mercredi 25 mars 2015 - par foofighter

Pourquoi des gens sont-ils silencieux - voire pire - à propos du 11 Septembre ? PARTIE 13 : connaissance préalable des crimes d’Etat contre la Démocratie - politiques profondes

Pourquoi les gens (bien) sont-ils silencieux - voire pire - à propos du 11 Septembre ?

C'est en substance la question que se pose Frances T. Shure, psychologue supportrice du mouvement Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 11 Septembre, dans une série d'articles, visibles ICI.

Avec l'aimable autorisation de Frances T. Shure, nous vous proposons une traduction de cette série, dont voici la treizième partie.

 

En répondant à la question posée par le titre de cet essai, le chapitre précédent - la théorie de la détection du signal - a examiné comment le « signal » de la Vérité sur le 9/11 peut être noyé par un « bruit » excessif qui vient de notre monde surchargé d'information, de nos croyances antérieures, et de notre état psychologique du moment.

Dans ce nouveau chapitre, nous allons continuer l'analyse de Mme Shure avec la partie 13 : connaissance préalable des crimes d'État contre la démocratie et politiques profondes, qui explore comment notre connaissance préalable des crimes d'Etat commis par les gouvernements, ainsi que notre connaissance de « l'état profond » (Ndt : parfois appelé « supramonde », notamment par Peter Dale Scott) - par opposition à l'état apparent aux yeux du public auquel nous participons en tant que citoyens - affecte la façon dont nous recevons les éléments qui indiquent que l'on nous a menti à propos du 9/11.

 

Les personnes ayant une connaissance préalable des délits gouvernementaux et d'entreprise, mais surtout des crimes d'État contre la démocratie (SCADs [0]), ont une capacité accrue à accepter les preuves qui contredisent la théorie officielle de la conspiration du 9/11.

 

Hebergeur d'image Lance DeHaven-Smith

 

Que sont les SCADs, et comment sont-ils différents des autres crimes politiques ? Lance DeHaven-Smith, professeur d'administration et de politique publique à l'Université d'État de Floride, a inventé [l'acronyme SCAD et] la locution « crimes d'Etat contre la démocratie » pour les distinguer comme des actions illégales ou extrajudiciaires des fonctionnaires ou des élites qui manipulent ou contournent les processus démocratiques et sapent la souveraineté populaire. En d'autres termes, les crimes d'Etat contre la démocratie sont des crimes de haut niveau qui attaquent non seulement les personnes, mais la démocratie elle-même. [1]

Par conséquent, selon DeHaven-Smith :

« la falsification des élections, les assassinats politiques, la fraude électorale, la corruption du gouvernement, les opérations scélérates non gouvernementales, les actions d'Etat anti-démocratiques, et la collusion entre entreprises en faveur d'initiatives extralégales peuvent être classés comme des SCADs. » [2]

Avant le 11 Septembre 2001, chacun de nous possédait des degrés de connaissances divers sur les intrigues politiques. Si, par exemple, nous avions déjà lu « Les politiques profondes et la mort de JFK » du Professeur Peter Dale Scott, ou si nous avions déjà une sérieuse compréhension de SCADs reconnus, tels que l'Iran-Contra [3], les incidents du golfe du Tonkin [4], et en particulier l'opération Northwoods [5], alors nous avions probablement une résistance minimale confrontés aux éléments désignant le 9/11 comme une opération sous faux pavillon. D'un autre côté, ceux d'entre nous qui ne possédaient aucune de ces connaissances avant le 9/11 aurions été placés devant un énorme changement de paradigme lorsque nous nous serions éveillés face aux faits qui contredisaient l'histoire officielle de cette terrible journée.

 

Hebergeur d'image Peter Dale Scott

 

Comme les crimes d'état contre la démocratie, l'expression « politiques profondes » est inestimable en ce sens qu'elle nous aide à appréhender le fait qu'il existe un « état public » et un « état profond » [Ndt : ou « état souterrain »]. L'état public se compose de la république démocratique que l'on nous enseigne, et il est notre système de gouvernement auquel nous participons consciencieusement en tant que citoyens. L'état profond, d'un autre côté, est composé des pouvoirs de la realpolitik [6] et des décisions « en coulisses » dont les citoyens ordinaires n'ont pas conscience. [7]

Scott définit « l'Etat profond » plus spécifiquement :

Ces éléments du gouvernement correspondent à [les 1% détenant les richesses] ... l'influence que j'appelle l' « état profond » (si elle est cachée) ou « état de sécurité » (si elle est militaire). Les deux représentent le pouvoir vertical ou pouvoir fermé, par opposition au pouvoir ouvert de l'état public. . . qui représente le peuple dans son ensemble. . . . Les pouvoirs verticaux secrets de l'Etat profond sont devenus une menace majeure pour la démocratie. [8]

À moins que nous ayons eu une compréhension préalable de l'état profond, il est probable que nous rejetions les preuves présentées par les sceptiques du 9/11. Le précieux livre de Peter Dale Scott, La route vers le 11 Septembre, la richesse, l'Empire et l''avenir de l'Amérique, nous présente ce contexte historique qui fait cruellement défaut. Dans ce document, il écrit :

Dans un sens, le 11 Septembre est un événement sans précédent, et qui menace de déplacer l'Amérique au-delà de l'époque des politiques publiques vers une nouvelle ère dans laquelle le pouvoir, plus que jamais avant, est administré du haut vers le bas. Mais en même temps, le 9/11 doit être considéré comme le point culminant des tendances qui se sont développées à travers un demi-siècle : à l'égard de la prise de décisions verticales secrètes par des petites cabales, à l'égard de la militarisation de l'application de la loi, à l'égard des dispositifs pour l'enfermement des dissidents, à l'égard des opérations, des transactions et des actifs dissimulés du gouvernement, et à l'égard de la gouvernance par ceux [les 1%] qui financent les partis politiques plutôt que par ceux qui y participent. [9]

Sans une certaine connaissance de ce contexte historique, nos convictions les plus profondes concernant notre gouvernement et notre république démocratique sont profondément mises à l'épreuve lorsque nous sommes mis pour la première fois face aux éléments qui réfutent la version officielle du 9/11. La même chose se produit lorsque nous découvrons des informations sur des trahisons gouvernementales passées, comme la tromperie qui a conduit aux attaques de Pearl Harbor [10] ; l'Opération Northwoods – le complot « sous faux pavillon » de 1962 conçu par les chefs d'état-major afin de commettre des actes de terrorisme dans les villes américaines et ailleurs pour justifier une invasion de Cuba, et qui a été rejetée par le président Kennedy [11] ; l'Opération Mockingbird, un complot de la CIA pour contrôler les médias, instigué après la Seconde Guerre mondiale [12] ; les atrocités des expériences du Projet MK-ULTRA sur des citoyens à leur insu [13] , et le complot de 1933 fomenté par de riches hommes d'affaires pour renverser le gouvernement américain et créer un Etat fasciste, que le major-général Smedley Butler a évoqué lors d'une audience du Congrès en 1934.[14]

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A de rares exceptions près, notre système éducatif évite l'histoire de ces faits et d'autres trahisons commises par notre gouvernement et / ou les intérêts des élites, créant ainsi une population naïve et crédule, prête à accepter passivement la « réalité » dépeinte par les « médias-corporatistes-contrôlés-par- la-CIA ».

En fait, comme le professeur de Floride Lance DeHaven-Smith nous en informe dans son livre révolutionnaire, « La théorie du complot en Amérique », nous avons été conditionnés à reculer psychologiquement devant ces « théories du complot », même si ces théories sont documentées et crédibles.

Notre incapacité actuelle à considérer de façon décomplexée les éléments mettant en évidence une conspiration officielle derrière le 9/11 peut être attribuée à une opération de la CIA très réussie. En 1967, quatre ans après que le président John F. Kennedy ait été assassiné, la CIA s'est inquiétée du nombre croissant d'articles de journaux et de livres rapportant que des preuves dans le rapport de la Commission Warren lui-même contredisaient les théories du tireur isolé et de la balle unique. Les sondages d'opinion ont commencé à indiquer qu'une majorité relative d'Américains n'adhéraient pas complètement au rapport de la Commission, et l'intégrité de la démocratie aux États-Unis a été mise en cause. [15]

La CIA a répondu à cette crise croissante en envoyant une dépêche secrète – le mémo 1035-960 - à des agents de la CIA dans le monde entier. Cette directive chargeait ces agents de contacter les journalistes et les leaders d'opinion sur place et de leur demander leur assistance dans la lutte contre l'influence des « théoriciens du complot », qui publiaient « théories du complot », et qui reprochaient la mort de Kennedy aux hauts dirigeants des États-Unis. [16]

Les sceptiques de la version officielle du 9/11 ont entendu ad nauseam [Ndt : de façon obsessionnelle et répétitive, littéralement « jusqu'à la nausée »] la réplique « Je ne peux pas croire qu'une conspiration de cette ampleur puisse être vraie parce que les gens ne peuvent pas garder des secrets - quelqu'un aurait parlé ».

Cette croyance provient directement de l'un des points du mémo : « La conspiration à grande échelle souvent suggérée [par les « théoriciens du complot »] serait impossible à dissimuler aux États-Unis....  »

Cette croyance désormais ancrée dans notre société a dissuadé avec succès de nombreuses personnes de considérer sérieusement les éléments sur le 9/11 qui contredisent l'histoire officielle.[17] Comme cela est expliqué dans la partie 8 sur la recherche sur le cerveau, ce sont ces convictions fortes qui peuvent nous empêcher de prendre en considération même des preuves convaincantes présentées par les sceptiques du 9/11.

Heureusement, le mémo 1035-960 a été déclassifié par un Freedom of Information Act en 1976 et a été libérée en totalité en 1998.[18] Depuis 1967, le caractère dénigrant du « mème » [19] du complot est monté en flèche dans la presse, de sorte que toute personne qui a eu l'audace de remettre en doute la version officielle d'un événement important a été considérée comme dérangée ou instable par la plupart des Américains. Ces sujets de discussion de la CIA sont utilisés à ce jour par les journalistes et les citoyens mal informés pour éviter des recherches sérieuses sur des faits et des éléments de preuve qui contredisent n'importe quelle version officielle, y compris la version que l'on nous a serinée à propos du 9/11. [20]

J'étais l'une de celles qui était soigneusement conditionnée. Quelques années avant le 9/11, j'ai réagi comme si je n'attendais que cela envers un ami qui était suspicieux au sujet de l'improbable version du gouvernement concernant un événement (il se peut qu'il s'agissait de l'attentat d'Oklahoma City) avec un désinvolte « Oh ! Je ne crois pas aux théories du complot !  » Mais quelques semaines après le 9/11, j'ai commencé à ouvrir les yeux devant l'évidence même, qui m'a été présentée par le Mouvement pour la Vérité sur le 11 Septembre alors naissant. Après avoir lu un livre sur le sujet à l'été 2002, j'étais complètement délivrée de mon conditionnement passé ! [21]

On pourrait idéalement s'attendre à ce que des universitaires fassent des recherches et fassent preuve d'esprit critique - et encouragent également les élèves à faire de même - afin de déterminer laquelle de la théorie du gouvernement ou d'une théorie alternative est la plus étayée et la plus convenable. Malheureusement, la plupart des professeurs dédaignent et même censurent l'information qui pointe vers des complots non encore formellement établis. [22]

Heureusement, cependant, les psychologues sociaux ont pris l'initiative d'inverser cette tendance à la censure. Ils reconnaissent que l'expression « crimes d'Etat contre la démocratie » (SCADs) appelle à des investigations, contrairement au mème [19] de la « théorie du complot », qui, à cause de nos réflexes conditionnés, favorise la censure.

Dès lors que les psychologues sociaux commencent à enquêter sur des SCADS présumés, alors ils seront en mesure d'identifier « des types de victimes de SCADs, des tactiques, des moments, ceux qui en bénéficient, et d'autres caractéristiques des SCADs » [23] écrit DeHaven-Smith. Les psychologues sociaux qui examinent systématiquement les SCADs présumés – de la même manière qu'ils examinent tous autres phénomènes sociaux – comprendront mieux les politiques profondes. Cet examen scientifique les conduira ensuite à identifier les vulnérabilités institutionnelles de notre système. Armé de telles études, ils seront en mesure de recommander la création ou le renforcement de certaines protections. [24]

Sans recherche scientifique de la part des chercheurs et d'autres citoyens concernés par les crimes d'Etat contre la démocratie, nous sommes contraints de patauger dans un océan de théories concurrentes, pensant que nous ne saurons jamais la vérité, alors pourquoi même essayer ? Comme DeHaven-Smith observe :

Lorsque des incidents suspects se produisent et qui modifient les objectifs de la nation, qui perturbent les élections présidentielles, qui provoquent une action militaire, ou encore qui impactent l'ordre du jour national, les Américains ont tendance à accepter les versions égocentrées des fonctionnaires publics, et rarement d'envisager la possibilité que de tels incidents pourraient avoir été initiés ou facilités par les fonctionnaires eux-mêmes. Le rôle et la fonction du concept universellement reconnu d' « agent provocateur » est grossièrement négligé dans l'idiome du discours politique américain. Cette crédulité de masse, qui incite en elle-même les SCADs, est peu susceptible de changer tant que la détection et les poursuites judiciaires des SCADs n'auront pas progressé. [25]

Le mot « corruption » est beaucoup trop faible pour décrire l'état dans lequel nous nous trouvons à ce jour aux États-Unis. Par exemple, il y a eu un fusionnement des intérêts des entreprises avec des compartiments entiers de notre gouvernement, à la manière des « portes tambours » [26], de l'Environmental Protection Agency (Agence de Protection de l'Environnement), du Food and Drug Administration (Ministère de l'Alimentation et des Médicaments), du département américain de l'Agriculture, et d'autres organismes fédéraux censés protéger les citoyens. En conséquence, les fonctionnaires ne prennent même plus la peine d'adhérer à une charte éthique qui leur imposerait de se récuser dans une position de force ou d'influence face à un conflit d'intérêts.

En outre, nos représentants du gouvernement ont accepté un système de corruption légalisée sous forme de campagnes de contributions massives de la part d'entreprises. Ainsi, nous disposons, tel que le journaliste satirique d'investigation Greg Palast le définit, « de la meilleure démocratie que l'argent puisse acheter » [27]

Ajoutez à cela le fait étonnant qu'à ce jour, nous n'avons pas encore assisté à la moindre enquête criminelle réelle sur les attentats du 9/11, et alors nous voyons clairement que les États-Unis d'Amérique sont devenus une culture de l'irresponsabilité. Plus précisément, il existe une impunité générale vis à vis des agents d'élite de l'état profond, mais pas pour le reste d'entre nous.

Le rapport du journaliste lauréat du prix Pulitzer Ron Suskind faisant état d'un entretien avec un ancien conseiller de George W. Bush nous donne une idée de l'invulnérabilité relative de ces agents de l’état profond. Dans son article du New York Times, « La foi, la certitude et la présidence de George W. Bush  », Suskind a écrit :

À l'été 2002, après avoir écrit un article dans Esquire relatant que la Maison Blanche n'a pas apprécié l'ancienne directrice de la communication de Bush, Karen Hughes, j'ai pu rencontrer un conseiller principal de Bush. Il a évoqué le mécontentement de la Maison Blanche, puis il m'a dit quelque chose qu'à l'époque je n'ai pas complètement saisi - mais dont je crois maintenant qu'il s'agit du cœur même de la présidence Bush.

L'assistant m'a dit que les gars comme moi étaient « dans ce que nous appelons la communauté basée sur la réalité », ce qu'il définissait comme des gens qui « croient que les solutions surgissent de votre étude judicieuse de la réalité perceptible. » J'acquiesçai et je murmurai quelque chose sur les principes des Lumières et de l'empirisme [Ndt : en référence au Siècles des Lumières]. Il me coupa. « Le monde ne fonctionne plus vraiment de cette façon », a t-il poursuivi. « Nous sommes désormais un empire, et quand nous agissons, nous créons notre propre réalité. Et pendant que vous étudiez cette réalité - judicieusement, si vous voulez - nous allons de nouveau agir, créant d'autres nouvelles réalités, que vous pouvez étudier également, et c'est comme cela que les choses vont se régler. Nous sommes les acteurs de l'histoire... et vous, vous tous, vous ne serez bons qu'à étudier ce que nous faisons. " [28]

Avec une arrogance flagrante et une clarté remarquable, ce conseiller principal résumait sa participation à l'état profond. En fait, les agents de l'état profond, qu'ils soient fonctionnaires ou les élites des entreprises ou des banques de notre pays, ou leurs mandataires, sont ceux qui seraient nécessairement impliqués dans les crimes d'État contre la démocratie - les SCADs historiques mentionnés ci-dessus aussi bien que le 9/11 et les attaques à l'anthrax de 2001 qui ont suivi.[29] Main dans la main, pièce par pièce, ils détruisent la démocratie représentative dont nous avons hérité de nos ancêtres, qui, soit dit en passant, avaient prédit et nous avaient clairement mis en garde contre une telle trahison. [30]

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Un autre aspect contribuant à la destruction de notre République est l'ignorance (délibérée ou non) et / ou l'acquiescement (volontaire ou non) du citoyen lambda. C'est à ce niveau que l'importance du Mouvement pour la Vérité sur le 9/11, et d'autres mouvements oeuvrant pour la transparence et la démocratie, peut avoir un impact significatif. Il y a de nombreux groupes actifs à travers le monde dont les membres sont maintenant informés sur ces diverses questions. Ils travaillent avec assiduité dans le but d'informer et de transformer les sociétés afin que tous les peuples puissent accéder à des soins, à la prospérité, à la souveraineté, à un environnement durable, et à une information exacte leur permettant de prendre des décisions réfléchies.

 

Comment notre connaissance des SCADs et des politiques profondes peut influencer la façon dont nous abordons les personnes avec les éléments de preuve qui indiquent que notre gouvernement nous ment à propos du 9/11 ?

Eh bien, cet essai a établi que la connaissance préalable par une personne des graves crimes politiques est la clé qui conditionne s'ils vont rester silencieux ou non – ou pire – à propos du 9/11. Ainsi, nous, militants pour la Vérité sur le 9/11, nous aurons davantage de succès à convaincre les gens d'accepter notre information si nous évaluons d'abord ce que nos auditeurs savent déjà. Ensuite, nous pouvons entamer un dialogue avec eux, basé sur la quantité de connaissances qu'ils possèdent actuellement, plutôt que sur le niveau de connaissances que nous voudrions qu'ils aient.

De toute évidence, la connaissance préalable des crimes d'État contre la démocratie et une compréhension des politiques profondes sont des avantages galvanisants qui nous aident à détecter les signaux qui nous avertissent que nous avons été, une fois de plus, trompés. Cependant, comme nous le verrons dans le chapitre suivant, la détection de tels signaux peut affaiblir certaines personnes, et pas du tout les galvaniser. Ceci peut résider dans le fait qu'ils sont victimes de « l'impuissance acquise. »

Note de la rédaction : à suivre dans le prochain numéro à la partie 14 : l'impuissance acquise.

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Notes :

[0] SCAD : State Crime Against Democracy

[1] Lance DeHaven-Smith, « Au-delà la théorie du complot : esquisses des crimes graves au sein du gouvernement américain » American Behavioral Scientist 53, no. 6 (Février 2010) : 795-825 ; toute cette question est consacrée à la recherche sur les crimes d'Etat contre la démocratie.

Lance DeHaven-Smith, « Quand les crimes politiques sont des « boulots intérieurs » : Détection des crimes d'Etat contre la démocratie » Théorie et Praxis administratif, 28, no. 3 (2006) : 330-355.

Lance DeHaven-Smith, « Théorie du complot en en Amérique » (University of Texas Press, 2013).

[2] Daniel K. Sage, « un aperçu des crimes d'Etat contre la démocratie », 2013. Voir cet article pour d'autres opérations assimilées à des SCADs non mentionnées par DeHaven-Smith

[3] http://globalresearch.ca/.../LOB308A.html

[4] http://www.globalresearch.ca/the-tonkin-gulf-war-pretext.../5341718

[5] http://whatreallyhappened.com/.../northwoods.html

[6] Le terme « realpolitik » possède plusieurs sens. Il est à prendre ici au sens péjoratif pour souligner l'abandon des principes éthiques au profit d'intérêts nationaux (territoriaux, économiques…) Pour davantage d'information voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Realpolitik

[7] Mike Lofgren, " Anatomie de l'Etat profond."

[8] Peter Dale Scott, En route vers le 11 Septembre : Richesses, Empire et avenir de l'Amérique (University of California Press, 2007)

[9] Ibid. 2.

[10] Robert B. Stinnett, Jour de tromperie : La vérité sur les FDR et Pearl Harbor (Free Press ; édition Touchstone, 2001).

[11] http://whatreallyhappened.com/.../northwoods.html

[12] Alex Constantine, Le Gouvernement virtuel : les opéations de contrôle de l'esprit de la CIA en Amérique (Feral House, 1997), 35-66.

Carl Bernstein, « La CIA et les médias : comment les plus puissants médias de l'Amérique ont travaillé main dans la main avec la Central Intelligence Agency et Pourquoi la commission Church (http://fr.wikipedia.org/wiki/Commission_Church) l'a dissimulé »

William Casey, directeur de la CIA, 1981-1987, a dit naïvement : « Nous saurons que notre programme de désinformation sera terminé lorsque tout le public américain croira que c'est faux. »

[13] Constantine, Le gouvernement virtuel.

[14] http://en.wikipedia.org/.../Business_Plot

Un excellent article sur les complots démontrés : http://www.foreignpolicyjournal.com/.../rethinking-conspiracy.

[15] DeHaven-Smith, Conspiracy Theory en Amérique, 108.

[16] Ibid.

[17] Ibid. 200.

[18] Ibid. 107. Voir toute la dépêche ici.

[19] Un « mème » est un élément culturel reconnaissable répliqué et transmis par l'imitation du comportement d'un individu par d'autres individus. … (voir http ://fr.wikipedia.org/wiki/Mème)

[20] Un article décrivant l'utilisation continue de plusieurs de ces points de discussion ici.

[21] le discours de Michael Ruppert sur ​​VHS, Vérité et mensonges au sujet de 9/11 est devenu disponible dès l'automne 2001, et le livre de Nafeez Mosaddeq Ahmed, La guerre de la liberté, a été publié en Juillet 2002

[22] Adnan Zuberi, Le 9/11 dans le milieu universitaire. Cet excellent film détaille le tabou du 11 Septembre dans les institutions d'enseignement supérieur.

[23] DeHaven-Smith, Au-delà Conspiracy Theory, 799.

[24] Ibid. 796.

[25] Ibid. 811.

[26] En politique, la « porte tambour » (du nom de la porte fonctionnant selon le principe du tourniquet dans les grands magasins) est une rotation de personnel entre un rôle de législateur et régulateur, et un poste dans l'industrie affecté par ces mêmes législation et régulation. (voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Porte_tambour_(politique)

[27] Greg Palast, la meilleure démocratie que l'argent puisse acheter, (première impression Plume, 2003), 25.

[28] Ron Suskind : « La foi, la certitude et la présidence de George W. Bush » New York Times Magazine, le 17 Octobre 2004.

[29] Graeme MacQueen, La tromperie de l'Anthrax en 2001 : le cas d'un complot national (Clarity Press, 2014).

[30] DeHaven-Smith, « Théorie du complot en Amérique ».



323 réactions


    • Andromede95 Andromede95 31 mars 2015 00:27

      @Analis : « La plupart des arguments présentés dans ces liens sont dépassés et réfutés depuis belle lurette. »


      Une bourde reste une bourde. En voici une une particulièrement grossière : Pourquoi la pelouse du Pentagone a t-elle été recouverte ?

      « En fait, il serait plus intéressant de se concentrer sur l’argumentation de l’article, tout comme il le serait de le faire sur les deux tribunes sur l’état lamentable de nos médias que j’ai postées plus haut. »

      Je ne me sens pas obligé d’avoir les mêmes sujets d’intérêt que toi. Mon approche est essentiellement technique et j’y passe déjà suffisamment de temps. Je n’ai vraiment vraiment pas la possibilité de me disperser.




    • Andromede95 Andromede95 5 avril 2015 09:43

      @Analis qui écrit : « En fait, il serait plus intéressant de se concentrer sur l’argumentation de l’article »


      Aussi longtemps que des accusations reposent sur des preuves matérielles non crédibles, le reste n’est que beaux discours qui sonnent creux.


  • Pyrathome Pyrathome 29 mars 2015 19:45

    Le journaliste du Monde Serge Michel évoque un trafiquant israélien qui serait impliqué dans le financement du 11-Septembre. L’information proviendrait des fichiers de la filiale suisse de la banque britannique HSBC (affaire SwissLeaks).
    .
    http://www.reopen911.info/News/2015/02/15/canal-france-2-et-france-5-sont-ils-conspirationnistes/
    .
    En attente de debunkage du troll andromerde... smiley


  • Pyrathome Pyrathome 29 mars 2015 20:01

    Les avions qui ont percuté les wtc étaient militaires.

    http://plus.lefigaro.fr/note/imposture-les-avions-entrees-dans-le-wtc-etaient-militaire-20100817-264302

    Même le troll andromède confirme !!!

    http://www.nerrati.net/ameriques-dossier/index.php?option=com_content&view=article&id=182:imposture—les-aeronefs-qui-ont-frappe-le-l-world-trade-center-r-le-11-septembre-2001-netaient-pas-des-boeing-767&catid=37:guerre&Itemid=60

    Aucune inscription de visible les avions correspondant aux compagnies United airline ou American airline, bien visible sur les vidéos du deuxième crash......


  • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 1er avril 2015 00:55

    En tous cas je découvre qu’il reste des gens qui croient à la version officielle. Faut dire qu’il y a certains avocats qui enfoncent leurs clients, par ici... Messieurs-dames, je suis surement un imbécile, mais je ne crois pas 1 seconde qu’un zinc ait pu faire tomber WTC 1 & 2. D’autant qu’ils ne se sont même pas donner cette peine pour démolir WTC 7. Le foutage de gueule continue donc, les grands esprits sont pléthore, Gardez-vos leçons et amusez-vous bien.


    • Baasiste 2 5 avril 2015 23:23

      @Andromede95
      encore et toujours ta propagande

      phase d’effondrement interne du wtc7 avec le penthouse réponse ici : http://9-11-no-debunked.blog4ever.com/toutes-les-caracteristiques-d-une-demolition-controlee-wtc-7
      « Par la suite, les Debunkers prétendent que le building n’est jamais tombé à la vitesse de la chute libre, en utilisant le prétexte fallacieux du Penthouse, tombant à l’intérieur de l’immeuble, avant que la surface ne commence à tomber.


      Un prétexte à peu de frais, voire mensonger, car ce phénomène est aussi similaire à une démolition contrôlée.


      Par ailleurs, les Debunkers prétendraient même que si le building s’est incliné vers le sud, pendant sa chute, cela signifierait que cela ne peut être une démolition contrôlée, compte-tenu du fait que ce phénomène n’existe pas et n’existera jamais dans ce domaine.

      Le plus beau mensonge de la panoplie du Debunking 9/11 !

      Comme si cela ne suffisait pas, ce même expert en Debunking prétend aussi que les relevés sismiques, par rapport aux prémices de l’effondrement du WTC 7, ne révèle aucune vibration sur la courbe, qui signifierait la présence d’explosifs.

      Cela n’est en aucun cas une généralité, puisque l’exemple du Aladdin Hotel a produit la même caractéristique sur son propre relevé sismique. »

      consultez le lien pour voir les images

      réponse là ausi (voir lien pour voir les images) : http://9-11-no-debunked.blog4ever.com/le-wtc7-n-est-jamais-tombe-en-16-secondes

      « Ils iront même jusqu’à prétendre à un mensonge bien conçu de la part de leurs adversaires, grâce à un élément qui les arrange confortablement :


      La Terrasse au coin Est du toit du Building tombant dans l’édifice !


      En toute objectivité grossière, les Debunkers se réjouissent de comptabiliser ce phénomène »naturel« , qui, soi-disant, aurait amorcé un effondrement interne, avant que l’immeuble ne s’effondre à partir du bas. D’où leur cynisme, les Debunkers auraient astucieusement et soi-disant établi une contre-expertise de taille, afin de marquer un point supplémentaire vis à vis des Conspirationnistes. Mais comme le building, leur thèse va »tomber« aisément dans la contradiction.


      (...)

      Et pour couronner le tout, les Debunkers démontrent leur mauvaise foi et leur manque de rigueur, plutôt qu’autre chose, car cette terrasse qui tombe dans l’immeuble, n’est pas un phénomène issu exclusivement d’un effondrement naturel.

      Ce phénomène existe aussi dans la démolition contrôlée. »

      durée de l’effondrement du wtc7 : http://9-11-no-debunked.blog4ever.com/le-wtc7-n-est-jamais-tombe-en-16-secondes 


    • Baasiste 2 5 avril 2015 23:26

      réponse à l’acoustique ici : 

      « Pour ce qu’il en reste de Reopen911... Je te présente le décryptage une de ses supercheries pseudo-scientifiques décryptées ici : Une imposture acoustique signée Reopen911 au sujet du WTC7 »

      contenu du lien :

      « Dans ce but, Reopen911 a extrait le son de la séquence vidéo, puis utilisé un logiciel d’édition afin de présenter une étude en apparence »scientifique« . Après filtrage des hautes fréquences, Reopen911 indique un pic blanc isolé et un peu plus large que les autres pics :

       

       

      Sauf que sans filtrage, le même pic (audible à 00:34) est bien loin de ressembler à un bruit d’explosion. »

      mdr ton article torche cul c’est simplement de la mauvaise foi éxtrême n’importe quel auditeur pourra bel et bien entendre que c’est un bruit d’’explosion, encore une fois dire que le ciel est vert mais pas bleu n’est pas un argument.


      « La seule chose qu’on peut constater, c’est qu’il s’agit d’un bruit à large spectre. »

      c’est un bruit d’explosion c’est clair et net arrêtes ta mauvaise foi .


      « En plus, l’environnement immédiat de la caméra est plutôt bruyant, ce qui ne permet pas de cerner la provenance de ce bruit isolé. »

      non le bruit est largement identifiable. certes il y a du bruit autours, mais ce bruit est unique et assez particulier pour qu’on le repère à l’oreil.


      « D’autre part, Reopen911 semble croire qu’une seule explosion suffit à détruire une tour de la taille du WTC7... »

      une explosion suffit à lancer le départ de la démolition et le début de la chute.

       

      « Pour rappel, dans le cas des démolitions contrôlées, les bruits d’explosions sont nettement plus flagrants et nombreux, de l’ordre de 130 dB et parfois audibles à des kilomètres à la ronde : »

      pas dans tt els éxplosions contrôlées


      bref andromerde 95 son article de merde se résume à : « mais non mais non il n’y a pas de rouge dans le logo d’agoravox.fr » tu te ridiculises avec tant de négationnisme et tu n’exploses que dalle ou soit faut que corriges tes oreilles délabrés. visionnez la vidéo le son de l’explosion est là personne peut le nier.


      réponse à « incendies mineurs » dans le wtc7 :

      http://9-11-no-debunked.blog4ever.com/incendie-insuffisant-pour-provoquer-l-effondrement-du-wtc-7


      réponse sur le « omission report » : 

       Mais la raison pour laquelle ce rapport ne mentionne pas les effondrements des tours (WTC7 inclus) est simple. Le rôle de la Commission 9/11 n’a pas consisté à réaliser des expertises en ingénierie. Sa mission a été d’enquêter sur les causes des attaques et de fournir des recommandations pour prévenir ce genre d’événement à l’avenir. »

      naturellement quand on enquête sur les causes de l’attaque on est obligé de mentionner ua moins une fois le wtc7 et de s’y intéresser.

      « La tour WTC7 n’a pas été la cible des attaques terroristes. Son effondrement résulte de la chute de gros débris en provenance du WTC1, puis de l’incendie. »

      donc en gros l’omission report n’a pas mentionné le wtc7 car votre croyance religieuse vous dit que le wtc7 s’est effondré avec des débris et pas par exemple démolition contrôlé ?

       « D’autres édifices ont été détruits par les chutes des débris, dont l’église Saint-Nicholas. Ils n’ont pas davantage été mentionnés dans le rapport. Plus de 20 bâtiments ont été endommagés par les chutes de débris. 8 bâtiments ont été complètement détruits ou voués à la démolition. »
      tous ces bâtiments c’est clair et net qu’ils ont été détruits par des débris pour diverses riasons il n’y avait besoin d’aucune enquête dessus ce que n’a pas fait le nist par contre il y a eu une enquête sur le wtc7, c’était différent. 

      « La Commission 911 n’a enquêté sur aucun de ces bâtiments. Pourquoi ? Parce que l’examen des effondrements (WTC7 inclus) relève de l’ingénierie. L’étude sur les causes des effondrements des WTC a été du ressort du NIST (2). Ses rapports sont publiés sur http://wtc.nist.gov/NCSTAR1 »

      donc pk la commission 911 parle des wtc sauf du 7 ?

      « Peu de »truthers« font la différence entre l’enquête criminelle (donnée par la Commission 911) et les conclusions exclusivement scientifiques (données par le NIST et la FEMA). »

      c’est hilarant donc la commission du 911 a dit qui étaient les criminels sans examiner les bâtiments attaqués lol !



    • Baasiste 2 5 avril 2015 23:31

      réponse à « 

      Effondrement du WTC7 annoncé prématurément par les médias »

      pour « wtc7 non percuté par un avion »

      « quand à ton lien mensonger : http://perlesdu911.blog4ever.com/wtc7-non-percute-par-un-avion

      ah aussi pour l’affirmation fradumleuse : « Lors des démolitions contrôlées, les bâtiments ne tombent pas en chute libre » avec une explication bidon pseudo scientifique « pour la simple raison qu’une partie de l’énergie potentielle de gravitation est en partie absorbée par le concassage et la pulvérisation des gravats. »
      mdr lol : les démolitions contrôlées qui ont eu lieu montrent le contraire, tu ne fais que mentir face aux faits. »

    • Baasiste 2 5 avril 2015 23:33

      réponse à « Voir Tours Jumelles - Amorce des effondrements et phase des effondrements - Les perles conspirationnistes du 11 septembre 2001 » : 

      « http://9-11-no-debunked.blog4ever.com/tours-jumelles-amorce-inexplicable-des-effondrements
      en plus ton lien est hors sujet il en répond pas à mon précédent message les faits sont là : aucun étage détruit tous le monde le sait la vo aussi en fait part.
      en plus tu fais croire qu’un seul étage avec seulement son plancher a soutenu la chute du bloc pathétique. il y a aps seulement le plancher qui retient et il y a tous les étages d’en bas qui l’ont soutenu ce bloc. »


    • Baasiste 2 5 avril 2015 23:34

      ... « ensuite lol parce qu’il y a des bureaux dans les étages forcément ces étages dans la logique d’andromede ne peuvent pas supporter plus que des bureaux. »


    • Baasiste 2 5 avril 2015 23:38

      réponse à « Les manipulateurs du net : reopen911 » :


      on va répondre à ton lien de merde c’est facile tu postes une image http://static.blog4ever.com/2011/12/582183/big_artimage_582183_3885304_2012 01082320471.png
      aucune tour ne s’est écroulée totalement même si elles sont bien endommagés achètes toi des lunettes
      elles se sont effondrés qu’en partie, on est loin d’avoir tous les étages qui se sont effondrés très loin et pas mal d’étages effondrés ne le sont pas sur toute la largeur.


       pour le penthouse « Par la suite, les Debunkers prétendent que le building n’est jamais tombé à la vitesse de la chute libre, en utilisant le prétexte fallacieux du Penthouse, tombant à l’intérieur de l’immeuble, avant que la surface ne commence à tomber.

      Un prétexte à peu de frais, voire mensonger, car ce phénomène est aussi similaire à une démolition contrôlée. »
      image à l’appui dans le lien

      point 2 : « Cette photo a été prise en fin d’effondrement du WTC1. On trouve aisément sur le Net des vidéos de la séquence complète, montrant des débris de taille non négligeable en provenance du WTC1 et projetés vers la face sud du WTC7. Avec le slogan accrocheur « comment on peut faire tomber trois tours avec deux avions ? », les conspirationnistes omettent malhonnêtement cette séquence : »
      le troll osef qu’on ne voit pas les débris dans l’image de reopen 911, les faits sont là : dans cette photo après effondrement du wtc1, on voit clairement que le wtc7 est quasiment intact, et tes débris sont bel et bien négligeables.
      « 

      point 3 : ma réponse  »Les Debunkers soulignent également la grande quantité de fumée sur le côté sud de l’édifice qui indique la preuve comme quoi les feux étaient plus intenses, à l’intérieur du bâtiment. Cependant, il y a une explication alternative à la grande quantité de fumée sur le côté sud.


      Puisque la fumée apparaît uniquement sur ​​le côté sud et non sur chaque fenêtre au coin, il semble que la majorité de la fumée ne provient pas de l’intérieur du WTC 7, car la majorité de la fumée sur la face sud du WTC 7 semble provenir de la combustion du WTC 5.


      Dans la journée, les vents provenaient du nord, et, vu que le vent tourna autour du WTC 7, il a créé une zone d’air à basse pression sur le côté sud. Cela a eu pour effet d’attirer la fumée contre reste du complexe du WTC (qui était toujours en feu) et de créer l’illusion que toute la fumée émane de WTC 7.

      Il existe des preuves solides à l’appui de cette théorie, comme les images montrent clairement que la fumée et les débris de la destruction du WTC 2 ont également été aspirés dans une zone de basse pression et se sont accrochés à la rive sud du WTC 1.

      Au final, les Debunkers ont usé de faux arguments pour prétendre à un incendie particulièrement violent, provenant du WTC 7. En résumé, cet incendie ne l’était pas pour autant.« 


      aussi réponse à  » ni que les pompiers témoignent n’avoir pu maîtriser l’incendie.« je te répond :  »Les Debunkers utilisent, néanmoins, certains témoignages de bonne foi des soldats du feu. Mais ils se trouvaient vraisemblablement du coté sud et, par ailleurs, ne pouvaient être catégoriques qu’en surface, puisque qu’aucune décision d’opération pour combattre cet incendie n’a été prise, pour cause de manque d’eau.« 

      point 4 : oui les bâtiments mitoyens sont intacts la vue en plongée indique clairement qu’ils ne se sont pas effondrés. et la taille a quelle importance ? surtout quand ils sont de moins gros calibres ou que le calibre est presque le même. bref bizarre seulement le wtc7 s’est effondré dans les bâtiments qui se sont pris des débris dans la tête au même endroit.

      point 5 et 6 : voir début de mon post.

      ni date, et effondrés dans des circonstances non précisées. La cause de ces effondrements est vraisemblablement les tremblements de terre, qui sont des circonstances pas du tout semblables à celles subies par les Tours Jumelles et le WTC7.« 
       »visiblement" lol peu importe reopen 911 a montré que tout effondrement sans démolition contrôlée avec démolition incontrôlée et non planifiée (si c’est des avions qui ont fait des attentats le crash était planifié mais pas l’effondrement qui vient après) donc avec ces points communs que partagent selon la vo les wtc, ne partent pas en chute libre



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