mardi 6 mai - par politzer

La Chine espoir du monde

La révolution productive chinoise : une marche communiste inspirée de Lénine et portée par l’abondance

En Chine, une transformation historique redessine l’avenir : 50 % des jeunes accèdent à l’université, formant une nation d’ingénieurs qui propulse les forces productives (FP) vers une abondance inédite, tendant vers un coût marginal zéro. Ce mouvement, initié par Deng Xiaoping, révolutionnaire inspiré de la Nouvelle politique économique (NEP) de Lénine, anticipe mécaniquement une révolution des rapports sociaux (RS), exigeant l’égalité sociale et ouvrant la voie au communisme. Portée par une classe moyenne/ouvrière de 500 millions de citoyens et guidée par le Parti communiste chinois (PCC), cette dynamique fait écho à la Sécurité sociale française de 1945, conquête du Parti communiste français (PCF) et d’Ambroise Croizat, incarnant la devise « de chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins ». Avec patience et un rejet de l’aventurisme gauchiste, la Chine, vue à travers une perspective chinoise, fascine le monde par sa marche vers une société sans classes.

Les forces productives chinoises : vers une abondance à coût marginal zéro

Le matérialisme historique de Karl Marx postule que les forces productives – technologies, savoir, main-d’œuvre – déterminent les rapports de production. En Chine, ces forces, dynamisées par les réformes de Deng Xiaoping, atteignent un niveau révolutionnaire, créant une abondance qui tend vers le coût marginal zéro.

Héritage de la NEP de Lénine : En 1978, Deng Xiaoping, révolutionnaire marxiste-léniniste, s’inspire de la Nouvelle politique économique (NEP) lancée par Lénine en 1921 en Union soviétique. La NEP, conçue comme une phase transitoire, introduisait des mécanismes de marché (petites entreprises privées, incitations agricoles) pour relancer l’économie tout en maintenant le contrôle étatique, préparant le socialisme. Deng, face à une Chine appauvrie après le Grand Bond en avant (1958-1962), adopte une approche similaire avec le socialisme de marché : libéralisation agricole, ouverture aux investissements étrangers, et essor des entreprises privées, tout en préservant les entreprises d’État (40 % du produit intérieur brut aujourd’hui). Ces réformes, justifiées par le marxisme comme un développement des forces productives, ont sorti 800 millions de personnes de l’extrême pauvreté (1980-2020).

Éducation de masse : 57,8 % des jeunes (60 millions d’étudiants) fréquentent l’enseignement supérieur (2022), produisant 10 millions de diplômés par an, dont 4,7 millions en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques. Le plan de cinq ans 2021-2025 a atteint 60 % de scolarisation , avec une projection à 80-90 % d’ici 2035, financée par 1 000 milliards de yuans (5 % du produit intérieur brut). Cette démocratisation du savoir, accessible aux enfants de paysans et de migrants (mingong), forge une classe ouvrière au sens large, intégrant la classe moyenne de 500 millions de citoyens.

Innovation technologique : La Chine domine des secteurs stratégiques : 70 % des panneaux solaires mondiaux, 50 % des véhicules électriques, leadership en télécommunications de cinquième génération (30 % des brevets via Huawei allié aujourd’hui à Xaiomi), et 4,2 millions de brevets déposés (premier rang mondial, Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, 2022). Les entreprises d’État et les firmes privées (BYD, Tencent) produisent 30 % des biens manufacturés mondiaux.

Coût marginal zéro : Comme l’explique Jeremy Rifkin dans « La société à coût marginal zéro » : l’Internet des objets, le commun collaboratif et l’éclipse du capitalisme (2014, traduction française), le coût marginal zéro survient lorsque le coût de production d’une unité supplémentaire devient quasi nul, grâce à des technologies avancées. En Chine :

Énergie renouvelable : Le coût de l’électricité solaire est réduit à 0,03 dollar par kilowattheure, proche du coût marginal zéro.

Numérique  : Des plateformes comme WeChat (1,3 milliard d’utilisateurs) et Alipay ajoutent des utilisateurs à un coût négligeable.

Manufacture : L’automatisation (1,4 million de robots industriels, premier rang mondial) minimise les coûts de production (ex. : téléphones intelligents, 80 % du marché mondial).

Cette abondance, héritée des réformes de Deng inspirées de Lénine, élimine la pénurie, rendant la propriété privée obsolète et ouvrant la voie à une société communiste.

Anticipation des rapports sociaux : l’exigence mécanique de l’égalité

Marx soutient que des forces productives avancées rendent les rapports capitalistes obsolètes, exigeant des rapports sociaux égalitaires. En Chine, ce mouvement, initié par la vision de Deng Xiaoping, est mécanique, porté par les citoyens éduqués et le PCC.

Ingénieurs comme future classe ouvrière : Les 4,7 millions de diplômés en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques, intégrés à la classe moyenne/ouvrière (500 millions), forment une nouvelle classe ouvrière. Leur rôle dans l’innovation (intelligence artificielle, exploration spatiale, énergies vertes) et leur conscience sociale, les poussent à exiger une société sans classes, comme les travailleurs français de 1945 ont imposé la Sécurité sociale via la Confédération générale du travail (CGT).

Demande d’égalité sociale : L’éducation (60 % à l’université, bientôt 80-90 %) et l’urbanisation (60 % de la population) transforment les consciences. La classe moyenne revendique des logements abordables, une santé équitable (95 % de couverture), et des salaires accrus (minimum de 2 500 yuans/mois). Cette aspiration à l’égalité prolonge l’élan de la NEP, qui visait à émanciper les masses.

Abondance et communisme : Le coût marginal zéro, créant une abondance dans l’énergie, le numérique et la manufacture, permet une redistribution universelle. Comme la Sécurité sociale redistribuait les richesses, les forces productives chinoises rendront possible une société où « chacun reçoit selon ses besoins », abolissant les inégalités (coefficient de Gini de 0,47).

Le PCC, composé de communistes-travailleurs (92 millions de membres, 50 % diplômés), anticipe ce changement, fidèle à l’héritage de Deng et Lénine :

Prospérité commune (2021) : Investissements ruraux (200 milliards de yuans), taxation des riches, dons forcés des milliardaires (15 milliards de Tencent).

Contrôle du capitalisme : Sanctions contre Jack Ma (amende de 2,8 milliards de dollars) et régulation des géants technologiques (Didi, Tencent).

Anti-corruption : 1,5 million de cadres sanctionnés (ex. : Zhou Yongkang) pour financer des services publics.

Parallèle avec la Sécurité sociale française

En 1945, la Sécurité sociale, portée par Ambroise Croizat et le PCF, a transformé les rapports sociaux en France via une redistribution universelle, incarnant la devise « de chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins ». Les travailleurs, contrôlant les caisses via la CGT, ont réduit la dépendance à la bourgeoisie. En Chine :

-Les ingénieurs, développant des forces productives à coût marginal zéro, exigeront un contrôle ouvrier sur les entreprises d’État, comme les caisses françaises.

-L’éducation de masse répond aux besoins de savoir, financée par les moyens collectifs, prolongeant l’idéal communiste initié par Deng, inspiré de Lénine.

-La transition chinoise est graduelle, évitant l’aventurisme gauchiste, contrairement aux luttes militantes de 1945.

Patience et perspective chinoise

La transformation des rapports sociaux, anticipée par les forces productives, repose sur la patience, ancrée dans la perspective chinoise (confucianisme, marxisme-léninisme) et l’héritage de Deng Xiaoping :

Les ingénieurs éduqués gagneront en influence, exigeant l’égalité sans déstabilisation, comme le prône le PCC (horizon 2049).

Les luttes ouvrières (10 000 à 20 000 grèves par an) sont canalisées par la Fédération nationale des syndicats de Chine pour des gains (salaires doublés depuis 2010) sans rupture.

La sortie de 800 millions de personnes de l’extrême pauvreté et l’essor de la classe moyenne (500 millions), fruits des réformes de Deng, renforcent la légitimité du PCC, contre les biais anticommunistes occidentaux, similaires à ceux qui ont minimisé Croizat.

Défis à relever

Pouvoir ouvrier : Les ingénieurs n’ont pas de contrôle direct sur les entreprises d’État, gérées par le PCC, contrairement aux caisses de Sécurité sociale.

Inégalités : Le coefficient de Gini (0,47) et le système du hukou limitent l’égalité (15 % d’étudiants ruraux dans les universités d’élite).

Capitalisme mondial : Les exportations (40 % du produit intérieur brut) et les firmes étrangères (Apple, Tesla) freinent une rupture socialiste.

Bureaucratie : Le monopole du PCC risque une « bourgeoisie d’État », sauf si les citoyens éduqués imposent plus de démocratie ouvrière.

Conclusion : une transition irrésistible vers le communisme

La révolution des forces productives chinoises, initiée par Deng Xiaoping s’inspirant de la NEP de Lénine, portée par 4,7 millions d’ingénieurs, une éducation de masse (60 %, d’entrants à l’université bientôt 80-90 %), et une production à coût marginal zéro (La société à coût marginal zéro, Rifkin, 2014), anticipe une transformationdialectique des rapports sociaux vers l’égalité sociale. Cette abondance, dans l’énergie, le numérique et la manufacture, rend possible une société communiste, comme la Sécurité sociale française a redistribué les richesses en 1945. Le PCC, avec patience et rejet de l’aventurisme gauchiste, guide cette marche, soutenue par une classe moyenne/ouvrière de 500 millions de citoyens. La perspective chinoise, héritière de Deng et Lénine, célèbre cette dynamique, défiant les biais occidentaux et confirmant que la Chine trace la voie d’une société sans classes.

PS J’invite les critiques du « crédit social » chinois à étudier les textes et le résultat de leur application. En comparaison de la future société sans cash qu’on nous prépare, bonne lecture !

 



20 réactions


  • xana 6 mai 09:08

    Merci pour cet article.

    Je ne suis pas communiste et un peu blasé sur le triomphalisme de l’article, j’en ai connu d’autres vu mon âge, d’un côté comme de l’autre.

    Mais je suis heureux de constater que la Chine est devenue l’une des premières nation du monde, et certainement la plus développée et la plus pacifique. Effectivement je préfère le développement chinois à l’agressivité des anciens « maîtres du monde » américains ou britanniques.

    Longue vie à un monde pacifié, et vive la Chine !


    • Gégène Gégène 6 mai 09:33

      @xana

      Pourtant, on nous parle souvent de la « menace chinoise »,
      jamais d’une éventuelle menace américaine !


    • grangeoisi grangeoisi 6 mai 11:01

      @xana
      Amen !


    • xana 6 mai 13:55

      @Gégène
      Oui, mais ca c’est parce que tu as de mauvaises lectures ! (rires)
      Moi qui n’ai pas la télé, je sais bien que ce n’est pas la France ni même l’Occident qui mènent le monde aujourd"hui. Heureusement !


    • chantecler chantecler 7 mai 07:02

      @xana
      Ce serait la Chine , « l’usine du monde » , avec ses millions de tonnes de produits à exporter et son gros milliard d’habitants qui sursature notre économie et épuise nos ressources naturelles ?
      Elle serait un facteur de paix ?
      Allons donc !
      Une seule chose me rassure : quels sont les idiots qui lui déclareraient la guerre  ?


  • Gégène Gégène 6 mai 09:28

    Pour enfoncer un dernier clou dans le cercueil de l’occident arrogant,

    une vidéo toute fraîche, encore chaude :

    https://www.youtube.com/watch?v=EVwARnw5VOo


  • Étirév 6 mai 10:02

    Rappelons que la position qu’occupe la Chine à l’heure actuelle en matière de technoscience est le fruit d’une volonté politique internationale. Des partenariats d’ampleur unissent l’Europe et la Chine. Ils sont si conséquents que le narratif d’une Chine, ennemie ou concurrente mortelle de l’Occident, est une fake news.
    « La Chine adoubée par la City de Londres… ce qui confirme bien que Wall Street n’est en fait qu’une succursale de la City et l’a toujours été », est le titre d’un article de Ariel Noyola Rodríguez, paru sur Russia Today le 30/10/2015.
    Dans cet article, nous pouvons lire que « Pékin, après des années de tractations en coulisse est entré dans les petits papiers de la City de Londres. La visite que le président Xi Jinping a effectuée à Londres, entre le 19 et le 23 octobre 2015, a posé les bases de la fondation d’une époque dorée entre la Chine et le Royaume-Uni, bases sur lesquels les deux pays s’appuieront pour donner une impulsion au yuan comme monnaie de l’économie mondiale. Pékin désire que le yuan devienne une monnaie de réserve mondiale. Bien que le chemin pour parvenir à la pleine convertibilité soit encore très long, la Chine a vu augmenter la présence de sa monnaie plus que tout autre pays au cours des dernières années. Le yuan est aujourd’hui la deuxième monnaie la plus utilisée pour le financement du commerce, et la quatrième la plus sollicitée pour effectuer des paiements transfrontaliers, selon les données de la Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication (SWIFT, pour son sigle en anglais). Dans un deuxième temps, le gouvernement chinois tourne son regard vers l’Europe du Nord. Pour positionner sa monnaie dans le groupe des opérateurs majeurs, la clé est l’assistance technique des pays occidentaux...Suite
    NB : C’est un ancien employé de « Goldman Sachs », Jim O’Neill, qui a inventé le terme acronyme BRIC en 2001. Quelques temps après son départ de Goldman Sachs (en 2013), Jim O’Neill occupera (en 2015) un poste au sein du gouvernement de Sa Majesté en tant que secrétaire commercial au Trésor. Son rôle principal était de travailler sur le projet « Northern Powerhouse » et d’aider à redynamiser le commerce avec la Chine, car, assurément, il était clair pour lui (mais pas que) que la prospérité économique devait être cherchée dans la région asiatique.
    En août 2013, Jim O’Neill déclara que l’acronyme « BRIC » n’avait plus aucun sens : « si je devais le changer, dit-il, je ne laisserais plus que le « C », avant d’ajouter ironiquement : « mais cela ne ferait sans doute pas un excellent acronyme… »
    Notons au passage que Jim O’Neill a été président du Conseil de « Chatham House » (certains disent plutôt « Shatan house ») de 2018 à 2021, et qui est l’équivalent britannique du Council on Foreign Relations américain (C.F.R.), ce véritable « gouvernement de l’ombre » des États-Unis.
    Blog


  • Bernard Mitjavile Bernard Mitjavile 6 mai 12:40

    Une cure de jouvence cet article qui me ramène une cinquantaine d’années en arrière. Retrouver une telle foi marxiste, c’est intéressant. Bien sûr pas un mot sur les persécutions contre les chrétiens, les musulmans et autres, ils n’ont qu’à être de bons communistes comme tout le monde. Enfin, je me permets de mettre un lien vers un ancien article qui devrait donner à réfléchir sur le marxisme : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/pour-une-alternative-aux-179614


    • xana 6 mai 14:04

      @Bernard Mitjavile
      Eh ! Dans ton esprit il faudrait d’abord passer un certificat de « démocratie » pour gouverner un pays ?
      Oui, il y a certainement à redire sur les persécutions (si tel est le cas) en Chine ou ailleurs, mais les remarques provenant de pays qui ont pratiqué tant de massacres (la France est bien placée pour en parler) l’esclavage, les épurations ethniques ou sur d’autres prétextes, etc, ces remarques sonnent plutôt mal contre la Chine. Que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre !
      Moi, aujourd’hui je porte tous mes espoirs sur la Chine, qui n’est certainement pas parfaite, mais saura facilement faire mieux que l’Occident déchu...


    • Bernard Mitjavile Bernard Mitjavile 6 mai 15:35

      @xana J’espère que vous garderez un bon crédit social si vous allez voyager en Chine. On n’aime pas trop les esprits indépendants dans ce beau pays. Ceci dit, on ne peut qu’être impressionné par le développement économique de la Chine qui a su combiner le communisme avec une bonne dose de capitalisme.


    • xana 6 mai 17:12

      @Bernard Mitjavile
      Mais, cher Mitjavile, la Chine j’y ai déja séjourné ! Comme d’ailleurs en Union soviétique, mais à l’époque Brejnev.
      Des observations pendant mes séjours j’ai tiré deux conclusions :
       1 Ces pays sont beaucoup plus sympathiques que ce que la propagande haineuse de notre propre pays laisse entendre. Beaucoup de choses excellentes, même si il existe encore bien sûr des points a revoir.
      2 Dans ces pays il existe une certaine propagande pour vanter les bienfaits du régime, mais aucune propagande haineuse à l’égard du pays d’où je viens.
      .
      En fait en Occident on a toujours eu l’habitude de mépriser les populations et les gouvernements des autres pays. Sur place (mais combien ont accepté de dépasser peurs préjugés pour venir se rendre compte de la situation ?) les choses apparaissent beaucoup plus nuancées...
      Ceci dit en Occident il suffit d’entrer chez le coiffeur pour entendre pis que pendre de ceux qui nous gouvernent...


    • Bernard Mitjavile Bernard Mitjavile 6 mai 18:43

      @xana J’ai séjourné dans pas mal de pays communistes avant la chute du mur de Berlin mais je n’ai jamais pensé qu’il suffisait « d’aller sur place » pour se rendre compte de la situation. Durant l’après-guerre, la plupart de nos grands « intellectuels » allaient en Union Soviétique et revenaient en racontant des choses très positives, il a fallu attendre la publication de « l’archipel du Goulag » de Soljenitsyne pour que les gens commencent à comprendre de quoi il s’agissait.


    • Bernard Mitjavile Bernard Mitjavile 6 mai 18:53

      @Bernard Mitjavile Ceci dit, je ne partage pas du tout le rejet de tout ce que fait Poutine en Russie, rejet qui est assez systématique dans les médias occidentaux et ma position sur la guerre en Ukraine est très éloignée de la propagande dans les médias occidentaux du camp du bien contre le camp du mal, dont heureusement on semble sortir avec Trump.


    • chantecler chantecler 7 mai 07:06

      @Bernard Mitjavile
      Vous retardez : après « l’archipel du goulag » ,critique du stalinisme , le scoop , Soljé a écrit de féroces critiques contre l’occident .

      Mais finalement c’est du blabla pour gens qui radotent .
      Car ça n’a jamais de fin .


    • xana 7 mai 09:16

      @Bernard Mitjavile
      Il était nécessaire d« aller sur place » pour se renre compte, non pas de la situation, mais du bain de propagande haineuse dont on ne se rendait réellement pas compte dans nos pays.
      Pour la situation il aurait fallu avoir bien des connaissances, mais la toute première connaissance c’est que TOUT ce qu’on disait ou écrivait en Occident sur la Russie ou la Chine était de la propagande, donc un mensonge éhonté.
      Y compris ce que racontaient nos propres connunistes, évidemment...
      .
      Une fois cela établi, effectivement on pouvait commencer à observer...
      Je trouve très prétentieux votre argument, et surtout je constate que vous « oubliez » opportunément la propagande haineuse contre ces pays. Rien que cela vous disqualifie !


    • Bernard Mitjavile Bernard Mitjavile 7 mai 12:10

      @chantecler Je ne vous ai pas attendu pour lire le discours d’Harvard et d’autres discours de Soljenitsyne. Ceci dit, simultanément Soljenitsyne n’a en rien renié L’Archipel du Goulag et d’autres œuvres. Vous n’avez pas l’air de comprendre grand chose à cet écrivain et préférez radoter.


  • xana 6 mai 14:09

    Quant à l’article de la donzelle qui se cache sous le pseudonyme impudent de « Vérité inversée » (etirev, quelle modestie !) là aussi on voit bien que pour un Occidental, même une Occidentale, il leur faut encore l’agrément de leurs maîtres anglais pour accorder la première place à la Chine.

    Racisme quand tu nous tiens ! Comment une face de citron (et communiste en plus) pourrait-elle être supérieure à un Occidental ?


  • Decouz 8 mai 09:43

    Il me semble que le développement actuel de la Chine ne peut pas être séparé de son histoire, je ne sais pas ce qu’il a de « marxiste », mais il repose sur les valeurs ancestrales de la Chine, connues et pratiquées par tous les Chinois.

    Il y a maintenant une avance technologique évidente dans tous les domaines, pour ma part j’ai apprécié les nombreuses avancées dans les spectacles pyrotechniques avec utilisation de drones permettant la création de nombreuses figures dans le ciel, de même les effets scénographiques, je n’ai vu aucun équivalent en Occident. 

    https://www.youtube.com/watch?v=EVwARnw5VOo

    en même temps les valeurs et savoirs faire traditionnels sont cultivés et mis en valeur, dont les arts des minorités ethniques : 

    https://www.youtube.com/watch?v=pk8gy2nXbRo&list=PLVbw5ay1BMZT4IFQduXHzJbtXyYSMzN1M&index=2


  • Decouz 8 mai 09:51

    Une des premières ou une des plus connues était Liziqi, mais il y a eu une interruption suite à des conflits d’édition, elle devait reprendre mais rien depuis un certain temps :

    https://www.youtube.com/@cnliziqi


  • Decouz 8 mai 09:54

    il faut mettre liziqi


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