mercredi 26 novembre 2014 - par SAOREK

Petite introduction à la théorie qui n’existe pas

Depuis quelques années, la "théorie qui n'existe pas" avance pas à pas dans les consciences et sert maintenant de norme aux instances internationales et nationales.

Des apprentis-sorciers, revêtus des oripeaux de la respectabilité, induisent des expériences sur des enfants (http://www.theoriedugenre.fr/?Docum...) avec le sourire et en toute décontraction (photo).

Cet article est une toute petite contribution pour mieux définir ce qu'on entend par "theorie du genre".

Les grands traits de la théorie du gender :

L’homme peut-il être réduit à un donné purement culturel comme le prétend cette théorie du genre ? L’unité du genre humain est un fait de nature. Actuellement, les idéologies positivistes, véhiculées par l'Education Nationale, nos "Grandes Ecoles", etc, tendent à opposer de façon contradictoire les cultures et la nature humaine. Ainsi, les cultures ne savent plus trouver leur mesure dans une nature qui les transcende (dépasse). C’est la porte ouverte à toutes les manipulations.

Cette théorie instaure une lutte de pouvoir entre les hommes et les femmes au mépris de leur complémentarité. Elle nie encore le rôle structurant de la différence sexuelle pour affirmer que le masculin et le féminin sont des réalités non plus instituées par la nature mais des constructions sociales (culturelles) : le masculin et le féminin ne sont plus des données naturelles inhérentes (permanentes) à la nature humaine.

Ce ne sont pas là des cogitations intellectuelles sans conséquences concrètes. Cette théorie nie la singularité du sujet et donc ses nécessités internes naturelles. Elles substantifie les orientations sexuelles au point d’en faire des identités à mettre sur le même plan. Il s’agit donc d’une construction utopique qui dénie l’être de l’homme et l’être de la femme pour faire la promotion d’une sorte d’asexualité présentée comme un état primordial naturel…

Or, les psychologues rappellent que ces orientations sexuelles sont plutôt en-deçà de l’identité sexuelle. La personne humaine s’humanise, se civilise et se socialise dans le cadre de son identité sexuelle, quel que soit l’état de vie. Ces orientations sexuelles se développent dans les pulsions partielles et ne sont donc pas pleinement humanisantes. Or, le Législateur, n’ayant plus de formation en philosophie réaliste, ne sait plus juger des choses favorables au Bien Commun et en vient à établir des lois civiles qui sont sensées protéger la subjectivité des personnes individuelles ou des groupes.

L’amour vrai se situe dans la vérité :

Dans la confusion qui règne dans les esprits, n’importe quel type de relation plus ou moins attachante est présenté comme de l’amour. Or, on peut éprouver des émotions pour quelqu’un sans pour autant qu’il s’agisse d’un amour authentique.

Ne doit-on pas rappeler que l'’amour exige la vérité des choses pour être authentique ? Au nom d’une certaine idée de l’amour, on croit que tout est possible et permis. Dans un contexte chrétien, on peut aller jusqu’à penser que puisque Dieu est amour, il tolère tout. Autrement dit, Dieu est instrumentalisé pour justifier des actes humains à partir du moment où le sujet ressent ce qu’il juge être de l’amour. C’est donc l’émotion individuelle de la personne qui donne le critère de la volonté de Dieu …

Depuis les années 50, la gender theory prépare une révolution sociale sans précédent. Succédant au marxisme, avec lequel il partage un même positivisme, la théorie du gender détruit les repères fondamentaux de la vie humaine. Il participe ainsi à la perte efficace des vérités universelles qui guident notre vie ici-bas. Il participe ainsi à la confusion grandissante des esprits.

La théorie du gender véhiculée par les sciences humaines :

Les sciences humaines, issues du positivisme d’Auguste Comte, sont maintenant normatives et prennent la place du Décalogue et de la loi naturelle véhiculée par la philosophie réaliste fondée sur le bon sens (Socrate).

Ces sciences humaines prescrivent maintenant à la société ses modes de vie. Cohérent avec leur positivisme, les sociologues décrètent qu’à partir du moment où un fait social existe, on doit non seulement l’accepter mais le transcrire dans la loi positive. On voit ainsi proliférer d’innombrables lois qui viennent légitimer socialement divers mœurs existants au lieu de voir le Législateur inventer des lois qui soient des continuations sociales de la loi naturelle pour le Bien Commun.

Les lois positives en effet doivent s’inscrire dans le cadre anthropologique commun qui fonde la vie humaine. En dehors de ce cadre, les lois deviennent inévitablement arbitraires.

La théorie du genre est un produit des sciences humaines positivistes qui cherchent à reconstruire une nouvelle vision de l’homme. Ici, la norme n’est plus enracinée dans la vérité des choses et leur caractère universel, mais dans la continuelle nouveauté des situations individuelles et surtout dans le ressenti subjectif. La plupart des gouvernements occidentaux créent ainsi des lois à partir des situations minoritaires au nom de la non-discrimination. Ce principe empêche ainsi toute réflexion réaliste et tout discernement. A partir d’une revendication minoritaire (associations homosexuelles), des militants ont ainsi contribué à déstabiliser le mariage et la société toute entière. Les formes d'associations alternatives en effet accentuent la baisse des mariages et la perte du sens de la parole donnée. Peut-on construire ainsi la paix sociale à partir de la perte de l’engagement dans la durée ?

En amont de cette pression idéologique (faite avec le sourire : photo), il y a ce qu'on peut nommer une dictature du relativisme. En effet quand tout se vaut, plus rien n’a de valeur. Car une valeur se fonde sur des orientations universelles reconnues. Et comme nos hommes politiques n’ont pas reçu une formation philosophique solide, ils restent à la surface des choses et souvent sous l’influence de lobbies. Dans un calcul électoral constant, ils ont le regard plus souvent rivés sur les derniers sondages que sur une réflexion profonde sur le sens de la vie humaine. « Le monde politique occidental fait preuve d’une certaine carence de la pensée » (Tony Anatrella). Il faut savoir que le dernier Traité de Lisbonne intègre la Charte des Droits Fondamentaux (laquelle prend comme référence la théorie du genre), appellation trompeuse qui cache en réalité un programme de déconstruction..

Il est sans doute inutile de préciser que chez les "intellectuels" contemporains, le recours à la raison ne se situe plus en fonction du vrai et du bien objectif. Il s’agit plutôt de déconstruire les bases de la vie au profit de thèses pseudo-intellectuelles motivées par des utopies.

Origine de la théorie du genre :

Ce sont des psychanalystes américains qui ont, semble-t-il, les premiers avancés des thèses de déconstructions de la nature. Il s’agissait au départ pour eux de traiter psychologiquement des personnes désirant changer de sexes (transsexualité). Evidemment, on ne change pas de sexe ici-bas : ce sont là des artifices, même s'ils sont très convaincants. Certaines personnes n’arrivent pas à intégrer leur corps sexué au masculin ou au féminin. Il y a donc chez elles conflit entre leur identité sexuelle et leur orientation sexuelle. A l'époque, à partir de ces cas cliniques particuliers, certains cliniciens ont extrapolé et en sont venus à affirmer la thèse que l’ensemble des hommes et des femmes vivaient ce décalage.

Par ailleurs, dans les années 60, les féministes américaines cherchaient à fonder philosophiquement leurs revendications et leur opposition aux hommes. Elles ont trouvé dans la théorie du genre un outil idéologique intéressant. Pour elles, le corps de chacun peut bien être déterminé organiquement, ce n’est pas ce donné de nature qui révèle l’identité sexuelle du sujet qui reste à construire. Ces thèses de la déconstruction proviennent pour une large part de penseurs positivistes comme Jacques Derrida et Michel Foucault, considérés en France et dans le monde occidental comme de "grands intellectuels". Ils sont ainsi influencé les milieux universitaires américains.

Dans les années 80, le mouvement homosexuel est relancé avec le VIH. Mais les revendications ont perdu progressivement leur caractère sanitaire pour devenir politiques : reconnaissance légale de ce type de relation, suppression de la liste des maladies mentales, instauration de statut d’union civile, adoption des enfants, etc. Les militants ont ainsi également trouvé dans la théorie du genre un cadre pseudo-scientifique pour fonder l’autorité de leurs revendications.

Des arguments moraux comme l’égalité entre l’homme et la femme (dont le sens est ici subverti), la liberté individuelle et la lutte contre les discriminations viennent empêcher toute réflexion sur le sujet.

Ainsi, selon la "théorie qui n'existe pas", nous ne naissons pas homme et femme mais notre identité est au départ incertaine et bisexuelle : c’est l’organisation sociale (culture) qui rend les gens hétérosexuels…

Les enjeux de la question :

La théorie du genre, dans la totale ignorance des peuples, sert de référence aux organisations internationales (ONU, OMS, UNESCO, UNICEF, etc) mais aussi aux législations nationales (depuis Maastricht, 1992). Il faut savoir que cette théorie a été découverte dans le Traité de Lisbonne : à ma connaissance, personne ne sait à ce jour qui en est à l’origine… (si quelqu'un a des infos).

Parmi les exemples concrets des influences de la théorie du genre, on notera dans les formulaires administratifs la mention « genre » au lieu de « sexe ». La notion de parité n’est pas étrangère à ce processus. Mais ici parité signifie similitude absolue.

La relation au corps en question :

L’histoire de la philosophie fournit maints exemples des tentatives de libération utopique du corps humain (philosophies idéalistes). Il s’agit à chaque fois de se libérer de la condition humaine.

Au nom du noble principe d’égalité, on en vient à faire régner la différence interdite. Dans ce déni de la différence sexuelle, le principe d’égalité est dévoyé au sein de la notion confuse et délétère du genre à travers le féminisme en tant que négation de l’homme-masculin.

Faute de pouvoir juger de façon réaliste et objective de ces questions, l’homme contemporain est le jouet du pouvoir de suggestion des médias, des lois du marché et des lois civiles qui s’affranchissent de la nature humaine.

La théorie du genre est donc un subjectivisme absolu : on propose à l’homme de se libérer de ses conditionnements naturels pour se construire seul et sans référence aux lois. Mais ne sommes-nous pas ici en pleine utopi ? Dans cette évasion impossible, l’homme se vide de plus en plus intérieurement et se rend esclave de ses émotions. Fragilisé, incapable de raisonner librement, adonné à diverses addictions incapacitantes, l’homme contemporain n' est-il pas contraint à une vision de lui-même asexué ? Ne serait-ce pas là une des causes qui l'incite à compenser dans l’imaginaire médiatique ?

La théorie du genre vise les jeunes :

La théorie du genre influence efficacement les jeunes générations dans le cadre de l’éducation sexuelle diffusée dans les écoles (depuis la maternelle) jusqu’au lycée. On cherche à contraindre l’esprit des jeunes à tenir compte des orientations sexuelles et surtout on les incite à expérimenter tous leurs désirs.

Certains psychologues ont encore les pieds sur terre et dénoncent là des incitations aux passages à l’acte. Chacun sait que ce ne sont pas les expériences sexuelles répétées qui permettent de se connaître et de parvenir à la maturité affective. Par ailleurs, des passages à l’acte dans ce domaine entretiennent la régression infantile (immaturité) en retardant la croissance psychologique.

Les militants qui passent dans le milieu scolaire s’appuient sur l’autorité de l’institution et troublent très souvent les jeunes. Ceux-ci ne savent pas encore évaluer leurs sentiments et s’inspirent fréquemment d’interprétations entendues à diverses occasions pour se les appliquer sans discernement. Il faut savoir qu’à un moment donné de sa croissance, l’adolescent est confronté à des crises identitaires qui nécessitent un travail interne.

Les jeunes sont d’autant plus impressionnés que les intervenants militants adoptent un style prescriptif mais aussi "jeune". Il s’agit de laisser entendre à ces enfantts et ados que l’homosexualité est une forme de sexualité qui est possible dans les relations humaines et qu’elle ne pose pas de problème. Sans discrimination envers les homosexuels (dont les qualités humaines sont évidentes dans l'espace social par ailleurs), il faut reconnaître que tout discours contraire est invalidé de façon agressive par la vexation ou la raillerie. En France, l’Education Nationale a lancé un programme de lutte contre "l’homophobie". Les lobbies ont ainsi exploité le filon de la non-discrimination (un des avatars du relativisme agressif ambiant) pour faire passer le message déséquilibrant pour les jeunes de l’indistinction sexuelle.

La théorie du genre concerne aussi la femme :

Cette théorie a été récupérée par les mouvements féministes. Elle valorise la femme dans leur opposition aux hommes et altère la relation homme/femme au nom de l’autonomie des femmes.

Or, les hommes et les femmes sont déjà autonomes dans leur masculinité et leur féminité : cet état de fait ne s’oppose pas à la coopération à entretenir. C’est la complémentarité homme-femme qui est ici attaquée. Au nom de la "santé reproductive", pour autant que cette notion soit réaliste, on dissocie la procréation de la relation entre les hommes et les femmes pour la situer uniquement de côté des femmes. Cette vision des choses a pour but d’affirmer l’autonomie des femmes afin de mieux valoriser la contraception et l’avortement. Ne doit-on pas plutôt rappeler que la procréation se partage entre l’homme et la femme, et relève de leur responsabilité que ces idéologies inhumaines viennent contester ?

Judith Butler

Judith Butler est une des philosophes de l’idéologie du genre (Trouble dans le genre. La Découverte, 2006). Elle enseigne aux Etats-Unis et ses ouvrages sont l’exaltation intellectualiste du déni de la différence sexuelle.

Dans la perspective de cette théorie, la maternité est présentée commun handicap, voire une injustice… Seules les femmes en effet portent les enfants. Il faut donc libérer les femmes de cette aliénation naturelle en faisant la promotion de la contraception et de l’avortement. Ces campagnes menées par l’OMS sont particulièrement virulentes en Afrique et d'une façon générale dans les régions qui échappent à l'influence occidentale.

De la même façon, il faut taire la paternité. Seuls les hommes peuvent en effet être pères : nouvelle injustice. Il faut plutôt parler de parentalité et non plus de parents : toute personne peut ainsi jouer un rôle parental. Ce qui est vrai dans une certaine mesure mais ne saurait complètement remplacer le cours habituel des choses humaines. Est-ce là la tyrannie des choses ou une indication de la nature ?

La fonction parentale naturelle est ainsi divisée en parent biologique (négligé), parent éducateur et parent social (pas forcément le parent biologique). La notion de beau-parent (au singulier) vient accentuer le morcellement de la filiation. Ces analyses ne oprtent aucun jugement de valeur sur les personnes concernées mais ne doit-on pas définir ce qui est plus souhaitable pour garantir le bonheur commun ? Doit-on ici donner une liste d'exemples concrets douloureux sur ces situations de souffrance ? Nous savons que ces lignes évoquent dans nos vies des situations de proches.

Conclusion :

Cette théorie positiviste (refus de connaître la vérité des choses) insiste sur la disparition des distinctions entre l’homme et la femme. Ainsi, selon le rouleau-compresseur idéologique des biens-pendants destructeurs (mais souriants : photo), rien ne doit empêcher la femme de devenir l’égale de l’homme tout en dénonçant une domination et un pouvoir masculins, en faisant constamment référence "au passé".

La théorie du genre déséquilibre le domaine de la santé, de la famille et de l’éducation. Elle veut instituer (faire passer dans les coutumes sociales stables) des orientations sexuelles de toute façon minoritaires à la place des deux seules identités possibles ici-bas, celle de l’homme et celle de la femme. Faire passer une orientation sexuelle pour une identité : un désir subjectif pour un choix possible sans conséquence. C’est une logique déréelle qui cherche vainement à s’affranchir de la condition humaine.

Cette idéologie ne s'impose-t-elle pas comme une superstructure interprétative qui fausse l’observation et la prise en considération du réel ?

C'est un des fruits du relativisme ambiant : des désirs subjectifs qui cherchent à devenir loi. Mais ne sommes-nous pas chez Narcisse ?

Mais les fruits de cette idéologie sont encore devant nous. Depuis l’instauration de ces idéaux qui ont commencé il y a plus de quarante ans et qui se confondent dans la similitude, les relations homme/femme se sont distendues, compliquées et mises à distance. On constate que des professions se sont complètement féminisées là où les hommes cherchent d’autres activités en dehors de l’éducation, de la médecine et de la justice. Autrement dit des institutions qui font autorité dans la vie sociale.

La parité revendiquée cherche davantage la lutte de pouvoir qu’une plus grande coopération pour le Bien Commun. On entretient ainsi une compétition malsaine et immature. En disant que les distinctions homme/femme sont le fruit d’une "manipulation sociale machiste", on détruit les repères réalistes universels chez les jeunes.

Le fruit ultime du positivisme de la connaissance, c’est le positivisme législatif et juridique. Quand la loi civile dérive en idéologie (coupée du réel universel), elle devient de plus en plus coercitive en créant des instances de contrôle et des sanctions pénales nouvelles. On voit ainsi un organisme étatique comme la HALDE indiquer des « bonnes pratiques » en menaçant toute réflexion alternative (la notion misologue d’homophobie). On se contentera d'évoquer la "Ligne Azur", joli nom pour une institution qui cherche à affaiblir psychologiquelent les jeunes ! On voit encore les instances internationales conditionner leurs aides humanitaires aux pays pauvres à l’adoption de lois sur le genre.

Avant de proposer une politique, il faut savoir qui est la personne humaine, en connaître la nature. Une vision relativiste de cette nature qui tend à s’affirmer de plus en plus pose de sérieux problèmes pour l’éducation, et en particulier pour l’éducation morale, car elle compromet l’extension vers universel



117 réactions


    • Baasiste 2 27 novembre 2014 21:36
      « Non c’est vrai, dans cet article vous prétendez que votre vision de la société est la vision qui est structurée et que les autres visions ne seraient pas structurée.

      Vous faites de la poésie mais vous ne vous appuyez sur rien de concret pour le dire.
      Vous réduisez l’identité des hommes à leur sexe comme s’il suffisait de savoir le sexe d’un homme pour savoir qui il est.
      Vous semblez dire que seul votre vision de l’amour est la bonne, que vous êtes mieux placé que les gens eux même pour dire si ce qu’il ressente est de l’amour authentique ou non. »

      on jamais réduit un humain à son sexe, on dit juste que le sexe impacte ce qu’est quelqu’un et son identité, bref le sexisme=voir un humain que par son sexe, ultra-individualisme=considérer que l’humain n’est qu’un individu consommateur sans nation, race, sexe, religion ou que sais-je point.



      « Qu’appelez vous les critères fondamentaux de la vie ? Sur quelles études vous basez vous pour dire qu’ils sont fondamentaux ? Est-ce que vous considère que le fait que la mère soit une femme au foyer qui ne travaille pas est un critère fondamentale de la vie ? »

      en effet c’est la base naturelle de l’humanité depuis toujours et la société du NWO détruit ça.



      « Vous dites »Dans un calcul électoral constant, ils ont le regard plus souvent rivés sur les derniers sondages que sur une réflexion profonde sur le sens de la vie humaine.« => justement, ça devrai vous interroger que des politiques soutiennent des positions contre les sondages non ? Moi ça me donne une petite pointe d’espoir, malgré mon mauvais opinions de la politique professionnelle.

      Qu’appelez vous la nature ? Est-ce que la société s’oppose à la nature ?
      Pour moi l’être humain et la société font parties de la nature, donc l’évolution de la société quel qu’il soit fait partie de la nature. Si l’être humain détruit les ressources qu’il a besoin pour vivre et disparaît, et bien ce sera naturel, ce sera la sélection naturelle.« 

      bref l’artificiel devient nature ainsi le clonage, les ogm, la pollution ainsi que la sur exploitation des ressources=nature, malin pour faire accepter l’uniformité sexuelle.



       »Si l’être humain organise une société juste, équilibrée et durable, ce sera aussi naturel.
      Pour être cohérent, si jamais vous considérez que la société n’est pas naturelle, au nom de la nature vous devez aussi être interdire la médecine par exemple, puisque cela va à l’encontre de la sélection naturelle.« 

      arguments de merde, une fois de plus, la médecine ne change pas l’identité humaine et ne cause pas de dégâts (lorsqu’on va contre mère nature ça cause des dégâts), donc c’est naturel, ça ne chamboule aucun ordre. bref médecine=ogm, clonage et tous le tralala



       »Si on refuse de mettre les gens dans une petite case stéréotypé »garçon/guerre/pouvoir/bricolage« ou »fille/amour/enfant/cuisine« pour dire que tout le monde est différent, vous nous accusez au contraire de vouloir dire que tout le monde est pareil...« 

      stéréotype=constater les différences évidentes biologiques.


       »Vous me demandez »Qui influence l’autre : celui qui indique ce qui se passe dans la vie la plupart du temps ou celui qui indique une voie minoritaire qui ne lui convient pas forcément ?« .
      Pour moi c’est très clair, celui qui influence est celui qui prétend qu’il n’existe qu’une seule voie. Celui qui indique qu’il existe une autre voie lui est dans la vérité et ne nie pas l’existence de la voie principale majoritaire. »

      la voie non-principale est minoritaire car c’est la nature et fait des dégâts car c’est contre l’ordre naturel et la norme naturelle.


      « Vous dites que je fais référence au passé, mais ma référence au passé était justement là pour vous désancrer d’un modèle pour vous montrer qu’il peut évoluer.
      Pour vous la société semble figée, ce qui existe est naturel, vouloir le changer est antinaturelle. En faisant référence au passé je vous montre que ce que vous jugez naturel aujourd’hui est lié au évolution décidées dans le passé. Évolution qui paraissaient alors non naturelle. »

      bref un stalinien, un fasciste, un ultra-libéral... l’adepte de l’homme nouveau malléable à l’infini. un mec de la secte du progrès infini. essayes de mettre un homme dans l’eau et tu lui diras de respirer dedans, on va voir si ton évolution marche. l’homme évolue selon ses limites naturelles.


    • Baasiste 2 27 novembre 2014 21:59

      « Comment cacher les vrais question en les mélangeant derrière une théorie dont on définit soit même le sens afin qu’il soit facile à combattre...
      Qui veut contraindre l’esprit des jeunes à l’école ? Ceux qui veulent leur laisser le choix dans leurs jouets et leur activité ou ceux qui veulent contraindre les filles à jouer à la dînette et faire de la danse et les garçons à jouets au foot et avoir des pistolets en plastique ? »

      le stalinien-facho totalitaire ne t’occupes pas de la famille qui fait ce qu’elle veut de son gosse et qui ne fait que répondre aux demandes de son gosse et l’éduquer selon sa nature et ce qui est bon pour lui. toi ton école hitlérienne d’etat de merde veut laver le cerveau en faisant croire que l’identité masculine ou féminise=préjugé, pour l’uniformité sexuelle (qui comme elle est anti-naturelle ne sera jamais totale, donc la prochaine modifs génétiques et elle causera des dégâts car quand on va contre mère nature, ça fait mal), multiplier les gays, détruire la famille et faire des dégâts sur le cerveau des gosses.



      « A ma connaissance, personne ne veut pas forcer les garçons et les filles à faire les mêmes activités, on veut que si un garçon veut faire de la danse et une fille du foot il ne soit pas poussé par la société à ne pas sortir de leur rôle. »

      bref encourager le garçon à faire de la danse en lui rabâchant que c’est masculin et que ça lui correspond, bref on pousse les gens à correspondre à al société du NWO, et l’etat fasciste « délivre » le gosse du mauvais rôle que lui donne les parents. oui dans la nature y a des rôles désolé.


      « Les garçons sont différents entre eux et les filles sont différentes entre elles, il n’y a pas juste d’un côté les garçons et de l’autre les filles, il y aussi d’un côté ceux qui aiment le sport, ceux qui aime la musique, ceux qui aime lire, ceux qui aiment fabriquer... »

      oui en effet tu as raison, dans la même logique l’homme ne voit pas par deux yeux, car il y a 0.5 % de borgnes et aveugles.

      l’homme n’a pas 5 sens car y a de rares sourds, aveugles tous ça.

      l’homme n’est pas bipède, il y a 0.05 % de démembrés.

      l’homme n’est pas omnivore : quelques % de végétariens.

      bref luttons contre tous ces préjugés.


      « Si vous considérez, que les garçons et les filles ont statistiquement des différences de caractères innées liées à leur sexe, en leur laissant le choix la majorité des filles fera des activités dites « de filles » et la majorité des garçons fera des activités dites « de garçon » (notons au passage que le foot par exemple est une activité considéré comme masculine en France alors qu’aux Etats-Unis le soccer est plutôt féminin).

      Et les quelques garçons ou quelques filles qui sont différents pourront eux faire l’activité qui leur plaît sans se sentir oppressés par la majorité et qu’on les oblige à être différent de ce qu’ils sont. »« 

      savez tu que mère nature a érigé une règle : les enfants doivent êtres éduqués dans le sens de leur nature et de ce qui est bon pour eux, l’éducation est quelque chose de naturelle dans la vie de l’homme et de la part de l’humain, or toi tu veux combattre cette éducation par le formatage totalitaire de l’école qui ne laisse aucun choix en disant qu’il y a 0 identité sexuelle en rabâchant tous le temps ça et en faisant croire au gosse qu’il est emprisonné dans un carcan. le pire c’est que le gosse ,les parents l’éduquent selon ce qu’il est, les parents s’adaptent au gosse, pas le gosse qui s’adapte pour correspondre aux soit-disant préjugés, mais non tu veux faire croire au gosse le contraire de ce qu’il croit être et ce qu’il pense vouloir. sinon voulez carrément enlever de la tête des gens qu’il y a des anomalies et déviances pour soit-disant lutter contre l’oppression, bientôt faudra dire qu’un triso est normal pour qu’il y ait 0 oppression ?




       »Si vous considérez, que le comportement des garçons et des filles est dépendant (ou aussi dépendant , l’inné n’empêchant pas l’acquis) de la manière dont on les éduque, alors en défendant de les éduquer différemment au seul prétexte qu’il sont garçons ou filles (et non sur des caractères particuliers), vous défendez une société à la « Brave new world ».
      C’est à dire que vous défendez une société où l’on élève et formate les enfants non en fonction de ce qu’ils sont, mais en fonction de la place que l’on souhaite qu’ils occupent dans la société.« 

      tu n’as strictement rien compris l’auteur de l’article veut éduquer les enfants selon leur identité et nature, il veut une éducation respectueuse de ce qu’est l’enfant, or toi adepte de brave new world tu veux les éduquer dans le sens contraire, selon ton idéologie et malheureusement l’éducation altère l’enfant ce que constate l’auteur. on peux éduquer un gosse contre sa nature et son identité, mais ça fait des dégâts pour le gosse et la société en général, on ne viole pas les lois de la nature.



       »Vous estimer alors que l’équité naturelle à la quelle deux être humains ont droits doit s’effacer devant l’intérêt la société à demeurer telle quel est.
      Vous faites donc passer votre vision de la société devant les droits de l’enfant.« 

      nature humaine et intérêt de la société sont liés. on ne rempli pas l’intérêt humain en violant sa nature, la société reflète la nature humaine en gd partie.



       »Pour ma part il me semble raisonnable de penser que les différences de comportement entre les filles et les garçons tient à la fois de l’inné et de l’acquis. Je suis certain que l’éducation joue un rôle.
      Je comprends que l’on puisse penser que la société repose sur la vision d’homme est de femme que l’on a, mais je suis contre le fait que l’on éduque volontairement les enfants de manière différente non à cause de leur caractère mais à cause de leur sexe. Il n’y a pas si longtemps on apprenait aux filles uniquement à être bonnes épouses.« 

      les différence sont innés mais il y a aussi une éducation naturelle à faire, on éduque pas un bébé lion comme le bébé d’une vache.


       »Le travail des femmes à considérablement remis en cause le fonctionnement de la société, mais qui oserait aujourd’hui en France interdire le travail aux femmes sous prétexte que ce n’est pas bon pour la société ?« 

      les femmes en travaillant sont esclaves du capital à l’heure actuelle, le capitalisme est ce qu’il y a de plus inhumain et irrespectueux de la nature.



      J »e ne dis pas qu’il faut élever forcément tous les enfants de la même façon. Mais il faut que les différences soient justifier par quelque chose. Ne pas traiter un enfant hyperactif ou surdoué de la même façon qu’un autre me parait logique, on recherche bien alors le bien être de l’enfant.
      Forcer une fille à jouer à la poupée alors qu’elle veut jouer au policier ou à faire la guerre parce qu’elle est une fille et au nom de son bien être me paraît hypocrite."

      le parent doit aussi corriger la déviance, c’est en faisant rien que cette déviance ensuite est irréparable et que le mec est homo pour toute la vie.


  • SAOREK SAOREK 27 novembre 2014 17:18

    On me signale une petite vidéo qui présente la « théorie qui n’existe pas » :

    https://www.youtube.com/watch?v=jetwg5ORhwU#t=16


    • jeanVidales jeanVidales 27 novembre 2014 17:37

      Vous ne vous rendez même pas compte que vous vous ridiculisez à chaque fois que vous parlez de « théorie » à propos des études sur le genre.
      Mais c’est un cas d’école : comment s’inventer des peurs afin de passer pour une victime.


    • Macaque 27 novembre 2014 18:11

      Cette vidéo est tellement caricaturale qu’elle en deviendrait comique si certains ne la prenaient pas au sérieux...
      La vidéo prétend quand même en gros que c’est anormal qu’une fille conduise un camion.
      Ou plutôt qu’il faut cacher aux enfants qu’une fille peut conduire un camion parce que ça va les perturber...
      C’est un appel complet à l’intolérance, puisque la tolérance repose sur la compréhension de l’autre et la connaissance.

      « Ba voilà, à force de tout mélanger, un garçon ne sait plus s’il est vraiment un garçon » => désolé, c’est tellement ridicule que ça me fait rire.
      Mais qui veut rendre les garçons et les filles totalement indifférent ? Vouloir qu’ils aient accès aux même droits et aux même possibilités d’éducation ça n’a juste rien avoir.
      Vouloir arrêter de décider pour eux ce qu’ils doivent être, les autoriser à être tous différents, ça n’a rien avoir avec les obliger à être identique.

      C’est complètement de la propagande genre « Le meilleure des mondes » cette vidéo.
      On ne veut pas une école qui embrouille nos enfants, on veut une école qui ne leur impose de se conduire de telle ou telle manière.
      Ce n’est pas « laissez les filles être des filles » le message, c’est « refusons de laisser les enfants devenir ce qu’ils veulent, imposons leur nos stéréotypes pour qu’ils deviennent ce que l’on souhaite ».

      Faisons comme si une personne n’était définie que par son sexe, que son caractère et son futur métier devait être lié uniquement à celui là.
      Ignorons les différences des filles entre elles et des garçons entre eux. Faisons juste deux castes hermétiquement fermée.

      Ce qui est bien c’est qu’on pourrait faire la même vidéo avec pleins de sujets.
      Arrêtons d’expliquer aux enfants le principe de l’évolution, ça les embrouille. Le récit de la genèse est beaucoup plus simple et facile à illustrer.
      Arrêtons d’apprendre l’histoire ou la philosophie à nos enfants. Ils n’ont pas le temps pour ça, ce qui compte c’est qu’il sache bien écrire et compter pour leur futur métier.
      Arrêtons de faire croire aux enfants que les choses ne sont pas binaires, ça pourrait les amener à se remettre en question voir à remettre en question la société.


    • foufouille foufouille 27 novembre 2014 18:34

      à part le camion qui est une mauvaise idée, je voit pas le ridicule de la vidéo


    • Macaque 27 novembre 2014 20:06

       Reprenons les phrases « choque » de la vidéo :

      - 1ère séquence, « certains disent qu’une fille est fille parce qu’elle est obligé par la société à être une fille » => Non, « certains » disent juste que s’il y a très peu de filles ou de garçons dans certains métiers, c’est en partie à cause de leur nature innée mais également en partie à cause de la manière dont ils sont considérés et traiter par la société.

      - « Ils sont différents donc ils ne sont pas égaux » => Non, ils sont traités différemment dès la naissance en fonction de leur sexe donc ils ne sont pas égaux. On offre rarement un pistolet à une fille juste parce que ce n’est pas un jouet de fille, pas parce que l’on sait que cette fille là n’aime pas les pistolets. On offre rarement une poupée à un garçon parce que ce n’est pas un jouet de garçon, et non pas parce que l’on sait que ce garçon la n’aime pas les poupées.
      Ce qui pose problème ce n’est pas que les garçons et les filles soient différents, c’est qu’on les traite différemment à cause de la conception que l’on a de ce qu’est un garçon ou une fille.
      Ces stéréotypes que l’on impose dès l’enfance on un impact sur le comportement et le développement de ces enfants.

      « L’école doit tout mélanger entre le masculin et le féminin » => L’école ne doit rien mélanger du tout. L’école doit apprendre des faites et permettre aux enfants de se développer selon leur propre nature

      « Comme ça c’est plus facile, si c’est mélanger, c’est tout pareil, donc c’est l’égalité » => Déjà si c’est tout mélanger, c’est pas tout pareil c’est juste homogène. Mais ce qu’il faut voir c’est que la société est toute mélanger. C’est pas parce que statistiquement et en moyenne le groupe fille à un caractère différent du groupe garçon qu’il y a une frontière entre les deux.
      Certaines filles peuvent aimer le pouvoir ou ne pas aimer les enfants, certains hommes peuvent aimer s’occuper d’enfants.
      C’est en prétendant le contraire que l’on mélange tout et que l’on ment aux enfants.

      « Comment je saurais si je suis bien un garçon » => C’est très simple, on t’aura expliqué à l’école que tu as un zizi donc que tu es un garçon (d’une façon plus adapté probablement smiley ).

      « Ba voilà, à force de tout mélanger, de faire comme si tout était pareil, un garçon ne sait plus s’il est vraiment un garçon, une fille ne sait plus si elle est une fille » =>
      Mais c’est juste l’inverse, au lieu de « faire comme si tout » les garçons « étaient pareils » et que toutes les filles étaient pareilles, on leur explique juste que oui il y a des différences entre les filles et les garçons, mais aussi des différences entre les filles entre elles et les garçons entre eux.
      C’est bien qu’on ment aux enfants puis qu’après il constate que ce qu’on leur a dit ne correspond pas à la réalité qu’on les embrouille.
      C’est pas quand on leur présente la réalité.

      « A t’on régler le problème de l’égalité » => pas entièrement mais on a quand même déjà fait un sacré pas en avant depuis le jour où l’on enseignait aux filles uniquement à être une bonne épouse.

      « Nous avons juste créer un autre problème, celui de l’identité » => au contraire, c’est aussi un des problème que l’on a règle en partie en permettant aux enfants qui voient bien qu’il ne corresponde pas au stéréotype de ce qu’est un garçon ou une fille de comprendre qu’ils ne sont pas des monstres anormaux, et de faire comprendre aussi à la majorité qu’ils n’ont pas à avoir peur ce cette minorité, puisque cela est naturel.

      « Laissez les filles être des filles, laissez les garçons être des garçons » => Je vais me répéter, « laissez les enfants être ce qu’ils veulent sans les enfermer dans des cases.

      Quel est le vrai débat que la vidéo n’aborde même pas vraiment ?
      Pour moi, le débat porterait sur la problématique suivante :
      - On constate que la manière dont on éduque les enfants les formatent. Or dès la naissance on éduque les filles différemment des garçons.
      La société actuelle traite donc de manière inégale les filles et les garçons.
      Quand il y a inégalité, il est légitime de vouloir la supprimer. Personne ne comprendrait que l’on éduque de manière différente les enfants blonds et les enfants bruns.
      Et là se pose une question également légitime, on peut en effet se demander si cette discrimination est absolument nécessaire à la vie en société.
      Car si on ne peut vivre sans, il faut bien sur la conserver (tout en faisant en sorte d’introduire des »compensations« éventuelle pour que le sort des individus restent »équitables« ).

      Mais il faut de vrais arguments pour justifier la conservation d’une discrimination basée sur le sexe. Pas juste un a priori, un »ça a toujours été comme ça« , ou un c’est »naturel" car si cela a toujours été comme cela ce n’est pas pour cela que ça ne doit pas changer, et parce que qui définit ce qui est naturel ou pas ? Pour moi tout ce qui existe est naturel.

      Donc vous l’aurez compris, je ne pense pas que faire une discrimination fille/garçon dans l’éducation soit nécessaire. Par contre proposer des choses différentes en fonction du caractère et du choix des enfants bien sûr.
      Si la majorité des filles préfèrent une activité et la majorité des garçon un autre, je suis bien sûr pour que chacun fasse l’activité qu’il préfère.
      Mais je ne pense pas qu’en permettant aux filles qui ont envie de jouer aux policiers et aux voleurs de le faire ou bien aux garçons de faire de la danse on va bouleverser la société.

      Si d’autres pensent autrement, très bien, qu’ils défendent leur vision du sujet.
      Mais qu’il ne le fasse pas en prettant aux autres des idées qu’ils n’ont pas, en inventant des faux débats pour se donner raison contre un avis que personne n’a.
      Personne ne veut rendre tout les enfants pareils.
      Personne ne cherche à les embrouiller pour qu’ils ne sachent pas ce qu’ils sont.


    • Baasiste 2 27 novembre 2014 22:24

      «  Reprenons les phrases « choque » de la vidéo :

      - 1ère séquence, « certains disent qu’une fille est fille parce qu’elle est obligé par la société à être une fille » => Non, « certains » disent juste que s’il y a très peu de filles ou de garçons dans certains métiers, c’est en partie à cause de leur nature innée mais également en partie à cause de la manière dont ils sont considérés et traiter par la société. »

      la société traite et considère à partir de la nature de chaque personne, désolé la société est une création en conformité avec la nature humaine.


      « - « Ils sont différents donc ils ne sont pas égaux » => Non, ils sont traités différemment dès la naissance en fonction de leur sexe donc ils ne sont pas égaux. »

      dans la logique du facho, on peux éduquer tous le monde(en supprimant l’éducation parentale) dans un centre unique nazi, comme ça uniformité de l’éducation pour tous le monde, on ne peux pas éduquer différemment les gens selon leur nature.


      « On offre rarement un pistolet à une fille juste parce que ce n’est pas un jouet de fille, pas parce que l’on sait que cette fille là n’aime pas les pistolets. On offre rarement une poupée à un garçon parce que ce n’est pas un jouet de garçon, et non pas parce que l’on sait que ce garçon la n’aime pas les poupées.
      Ce qui pose problème ce n’est pas que les garçons et les filles soient différents, c’est qu’on les traite différemment à cause de la conception que l’on a de ce qu’est un garçon ou une fille. »

      on les traite selon leur nature selon ce qu’ils sont c’est vraiment trop hard pour ta cervelle, bientôt tu obligeras les chiens à éduquer leurs petits comme des petits chats ?



      « Ces stéréotypes que l’on impose dès l’enfance on un impact sur le comportement et le développement de ces enfants. »

      stéréotype : reconnaître les différences et faire avec, donc ton éducation unisexe de merde à la flotte.


      « « L’école doit tout mélanger entre le masculin et le féminin » => L’école ne doit rien mélanger du tout. L’école doit apprendre des faites et permettre aux enfants de se développer selon leur propre nature »

      apprendre les faits « l’homme est identique à la femme, aucune différences » bref mélanger entre le masculin et le féminin.



      « « Comme ça c’est plus facile, si c’est mélanger, c’est tout pareil, donc c’est l’égalité » => Déjà si c’est tout mélanger, c’est pas tout pareil c’est juste homogène. Mais ce qu’il faut voir c’est que la société est toute mélanger. C’est pas parce que statistiquement et en moyenne le groupe fille à un caractère différent du groupe garçon qu’il y a une frontière entre les deux.
      Certaines filles peuvent aimer le pouvoir ou ne pas aimer les enfants, certains hommes peuvent aimer s’occuper d’enfants.
      C’est en prétendant le contraire que l’on mélange tout et que l’on ment aux enfants. »

      connais tu la NORME NATURELLE et BIOLOGIQUE pilier de l’humanité ? pk combats tu ça ? sinon mélanger oui ça rend tous uniforme, identité unisexe unique.


      « « Comment je saurais si je suis bien un garçon » => C’est très simple, on t’aura expliqué à l’école que tu as un zizi donc que tu es un garçon (d’une façon plus adapté probablement  ). »

      bref très bien être un homme avoir une bite, toute la théorie du genre nier les différences psychiques bio entre l’homme et la femme.


      « « Ba voilà, à force de tout mélanger, de faire comme si tout était pareil, un garçon ne sait plus s’il est vraiment un garçon, une fille ne sait plus si elle est une fille » =>
      Mais c’est juste l’inverse, au lieu de « faire comme si tout » les garçons « étaient pareils » et que toutes les filles étaient pareilles, on leur explique juste que oui il y a des différences entre les filles et les garçons, mais aussi des différences entre les filles entre elles et les garçons entre eux.

      C’est bien qu’on ment aux enfants puis qu’après il constate que ce qu’on leur a dit ne correspond pas à la réalité qu’on les embrouille.
      C’est pas quand on leur présente la réalité. »

      ce qui embrouille c’est que tu ne veux pas éduquer les enfants dans le sens de leur nature, dans le sens de ce qu’il sont, dans le bon sens naturel, bref en éduquant les filles comme des filles et les gars comme des gars. après ils sont frustrés, ils ne savent pas ce qu’ils sont.

      les différences entre les filles entre elles sont individuelles rien à voir avec l’identité sexuelle, tous n’est pas sexué dans le comportement.


      « « A t’on régler le problème de l’égalité » => pas entièrement mais on a quand même déjà fait un sacré pas en avant depuis le jour où l’on enseignait aux filles uniquement à être une bonne épouse. »

      l’égalité est totale, égalité des droits, mais maintenant c’est l’uniformité qui est visé, sinon apprendre au fille à) être une bon ne épouse c’est mieux que lui apprendre à être un pute divorçant 5 x en une vie et se faisant baiser à droite à gauche.



      « « Nous avons juste créer un autre problème, celui de l’identité » => au contraire, c’est aussi un des problème que l’on a règle en partie en permettant aux enfants qui voient bien qu’il ne corresponde pas au stéréotype de ce qu’est un garçon ou une fille de comprendre qu’ils ne sont pas des monstres anormaux, et de faire comprendre aussi à la majorité qu’ils n’ont pas à avoir peur ce cette minorité, puisque cela est naturel. »

      bref comme je viens de le dire au lieu de combattre les anomalies contre l’ordre naturelle, tu veux pas qu’on les éduque dans la normalité, ainsi tu veux multiplier les cas d’anormaux. tu sais on va pas changer l’éducation qui correspond à plus de 95 % des gens pour une petite minorité marginale et « malade ».



      « « Laissez les filles être des filles, laissez les garçons être des garçons » => Je vais me répéter, « laissez les enfants être ce qu’ils veulent sans les enfermer dans des cases.

      Quel est le vrai débat que la vidéo n’aborde même pas vraiment ?
      Pour moi, le débat porterait sur la problématique suivante : »

      je vais te dire : fous la paix aux parents et laisses les les éduquer selon ce qu’ils sont leurs gosses et n’essayes pas d’éduquer les gosses selon ton idéologie morbide par l’etat totalitaire. les parents éduquent les enfants pas selon une norme mais selon ce qui est bon pour eux et ce qu’ils sont, selon leur nature et identité. tu veux qu’on éduque des bébés d’ours pas comme des enfants de bébés d’ours bientôt ?


      « - On constate que la manière dont on éduque les enfants les formatent. Or dès la naissance on éduque les filles différemment des garçons.
      La société actuelle traite donc de manière inégale les filles et les garçons.
      Quand il y a inégalité, il est légitime de vouloir la supprimer. Personne ne comprendrait que l’on éduque de manière différente les enfants blonds et les enfants bruns. »

      écoutes tu ne sais pas facho ce qu’est l’égalité tu ne le sais pas tu défends une éducation pas égalitaire mais uniforme, tu veux éduquer tous le monde pareil à 100 % or facho je viens de le montrer les parents ne formatent pas les gosses, ils les élèvent selon ce qui leur correspond et ce qu’ils sont.



      « Et là se pose une question également légitime, on peut en effet se demander si cette discrimination est absolument nécessaire à la vie en société.
      Car si on ne peut vivre sans, il faut bien sur la conserver (tout en faisant en sorte d’introduire des »compensations« éventuelle pour que le sort des individus restent »équitables« ). »

      traitement différent=discrimination ok quel raccourci.



      « Mais il faut de vrais arguments pour justifier la conservation d’une discrimination basée sur le sexe. Pas juste un a priori, un »ça a toujours été comme ça« , ou un c’est »naturel » car si cela a toujours été comme cela ce n’est pas pour cela que ça ne doit pas changer, et parce que qui définit ce qui est naturel ou pas ? Pour moi tout ce qui existe est naturel.« 

      tu veux éduquer les gosses comme des louveteaus comme ça on les éduquera pas selon nos »aprioris« et »préjugés« de ce qu’est un humain. sinon tout est naturel : clonage, pollution, ogm, fécondation in virto ?


       »Donc vous l’aurez compris, je ne pense pas que faire une discrimination fille/garçon dans l’éducation soit nécessaire. Par contre proposer des choses différentes en fonction du caractère et du choix des enfants bien sûr. « 

      oui on va laisser le choix au gosse d’être comme un cochon d’inde et un humain comme on se l’imagine. tu comprends pas que l’éducation différencié est fait en fonction d la nature de chacun ?


       »Si la majorité des filles préfèrent une activité et la majorité des garçon un autre, je suis bien sûr pour que chacun fasse l’activité qu’il préfère."

      si un ton fils veut sortir tous les soirs en boite pour picoler et se droguer, faut le laisser faire il préfère ça.


    • Baasiste 2 27 novembre 2014 22:38

      « Cette vidéo est tellement caricaturale qu’elle en deviendrait comique si certains ne la prenaient pas au sérieux...

      La vidéo prétend quand même en gros que c’est anormal qu’une fille conduise un camion. »

      ah bon un homme en string et jupe se faisant enculer c’est la normalité ?



      « Ou plutôt qu’il faut cacher aux enfants qu’une fille peut conduire un camion parce que ça va les perturber...
      C’est un appel complet à l’intolérance, puisque la tolérance repose sur la compréhension de l’autre et la connaissance. »

      ais la tolérance de c’est qu’est une fille et un garçon et tu les éduqueras dans le respect de leur identité.


      « « Ba voilà, à force de tout mélanger, un garçon ne sait plus s’il est vraiment un garçon » => désolé, c’est tellement ridicule que ça me fait rire.
      Mais qui veut rendre les garçons et les filles totalement indifférent ? Vouloir qu’ils aient accès aux même droits et aux même possibilités d’éducation ça n’a juste rien avoir.
      Vouloir arrêter de décider pour eux ce qu’ils doivent être, les autoriser à être tous différents, ça n’a rien avoir avec les obliger à être identique. »

      autoriser à êtres tous différents=refuser d’éduquer une fille comme une fille, c-à-d l’éduquer contre son identité absolument et à tous prix, un irrespect total de la nature de la personne, de l’individu. bref faire les enfants selon son idéologie pas selon leur nature. vouloir supprimer l’éducation différencié c’est vouloir supprimé une éducation adapté à l’identité et nature du gosse, c’est imposer une éducation qui va contre lui. arrêter de décider pour eux c’est l’absence d’éducation, or l’enfant a besoin d’une éducation.


      « C’est complètement de la propagande genre « Le meilleure des mondes » cette vidéo. »

      le meilleur des mondes relis : société ultra-progressiste et moderniste.


      « On ne veut pas une école qui embrouille nos enfants, on veut une école qui ne leur impose de se conduire de telle ou telle manière.
      Ce n’est pas « laissez les filles être des filles » le message, c’est « refusons de laisser les enfants devenir ce qu’ils veulent, imposons leur nos stéréotypes pour qu’ils deviennent ce que l’on souhaite ». »

      attends clowny ton message c’est « refusons d’éduquer des poules comme des poules, refusons d’éduquer des pandas comme des pandas, refusons d’éduquer des garçons comme des garçons, supprimons leur éducation et laissons les se démerder sans aucune éducation et guide. » et aussi « faisons leur croire qu’il y a 0 identité masculine et féminine pour les pousser à al dépravation », « formatons les par l’etat fasciste ».


      « Faisons comme si une personne n’était définie que par son sexe, que son caractère et son futur métier devait être lié uniquement à celui là.
      Ignorons les différences des filles entre elles et des garçons entre eux. Faisons juste deux castes hermétiquement fermée. »

      les différences entre filles entre elles et entre garçons entre eux n’ont rien à voir avec le sexe, l’identité d’une personne n’est pas seulement sexuelle.

      on te demande juste de respecter l’identité sexuelle qui n’est certes pas la seule.


      « Ce qui est bien c’est qu’on pourrait faire la même vidéo avec pleins de sujets.
      Arrêtons d’expliquer aux enfants le principe de l’évolution, ça les embrouille. »

      la théorie de l’évolution est bidon et spencer, hitler, mussolini ainsi que staline ont dit que c’était une des bases ou même la base de leur idéologie.


       « Le récit de la genèse est beaucoup plus simple et facile à illustrer. »

      les neuneus lobotomisés par l’éducation du iv ème reich et tfmerde avalent la théorie de l’évolution bidon et plein d’erreurs qui est très simple et irrationnelle’« TOUT EST DU AU HASARD SIMPLE ET ILLOGIQUE ».


      « Arrêtons d’apprendre l’histoire ou la philosophie à nos enfants. Ils n’ont pas le temps pour ça, ce qui compte c’est qu’il sache bien écrire et compter pour leur futur métier. »

      il faut apprendre l’histoire et la philo ça irait contre le NOM et son idéologie. de plus des faits historiques n’ont rien à voir avec ta propagande pro-gender que tu fais passer pour la vérité et réalité.


      « Arrêtons de faire croire aux enfants que les choses ne sont pas binaires, ça pourrait les amener à se remettre en question voir à remettre en question la société. »

      pour toi c’est pire que binaire, UNE seule identité : individu ultra-consommateur.


    • Julien30 Julien30 28 novembre 2014 06:55

      « Vous ne vous rendez même pas compte que vous vous ridiculisez à chaque fois que vous parlez de « théorie » à propos des études sur le genre.
      Mais c’est un cas d’école : comment s’inventer des peurs afin de passer pour une victime. »


      Il faut dire qu’en terme de ridicule vous êtes un expert Vidal, vous qui écriviez il y a quelques jours la déjà culte ; « je ne crois qu’il y ait de haine à gauche ». Par ailleurs si c’est votre seul argument face aux propos de l’auteur ça fait un peu (très) léger, mais vous avez l’air content de vous, c’est le plus important.

    • jeanVidales jeanVidales 28 novembre 2014 17:46

      Content non, affligé plutôt.
      J’ai déjà expliqué pourquoi ça n’a pas de sens « théorie du genre » en Français. Mais comme vous (pas Julien30 personnellement mais l’extrême droite en générale) êtes convaincu que la « théorie du genre » est un complot gauchiste ayant pour but de transformer nos enfants en homosexuel, je ne crois pas pouvoir vous faire entendre raison. Vous êtes dans l’émotion exclusivement et aucun argument ne changera ça. Plus on vous dira que la « théorie du genre » n’existe pas, plus vous penserez qu’il s’agit d’un complot.

      Macaque répond très bien à l’article, mais enfermé dans vos certitudes, vous ne lirez même pas ses réponses. Sauf Baasiste2 qui vient nous expliquer qu’il y a des gens normaux et des gens anormaux ... si c’est pas raciste ou sexiste ça.


    • Julien30 Julien30 28 novembre 2014 19:54

      « Vous êtes dans l’émotion exclusivement et aucun argument ne changera ça. »

      « Macaque répond très bien à l’article, mais enfermé dans vos certitudes, vous ne lirez même pas ses réponses.  »


      Il me semble que c’est vous pour le coup qui vous enfermez dans des certitudes suspectes, qu’est-ce qui vous permet d’arriver à ces affirmations ?


    • Baasiste 2 29 novembre 2014 15:44

      Quand à l’Eglise catholique, Pie VI a été fait prisonnier par la rép bourgeoise libérale fr, comme Pie VII par l"empire libéral-bourgeois de Napoléon. Pie VI a critiqué sévèrement la rév bourgeoise fr ainsi que les droits de l’homme et le libéralisme : http://lepeupledelapaix.forumactif.com/t3406-pie-vi-pape-dans-la-tourmente-revolutionnaire-de-1789


      le pape pie ix a condamné dans ses encycliques (en particulier dans le syllabus) le libéralisme ainsi que toute révolution libérale-bourgeoise contre les pouvoirs féodaux.

      léon xiii décrétera la doctrine sociale de l’Eglise, la seule fois où l’Eglise catho combattue par la bourgeoisie dés 1789 partout en Europe, a soutenu des régimes capitalistes, c’était contre l’ogre soviétique stalinien qui imposait l’athéisme, ensuite depuis 1962 il y a eu le concile vatican ii libéral et hérétique, depuis ce sont que des pseudo-papes hérétiques.

      lien montrant un peu le conflit entre libéralisme/capitalisme et catholicisme : http://www.wikiberal.org/wiki/Lib%C3%A9ralisme_et_catholicisme



    • Baasiste 2 29 novembre 2014 15:46

      désolé les deux derniers messages devaient aller dans un autre article, je m’emmêle avec tous ces onglets ouverts.


  • yvesduc 27 novembre 2014 20:44
    Voir l’article révolutionnaire Simon Baron-Cohen : « L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ? », où est illustré le rôle des hormones dans la formation du cerveau durant la grossesse.

  • Le chien qui danse 28 novembre 2014 12:32

    Merci à Macaque et aussi Piera de remettre un peu de « bon sens » dans ce fatras de commentaires monopolisés par un psycho rigide qui se reconnaîtra.


  • confiture 28 novembre 2014 19:00

    faire un nartik sur une théorie qui n’existe pas c’est du pur shadoko camarade abgeshiedenheit non ?


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