jeudi 17 novembre 2016 - par ddacoudre

Les sans dent comptons-nous

L’apolitique.

Les élections sont toujours une période où chacun s’intéresse à la politique même quand il dit qu’il n’en fait pas, car si un citoyen peut ou non voter c’est grâce à la politique. La politique recouvre tout ce qui touche au gouvernement des hommes, c’est l’art de dégager du comportement de l’ensemble des citoyens un modèle qui détermine leur existence et de fixer un choix. Le parti politique est une association de citoyens qui partagent des points de vue ou des opinions similaires et qui les proposent comme projet politique. De la sorte le mot apolitique ne devrait pas exister, car chacun vie suivant l’acceptation d’une organisation politique dans laquelle il a été élevé et éduqué. Si par apolitique l’on veut signifier que l’on n’est pas favorable aux partis, c’est autre chose.

Je ne suis rien.

Nous sommes dans une période de confusion et d’amalgame tous azimuts. Un citoyen qui imagine son idéal d’organisation de l’existence dans laquelle il voudrait que les autres l’accompagnent, nous disons que c’est normal. Il exprime son opinion individuelle par le droit d’expression et il peut se faire élire pour transformer son opinion en lois. Pourtant quand celle-ci s’exerce au travers d’un regroupement de citoyens qui s’associent pour former un parti, depuis un certains nombres d’années nous crachons dessus. Le culte de l’opinion individuelle est devenu la panacée, l’illusion de l’existence d’un homme seul, je pense donc je suis. Je ne suis rien si ma pensée ne peut pas être partagée et s’ajouter à d’autre. Or, son expression collective rassemblée au sein d’un groupement pour être audible, et rejetée (17% de favorable aux partis politiques). Il n’est pas normal qu’un citoyen ne trouve pas un parti qui corresponde à sa pensée. Puisque les différents partis sont l’EMANATION de la diversité des opinions des citoyens. Pour expliquer ce paradoxe je dis toujours, qu’en fait les citoyens voudraient que ce soient ceux qui portent le capitalisme et en sont les garants qui le combattent. N’attendez pas du LR, PS, LE PEN, qu’ils luttent contre le capitalisme.

Le mythe de l’investisseur.

 La droite dit ouvertement et clairement, je le formule caricaturalement, les pauvres ont besoin de l’argent des riches. C’est bien sur faux, rapidement les riches le sont parce que les pauvres désirent leur richesse, sans cela ils seraient pauvres. Les pauvres ont le moyen de s’organiser sans avoir recours à l’argent des riches, nulle part au monde ils ne l’ont fait. Les tentatives dans ce sens furent celles du communisme détruit par le Stalinisme et autre (pour avoir voulu vivre en vase clos). Pour cela, il faut regrouper toutes les opinions individuelles qui vont dans ce sens, et qu’un ou plus prenne l’initiative de créer une association pour définir une ligne politique. Différemment, l’investissement ne vient en France que si les coûts salariaux son bas. C’est l’investissement qui crée l’emploi. Il y a 20 ans seulement aucun homme politique n’aurait osé dire cela sans crainte de ne pas être élu. Aujourd’hui le processus c’est inversé, le risque pour un homme politique d’être certain de ne pas être élu, serait de dire que notre société n’a jamais autant été sécurisée. Aucun, je dis bien aucun investisseur privé n’investit pour créer de l’emploi. C’est du mythe. Les investisseurs n’espèrent qu’en la fructification de leur capital, ils adulent les sans dent et bien mieux si ces sans dent sont aussi sans cervelle. J’ignore si le président qui a prononcé ces mots le faisait avec mépris pour les humbles ou si comme nombre de militants nous constations d’évidence, que dans leur immense majorité les ouvriers n’ont pas de couilles. Il n’y avait rien d’offensant en cela, seulement une manière triviale et populaire pour dire qu’ils n’étaient pas combatif pour défendre leur intérêts. Aucun « média » ne nous a fait de procès pour cela, peut-être parce que nous le disions entre-nous et que personne ne l’écrivait. J’ai rencontré des syndicalistes de tous les pays d’occident, tous se plaignaient de cet état de fais séculier, et chacun rêvions d’un moment où émancipés ils sauraient se construire un dentier. Etrangement, alors que les citoyens disposent du pouvoir du peuple et peuvent, donc décider de créer la monnaie nécessaire à leur vision économique, ils s’en sont dépossédés (l’on sait pourquoi). Il en résulte qu’ils adulent ceux qui viennent investir. Investisseurs qui, dans le principe même de la finalité capitaliste, plument ou pèlent, ou tondent ceux qu’ils emploient (l’enrichissement, de quelques milliardaires et la distribution de dividendes en attestent). Et ce qui effraie des citoyens, majoritairement FN, ce sont les immigrés. Ceux qui viennent se faire plumer chez nous parce que chez eux c’est pire. C’est à eux que l’on reproche de venir appauvrir le pays. Que ceux qui le soutiennent démontrent donc que les immigrés ont appauvri la France. Si cela était exact, il y aurait depuis longtemps des graphiques à l’appui, comme il y en a pour montrer l’augmentation des profits, tout comme ceux des investisseurs des fonds de pension américain qui se font leur retraite sur notre dos.

Faire de la politique est noble.

L’évolution politique de ces 30 dernières années démontren le contraire. Les ouvriers demandent à des élites de mâcher pour eux. Elles ne s’en privent pas, déversant dans ces gueules ouvertes qui braillent comme de jeunes affamés des promesses nourricières. De tous bords ils n’en ont pas manqué, exposées par du papier slogan, comme existe celui d’attrape mouche. Et à chaque élection nous remettons cela, qui s’en souvient encore.

Election présidentielle de 1965
De Gaulle : "Confiance en la France, confiance en De Gaulle"
Lecanuet : "Demain Jean Lecanuet un homme neuf... Une France en marche", (Macron devra des droits d’auteurs),
Mitterrand : "Un président jeune pour une France moderne"

Election présidentielle de 1969
Pompidou : "Pompidou avec la France, pour les Français"

Election présidentielle de 1974
Chaban-Delmas : "Pour une nouvelle société"
Giscard d'Estaing : "Le président de tous les Français, Valery Giscard d'Estaing"
Giscard d'Estaing : "Le changement sans le risque"

Election présidentielle de 1981
Mitterrand : "La force tranquille"
Giscard d'Estaing : "Il faut un président à la France"
Chirac : "Le président qu'il nous faut"


Election présidentielle de 1988
Barre : "Du sérieux, du solide, du vrai"
Chirac : "Nous irons plus loin ensemble"
Mitterrand : "Génération Mitterrand"
Mitterrand : "La France Unie"

Election présidentielle de 1995
Balladur : "Croire en la France"
Chirac : "La France pour tous"
Jospin : "Le président du vrai changement"

Election présidentielle de 2002
Bayrou : "La relève"
Besancenot : "Nos vies valent plus que leurs profits"
Chirac : "La France en grand, la France ensemble"
Jospin : "Présider autrement une France plus juste"
Laguiller : "Toujours le camp des travailleurs"
Le Pen : "Une force pour la France"

Election présidentielle de 2007
Bayrou : "La France de toutes nos forces"
Buffet : "Une gauche courageuse, ça change la vie"
Royal : "Plus juste, la France sera plus forte"
Royal : "La France présidente"
Sarkozy : "Ensemble, tout devient possible"
Voynet : "La révolution écologique"

Election présidentielle 2012

Nicolas Sarkozy : « La France forte »

François Hollande : « Le changement, c’est maintenant »

Marine Le Pen : « Oui la France »

Nicolas Dupont-Aignan : « Pour une France libre »

 Jean-Luc Mélenchon : « Prenez le pouvoir »

François Bayrou : « La France solidaire »)

Nathalie Arthaud : « Une candidate communiste »

 

Au bout de ces 30 ans, chacune des politiques menées ont concouru au rejet des socles d’une société démocratique, le rejet d’associations où se regroupent les opinions politiques, le rejet des forces d’oppositions où se regroupent les intérêts particuliers, le rejet des élites, le rejet des structures de la représentation du pouvoir du peuple (état). Je ne disconviens pas que ce ne soit pas sans raison, mais de là à galvauder ce qui est essentiel à l’existence d’une démocratie, il y a un pas que nous avons franchi. Faire de la politique est essentiel cela implique de s’intéresser à la vie des autres pour que la sienne trouve sa place. Toutes explications inverses ne sont que fumisterie. Ce sont les autres qui m’appellent Pierre, Jacques ou André. En naissant je ne choisis rien de ce qui va organiser mon existence. En démocratie je serais appeler à me prononcer de quelle manière je veux qu’elle se déroule dans celles des autres. Aussi, chaque fois que j’émettrais mon opinion, je ferais de la politique. Faire de la politique est donc Noble. Ceux qui n’en font pas finissent dans une dictature comme graine d’esclave, comme individu politiquement non existant.

L’ego n’est pas une finalité.

Tant que la nature nous a donné de quoi chasser et cueillir nous n’avons pas eu besoin de faire de la politique. Les tyrans eux, font de la politique. Il est nécessaire de comprendre que le droit individuel qui nous protège, n’est pas le pouvoir de la tyrannie de l’individu. La démocratie impose de composer avec les autres, donc de faire des choix politiques, et non de se dire apolitique. L’apolitisme se fait toujours au bénéfice d’une tyrannie, même si celui qui y souscrit refuse de considérer son opinion sur l’organisation qui l’entoure comme une opinion politique, ou s’il trouve son intérêt individuel en se soumettant au tyran. C’est en cela que ceux qui se disent apolitiques, en voulant signifier qu’ils rejettent les politiques des divers partis, votent généralement pour celui au pouvoir, leur tout tourné vers l’ego. Vers soi comme ultime finalité aveugle à l’existence des autres, vue comme sources d’exploitation unidirectionnelle et non de coopération, c’est destructeur de la démocratie. Que quelqu’un me cite un exemple où l’organisation capitaliste, qui est tournée vers l’enrichissement de soi sans autre limite que son implosion, a débouché sur le développement d’une structure démocratique. Les babyloniens à qui nous devons la roue (qui n’a toujours pas été détrônée) l’ont inventé non pour s’enrichir, mais pour s’épargner de la peine, car diminuer notre peine est la clé de voute de ce monde, même au prix d’efforts, (la nature est économe d’énergie, trop long à développer), l’inverse du mythe du rachat d’une faute développé par le judéo christianisme. Je ne vais pas m’étendre sur le rejet des élites et autres syndicalismes qui procèdent du repli sur son ego étriqué, qui prou ou pou nous conduit à des solutions d’enfermement suicidaires au bénéfice de ceux dont l’intérêt repose sur l’inorganisation et l’ignorance citoyenne, (ce qui est un état naturel, sinon je ne pourrais même pas en parler. Ils n’y a pas de gens intelligents, il y en a seulement certains qui en savent plus que d’autres.

30 ans trop court pour politiquement innover.

L’exercice de la démocratie impose instruction, information et coopération ou collaboration si le mot ne vous effraie pas. Voter ne suffit pas, l’on peut parfaitement voter pour élire un tyran, nous ne manquons pas d’exemple. Ainsi, en 30 années de pensée unique nous n’avons pu nous renouveler en projet politique novateur (à l’exception du mouvement écologiste qui semble tourner court et de celui de la décroissance qui ne décolle pas). Nous tournons en rond dans la nasse capitaliste qui promeut l’enrichissement de tous par l’innovation créatrice. Pour quels résultats ? Bien des citoyens des pays de l’OTAN font le même constat, ce n’est pas aux humbles que cela profite contrairement aux promesses électorales introduites par de majestueux slogans.

L’intransigeance capitaliste est telle depuis qu’elle n’a plus d’opposant conséquents que, même au pays de l’oncle SAN elle s’est manifesté de la plus mauvaise des manières, fondées sur le rejet (élection de Trump). Mais surtout il faut observer que 30 ans c’est trop court pour innover idéologiquement. Le temps de maturité d’un projet politique et lent, car il doit franchir non seulement quelques obstacles intellectuel, mais surtout des blocages psychologiques de nos pratiques culturelles engrammés. En janvier 90 dans une réunion organisait par Pierre Jox, je demandais à ce dernier par quel idéal l’on allait remplacer celui qui venait de s’effondrer. Sa réponse fut : ce que nous sommes entrain de développer, entendre la social démocratie. Personne n’a été à même de suggérer un nouvel idéal, parce que un nouvel idéal on le sort pas d’un paquet cadeau, mais des débats, des conflits, des oppositions que nous sommes capables d’avoir pour améliorer la condition humaine. Le capitalisme lui a mis 10 ans pour se trouver un nouvel fédérateur guerrier, la lutte contre le terrorisme. Mélenchon propose à ceux qui ne veulent pas se soumettre à ce diktat du capitalisme, et qui sont encore capable d’une révolte de s’organiser dans une France insoumise et d’y apporter la richesse de leur point de vue politique pour qu’il se structure dans un projet politique. Il aura fallu 30 ans pour réanimer les morts du socialisme. Le communisme ne peut être la réponse au XXI siècle, il l’était à celui du 19ème et il a fini entre les mains de dictateurs qui l’on détruit, ceux qui s’y référent encore comme solution au capitalisme actuel, vivent sur des chimères sans que cela démente leurs constats et analyses. Quant à la sociale démocratie, dont JOXE espérait l’essor salvateur, Hollande en a fait une droite bis.

 J’ai écrit ces quelques développement car ils ont conduit à l’enfermement sur son ego, (état primaire nécessaire pour s’ouvrir au monde), alors que la vie impose de s’ouvrir aux autres. Dans ce cadre la pensée unique a créé les conditions de son auto destruction et induit de possibles mauvais choix ou mauvaises analyses, dont nous avons réalisé les conditions de leurs avènements.

Trump ou Le Pen et d’autres en Europe en sont l’émanation, leurs projets reposent sur l’enfermement et le rejet des autres, ce qu’avaient fait les communistes.

La mondialisation.

Je vais le développer sur la base du rejet généré par l’establishment ou Bankers, ces élites qui se sont approprié « le monde » au point de faire rejeter l’ouverture au monde, qualifié de mondialisation et devenu synonyme d’exploitation « capitalo libérale ». Pourtant, les premiers mondialistes furent les mouvements internationalistes des ouvriers, précédés par l’universalité chrétienne. La pensée unique lave les cerveaux au point d’en effacer l’histoire humaine, et l’ignorant s’en empare en criant haro à la mondialisation sauf, quand il a des sous et du temps libre pour voyager tandis que l’humble fauchée, regarde le monde à la télé. Cette culture du rejet signe d’un vide nous entraine au point de ne plus voir l’extraordinaire chance qui est celle de pouvoir circuler autour du monde. Aller dans un pays à l’autre et en revenir, cela durant notre existence, alors qu’à nos ascendants cela a demandé des millénaires. Ce fut si long et si insaisissable que certains pensaient que la terre était plate, chez d’autres la sédentarisation, par consanguinité a façonné des traits morphologiques qui définissent les ethnies. Nous ne sommes pas à l’aube de la circulation humaine sur terre, mais à l’aube des allers retours qui font de la planète un village, parce que nous pouvons nous déplacer rapidement. Et voila qu’au nom d’une mondialisation du capitalisme, qui exploite par ce moyen les pays aux coûts salariaux les plus bas, nous nous refuserions cette opportunité. La réservant de fait à deux classes, celles des milliardaires, et celles des immigrés. Les seconds étant la conséquence des premiers. Au nom du libéralisme et de la libre circulation, les capitaux et les marchandises circulent presque sans entraves nationales. Les establishments lèvent tous les « passeports » pour le fric et le commerce, mais s’opposent à toutes organisations sociales de l’existence, car celles-ci réduisent leur profit. Si le constat fait par les citoyens est juste, la réponse donnée de s’enfermer dans des frontières étanches, n’est plus à la hauteur d’une circulation dans le village planétaire alors que se délivre les passeports pour les astres (en décembre 2015 Obama a donné son accord pour l’exploitation des sous sol des astéroïdes malgré un accord international de non exploitation). Pendants ce temps les sans dent crachent sur les élites.

Convention collective internationale.

Chacun a vu ces dernières décennies se développer des accords commerciaux, ALENA, UE, CETA, OMC soutenue par nos dirigeants politiques, mais d’aucun ignore quasiment l’existence de L’OIT (organisation internationale du travail), organisme tripartite qui décide de conventions, protocoles et recommandations applicables, aux états signataires, soit en 2015, 189 pays. Voilà une instance où les inégalités salariales qui servent de support au capitalisme pour délocaliser dans les pays à moindre coût sociaux pourraient être corrigées. Chacun notera que je n’ai pas dit à moindre coût salariaux. Le salaire n’est que le prix de nos existences, du niveau de notre bien être. La valeur monétaire d’un produit n’existe pas, elle n’est que comptable. Ceux qui délocalisent recherchent les états où les conditions sociales sont les moins développés, santé, loisirs, éducation, temps de travail, le bien être en général. Aucun capitaliste ne délocalise pour le bien être des habitants du pays d’accueil. Cela permet de comprendre pour quoi dans la politique d’austérité imposée et acceptée par nos gouvernants, est recherché en permanence la réduction de notre niveau de bien être en soutenant que sa réduction nous sera bénéfique pour trouver un emploi. Ce n’est qu’une planche savonnée vers l’esclavage, qui en est la finalité, l’optimum. Il faut oser le dire, et cela ne peut passer que face à des ignorants. Cela passe par le slogan réductions des charges, y compris celles de la représentation du pouvoir du peuple. Et des citoyens y croient, puisque depuis 30 ans ils votent pour des hommes politiques qui dans l’ouverture au monde s’accordent à rédiger des accords commerciaux de libre échange, une circulation monétaire informatique. Ils s’accordent aussi pour ne pas définir une convention collective internationale à minima social ou un revenu universel, pour concrétiser les articles 22, 23, 24, 25, 26, de la déclaration universelle des droits de l’homme.

La société civile ?

Sont donc présent dans les instances de l’OIT, institution spécialisée de l’ONU, l’état (démocratie dictature ou théocratie), le patronat, et les syndicats. La société civile n’y est pas représentée. Le pouvoir de la société civile n’existe pas, puisque en démocratie c’est celui du peuple, et ce sont les citoyens qui forment le peuple qui constituent les membres de la société civile. Je ne vois donc pas l’intérêt d’opposer la société civile aux mandants élus du peuple, et quel intérêt il y aurait à donner une représentation politique à la société civile puisque cela existe déjà. Si l’organisation de IV république ne plait pas aux citoyens ils ont une pétition disponible à signer pour une VI, à ce jour 109 000 signatures sur + de 46 000 000 d’inscrits. Les actes ne sont pas à la hauteur du rejet exprimé ça et là par la « société civile » qui s’abstient ou vote blanc. La société civile est un fourre tous de gens qui disent ne pas vouloir faire de la politique et sont capables de se charger par divers mouvements associatifs des affaires locales avec pragmatisme. Comment pourrions-nous représenter dans une instance internationale l’opinion politique de ceux qui disent qu’ils n’en ont pas. C’est comme les bulletins blancs ou l’abstention, il est impossible de désigner la ligne politique des « blancquistes » (ne pas confondre avec Blanqui) ou des abstentionnistes. Tout ce qui peut être dit, est qu’ils formulent un rejet, et l’on ne dirige pas le destin d’une nation sur le rejet de ce qui en est son essence, la politique, les élites et la liberté d’association des intérêts particuliers.

Ainsi, face au rejet constant qui se cristallise sous l’égide d’hommes ou de femmes politiques qui ne sortent pas de la pensée unique d’une idéologie capitaliste, nous laissons sans échos le travail des instances de l’OIT ou la société civile est représentée aux travers des organisations structurées, état, patrons, syndicats. Egalement existe pour représenter les intérêts particuliers des ouvriers en Europe la CES (confédération européenne syndicale), au niveau du monde la CISL (confédération internationale des pays libre). Dont les ouvriers ignorent leur existences, et dont ils se battent les « couilles ». Ne sachant pas qu’ils disposent là des moyens de réaliser des accords pour préserver leur intérêts face au capitalisme, qui lui depuis 1995 n’a plus peur de s’afficher médiatiquement à Davos. Sans entrer, ni de disconvenir que rien n’est jamais parfait et qu’existe en tout lieu et toute organisation des gens malveillants, le rejet du syndicalisme par les ouvriers les conduit, sous de fallacieux prétextes généralisés de discréditations en tout genre, à se priver d’un moyen de signer des accords apportant des solutions par l’amélioration constante des contraintes sociales qui s’imposent à tout investisseur dans n’importe lequel des pays adhérant à l’ONU.

Avons-nous entendu Trump proposer d’activer cette instance pour réajuster ou rééquilibrer son commerce avec la Chine, avons-nous entendu les Juppé Sarkozy et autres capitalistes libéraux en faire autant. Bien sur que non. Pourquoi voudrions-nous qu’ils se coupent l’herbe sous les pieds, si des citoyens animés d’une pensée socialiste ne les y obligent (ne me faites pas l’affront de ma parler du P S, ils ne le sont plus depuis 1984, ni de me résumer la pensée socialiste au communisme en oubliant la philosophie de l’anarchisme libertaire qui l'a précédée). Si je devais illustrer la confusion qui règne et la domination financière je prendrais la Chine. Un pays communiste qui s’est ouvert à son ennemi idéologique le capitalisme, et dont les principaux milliardaires sont de la nomenklatura dirigeante, les sans dent comptez-vous.

Faute de ne vouloir regarder que la pointe de sa chaussure, et ne pas en lever les yeux pour savoir où l’on peut la poser, nous vivons dans le rejet, à rechercher toutes les pailles dans les yeux des autres, alors qu’ils sont, ceux dans lesquels se fondent et se fond nos existences.

 



18 réactions


  • petit gibus 17 novembre 2016 11:17
    Ton sujet me semble sympa à partager smiley

    Prob , sa longueur pour des vieux qui comme moi
    ne peuvent plus se concentrer plus de 5mn 
    et n’ont plus le temps avec leur emploi du temps de ministre
    de séparer le bon grain de l’ivraie
    qu’on trouve sur AV smiley



    • ddacoudre ddacoudre 17 novembre 2016 13:18

      @petit gibus

      dommage, mais bon quand l’on est ministre l’on bien naturellement beaucoup d’occupation  smiley.
      pourtant par tranche de 5 minute tu y parviendras. il y a des situations qui ne peuvent se développer en quatre lignes. le mal de notre siècle c’est de zapper au bout de 30 secondes.
      https://www.youtube.com/watch?v=yUMGHeLoLbA
      ddacoudre.over-blog.com cordialement..
       


    • petit gibus 17 novembre 2016 17:58
      @ddacoudre

      D’abord merci pour ton lien sur le biomimétisme, super !

      Je pluche sans réserve sur tes positions :
      l’apolitisme, l’enfermement et le rejet des autres
      d’une grande actualité
      le dévoiement de sens que fait le capitalisme du mot « mondialisation »...

      Mais je maintiens qu’à mon âge,
      la vue baisse, les articulations grincent,
      les neurones manquent de souplesse......
      bref j’ai besoin surtout de cahetons en comprimés pour me tenir éveillé smiley

  • Captain Marlo Fifi Brind_acier 17 novembre 2016 11:40

    Bonjour,
    « Puisque les différents partis sont l’EMANATION de la diversité des opinions des citoyens. »

    Je me suis arrêtée là. Les Partis émanent de ceux qui dirigent l’Europe, et pas de ce que souhaitent les citoyens ! Commençons donc par savoir où se trouvent les vrais pouvoirs ?
    "Qui gouverne vraiment la France et l’ Europe ?


    Sans oublier les pouvoirs des médias...
    Udo Ulfkotte, journaliste allemand, explique qui dirige vraiment les médias.

    • ddacoudre ddacoudre 17 novembre 2016 13:27

      @Fifi Brind_acier

      bonjour tu es à côté de la plaque, ne t’obnubilise pas sur le fait que les technocrates ont remplacé les citoyens dans les partis politiques, pour ne pas reconnaitre un fait incontestable, les partis émanent des citoyens qu’ils soient pauvres ou riches, cons ou intelligent pourvu qu’ils soient capable de s’investir et d’avoir des idées quand au devenir de leur condition humaine. par contre tu aurais du allez jusqu’au bout.
      cordialementddacoudre.over-blog.com
      https://www.youtube.com/watch?v=yUMGHeLoLbA .


    • leypanou 17 novembre 2016 16:11

      @ddacoudre
      bonjour tu es à côté de la plaque, ne t’obnubilise pas : l’Europe est à Fifi Brind_acier ce que l’Islam est aux FNistes.

      Cela doit avoir un nom en psychologie cette fixation sur quelque chose. Ils arrivent même à dire que la France n’est plus la France, mais sans arriver à dire si elle est devenue le Portugal ou le Maroc ou l’Algérie ou un autre pays quelconque.


    • Le421... Refuznik !! Le421 17 novembre 2016 18:50

      @leypanou
      Oui, je suis d’accord et le regrette.

      Si on enlève à Fifi sa fichue obsession de l’Europe, ses réflexions sont plutôt saines.

      Ce qui m’ennuie chez les totalitaires de tout poil, c’est leur nécessité de trouver toujours un bouc émissaire pour cacher le déficit de leur vision de l’avenir.
      Ca, c’est pas bien !! Bon, alors, tu fais quoi ? Heu, je sais pas, mais ça, c’est pas bien !!
      On avance...


  • TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE 17 novembre 2016 17:02

    nous SOMMES NOMBREUX 1...2...3.............2000000 A NE PLUS SOIGNER NOS DENTS : qui peut se permettre de payer 200 EUROS POUR UNE MUTUELLE TRES MOYENNE.... A 60 ANS  !!!!!

    pourquoi les salariés se retrouvent avec une mutuelle pour laquelle le PATRON DONNE GENEREUSEMENT 15 EUROS/MOIS qu’il déduit de ses impots les socialistes légifèrent pour la mutuelle pour tous A 200 EUROS MOIS MAIS OUBLIENT DE VERIFIER SI LE PATRON EN FAIT UNE NULLE A 15 EUROS MOIS OU UNE MOYENNE A 200 EUROS MOIS (de vrais branleurs les socialos-medef !!!!!!!!!!!! )

    les cadres eux ont droit a 1...2. 3 MUTUELLES ET SURMUTUELLES grace a l’ article 83 DU CGI  !!!!
    souvent gratuites ou au minimum 60% pris en charge par l’ENTREPRISE ET DEFALQUES DE SES IMPOTS !!!!!!!!!!!!

    autrement les mutuelles volent autant que les assurances qui elles ont un réseau commercial
     ou passe donc cet argent dans les poches des délégués ou des banquets mensuels !!!!!!!!!


    • ddacoudre ddacoudre 17 novembre 2016 18:13

      @TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE

      bonjour, il ne fait pas bon être pauvre en France maintenant. c’est curieux que les patrons ne t les choses bientôt nous paierons des impôts pour que le pouvoir le redistribua aux entreprises.cordialement.ddacoudre.over-blog.com .


    • Le421... Refuznik !! Le421 17 novembre 2016 18:52

      @TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE
      Bizarre, quand même.
      Moi qui me dis que dans ce pays, vu que tout le monde vote à droite, y’a plein de friqués !!

      Ce serait donc un ramassis de menteurs ??

      Ah ouais... Les types font semblant d’être sans le sou la semaine et le Dimanche, ils votent pour les riches !!

      Menteurs ou cons ??


  • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam 17 novembre 2016 18:04

    « . Les tentatives dans ce sens furent celles du communisme détruit par le Stalinisme et autre (pour avoir voulu vivre en vase clos). »

     

    ... rien à ajpouter ...le niveau général de l’article est bien la smiley

     

    Psst : Mr l’auteur, si vous avez quelques minutes, cherchez UNE des grandes les raisons de l’ecroulement de l’Urss, ce n’est pas un exercice de haut vol, c’est carrément dans le wiki ici :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Chute_des_régimes_communistes_en_Europe

    particulièrement la.

    « et notamment la course aux armements avec l’Ouest ont focalisé l’attention politique et détourné les énergies ainsi que des ressources économiques considérables au détriment du développement économique »

    Apres si vous le désirez il y à de nombreux document INA qui détaillent et expliquent bien cette partie.

    Le reste (la partie économique et politique) l’est après.

     

    Le négationnisme et l’inculture crasse et l’annonisme à des beaux jours devant elle..

    Vous etes un pro immigrationniste et internationnaliste, mais par pitié, n’en transformez pas des pans l’histoire à votre sauce, merci.


    • ddacoudre ddacoudre 17 novembre 2016 19:01

      @Ouam
      bonjour secoue toi un peu la cervelle et dis moi. pourquoi la course aux armements qu’a livré les usa ne l’on pas détruite. qui empêchait l’URSS de se développer économiquement et de créer la monnaie nécessaire à cela.
      Gorbatchev avec la Perestroîka prône la liberté d’expression et une ouverture économique ainsi qu’une restructuration de la société sous dictature depuis 60 ans et plus.Cela parce que ce pays été ouvert au monde ;-. les raccourcis historiques il faut pouvoir les traduire, quand à être pro intégrationniste ça ne veut rien dire, les gens immigrent pour trouver mieux ailleurs, les deux millions de français à l’étranger ce n’est pas pour enfiler des perles. mais effectivement je suis internationaliste et humaniste, pour l’anomisme ce n’est qu’une vue vue paranoïaque de ton esprit.. ce n’est pas parce que l’on prône une restructuration de la société que l’on est dans l’anomie. généralement ce sont les esprits bloqués qui ne voient dans l’évolution qu’anomie.la France et les autres pays du monde ne sont pas aujourd’hui ce qu’ils étaient hier et demain ils ne seront pas ce qu’ils sont aujourd’hui, sauf que pour les maintenir en l’état certains sont prés à renier la liberté qu’offre la déclaration des droits de l’homme qu’ils ne croient faite que pour eux.
      cordialement.
      http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Du-rat-a-moi-7607770.html.


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam 18 novembre 2016 03:28

      @ddacoudre

      « bonjour secoue toi un peu la cervelle »

      Bonjour, lors de mes insomnies (la) je ne fait que cela, avec tous le loisir d’attendre les prochains moutons...

      Alors défois j’ecoutes des grands hommes (henry guillemin , l’historien j’adore l’écouter, c’est simple bien expliqué, mumineux) ou sinon des trucs d’archive de l’ina ou d’auilleurs.

      Je picore partout adepte de l’éclctisme et sans chapelles.

      Tu sais, j’suis comme toi, je ne sais pas tout, par contre lorsque je ne sais pas, je ne dis rien je m’informe, tu vois c’est pas dur, puis défois c’est pas clair, alors je réfléchis, je remets le travail sur l’ouvrage, enfin tu à compris...

      Par contre lorsque j’écris une bétise (et ca m’arrive souvent... smiley ) et que un me reprends, je n’essaye pas de m’accrocher aux branches, alors non tu tournera ceci comme tu veut l’URSS n’est pas tombé pour la raison que tu citais (pourtant il y en à un paquet, mais pas celle ci)

      Pour anomie (tu te réferes a A D. ?) , non je ne me réfères pas spécialement à ceci mais bien plus à du dumping social et à une nouvelle forme d’esclavage (genre celui à la merkel 2.0)

      Sauf bien sur si tu trouves une situation « normale » des gens forcés à monter dans des canaux pneumatiques pourris à l’arme de guerre, et tu vois je te donne mes sources pour que tu vérifie

      (france info la radio de dimanche dernier)

      Sinon tu à un super reportage un peu plus vieux sur l’esclavage des migrants le droit du travail qui se passe à Aléria (espagne) qui est diffusé sur RFI (radio france internationnal).

      Certes ca dure un peu plus d’une heure mais il yte faut l’écouter, ca doit avoir entre 15 jours et trois semaines.

      Peut etre que ces deux infos pousseront un peu ta réflexion ou pas..

      M’enfin c’est CECI l’internationnalisme que tu défends (et libre à toi), parce que j’ose esperer que tu sais à ton noble age que le monde des bizounours n’existe plus.

      Ah oui et permets moi de m’excuser de ne pas vouloir de ce type d’internationnalisme, il me fait vaumir, peut etre est-ce du à un des restes des croisements de mes ancetres d’afrique... 

      va savoir...

      Cdt aussi bien sur

      PS : je suis souvent un peu rèche, ma mauvaise humeur est le signe que je suis encore vivant, le jour ou ce genre de choses ne me révoltera plus, je serai définitivement ...mort smiley


  • hervepasgrave hervepasgrave 17 novembre 2016 21:13

    Bonjour ,
    Franchement un très bon article.Il ne manque qu’une chose ou deux plus terre à terre.C’est certainement long a lire pour beaucoup.A commencer par moi qui aime prendre le temps de lire tranquillement,Dans ce cas là, je m’en fou de décortiquer les choses.Je n’ai pas la lecture rapide et oblique.
    Et sur les écrits matériels et durable,Il n’y a pas de commentaires possible ! internet c’est une lecture rapide et vite oubliée et cela peu importe la qualité et l’importance du sujet.

    Maintenant je vais te donner une notion que tu ignores.Avant je votais comme les anciens « au moindre mal » C’est cela la réalité sur le terrain, pour les sans dents. J’ai toujours voté,déjà pour une raison simple,pour avoir le droit à la parole.Les gens qui ne votent pas sont bien souvent les plus contradicteurs et critiqueurs après coup.Les faux jetons,les fourbes.
    Depuis l’arnaque des élections à l’époque LePen/Chirac j’ai arrêté les frais.Nous avons Sarkozy le grand et puis Nous avons eu Hollande tout maigre avant son élection,a faire pleurer dans les chaumières. Aujourd’hui ce qui arrive est une nouvelle donne,combien seront les électeurs ? Cela est inquiétant.Car la minorité qui donnera le pouvoir ne pourra éternellement resté cachée. Alors quoi de mieux qu’un beau bordel bien organisé pour faire peur a tout le monde. La nouvelle donne elle est là :« les non votants d’aujourd’hui ,expriment une opinion politique » Ils ne s’en foutent pas. Nous verrons bien cela assez tôt. Il aurait fallut entre autre le dire haut et fort ,c’est aujourd’hui et non pas du passé a additionner.Au minimum tu fais bien comprendre que c’est de notre faute ,à nous les citoyens, c’est évident.Maintenant ton discours est-il neutre et sans arrière pensées ?


    • ddacoudre ddacoudre 17 novembre 2016 21:58

      @hervepasgrave

      bonjour, je n’ai jamais de discours neutres, tous mes discours sont engagés vers l’émancipation humaine et contre l’exploitation de l’homme par l’homme. je veille seulement à être crédible et appeler un chat un chat même quand cela ne vas pas dans le sens que je souhaite.
      c’est juste que l’abstention et une abstention politique, mais il feraient mieux de choisir dans l’échiquier politique existant, ce n’est pas crédible de dire que personne ne trouve chaussure à partager, car il ne peut exister 68 millions de partis et 68 millions de candidats, cela ne déboucherait sur rien car chacun serait à égalité avec une voix la sienne.mais l’on peut parfaitement envisager que des candidat qui n’ont pas été élu avec une majorité d’inscrit plus un ne sont pas valides.alors l’abstention politique prendrait tout son sens.
      une chose est a comprendre c’est que le fait de s’abstenir sur le vote des partis dit de gouvernement et ne pas chercher dans d’autres s’ils correspondent à mes opinions, les invalides de faits c’est le discourt qu’a tenu la droite de 58 à 82 les autres n’ont pas les capacités pour gérer ou gouverner un pays.....c’est inconsciemment ce que nous faisons en n’élisant que rarement un ouvrier. comme si les autres étaient né avec la fibre de la gestion politique..cordialement
      ddacoudre.over-blog.com .


    • petit gibus 18 novembre 2016 09:20
      @ddacoudre

      Ne faudrait il pas trouver un autre système que
      ces 500 signatures de normale sélection
      pour qu’un candidat
      hors sérail puisse se présenter ?

    • ddacoudre ddacoudre 18 novembre 2016 13:25

      @petit gibus

      en démocratie la loi du nombre pose problème nous ne pouvons pas passer tout notre temps à nous occuper des affaires publiques, nous n’y arriverions pas dans une journée. la répartissions des tâches reste de fait la clé et repose sur la confiance réciproque, de fait la loi du nombre impose la délégation, impose que tous nous n’ayons pas le même intérêt pour les mêmes choses sinon notre existence serait impossible, il devient donc nécessaire de définir des règles car 46 millions d’inscrit qui se présente, feraient 46 millions à une voix chacun donc pas de majorité. les 500 signatures créaient le problème de la partialité, c’est une manière détourné de limiter le nombre de candidature mais de les filtrer ce qui est moins bien. la solution est de supprimer la fonction de président qui ne sert a rien si ce n’est de se transformer en monarque républicain, mais de redéfinir la formation d’un gouvernement par élection au parlement, reste la problématique des situations qui demande des réponse immédiate qui ne peuvent faire l’objet d’un débats parlementaire sans nuisance pour la situation, un premier ministre fait parfaitement l’affaire., mais il peut être imaginé certainement d’autres options, pourvu qu’elle n’écarte pas le pouvoir du peuple pour ne lui demander tous les cinq ans de voter pour son monarque. le net peut présenter des avantage mais il n’est pas une solution seulement un moyen de facilitation.
      cordialement.


  • exosphene exosphene 18 novembre 2016 10:13

    Excellent article qui invite les gens à réfléchir par eux-même en sortant du concept pré-pensé de notre société, un peu d’introspection ça ne fait pas de mal.


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