jeudi 2 juin 2016 - par doctorix, complotiste

Vaccinations : moi, médecin, je déconseille. En particulier le ROR

Depuis 7 ans, je ne vaccine plus. Je ne vaccine plus parce que j'ai appris à connaître les vaccins au travers d'une centaine d'ouvrages. Je vaccine quand même avec les trois vaccins obligatoires, Diphtérie, tétanos et Polio, juste pour rester dans la légalité, mais après de nombreuses mises en garde auprès des candidats (comme c'est d'ailleurs la loi : devoir d'information).

C'est donc sans grande surprise que j'ai appris que le CDC, Center of Disease Control, l'agence d'investigation sur la santé la plus importante de la planète, s'était rendue coupable de fraude, de dissimulation de données, à propos des effets indésirables du ROR, le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole.

Elle a jeté des informations, retiré des données, modifié les chiffres des études, induit en erreur le Congrès.

Non seulement cette agence a dissimulé les preuves évidentes d'un lien avéré entre l'autisme et ce vaccin, mais elle s'est ingénié à persécuter les tenants de cette thèse, dont le Dr Wakefield est le découvreur et le chef de file. Cela a coûté à ce dernier sa carrière, son autorisation d'exercer, et il a même du s'expatrier.

Pourtant il tient bon, et nous propose aujourd'hui, avec le journaliste d'investigation et réalisateur Del Bigtree, un film mettant en lumière l'étendue de la fraude, et les effroyables ravages causés par ce vaccin. Il s'agit de "VAXXED".

Un dénonciateur, le Dr. William Thompson, venant du CDC lui-même, est sorti del'ombre et a affirmé que le CDC avait commis une fraude dans l'étude du ROR, et qu'ils savaient que le ROR était la cause de l'autisme.

De nombreux médecins connaissent parfaitement le lien ROR-Autisme, mais se taisent par crainte pour leur carrière.

Il faut savoir que nous somme passés de un cas d'autisme sur 15.000 naissances en 1978, à plus d'un cas sur 50 en quelques années. Nous sommes en train d'atteindre progressivement un cas sur deux en 2032, dont 80% de garçons, si rien n'est fait.

Déjà, en 2014, il y avait plus d'un million d'autistes (aux USA seuls, je pense, NDA)..

C'est donc une catastrophe planétaire, et même un génocide, qui évolue dans la plus grande indifférence des autorités de santé du monde entier, et même avec leur complicité.

Au tout dernier moment, ce film a été retiré du Festival du film TREBICA. Il est l'objet d'une censure.

Il est projeté dans quelques salles aux USA, et nous attendons une version française qui ne saurait tarder.

Ce film, c'est VAXXED, et si un lecteur peut donner un lien vers une version complète et si possible française, qu'il en soit remercié.

En attendant, voici sa présentation :

Ainsi que sur ce site : http://vaxxedthemovie.com/

Vous trouverez dans le lien suivant une excellente présentation sur le site Initiative Citoyenne,

http://initiativecitoyenne.be/2016/04/vaxxed-de-la-dissimulation-a-la-catastrophe-le-documentaire-sur-les-vaccins-qui-derange-terriblement.html

Elle se termine par un commentaire sans indulgence du Pr. et Prix Nobel Jean-Luc Montagnier, qui appelle à signer une pétition contre la censure de ce film :

Commentaire du Pr Luc Montagnier et invitation à signer la pétition contre la censure du documentaire :

 

"Respecter la vérité scientifique est la base de la crédibilité des institutions responsables de la santé publique. Si elles manquent à ce respect elles s'exposent gravement à une perte de confiance de la part du public. Les CDC d'Atlanta semblent avoir falsifié les résultats d'une de. leurs propres études qui montrait une corrélation entre l'apparition de l'autisme et une vaccination R0R (en anglais MMR) chez de jeunes enfants afro-americains ‎. Cette falsification, révélée par un de ses auteurs, permettait de conclure à l'absence de corrélation, ce qui a contribué à continuer les vaccinations sans en changer les conditions. Outre les dommages aux jeunes victimes, cette affaire amplifie la peur des vaccinations dans le public, ruinant ainsi les politiques de prévention des maladies. C'est ce que décrit le film d'Andrew Wakefield, médecin chercheur et lanceur d'alerte avec courage et lucidité ." 

Pr Luc Montagnier

 

Signez la pétition : ICI

 



112 réactions


    • njama njama 11 juin 2016 12:14

      @doctorix
      Ils disent aussi :
      Les médecins académiciens ne veulent pas lever l’obligation vaccinale. Ils suggèrent d’élargir la liste des vaccins concernés et de les rendre « exigibles ».


      Pr Pierre Bégué, président de l’Académie de médecine : « Nous émettons la proposition d’une liste de vaccins exigibles, puisque le terme d’obligation passe mal. »
      Ce terme n’est pas choisi au hasard : il ouvre la voie à une législation moins lourde. Élargir la liste des vaccins obligatoires suppose un changement du code de la santé publique. « L’exigibilité relèverait du décret », précise Pierre Bégué. Cette approche présente aussi l’avantage de lever l’ambiguïté du « recommandé »  : l’exigibilité se rapproche du système britannique, où les vaccins sont indispensables (mandatory).
      http://www.pourquoidocteur.fr/...

      Pourquoi doctoriX ? C’est quoi docteur la différence entre un docteur en médecine et un médecin académicien ?
      Y-aurait-il un lien de subordination « scientiste » entre les deux ? par quel statut républicain que nous ne connaitrions pas ?
      Nous lassons aux lecteurs d’Agoravox toutes latitudes d’apprécier les nuances entre « vaccins obligatoires » et « vaccins exigibles », l’interprétation ne relevant que de leur seule responsabilité ... smiley


    • Francis, agnotologue JL 11 juin 2016 12:33

      @njama
       

      moi je propose la définition suivante : un vaccin exigible est un vaccin que peut à bon droit, exiger un patient.
       
       Elle est pas belle, la langue française ?

    • doctorix, complotiste doctorix 11 juin 2016 15:17

      @JL

      Plutôt qu’un vaccin exigible, on préfererait des vaccins exigeants, des fabricants et des vaccinateurs du même tonneau.

  • njama njama 10 juin 2016 14:09

    @doctorix

    Le ministère vient d’ augmenter en catimini les effectifs des brigades vaccinales !
    On peut se demander ce qu’il adviendra du devoir d’information *, le décret étant applicable dès promulgation ...

    (cela ne viendrait pas l’idée de vacciner une femme enceinte !!!)

    Décret n° 2016-743 du 2 juin 2016 relatif aux compétences des sages-femmes en matière d’Interruption volontaire de grossesse par voie médicamenteuse et en matière de vaccination.

    Art. 5 - Section 7 Participations des sages-femmes à la politique vaccinale

    Art. D. 4151-25. - La sage-femme peut prescrire et pratiquer les vaccinations de l’entourage, dès la grossesse de la mère et pendant la période de huit semaines qui suit l’accouchement, conformément au calendrier des vaccinations mentionné à l’article L.3111-1 et dans les conditions prévues au dernier alinéa de l’article L.4151-2.
    L’entourage comprend les personnes vivant dans le même domicile que l’enfant ou fréquentant régulièrement ce domicile, ou étant chargées de sa garde régulière en ce lieu.
    La sage-femme inscrit dans le carnet de santé, le carnet de vaccination ou le dossier médical partagé de la personne la dénomination du vaccin administré, son numéro de lot et la date de son administration. En l’absence de dossier médical partagé ou de carnet de vaccination électronique, elle transmet ces informations dans le respect du secret professionnel au médecin traitant de cette personne.
    http://www.cesu-45.net/wp-content/uploads/2016/06/decret-sage-femme-IVG-et-vaccination.pdf
    .
    IVG médicamenteuse, vaccination : les compétences des sages-femmes élargies par décret
    http://www.lequotidiendumedecin.fr/...

    *
    loi dite Kouchner, l’article L. 1111-2 du code de la santé publique impose au médecin d’informer le patient sur « les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences éventuelles, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus ».


    • njama njama 10 juin 2016 15:17

      correction : (cela ne me viendrait pas l’idée de vacciner une femme enceinte !!!)

      Ceci il y a quelque chose de pourri de considérer que la grossesse serait un état pathologique, et les femmes enceintes des sujets à risques ...
      en plus de faire subir à l’embryon, au foetus, les effets de ces vaccins et des substances toxiques qu’ils contiennent.


    • doctorix, complotiste doctorix 12 juin 2016 09:58

      @njama

      A noter que les vétérinaires ne vaccinent pas les animaux en gestation...

  • njama njama 10 juin 2016 15:03

    Les risques de SLA (sclérose latérale amyotrophique) figurent pourtant dans la notice de l’ANSM du GenHevac B contre l’hépatite B de Sanofi-Pasteur MSD

    "Ont été très rarement rapportées :

    · réactions allergiques sévères,

    · atteintes diverses du système nerveux périphérique ou central : neuropathies périphériques : polyradiculonévrite (atteinte diffuse des racines des nerfs périphériques souvent d’origine inflammatoire), paralysie faciale] ; névrite optique (lésion du nerf optique) ; atteintes démyélinisantes du système nerveux central (poussée de sclérose en plaques) survenant dans les semaines suivant la vaccination, sans qu’un lien certain de causalité n’ait actuellement pu être établi"

    ...
    Information du patient : encore un revirement de jurisprudence !
    [........]
    L’arrêt du 23 janvier 2014 :

    Dans l’affaire concernée, un médecin généraliste, le Docteur H., a administré ou prescrit à Madame A., entre 1996 et 1999, plusieurs injections vaccinales, dont 5 du vaccin GenHevac B contre l’hépatite B, produit par la société Sanofi-Pasteur MSD. Madame A. ayant présenté un état de fatigue persistant et une instabilité des membres inférieurs provoquant des chutes, des examens ont mis en évidence des anomalies neurologiques, puis l’existence d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA). Attribuant sa pathologie aux vaccinations, Madame A. a recherché la responsabilité de la société Sanofi-Pasteur MSD et du Docteur H., puis, s’étant désistée de l’instance d’appel à l’égard du laboratoire, a maintenu ses demandes envers le médecin.

    L’arrêt du 23 janvier 2014 juge :

    « Attendu qu’indépendamment des cas dans lesquels le défaut d’information sur les risques inhérents à un acte d’investigation, de traitement ou de prévention a fait perdre au patient une chance d’éviter le dommage résultant de la réalisation de l’un de ces risques, en refusant qu’il soit pratiqué, le non-respect, par un professionnel de santé, de son devoir d’information cause à celui auquel l’information était due, lorsque ce risque se réalise, un préjudice résultant d’un défaut de préparation aux conséquences d’un tel risque, que le juge ne peut laisser sans réparation. Ayant constaté alors que Madame A. exposait, sans être contredite par le Docteur H., n’avoir reçu aucune information sur l’intérêt de la vaccination ou sur ses risques, que les experts, comme la quasi unanimité des scientifiques, écartaient tout lien de causalité entre le vaccin contre l’hépatite B et l’apparition de la SLA, qui n’est pas une maladie auto-immune mais une dégénérescence des motoneurones, et que ni la notice du GenHevac B ni le dictionnaire médical Vidal ne mettaient en garde contre une éventualité d’apparition du SLA après une vaccination par GenHevac B, la Cour d’appel en a exactement déduit que la demande de Madame A. ne pouvait être accueillie. »

    En l’espèce, la Cour de cassation portait en conséquence sur la nature du préjudice réparable en cas de défaut d’information sur les risques inhérents à un vaccin, lorsqu’il est établi que cette faute n’a fait perdre au patient aucune chance d’éviter le dommage.

    La Cour de cassation ne vise plus « l’atteinte à un droit de la personnalité » comme dans son précédent arrêt du 3 juin 2010 mais un préjudice d’impréparation aux conséquences du risque, et l’arrêt mentionne que le juge ne doit pas laisser sans réparation ce préjudice.

    En l’espèce, la patiente est donc déboutée de son pourvoi en cassation.

    Aucun lien de causalité n’étant scientifiquement démontré entre le vaccin et la SLA, la patiente est également déboutée de sa demande fondée sur une perte de chance.

    Cet arrêt est bienvenu et corrige l’excès des conséquences du précédent revirement du 3 juin 2010 qui permettait de voir un patient indemnisé alors qu’il n’avait subi aucun préjudice. Il serait en effet redoutable de considérer que toute violation d’un droit constitue en soi un préjudice réparable en tant que tel, particulièrement dans le domaine médical où la preuve de la qualité et de la quantité d’informations données s’avère très difficile à apporter, si on résiste à la tentation de faire signer, comme aux Etats-Unis, un fascicule complet décrivant les effets secondaires possibles d’une manière exhaustive, qui déstabilise le patient et peut le faire renoncer à une intervention pourtant bénéfique à son état de santé.

    Il faut maintenant attendre l’application que feront les juges du fond (tribunaux de grande instance et cours d’appel) de cette jurisprudence très nuancée de la Cour de cassation qui impliquera pour les magistrats d’être eux-mêmes très informés sur l’information et le risque médical pour évaluer le « défaut de préparation aux conséquences d’un tel risque ».

    De belles heures de plaidoirie en perspective. Merci à la Cour de cassation !


  • Fairoce (---.---.198.118) 12 juin 2016 20:27

    Vain Dieu
    La terre creuse ....
    il a osé..........
    Encore une découverte du gourou local


  • GerFran 5 septembre 2016 08:05

    Obligation vaccinale : l’enquête d’une maman biologiste [Nexus sept./oct. 2016]


    Anne Gourvès est docteur en génotoxicologie et cadre dans l’industrie pharmaceutique. La revue indépendante Nexus de septembre/octobre 2016 a publié le résultat de ses investigations sur les coulisses de la vaccination....



    • doctorix, complotiste doctorix 5 septembre 2016 12:10

      @GerFran

      Ben oui, on est quelques-uns à ne pas être ignorants, mais à risquer la grosse fessée si on ne tait pas.
      Très bon article, qui recoupe tout ce que j’ai appris sur les vaccins.
      Et chapeau pour la documentation, c’est sans appel.
      Nous sommes cependant très peu à affirmer qu’aucun vaccin ne sert à rien : il y faut un petit courage supplémentaire, n’est-ce pas Pr Joyeux ?

  • rockman 27 novembre 2017 12:41

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