vendredi 16 octobre 2020 - par Pierre Chazal

Le grand troupeau

« Ils s’embrassent au mois de janvier, une nouvelle année commence, mais depuis des éternités, elle n’a pas tellement changé, la France », chantait le barde Renaud Séchan à une époque, les années 1970, où le souvenir de Vichy et de la collaboration était encore suffisamment vivace pour que les idées - ou devrait-on dire les idéaux - de démocratie et de liberté fassent rempart à toute tentative de glissement autoritaire dans les pays d’Europe de l’ouest. La grippe de Hong Kong était passée par là, tuant au passage 31 000 personnes en France, et pourtant pas un politique, pas un journaliste, pas un médecin n’auraient eu l’idée éminemment perverse d’en faire porter la responsabilité sur la société civile. Etait-elle si différente, cette société ? Etaient-ils des criminels, les hommes politiques d’alors, de ne pas embastiller hommes, femmes et enfants pour les protéger d’eux-mêmes ? Etaient-ils fous, inconscients, égoïstes, indifférents, ces Français d’alors qui répandaient leurs miasmes sans se soucier de leurs prochains dans les rues de Rennes, Paris ou Marseille ? Méritaient-ils une amende, un blâme, un couvre-feu, une mise à l’index, ces jeunes qui assassinaient leurs aînés, parents et grands-parents compris, avec un cynisme révoltant ? N’avaient-ils point de cœur, ces fils indignes, ces enfants nés dans l’après-guerre, courant vinyls et jupons au lieu d’aller faire pénitence dans les sous-sols de l’Hôtel-Dieu ? Nul doute qu’au regard des politiques génocidaires actuelles menées par les cerbères de l’Union européenne, ils seraient jugés par contumace pour crime contre l’humanité.

 

L’empire des médias, alors, n’en était pas encore un. Et pourtant le troubadour de Paname chantait déjà, comme pressentant son avènement : « On leur a dit au mois d’avril, à la télé, dans les journaux, de pas se découvrir d’un fil, que le printemps c’était pour bientôt. » Que l’on s’amuse à changer les mots d’ordre, que l’on remplace « se découvrir d’un fil » par « rester chez soi » et « printemps » par « vaccin », et l’on aura le même message à la sauce mondialo-sanitaire. A autres bergers, autre troupeau. Un troupeau qui ne se contente plus de paître sagement dans son pré, mais qui réclame des barbelés pour le protéger du loup et des miradors pour tirer à vue sur les contrevenants ; ces chèvres de monsieur Seguin qui n’auraient pas encore compris que la liberté c’était la mort, et que c’est dans la peur du loup que résidait la vie éternelle, rebaptisée le « vivre-ensemble » par les tenants du nouveau contrat moral.

Herr Maqueron, comme monsieur Seguin dans le conte d’Alphonse Daudet, n’a lui non plus, jusqu’à présent, « pas eu de bonheur avec ses chèvres ». Depuis la crise des Gilets jaunes, magistrats, enseignants, policiers, infirmiers, retraités, restaurateurs lui ont signifié à tour de rôle leur mécontentement au cours des deux dernières années de son protectorat. Et pourtant, de son propre aveu, il a lui-même été surpris par la docilité avec laquelle ses ouailles se sont soumises au florilège d’imprécations prétendument sanitaires émanant du Ministère du Covid-19. Confinement, port du masque, attestations de sortie, fermetures administratives, interdictions de rassemblements, couvre-feux, censure, traçage et flicage en règle : un vrai Parc Astérix pour dictateurs en herbe qui même en Allemagne au temps de la peste brune aurait fait jaser dans les couloirs du RMVP (Reichsministerium für Volksaufklärung und Propaganda).

 

Quelle goutte d’élixir magique a-t-on donc mis dans la soupe de ces « gaulois réfractaires » capables de prendre d’assaut trois mois durant les ronds-points et les Champs-Elysées sans décolérer d’un week-end et qu’un microbe aura suffi à mettre au pas ? La formule est toute simple. Demandez-la au Maréchal, celui du discours du 20 juin 1940 :

« Le peuple français ne conteste pas ses échecs. Tous les peuples ont connu tour à tour des succès et des revers. C’est par la manière dont ils réagissent qu’ils se montrent faibles ou grands. Nous tirerons la leçon des batailles perdues. Depuis la victoire, l’esprit de jouissance l’a emporté sur l’esprit de sacrifice. On a revendiqué plus qu’on a servi. On a voulu épargner l’effort ; on rencontre aujourd’hui le malheur. J’ai été avec vous dans les jours glorieux. Chef du Gouvernement, je suis et resterai avec vous dans les jours sombres. Soyez à mes côtés. Le combat reste le même. Il s’agit de la France, de son sol, de ses fils. »

Sidération. Culpabilisation. Soumission. Voilà les ingrédients et voilà la recette. La France de 1940, assommée par la défaite, persuadée qu’elle était d’avoir la meilleure armée du monde, a baissé la tête de honte devant le désastre imputé à « l’esprit de jouissance » et s’est pliée, quatre ans durant, à la discipline collective exigée par le régime de Vichy au nom de l’honneur de la nation. La France de 2020, minée par ses divisions, perdue et déboussolée par trente ans d’errance maastrichtienne, conquise de l’intérieur par un gang de braqueurs qui n’en demandaient pas tant, emprunte le même chemin au nom de la « santé » et de la « solidarité ». Comme sa sinistre devancière, elle se voir reprocher d’avoir trop chanté durant l’été et d’avoir attiré le fléau sur elle-même. Comme sa sinistre devancière, elle en est réduite en guise de punition à écouter, se taire et obéir. L’heure du changement a sonné et les cartes de la nouvelle doctrine sont désormais sur la table.

 

« Il faut arrêter le débat permanent », déclare à la télévision le soir du 14 octobre, en toute décontraction, le fameux chef de guerre. « On s’était progressivement habitués à être une société d’individus libres, nous sommes une nation de citoyens solidaires. » Le regard et les rictus sont ceux d’un sociopathe, mais qu’un score de 66% au deuxième tour de la présidentielle a débarrassé de ses derniers complexes. L’étrange numéro d’équilibriste auquel il se livre devant les deux marionnettes qui lui servent de public se mue rapidement en exercice pur et simple de prestidigitation. Les mensonges et les énormités se succèdent et s’entremêlent avec une grâce presque irréelle, reflétant l’ingénue candeur d’un apprenti magicien encore un peu tendre et qui voudrait sortir en un temps record le plus de lapins de son chapeau.

Exercice de haute voltige où l’on apprend, par exemple, que « nous n’avons pas de lit caché » pour accueillir les nouveaux malades ; étrange formulation qui appellerait maints commentaires de la part de vrais journalistes à qui l’on assurait, mi-juillet, que la France « serait prête » pour une seconde vague. Où l’on nous donne à croire que par la grâce d’un couvre-feu nocturne, la courbe exponentielle de l’épidémie en Guyane a été brisée net. Sans préciser bien entendu que la Guyane française, au pic de la « crise », avait connu 4 morts (le 7 juillet) pour un total de 69 décès (pour une population de 290 000 habitants), et que la forme de sa courbe épidémiologique est similaire à celles des autres pays voisins (Suriname, Guyane, nord du Brésil).

Une interview quasi lunaire où l’on apprend que la stratégie de dépistage massif qui a coûté deux milliards d’euros à la sécurité sociale n’a pas vraiment échoué, mais qu’elle a été, au contraire, « victime de son succès ». Le président, une fois encore, s’est reconnu bluffé par son propre peuple, lequel s’est rué touts âges et tous états de santé confondus sur les Covid-Drive mis gratuitement à sa disposition, saturant les laboratoires et retardant les résultats. On a le peuple qu’on mérite, pourrait lui dire en souriant le général de Gaulle.

Et des moments comiques, aussi - car il en faut- comme avec l’annonce enthousiaste du lancement de la nouvelle appli Tous Anti-Covid en lieu et place de Stop Covid, boudée par les gamers. La joie de l’enfant-roi, à ce moment précis, diffuse dans l’atmosphère comme un parfum de Noël. C’est qu’il les aime, ses petits Français, ce coquin d’Emmanuel, et qu’il voudrait bien pouvoir les autoriser à passer les fêtes en famille.

 

Mais voilà, nous dit-il, le conseil scientifique, officiellement pérennisé dans son rôle de Cassandre, est plus sévère que lui. « Les courbes sont inquiétantes, il faut garder le contrôle. » Le contrôle de quoi, au juste, c’est ce qu’on ne lui demandera pas. Après sa vraie fausse allocution en trompe l’œil, le Petit Prince clôt l’échange et retourne à ses moutons, invités par ailleurs à poursuivre la soirée sur BFM TV où les invités de plateau confirment « qu’il fallait bien faire quelque chose », « que les Français comprennent l’effort qui leur est demandé » et que « la situation à l’hôpital se dégrade d’heure en heure. »

La propagande bat son plein pendant que la résistance, dépitée, polit une nouvelle fois ses armes. Florian Philippot, André Bercoff, Jean-François Toussaint, Didier Raoult, Martine Wonner et les autres se demandent combien de temps encore ils devront répéter la même chose aux Français avant que ceux-ci impriment la différence entre projections foireuses et constats empiriques, montages de téléréalité et rendus objectifs du réel. Un combat noble, à n’en pas douter, mais épuisant au possible face à la machine de guerre du complexe politico-pharmaceutique gavée de millions et de bonnes intentions.

L’épisode rafraîchissant de la jacquerie marseillaise aura du moins, pour la première fois, ravivé l’espoir d’une prise de conscience citoyenne. Peut-être qu’une rediffusion, à l’heure du couvre-feu et sur une chaîne de grande écoute, du film « Harry, un ami qui vous veut du bien » ferait davantage, en terme d’effet subliminal, qu’une énième interview sur Sud Radio du professeur Christian Perronne. Ou la relecture, pourquoi pas, du Hussard sur le toit de Jean Giono. Où l’on nous parle de choléra, pour le coup, et de quarantaines forcées de malades et de bien-portants à l’issue desquelles tous les bien-portants finissent par tomber malade et mourir sans faire d’histoires. Un lointain écho de cette autre France de 1830 qui avait su se remobiliser le temps d’une deuxième révolution, celle qu’on appelle les Trois Glorieuses, en réaction au coup de force constitutionnel du roi Charles X qui pensait mettre au pas l’opposition et la volonté populaire au moyen d’ordonnances.

 

Il est vrai que dans la France de 2020, l’opposition ne s’oppose plus à rien et la volonté populaire s’est dissoute dans la grande soupe aux choux de la résignation tranquille. Mais qui sait ? A force de changer sans prévenir la température de la marmite, les chefs étoilés du tout sanitaire pourraient bien finir par exaspérer, aux quatre coins de l’Europe, les 400 millions de grenouilles qu’ils se préparent à servir à la grande table de la vaccination mondiale. Il serait dommage et même coupable que par excès de zèle, la nourriture vienne à manquer au moment même de sortir les assiettes.



47 réactions


  • Clark Kent Séraphin Lampion 16 octobre 2020 12:47

    « .../... les chefs étoilés du tout sanitaire pourraient bien finir par exaspérer .../... les 400 millions de grenouilles ...  »


    Et qu’est-ce que vous obtenez si vous croisez un mouton avec une grenouille ?

    Un mouton qui peut lécher le berger (et ses chiens) de l’autre côté de la mare !



    • Pierre Chazal Pierre Chazal 16 octobre 2020 15:08

      @Séraphin Lampion
      ça dépend si on les cuit ou non :) Ce qui est sûr c’est que nos historiens et nos professionnels du tourisme vont avoir du travail dans les prochaines années pour redorer le blason du pays...


  • binary 16 octobre 2020 13:21

    Où sont les français ?


  • eddofr eddofr 16 octobre 2020 14:22

    J’ai du mal à comprendre ...

    J’aurai compris au début de l’épidémie, quand on ne savait pas encore qui était fragile, que l’on fisse appliquer des mesures de restriction à tous.

    Mais maintenant que l’on sait qui présente un risque, pourquoi ne pas simplement permettre à ces personnes « à risque » ou dites « fragiles » de prendre toute les précaution nécessaires pour ne pas être contaminés.

    Au lieu d’imposer à tout le monde des mesures contraignantes, aussi vexatoires, que totalement inutiles pour 99% de la population.

    Je fait moi-même partie de la population dite « fragile » ou « à risque ».

    Je prends toutes les précautions nécessaires pour ne pas être contaminé.

    Si mon entreprise était moins « con », je serais en télétravail 5 jours par semaine (comme ils sont « cons », je dois retourner au bureau 2 jours par semaine, pour m’enfermer dans mon bureau et travailler « à distance » exactement comme de chez moi).

    A la fin de l’épidémie, quelle que soit cette fin (extinction naturelle, mutation, vaccination, immunité collective) je serai « non contaminé », parce que je fais VRAIMENT attention.

    Les confinements locaux, le couvre-feu, le masque dans la rue, ... toutes ces mesures « autoritaires » n’auront servi à rien pour moi.

    Et elle n’auront sans doute servi à rien pour personne.

    Les fragiles qui « se protègent » seront vivant.

    Les fragiles qui ne se protègent pas seront vivants ou morts (0,6%).

    Les non fragiles, qu’ils se protègent ou pas, seront vivant.


    • amiaplacidus amiaplacidus 16 octobre 2020 18:56

      @eddofr qui écrit : "...(comme ils sont « cons », je dois retourner au bureau 2 jours par semaine, pour m’enfermer dans mon bureau et travailler « à distance » exactement comme de chez moi). ...« 

      Ben, il faut quand même que les petits chefs justifient leur salaire en vous »surveillant".


    • bebert bebert 17 octobre 2020 10:40

      @eddofr
      De toute manière un jour ou l’autre la grande faucheuse passera que vous vous protégiez ou non , je préfère vivre ce qu’il me reste de jours en homme libre que de devenir un esclave de big pharma tout en respectant les autres cad masque et barrière sociale


    • Citoyen de base 17 octobre 2020 11:40

      @eddofr
      De toute façon ils finiront tous par mourir mais au moins certains auront-ils connu une vie avant la mort.


  • Sozenz 16 octobre 2020 14:48

    Il est vrai que dans la France de 2020, l’opposition ne s’oppose plus à rien et la volonté populaire s’est dissoute dans la grande soupe aux choux de la résignation tranquille

    qu’ il est mignon .

    donne moi une armée qu on puisse s amuser à armes egales .

    tu es un grand rigolo toi ;

     vas y va te faire defoncer la gueule en sachant que tu n as que ta bite et ton courteau contre des forces armées en face qui obéissent aux ordres .

     petit français tu as mal appris ta leçon ; pour te remettre dans le droit chemin je t envoie une decharge mortelle . sauf que , là c est pas pour de faux ., ce n est plus milgram ...

    vas vas mon grand qui te crois plus malin que les autres ...

     on arme les pauvres que pour favoriser les nantis .jamais pour qu ils puissent mieux vivre

    il n y a jamais eu de révolution pour les peuples .

    c est un leurre.

     et tout ceux qui se sont véritablement dressés en faveur du peuple se sont fait assassinés .


    • Fifi35 Fifi35 17 octobre 2020 10:41

      @Sozenz
      vous avez raison !
      La seule révolution populaire spontanée s’est déroulée en 1871.
      Et elle a été réduite en pièces par les versaillais bien aidés par la Prusse soit-disant ennemie de la France... 
      Les dominants ne se mangent presque jamais entre-eux. En cas de festin, le peuple n’y est pas convié. 
      Ce sont les petits qui par envie de changer de position sociale trahissent leurs frères, avec la complicité des dominants. Cela a toujours été ainsi. Constatez comment le mouvement des GJ a été mis en laisse par quelques-uns de ses membres contents de passer à la télévision et s’exprimant au nom des autres sans aucune légitimité....
      L’animalité de l’homme est toujours plus forte que sa culture de l’égalité et de la fraternité.
      Ce n’est pas un jugement moral, c’est ainsi. 


  • Pierre Chazal Pierre Chazal 16 octobre 2020 15:17

    Je ne demande pas d’arracher son flingue à un policier, ni de piquer son vélo à un agent municipal. Sortir sans masque dans la rue et contester l’amende si elle se présente, c’est déjà un début. Si on en est là aujourd’hui, c’est (aussi) parce qu’on leur déroule le tapis rouge et qu’ils avancent comme dans du beurre...


    • Sozenz 16 octobre 2020 16:44

      @Pierre Chazal
      il faudrait aussi que les policiers se souviennent de la periode où on leur interdisait le masque à la période la plus contaminante et la plus à risque .
      quand on fait passer les gens par des extremes ; les deux mains dans les poches sans en faire bouger une ; devraient quand meme se poser la question de la coherence de ce qu’ ils ecoutent comme ordres .
       ils diront que c est leur travail ;
      mais si leur travail est là pour demonter la vie des gens et de leur descendance , je me demande ( ou pas ) s il encoute les « bons » « maîtres .

      vous vous souvenez de la descente de flics qu ’il y a eu dans un certain bar ; où les gens se sont fait matraquer la tete parce qu’ ils n’avaient pas de masque ?

      certes il y a des personnes qui sont soumises et qui ont des peurs excessives ;
      mais pensez aussi a ceux qui n ont pas eu peur et qui se sont fait défoncer : »les exemples « 

      avez vous eu un trauma dans votre vie ?
      je ne vous parle pas d un chagrin d amour . d une rupture d un licenciement etc ces trucs qui se gerent . mais de vrais traumas ?

      et bien nous sommes à une periode où , il n y a pas de retenu pour en creer .
       je crois que vous avez la memoire courte avec l xp des gilets jaunes .
      demandez aussi a ceux qui se font violer , tabasser , etc ...
      deux solutions bien souvent . soit la personne se renferme . soit , tot ou tard elle va rentrer dan le lard , parfois l un suit l autre .
      ne vois ton pas les persecuter devenir eux memes des bourreaux ?

      vuos voulez des gens couillus . certes ; mais on leur a appris a bien ecouter . vous meme en tant que prof , avez vous pas eu ce rôle ?
      je serais curieuse de savoir comment vous avez pu gerer vos cours .
      il se peut que vous ayez ete très droit et juste , que vous ayez pu trouver une methode et ayez eu assez de charisme pour que vos eleves naturellement aient envie de vivre vos cours . mais ces personnes là sont rares et soumettent plus souvent , que de faire miroité le plaisir d apprendre ....

      on apprend rarement aux enfants à aimer apprendre ; à chercher à comprendre a savoir se dresser tout en restant empathique et en faisant attention à l autre ; 
      savoir etre sévère mais juste . apprendre a dire non a ce qui est injuste !

      ce n est pas une attaque frontale envers vous ; mais une façon de vous faire comprendre plusieurs aspects .
      quel professeur d’ histoire apprend vraiment l histoire . je pense par exemple  » aux methodes guillemin" . pas un seul ...
      perso , j ai eu un prof de français une année qui est sorti complément des sentiers battus ;
      l ecriture n est pas spécialement ma tasse de thé je préfère les sciences , et les arts plastiques. mais la littérature est un moyen de voir autrement .
      et encore mieux vaut l histoire
      mais on apprend pas aux gens à penser par eux même , 
      regardez . pour les dissertations  : ne demande t on pas de toujours de faire reference de telle ou telle personne ? certes c et une façon de verifier des acquis . mais ne mettons pas dans les mains des enfants que des concepts acceptables ? n y a t il pas des tabous . ?
      perso cela m a toujours choquée et me choque encore .
      comme s il fallait toujours un avant vous ! merci pour les pionniers et les francs tireurs ...
      bref tout cela pour dire que tout est bien fait pour que rien ne change . et vous faites certainement parti de cette chaîne pour que rien ne change vraiment !
       

      ...


    • Bendidon ... bienvenue au big CIRCUS Bendidon 16 octobre 2020 17:59

      @The White Rabbit
      ouh lala on se fait pipi dessus lapinos
      Un million de zumains morts depuis 12 mois (début covid) ça fait 2700 morts par jour (en comptant tous les faux morts du covid)
      Il meurt 160 000 personnes par jour in the world 
       smiley


    • Pierre Chazal Pierre Chazal 16 octobre 2020 20:27

      @Sozenz
      Je comprends bien ce que vous dites, et c’est vrai que l’épisode des gilets jaunes a été traumatique. Il a révélé la vraie nature de ce pouvoir... Je suis familier de Guillemin, et j’ai constaté le désastre de la simplification historiciste de la seconde guerre mondiale et d’autres épisodes de l’histoire. Je donne de français des cours à des étrangers, en fait, qui m’apportent un autre éclairage. Un finlandais, pas plus tard qu’aujourd’hui, et deux allemands effarés de cette gouvernance « à la française ». Loin de l’image qu’ils se faisaient avant de venir de ce que mes médias nous vantent comme la « patrie des droits de l’homme. » Dans le cas de Macron, je crois que nous avons simplement affaire à un putsch, et qu’il faudra impérativement en tirer les leçons pour 2022. Si nous tenons jusque là...  


    • Citoyen de base 17 octobre 2020 11:45

      @Pierre Chazal
      « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux ». La désobéissance civile serait déjà un beau début en effet. J’ai été GJ face aux CRS armés de LBD, je suis bien conscient que sans armes on est impuissant. Mais aux résignés d’avance je dis qu’aucun combat n’ait perdu avant d’avoir été mené. Les tyrans sont toujours rattrapés par leur crime et un jour ou l’autre ils paieront car la grande roue de l’histoire n’a pas fini de tourner.


    • Citoyen de base 17 octobre 2020 11:46

      @Citoyen de base
      * n’est perdu


  • Pierre Chazal Pierre Chazal 16 octobre 2020 15:33

    Combien meurt-il de personnes, chaque jour, en Inde et au Brésil, toutes causes de décès confondues ? Cherchez sur Wikipédia, peut-être ont-ils un chapitre là-dessus...


    • amiaplacidus amiaplacidus 16 octobre 2020 18:59

      @Pierre Chazal

      Vous devriez aussi dire que les quelques 1,1 millions de morts dans le monde se rajoutent aux morts habituels.


  • Bendidon ... bienvenue au big CIRCUS Bendidon 16 octobre 2020 18:01

    Distinguez-vous du troupeau : PORTEZ un BRASSARD FFI au bras comme en 1944


  • Kapimo Kapimo 16 octobre 2020 18:19

    Merci pour votre article qui décrit bien la situation, et laisse entrouverte la porte vers un élargissement de la prise de conscience de l’aberration autoritariste dans laquelle nous vivons.


    • Pierre Chazal Pierre Chazal 16 octobre 2020 20:30

      @Kapimo
      Merci Kapimo. Le débarquement des alliés si ils existent encore est loin. En attendant, tout ce qu’on peut faire c’est tenter d’y voir clair et contrer la propagande.


  • alinea alinea 16 octobre 2020 18:43

    Excellent ; mais, on ne va pas se laisser abattre, il paraît qu’il y a beaucoup de gens qui se sentent seuls dans leurs doutes et remises en question de la véracité des faits énoncés officiellement : découvrons les, approchons les, faisons passer tout ce qu’on a de sites, de forum de discussions...

    pour l’instant, j’ai ça à proposer à des pioupious lapins blancs, par exemple, mais bien sûr aux autres pour faire suivre ! :

    (257) Réanimation et COVID – quelques points saillants ! - YouTube


    • Pierre Chazal Pierre Chazal 16 octobre 2020 20:32

      @alinea
      J’ai vu cette vidéo. Percutant, ce docteur. La division horizontale qui sévit dans la société est bien sûr recherché par le pouvoir, bien plus que l’Union nationale. Le livre de chevet de Véran, ai-je appris récemment, est « l’art de la guerre » de Sun Tzu...


  • I.A. 16 octobre 2020 20:54

    Hm-hm, en effet.

    A vrai dire, ce qui m’a le plus choqué, de la part des jeunes en particulier, c’est que personne n’ait déchiré, viré ou tagué les affiches et affichettes prônant les mesures anti-Covid.

    Elles sont resté en place, jour après jour, semaine après semaine, mois après mois...

    Il fut un temps où je me serais fait un plaisir, en même temps qu’un devoir, de te déchiqueter toute cette propagande ! Avant le couvre-feu, c’était si simple à faire...

    Un peu l’impression qu’ils sont drogués aux écrans, nos jeunes. Tu leur donnes un canapé, une tablette, un ordi ou une télé, qq chose qui ressemble à de la bouffe, et là... ! qu’ils soient enfermés — sans arbres ni nuages, sans ciel ni soleil — rien à foutre !


  • SPQR audacieux complotiste chasseur de complot SPQR Sono Pazzi Questi Romani 17 octobre 2020 08:07

    A travers le couvre-feu Macron démontre tout simplement ;
    -Qu’il est de plus en plus un menteur dangereux, un renégat...
    -Qu’il obéit aux N O W, en bafouant la constitution, le prestige de la France et surtout qu’il n’ adhère pas un seul instant à l’esprit des idées à la française pas plus qu’à la culture française ..
    -Ce bonhomme n’est qu’un crétin qui s’est vendu, financé par les WAPS.

    Quand aux jeunes autant dire qu’ils prouvent à chaque instant de leur vie la bêtise cruelle qu’ils font subir aux autres (parents, leurs enfants, grand-parents et même à leurs homologues) .

    Quant aux médias , lorsque le covid n’est plus le sujet principal. Les violences mee too reprennent du service avec la horde de féministes LGBT prônant l’élimination des hommes.

    Le sujet suivant est le terrorisme permanent largement entretenu et rapatrié en toute légalité .....
    Enfin la troisième vague de manipulation étatique, la fameuse liberté d’expression largement bâillonnée par Macron les sujets tabous les tests PCR( une pure escroquerie) , la violence de la police, les meurtres commis par l’état Macronien ....




    • urigan 17 octobre 2020 12:04

      @SPQR Sono Pazzi Questi Romani pas les WAPS, les WASP..... Blancs, Anglo Saxons, Protestants.....
      Pour le reste, d’accord !


  • OrganigrammeNationInternational 17 octobre 2020 08:37

    17/10/2020 - https://wp.me/p4Im0Q-47X

    • La France à nouveau à la découpe, 75 ans après. Zone libre et zone oisive, telle est la nouvelle ligne de démarquation (avant les soldes divers), imposée par le seul ennemi de la France, son président. En 39/45 ils se levèrent pour la commune révolte (même s’ils ne furent pas nombreux) et contre l’envahisseur. Aujourd’hui, on ne bouge pas contre notre « p’tit juju en culottes courtes » (plus courtes que ses idées malsaines).

  • DLaF mieux que RN ou Z / Ukraine vraidrapo 17 octobre 2020 08:44

    « Auteur de 3 romans... »

    serais-tu en train de nous soumettre des épreuves du quatrième ?


  • zygzornifle zygzornifle 17 octobre 2020 08:58

    Macron les attend en mai 2022 dans l’isoloir, les mougeons vont faire leur sursaut républicain et l’élire, peu de temps après ils se retrouveront dans la rue pour manifester en chouinant et ils se feront matraquer voire plus par sa police en rang d’oignons ....

    C’est du masochisme croisé avec le syndrome de Stockholm, a l’heure actuelle il n’y a pas de traitement ....


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 17 octobre 2020 10:30

    Il est vrai que les suicidés prennent moins de place en réanimation... 


  • Yann Esteveny 17 octobre 2020 11:18

    Message à Monsieur Pierre Chazal,

    La Démocratie en France n’a jamais existé. Elle n’a été qu’un prétexte d’arrivistes financiers sachant flatter le peuple et les rêveurs. Ceux qui croient à ces chimères facilitent leur maintient au pouvoir depuis beaucoup trop longtemps.
    L’Histoire cela s’apprend non par des professeurs d’histoire décapités pour lesquels le gouvernement de ce Régime se précipite pour honorer la mémoire, mais par les historiens que le Régime persécute.
    Les Médias qu’ils soient ceux des milliardaires ou de la fausse presse d’opposition comme Charlie-Hebdo ou l’Humanité donnent la même propagande mais ciblée différemment.
    Le Régime en place avec son gouvernement et ses faux opposants de spectacle s’accordent tous pour l’instauration de cette dictature sanitaire qui n’est que le prélude d’un projet mondial beaucoup vaste que je vous laisse découvrir par vous-même.

    Respectueusement


    • Pierre Chazal Pierre Chazal 17 octobre 2020 16:32

      @Yann Esteveny
      « Le Régime en place avec son gouvernement et ses faux opposants de spectacle s’accordent tous pour l’instauration de cette dictature sanitaire qui n’est que le prélude d’un projet mondial beaucoup vaste que je vous laisse découvrir par vous-même. »
      Je commence à voir la même chose que vous...


  • Citoyen de base 17 octobre 2020 11:35

    Magnifique texte M. Chazal, merci. Votre plume est bien agréable à lire et c’est assez rare sur ce site pourtant bien fréquenté qu’il faut le souligner.

    Sur le fond, je suis comme vous estomaqué de la bêtise et de la servilité d’une grande partie de mes concitoyens. Mais j’essaie malgré tout d’apprécier cette leçon d’histoire en direct que nous donne ce moment improbable dans l’histoire humaine : c’est facile d’être un dictateur ! Dîtes-leur demain de circuler avec une plume dans le C.., et ils le feront, et même avec empressement !

    Je me dis qu’ils auront le sort qu’ils méritent, mais moi aussi je l’aurai ce sort alors que tous unis Macrot.. aurait été pu être balayé ! Je me sens tellement seul et tellement impuissant !  smiley


    • Pierre Chazal Pierre Chazal 17 octobre 2020 16:39

      @Citoyen de base
      Ils ont les médias, ils ont les forces de police, ils ont les GAFA et les instances internationales avec eux. Tous ces « gens qui nous veulent du bien » dans l’esprit de nombreuses personnes. Ce gouvernement sautera un jour ou l’autre, pas sûr que les mentalités changent pour autant. Je me sens seul avec vous, et beaucoup d’autres sur ce site et ailleurs. Courage


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 17 octobre 2020 13:33

    Je n’ai jamais visionné une vidéo aussi stupide sur Agoraavox.tv/actualite thttps://www.agore/article/pourquoi-la-dictature-de-la-87275. Pourquoi la dictature de la norme est une bonne chose. Primo, le loup solitaire n’est pas plus faible, au contraire. Le mimétisme ou la conformité à la norme (René Girard) peut conduire au nazisme (non, je serai jamais pas Rhinocéros,...). Etre anticonformiste au contraire n’est pas du tout mal vécu (au contraire). Etre en dehors de la moyenne ou hors-norme n’a rien à voir avec le fait de ne pas respecter les règles, la Loi. Un égoïste psychopathe n’a rien à voir avec un anti-conformiste. S’il est nécessaire d’avoir des « normaux » pour faire marcher la société, ce sont les anti conformistes qui apportent réellement la cohésion. Assez logique : les « normaux » par besoin de sécurité s’écartent des anti conformistes. S’il n’y avait pas d’anti-conformiste, il n’y aurait pas de personnes qui se conforment aux normes. L’anti-conformiste n’a rien à voir avec l’anarchiste. L’anti-conformiste a besoin des normaux pour se démarquer et créer. Cette vidéo est le sommet de la bêtise...


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 17 octobre 2020 13:36

    Pour visionner cette vidéo débile il faut aller sur Agora.vox T.V. Une personne « normale » est simplement une personne qui ne veut prendre aucun risque....Chacun sa route,...


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 17 octobre 2020 13:38

    Il faut aussi tenir compte du fait qu’être anxieux, avoir peur au temps du covid, c’est aussi rentrer la norme par mimétisme....L’anti-conformiste sera alors mieux armé...


  • I.A. 17 octobre 2020 15:57

    Non-non, votre analyse est très bien, ne changez rien.

    Au lieu de s’unir quand il était encore temps, pour gueuler et pour manifester tous ensemble, restaurants et bars se sont laissés diviser...

    Les uns ont cru faire leur beurre pendant que les autres fermaient. Eh bien les voilà tous gros-jeans comme devant.

    Ce gouvernement nous divise les uns les autres, il nous attaque et nous malmène parce qu’il a peur que nous nous unissions. Je dirais même que plus il a les pétoches, plus il maltraite la population. On dirait une bête aux abois.


    • Pierre Chazal Pierre Chazal 17 octobre 2020 16:36

      @I.A.
      C’est exactement ça. Au nom d’un prétendu « effort solitaire » il joue habilement sur l’individualisme et les réflexes primaires de survie d’une société en voie avancée de désintégration et qui n’est plus qu’une juxtaposition d’individus vivant « à côté » les uns des autres


  • Xenozoid Xenozoid 17 octobre 2020 16:43

    Vivant dans le pays des morts. Ils mangent de la nourriture morte avec des fausses dents. Leurs bâtiments ont de fausses façades, leur stations de radio et de télévision diffuse de l’air vicié. Ils tuent le temps entant que spectateurs de fausses images.
    Leurs corporations sont coupables de publicité mensongère, et leurs offres d’emploi » ne sont que des opportunités de mauvais traitements meurtriers, un ennui mortel, et la soumission fatale ; ils exigent de vous le respect des échéances, comme pour dresser des tentes dans des camps de la mort. Est-ce que l’impasse justifie les moyens ? Ils habitent les villes mortes et font des faux mouvements, n’allant vraiment nulle part, marchent jour après jour, le même chemin de désespoir. Même leur air est conditionné. Ils vous demandent de donner votre vie pour leur pays, pour leurs religions, leurs économies, vous laissant avec seulement. . . . Leur système est organisé par l’intelligence artificielle et ne fournit que de la réalité virtuelle. Leur culture vous cloue et vous ennui à mort, leur mode de vie est sans vie, leur existence est une impasse permanente. Tout à leur propos pue la mort et le faux. La seule chose qui est insupportable, c’est que rien n’est insupportable. Quand allons-nous demander plus ?
    La lutte pour la vie, la vraie vie. Combat petit con , la vie est réel !
    Bienvenu dans le pays des vivants déja mort.


  • Octave Lebel Octave Lebel 17 octobre 2020 18:40

    Très beau texte. Très finement observé et relaté. Merci.

    « Il est vrai que dans la France de 2020, l’opposition ne s’oppose plus à rien et la volonté populaire s’est dissoute dans la grande soupe aux choux de la résignation tranquille. »

    Je vous trouve un peu désenchanté et il y a effectivement de bonnes raisons. Je pense pourtant qu’il y a une volonté populaire au sens large qui se cherche et je parlerais plus d’un bouillon qui mijote. Ce n’est pas pour rien que 9 milliardaires ont fait une OPA sur les médias et l’information. C’est fou comme ils arrivent à installer le cadre, le rythme et les éléments de langage qui leur conviennent dans la diffusion de l’information y compris au service public de l’information qui pour une part les suit et une autre les valorise en tentant de s’en démarquer au lieu d’avoir sa propre ligne éditoriale structurée (on peut rêver). Aux heures de grandes écoutes s’entend.En réalité, cette situation est vécue comme une fatalité sans un rejet actif de cette emprise.Ils auraient alors tort de se gêner.

    Ces médias me semble-t-il s’adressent en permanence aux consommateurs et aux électeurs en dissolvant petit à petit ce que nous sommes avant tout concernant la chose publique, des citoyens et installant des débats et oppositions entre électeurs bien souvent ectoplasmes modelés avec la spatule des sondeurs, nous renvoyant aux figures tutélaires politiques en en faisant les arbitres de nos vies, nous qui croyons être les arbitres des élections.

    A part la persévérance et la nécessité de se rassembler sur des priorités et non de discuter sans fin sur les personnes comme nous y invitent les médias, j’avoue que je n’ai pas de clef magique. Autrement, ce qui ne s’arrête jamais, c’est chaque jour par le vote continu de textes législatifs la diminution de nos marges de manœuvre. Cette intensité est caractéristique des 3 derniers mandats. Sommes-nous coincés entre des figures politiques qui nous sont imposées avant tout comme des constructions médiatiques et la mise en scène de leurs avantages et inconvénients ? Peut-être devrions-nous nous dire après tout que nous avons les élus et les médias que nous méritons puisque tout cela se fait avec nous.

     


  • Pierre Alain Reynaud Pierre Alain Reynaud 17 octobre 2020 20:25

    Qu’attendre des réactions des Français ? Alors qu’ils étaient plutôt endormis ces dernières années, ils se sont réveillés en 2018 avec l’arrivée des Gilets Jaunes. C’était un espoir inattendu pour la démocratie qui soudain, se manifestait à nouveau pour défendre les droits des citoyens et apporter un regain à l’esprit républicain. 

    Mais rapidement, la situation a évolué et le mouvement des GJ a été discrédité par les politiques et les médias. Ainsi, les gens ont baissé les bras et les manifestations sont devenues de petits rassemblements où dominaient essentiellement les casseurs téléguidés par le ministre de l’Intérieur de l’époque. Aujourd’hui, les Gilets Jaunes ont disparu ce qui est une puissante alerte pour l’avenir très incertain de la démocratie. Nous arrivons au bout de l’impasse et donc à l’effondrement du système républicain. A plusieurs reprises, j’ai écrit la fin de la République. Souvent, j’ai été décrié, insulté, attaqué. J’aurais préféré m’être trompé. Hélas, ce n’est pas le cas et les jours à venir le démontreront facilement. 

    Pour retrouver mes articles, rendez-vous sur www.lafranceliberee.fr


    • alinea alinea 17 octobre 2020 21:01

      @Pierre Alain Reynaud
      Disparu quand on ne peut sortir à plus de dix sans prendre une bonne prune, ne veut pas dire mort : je vous garantis que nous sommes toujours vivants !!!


  • troletbuse troletbuse 18 octobre 2020 14:33

    Cette apres-midi, tous les moutons seront : Je suis Paty. On a bien vu ce que : Je suis Charlie : a eu comme résultat. Du vent. Je vous indique sur quoi cela va aboutir : L es réseaux sociaux seront considérés responsables. Ainsi on va censurer sur le Net. Je prend les paris. Ce matin, en entendant Blanqier sur les radios bien-pensantes. Il a utilisé 100 fois les mots Démocratie et République en lieu et place de Dictature et France. Ces salopards utilisent tous les sujets comment le Covid et les assassinats pour renforcer la dictature. Et tous les moutons : Beeeeee, Beeeeee. Beeeeee


  • troletbuse troletbuse 18 octobre 2020 15:10

    Bien sur, les participants étaient de bons journaputes qui servaient de carpettes au mi-nistre. Aucune allusion aux migrants, aux faux-mineurs isolés. Pour la liberté d’expression, on ne pense jamais a inviter Soral ou Dieudonne ou Zemmour. Peut-etre un oubli ? smiley


    • pierrot pierrot 19 octobre 2020 12:03

      @troletbuse
      J’observe que les médias invitent souvent l’ignoble Zemmour récidivistes multiples fois condamné au racisme.


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