mercredi 14 février 2007 - par Nicolas Cadène

Sondages présidentiels : au service de l’UMP ?

La campagne présidentielle 2007 est l’occasion de multiples sondages qui semblent peu crédibles et parfois manipulés.


C’est étrange mais plus les instituts de sondages se trompent et plus les Français sont sondés. Faut-il rappeler les échecs passés lors d’élections françaises ? Trois mois avant le scrutin de 2002, les candidats Jacques Chirac et Lionel Jospin arrivaient en tête avec 23 % des intentions de vote, loin devant M. Jean-Pierre Chevènement, qui en obtenait 12 %, et M. Jean-Marie Le Pen, qui était gratifié de 8 % (Sofres, 4 février 2002)[1] ?

Faut-il rappeler les échecs plus récents qui sont intervenus en octobre dernier en Belgique (il avait été pronostiqué une nouvelle poussée de l’extrême droite flamande, en particulier à Anvers), au Brésil le même mois (nombreux voyaient le président Lula Ignacio da Silva l’emportait au premier tour), ou en Autriche (les sociaux-démocrates ont mieux maintenu leur position que la droite : les sondages pronostiquaient l’inverse) ?

La campagne de l’élection présidentielle 2007 connaît ainsi une multitude de sondages (portant même sur le second tour, ce qui n’a guère de sens), chaque semaine, alors même que tous donnent les mêmes tendances du moment. Comme ils sont publiés les uns après les autres, nous connaissons une répétition d’une seule et même information. Cela a d’ailleurs déjà été dit sur AgoraVox par Yann Riché[2].

Une seule et même information répétée et relayée par l’ensemble des médias alors même qu’elle peut s’avérer totalement erronée, tant les enquêtes peuvent être menées de façon artificielle ou sur un échantillon trop contestable.

Au-delà, comment accorder une crédibilité sans nuance à certains sondages comme ceux de l’Ifop dont la présidente n’est autre que Laurence Parisot, également présidente du Medef et proche du candidat UMP Nicolas Sarkozy ?

En réalité, les sondages parasitent le terrain et dans la plupart des cas ne retranscrivent pas la réalité. Le Monde diplomatique[3] relève un exemple probant : « Quand M. Nicolas Sarkozy ou son conseiller politique M. François Fillon ont pris des positions démagogiques en matière de répression des jeunes délinquants ou de remise en cause des « régimes spéciaux », un sondage a aussitôt été diligenté. Le 15 septembre dernier, par exemple, Aujourd’hui en France titra en Une : « Retraite, la fin des privilèges, les Français sont pour ». Et, en matière de sécurité, c’est au moment précis où un policier brutalisé témoignait des violences qu’il venait de subir que l’« enquête » intervint. »

L’ancien président de la Sofres, Pierre Weill fut « stupéfait » devant un enquête si biaisée : « On est stupéfait à la lecture des deux enquêtes, de voir à quel point les réponses sont dans les questions : au point qu’il est légitime de se demander si les résultats reflètent l’avis des sondés ou le pressentiment des sondeurs ! L’Ifop, par exemple, introduit ainsi le questionnaire de l’étude qu’il a réalisée pour le Figaro et LCI : « A propos de la récente agression de deux CRS à Corbeil-Essonnes et plus généralement au sujet de la délinquance, êtes-vous tout à fait d’accord, plutôt d’accord, plutôt pas d’accord ou pas d’accord du tout avec les affirmations suivantes ? » Difficile, lorsqu’on vous apostrophe ainsi, de ne pas donner dans la surenchère répressive, sauf à se sentir d’une lâcheté coupable envers les deux CRS victimes d’agresseurs ignobles »[4].

En comparaison, ce qui est tout à fait étonnant, c’est l’absence de sondages après la rencontre de M. Sarkozy avec le président des Etats-Unis Georges W. Bush, après ses déclarations condamnant en territoire étranger la politique étrangère du gouvernement auquel il appartient, ou après son déplacement raté en Corse : aucune enquête d’opinion ne nous a instruits de ce que les Français en pensaient dans un pays qui produit pourtant deux sondages par jour en moyenne.

Alors les sondages sont-ils un outil pour servir certains candidats ? Et en particulier (uniquement ?), celui de l’UMP ?

On peut légitimement se poser la question. En ce sens, soulignons l’étrange manœuvre ayant eu lieu autour du discours de Mme Royal, le dimanche 11 février 2007 à Villepinte :

- Tout d’abord, l’ensemble des médias a focalisé la population sur cette intervention en affirmant qu’il s’agissait d’une étape essentielle voire « vitale » pour la campagne de la candidate socialiste.

- Le discours ayant été particulièrement bien reçu par l’ensemble des présents et des commentateurs, on a assisté à un réajustement du positionnement des médias qui se sont montrés plus impartiaux pour nombre d’entre eux.

- Pour autant, très vite, alors que l’ensemble des médias appelait à plus de propositions la veille du discours, ce contenu a été tout simplement ignoré, bien que très abondamment traité par la candidate pendant près de deux heures.

- Dès le lendemain, été rendu public et relayé un sondage donnant une nouvelle fois Ségolène Royal perdante, alors même qu’il était tout à fait obsolète et ne prenait pas en compte la prestation de cette dernière.

- Le même jour et comme chacun s’en doutait, nous avons assisté à une médiatisation abusive sur le financement des mesures, alors même que cela n’avait jamais été demandé à Nicolas Sarkozy, sous-entendant, -ce qui a bien entendu été infirmé depuis, mais trop tard- que le programme de Mme Royal était un « gouffre financier irresponsable ».

- Etrangement, le mardi 13 février, la population prend connaissance d’un sondage réalisé par l’Ifop, dont la présidente Laurence Parisot est proche du candidat UMP.

- Précisément, ce sondage donne une avance encore plus large de M. Sarkozy sur Mme Royal que précédemment au discours de cette dernière. Le rapport est alors de 54 % contre 46 % au second tour.

On saisit alors aisément la volonté de « casser » la dynamique de Ségolène Royal suite à son discours reconnu comme de très haute tenue. Volonté de l’UMP relayée par un institut de sondage « ami ».

Il faut préciser que ce sondage a été commandé par Paris Match, propriété d’Arnaud Lagardère, ami intime du président de l’UMP.

Il a été effectué le lundi 12 février 2007 auprès de seulement 879 personnes et alors que la population n’avait pas eu le temps de prendre en compte le discours prononcé la veille par Mme Royal. Mais aucune nuance n’est apportée au sondage de l’Ifop et il est bien précisé : « sondage réalisé après le discours de Ségolène Royal ».

Mais sur ce point, Jean-Christophe Cambadélis a justement réagit. Il s’est ainsi plaint d’une enquête « sauvage car trop rapide ». « Combien de Français ont vu le discours (à la télévision)  ? Combien ont eu le programme entre les mains ? », s’est-il demandé. « En moins de 24 heures, vous voudriez que l’ensemble de la France soit au courant des propositions  ! ». « Laissez infuser le discours de Ségolène Royal, et laissez-nous (le) diffuser », a-t-il lancé. « Quand les Français verront réellement les propositions et feront la comparaison avec le programme de Nicolas Sarkozy, je n’ai aucune crainte ». Enfin, il a estimé qu’ « Il y [avait] un vrai souci : la rapidité de l’espace médiatique qui ne correspond pas à la manière dont nos concitoyens abordent le débat politique ».

Comment les médias peuvent citer en boucle des sondages donnant un rapport de 51 % à 49 % ou de 52 % à 48 % alors même qu’un résultat aussi serré n’a aucune valeur statistique du fait de la marge d’erreur (plus ou moins 3 %).

Cela explique peut-être le fait que depuis peu, certains sondages sont ainsi un peu plus large avec un rapport de 53 % à 47 % ou 54 % à 46 % (celui de l’Ifop) : pour se rendre plus crédibles ?

Notons aussi le rappel important fait le 6 février dernier par la Commission des Sondages mais relayé par aucun média :

« Ayant constaté une certaine tendance des commentateurs des sondages portant sur la prochaine élection présidentielle à présenter les pourcentages d’intentions de vote comme permettant un classement des candidats selon la préférence des électeurs, la Commission croit utile de rappeler que l’interprétation de tels sondages doit se faire compte tenu de la marge d’incertitude qui les affecte.

La taille et les modalités de constitution des échantillons ont notamment pour effet que les résultats obtenus par les candidats réalisant, dans les intentions de vote, un score qui n’excède pas, après redressement, un pourcentage de quelques points ainsi que les écarts de cet ordre qui séparent deux candidats ne sont pas véritablement significatifs. La Commission demande donc aux instituts ainsi qu’aux organes de presse qui assurent la publication ou la diffusion des sondages d’alerter l’opinion publique sur la prudence avec laquelle ces résultats doivent être interprétés. »

Il n’y a en fait que peu d’ « alertes » sur la faible crédibilité des sondages, et ces derniers continuent d’affluer.

Pourtant, il ne s’agit pas de satisfaire une quelconque ferveur des Français pour les sondages : ces derniers sont assez impopulaires.

A l’inverse des sondeurs français, ceux américains l’admettent clairement : « Nous, les sondeurs, aimerions penser que le public nous aime. Mais, au mieux, le public tolère les sondeurs. Au pis, il pense que nous sommes à vendre au plus offrant »[5].

Qui dit hostilité, dit refus de répondre : c’est pourquoi une dizaine d’appels téléphoniques est désormais nécessaire avant d’enregistrer un questionnaire, et le taux de réponse diminue depuis plus de vingt ans : « Pour une profession complètement dépendante de la gentillesse d’étrangers, précise M. Witt, c’est, en effet, une mauvaise nouvelle. »

Comme l’a aussi révélé Le Canard Enchaîné[6] dès 2002, en 1998, des chercheurs de Sciences-Po ont décortiqué les réponses utilisées par la Sofres pour un sondage. Ils y ont découvert que les diplômés du supérieur apparaissaient en surnombre dans l’échantillon utilisé (18 % des sondés contre 8 % dans la réalité), tandis que les « non-diplômés » se trouvaient sous-représentés (7,8 % contre 20 %).

Or les électeurs du Front national sont nombreux dans cette catégorie modeste. D’autres catégories - habitants des quartiers difficiles, ouvriers, chômeurs - sont pareillement négligées. Interviewé par « Envoyé spécial » le 29 mars 2002 sur France 2, un enquêteur de terrain confessait que les bidonnages étaient courants sur ces « éléments de quotas » manquants.

Pourquoi connaissons-nous de telles dérives dans le choix des échantillons qui servent de base aux enquêtes ? Parce que comme on l’a vu plus haut, de plus en plus de personnes refusent de répondre aux « météorologues de l’opinion ». Soumis aux mêmes impératifs de temps qu’auparavant, les instituts livrent des travaux effectués à partir d’échantillons de plus en plus maigres. Ainsi, on ne peut porter de véritable crédibilité aux sondages. Finalement, le sondage est au mieux une indication sur une tendance ... au mieux.

Alors, il y a peut-être un premier intérêt à la prolifération des sondages. C’est, pour les médias, celui de surestimer ou de sous-estimer un ou une candidat(e) et de procéder à un classement (comme le confirme le rappel de la Commission des Sondages, cité plus haut) : nous avons ainsi l’organisation d’un suspense qui ne peut que rendre les débats plus animés et les médias plus sollicités, plus écoutés, plus lus, plus regardés.

Actuellement, on peut penser que c’est le cas pour François Bayrou et Jean-Marie Le Pen. En effet, François Bayrou qui est crédité autour de 14 % des voix et de plus en plus classé comme étant « le troisième homme », connaît également le taux de personnes incertaines de leur choix le plus fort.

Un second intérêt peut être de « disqualifier » certains candidats à la présidentielle. Certains se voyant trop bas auront tendance à se retirer, de peur de ne pas parvenir au 5 % permettant le remboursement des frais de campagne. En 2002, le candidat écologiste investi, M. Alain Lipietz, avait dû laisser la place car maltraité dans les journaux et ne décollant pas dans les sondages.

Pour Alain Garrigou[7], professeur de science politique à l’université Paris-X-Nanterre, les raisons de la prolifération d’« enquêtes électorales » sont finalement très élémentaires : « Leur publication est stimulée par les mécanismes de fixation des tarifs publicitaires de la presse, établis à partir des tirages et des citations des « supports ». Quand un périodique commande un sondage et qu’il est cité dans d’autres journaux ou revues de presse, ce périodique se fait de la publicité. Cité lui aussi, l’institut ayant réalisé l’étude s’en fait tout autant. Or la notoriété est vitale pour des organismes qui réalisent l’essentiel de leur chiffre d’affaires avec le marketing commercial, mais dont les sondages politiques, ne représentant que 5 % à 10 % du chiffre d’affaires, sont les vitrines. En somme, grâce à la notoriété accumulée en politique, les sondeurs peuvent plus facilement obtenir des contrats pour interroger sur la consommation, les désirs et les marques de cosmétiques, par exemple. Ils ont en outre acquis un statut quasi officiel en se substituant au ministère de l’intérieur depuis qu’ils assurent la logistique des médias audiovisuels lors des soirées électorales[8]. Les sondés potentiels se laisseront plus aisément convaincre, et les commanditaires apprécient la célébrité de prestataires qui « passent à la télé ». »

Le Canard Enchaîné avait également révélé cette recette simple au coût modique : Pour un prix avoisinant les 5000 euros, « on espère donner un coup de fouet aux ventes grâce aux multiples citations dans la presse que favorisent ces scrutins en miniature. Et l’on remplit à peu de frais des pages de chiffres et d’éditos savants. L’opération, d’une efficacité désarmante, se déroule en trois temps : dépêche de l’AFP la veille, parution de l’enquête, reprises par les confrères écrits et audiovisuels le jour même, nouvelles exégèses et digressions le lendemain. Le bénéfice est double, car les régies publicitaires de ces journaux ont l’œil fixé sur le nombre de ces reprises et en tiennent compte pour augmenter leurs tarifs de réclame. Par ailleurs, certains de ces mêmes sondeurs mesurent l’audience et la diffusion de ces médias ainsi que leur « taux de pénétration » dans les différentes catégories de public. Et ils en tirent des indications précieuses pour les annonceurs (publicitaires). Le mélange des genres règne donc gaiement. Pas question, pour les journalistes, de trop insister sur les bavures passées des sondeurs, sur leurs contradictions hebdomadaires, sur l’importance de leurs marges d’erreur ou sur l’insuffisance de leurs échantillons. »[9]

Le vrai problème est que cette relation d’intérêt ne fonctionnerait pas avec autant de fluidité si les sondeurs et les responsables médiatiques ne s’entendaient aussi bien. Les directeurs des « instituts » de sondages et les patrons des canaux de diffusion de l’information ont en effet la même façon de percevoir le monde et la politique. Et ces derniers, on le sait, sont tous des proches de Nicolas Sarkozy (voir mon article précédent[10]).

D’ailleurs, notons que ce sont les propres sondeurs qui commentent abondamment les sondages dans les médias, ce qui ne permet aucunement de relativiser des résultats.

On le comprend donc aisément, les sondages des grands instituts constituent aujourd’hui un outil au service du candidat et président de l’UMP, Nicolas Sarkozy. Paranoïa ?

Les sondages peuvent agir sur la réalité. Ce ne sont pas les sondés mais les sondeurs et les décideurs médiatiques qui influencent sur la sélection des candidats.

C’est la participation des sondages dans la sélection des candidats et dans leur médiatisation, la collusion des intérêts avec les médias, qui entraînent le fait que les candidats consacrent l’essentiel de leur temps à promouvoir leur image plutôt que des idées. En l’espèce, la palme revient à Nicolas Sarkozy.

Pour conclure, un exemple concret : le 8 juin 2006, un sondage BVA-Le Figaro-LCI donnait ce titre du quotidien : « Pour 56 % des Français, Sarkozy fait les bons choix ». L’article n’évoquait pas d’autres résultats bien moins conformes à ce satisfecit, comme par exemple le fait que 81 % des sondés attribuaient l’insécurité à la dégradation des conditions de vie et à la pauvreté, que les médias créaient le sentiment d’insécurité pour 73 %, etc.

Résumons : celui qui commande, celui qui paye et qui fait publier peut faire dire ce qu’il veut aux sondages. Ceux qui commandent, qui payent, qui publient sont tous ou presque des proches du candidat UMP ...

Nous ne savons pas ce qui va se passer dans les prochaines semaines mais espérons que nous nous souviendrons une bonne foi pour toutes que les sondages se trompent toujours et que parfois, comme nous l’avons vécu en 2002, ce qui sort des urnes est l’expression malade d’une manipulation médiatique qui dégénère.



[1] Les résultats : M. Chirac : 19,88 % ; M. Le Pen : 16,86 % ; M. Jospin : 16,18 % ; M. Chevènement arrivait en sixième position avec 5,33 %.

[2] « L’écho des sondages résonne dans les médias », Yann Riché, AgoraVox, 7 février 2007.

[3] « Sondages : de qui se moque-t-on ? », Le Monde diplomatique, 11 octobre 2006.

[4] Propos repris dans le même article.

[5] Evans Witt, Public Perspective, université du Connecticut, juillet-août 2001, repris dans Le Monde diplomatique, juin 2006.

[6] Le Canard Enchaîné, 3 avril 2002.

[7] « Infernal manège des sondages », Le Monde diplomatique, Alain Garrigou, juin 2006.

[8] Jusqu’aux années 1970, les soirées électorales de la télévision et de la radio étaient organisées en direct avec le ministère de l’intérieur (qui centralisait les résultats officiels).

[9] Le Canard Enchaîné, 3 avril 2002.

[10] « Une campagne médiatique aux ordres de Nicolas Sarkozy  », Nicolas Cadène, AgoraVox, 7 février 2007.



146 réactions


  • Eric-nicolier Eric-nicolier 14 février 2007 12:59

    A quand votre prochain article, « mon chat au ordres de l’UMP ? » ou « Les épiciers sont-ils tous adhérents de l’UMP ? »

    Les résultats des sondages ne sont jamais acceptés lorsqu’ils ne sont pas favorables à un parti politique.

    Ce n’est peut être pas une raison, après avoir tenté de convaincre que les médias étaient aux ordres de Sarkozy, d’engager une nouvelle charge, cette fois contre les instituts de sondage.

    Ils ne me semblent aujourd’hui ni plus ni moins crédibles que lorsqu’ils plaçaient Mme Royal au pinacle cet automne. Sauf qu’à cette époque vous ne vous êtes pas fendu d’un article qui aurait pu s’intituler « Sondages présidentiels : au service du PS ? »


    • machinchose (---.---.168.64) 14 février 2007 13:40

      En l’espèce je pense que les sondages favorisaient volontairement Royal pour en faire la candidate contre Sarkozy. De nombreux militants socialistes ont du voté pour elle bien que fabiusien ou strausskahnien parce qu’elle était la seule « à pouvoir battre sarkozy »... Il a été souvent envisager ce genre de manipulation sarkozyste de la pré-campagne ps.

      C’est vrai que ça manque un peu à l’article. D’ailleurs le titre de l’article pèche encore. Parce qu’il vous permet de ne pas (comme d’habitude) vous confronter concrétement à ce qu’il dit sur le fond.


    • Eric-nicolier Eric-nicolier 14 février 2007 13:52

      Arrêtez donc un peu avec cette argument que vous rabachez que l’on ne discute pas au fond.

      j’ai fait l’expérience dans le dernier article de Nicolas d’être assez long pour lui démontrer qu’il se trompait en comparant le watergate à l’affaire Rebelle, il n’a jamais répondu !

      Justement sur le fond, j’espère que c’est du second degré lorsque vous dîtes que les sondages pro-Ségo avaient pour but de la favoriser comme candidate face à Sarko ?


    • machinchose (---.---.168.64) 14 février 2007 13:55

      pas nécessairement. Je pense qu’ils étaient pas faux. Dans le sens où les gens appreciaient réellement la nouveauté, tout ça... Mais je pense aussi (et je l’ai analysé à l’époque personnelleemnt puisque j’aurais préféré DSK) qu’ils ont été instrumentalisés. Je me suis même « battu » contre une amie militante du pas, pro dsk aussi qui m’a dit avoir voté pour elle parce qu’ « elle seule peut battre sarko »...


    • LE CHAT LE CHAT 14 février 2007 14:00

      @ERIC NICHOLIER

      LE CHAT sera jamais au service du nabot talonné , moi je suis déjà botté , sans déconner !


    • Eric-nicolier Eric-nicolier 14 février 2007 14:05

      J’ai des amis au parti socialiste qui m’expliquaient que cet automne un certain Gérard le Gall (Monsieur sondage au PS) faisait la tournée des fédérations pour expliquer aux militants que seule Ségolène était en mesure de l’emporter contre Sarkozy ! Sur quoi s’appuyait-il à l’époque ? Sur les sondages !

      Instituts de sondage aux ordres de quiconque ? Evidemment non. Les instituts, par seul intérêt financier, ne se permettraient jamais de favoriser tel ou tel camp. Pensez-vous qu’Ipsos et consorts pourraient prendre le risque demain, si Ségolène Royal est élue, de se mettre à dos le pouvoir politique qui une fois au gouvernement serait l’un de leurs principaux clients ?

      De plus les instituts de sondage s’amusent d’autant moins à manipuler les sondages que :

      a) ils sont pour eux une vitrine de leur crédibilité à prévoir un résultat électoral (souvent mise en mal je suis bien d’accord !)

      b) ces sonsages électoraux représentent une part dérisoire de leur chiffre d’affaire ;

      Après que les sondages soient instrumentalisés est un autre problème. Bien sûr qu’ils le sont ! Mais pas par un camp au détriment de l’autre ! Soyons sérieux !

      Ils le sont par tout le monde, sans exception.


    • Eric-nicolier Eric-nicolier 14 février 2007 14:12

      Nicolas, pour vous paraphraser : « Au-delà, comment accorder une crédibilité sans nuance à certains sondages comme ceux de l’Ifop dont la présidente n’est autre que Laurence Parisot, également présidente du Medef et proche du candidat UMP Nicolas Sarkozy ? »

      =============>

      Comment accorder une crédibilité sans nuance à certains articles publiés sur Agororavox qui veulent systématiquement nous démontrer que l’UMP contrôle tout dans ce pays, lorsque leur auteur est militant socialiste et travaille auprès d’un Sénateur socialiste ?

      Je veux juste mettre le doigt sur les limites de votre exercice !

      Soit vous parvenez à vous abstraire de votre engagement militant et à écrire un article objectif et raisonné. Mais alors dans ces conditions, pourquoi Laurence Parizot ne serait-elle pas capable de la même capacité ?

      Soit vous vous rendez compte en prenant exemple sur votre propre attitude qu’il est impossible de s’abstraire de ses convictions politiques et alors vous pensez que tout le monde fait comme vous ?


    • machinchose (---.---.168.64) 14 février 2007 14:13

      Je ne suis pas très convaincu. Les sondages n’ont pas à être bien avec qui que ce soit ils servent. Comme une drogue. Mais Laurence Parisot n’est pas exactement une gauchiste et l’ipsos n’a pas souvent donné royal gagnante.. Ensuite les sondages sont fait pour des publications qui ont aussi des interets et des envies et qu’il faut satisfaire.

      Je ne suis pas en désaccord avec vous mais je trouve l’analyse de l’article plutôt pertinente. En fait c’est décidemment le titre qui pose problème en ce qu’il en réduit totalement la porté et en biaise la lecture.

      L’experience dont vous parlez confirme finalement ce que je disais. Même si c’est de l’interieur du ps. Le but et la manière sont les même.

      En tout cas il apparait que nous sommes tous d’accord pour dire qu’un sondage est surtout une bétise et pourtant ils continuent à faire l’ouverture des journaux.


    • Nicolas Cadène Nicolas Cadène 14 février 2007 15:36

      A Eric-Nicolier :

      Je pense en effet pouvoir écrire un article en tant que personne, que citoyen et non en tant que « collaborateur parlementaire » forcément « partial » et « acheté ».

      Mon premier article sur Agoravox date du 16 janvier 2006 et à cette époque, je n’étais pas assistant parlementaire et ne travaillait pas avec des élus socialistes, ni même avec des sympathisants à gauche. Vous remarquerez pourtant que mes premiers articles pouvaient paraître tout autant polémiques.

      Que mes articles soient orientés à gauche, sans doute, on en a déjà parlé et je l’assume. Je ne vois pas là sujet à polémique, surtout que dès qu’ils traitent de sujets politiques, je les classe en « Tribune libre ».

      En revanche, je ne vois pas pourquoi cela « balayerait » immédiatement ma crédibilité et ma connaissance de certains sujets.

      Je n’ais pas écris que des articles « anti-UMP » comme vous le supposez, je vous renvoie à ceux-là : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=7324, http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=7040, http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=7071,

      Bien sûr, dernièrement, mes articles traitent clairement de la gauche, du centre-droit, de la droite, mais cela est assez logique puisque nous sommes en pleine campagne et que, à titre personnel et en tant que citoyen, j’ai beaucoup à dire sur la (mauvaise) gestion des affaires de l’Etat par la majorité actuelle.

      « Les résultats des sondages ne sont jamais acceptés lorsqu’ils ne sont pas favorables à un parti politique. » dites-vous. A vrai dire, pour ma part, je n’ai jamais porté trop d’attention aux sondages, même lorsqu’ils sont favorables ! Je serais même pour une limitation sérieuse de ces sondages et les interdire avant les élections avec un délai supérieur au « un jour » actuel.

      « Ils ne me semblent aujourd’hui ni plus ni moins crédibles que lorsqu’ils plaçaient Mme Royal au pinacle cet automne. » dites-vous encore. Figurez-vous que je n’ai jamais dis qu’ils étaient crédibles à ce moment-là et déjà, je « militais » contre les sondages.

      Ensuite, jamais le PS n’a utilisé les sondages comme le fait l’UMP, et à vrai dire, le fait que vous avanciez « Le Gall » ne me convaint guère...

      Cependant, si certains croyaient en effet que « comme les sondages le disaient, alors ségolène devait être investie pour gagner », c’est vrai mais c’est malheureux ! On pouvait aussi la choisir car on considérait que c’était la meilleure, point.

      Et, pour ma part, mon jugement ne se faisait sûrement pas par rapport aux sondages ! Je considérais DSK comme étant quelqu’un de remarquable pour son bilan probant, sa compétence, sa technicité ; et Ségolène Royal comme impressionnante pour sa capacité de rassemblement, de dialogue notamment avec les classes les plus populaires et le renouveau qu’elle inspire sincérement.

      Puis vous dites : "De plus les instituts de sondage s’amusent d’autant moins à manipuler les sondages que : a) ils sont pour eux une vitrine de leur crédibilité à prévoir un résultat électoral"... ça ne prouve rien, puisque, justement, on le sait, les sondages se sont plantés à de très nombreuses reprises et sont pourtant toujours très demandés !

      Et vous dites : « b) ces sonsages électoraux représentent une part dérisoire de leur chiffre d’affaire ; » ... Relisez mon article, j’en parle ! Et c’est en tout cas une publicité gratuite pour eux.

      Enfin me sortir que Mme Parisot peut être crédible parce que moi-même militant me dis crédible est un peu fort... Le sondage réalisé par l’« institut » de Mme Parisot se dit crédible, sauf qu’il a été réalisé sur un échantillon contestable, petit, le lendemain matin du discours de Mme Royal. Donc les gens n’étaient pas encore bien au courant du contenu de ce discours, or le sondage a été présenté comme le prenant en compte ! Il est difficile de prouver une quelconque crédibilité ! Le fait que Mme Parisot soit proche de M. Sarkozy au niveau des idées ne fait que rajouter des doutes sérieux !

      Or de mon côté, j’essaye de me baser sur des faits avérés. Mais cela n’empêche pas d’en débattre. C’est alors un débat sur le fond, et ça change tout. (d’ailleurs, pour l’affaire des RG, je ne suis pas tout àfait d’accord avec vous, même s’il est évident que ce n’est pas l’exacte reproduction de l’affaire du watergate, et on pourrait en effet en débattre, mais ce n’est pas le sujet de cet article)

      Voilà, merci.


    • Lavande & Coquelicots Pierce 14 février 2007 17:15

      « On saisit alors aisément la volonté de « casser » la dynamique de Ségolène Royal suite à son discours reconnu comme de très haute tenue. »

      C’est quand même invraisemblable d’entendre des choses pareilles : ce n’est pas parce que Ségolène Royal a été très médiocre pendant des mois, que sa prestation très moyenne de dimanche dernier doit être perçue comme « de très haute volée » !

      A l’Assemblée nationale, je vous signale qu’on entend des députés socialistes dire en privé que la campagne est « pliée » et que jamais Royal ne pourra redresser la barre qu’elle n’a jamais réussi à saisir.

      Le SEUL moment un peu « fort » du discours de Royal a été le pseudo moment d’émotion totalement surjoué que les médias ont tous relayé en coeur, et qui n’était par ailleurs en rien représentatif. On a vu les images de Hollande quasi endormi, de DSK qui faisait la gueule, et de Fabius qui se levait de mauvaise grace et qu’Aubry saisissait par le poignet pour lui faire lever les mains !

      Quant à Royal, elle a une fois encore tout misé sur son tailleur, et je vous passerais les détails des conseils de look donnés par des représentantes d’un grand magazine féminin. A votre avis, pourquoi Ségolène a-t-elle laissé déboutonné le bouton du haut ?... Paris est une toute petite ville, tout se sait très vite, et Royal persiste à jouer à l’icône d’une génération, alors que c’est déjà ce qui l’a plombée.

      Vos propos militants entravent complètement votre analyse politique.


    • Eric-nicolier Eric-nicolier 14 février 2007 17:40

      Merci de votre réponse Nicolas, mais vous basez souvent votre argumentation sur les affinités avérées ou pas de tel ou tel avec N. Sarkozy.

      D’où ma question, à laquelle vous n’avez pas répondu.

      Vous même vous vous trouvez très crédible pour tenir un discours indépendant de votre engagement politique, en dissociant cet engagement partisan de votre ananlyse. Admettons, je ne le conteste pas !

      Mais pourquoi alors Mme Parizot ne pourrait t-elle pas à la tête de son entreprise faire de même ?

      C’est cela que j’ai quand même beaucoup de mal à comprendre chez vous.

      Vous demandez parfois aux commentateurs de vos articles d’argumenter au fond, mais franchement l’argument suivant est léger :

      - Mme Parizot est de droite et proche de N.Sarkozy ;

      - Mme Parizot dirige une entreprise qui réalise des sondages

      - Un des sondages réalisé par cette entreprise est défavorable à S. Royal

      Conclusion : les sondages présidentiels sont au service de l’UMP

      Très entre nous j’ai du mal avec ce raisonnement.

      Je précise que je ne voterai pas Sarkozy ni au premier ni au second tour, je me sens donc très libre sur ce plan.

      En observateur passionné de la politique je crois simplement que si les sondages sont mauvais pour S.Royal c’est en raison de son début de campagne très en dessous des attentes. Ce n’est sans doute pas irrémédiable mais c’est diablement mal parti.

      Et cela je crois que les instituts de sondages n’y sont pour rien !


    • Nicolas Cadène Nicolas Cadène 14 février 2007 18:00

      Là, honnêtement, je ne vous comprends pas M. Eric Nicolier.

      Il me semble que je vous ai justement répondu sur ce point. Peut-être que je n’étais pas assez clair.

      Je me répète donc, mais avec plus de détails :

      Me dire que Mme Parisot peut être crédible parce que moi-même militant me dis crédible ne tient pas pour l’argumentation de cet article.

      Le sondage réalisé par l’« institut » de Mme Parisot se dit crédible, certes, sauf qu’il a été réalisé sur un échantillon contestable et très mince, le lendemain matin du discours de Mme Royal.

      Donc les gens n’étaient pas encore bien au courant du contenu de ce discours, or le sondage a été présenté comme le prenant en compte !

      Il ne s’agit là aucunement de l’amitié de Mme Parisot pour M. Sarkozy.

      Ce sont des faits qui mettent à mal la crédibilité de ce sondage !

      Si vous préférez, les méthodes employées sont des méthodes baclées et quasi-mensongères (les personnes interrogées n’étaient pas encore au courant du contenu du discours, à l’inverse de ce qui est au moins sous-entendu).

      Ainsi, pour moi, le fait que Mme Parisot soit proche de M. Sarkozy au niveau des idées n’est qu’un élément de plus qui ne fait que rajouter des doutes sérieux sur la bonne exécution de ce sondage qui, étrangement, est arrivé très très (birn trop) vite après le discours de Mme Royal !

      De mon côté, je puis vous assurer que j’essaye de me baser sur des faits avérés, pas sur une simple idéologie. Sinon, en effet, ça n’aurait pas beaucoup de sens.

      Merci.


    • Eric-nicolier Eric-nicolier 14 février 2007 18:15

      Relisez juste l’enchaînement de vos idées :

      "- Etrangement, le mardi 13 février, la population prend connaissance d’un sondage réalisé par l’Ifop, dont la présidente Laurence Parisot est proche du candidat UMP.

      - Précisément, ce sondage donne une avance encore plus large de M. Sarkozy sur Mme Royal que précédemment au discours de cette dernière. Le rapport est alors de 54 % contre 46 % au second tour.

      On saisit alors aisément la volonté de « casser » la dynamique de Ségolène Royal suite à son discours reconnu comme de très haute tenue. Volonté de l’UMP relayée par un institut de sondage « ami »."

      Parler d’institut de sondage « ami » n’est pas anodin, ni non plus parler de volonté de « casser » une dynamique...

      Il me semble que si la campagne de S. Royal ne prend pas ce n’est pas la faute des instituts de sondage.

      Car contrairement à ce que vous écrivez ce n’est pas la presse qui a fait monter la pression sur ce fameux 11 février mais S. Royal elle-même. Ce qui au passage est une erreur majeure. La presse n’y est pour rien.


    • dégeuloir (---.---.54.47) 14 février 2007 18:48

       smiley les sondages sont du bricolage dans le but d’y faire du traffic d’influence,ils ne refletent que ce que l’on veut bien y faire refleter,ceci dit nous verrons bien à 15 jours ou 3 semaines du jour fatidique....la campagne est juste commencée,mais les sondages révèlent surtout la montée inéxorable de Bayrou vers le pouvoir avec l’aide de Royale,et l’effondrement de Lepen,Sarkosy est bien loin d’avoir gagné,malgré l’orgie médiatique à ses pieds,rappellez-vous le TCE en 2005,un matraquage de propagande honteuse et avec le résultat que l’on sait,nous allons assister à une très bonne surprise et un tohu-bohu après les élections ,pour les légistatives on va plus que rigoler......lol....  smiley


    • camelia (---.---.31.249) 14 février 2007 21:16

      Vous êtes vraiment tous des machos. NS ne peut pas se montrer attachant. Vous êtes jaloux ?


    • camelia (---.---.31.249) 14 février 2007 21:21

      Si vous croyez que les militants ont voté en se basant sur les sondages ou son côté média, vous vous trompez. Mais c’est sur la compétence en : conquête du pouvoir, avoir des idées, de la volonté et être capable de gouverner que l’on choisit un candidat à l’élection présidentielle.


    • (---.---.182.184) 15 février 2007 11:40

      Et si on faisait un sondage sur ceci (est-ce que cet extrait Royal vous fait de l’effet : 1/ oui 2/ non ? ) :

      http://www.youtube.com/watch?v=PuyyuDHFtNc

      Ce serait tout aussi stérile mais ça nous changerait !


    • jade (---.---.72.157) 15 février 2007 11:43

      Plus j’écoute le discours de ségo à Villepinte et plus je m’aperçois de sa profondeur. Et l’on sent que ce discours vient d’elle et non pas de son équipe, et qu’elle a une réelle vision de la France et du monde. Alors je comprends les attaques rapides de l’UMP pour s’attaquer à elle.


    • parkway (---.---.18.161) 15 février 2007 16:41

      eric nicollier,

      peut-être parce que sarko préfère se battre contre une plus faible que par exemple contre bayrou dont on ne parle que depuis qu’il dénonce la médiatisation du couple sarko-ségo...

      si on pense que sarko n’est pas un imbécile, qu’il a de bons amis dans les médias et qu’il veut à tout prix devenir calife à la place du calife, alors...


    • parkway (---.---.18.161) 15 février 2007 16:46

      nichollier,

      mais alors quel intérêt de raconter des conneries ?

      à quoi servent ces sondages à la con ?

      pourquoi ne pas faire de vrais sondages avec de vraies réponses ?

      là je comprends pas ?

      quel est l’intérêt du médef ou autre de sortir des insanités sondagères si il n’y avait pas derrière des motivations financières ou politiques ?

      J’attends tes arguments...


    • Fico (---.---.184.143) 18 février 2007 01:52

      Que d’histoires pour des sondages... Arrêtez de critiquer les sondades et prenez-les pour ce qu’ils sont, bong sang !! Ne jouez pas aux plus idiots.

      - Un sondage est une photographie imparfaite d’une opinion à un instant T. En quoi interroger 948 personnes entre 18 et 20h est-il représentatif ??

      - Les Francais ne sont pas idiots et comme vous le savez, il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis.

      - Les sondages sont manipulatoires. « Ah bon, 32% des Francais voteraient, comme moi pour untel ? Mais comme je suis plus intelligent que les autres, je vais voter pour le 3ème ou 4ème homme ou pour celui qui n’a aucune chance et dont les propositions sont, pourtant, interessantes. Pis non, je vais faire mon kéké et exprimer mon opposition à tous ces politicos (ce que j’ai fait en 2002 : le vote Le Pen pour dire merde aux pachydermes politiciens qui ruinent la France à coup de propositions clientélistes et couteuses, merde aux journaux qui me bassinent avec les 2 vainqueurs, merde aux instituts de sondage et médias qui essaient de me manipuler en occultant le 3ème homme car Le Pen,...) » Seulement si toi, moi et ton voisin faisons la même chose, bonjour la surprise.

      Pis arrêtez de jouer les enfants gauchistes. Critiquer les médias, c’est devenu à la mode. Par des exercices acrobatiques, vous allez démontrer que tel journal appartient à tel groupe qui appartient à telle holding dont l’actionnaire principal est l’ami d’un homme de droite donc l’article est forcément manipulé. C’est bien connu, c’est l’actionnaire qui rédige les articles. Et comme un cheveu sur la soupe, on apprend que 94% des journalistes se disent de gauche (http://www.m-r.fr/actualite.php?id=1338). Ah bah merde alors, est-ce qu’on m’aurait manipulé à l’insu de mon plein grè !?! Si en plus des politiciens, les médias s’y mettent, c’est la fête !!

      Et on en arrive à une chasse aux sorcières où les médias éliminent les Marie Drucker, Alain Duhamel, ... On a bien une loi débile sur la parité dans la politique. Allons-nous faire de même pour le journalisme et virer 50% des journalistes de gauche pour les remplacer par des journalistes de droite ? Et pis allons-y gaiement. On connait tous les échecs de l’Education (des jeunes qui ne savent plus écrire le Francais, manque de respect envers les profs, filières sans débouchés...) et de la Justice (démission des magistrats, ultra-récidives chez les délinquants, impunités car origines non francaises... ) et on sait aussi que ces 2 ministères sont fortement à gauche. Alors quoi ? On en revient encore à cette bonne vieille doctrine comme quoi être de droite « bouhhh » et être de gauche « youpii » ?!?

      Pour revenir aux sondages (désolé j’ai un peu dérapé du sujet initial), ce que je préconise et que l’on devrait exiger ?
      - passer tout de suite à des sondages de 10 000 personnes puis progressivement 100 000 personnes (ca representerait que... 0.15% de la population :( ).
      - INTERDIRE les sondages 4 semaines avant le 1er tour et aucun entre le 1er et 2eme tour.
      - INTERDIRE le vote électronique et garder ca pour des consultations populaires.


    • MULA Marcella (---.---.151.212) 12 mars 2007 16:00

      Monsieur, Je suis indignée à la lecture de votre article. Vous critiquez les organismes de sondages (je crois qu’ils sont nombreux !) et vous les dénoncez car ils seraient (selon vos dires) « achetés » par l’U.M.P., c’est-à-dire M. Sarkozy. Vos accusations sont graves et de plus, c’est totalement hypothétique, vous n’avez aucune preuve de ce que vous avancez. En revanche, ce dont je suis sûre c’est que vous appartenez à la gauche et que, voyant Melle Royal très démunie,"quand la bise fut venue" elle qui n’a aucun programme réalisable, aucune idée fiable, aucune équipe (vous qui savez tout apparemment, vous savez où sont partis les « éléphants ? » ! Vous êtes comme tous les perdants, vous passez votre temps et toute votre énergie à critiquer, à attaquer M. Sarkozy qui est un homme qui travaille (son Ministère est des plus difficile)qui est un homme cohérent, compétent et intelligent. Pensez-vous réellement qu’il pourrait acheter tous les sondeurs, toutes les sociétés de sondages et enfin tous les médias ?? ? Vous n’êtes pas objectif car vous n’appartenez pas à la famille de droite et votre rôle de journaliste n’est pas de diriger les électeurs vers tel ou tel candidat, mais de donner la tendance des futures élections présidentielles. Pour ma part, j’ai vu sur le câble le discours de Melle Royal à Villepinte le 11 février dernier. Il vaut mieux qu’il reste un peu en « sourdine » car je vous invite à revoir la vidéo qui affiche un "secrétaire du parti socialiste, compagnon de Melle Royal en train de faire une petite sieste, Fabius regardant vers la droite, Emmanuelli se frottant le visage et enfin DSK regardand son portable en espérant une sonnerie qui le réveillera..... Lorsque Melle Royal a pris des points, vous n’avez pas commenté cela ? M. Bayrou est aujourd’hui à égalité avec Ségolène Royal : c’est truqué ? est-ce M. Sarkozy qui a lancé cette information ? Arrêtez je vous en prie."Il ne faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages" !, disait le Général -de-Gaulle. Bientôt ce sera la faute de M. Sarkozy si Melle Royal n’est pas au second tour. Enfin, vous savez bien que M. Bayrou a pris de l’avance car la candidate socialiste en a « dégouttée » plus d’un. Pouvez-vous dire la même chose pour Pascale Clark, Laurent Ruquier, Marc Fogiel, Laurence Ferrari, Arlette Chabot qui se trahisent en ne posant jamais les questions « qui fâchent » à Melle Royal et Hollande ; mais, en revanche,ils ne se gênent pas pour lancer des « griffes » à M. Sarkozy ainsi qu’aux personnes qui le soutiennent (divers politiques mais aussi diverses personnalités du show-biz,écrivains, intellectuels,comédiens...etc) et la liste est loin d’être exhaustive.


    • MULA Marcella (---.---.151.212) 12 mars 2007 16:02

      Monsieur, Je suis indignée à la lecture de votre article. Vous critiquez les organismes de sondages (je crois qu’ils sont nombreux !) et vous les dénoncez car ils seraient (selon vos dires) « achetés » par l’U.M.P., c’est-à-dire M. Sarkozy. Vos accusations sont graves et de plus, c’est totalement hypothétique, vous n’avez aucune preuve de ce que vous avancez. En revanche, ce dont je suis sûre c’est que vous appartenez à la gauche et que, voyant Melle Royal très démunie,"quand la bise fut venue" elle qui n’a aucun programme réalisable, aucune idée fiable, aucune équipe (vous qui savez tout apparemment, vous savez où sont partis les « éléphants ? » ! Vous êtes comme tous les perdants, vous passez votre temps et toute votre énergie à critiquer, à attaquer M. Sarkozy qui est un homme qui travaille (son Ministère est des plus difficile)qui est un homme cohérent, compétent et intelligent. Pensez-vous réellement qu’il pourrait acheter tous les sondeurs, toutes les sociétés de sondages et enfin tous les médias ?? ? Vous n’êtes pas objectif car vous n’appartenez pas à la famille de droite et votre rôle de journaliste n’est pas de diriger les électeurs vers tel ou tel candidat, mais de donner la tendance des futures élections présidentielles. Pour ma part, j’ai vu sur le câble le discours de Melle Royal à Villepinte le 11 février dernier. Il vaut mieux qu’il reste un peu en « sourdine » car je vous invite à revoir la vidéo qui affiche un "secrétaire du parti socialiste, compagnon de Melle Royal en train de faire une petite sieste, Fabius regardant vers la droite, Emmanuelli se frottant le visage et enfin DSK regardand son portable en espérant une sonnerie qui le réveillera..... Lorsque Melle Royal a pris des points, vous n’avez pas commenté cela ? M. Bayrou est aujourd’hui à égalité avec Ségolène Royal : c’est truqué ? est-ce M. Sarkozy qui a lancé cette information ? Arrêtez je vous en prie."Il ne faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages" !, disait le Général -de-Gaulle. Bientôt ce sera la faute de M. Sarkozy si Melle Royal n’est pas au second tour. Enfin, vous savez bien que M. Bayrou a pris de l’avance car la candidate socialiste en a « dégouttée » plus d’un.

      Pouvez-vous dire la même chose pour Pascale Clark, Laurent Ruquier, Marc Fogiel, Laurence Ferrari, Arlette Chabot qui se trahisent en ne posant jamais les questions « qui fâchent » à Melle Royal et Hollande ; mais, en revanche,ils ne se gênent pas pour lancer des « griffes » à M. Sarkozy ainsi qu’aux personnes qui le soutiennent (divers politiques mais aussi diverses personnalités du show-biz,écrivains, intellectuels,comédiens...etc) et la liste est loin d’être exhaustive.


    • Lilith (---.---.175.223) 12 avril 2007 14:07

      Sarkozy plus faible que Royal ?

      Ben, il suffit de le voir gesticuler des qu’il est mis en cause sur qque chose pour voir et comprendre que ce type est plus que FAIBLE !!!

      La seule coherente et TRES FORTE dans ce combat de coqs est bien SEGOLENE ROYAL !


  • (---.---.108.131) 14 février 2007 13:05

    Les sondages actuels ont pour but de faire croire que Sarkozy est inévitable , le meilleur celui que tout le monde désire tout ça pour pousser les indécis à adopter un vote moutonnier ... seulement voilà il suffit de discuter autour de soi pour comprendre que sarko est loin du compte et que la grande majorité ne peuvent pas le voir en peinture .

    Sarkozy ne gagnera pas les elections ,c’est évident !


    • machinchose (---.---.168.64) 14 février 2007 13:41

      j’avoue que je ne suis pas aussi optimiste. Entre une persse aux ordres et des sondages enthousiaste il décomplexe le vote sarko et, en effet, le fait apparaitre comme l’évidence.


    • (---.---.108.131) 14 février 2007 13:49

      « Entre une presse aux ordres et des sondages enthousiaste il décomplexe le vote sarko et... »

      Dans mon entourage et sans exception , ça va voter Lepen ,Bayrou ou à gauche.Personne ne parle de sarko sauf pour le maudire . Plus j’écoute les gens autours de moi , plus je me rends compte que NS ne passera même pas le premier tour ...pas un va voter Sarko !!


    • machinchose (---.---.168.64) 14 février 2007 13:56

      j’espère que vous avez raison. (même si ce vote le pen persistant n’est pas pour me réjouir)


    • Gnole (---.---.192.187) 14 février 2007 17:22

      Remarque en y réfléchissant, j’ai entendu personne non plus dans mon entourage dire qu’il allait voter Sarko 1 ?!

      Honte ? Non je ne le pense pas puisque certains envsagent de voter Le Pen sans aucunement le cacher !

      Avez-vous déjà rencontrer un électeur potentiel de Sarkozy (en dehors des encartés UMP) ?


    • (---.---.164.5) 14 février 2007 17:49

      @Gnole« Avez-vous déjà rencontrer un électeur potentiel de Sarkozy (en dehors des encartés UMP) ? »

      non plus j’ai l’impression que l’electeur sarkozyste c’est un peu l’arlésienne smiley


    • dégeuloir (---.---.54.47) 14 février 2007 18:57

      je connais des gens qui voteront Sarkosy (ma belle famille. smiley! !),autant vous dire tout de suite qu’ils correspondent vraiment à la France profonde,aucune culture,bien formatés télé surtout TF1,bétes et méchants,plutôt xénophobes et surtout mercantyles,voilà le futur électorat en général du petit Nicolas,du beau monde de base ,ça donne envie de vomir...beeeuuurkkkk...  smiley


    • (---.---.84.83) 14 février 2007 21:18

      Tu as que ton entourage représente les Français. Tais-toi donc si tu n’as rien à dire ou alors parle de façon constructive. Il ne me semble pas t’avoir entendu protester contre les sondages donnant Royal gagante ! Alors arrête ton baratin !


    • Gnole (---.---.192.187) 14 février 2007 21:40

      Ben curieusement je suis plus pret à croire mon « entourage » que des sondages clairement bidonnés. Celui qui croit qu’un candidat peux réellement faire plus de 25% à un premier tour de la présidentiel à de très sérieuses lacunes en histoire et en politique (en math aussi d’ailleurs).

      On fait avec les outils qu’on as et le seul sondage juste c’est celui des urnes (enfin si on nous pipaute pas tout ça avec des machines électroniques).

      Maintenant si tu trouve que c’est pas intéressant (c’est ton droit le plus stricte) tu passes ton chemin et tu vote non... personne t’oblige à nous lire :-P


    • (---.---.0.56) 14 février 2007 22:29

      " Tu as que ton entourage représente les Français. Tais-toi donc si tu n’as rien à dire ou alors parle de façon constructive. Il ne me semble pas t’avoir entendu protester contre les sondages donnant Royal gagante ! Alors arrête ton baratin ! "

      mais est ce qu’il parle de Royal !? Ce que je comprends de son commentaire et c’est quelque chose que je vérifie aussi en discutant avec des amis collègues de leur intentions de votes , c’est qu’il est fort probable que le ministre de l’intérieur se retrouve derrière Bayrou et Le Pen au premier tour !

      Les electeurs de Sarkosy à part dans les sondages on ne les trouve pas nombreux autour de nous . Remarquez gonfler les chiffres à l’ump semble être une coutume (nombre adhérents , nombre présent dans meeting , quantité de livres vendus ,pseudo bon résultat de la lutte contre la délinquance ...)


    • Lepape (---.---.175.3) 15 février 2007 10:58

      En effet, le vote Sarko est décomplexé, en revanche le vote Ségo devient tabou, peut-être que dans l’urne il le sera moins...


    • (---.---.182.184) 15 février 2007 11:53

      C’est vrai qu’autour de moi ce sont les plus « veaux » (et de loin) qui se prononcent pour Sarkozy. Les plus censés (j’entends par là : à peu près éduqués, posés, et pacifistes) se prononcent pour Royal ou pour l’abstention...

      Donc, Sarkozy n’a qu’à continuer pour gagner à draguer les petits racistes, les justiciers de pacotille, les aigris de la vie et les gens incultes qui ne lisent jamais un journal...


    • machinchose (---.---.168.64) 15 février 2007 11:58

      en règle général je note un vote sarko chez les gens qui se balancent de la politique, plutôt incultes ou les très individualistes (enfin plus de droit de succession pour le chateau en dordogne).

      Le problème c’est le manque de motivation des autres pour un vote Royal. Le vote bayrou est parfois envisagé en alternative mais peu et ça varie.


    • (---.---.182.184) 15 février 2007 12:04

      « le problème c’est le manque de motivation des autres pour le vote Royal » :

      >>>> Même constat, mais allez !! On se motive, car on ne peu pas prendre le risque de la société explosive que nous prépare Sarkozy :

      http://www.youtube.com/watch?v=PuyyuDHFtNc


  • toto1701 (---.---.149.70) 14 février 2007 13:17

    si tous les sondés de france pouvaient se donner la main, les resultats des élections seraient plus sures !!!!lolo moi j’ai du mal a trouver un sondé aussi loin que porte ma vue !!!


    • gem gem 14 février 2007 13:54

      Moi pareil jusqu’au mois dernier ! oui, j’ai été sondé ! par téléphone, entre deux questions de consommation sur la bagnole et les animaux domestiques... Et alors ? alors rien. Sinon que manifestement le sondage politique est fait (au niveau du recueil des résultats) comme celui sur les lessives.


  • Eric-nicolier Eric-nicolier 14 février 2007 13:37

    Nicolas vous écrivez : « Résumons : celui qui commande, celui qui paye et qui fait publier peut faire dire ce qu’il veut aux sondages »

    Vive le simplisme non ?

    Auriez-vous écrit la même chose lorsque les sondages profitaient à Ségolène Royal ?

    Je ne vous reproche pas d’être un militant du Parti Socialiste, mais essayez de mettre un peu d’objectivité dans vos analyses, ce serait profitable à tout le monde.


    • machinchose (---.---.168.64) 14 février 2007 13:43

      si l’appreciation est en effet un rien rapide vous ne pouvez la faire sauter comme ça. Et en ce qui concerne les sondages pro ségolène personnellement mon analyse ne va pas à l’encontre de ce que dit cet article même si il aurait été interessant d’y faire allusion. Le militant PS doit avoir quelques difficulté à admettre d’avoir été victime de ces même sondages.


    • jujubinche (---.---.235.222) 14 février 2007 16:30

      « Auriez-vous écrit la même chose lorsque les sondages profitaient à Ségolène Royal ? »

      Ceci est une supposition, et non un appui argumenté. De plus, si cela était vrai, cela ne discréditerait en rien la thèse de l’article.

      Le fond, le fond.


    • Nicolas Cadène Nicolas Cadène 14 février 2007 16:53

      Je vous réponds plus haut M. Eric Nicolier. Et non, ce n’est pas si « simpliste », en tout cas, concernant les instituts de sondage d’importance.

      Merci.


  • gem gem 14 février 2007 13:50

    il est pas mal, votre article, sauf qu’il est trop long, et qu’il me semble défoncer une porte ouverte : ben oui, les sondages sont SURTOUT des outils de communication et d’influence, et assez peu des outils d’information (les sondages informatifs, ils ne sont pas publiés, les commanditaire se les réservent !)

    Il me semble que rien n’empêche d’autres candidat de diligenter des sondages à leur avantage, ou de « casser du sondage » comme Bayrou a pu, avec un certain succès, « casser du média ».

    Il me semble surtout que personne n’est dupe : vu le niveau ridiculement bas accordé par les sondages à l’épouvantail de service, personne ne peut y croire...


    • machinchose (---.---.168.64) 14 février 2007 13:52

      absolument, sauf que ça fait l’ouverture des journeaux et que ça donne le ton du traitement de l’info. Ainsi ségolène royale donnée d’office pour battue donc devant répondre à ça alors même qu’one st dans la marge d’erreur.


  • bruno (---.---.72.24) 14 février 2007 14:32

    Maintenant que S Royal a dévoilé son catalogue de premier ministre vivant au dessus de ses moyens et que N.Sarkozy persiste et signe dans la démagogie du réponse à tout, promesses à tout va sans les moyens pour les financer (minimum 1 année de déficit supplémentaire sur 5 ans soit 20% de plus de déficit du budget !), cela a l’air de vous convenir car enfin (écoutez vos commentaires...) le duel Gauche-Droite va avoir lieu entre 2 vrais projets de société ! D’abord, je ne vois pas ou sont les 2 projets de Société que vous mettez en avant car il s’agit de listes de promesses mensongères et parfois contradictoires entre elles On ne va pas voter pour un Premier ministre mais pour un Président de la République !

    De plus, cela, pour certains d’entre vous, va faire rêver les français. Mais 1981, 1988, 1995...n’ont-elles pas suffi, les français n’ont plus besoin de rêves qui entrainent les désillusions dés après l’élection mais ils veulent du pragmatisme, du concret et un sens à la vision de la France...certains spécialistes (experts) que vous questionnez vont même jusqu’à mettre en doute les capacités de F.Bayrou pour être Président de la République Mais de quel droit ? Pourquoi ne posent ils pas la même question pour les 2 autres entre une spécialiste des bourdes en campagne et un cumulard qui est au Pouvoir depuis 5 ans et qui est solidaire du bilan catastrophique de la majorité UMP sortante ?

    De même, maintenant que vous avez ces 2 projets cela vous incite naturellement comme depuis plusieurs mois à ne parler que ces 2 projets et ces 2 candidats car vous allez me dire que vous, médias, contrairement à ce qu’affirme F.Bayrou vous traitez la campagne en toute équité. Or vous savez bien que cela est faux car le CSA vient de le rappeler encore une fois les chiffres sont éloquents et même si vous veillez à inviter tous les principaux candidats, c’est le traitement que vous faites de l’information au quotidien, tous les jours, ou vous rappelez les petites phrases, le moindre déplacement, le clin d’œil, la prévision du déplacement....de 2 candidats seulement...et pour l’un d’entre eux avec les moyens d’un Ministre d’Etat et des préfets qui préparent ses déplacements de candidat.

    Enfin et du coup, des candidats comme F.Bayrou peuvent toujours être sur le terrain tous les jours, en meeting , vous médias, reprenez à peine ses propos et propositions allant même jusqu’à affirmer qu’il n’aurait pas de projet et qu’il ne fait que critiquer, or, il faut être de mauvaise foi pour dire cela car des propositions et un projet il en parle tous les jours, son Projet est consultable sur son site internet (www.bayrou.fr) et ne serait ce qu’à Bordeaux ou à Strasbourg en meeting il a présenté des pans entiers de son projet. Or, rien ou presque rien comme reprises dans les médias ainsi que de ses prestations télévisées...par contre pour les 2 autres alors là, la moindre petite phrase, le moindre geste et même les « non dits » sont traités largement...

    Mais les français ont compris, les français ne se laisseront pas guider leur choix par les médias et les sondages récents démontrent à l’évidence qu’ils ont compris qu’une 3° voie était possible, plus modeste, moins show biz, moins démagogique mais tellement plus moderne et utile pour la reconstruction de la France...


    • grattounette (---.---.161.137) 14 février 2007 16:34

      Tiens, un breton. On ne se laisse pas marcher sur les pieds, en Bretagne ! Tout-à-fait d’accord. Et puis oui, on vote Bayrou. Plutôt 2 fois qu’une. C’est en effet le seul présidentiable qui assure, et c’est en effet lamentable que rien ni personne ne parle de ses propositions, pourtant bien plus solides que les autres.


    • jujubinche (---.---.235.222) 14 février 2007 16:44

      Helas, seul avec son programme il n’ira pas loin.

      On ne peut que louer l’effort de réalisme et de franchise, mais on ne peut que déplorer que son éléction ne permettrait pas la politique qu’il propose.

      Sans grand parti ou parlement, bayrou n’est rien. hélas.


    • dégeuloir (---.---.54.47) 14 février 2007 19:07

      au contraire il est TOUT ,compétent ,propre,pas esclave du MEDEF,franc,jovial,et éthique,et il veut faire alliance avec tous ceux et celles qui voudront apporter leurs compétences,allié avec la gauche plurielle ,il ferait un carton plein !! le coup de pied dans la fourmillière pour le renouveau de la politique,le lessivage au Karcher !.....lol.... smiley


  • Voltaire Voltaire 14 février 2007 14:32

    Au delà de l’inquiétude exprimée par l’auteur quant aux résultats des sondages récents sur les intentions de vote en faveur de la candidate du parti socialiste qu’il soutien, il faut reconnaître que l’on peut aussi légitimement avoir un doute sur la sincérité des sondages.

    Mais il faut être plus objectif.

    Ainsi, Mme Royal a, comme Mr Sarkozy, bénficié d’une couverture médiatique et de la faveur des sondages bien au delà de ce qui était réaliste. Il est ainsi surprenant que les synpathisans socialistes ne se soient pas exprimés quant aux scores supérieurs à 30% de leur candidate, qui n’étaient pas plus réalistes que ceux de Mr Sarkozy encore actuellement. Il est évident qu’aucun de ces candidats n’a de chance d’avoir un score de ce niveau.

    Mr Bayrou a aussi pâti de sondages biaisés ; je ne citerai que trois exemples.

    - Dans l’étude du CEVIPOF, commanditée par le ministère de l’intérieur (!), Mr Bayrou était traité au même niveau en terme de questions que les candidats de type Besancenot ou Lepage, tandis que Sarkozy, Royal (et aussi Fabius, Strauss Kahn etc...) avaient eux le droit à un nombre de questions plus élevé et à une analyse plus poussée. Bayrou avait notamment été privé de questions clés sur ses points forts (courage, intégrité etc...).

    - Dans les enquêtes SOFRES d’opinion, vous constaterez que le score de popularité global de Bayrou est systématiquement inférieur aux scores obtenus séparément auprès des sympathisants de droite comme des sympathisants de gauche ! Evidemment, tous les autres candidats ont des scores globaux qui se situent entre les deux...

    - Dans les enquêtes internet menées sur expression publique, les scores exceptionnels obtenus par Bayrou (44% d’internautes souhaitant sa victoire à l’élection présidentielle par exemple, devant Royal et Sarkozy, autour de 30-35% chacun) ne sont jamais mis en avant par les analystes du site, ni repris par les média de type yahoo, qui mettent plutôt en avant les bons scores de Sarkozy ou de Royal sur tel ou tel point.

    Enfin, il est bien connu que les sondages ont des difficultés à évaluer les intentions de votes pour Mr Le Pen, et il est tout à fait possible que certains sondages surestiment les scores de Mr Bayrou plutôt populaire parmi les classes supérieures.

    Il faut aussi noter que les marges d’erreurs ne sont jamais signalées ; or elles se situent autour de 3% pour ce type d’échantillons, ce qui rend totalement ridicules bien des commentaires.

    Pour conclure, il faut donc effectivement prendre les sondages avec des pincettes (et plutôt regarder les tendences sur plusieurs semaines), et ne jamais regarder les interprétations de ces sondages par les commentateurs (toujours regarder les résultats bruts sur le site de l’institut). Quant à l’influence de l’UMP, elle est probable, mais cet effet est-il positif ou négatif ? Les électeurs n’aiment pas trop être pris pour des imbéciles.


    • machinchose (---.---.168.64) 14 février 2007 14:39

      EXCELLENTE et précieuse précision. Même si au delà de Bayrou on pourrait attendre que TOUS les candidats soient traités de la même façon.


    • Eric-nicolier Eric-nicolier 14 février 2007 14:45

      Ce n’est pas parce que les candidats eux-mêmes prétendent ne pas être bien représentés dans les médias qu’ils ont nécessairement raison. Ca devient un peu la tarte à la crème du moment. Ce serait bien de réfléchir au-delà du simple discours partisan.

      Cela me fait penser à Georges Marchais qui nous remettait une couche à chaque fois qu’il était invité dans les médias qu’il en était le mal aimé... alors qu’il était l’un de ceux qui était le plus exposé dans les médias.

      j’espère quand même que certains comprendront que lorsque Bayrou crie à l’injustice de sa présence dans les médias c’est de la pure tactique politique !


    • machinchose (---.---.168.64) 14 février 2007 14:47

      Sur la tactique Bayrou je suis d’accord cela dit ce n’est pas aprce que c’est tactique que l’analyse est nécessairement fausse...


    • Eric-nicolier Eric-nicolier 14 février 2007 14:51

      On est encore d’accord !!!!! Vous allez voir cher Machinchose on va finir par se faire une bouffe ou se boire une bière ! smiley


    • mrbean92 14 février 2007 16:07

      conclusion il faut populariser la pensée de bayrou, son programme, appeler à s’exprimer pour relayer son message, et finalement voter pour lui. apres la mauvaise farce de 2002, esperons la divine surprise de 2007. bayrou au second tour, bayrou président !


    • mrbean92 14 février 2007 16:11

      ce qu’il y a de bien avec Mr je sais tout, c’est qu’on n’a plus besoin de lire ou d’écouter la radio ou la télé, ni même de penser autrement, d’avancer des hypothèses, de tenter des démonstrations, d’exprimer une opinion ; car au bout du compte... on a rien comprit à rien, alors que lui, il a tout comprit à tout.


  • ArbreBlanc (---.---.232.64) 14 février 2007 14:37

    Je ne défends pas les sondages, je ne suis pas pro NS (TRES LOIN de là), mais vous fâites feu de tout bois en toute mauvaise foi, tentant de vous engouffrer dans un brèche en y mettant n’importe quoi. Démonstration d’après le contenu de votre article.

    « Trois mois avant le scrutin de 2002, les candidats Jacques Chirac et Lionel Jospin arrivaient en tête avec 23 % des intentions de vote, loin devant M. Jean-Pierre Chevènement, qui en obtenait 12 %, et M. Jean-Marie Le Pen, qui étaitgratifié de 8 % (Sofres, 4 février 2002)[1] ? », et bien oui c’était 3 MOIS AVANT ET EN 3 MOIS IL S’EST PASSE DES CHOSES, et il s’en passera encore ce coup-ci. Quel scoop !

    « Faut-il rappeler les échecs plus récents qui sont intervenus en octobre dernier en Belgique (il avait été pronostiqué une nouvelle poussée de l’extrême droite flamande, en particulier à Anvers), au Brésil le même mois (nombreux voyaient le président Lula Ignacio da Silva l’emportait au premier tour), ou en Autriche (les sociaux-démocrates ont mieux maintenu leur position que la droite : les sondages pronostiquaient l’inverse) ? », quel rapport avec les instituts de sondage Français ?

    « Une seule et même information répétée et relayée par l’ensemble des médias alors même qu’elle peut s’avérer totalement erronée, tant les enquêtes peuvent être menées de façon artificielle ou sur un échantillon trop contestable. », quels sont vos PREUVES que ces enquêtes sont artificielles et les échantillons trop contestables ? Aucune. Vous vous appuyez sur quoi pour en faire une généralité ? Abusif.

    « En réalité, les sondages parasitent le terrain et dans la plupart des cas ne retranscrivent pas la réalité ». Ah bon, poser la question d’une intention de vote, ce n’est pas demander un avis sur une réalité ? Vous faîtes un amalgame abusif. Certains sondages sont orientés dans leurs questions. Normal, les questions sont formulées par les commanditaires. Mais d’autres, notamment les intentions de vote, sont indépendants.

    Qu’avez-vous comme preuve concrète de la supposée percécution que subirait Ségolène Royal ? Assez de vos paroles sans fondement, DES PREUVES.

    « On saisit alors aisément la volonté de « casser » la dynamique de Ségolène Royal suite à son discours reconnu comme de très haute tenue. Volonté de l’UMP relayée par un institut de sondage « ami » », vous passez volontairement sous silence qu’au-delà de la forme du discours, il y a le fond. Et le fond, dans ce cas, a été retranscrit, notamment sous la forme des 100 propositions. Et oui, quand on compare le discours aux propositions, il y a comme un léger gap. Habitude ségoliste de privilégier la forme au fond, qui ne fonctionne toujours pas. Et tant mieux.

    Vous auriez mieux fait de vous renseigner sur les marges d’erreur des sondages, qui ne sont pas calculables, étant données les méthodes par quotas. Elles sont au moins de 3% pour 1000 sondés.

    Vous convoquez ensuite un sondeur américain, quel rapport encore une fois aux sondeurs français. US - France, même pays ?

    « Ils y ont découvert que les diplômés du supérieur apparaissaient en surnombre dans l’échantillon utilisé (18 % des sondés contre 8 % dans la réalité), tandis que les « non-diplômés » se trouvaient sous-représentés (7,8 % contre 20 %). » Avant d’écrire cela, renseignez-vous sur l’utilisation des matrices de redressement.

    « On le comprend donc aisément, les sondages des grands instituts constituent aujourd’hui un outil au service du candidat et président de l’UMP, Nicolas Sarkozy. Paranoïa ? » Oui, vous étendez votre accusation des médias à la solde de NS aux instituts de sondage. Sans aucune analyse ni aucune preuve.

    « Résumons : celui qui commande, celui qui paye et qui fait publier peut faire dire ce qu’il veut aux sondages. Ceux qui commandent, qui payent, qui publient sont tous ou presque des proches du candidat UMP ... », amalgame encore une fois. Il peut choisir les questions pour certains, mais pas les réponses. Et pour d’autres sondages, il ne choisit PAS les questions (intentions de vote).

    En résumé, vous polémiquez plus que vous informez. En quoi un choix de candidat peut-il être influencé par un sondage d’intention de vote ? Il y a des arguments qui vont dans les deux sens. Un score important peut être défavorable à un candidat, car il le met dans une position de confort. Un score plus faible est par conséquent de nature à mobiliser pour ce candidat. Par exemple, si Ségolène Royal descend à 20%, ce sera la mobilisation pour le vote utile. Un score important fait porter une attention particulière sur le candidat, ça fait « parler » de lui, et incite à regarder ses propositions de plus près.

    En réalité, je pense que vous vous trompez de cible. Vous auriez du garder celle des médias.

    Au fait, que pensez-vous du sondage BVA ? 65% des sondés au courant du meeting de SR en 1 jour, c’est pas mal, non ? L’attention médiatique avant le discours de Villepinte va porter l’attention sur ses propositions. On n’est pas candidat pour ne pas qu’on parle de vous ...


    • mrbean92 14 février 2007 16:03

      vous demandez des preuves de ce qu’avance l’article... vous en avez vous pour réfuter ce qui y est écrit ??? demandez vous à qui appartient la presse nationale, régionale, les chaines de télés et les principales radio. renseignez vous, faites une recherche sur internet, c’est pas compliqué à trouver.


    • ArbreBlanc (---.---.34.245) 15 février 2007 10:23

      Je parle des preuves concernant les sondages, sujet de l’article, pas des médias. Alors, des preuves ?


  • habon (---.---.132.20) 14 février 2007 15:50

    Votre article n’est qu’un tissu de mauvaise foi partisane. A peu pres chaque paragraphe est faux ou biaise.

    « les sondages du second tour n’ont aucun sens ». Cest justement ceux ou la question est la plus simple, et sans ambiguite. Et ne dites pas que seul le choix sego/sarko est propose. De tres nombreux sondages proposent aussi les autres options.

    Je ne parle meme pas de votre exemple qui date de 1998, il y a 9 ans....

    Quand a la journee du 11 fevrier, cest Royal elle-meme qui a mis cette étape essentielle voire « vitale » en jeu. Le moment ou on devoile son programme, cad dire le discours le plus important.

    La prochaine fois, indiquez clairement que votre article est de la simple publicite politique, ca fera gagner du temps a tout le monde.


    • mrbean92 14 février 2007 15:58

      c’est peut être un article partisan, mais il est argumenté, détaillé, il cite des références tirés d’une « certaine presse » (gauchisante diriez vous ?), en tout cas indépendante des mastondontes que sont lagardère, dassault ou bouygues, tous notoirement amis de sarkozy. votre commentaire en revanche manque singulièrement de démonstration et quant à dénigrer un argument au pretexte qu’il fait réference au passé... l’histoire nous enseigne les leçons pour l’avenir... ça semble évident..


    • habon (---.---.132.20) 14 février 2007 16:26

      Desole, je n’ai pas le temps maintenant de demonter un par un les pseudo-arguments de cet article. Mais sil le faut j’ecrirais les 30 pages necessaires...

      qui sera a refaire au prochain article directement faxe depuis la rue de solferino.


  • Sylvain Reboul Sylvain Reboul 14 février 2007 15:52

    À propos des sondages post Villepinte, la manip est grossière : les Instituts de sondages se contentent d’affirmer que ces derniers se sont déroulés après le discours de SR sans même se demander et savoir ou nous faire savoir si les sondés en avait eu connaissance et surtout, ce qui est un comble, sans leur demander s’ils étaient d’accord ou non avec ses propositions . C’est dire que ces sondages ne sondent que du vent et non les effets de son discours...Lesquels ne pourront être mesurés que dans un mois minimum !

    Le temps des sondeurs n’est pas celui de la politique citoyenne, il n’est que celui, commercial, des médias et/ou des manipulateurs politiciens.


    • (---.---.84.83) 14 février 2007 21:34

      Juste une question Sylvain, vous croyez que les Français lisent le programme de Royal ? C’est carrément utopique.

      Les gens s’en foutent royalement sans jeu de mots. Vous croyez qu’un Français va s’asseoir pour lire le programme ? Personne ne le fait à part une minorité. Mais la grande majorité des Français s’en tapent et continue à s’en taper magistralement. De fait, les seules choses qu’ils savent du programme de Royal et qu’ils ne sauront jamais, c’est ce qu’ils ont vu à la télé et rien d’autre.

      De fait, il faut arrêter avec cette histoire imbécile (je ne v ous traite pas d’imbécile !) selon laquelle les médias feraient de la manip. Il y en a vraiment marre de tout ça.

      Les sondages donent l’état de l’opinion au moment du sondage. Peut-être que cela changera... Personne ne sait ! En revanche, il est clair qu’un nouveau sondage est sorti ce mercredi et montre que Sarkozy augmente encore et que Royal, si elle limite la casse, reste loin derrière, au delà de la marge d’erreur de 5% maximum.

      Cela signifie que les Français n’ont point été convaincus par Royal. Alors je le répète, il n’y a aucune manipulation. Simplement, il faut savoir admettre que les Français n’ont point du tout accordé du crédit réel à Royal !


    • Sylvain Reboul Sylvain Reboul 15 février 2007 08:15

      @(IP:xxx.x1.84.83)

      "Croyez vous qu’un Français va s’asseoir pour lire le programme ? Personne ne le fait à part une minorité. Mais la grande majorité des Français s’en tapent et continue à s’en taper magistralement. De fait, les seules choses qu’ils savent du programme de Royal et qu’ils ne sauront jamais, c’est ce qu’ils ont vu à la télé et rien d’autre.

      Cela signifie que les Français n’ont point été convaincus par Royal"

      Cela veut-il que la majorité des français qui ne lisent pas le programme (ou mieux le pacte) de SR n’ont pas été convaincus ? Mais c’est tout à fait absurde, comment être ou ne pas être convaincu sans lire l’objet de cette conviction ? Serait-ce qu’ils refusent de se laisser convaincre par une femme quel que soit son programme en refusant de le lire ; ce qui est, en effet, la meilleure façon de ne pas être convaincu. Mais vous avouerez que cela n’ a pas grand chose a à voir pas une attitude non-sexiste et citoyenne.

      J’espère pour vous et la démocratie que vous vous rangez parmi les citoyens qui lisent les programmes ou les pactes politiques avant de voter ; mais je ne vous reconnais pas le droit en ce cas de considérer les autres (et encore moins la majorité) comme des sous-citoyens qui ne lisent ou n’entendent aucun programme avant de se prononcer ! Ce serait, vis-à-vis d’eux, du mépris pur et simple.


    • Sylvain Reboul Sylvain Reboul 15 février 2007 09:48

      Cela veut-il dire... Cela n’a pas grand chose à voir avec...Avec mes excuses


  • mrbean92 14 février 2007 15:52

    la question n’est pas, ou plus de savoir si les autres... socialistes par exemple, auraient fait la même chose à la place de sarkozy, d’ailleurs au passage, cet argument est assez lamentable au regard d’un retour à une certaine morale en politique ; mais plutôt de se demander ou est le changement, la réforme, le nouveau souffle qu’incarnerait sarkozy, si, comme il semble politiquement pratiqué de longue date, il utilise ses amis qui ont la main sur les principaux médias, dirigent des instituts de sondage, il utilise sa position de ministre de l’intérieur pour diligenter des enquêtent aux rg et j’en passe et des meilleurs... et ce n’est pas lui, bien sur, personnellement, il pourrait répondre quelque chose du genre : « si mes amis, ou mes supporters veulent me donner un coup de main, que voulez vous que j’y fasse ? » en effet, il est presque aussi fort quun chirac au meilleur de sa forme...


  • Aérien (---.---.94.152) 14 février 2007 15:59

    On atteint le comble du « n’importe quoi » avec cet article. Font ch... les militants !


  • Inquiet (---.---.2.226) 14 février 2007 16:12

    A vrai dire, que les sondages soient justes ou faux, celà ne m’interresse que partiellement.

    Cependant, ce qui m’inquiète le plus est de savoir s’il existe une « mécanique » de vote issue des sondages, un effet mouton en sommes ?

    Et là c’est beaucoup plus grave, sinon se tromper dans les sondages et après se ramasser c’est plutôt drôle smiley


    • Gnole (---.---.192.187) 14 février 2007 17:30

      Bonne question... je dirais que au vue des élections passées la réponse serait plutôt non.


  • Inquiet (---.---.2.226) 14 février 2007 16:24

    Tout d’un coup il m’est venu une réflexion que je vous expose : les sondés, qui sont nos concitoyens, sont aussi arosés des véléités sécuritaires de NS ainsi que de ses moyens (potentiels smiley). Il n’est pas infondé de penser que le sondé pourrait y réfléchir à 2 fois avant de dire qu’il voterais contre NS à l’institut de sondage, d’autant plus qu’il devient admis la possibilité des colusions entre institut et NS.

    Il devient par conséquent, d’autant plus difficile d’interpréter les résultats, si on n’estime que certains sondés ont répondus avec des craintes de représailles.

    La garantie d’anonymat des instituts de sondage a-t-elle été crues sérieusement cette fois-ci ?


    • habon (---.---.132.20) 14 février 2007 16:29

      Vous savez, quitte a faire des sondages truques, pas la peine de se casser les pieds a sonder des gens. Tiens allez hop moi j’en fais un :

      Sarko/Sego 50-50 % Echantillon 2 personnes directement dans le couloir.

      Je peux en republier tous les jours....


    • Gnole (---.---.192.187) 14 février 2007 21:42

      Quel pourcentage d’erreur ? :-P


  • meridien (---.---.158.33) 14 février 2007 16:32

    cher nicolas C. vous poursuivez votre enquête très argumentée et que j’ai eu plaisir à transmettre bravo,courage, et persévérez vous nous confirmez des nouvelles que nous subodorions et c’est très instuctif et désolant ?? à la fois sur la crédibilité à accorder aux médias.AVEZ vous lu le « texte » arrogant de AMBIEL ?et ses menaces..meridien


    • Nicolas Cadène Nicolas Cadène 14 février 2007 16:49

      Merci !

      J’ai en effet lu le texte de M. Ambiel, et comme vous, je le trouve assez menaçant et guère intelligent, ni très honorant pour son auteur.


    • monteno (---.---.179.94) 14 février 2007 22:38

      Comment sait-on que c’est le vrai Ambiel qui a écrit l’article ?


  • Graindesable (---.---.24.100) 14 février 2007 16:36

    @ Nicolas Cadène, Juste une question : J’aurais bien voulu avoir son avis à l’époque où les mêmes sondages étaient favorables à S. Royal ?

    P.S. : Après s’être LAMENTABLEMENT planté avec le relais de la fameuse pétition pour la démission de Sarkozy, M. Cadène a trouvé un nouveau cheval de bataille. C’est bien, ça l’occupe... Mais pourquoi il n’essaye pas plutot de mettre en avant les propositions de sa candidate si irréprochable et au discours, parait-il, si bien huilé ?

    Critiquer les sondages dont on désaprouve les résultats est tellement tarte à la crème...


    • Nicolas Cadène Nicolas Cadène 14 février 2007 16:45

      Concernant les sondages qui étaient favorables à Mme Royal. J’y répond plus haut (réponse à M. Eric Nicolier). Je n’y prétends pas plus d’attention et n’y faisais pas plus confiance.

      Concernant le fond de Mme Royal. Je peux vous en parler et je le ferai sur AgoraVox prochaînement. Il y a de quoi dire car il y en a beaucoup.

      Mais, justement, M.« Graindesable », parlez donc du fond de cet article, plutôt que de m’accuser de manière pas très subtile sur tout autre chose.

      Merci.


    • Graindesable (---.---.24.100) 14 février 2007 17:33

      C’est vous qui vous lancez sur un sujet hasardeux : la légitimité des sondages revient constamment à chaque élection. Et à chaque fois, on a droit au couplet des râleurs insatisfaits (de tous bords...) car les sondages ne vont pas dans le sens de ce qu’ils pensent. Vous leur accordez trop d’importance et j’ai le souvenir d’un référendum sur la constitution européenne et d’une campagne outrancière pour un camp qui avait débouché sur un fiasco.

      Déjà, vous partez du principe que S. Royal a fait un très bon discours. Rien que là dessus, je ne suis pas d’accord. Je l’ai trouvée pénible et le point culminant, soi-disant emotionnel, souligné par les quelques commentateurs (souvent, est-ce un hasard ?) de gauche ne m’ont en rien effleuré tellement il me parassait faux. Aussi faux, et évidemment dans une moindre mesure, que le choix de la couleur du costume de cette candidate. Comment voulez-vous qu’on discute ensuite du fond de votre article si déjà au départ on part d’une base complètement différente (ces sondages n’étant que les réactions spontanées face à ce discours.)

      Par contre, un programme n’est pas un sondage. Il n’est pas volatile. C’est quelque chose de plus concret sur lequel on peut discuter. Enfin, c’est ce que je pense...


    • Nicolas Cadène Nicolas Cadène 14 février 2007 18:04

      Avez-vous lu ma réponse plus haut avant de poster ce commentaire ? Je n’en ai pas l’impression.

      Pourquoi parlez-vous du tailleur de Mme Royal. On s’en fiche. C’était le fond qui était important, et qui était selon moi de grande qualité.

      Vous avez un avis, j’ai le mien, respectez-le.


    • incrédule (---.---.4.237) 14 février 2007 19:53

      Allons-nous enfin toucher le fond de Mme Royal ?


    • Graindesable (---.---.186.246) 14 février 2007 21:18

      @ M. Cadène

      Si je lis bien votre 1ere réponse, vous voulez tout bonnement interdire les sondages. J’imagine, inconsciement, surtout ceux d’en ce moment. smiley C’est un peu illusoire ce projet. (Un peu comme demander la démission de N. Sarkozy serais-je tenté d’ajouter) Mais bon... libre à vous d’oeuvrer dans ce sens. C’est une forme de politique qui n’est pas pret de s’arreter. Mais sachez que moi aussi les sondages m’agacent quelle que soit la direction qu’ils prennent, comme vous, mais je le répète, pour ma part, ils n’influencent pas ou peu les futures élections.

      Ensuite vous avez écrit : « Pourquoi parlez-vous du tailleur de Mme Royal. On s’en fiche. C’était le fond qui était important, et qui était selon moi de grande qualité. »

      Ben justement, le choix de ce costume n’est pas du au hasard. Encore une manière grossière de montrer qu’elle était bien dans le parti socialiste. Bien sur, le plus important est le discours mais ce que je reproche aux socialistes aujourd’hui c’est s’attacher aussi à des détails, de l’emballage, de l’habillage pour montrer meme à celui qui piquerait un roupillon au fond de la salle que la candidate est bien socialiste et à gauche. C’est un peu l’héritage du publiciste J. Séguela qui a longtemps oeuvré (et continu d’oeuvré d’ailleurs) pour le Ps. Les autres hommes et femmes politiques sont plus sobres. Ne me faites pas dire que j’y tiens particulièrement, je dis que les gens de la com du Ps qui pensent à ca, je n’apprécie pas.

      Enfin, sachez que je vous respecte en tant que personne mais toute la montagne que vous et d’autres faites autour du « risque Sarkozy président » est aussi un manque de respect qui ceux qui le soutiennent sincèrement et qui ne sont pas des partisans d’un système Ultra-vérrouillé, Orwellien, Ultra-libéral, sans pitié avec les pauvres et autres qualificatifs outranciers qui peuplent certains forums... On a l’impression que certains vont faire leurs valises si jamais il devient président.


    • machinchose (---.---.168.64) 14 février 2007 23:02

      graindesable, c’est marrant mais vous ne vous demandez pas pourquoi il fait si peur ?? pourquoi j’ai été consterné par l’election de chirac mais je n’ai jamais eu peur pour les valeurs fondamentales de la république. là si.


  • meridien (---.---.158.33) 14 février 2007 16:39

    ne tenez pas compte de la hargne de certains affidés de Sarkozy.Cest normal d’autant que vous affichez votre couleur mais ils jugent l’apparence et non le fond de vos études Poursuivez meridien


  • toto1701 (---.---.23.10) 14 février 2007 16:44

    les hommes politiques font comme si la france etait une prostitué a qui il suffit de promettre la lune pour une pipe !!!!lol


  • (---.---.174.136) 14 février 2007 17:15

    SR s’est servi des sondages pour asseoir sa candidature au ps et pour marginaliser Jospin , DSK et Fabius............et à l’époque les sondages étaient « fiables »


    • Gnole (---.---.192.187) 14 février 2007 21:45

      Heu non... ils l’ont jamais été, mais les militants socialistes l’ont visiblement oublié... ils s’en mordent déjà les doigts smiley


  • rousso (---.---.141.229) 14 février 2007 17:24

    Bravo pour cet article qui a le mérite de ne pas se cacher derrière une prétendue neutralité, et qui surtout nous donne des éléments précis d’informations. Informons-nous, c’est l’essentiel, et ne nous laissons pas berner par la mainmise du système Sarkozy. Oui, ce n’est ni du fantasme ni la paranoïa du complot, il y a bien un système Sarkozy de mainmise sur les médias au sens large, il faut donc rester vigilant, ne pas prendre ce qu’on nous sert pour argent comptant et chercher les info de manière sérieuse et par nous-mêmes. Ces forum, espaces de liberté, en sont l’occasion : non s’attaquer, mais s’envoyer des info.

    Concernant cette pseudo polémique sur le traitement des anciens sondages favorables à Ségolène Royal, les reflexions de cet article invitent également à s’y intéresser, en montrant les limites d’objectivité dans la constitution des panels et des questionnaires. Les médias ont leurs propres logiques de vente, cela a été rappelé.

    Enfin, sur la prétendue 3ème voix Bayrou, qu’on entend beaucoup ici, je voudrais rappeler que cet ancien ministre de l’Education Nationale, catholique pratiquant, a une conception plutôt étroite de la laïcité en voulant faire la part belle aux enseignements confessionnels. Ni droite, ni gauche, pas de programme, il reste effectivement à son mérite une vision haute et honnête des institutions, mais cela ne suffit pas pour gouverner. Je pense que nous avons plutôt à faire à un ballon de baudruche qui se découdra lorsque nous nous retrouverons face aux urnes et qu’il faudra faire un grand choix : Sarkozy ou Royal, que cela vous déplaise ou non, c’est une réalité tangible et plus réaliste.


  • (---.---.192.30) 14 février 2007 17:31

    « Le discours ayant été particulièrement bien reçu par l’ensemble des présents et des commentateurs, on a assisté à un réajustement du positionnement des médias qui se sont montrés plus impartiaux pour nombre d’entre eux »

    Pour un excellent compte-rendu de Villepinte :

    http://supernunuche.unblog.fr/


  • Aérien (---.---.94.152) 14 février 2007 18:05

    Mais, justement, M.« Graindesable », parlez donc du fond de cet article, plutôt que de m’accuser de manière pas très subtile sur tout autre chose.

    vous demandez des preuves de ce qu’avance l’article... vous en avez vous pour réfuter ce qui y est écrit ? ? ?

    Ca devient systématique cette façon de faire... C’est tout de même à celui qui écrit l’article que revient l’obligation de fournir des preuves ! Un peu facile et finalement très partisan...

    Il devient par conséquent, d’autant plus difficile d’interpréter les résultats, si on n’estime que certains sondés ont répondus avec des craintes de représailles.

    No comment !


  • Forest Ent Forest Ent 14 février 2007 18:48

    Du même avis que tout le monde.

    Les instituts de sondage ne sont pas indépendants, et vous en trouverez une structure capitalistique approximative ici :

    http://forestent.free.fr/sonde.html

    Néanmoins, ceci ne change pas les résultats affichés. Plus simplement, ce sont des entreprises à but lucratif qui produisent ce qu’on leur demande de produire, et il est assez trivial d’obtenir le résultat souhaité en aménageant la question.

    Le biais vient en fait des commanditaires, c’est à dire des médias qui les publient, dont vous trouverez la structure capitalistique sur le même site.

    Il est tout sauf crédible que le FN émarge dans les sondages publiés à 10%. Les instituts sont parfaitement capables de corriger ces chiffres s’ils le souhaitent. Si l’on ne leur a pas demandé, c’est pour une bonne raison. Propagande de plus ou moins bonne guerre ...


  • rousso (---.---.141.229) 14 février 2007 18:54

    Pour élargir sur la politique de copinage de N. Sarkozy, lisez la note fort instructive de M. Onfray :

    "Jaurès, Blum copains de Mussolini ?

    Pour ceux qui se souviennent du Nicolas Sarkozy nouveau de la Mutualité, gauchiste en diable, ami de longue date de Jean Jaurès et copain de vélo de Léon Blum, du lecteur ancien d’Albert Camus et du compagnon des résistants gaullistes de la première heure, mais qui auraient oublié le Nicolas Sarkozy d’avant, c’est-à-dire l’homme de droite , autrement dit celui d’après demain, une fois l’élection passée, il est bon de savoir que son livre français Témoignage a été traduit en italien pour le compte des éditions Nuove Idee et préfacé par Gianfranco Fini qui dirige l’Alliance Nationale un parti qui descend en ligne directe du MSI le parti fasciste mussolinien. Ledit Fini prétend tourner le dos à son passé fasciste mais en 1994 il écrivait encore : « Mussolini a été le plus grand homme d’Etat du XX° siècle ». Jaurès, Blum et Benito, même combat ?"


  • oweiss1965 oweiss1965 14 février 2007 19:15

    Cher Nicolas,

    Je vous ai lu avec attention.

    Si je peux me permettre d’ajouter un peu de décrédibilité aux sondages, je vous confirme qu’en tant qu’e-militant, nous recevons chaque jour des courriels nous indiquant là où il convient de porter notre clic et là où nous pouvons nous exprimer. Il s’agit bien d’une guerre médiatique dont la limite se retrouve le jour de la votation et le pire exemple en 2002.

    Les partis de gauche, tout du moins le parti socialiste a compris que la bataille des influences commencait sur les nouveaux outils de non communication. Le vrai danger de nos sociétés futures sera dans la profusion d’informations non vérifiées et transmises sans contrôles, les Wikipédia de l’information (tout le monde peut mettre n’importe quoi et cela devient un sujet de référence).

    Pouvons nous demander aux sondeurs les résultats bruts, non corrigés des variations saisonnières, la répartition sociologique, l’histoire des sondés, que faisaient leurs parents,... Est ce que cela à un sens ?

    Nous devrions tout d’abord mettre en garde tout le monde qu’il s’agit bien d’une bataille d’influences pour arriver au pouvoir et rien d’autre en ce qui concerne la politique, qu’il s’agit d’une vision d’une société qui pour chaque camps est la meilleure façon d’agir sur les peuples.

    Les personnes qui ont des idées ne sont pas ceux qui veulent le pouvoir, seuls de grands Hommes aquièrent de la profondeur avec la fonction (Mitterand, De Gaulle,...).

    Alors, comme sur les paquets de tabac, avant chaque sondage, mettons une petite phrase : « Nuit seulement à celui qui y croit » ou « La raison du plus fort n’est pas toujours la meilleure » ou encore « Croire aux sondages c’est comme croire à la météo,... ».

    A bientôt.


  • candidat 007 (---.---.41.75) 14 février 2007 19:41

    Le sondage est un produit.

    « Résumons : celui qui commande, celui qui paye et qui fait publier peut faire dire ce qu’il veut aux sondages »

    Pourquoi le PS n’achète t’il pas un sondage ? en proposant les questions à poser aux sondés.

    1) je crois en fait que les partis politiques sont les plus gros clients des instituts de sondage ; C’est aussi pour cela que la triche n’est sans doute pas si grave ; biens sûr les questions peuvent être biaisées.

    2) le sondage ça fait vendre. les journaux et médias sont donc intéressés par ce produit.

    3) le sondage n’aime pas trop bousculer les pouvoirs.( qui sont les clients) les questions sont donc souvent anodines ou tellement ambigues que l’important n’est pas la réponse, mais les interprétations que pourront en donner les journalistes, les pouvoirs pour entretenir des débats sans queues ni tête, pour susciter des contreverses artifielles qui ont pour seul objet d’occuper « le temps des cerveaux disponible ». Le sondage c’est coca-cola.

    4) le sondage ne donne qu’une indication à un moment donné. donc il faut faire des sondages à répétititon pour être sûr. le sondage est un produit ou une machine qui s’entretient tout seul.

    5) tout le monde a besoin d’avoir un sondage à se mettre sous la dent. Ca fait plus sérieux dans la discussion. Mais pour que l’argument du sondage pèse dans la discussion, ne jamais omettre de dire avant, que bien sûr on ne croit pas aux sondages. Une petite introduction sur les dangers et périls du sondage fait encore plus savant et consencieux. Après vous pouvez donner vos chiffres qui sont ainsi devenus incontestables.

    à suivre....


    • armand (---.---.106.164) 14 février 2007 19:59

      Oui, le PS devrait se payer plus de sondages ! Je suis d’accord. Mais le PS devrait aussi se payer 4 ou 5 groupes de presse, 7 ou 8 télés, 10 stations de radios, tous les quotidiens régionaux, etc. Car comme nous l’apprend cet article un bon sondage est un sondage « commenté » et « publié »


    • machinchose (---.---.168.64) 14 février 2007 20:04

      Voilà c’eest tout le problème. Parce qu’en ce moment quand on voit la couverture de la campagne par le nouvel obs sur internet... ça ressemble au Figaro mais en plus sarkozyste...


  • conophobe (---.---.48.41) 14 février 2007 19:46

    Même les sondages sur vos commentaires sont pipés. Faites l’essai. Agora vox est orienté à gauche !! Je serai probablement censuré, cela n’a pas d’importance, je le ferai savoir sur d’autres sites, objectifs bien sûre.


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