La grande Couillonnade !!
De toute évidence, le capital est très fort !
A force de présenter Marine Le Pen et Sarkozy comme les personnalités les plus aimées des Français, il va de soi que ça finit par convaincre. C’est comme une chanson qui passe et repasse sur les ondes tellement rabâchée qu’elle finit par devenir un tube.
Conformément à l’habitude, ce lavage de cerveau aboutit à faire des électeurs désabusés, contribue à faire des Français râleurs qui en fin de compte subissent sans rien oser pour s’en sortir.
Trop difficile de réfléchir, pas habitués, puis la politique trop compliquée. Alors ils laissent les profiteurs avancer leurs pions, décider à leur place. C’est ainsi que continue l’exploitation morale et physique du peuple.
Au service du Capital, la grande presse manipule les consciences, non seulement en les manipulant, les abusant, mais aussi en faisant croire en la fatalité du système
Devant :
-l’écroulement de notre industrie avec son cortège d’entreprises qui ferment
-Un chômage qui s’accroit de jour en jour
-Des retraités qui perdent leur pouvoir d’achat
-Des jeunes sans ressources exposés à la délinquance
-Des gens malades qui ne se soignent plus.
-La montée d’un racisme que ce soit contre la couleur, les idées, ou la croyance. Bref l’intolérance fait place à la brutalité la démocratie fait place à l’arbitraire.
Etc.
Voilà la triste réalité en France.
Comme par hasard, toutes ces catégories de victimes sont divisées et n’arrivent pas à s’unir pour organiser de grandes manifestations afin de lutter contre cette insécurité, contre ces inégalités, contre cette misère.
Pourtant elles se rassemblent quand on assassine des journalistes caricaturistes ou d’autres victimes innocentes. A croire que seule la lutte contre les exploiteurs ne les intéresse pas ? Il est vrai que là en ce domaine la grande presse est peu bavarde, et n’encourage pas à la lutte contre ce système politico-patronal.
La France pays des libertés, pays qui se soulève quand il est menacé, accepte sans broncher la dictature d’un système inféodé aux grandes fortunes, aux banques et aux multinationales.
Pour s’en sortir, il faut arrêter de croire ce que dit la télé, se laisser abuser par des journaux locaux qui appartiennent à de grands groupes financiers. Il faut rencontrer des gens qui pensent différemment, il faut regarder et comprendre les autres qui comme nous souffrent, dire ça suffit aux mensonges, dire non au bourrage de crâne, cesser d’être le « couillon » de service et s’unir contre cette politique de droite et socialo-réformiste qui sont responsables de cette insécurité, de cette inégalité et de cette adversité.
20/02/2015
14 réactions
-
Spartacus
21 février 2015 16:33
Les « exploiteurs » sont souvent ceux qui pleurent êtres les plus exploités. Le système en fait est surtout inféodé aux fonctionnaires qui se gavent de la gamelle de l’état....
l’écroulement de notre industrie ? Ils s’en branlent. Eux ceux qu’ils veulent c’est se servir et veulent prendre l’argent du capital pour leurs privilèges au détriment du capital et de l’investissement.
Un chômage qui s’accroit de jour en jour ? La encore ils s’en branlent. Privilégiés sociaux leurs salaires sont exonérés de prélèvement social chômage....La solidarité c’est pour eux toujours les autres qui doivent payer.
Des retraités qui perdent leur pouvoir d’achat ? Les gauchistes s’en branlent ils ont leurs régimes spéciaux ? Qu’importe la cotisation leur régime est payé par les autres et constitue une rente à vie sur le compte de toute la société.
Des jeunes sans ressources exposés à la délinquance ? Ils savent les exploiter et leur crachent à la gueule. Ils ont des emplois dans les administration dit « d’avenir » sans les statuts. Les larbins de l’administration.
La France crève surtout de services publics remplis de tous gauchistes. Une armée de baveux sur l’argent du secteur marchand qui à force de l’exploiter est en train de le détruire.
-
Pyrathome
21 février 2015 17:13
Tu racontes vraiment n’importe quoi, toujours les mêmes obsessions pour défendre l’indéfendable...
Ceux qui vivent sur le dos de la société, ils sont là :https://www.google.fr/?gfe_rd=cr&ei=RK3oVJfXLcnCUMidgpgB#q=paradis+fiscaux+25+000+milliards
Les voleurs banksters, les pilleurs, les criminels, les trafiquants, les dictateurs, les multinationales, les marchands d’armes, les comploteurs, les politiques corrompus....etc..etc..., ils sont tous là, les VRAIS PARASITES.....
25 000 MILLIARDS !!! SPARTACUL LE MYTHO....
-
Ben Schott
21 février 2015 20:05
@Spartacus
En admettant que vous ne racontiez pas que des conneries, vous ne pouvez pas au moins les exprimer de manière un peu moins triviale ?
-
Le421
21 février 2015 20:10
@Spartacus
Ah là là !!
Si on lui enlève les fonctionnaires, il va déprimer...
En même temps, sa chanson, on la connait !!
Rien de nouveau sous le soleil.
-
-
cassandre4
21 février 2015 17:29
Pour Marine, je ne sait pas ! mais Sarközy « personnalité la plus aimée des français », je confirme ! c’est effectivement « une grande couillonnade »
-
Laurent 47
21 février 2015 19:41
Otez-moi d’un doute ! Est-ce que c’est Marine le Pen qui est allée à Kiev applaudir le putsch néo-nazi du Maïdan, et regarder défiler les milices de Pravy Sektor et de Svoboda avec leurs jolis drapeaux à croix gammée ? Moi, j’ai vu sur place Laurent Fabius, accompagné de Bernard-Henri Lévy, le comique-troupier de service ! Il est vrai qu’entre socialiste et national-socialiste ( nazi ), la différence me semble de plus en plus mince !
Et c’est le Front National qui est infréquentable ? Qui peut avaler une connerie pareille ? -
-
eric
22 février 2015 10:02
Toujours le même problème des penseurs « de gauche » avec le « peuple »....
Cela ne date pas d’hier.....
Pour élire les représentants aux Etats généraux, le Roi donnait le droit de vote à tous les inscrits sur les rôles fiscaux. C’est à dire, y compris les non imposables ( les pauvres) et, en fonction des traditions régionales, là ou c’était la coutume, là ou une femme était chef d’un foyer fiscal, aux femmes.
« Les pauvres sont trop cons, et les femmes sont aliénées par les Curés » au nom de ce cri de guerre, les différentes républiques, n’auront de cesse de limiter le suffrage aux « intelligents » c’est à dire à ceux qui payent assez d’impôts.
Petit à petit, ce droit fut élargit à tous les hommes.
Il fallut attendre le Général de Gaulle pour venir à bot des résistances de la troisième République laïque Rad Soc et de gauche, à considérer les femmes comme des hommes comme les autres...Aujourd’hui, le « peuple » est à 80% au niveau Bac, mais ces gens là persistent à penser qu’il est incapable de résister aux sirènes de TF1.... ! Rien n’a changé.
En revanche, alors que nos médias ne survivent que grâce à des subventions directes ou indirectes, des réglementations les mettant peu pou prou à l’abri de la concurrence. Alors que presque 100% des journalistes ne conservent un revenu décent qu’à condition de ne pas payer les mêmes impôts que les autres citoyens, ils persistent à croire que les médias sont entre les mains de capital !!!!
Les rares boites privées qui investissent dans du médias d’opinion, sont celles qui dépendent de commandes ou décisions de l’Etat... C’est parce qu’elles savent d’expérience que ses choix sont subjectifs et souvent peu rationnels, qu’elles sont contraintes d’investir à perte dans ces business.
Toute la presse « de gauche » est financée par des oligarques, souvent dans la téléphonie, parce que dans ce secteur, tu dépends entièrement des attribution de fréquence par les pouvoirs publics.Donc, le fait nouveau n’est pas que les « penseurs » de gauche soient persuadés que le peuple est stupide et aliéné par des « médias capitalistes », c’est leur incapacité à comprendre que : ces médias dépendent d’abord de l’état, qu’ils cherchent effectivement à aliéner, mais que ce sont eux les cibles...
Et cela marche....Des gens qui sont quand même réputés avoir de vague restes de culture postalternéomarxistes, sont persuadé que les hommes (e) providentiels (e) existent. En l’occurrence Le Pen ou Sarko......
Conclusion ? L’article à raison. Quand la classe moyenne plu ou moins lettrée et vivant au crocher des finances publiques qui est la gauche fréquentera un peu plus le « peuple », elle découvrira peut être le réelle et se désaliènera.
Le problème, c’est comment lui permettre de surmonter assez son mépris naturel et spontané pour ce qu’elle imagine être les « petits » (sans dents ?) pour aller au contact ? Pas simple.... -
eric
22 février 2015 10:17
A la relecture, je me dis que je n’ai peut être pas été assez simple pour que vous compreniez. Je vais tenter de résumer.
En gros 100% des journalistes ne survivent que grâce à nos impôts
De l’ordre de 80% relaient l’idée que Sarko est petit et qu’il a des talonnettes
Pour Le Pen on doit frôler les 100% qui relaient l’idée qu’elle est xénophobe, non républicaine et pour tout dire limite facho...48% du Peuple a voté Sarko en 2012
30% du peuple a voté Le Pen aux européennesC’est à dire n’a pas écouté..... les médias......
A ce stade, peu importe si ils sont à la solde du capital ou d’autre chose. Ceux qui répètent comme des perroquets ce que diffusent nos organes d’info, c’est le gens comme vous....
Cela ne vous pose aucune question ?
-
Libertad14
22 février 2015 10:50
A Spartacus. si nous ne le savions pas, il est clair que maintenant nous connaissons votre appartenance aux idées d’extrême droite c’est a dire au Front National. De toute évidence votre argumentation se résume à condamner les gauchistes, les victimes du chômage, les fonctionnaires de moins en moins nombreux et les retraités qui on l’avantage de bénéficier d’un système de retraite par répartition .
Les gauchistes ?? c’est tous ceux qui ne pensent pas comme vous ?? on peut donc mesurer la limite de votre tolérance !Les fonctionnaires ?? L’état à besoin de salaries pour assumer des taches comme l’administration des taches administratives comme l’éducation nationale, la police, les impôts etc.. Malgré l’incohérence de vos propos, force nous est de constater qu vous souhaiteriez les évincer ou plus exactement supprimer leur fonctions !! Dans ce cas que deviendraient nos impôts peut être soulager encore plus certains patrons qui en profitent déjà pas mal !En ce qui concerne les retraités, là aussi vous semblez ne pas trop savoir de quoi vous parlez , ou peut être n’avez vous pas trouvé dans votre manuel du parfait militant suffisamment d’informations.aujourd’hui les quelques salariés qui ont un travail cotisent pour la génération d’après. Le déficit des caisses est essentiellement due aux dettes patronales qui ne sont pas acquittées et des cadeaux que les gouvernements successifs leurs font en effaçant la dette !!J’en finirais en disant quand on veut essayer de faire valoir des critiques concernant la pratique de la politique encore faut ’il être au fait du problème et ne pas dire n’importe quoi ou se contenter de répéter la leçon du style bourrage de crane. Parfois en faisant référence au vécu durant sa carrière professionnelle ça aide, sauf bien sur si l’on est incapable d’analyser les événements.Je ne vous saluerez pas et ne vous répondrez plus à la polémique je préfère la critique constructive qui me permet de comprendre et d’agir en séquence .-
eric
22 février 2015 12:12
Mais ?? Vous dites vous même n’importe quoi.... ! Par exemple, les « quelques salariés qui ont du travail » : 1 ne cotisent pas tous dans les mêmes conditions : ( par exemple la fonction publique cotise peu par rapport à ce qu’elle touche, la différence étant financée par les impôts), d’autre part, el là c’est vraiment pour tous, ils ne cotisent pas « pour la génération d’après », mais bien pour la précédente....Dès lors que vous n’avez pas saisi ce point de base de notre système de retraite, je ne m’étonne pas de vos confusions générales... j’espère que cette remarque constructive vous aidera à y voir plus clair et à agir en conséquence...
-
-
sls0
23 février 2015 04:44
<Trop difficile de réfléchir, pas habitués, puis la politique trop compliquée.>>
le précaire avec un avenir incertain ne se révolte pas, il perd son esprit critique.
Le chômage qui augmente, le RSA augmente, il y a une cause économique mais aussi une cause politique, on veut des veaux qui ne l’ouvre pas et qui évite de penser, il faut du précaire.
Pour ceux qui ne sont pas au chômage mais à qui ça peut aussi arriver, psychologiquement parlant ils sont aussi en mode précaire, leurs avenirs les tracassent un peu.J’ai connu la période où l’on réfléchissait, où la politique on pensait l’influencer parfois d’une façon ’’hors limites’’. A l’époque on ne s’inquiétait pas trop de l’avenir car pendant les trente glorieuses ce n’était pas dans l’air du temps, pas de prêt à la consommation..... Le cerveau n’était pas en mode précaire.
Même avec des chèvres dans le Larzac le cerveau n’était pas en mode précaire.Dans les années 80, on s’est aperçu que la précarité tuait l’esprit critique, et hop direction précarité institutionnalisée.
Je réside dans un pays pauvre, le problème c’est pas dans 10 ans, 2 ans, 6 mois..... C’est : ’’aura t’on de la viande à manger aujourd’hui ?’’ Quand ce n’est pas : ’’va t’on manger ?’’
Si je veux discuter politique, égalité...... C’est avec des étudiants qui n’ont pas de problème avec le lendemain ou la précarité, le pauvre ne pense pas, il subit.Est-ce la révolution qui découle de le dictature ou la dictature qui découle de la révolution ?
Quand je regarde l’histoire je ne sais pas répondre. Une révolte profite rarement à ceux qui se révoltent mais à ceux qui la maitrise ou qui l’on créé.Gustave le Bon en 1895 parlait de l’unité mentale de foule, l’esprit critique passe à la trappe.
La révolte personnelle est salutaire mais il faut qu’on ait les moyens d’avoir un esprit critique.
Actuellement les moyens d’enlever l’esprit critique ce n’est pas ça qui manque.On a prêté à De Gaule en 1968 la phase ’’les français sont des veaux, ils beuglent mais c’est tout’’
1968 c’était une période où l’esprit critique était assez en forme, c’est aussi : 584 600 chômeurs
Logements :
Sans eau courante : 9%
Surpeuplés : 31%
WC sur le pallier : 48%
Sans eau chaude : 50%
Sans baignoire ni douche : 53%
Sans chauffage central : 65%
Sans téléphone : 85%
Et la vie était belle malgré l’absence de smartphone. De la précarité il y en avait mais avec une impression d’un futur meilleur
