-parole-R%C3%A9flexions-personnelles-officielle-lInt%C3%A9rieur/dp/2492301575 Porte-parole : Réflexions personnelles de la voix officielle du ministère de l’Intérieur Broché – Grand livre, 23 janvier 2025
    de Camille Chaize (Auteur), Mathieu Sapin (Auteur)

    « Bon, voilà cinq ans que je suis porte-parole du ministère de l’Intérieur. Cinq ans à parcourir la France, de Calais à Marseille, de Mamoudzou à Cayenne, d’Annecy à Perpignan, au gré des évènements, des actualités et des crises. Cinq ans qui n’ont pas été de tout repos. J’ai vécu des moments de tensions extrêmes et de grandes émotions. J’ai suivi dans les coulisses du pouvoir des situations qui disent beaucoup de notre société, des attentes des Français, de la fébrilité des médias et du rôle déterminant de l’État.

    Parler, c’est agir. Crise sanitaire, attentat, immigration, ordre-public : dans ce ministère régalien, j’ai agi en parlant. Ces dernières années, mon principal combat a été d’apporter de la nuance au débat public, de lutter contre la désinformation et d’instiller de la réflexion dans les polémiques. J’ai tenté d’amener de la rationalité, de l’esprit républicain et de l’optimisme dans ce qui est dit à la télévision, à la radio, dans la presse et sur les réseaux sociaux. À l’heure du bilan, j’ai eu envie de prendre la plume et de raconter cette expérience hors norme. Avec ce témoignage, qui mêle réflexions et anecdotes, j’ai surtout voulu partager mes engagements et faire découvrir mon quotidien de porte-parole. »


  • https://www.lecanardenchaine.fr/politique/49926-lextreme-droite-fait-la-loi-a-linterieur

    "Si l’administration choisit d’être faible et de ne pas fixer des lignes infranchissables, nous en paierons tous les conséquences."

    Camille Chaize



  • Bernard Mitjavile Bernard Mitjavile 23 janvier 18:51

    Après cette analyse on aimerait bien lire quelques propositions face à ces attaques contre les libertés de base en Roumanie comme dans le reste de l’Europe (voir censure du discours en direct de Trump par la RTBF il y a quelques jours en Belgique.


  • https://x.com/cesarinijosy/status/1881632694292877482?mx=2


    Le 20 janvier 2025, le président Donald Trump a signé une série de décrets visant à annuler les politiques de son prédécesseur et à mettre en œuvre son programme. Voici une liste détaillée des 78 décrets signés ce jour-là :
    • Abrogation de 78 décrets de l’administration Biden : Annulation de mesures concernant la baisse du prix de certains médicaments, les programmes de lutte contre les discriminations et les sanctions contre certains colons en Cisjordanie.

  • https://x.com/elonmusk/status/1882589745219534902

    Seriously

    Alors les attardés de la gauche, de la Macronerie ....Toujours aussi tordu, minable 


  • Les États-Unis ont menacé l’OTAN de conséquences en cas de tentative d’admission de l’Ukraine dans l’alliance.

    L’envoyé itinérant auprès de l’administration du président américain Donald Trump, Richard Grenell, a vivement critiqué les déclarations du secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, sur la volonté de l’Ukraine de rejoindre l’alliance. Ses propos ont fait partie du débat public qui a éclaté autour des perspectives d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN et du rôle des États-Unis dans le soutien à l’alliance.

    Lors d’un débat organisé dans le cadre d’un forum international, Rutte a déclaré :

    « Il existe une certaine volonté de l’Ukraine d’adhérer à l’OTAN. Nous devons juste décider quand cela se produira. »

    Cette remarque a suscité une réaction immédiate de Grenell, qui a souligné que l’accélération du processus pourrait se heurter à une résistance aux États-Unis.

    « Vous ferez face à une énorme opposition en Amérique si le secrétaire général de l’OTAN parle de l’adhésion de l’Ukraine à l’alliance. C’est le peuple américain qui paie pour la défense. Vous ne pouvez pas demander au peuple américain d’élargir le cadre de l’OTAN alors que les membres actuels ne font pas leur juste part. Cela vaut par exemple pour les Néerlandais, qui doivent augmenter leur part. » » dit Grenell.

    La déclaration de Grenell souligne une question clé qui a longtemps été débattue au sein de l’OTAN : la question du partage équitable de la charge financière entre les pays membres. Les États-Unis, le plus grand donateur de l’alliance, pressent depuis longtemps leurs partenaires européens d’augmenter leurs dépenses de défense. Cette question est devenue particulièrement pertinente dans le contexte du conflit en Ukraine et de la nécessité de renforcer le flanc oriental de l’OTAN.

    En réponse, Rutte a souligné que les pays de l’OTAN devraient réellement dépenser davantage dans la défense, soulignant que les 2% actuels du PIB que les pays de l’alliance se sont engagés à consacrer aux besoins militaires ne correspondent plus à la réalité.

    « Nous devons repenser nos engagements et notre volonté de protéger nos alliés dans l’environnement actuel. » - a ajouté le Secrétaire Général.

    Les discussions sur les perspectives d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN suscitent des désaccords non seulement au sein de l’alliance, mais également sur la scène internationale. Kiev continue de faire pression pour accélérer le processus, arguant que l’adhésion à l’OTAN est nécessaire pour garantir la sécurité nationale et stabiliser la région. Toutefois, les avis au sein des pays membres eux-mêmes étaient partagés. Les États-Unis et certains pays d’Europe occidentale abordent cette question avec prudence, craignant une nouvelle escalade du conflit avec la Russie.


    • ETTORE ETTORE 24 janvier 21:55

      @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
      ...............................................
      Je me demande quand et comment, le joueur de manche de marteau à touche, trouveras le moyen de faire appliquer son rêve, à ceux qui partagent le pognon, avec des règles en vigueur , dignes de celles d’un jeu de bonneteau .
      Kiev, fait face à des milliers d’arrestations, pour détournements de fonds, et trafic d’arme.
      Et on peu sérieusement se demander, à qui sont revendues toutes ces armes, une fois offertes, une fois vendues, une fois payées, une fois...Utilisées.
      Qu’on en arriveras un jour, a avoir un canon caesar, garé dans la cour de l’Elysée, avec un drapeau de religiosité barbue, qui jetteras un voile, en même temps qu’un obus, sur tout le décor monté en trompe l’oeil, qu’est cette parodie politique, qui sert de MickeyLand, à tous les sniffeurs de caisses noires, sans cadavres !


  • LA FRANCE DE PLUS EN PLUS RIDICULE

    𝗔𝗙𝗙𝗔𝗜𝗥𝗘 𝗟𝗨𝗖𝗜𝗘 LE COPINAGE ET L’AMATEURISME DE LA MACRONIE PROVOQUENT UN NOUVEAU DÉSASTRE DE LA RECHERCHE SUR FONDS PUBLICS
    — -

    Alexandre Zapolsky a créé LINAGORA, éditeur « open source » de logiciels libres français, en juin 2000 avec M-M. Maudet

    Zapolsky est aussi un copain et un soutien politique de Macron : il a participé au financement de sa campagne présidentielle en 2017, et a même été candidat En Marche en 2017 aux législatives dans la 3e circonscription du Var (cf. photo) https://zdnet.fr/blogs/l-esprit-libre/alexandre-zapolsky-pdg-de-linagora-candidat-en-marche-aux-legislatives-39852430.htm


    Depuis la création de LINAGORA, Zapolsky a par ailleurs été mêlé à plusieurs affaires judiciaires (vols de propriété intellectuelle où il a été débouté) et une gestion brutale de ses employés https://mediapart.fr/journal/france/160617/les-methodes-brutales-du-pdg-alexandre-zapolsky-candidat-lrem


    LUCIE a été annoncée en avant-première le 13 décembre 2024 par LINAGORA avec beaucoup de forfanterie et de présomption.

    Maudet, l’associé de Zapolsky, a décrit cette IA « comme particulièrement adaptée au traitement de données de requêtes en français. » https://lemondeinformatique.fr/actualites/lire-entretien-michel-marie-maudet-dg-de-linagora-%C2%A0lucie-un-llm-open-source-et-francais%C2%A0-95286.html

    Hélas !


    Lancée avec des cocoricos le jeudi 23 janvier par le copain de Macron et le CNRS, LUCIE a dû être fermée en catastrophe samedi 25 devant l’avalanche des quolibets et des rigolades.

    Dans le monde entier, on se moque d’une IA française ayant plusieurs années de retard sur les États-Unis et la Chine.

    On notera au passage que l’UE est totalement absente, l’Allemagne se refusant notamment de travailler avec la France sur ce sujet stratégique.



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