Une journée de la femme, ce n’est pas assez, on en redemande !
Une journée de la femme, pourquoi ? Sur plusieurs chaînes de télévision, ont fleuri ces derniers jours deux ou trois émissions pour évoquer les femmes, leurs droits bafoués, leurs souffrances, leurs cris de douleurs, parfois, mais une journée consacrée aux femmes, est ce suffisant, vu l'ampleur des problèmes ? Quand on pense aux différences de salaire qui existent en France entre hommes et femmes, aux discriminations à l'emploi , quand on pense que la femme n'a obtenu le droit de vote qu'en 1945 en France, que le temps a passé mais que la femme n'est toujours pas l'égale de l'homme, loin de là !
Pourquoi cette image de la femme toujours inférieure à l'homme, toujours dominée, soumise ? Dans le couple même, l'égalité n'existe pas, les tâches accomplies par les femmes restent multiples, même si l'homme "moderne" en prend une petite part. Qui fait le ménage ? Le repassage ? Qui prépare le repas ? La répartition des tâches reste inégale et la femme qui travaille, lorsqu'elle rentre à la maison se doit d'accomplir souvent une deuxième journée de travail...
Au travail, ce n'est pas mieux :les hommes tiennent le haut du pavé : à eux le pouvoir de décider, à eux le droit de s'imposer, de diriger, d'ordonner, à eux de prendre les meilleurs postes, d'avoir plus de responsabilités ! Il est vrai que les hommes ont le pouvoir depuis longtemps : c’est devenu pour eux une seconde nature..
Que dire des violences faites aux femmes dans le couple lui-même ? Violences verbales parfois et c'est inadmissible mais aussi violences physiques avec, on le sait même si souvent on se voile la face, des conséquences dramatiques : une femme meurt tous les 3 jours en France, sous les coups de son conjoint ! Comment peut-on tolérer de telles horreurs dans un pays civilisé et moderne ? Qui peut l'admettre, l'accepter ? Des images terribles de femmes battues, tuméfiées, dégradées ont été diffusées mercredi 7 mars sur ARTE lors d' un reportage intitulé « La domination masculine". Des images qui, hélas, reflètent une triste réalité et qui incitent à la réflexion : dans quelle société vit-on ? Dans quel monde ? On a l'impression de retourner au moyen âge ! Et on parle de la situation faite aux femmes dans les pays du Maghreb ? Les femmes évoquées dans cette émission vivent, bel et bien en France, dans un pays qui se glorifie d'être celui des droits de l'HOMME mais la femme en est-elle exclue ?
Comment ne pas se révolter contre de telles violences ? Il faut, pour le moins, en parler et créer des structures pour assister les femmes en danger...
23 réactions
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Le pion
9 mars 2012 12:31
Je ne pense pas que l’égalité entre hommes et femmes existe et doit exister. Cela n’apporte que dérives. En revanche il y a complémentarité et c’est sûrement la plus belle chose qui soit car la complémentarité nous rapproche. Se battre pour l’égalité c’est nier l’essence, et de l’homme, et de la femme. Il faut défendre, je pense, cette différence, et le respect en découlera. Au regard de la loi, il n’y a rien à modifier : race, sexe et age ne sont pas critères de distinctions. Appliquons la loi sans faillir et appliquons la punition. Mais les hommes d’aujourd’hui n’ont rien dans le caleçon... en tant qu’homme, je peux te dire qu’il m’arrive bien souvent des pensées meurtrières lorsque j’entends mes voisins ou que je constate l’ignoble comportement de mes pairs. Peut être vous faudrait il simplement user de vos droits dans les urnes, sans vous rallier aveuglément aux causes de vos « hommes », pour voir changer cela. Personnellement, j’apporte ma voix aux femmes pour ces élections et espère beaucoup pour vous... et nos enfants. Mon avenir est loin derrière, je n’espère plus rien pour moi.
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Le pion
9 mars 2012 12:59
C’est dit avec légèreté mais c’est tellement vrai. Cette journée n’est qu’un reste de table donné aux femmes. Et quelques unes, pendant ce temps, sont heureuses de modifications de la langue française qui n’apportent finalement que moins de respect. Rien qu’un merci « ma-demoiselle », en insistant bien sur la séparation, m’ont offert la vision de charmants sourrires de contentement en retour... maintenant je dois dire quoi ? Madame ? Ridicule et avilissant... femmes et hommes perdent beaucoup à ce jeu là.
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velosolex
9 mars 2012 16:01
Bon article, qui bien que court alimente le débat
Je suis assez optimiste sur l’égalité homme-femme, bien que le terme ne me parait pas adéquat. Mais qui peut être opposé à une volonté d’harmonisation de la société. La psychologie et la sociologie, valeurs servant à justifier des positions acquises, sont des sciences évolutives.
De même que l’homme et la femme.Ma-demoiselle, ma foi je n’y avais jamais pensé ; mais on pourrait aussi bien décliner du mon-sieur.
Faire une opération stalinienne sur la langue française me parait être d’une bêtise et d’une ineptie totale, tout comme ce prétexte d’égalité, appliqué justement à la république des soviets, qui, a amené là où nous savons.
Voilà que l’on veut s’attaquer aux accords, certains ou certaines ne supporteraient pas le masculin l’emporte sur le féminin. C’est là confondre la lettre et l’esprit, et ce n’est pas peu dire.
Vive l’égalité des sexes et des droits, mais à bas une société du politiquement correcte, sans saveur aucune.
Heureusement, la plupart des femmes ne considèrent pas encore que de se mettre en jupe est se mettre ostensiblement sous le regard du mâle dominant, en tant qu’objet : Dérives parfois totalitaires du féminisme.
Il en est de même pour la liberté, la sécurité surtout, qui sous ses airs de mot mère poule, cache l’enfer d’une société du controle.Quand j’’ai écrit « à bas » un peu plus haut, j’ai pensé aussi « à mort ».
Et je me suis rendu compte que cette exclamation a disparu du champ des expressions, comme tant d’autres si usités, que l’on s’aperçoit un jour avec surprise qu’elles sont maintenant démodées.
C’est que les rapports de violence sont maintenant expurgés du champ léxiqual, et social. On ne donne plus « de coups de pieds au cul » aux enfants. Il reste des mâles impulsifs, mais la condamnation sociale me semble condamner ce genre de pratiques.Quid de cette journée de la femme. Espérons qu’un jour on n’en aura plus besoin.
Espérons aussi qu’on aura pas à se confronter à une journée de la pauvreté,
mais ça semble malheureusement bien parti.A moins que !
Tous les excès totalitaires des dernières années, ayant amené les catastrophes économiques et écologiques peuvent amener maintenant à un renouvellement de l’éthique, dans lequel le débat confrontation homme-femme sera le premier à être dépassé
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jymb
9 mars 2012 15:05
J’ai surtout remarqué en survolant ces émissions que se dévoilait enfin l’ineptie de dresser les femmes contre les hommes, devenus les coupables désignés d’avance qu’il faut faire payer, traîner en justice ou accuser de toutes les turpitudes. La misandrie se porte de mieux en mieux grace à tous ceux qui sous de nobles prétextes atomisent la société.
J’ai été heureux d’entendre que les textes de lois ou spots de com’ ou la victime était toujours la femme et le salaud l’homme n’était que du pur sexisme de base -
orage mécanique
9 mars 2012 16:01
les femmes qui se sentent soumises en France devraient arrêter de fréquenter des cons.
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le journal de personne
9 mars 2012 16:33
Mon père…
Ça fait longtemps… que je voulais…… mais je ne l’ai jamais fait…
Me confesser… je ne sais… même pas à quoi ça sert… de se vider de … ses déchets… je ne suis même pas sûr… que ma conscience s’en tirerait à bon compte… mais je voulais tout de même essayer… me l’avouer… me l’entendre dire…Il y a trois ans jour pour jour, j’ai eu droit à un… viol conjugal… qui est considéré comme chacun le sait comme un CRIME par les docteurs de la Loi.
Cette nuit là… je ne sais ce qui m’a pris… mais je n’avais absolument plus envie… de lui… il l’avant senti… il m’a attaché les mains et les pieds avec une chaine rouillée, puis il m’a frappé fort, de plus en plus fort… tenta même de m’étrangler… avant de me pénétrer… avec beaucoup de cruauté…j’ai saigné, pleuré, puis j’ai fini par craché le morceau devant un juge d’instruction.
Il a tout renié en bloc, en expliquant que c’était notre manière de nous défaire en faisant l’amour… il a été condamné à 4 ans de prison dont 2 fermes… il n’a pas supporté la prison, et s’est donné la mort trois jours après…Parce que je ne vous ai pas tout dit. En vérité… j’avais un amant… et je voulais me débarrasser de mon éternel mari… comme dirait Dostoïevski.
J’ai donc prémédité son forfait… pour un crime c’était plus que parfait.
J’ai agrémenté nos nuits avec quelques objets, quelques jouets, quelques obscénités… et je lui ai appris à devenir méchant à chaque fois que je faisais semblant de lui résister… il est tombé dedans… comme un pigeon que l’on plume juste pour qu’il nous serve d’enclume.
Le jour de mon mariage, il n’aurait jamais dû dire oui ! Il ignorait ce qui l’attendait… un scénario bien ficelé… par une JUSTICE bien ciselée !J’y vais parce que mon amant risque de s’impatienter… parce que lui aussi ignore tout de ce que je viens de vous raconter…
Vous ne me connaissez pas, et vous me détestez déjà ?-
rosemar
9 mars 2012 22:05
OUI voilà un scénario possible bien sûr:les femmes ne sont pas exemptes de défauts,elles peuvent être menteuses,odieuses bourrées de défauts mais le fait est que la violence vient le plus souvent des hommes .non ?
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KeVal ?
9 mars 2012 16:52
Toujours les mêmes choses répétées, et aucune solution. Les hommes subissent des violences aussi. Les hommes subissent des violences de la part de femmes, parfois.
Combien d’hommes en prison pour de fausses accusations de viol ? -
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C BARRATIER
9 mars 2012 18:05
La journée a été mondiale. Peu à peu les idées circulent. La résistance à cette égalité s’affaiblit idéologiquement, mais reste encore très solide idéologiquement. Les seules résistances fortes sont d’origine religieuse. Le recul des religions, là où il se produit, est une bonne nouvelle pour les femmes.
Voir dans la table des news :
Femmes écrasées par des dogmes religieux
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Aurélien Péréol
9 mars 2012 18:19
Le choix de l’image (avec le texte inclus) est vraiment malhonnête et même carrément crapuleux.
Encore un texte qui accable les hommes et leur fait honte. Le harcèlement que subissent les hommes en ce moment est la violation des principes fondamentaux de notre société et de notre civilisation.-
rosemar
9 mars 2012 19:40
Il paraît tout à fait malhonnête d’inverser les rôles !! Les statistiques sont là ,irréfutables:se voiler pudiquement la face est scandaleux...Cet article n’accable pas les hommes mais certains hommes et leurs comportements : si vous ne les condamnez pas ,vous admettez la violence faite aux femmes !
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Aurélien Péréol
9 mars 2012 20:25
à rosemar
Vous pratiquez un racisme anti-homme. Le choix de votre photo n’est pas acceptable. Pourquoi n’avez vous pas mis les amoureux de l’hôtel de Ville de Robert Doisneau ?Les statistiques sont tout à fait contestables, parce qu’elles sont établies sur la base d’une idéologie de haine et de violence envers les hommes.Vous ne trouverez nulle part l’évocation d’un million d’homme en prison pour des années et depuis des années pour fausses accusations de viol, de pédophilie, accusations portées par des femmes (leurs épouses souvent) et créditées de vérité de ce fait-là.Vous êtes raciste. -
BOBW
9 mars 2012 20:29
« Violences verbales parfois et c’est inadmissible »
Soyons réalistes : cet irrespect est pourtant souvent partagé. Ne le niez pas, sinon ce serait sexiste.Et les enfants qui sont aussi parfois enlevés à leur père qui les aime ? -
rosemar
9 mars 2012 20:36
Non ,je ne suis pas raciste : j’évoque simplement un problème qui entache notre société et qui est bien réel:ce n’est pas moi qui invente des statistiques:je suis sidérée quand je vois ces chiffres et je ne peux tolérer que des femmes soient soumises à de telles violences...Et vous ?
La mort des femmes est inadmissible comme celle de hommes quand elle est due à la violence..Le racisme consiste à utiliser justement la violence ... -
rosemar
9 mars 2012 20:42
Bonsoir BOBW
Oui, tout dépend des insultes proférées mais certains propos sont inadmissibles...aussiPour les enfants ,la garde alternée existe -
Aurélien Péréol
9 mars 2012 21:06
Pour les enfants ,la garde alternée existeVous écrivez :les « juges » ne l’ordonnent pas.Lisez « les Petits » de Christine Angot et vous verrez qu’un homme dans un divorce n’est pas un humain, que sa parole est trahie à la source, qu’il n’a aucun droit et que dans une divorce la femme domine et tue, la juge (les juges sont des femmes à une écrasante majorité) servant d’outil à la femme. Christine Angot, qui écrit ce récit, est une femme, non ?Actuellement, les femmes dominent et écrasent à mort les hommes par cette paranoïa victimiste par laquelle elles ont réussi à faire croire à tout le monde qu’elles étaient victimes tout le temps. Joli coup !
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Acid World
9 mars 2012 19:58
Le piège est que tout cela tourne à une lutte des classes stérile entre hommes et femmes. Le sexisme est largement entretenu par la publicité, et plus largement par le capitalisme qui est dans une logique conquérante masculine, très cliché même.
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rpplbis
9 mars 2012 23:02
Allez lire les violences faites à un homme qui laisse sa femme mener sa carrière professionnelle, qui fait le ménage, s’occupe des enfants. Allez lire la haine qu’il reçoit des experts et des juges. « De taille à peine moyenne’ voilà le type d’injures sur lesquels les juges appuient leur décision.Voilà les qualificatifs qu’il reçoit : »aigri« déçu », « jaloux », « jaloux de sa femme » et « jaloux de toutes les femmes »http://rpplbis.blog.lemonde.fr/le 9 février, on trouve sur ce blog le texte honteux qui sert de base à une décision de justice. Cet homme qui fait plus de la moitié du travail à la maison se fait pilonner à mort par les experts et les juges, soi disant que les hommes sont dominants.Allez lire ce blog.Vous verrez une homme jugé parce qu’il est coupable de faire une « confusion des rôles parentaux ». Si si. Les juges ont jugés que l’homme « volait le rôle de mère à la mère » et c’était pour eux la violence qu’il faisait à la femme.La condamnation identitaire des hommes telle que vous et bien d’autres la font est un non-sens, une violence ignoble.Allez lire ce blog -
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Lorelei
10 mars 2012 01:34
le monde est sauvage quand vous regardez autour de vous, on a toujours son esclave, l’ouvrier la femme de menage, ainsi étrangement tous nos systemes sont basés sur l’idée d’une caste inférieur, la différence est regardé comme étant une chose impliquant la non égalité en droit, j’entendais un débat avec des arguments totalement idiots du type mais voyons les femmes sont traitées cruellement en afghanistan, en inde etc...soyez contente femmes d’occident, pourquoi voulez que dans la langue on n’est pas de domination du masculin, et ce propos est idiot, en chine les ouvriers sont des esclaves, doit on alors traiter les ouvriers en occident de la même manière et ses derniers doivent ils être contents d’être un peu moins serfs qu’en chine ? non bien on trouverait tous ça idiots, mais ce nivellement par le bas existent partout...car nous avons un monde où tous les êtres ne sont pas vu comme des personnes, des caractères, des capacités mais des choses marchandes auxquelles les pouvoirs ont attribués des places, ses pouvoirs peuvent être les religions monotheistes à l’origine d’une idéologie basés sur la domination et la servitude de l’homme par un dieu, et on a continué ça, dans nos philosophies....et tous nos systemes. Et je ne parle même pas des droits des enfants, eux, ils sont des riens même juridiquement un enfant c’est pas grand chose, et il n’y a pas si longtemps pour les femmes c’étaient le cas mais c’est aussi le cas pour tous ses métiers vu comme étant de la caste inférieur
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King Al Batar
10 mars 2012 10:20
Quelle connerie cet article.
Elles en ont pas assez de nous faire chier avec leur fantomes du passé. Sans déconner ! Les femmes aujourd’hui ne serait pas l’égal de l’homme dans notre société... ? J’observe le monde dans lequel je vis et je ne le constate vraiment pas.
Ls chiffres de la violence faite au femmes sont totalement manipulés et de plus en plus de gens le savent. Petite démonstration. UN femme meurt tous les trois jours sous les coups de son mari. Attendez je fais mon petit calcul... 360, ca fait a peu près 120 morts par an.
Il y en a, dans ce groupe la, qui sont des victimes de violence conjugales et effectivement ce cas est totalement dramatique. Ce que vous oubliez de dire madame, c’est que votre statistique inclu ce que l’on appelle le crime passionnel. Crime passionel qui est, il faut le savoir, le crime le plus commis en France (entre 250 et 300 cas par an).
Donc pour information : la violence conjugale c’est le connard qui bat sa femme, le crime passionnel c’est le (ou la cocu) qui pete un cable et qui (de maniere unique) va tuer s femme ou son mari, eventuellement à coup de poings. Je suis navré de vous annoncez que l’importance des crimes passionnel dans notre société n’a strictement rien a voir avec l’égalité des sexes.
En suite les salaires. Il existe depuis longtemps des statistiques qui tendent à demontrer, et socialement c’est très interessant, mais trop honnete pour être relevé par les menteuses féministes, que les ecarts de salaires sont essentiellement fonction des catégories sociales, et qu’effectivement plus on monte dans l’importance des revenus et plus les ecarts sont croissants. Ce qui revient à dire que, parmis les metiers non cadre, ou qui rapporte moins de, allez, 4500 euros par mois, il n’y a pas ou peu d’écart. Plus encore chez les ouvriers, et autre metier ne necessitant pas de diplome très élevés, ou la les égalités sont parfaite, alors que ces postes constituent la majorité des emplois. Tout ca pour dire que le fait de savoir que madame la cadre dirigeante gagne 11000 euros quand un homme au meme poste en gagne 14000, j’en ai rien a foutre. Moi je me soucie des inégalité salariale entre les classes sociales, et l’injustuce me parait bien plus importante entre les riches (hommes ou femmes) et les pauvres (hommes ou femmes) qu’entre les hommes et les femmes. La femme n’étant pas une Catégorie sociale, je ne pense pas que la caissière a Prisu ait le meme mode de vie que l’avocate.
Enfin, par rapport à l’extreme pauivreté les femmes en France sont clairement avantagée. En effet, si vous observé les SDF, il n’y a en grande majorité des hommes (evifemment les femmes sont dans des foyers resevrées, et quand elles ont un enfant elle percoivent des aides de l’état) et ce sont eux qui crevent de froid et de faim en hiver. Les eboueurs ou les livreurs de pizzas sont aussi en grande majorité des hommes, alors que je pense que les femmes ont les memes compétences dans ces domaines. au lieur de cela elle elles ont le ménage industriel (en comparaisaon avec eboueurs) et gardent des enfants pour les étudiantes, tandis que les étudiant crevent sur les mobilette chargé enpizzas...
Il st évident aujourd’hui qu’il y a des inégalité dans la précarité et qu’elle sont clairement en défaveur des hommes, mais ca ce ne sont pas les laides feministes qui vont s’en plaindre.
Si leur combat fut utile, en 1975, aujourd’hui il me parait plus que futile...
Allez une dernière pour la route, bien méchante, pourquoi les feministes sont elle dans leur grande majorité des femmes laides ? NE serait ce pas plutot contre les inégalité moche beau qu’elle devraient se battre (et je vous assurent qu’elles existent et que c’est flagrant). N’osent elle pas assumer leur laideur, et ne ce serait ce pas pour cette raison quelle disent femmes dnas leur globalité, alors qu’elles en representent jamais que les laiderons.... ?-
King Al Batar
10 mars 2012 13:26
Bonjour,
Vous pouvez également rajouter a votre liste les philosophes, grand réducteurs de la femme devant l’eternel !
D’une manière générale, tous ces hommes qui revendiquent prétentieusement une élévation spirituel par quelque biais que ce soit (religion ou reflection) ont clairement identifié la femme comme leur ennemie. En effet, elle leur rappelle que ce ne sont que des hommes et que, malgrè tous leur pipots pour essayer de nous faire croire qu’ils nous sont supérieurs par leur esprit, ce ne sont que des hommes avec des pulsions naturelle.
Le machisme religieux et philosophique est en fait une forme de négation de son humanité, voir de son animalité, et le refus d’admettre que nous avons des pulsions et que le cerveau n’est pas systématquement le maitre de notre organisme.
Coridialement,
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