mardi 17 novembre 2020 - par George L. ZETER

Un monde vide de contacts tactiles

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Distanciation sociale, amour virtuel et même paiement sans contact, tout tend à ce que l’humanité ne se palpe plus du tout, que les contacts directs soient entrés dans l’ère des coutumes obsolètes, dans le « pas touche à mon Covid ! ». Pourtant, aller vers l’autre par le toucher et un formidable moyen de le rejoindre dans ce qu’il est. L’élan vers l’autre de réconfort par la gestuelle est quelque chose de naturelle. Quand survient une épreuve le premier réflexe est de prendre dans ses bras, de tapoter une épaule, de donner un hug, nous sommes tactile plus ou moins selon notre tempérament et notre culture. « L’importance du contact physique commence très tôt dans la vie, dès la naissance. Lorsque le nourrisson arrive, il a besoin de sentir un contact de peau à peau. Le sens du toucher permet de sentir qu'on est accueilli et qu'on a une place dans le monde. Être touché, pas seulement de manière fonctionnelle mais avec un contact chaleureux et attentionné, permet de construire un sentiment de sécurité chez le tout petit. Ce sens du toucher se développe ensuite chez l’enfant sous la forme d’un attachement physique à ses parents. »[1]

INTERDICTION de serrer les mains, qui ne doivent plus toucher visage ou masque, quant à la bise ? Ce serait du suicide ! Les effusions deviennent malsaines sinon fatales. Des grands-parents embrassant leurs petits enfants, correspondrait à un arrêt de mort selon les communicants, une réunion familiale d’embrassades générales pour un réveillon reviendrait à provoquer l’holocauste du foyer. Quant au toucher dans la relation soignant-soigné, là, c’est devenu le désert de Gobi. Ne pas oublier le télétravail où on virtualise les autres, ainsi que les visioconférences via certaines applications comme Zoom et le top du top, la téléconsultation médicale qui se développe… Pourtant, le toucher est l'un des sens extéroceptifs de l'humain, essentiel à sa survie et à son développement. L’exploration, la reconnaissance, la découverte de l'environnement, la locomotion ou la marche, la préhension des objets, la nutrition, les contacts sociaux et la sexualité ne peuvent être et s’accomplir sans ce sens qu’est le toucher, qui donne des informations par contacts de la peau avec la surface des corps solides et accessoirement par exposition aux fluides (eau, air, etc.). Bref, comme aurait dit Sartre : « La caresse recrée l'être qu'elle caresse »… Tristement, et depuis le Covid, la caresse, le contact, le toucher sont devenus absolutly verboten ! Nous sommes des êtres de cinq sens dont un nous est privé, est-ce viable ? Nous restons cependant inventifs afin de pallier à ces frustrations distancières. De nouvelles pratiques sont nées depuis mars, le "Wuhan Shake", salutation en se tapant du pied les mains dans les poches, le "Elbow Shake" adopté lors de l'épidémie d'Ebola, notamment par certains responsables politiques américains ; Il n’empêche que ce n’est pas la panacée ces ersatz de bisous/saluts, car à chaque fois lorsque je rencontre des amis, j’ai l’impression que nous sommes fâchés…

A entendre des politiciens, tant que le vaccin ne sera pas inoculé à la terre entière, eh bien ce sera pour notre bien qu’il n’y aura plus aucun contact, il en va de la continuité de l’espèce ! Si l’éloignement physique est supposé nous protéger contre un virus, il y a aussi un principe pernicieux qui active nos schémas de peur, d’évitement et réduit la richesse et le champ de notre interaction non verbale.

Nous avons tous un besoin vital de socialisation, nous avons résisté à un million d’années de préhistoire par nos capacités de vivre et coopérer ensemble, l’homme seul n’est qu’un pauvre bipède ayant peu de chance de survie dans un monde de solitude rythmé par l’immatériel, le virtuel et commandé par de l’intelligence artificielle. Ne pas pouvoir embrasser ses enfants, n’aimer qu’à travers des « chattes », ne pas toucher des billets de banque car, crypto monnaie oblige, ne pas palper les légumes et fruits sur un marché et surtout discuter avec les vendeurs/maraichers, ne pas sentir la main rassurante du médecin qui prend le pouls, ne pas se retrouver devant la machine à café afin de critiquer les absents, ne pas s’asseoir avec des amis autour d’un verre, d’un repas, ne pas s’installer dans une salle sombre pour regarder un film et entendre autour de soi tous ces rires à l’unisson, ne pas être supporter dans un stade, ne plus aller à la messe, ne pas draguer dans une discothèque, ne pas, ne plus… Des « chatbots »[2], ou robot logiciel pouvant dialoguer avec un individu ou consommateur par le biais d'un service de conversations automatisées, seront là pour effectuer par le biais d'arborescences de choix ou par une capacité à traiter le langage naturel toutes réponses aux questions du consommateur/patient/citoyen. Ces « chatbots », sont en train de se mettre en place dans les centres d’appels, puis, les vendeurs, les notaires, les journalistes, les… Ne seront plus qu’une histoire ancienne à raconter à nos descendants. Ces mêmes petits enfants qui d’ailleurs selon des chercheurs ont démontré que s’ils utilisent des tablettes, des Smartphones et jeux vidéo un certain nombre d’heures par jour, ils présentent un amincissement prématuré du cortex, signe selon eux d'un vieillissement prématuré du cerveau…[3] A deux générations d’écart, tout le monde va être gâteux, c’est au moins ça !  

Toute cette automatisation, toute cette robotique, toute cette IA et tout ce virtuel, … Et pour quelle finalité ? Faire par cette stratégie de l’isolement tactile et intellectuel qu’au moins une bonne moitié des humains soient mûr pour être régis par des « humains augmentés », qui rendront inévitable la disparition de « l’homme ordinaire » selon un Laurent Alexandre, urologue devenue futurologue : « Oui, les boulots peu qualifiés vont disparaître  ; non, l’école ne prépare pas les enfants à la prochaine révolution technologique. D’ailleurs, il faudrait vite utiliser les progrès des neurosciences dans la pédagogie, sinon la société sera bientôt divisée en deux  : «  les dieux  » d’un côté – «  ceux qui auront le feu sacré du numérique  » –  ; «  les inutiles  » de l’autre – «  ces abonnés au revenu universel qui vivront enfermés dans leur casque de réalité virtuelle  ».[4] Et il ne s’arrête pas là docteur Folamour (de lui-même) : « qu’il faudrait congeler les ovocytes des «  femmes intelligentes  » pour leur permettre de faire davantage d’enfants (histoire de ­remonter un peu le niveau) », et bien sûr, « les femmes connes » seront seulement bonnes qu’à fournir leur utérus comme mère porteuses pour ces femmes supérieures… Quant aux spermes des « hommes dieu » ? Il y a déjà sur catalogues aux USA le choix de semences de prix Nobel et autres grands cerveaux, mais ce n’est pas à la portée de toutes les bourses…

Des néfastes comme cet Alexandre sont légion de nos jours et embouteillent les plateaux TV débitant leurs monstruosités sans être interrompus, leurs « pensées » eugénistes deviennent crédibles, et à force de répétitions et de martellement deviendront la norme de la pensée unique. Y a trop de manants inutiles, il faut éliminer !!!

Georges Zeter/novembre 2020



37 réactions


  • Clark Kent Séraphin Lampion 17 novembre 2020 09:11

    Harry Harlow (1905-1981), un psychologue américain, a réalisés des expériences avec des bébés macaques en les séparant de leurs mères pour voir comment ils réagissaient..

    Dans les cages où étaient placés les bébés macaques se trouvaient deux objets : un biberon rempli, qui leur fournissait l’alimentation adéquate et une peluche, ou une marionnette, qui ressemblait à un macaque adulte. Cette peluche n’avait aucun type de nourriture à offrir au bébé.

    Le résultat a montré que les bébés préféraient la peluche. Quand il avaient peur, ils s’agrippaient avec force à la peluche, et semblaient se sentir en sécurité. L’autre objet n’était qu’un simple aliment qui ne leur donnait ni chaleur ni tendresse.

    Après, il a enfermé d’autres bébés macaques dans des espaces chaque fois plus petits où il n’y avait qu’à boire et à manger pour observer leur comportement dans un isolement total.

    Privés de toute stimulation sociale et sensorielle, les singes ont commencé à montrer des altérations dans leur conduite, et ceux qui sont restés un an dans ces conditions sont restés dans un état catatonique. Ils étaient passifs et indifférents à tout et à tous.

    Arrivés à l’âge adulte, ils n’arrivaient pas à se lier aux autres de façon correcte. Ils ne trouvaient pas de mâle ou de femelle, ils ne présentaient pas de besoin particulier d’avoir une descendance et, parfois, leur passivité leur faisait même arrêter de manger et de boire. Beaucoup sont morts prématurément.

    Les femelles ne parvenaient pas à être enceintes et ne recherchaient plus la copulation, alors Harlow a fabriqué un “râtelier du viol”, pour les faire féconder contre leur volonté. Ces mères ne s’intéressaient pas du tout à leurs bébés, elles les ignoraient, ne leur donnaient pas à manger  : en définitive, elles ne les aimaient pas. Certaines en venaient même à les mutiler, provoquant parfois leur mort.

    Serions-nous des bébés macaques du N.O.M. ?


    • Clark Kent Séraphin Lampion 17 novembre 2020 09:16

      @Séraphin Lampion

      Pour ceux qui aiment les vidéos : lien


    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 17 novembre 2020 10:39

      @Séraphin Lampion

      Sous la vidéo, on lit ceci "Il est paradoxal que ce chercheur ait fait souffrir tant de jeunes macaques pour « prouver » que le lien d’amour et d’attachement était plus fort que l’intérêt pour la nourriture seulement."  smiley


    • I.A. 17 novembre 2020 13:55

      @bouffon(s) du roi

      Exact, et c’est actuellement le gros problème de la recherche : on se démarque par la diffusion, par la publication  avec pour résultats des lapalissades et autres tautologies, sans plus aucune découverte !


    • Adèle Coupechoux 17 novembre 2020 18:34

      @bouffon(s) du roi

      je vous rejoins complètement. Certaines expériences ou essais cliniques ne servent à démontrer que ce que nous savons déjà. Inutile de faire souffrir pour démontrer qu’il y aura souffrance de toute façon.


  • Khermimoun 17 novembre 2020 09:14

    Bienvenue dans le triste monde de l’anonymat, révélateur de l’affaiblissement du lien humain, du tout-communication, où l’indifférence vis-à-vis de l’autre et de ses souffrances est devenue norme et où chaque individu devra de plus en plus subir le contrôle du pouvoir pour la bonne cause ! L’ère du virtuel est belle et bien une réalité qui tue la société à petit feu...


  • babelouest babelouest 17 novembre 2020 09:25

    Cette privation étatique de contacts ressemble fort à un moyen de tuer à long terme toute une nation, en la transformant d’autorité en une vaste nasse où cohabitent en s’ignorant des animaux promis à un sort funeste. Ah, il fallait faire payer à ce Peuple qui a déclenché tant de révolutions, ses sautes d’humeur, en le transformant en amas de créatures tout justes vivantes.

    .

    Cela avait commencé avec la télévision qui avait mis à mal la vie communautaire, avec les téléphones portables qui isolaient déjà les individus... cette fois tout est cassé, ou du moins c’est le but de l’opération. Il ne s’agit pas du tout d’attitudes sanitaires. Le sanitaire n’est qu’un pauvre prétexte. Saurons-nous résister suffisamment longtemps ?


    • Samy Levrai samy Levrai 17 novembre 2020 10:56

      @babelouest
      J’ai beaucoup aimé la phrase de l’ami africain de Dugué, je crois :

      « Le mouton a peur du loup mais c’est le berger qui le bouffe »


    • Francis, agnotologue Francis 17 novembre 2020 11:13

      @samy Levrai
       
       ’’l’ami africain de Dugué’’
       
       « Le mouton a peur du loup mais c’est le berger qui le bouffe »

       
      ça serait pas plutôt l’ami africain de Cabanel ?
       
      Quel qu’il soit, c’est excellent : ça vaut toutes les démonstrations.
       
       Les gens ont peur du covid mais c’est le vaccin qui est redoutable : le covid est redoutable pour les plus fragiles ; le vaccin nous fragilisera tous.
       
       La vaccination qui devrait être une pratique exceptionnelle rigoureusement encadrée par le principe sacro saint en médecine : ’’Primum non nocere’’ (d’abord ne pas nuire) est en train de devenir ma norme en matière de lutte contre les virus.
       
       Cette dérive est hautement mortifère.


    • Samy Levrai samy Levrai 17 novembre 2020 11:51

      @Francis
      mea culpa, Cabanel.


    • Clark Kent Séraphin Lampion 17 novembre 2020 15:27

      @Francis

      Peut-être que Dugué aussi a un ami africain ?
      ce n’est pas interdit.
      Moi j’en ai plusieurs depuis que j’étais allé sur place pour enquêter sur le vol de la Ford T que M. Tintin avait assurée chez nous, les assurances Mondass.
      Un ami mandingue m’avait dit : 

      • « Tant que les lions n’auront pas leurs propres griots, les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur ».


    • chantecler chantecler 17 novembre 2020 16:41

      @Francis
      La dérive est d’en faire mille fois plus que pour une épidémie de grippe ou quand on a un gros rhume.
      Pendant lesquels la population prend quelques précautions , mais n’est pas infantilisée ni manipulée par nos cadors au pouvoir .


    • Adèle Coupechoux 17 novembre 2020 18:36

      @samy Levrai

      Ce ne serait pas le vieil ami africain d’Oliver Cabanel ? smiley


  • ahtupic ahtupic 17 novembre 2020 09:44

    Soyez rassurés. On est en automne mais les vaccins fleurissent comme les fleurs au printemps. Pour ceux qui veulent se faire vacciner, va falloir qu’ils fasse un tirage au sort. Un vrai casse-tête. smiley

    https://www.lefigaro.fr/sciences/coronavirus-nouveaux-espoirs-avec-le-vaccin-moderna-amelioration-en-france-20201117

    Mais l’O.M.S., l’agence de publicité des laboratoires a plusieurs balles dans sa cartouchière. Attention à la rougeole, une maladie infantile begnine que beaucoup d’entre nous ont eue. Elle est devenu hargneuse. Vaccinez-vous

    https://www.sciencesetavenir.fr/sante/la-rougeole-a-fait-plus-de-200-000-morts-en-2019-alerte-l-oms_149190

    Ici Troletbuse interdit sur les articles de G.Zeter pour cause inconnue.


    • babelouest babelouest 17 novembre 2020 10:16

      @Francis hi hi, on peut rire, même si l’être qu’on aimait a disparu. Une boutade de ma femme nous avait alors bien divertis, à l’occasion d’un baiser. Elle annonce tout de go : On échange nos chewing gums ?


    • Francis, agnotologue Francis 17 novembre 2020 10:31

      @babelouest
       
       les enfants ont toujours échangé leurs chewings.
       
       Les tout petits, qui mettent leurs mains partout et tout à la bouche, que font-ils sinon renforcer leurs défenses immunitaires ?
       
       Au prétexte de protéger les plus fragiles, on fragilise tout le monde. C’est monstrueux.


    • I.A. 17 novembre 2020 14:04

      @Francis

      Le plus extraordinaire : que ce soit des médecins, qui obligent à ces distanciations, lesquelles sont bien plus des barrières à la vie qu’autre chose !

      Et le légendaire sens commun n’est plus au rendez-vous... 


  • Yann Esteveny 17 novembre 2020 10:14

    Message à Monsieur George L. ZETER,

    Je vous remercie pour le partage de votre bon article.

    L’interdiction du contact atrophie le sens du toucher.
    L’obligation de la muselière altère votre expression orale.
    Votre article publié concernant sur le documentaire « Hold-Up » indique que certains s’arrogent le droit de ce que vous verrez ou penserez :
    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-docu-hold-up-qui-baisse-les-228685

    La déshumanisation se poursuit. Ceux ayant déjà perdu trop d’humanité et dont les sens se sont encore atrophiés par ces mesures ne pourront plus comprendre ce qui se déroule sous leurs yeux.

    Respectueusement


    • Francis, agnotologue Francis 17 novembre 2020 10:29

      @Yann Esteveny
       
      ’’La déshumanisation se poursuit.’’
       
       la déshumanisation de ses proies est une pratique de bourreau. Ceux qui nous rappelaient en abondance la Shoah devraient s’en souvenir. Où sont-ils, ces BHL et Cie dont le silence aujourd’hui est assourduissant ?
       
       Nous sommes dans un train virtuel qui nous conduit vers la solution ... du Grand Reset.
       
      "Olivier Véran a dit : ...’’ ne ratez pas ces deux mn de belle démonstration.


    • Yann Esteveny 17 novembre 2020 11:04

      Message à Francis,

      Ceux qui vous implantent des souvenirs sur le passé, vous imposent une vision du présent et vous conduisent vers un futur programmé sont les mêmes.
      Voici un rappel pour les « distraits » qui suivent Monsieur Bernard Henry Lévy :
      https://www.youtube.com/watch?v=OO12SxE5tRA

      Respectueusement


    • V_Parlier V_Parlier 17 novembre 2020 22:09

      @Yann Esteveny
      Il est vrai que quand G.L. Zeter ne se lance pas dans la théologie il peut faire de bons articles.


  • rogal 17 novembre 2020 11:01

    Interdiction des contacts : comment assurer la continuité de l’espèce ?


    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 17 novembre 2020 11:14

      @rogal

      Le transhumanisme et la robotique combinée, voyons ^^


    • V_Parlier V_Parlier 17 novembre 2020 22:02

      @rogal
      Là je pense qu’ils sont face à un dilemme auquel ils n’ont pas pensé. Pas pour la survie de l’espèce, non ! Au contraire, ils veulent qu’elle disparaisse en grande partie. Mais jusqu’à maintenant, le sexe racoleur comme stimulant de consommation a toujours été utilisé, alors que les équipements de simulation virtuelle en la matière ne sont probablement pas très crédibles...


  • I.A. 17 novembre 2020 14:31

    Les gens s’imaginent au top, avec ces Wuhan ou Elbow shakes, qui leur fait penser au poing-à-poing, le fameux check des « djeuns »...

    Leurs gamins masqués ? Emprisonnés ? En laisse ? Trop chouette : comme des adultes miniatures, sont carrément trop choux !!

    ... Un peu l’impression qu’ils sont tous à l’intérieur d’un film que nous sommes peu nombreux à visionner et à voir pour ce qu’il est. Beaucoup d’entre eux sont très fiers et très contents d’en être, de cette fameuse guerre !

    En fait, j’en ai marre, des cons.


  • ticotico ticotico 17 novembre 2020 18:35

    Je viens de faire un tour en ville... J’ai croisé plusieurs check points, nos protecteurs uniformisés m’ont même arrêté pour vérifier l’ausweiss ainsi que les documents relatifs à l’utilisation de mon engin motorisé...

    Je suis passé devant l’assemblée nationale, la parano gouvernementale s’étalait autour du bâtiment, une escouade de BRAV, une cohorte de CRS, des robocop en tenue de combat... alors que seul un maigre trafic s’écoulait sur l’espace laissé libre par les troupes de choc macroniennes... et pas une manif à l’horizon.

    La France présente de plus en plus l’aspect d’un pays occupé. 

    Et avec ces interdictions de se toucher, la société sans contact, réussit à placer des flics jusque dans nos têtes... sans implant, sans nanopuce...


  • zygzornifle zygzornifle 17 novembre 2020 22:30

    Allez manifester sur les champs zé et vous verrez ce qu’est un contact tactile, les flics vont vous en donner du contact tactile en veux tu en voila et ensuite les urgences pour vous enlever l’œil crevé, cautériser le moignon de la main arrachée, réduire les fractures, enlever les débris de dents cassées etc.... 


  • Adèle Coupechoux 18 novembre 2020 09:41

    Quand les médecins nous tuent...


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