mercredi 29 juillet 2020 - par Bernard Dugué

Covid-19, vaccin inefficace, science en difficulté ?

 

1) Nous savons maintenant que la virulence du SARS-CoV-2 s’explique en grande partie par le développement des réponses immunitaires, différent selon les patients, plus ou moins efficace. Avec comme particularité une capacité à interférer avec ces défenses et les « neutraliser » en quelque sorte. Le coronavirus interfère avec la production d’une interleukine déterminante, l’interféron de type I. C’est ce qu’affirmait en mars 2020 un Virologue japonais : « La protéine non structurale nsp1 du SRAS-CoV et du MERS-CoV est la plus étudiée parmi les CoV ; elle est connue pour inhiber l’expression du gène hôte par traduction arrêt et dégradation de l’ARNm de l’hôte. Cette stratégie à deux volets de nsp1 inhibe l’expression du gène IFN. Des modèles murins de SRAS-CoV ont révélé que la réponse dérégulée de l’IFN de type I est un facteur déterminant dans d’induction d’une pneumonie mortelle. Ces données accumulées indiquent que la nsp1 du CoV est un facteur de virulence majeur. Nous supposons que le nsp1 du SARS-CoV-2 a une fonction similaire à celle du SRAS et du MERS-CoV. » (W. Kamitani, Proceedings for Annual Meeting of The Japanese Pharmacological Society 93:2). En fait, nombre de coronavirus sont connus pour « déjouer » les réponses immunitaires. L’un des mécanismes les plus étudiés est la déficience de production d’interféron. Ce mécanisme a été étudié pour d’autres virus appartenant à des familles différentes mais ayant un point commun avec le coronavirus ; ce sont des virus à ARN simple brin de polarité positive. Comme le virus responsable de la dengue, de l’infection Zika ou du chikungunya ; le premier étant un alphavirus et les deux autres des flavivirus.

Les stratégies virales pour déjouer les défenses immunitaires sont connues depuis longtemps, engendrant de ce fait un problème de santé publique signalé dans un article prémonitoire par deux virologues néerlandais qui, dans une recension parue en octobre 2019, alertaient sur la virulence des alphavirus, flavivirus et coronavirus pouvant émerger et générer des épidémies grâce à aux possibilité de se faufiler dans les mailles du système immunitaire et de s’en échapper (T. Nellemans, M. Kikkert, Viruses, 2019). Cet article porte essentiellement sur le contournement de l’immunité naïve (innée) et précisément la production d’interféron de type I, interleukine dont la déficience a été observée dans les cas aggravés de Covid-19.

 

2) Lorsque les virologues disent qu’un virus a développé des mécanismes pour neutraliser les défenses immunitaires, c’est une vue de l’esprit, une formulation commode pour décrire la virulence mais qui n’explique pas la réalité. Le virus n’est qu’un assemblage inerte de molécules qui une fois entré dans une cellule vivante, devient alors un agent répliquant, façonné au gré des mutations et recombinaisons. Au fil du temps, les combinaisons moléculaires sont favorables, le virus parvient à se répliquer avec plus d’efficacité. Est-ce le virus qui invente des stratégies ou bien le système immunitaire qui contient des failles ? La question est ouverte. Pour y répondre, il est nécessaire de connaître les moindres détails de la réaction des cellules hôtes face à l’agent réplicatif viral. La détection des virus par l’hôte se fait de deux manières, soit lorsque les virions circulent dans les espaces liquides, soit lorsqu’ils ont fusionné avec la membrane des cellules hôtes et qu’ils sont parvenus à rejoindre les organites cytoplasmiques. Ensuite, il existe deux types d’immunité, dites innée ou adaptative. La première est censée intervenir sur n’importe quelle infection ; elle est déterminante lorsqu’un hôte rencontre un agent infectieux une première fois. L’autre immunité repose sur une mémorisation de l’agent rencontré précédemment ; elle permet la vaccination dont le principe est d’introduire dans un sujet des composants antigéniques spécifiques à un microbe, qu’il soit viral ou bactérien. La distinction entre les deux immunités est une commodité pour décrire les mécanismes de défense. Les deux systèmes de défense fonctionnent de concert, l’un agit sans la mémoire et c’est une immunité naïve, l’autre repose sur une mémoire lors qu’une précédente infection et c’est donc une immunité acquise.

Une immunité acquise met en jeu des cellules compétentes, capable de mémoriser des formes antigéniques et de s’activer lorsque ces formes reviennent dans l’organisme. L’immunité acquise repose sur les cellules T, plus spécialement les CD4 capables de détecter l’agent et les CD8 impliquées dans la destruction des agents. Bien que l’image soit trompeuse, la réponse immunitaire est une sorte de guerre menée avec des cellules spécialisées dans la mémorisation, la détection de l’envahisseur et d’autres détruisant les cellules infectées et les envahisseurs (CD8, macrophages, NK, monocytes). L’organisme a développé un autre mécanisme permettant de produire une mémoire, utilisant des protéines circulantes capables de se lier aux agents infectieux. Il s’agit de l’immunité dite humorales, utilisant deux types d’anticorps (Ig). Les uns sont liants et servent à détecter l’agent pour ensuite transmettre l’information aux cellules activées détruisant l’agent. Les autres sont des anticorps neutralisants, capables de « faire le job » en enveloppant les agents infectieux afin de les désactiver et les éliminer. Il arrive parfois que les virus déjouent les anticorps neutralisants en les utilisant pour infecter les cellules. Là aussi on se demande si ce mécanisme est vraiment une ruse virale ou bien une faille dans le système immunitaire de l’hôte.

 

3) L’immunité naïve constitue une première ligne de défense contre les virus, surtout les nouveaux venus. Une partie des défenses se situe à l’intérieur des cellules hôtes. Ce sont des récepteurs intracellulaires, les Toll-like receptors, TLR en abrégé. Ces récepteurs sont capables de détecter les molécules virales reconnues comme étrangères, notamment l’ARN viral. Ils ont été conservés depuis longtemps par l’évolution puisqu’on les trouve chez la drosophile. Ils sont présents dans les cellules dendritiques spécialisées dans l’immunité mais aussi les cellules B et d’autres cellules. Lorsque ces récepteurs détectent un agent viral, ils activent la synthèse de l’interféron de type I ou III. Ces interleukines déclenchent ensuite dans les cellules l’expression de centaines de gènes en activant un mécanisme de transduction spécifique de l’interféron, la kinase JAK-STAT. L’ensemble des gènes stimulés par l’interféron est désigné par le sigle ISGs. Ces gènes sont cartographiés par les techniques d’analyse épigénétiques et le résultat est désigné comme « interférome », qui représente la partie de l’épigénome spécifique de la transformation d’une cellule « dormante » en une cellule active dans le processus immunitaire, voire inflammatoire. Dans la grande famille des interleukines, l’interféron de type II, désigné chez l’homme comme interféron-gamma, intervient dans l’immunité acquise puisqu’il est spécifique des cellules T-helper (CD4) assurant une mémoire immunitaire cellulaire et des cellules T cytotoxiques (CD8) fonctionnant de concert avec les précédentes pour éliminer les agents infectieux.

D’après les nombreuses études publiées ces derniers mois, il ressort que le SARS-CoV-2 active l’immunité naïve en passant par la voie des TLR et de l’interféron de type I ; et l’immunité acquise en passant par l’interféron-gamma et les cellules T. Cette immunité cellulaire a été constatée pour le SARS-premier de 2003 et elle semble durer encore, ce qui fait une mémoire de 17 ans (bien plus que l’immunité humorale dont la durée est inférieure à un an pour ce qui concerne les coronavirus saisonniers occasionnant des rhumes, et même l’immunité humorale de deux à trois ans observée pour la maladie liée au coronavirus de 2003) Par ailleurs, cette immunité cellulaire a été trouvée chez des patients n’ayant jamais été infectés par les deux coronavirus SARS (Le Bert, 2020), ce qui intrigue les immunologistes, laissant penser que cette mémoire immunitaire aurait été acquise lors d’un contact avec l’un des nombreux coronavirus circulant chez les espèces animales. Il a aussi été constaté que la réponse en interféron-gamma est réduite chez les patients atteints par les formes graves du Covid, avec une diminution accentuée du nombre de CD4/8 (lymphopénie). De plus, l’activation de l’immunité cellulaire repose sur la reconnaissance par les cellules T de déterminants antigéniques présents sur la surface du virus, plus précisément la protéine N pour nucléocapside. C’est cette protéine qui, associée à la protéine S pour spike, pourrait déclencher l’activation du complément. Cette activation serait alors responsable (en partie) des désastres inflammatoires constatés sur les tissus et observés dans les analyses de ferritine, CRP et Interleukine-6. Ce mécanisme serait alors déclenché intempestivement parce que les autres voies immunitaires sont déjouées par le SARS-CoV-2 et notamment la production d’interféron de type I. Cette interférence entre virus et immunité est plus répandu qu’on ne le pense, responsables des pathologies causés par les alphavirus, flavivirus et coronavirus.

Les indices convergent vers la thèse d’une immunodéficience naïve « Nous avons effectué une analyse immunitaire intégrée sur une cohorte de 50 patients atteints de COVID-19 avec diverses gravité de la maladie. Un phénotype unique a été observé chez les patients sévères et critiques, consistant en une réponse fortement altérée à l’interféron (IFN) de type I (caractérisée par l’absence d'IFN-β et une faible production et activité d'IFN-α), associée à une charge virale sanguine persistante et une exacerbation réaction inflammatoire. L’inflammation était partiellement provoquée par le facteur transcriptionnel NF-κB et caractérisée par une augmentation de la production et de la signalisation du facteur de nécrose tumorale (TNF) -α et d'interleukine (IL) -6 (Hadjadj, 2020). Un autre indice penche en faveur d’une interférence virale avec les défenses immunes naïves. La protéine virale nsp16 modifie la structure de l’ARN viral pour le faire ressembler à un ARN cellulaire. Si bien que l’ARN finit par passer inaperçu mais ces résultats sont à prendre avec prudence parce que ces résultats sont peut-être des artifices et reposent sur des méthodes cherchant à cerner les pistes antivirales en jouant sur des mécanismes (en vue d’une piste thérapeutique). L’article en question ne fait même pas référence aux récepteurs TLR censés détecter l’ARN viral (Viswanathan, 2020 ) ce qui semble refléter un souci d’analyser des mécanismes et illustre les limites de la science contemporaine. En cherchant plus loin, d’autres mécanismes seront sans doute trouvés. Sans pour autant livrer les secrets des invasions virales.

 

4) Ce satané coronavirus a pour l’instant déjoué non seulement les défenses immunitaires mais aussi les investigations scientifiques, laissant planer des angles morts déterminants pour un (im)possible vaccin ou alors un (in)accessible traitement. Cette pandémie nous laisse perplexe sans que nous doutions de la science si performante depuis des siècles. Ce n’est pas la faute des chercheurs si la nature ne se prête pas à une explication complète des phénomènes. Il faut cesser d’être naïfs ; la science ne peut pas tout, elle ignore beaucoup de choses et bute sur des questions de santé publique comme le cancer, Alzheimer et les nouveaux virus émergents. L’impuissance de la science n’est pas d’ordre technique mais cognitif, sémiotique. En 50 ans, elle n’a pas réussi à expliquer complètement les cancers, malgré les intentions du président Nixon croyant venir à bout du problème après deux décennies de recherches et des milliards proposés sur la table. Le cancer est un problème systémique devant être abordé avec les méthodes de la biosémantique (ou biosémiotique), une question de communications, signaux, interprétations et émergences. La prolifération du virus impose une même approche. Et comme pour le cancer, une majorité d’individus passent entre les mailles alors que d’autres ne parviennent pas à se défaire de la maladie qui cause alors des dégâts assez importants dans l’organisme, en à peine deux à trois semaines. Le développement du cancer est tout autre, étalé sur des années et dépendant de processus cellulaires et génétique profonds.

Le Covid-19 doit être étudié en analysant le système immunitaire bien plus que le virus qui le cause, le SARS-CoV-2 qui du reste, est loin d’être le seul à occasionner des infections virales dont la puissance pathologique repose sur une immunité dysfonctionnelle chez certains patients. Il n’y a pas deux immunités mais une seule, ayant la mémoire ou pas d’agents rencontrés dans le passé. Le système immunitaire est composé de plusieurs dispositifs fonctionnels liés à des cellules spécialisées dans la détection et la réponse. Autrement dit, la fonction sémiotique interprétant les signaux et la fonction « mécanique » détruisant les cellules infectées et les envahisseurs. Pour résumer :

(i) Cellules T, interféron-gamma (type II)

(ii) Cellules B, anticorps, liants, neutralisants

(iii) Système du complément, trois voies, (a) classique, avec IgM et IgG, (b) alternative, (c) voie des lectines, avec les protéines MBL détectrices

(iv) Récepteurs TLR cytoplasmique, cellule dendritiques et autres, interférons type I et III

 

Une fois l’agent détecté, des centaines de gènes sont exprimés, produisant des protéines impliquées dans les transductions cellulaires et des dizaines d’interleukine circulant localement ou pas.

 

5) Cette complexité risque de poser de sacrés problèmes. On sait déjà que les traitements antiviraux ne sont guère efficaces, pas plus sur le Covid que sur d’autres infections virales. De plus, la fabrication d’un vaccin risque d’aboutir à des préparations capables de produire des anticorps mais dont la protection virale n’est pas garantie. L’immunité ne ressemble pas à un moteur d’automobile où chaque pièce assure une fonction ; elle est réalisée par plus d’une dizaine de types cellulaires impliqué dans le fonctionnement de sous-système imbriqué les uns dans les autres. Lorsqu’un de ces sous-systèmes défaille, souvent, un autre s’active et prend le relais. Les vaccins ayant eu un effet protecteur par le passé ont réussi à stimuler et « informer » des défenses immunitaires fonctionnelles. Il n’est pas certain qu’un vaccin contre le coronavirus puisse protéger les patients dont l’immunité présente des failles face à ce virus qui semble avoir été sélectionné grâce à des spécificités moléculaires le plaçant comme un agent hyper réplicateur, pouvant utiliser les dispositifs des cellules hôtes et s’y faufiler. 

 

 

Hadjadj, J. et al. ; Impaired type I interferon activity and inflammatory responses in severe COVID-19 patients, Science, 13 juillet 2020.

 

Le Bert et al. ; SARS-CoV-2-specific T cell immunity in cases of COVID-19 and SARS, and uninfected controls. Nature, 2020. https://doi.org/10.1038/s41586-020-2550-z

 

Nelemans T, Kikkert M ; Viral Innate Immune Evasion and the Pathogenesis of Emerging RNA Virus Infections. Viruses, 11(10), 2019. https://doi.org/10.3390/v11100961

 

Viswanathan T. et al ; Structural basis of RNA cap modification by SARS-CoV-2 ; Nat Commun 11, 3718 (2020). https://doi.org/10.1038/s41467-020-17496-8

 



27 réactions


  • Clark Kent Séraphin Lampion 29 juillet 2020 08:24

    Le scientisme et les para-sciences (les sciences dites « pures », détachées de l’ancrage environnemental et social des phénomènes) peuvent prouver tout et son contraire :

    "Dis moi ce que tu veux, et je te fabriquerai le modèle qui le justifie".


    • Réflexions du Miroir AlLusion 29 juillet 2020 14:48

      @Séraphin Lampion,
       Au niveau de la science pure, il y en a de deux types.
       Science sociale et science numérique.
       De laquelle faut-il le plus se méfier d’après vous ?
        smiley
       


  • Laulau Laulau 29 juillet 2020 10:19

    La découverte de la vaccination a été une avancée décisive dans la lutte contre les infections.Ça ne fait pas de la vaccination une panacée, le SIDA l’avait déjà démontré, mais on l’a fait reculer par la chimiothérapie et les mesures d’hygiènes.

    Deux différences essentielles avec le SIDA :

    -La covid a un pronostic infiniment plus favorable, même sans soins.

    -Les mesures d’hygiènes sont bien plus difficiles à mettre en œuvre et bien moins efficaces.


    • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 29 juillet 2020 10:34

      @Laulau
      salut, je ne vois aucun argument factuel dans ces propos..or...je vois des affirmation bfmtv..pardonnez moi si je vous ai offensé mais nous vivons des temps ou le crime va être pratiqué si la masse continue a être aussi conne à très grande échelle, la masse , nous, sommes bien sur les responsables de ce désastre en refusant de coopérer, de partager, l’équité etc et ceci volontairement et donc en choisissant la guerre et autres saloperies humaines mes propos sont donc du self défense..et pas de l’offense ..respect et robustesse


    • Laulau Laulau 29 juillet 2020 10:43

      @Géronimo howakhan

      bfmtv répète en boucle que le vaccin n’est pas la panacée ?
      bfmtv répète en boucle qu’il n’y a pas de vaccin contre le SIDA et qu’on le soigne avec des médicaments ?
      bfmtv répète en boucle que la Covid fait, finalement pas plus de mort que la grippe saisonnière et qu’on peut la guérir en se soignant ?

      On doit pas regarder bfmtv aux mêmes heures....


    • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 29 juillet 2020 11:13

      @Laulau

      bfmtv pris comme argument désignant les médias serviles propriétés de certains milliardaires..depuis 20 ans je ne regarde aucun média, normal avant j’ai fait de la recherche marketing et quasiment tout alors autre aux yeux, normal on y apprends à niquer les gens ..cela dit là c’est pareil vous n’avez pas d’éléments factuels juste des affirmations gratuites..


    • Laulau Laulau 29 juillet 2020 11:49

      @Géronimo howakhan
      Un conseil, évitez le masque, votre cerveau a besoin d’oxygène. et c’est un fait, vous trouvez plein d’« éléments factuels » sur internet.


    • Duke77 Duke77 29 juillet 2020 13:43

      @Laulau
      Vous ne semblez pas bien informé sur le SIDA et répétez effectivement la doxa des media mainstream qui occultent totalement les nombreux faits qui contredisent ce qu’on nous a longtemps dit au sujet du SIDA et que 99% de la population croit toujours.

      Notamment :
      que le virus HIV n’a jamais été isolé et prix en photo au microscope électronique dans le sang d’un malade
      que les tests sont complètement aléatoires car ils mesurent la réponse immunitaire à une supposée présence du virus HIV, induisant de faux positifs (je vous déconseille de faire un test HIV si vous êtes en état grippal, par exemple)
      que des patients en guérissent en nombre, souvent en arrêtant le traitement (ou n’ont jamais été malades ?)

      Voir ici : https://www.youtube.com/watch?v=OajiyoWmKiE


    • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 29 juillet 2020 15:30

      @Laulau

      faux, vous inventez...


  • Francis, agnotologue JL 29 juillet 2020 11:07

    ’’ L’autre immunité repose sur une mémorisation de l’agent rencontré précédemment ; elle permet la vaccination dont le principe est d’introduire dans un sujet des composants antigéniques spécifiques à un microbe, qu’il soit viral ou bactérien. ’’

     

    Le mot important dans cette phrase est « spécifique ».

     

    En admettant que le principe de la vaccination soit bon, et que le vaccin spécifique soit efficace : cette théorie nous condamne à subir rédhibitoirement ad vitam æternam un æternam terriblement raccourci à n’en pas douter  des vaccins qui muteront à la vitesse des virus.

     

     Si cela fait les affaires de Big pharma, c’est une impasse évidente pour l’humanité, et je suis modéré. Je devrais dire que c’est la porte de l’enfer, avec péage. Tiens, ça ressemble au patronyme de qui vous savez.

     

     Le renforcement du système immunitaire  la « première immunité », fortement mise à mal par notre mode de vie par des traitements tels que préconisés par le Pr Raoult et d’autres que lui, vaut largement mieux qu’un vaccin qui serait administré trop tard ou à coté de la laque. Mais ça, ça ne fait pas les affaires des actionnaires de Big pharma.

     

    Amha, le problème est un problème de déficience de l’immunité. Je pense que tous ces jeunes que l’on voit avec des masques dans les rues présentent un déficit de leur système immunitaire, sinon de la raison.

     

     Et je pense que les parents de ces jeunes haïssent ceux qui, comme doctorix ici, mènent un juste combat contre la dictature par la peur que cette affaire révèle.


  • binary 29 juillet 2020 12:55

    L’immunité ne ressemble pas à un moteur d’automobile où chaque pièce assure une fonction ; elle est réalisée par plus d’une dizaine de types cellulaires impliqué dans le fonctionnement de sous-système imbriqué les uns dans les autres.

    Où comment dans une même phrase, on affirme, pour ensuite expliquer le contraire.


  • Odin Odin 29 juillet 2020 16:06

    Bonjour,

    "Est-ce le virus qui invente des stratégies ou bien le système immunitaire qui contient des failles ?"

    Et si dans un monde normal les scientifiques s’occupaient d’éviter en amont ce qui pourrait être les causes d’une immunité dysfonctionnelle au lieu de soigner les effets de cette déficience immunitaire avec des vaccins inutiles mais qui rapportent « un pognon de dingue » et un futur traçage des mougeons pour d’avantage d’esclavage.

    Des pistes ? Aides financières pour l’allaitement, TVA à 5 % sur l’alimentation bio et 30 % pour ceux avec des produits chimiques, minimiser l’utilisation des antibiotiques, revenir à un minimum de vaccins etc…

    Le problème est que nous ne sommes pas gouvernés par des gens normaux mais par des psychopathes et cancer, Alzheimer, autisme… vont pouvoir exploser pour la prospérité d’un petit groupe d’élus. 


  • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 29 juillet 2020 16:16

    Si les humains avaient du attendre genre 500 000 ans voir 1 millions d’années, pourquoi ces chiffres ? ils sont aussi valables que la fausse histoire officielle bien sur.. pour pouvoir survivre grâce à des pseudo vaccins et des masques comme des médicaments alors nous serions forcément tous mort dès le début et pas là pour en causer, et bien pas du tout....cette logique simple mais factuelle en dit long sur nos capacités actuelles je pense..à quoi ? à comprendre intelligemment quoique ce soit,hormis comment faire des machines, normal la seule partie de notre cerveau encore en marche s’occupe de cela..c’est un outil qui peut faire des outils..face à sa mort qu’il voit, cet outil ne sait pas gérer cela, mais va essayer, c’est là de début qui va amener notre disparition prématuré qui rode, là c’est flagrant, pseudo élites incuse bien sur.. car nous sommes un échec patent.. ceci inclus les pseudo génies et Nobel pour le pognon..et la gloire éphémère

    A part faire des machines et vivre comme tel, nous n’en avons plus aucune autre car nous dégénérons maintenant à vitesse grand V et avons perdu les principales autres capacités..le principe de la dégénérescence est que l’on ne s’en rend pas compte...ce qui peut me toucher aussi potentiellement bien sur.Adam et Eve comme allégorie situe bien le tableau..ça ne date pas d’hier ce qui peut réconforter.

    cette non vie de dégénéré est souffrance constante et tentative de fuite constante, de désirs inassouvis et de peurs inconnues etc rien n’y fait c’est la tristesse qui gagne, même avec un francs sourire..

    Oh le sujet essaye certes de s’en échapper mais comment s’échapper de ce dont on ne sait rien du tout ? Impossible bien sur...

    d’autant plus que cette souffrance ne m’est pas étrangère car c’est ce que je suis devenu..elle est moi, je suis elle...il n’y a pas deux « objets » mais un seul « moi qui souffre »..

    alors essayer de fuir cela s’appelle suicide , ou guerre , ce sont les mêmes origines, avec des effets différents..je me tue ou je tue les autres pour me venger de ma douleur que je n’arrive pas à comprendre donc à résoudre...dommage la libération de nos non vies c’est par là...porte ta croix il faut, c’est la tienne Étienne..

    mais non ma souffrance qui est le poids de ce que je fais mal, de mes erreurs et bien je veux la fuir..dans l’oublie par l’alcool et autres drogues, l’alcool est une des pires ça rend vraiment très très abruti, et bien pire encore, fuir dans l’oubli du travail , de l’argent, de la conquête de la planète etc et si on se demande pourquoi ces pseudo élites sont démentes et mauvaises et bien même en possédant ce qui peut être acheté ou volé, il n’ y a simplement toujours rien dans cette non vie..en plus demain le maître voit que ce sera peut être fini pour lui..il ne va rien amener avec lui et la folie devient exponentielle, cette folie est lie à la fuite impossible de soi donc de sa douleur...

    c’est un désastre qui aujourd’hui touche quasiment tout le monde..il doit y avoir des exceptions je pense..

    donc avec masque et vaccins plus de malades donc plus de morts( à comprendre dans les eux sens bien sur ) ....or cela ne va rien changer là aussi bien sur..

    l’économie en partie détruite, enfin le système de vol organisé..

    bon ensuite, nos vies sont vides et en souffrance, mais je fais semblant car j’ai peur de sombrer définitivement et comme hier, la masse refuse toujours de coopérer, de partager, l’équité etc et au nom de : tout pour ma gueule car je mérite plus, or seul je n’existe pas car tout est lié, relié bien sur , ceci ne peut qu’être sur une base volontaire sinon ce n’est pas de la coopération en paix mais de l’esclavage en violence et en conflit permanent, faisant regretter à quasiment l’humanité entière d’être née un jours, sauf bourré au début d’une bonne cuite ou sous anxiolytique etc ..ou une nuit !! , alors la masse qui a déjà créé ce maître dément mais à son image bien sur, creuse encore plus profond la tombe qui désormais reste notre seule destinée valable pour une espèce qui a failli avec horreur , car à ce stade disparaître avec élégance et sans payer reste une des seules chose à faire vu que et attendu que nous refusons le seul chemin..

    nous allons peut être prochainement tirer , tous , notre révérence...triste destin ? non juste un échec, ça arrive...

    ça a failli arriver totalement il y a 12800 ans ; mais ce fut partiel...

    bonne chance à tous, bien que la chance...


  • McGurk McGurk 29 juillet 2020 17:23

    J’ai récemment lu un article parlant d’un sondage sur le fait qu’un tiers des Français ne souhaitaient pas se faire vacciner si jamais on trouvait une solution à cette épidémie.

    Le journaliste suggérait, même si faiblement et entre les lignes, que c’était irresponsable de refuser.

    Or, dans cette crise inédite, on a entendu tout et n’importe quoi. « C’est un virus inconnu », « non en fait on connaît très bien les coronavirus qui ont toujours existé », « il y aura probablement plusieurs vagues », « non l’épidémie mourra probablement en été », etc.

    Sans parler des incroyables conflits d’intérêt avec l’Etat, les labos pharmaceutiques, les fabricants de matériel médical (masques, gel, etc.), groupes financiers/pseudo-fondations — qui sont d’une totale évidence. Même l’OMS raconte n’importe quoi et change d’avis toutes les trois secondes.

    Dans cette situation, le plus simple est d’insulter les peuples en prétextant qu’ils sont cons et irresponsables afin de nous injecter ces merdes dont les effets à court/long terme (si il y en a) sont inconnus.

    C’est exactement la « stratégie Macron » de balancer un pavé dans la marre et de prétexter que c’est le voisin d’en face qui en est responsable.

    Tout comme je n’ai aucune confiance en leur pseudo-sondage qui a, sûrement, grandement sous-évalué le nombre de personnes réfractaires à une procédure expérimentale provenant d’une situation à la fois inimaginable et imbécile.


  • xana 29 juillet 2020 18:45

    Je suis entièrement d’accord avec McGurk. On ne peut plus avoir confiance en rien, sauf son propre bon sens. Et autant ca me paraît utile de se faire vacciner contre la rougeole ou les oreillons, autant il me paraît risqué de servir de cobaye dans une opération « anticovid » patronnée par les médias alors qu’on sait qui ils servent.

    Sans doute bientôt serai-je condamné à réinstaller une télé chez moi, comme punition pour avoir réfléchi par moi-même.


  • Bernard Dugué Bernard Dugué 29 juillet 2020 19:32

    Bonsoir,

    Je veux bien répondre à des questions concernant l’article publié

    L’occasion ne s’est pas encore présentée

    Cordiales salutations


    • Francis, agnotologue JL 29 juillet 2020 20:35

      @Bernard Dugué
       
       vaccin inefficace, mais qui sera pourtant mis sur le marché en 2021 sinon avant, si j’en crois les messages diffusés par les médias.
       
       Mis sur le marché, et probablement obligatoire, ou quasiment.
       
       Question : qu’en pensez vous ?


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 29 juillet 2020 20:39

      @JL Il ne sera pas obligatoire, la France n’est pas la Chine
      Et il risque d’être refusé en masse
      plus de la moitié des cobayes ont subi des effets assez désagréables. Je ne pense pas que les gens acceptent d’être « injectés » par un poison dont on ne sait même pas s’il est protecteur.


    • Francis, agnotologue JL 29 juillet 2020 20:48

      @Bernard Dugué
       
       merci pour la réponse. Il y a d’autres moyens que la loi pour le rendre obligatoire de fait : les masques le sont bien.
       
       Ne faisons pas d’angélisme, une population qui se laisse confiner par peur d’un virus est capable de tout accepter. Je pense qu’on décrètera un jour que les masques ne protègent pas suffisamment ; par la suite, les gens non vaccinés seront déclarés personae non grata dans les lieux publics.


    • Réago 1er août 2020 14:25

      @Bernard Dugué

      Ce n’est pas une question mais plutôt un constat. A propos de l’hydroxychloroquine, les diverses études réalisées jusqu’à présent ne vont pas pas toutes dans la même direction. Certaines « prouvent » qu’elle est inefficace, d’autres qu‘elle est efficace. Le fait qu’en France notamment l’hydroxychloroquine ne soit pas autorisée en prescription en médecine de ville pour traiter le coronavirus indiquent que les autorités considèrent que seules les études concluant qu’elle est inefficace sont valables pour elles. Sur la base de quel raisonnement logique ? Ont-elles conçues un système qui permet d’avoir une certitude ? Je suppose qui si c’était le cas on le saurait. Voici, par exemple, une étude italienne (article du 31 juillet 2020) concernant le coronavirus qui conclut que l’hydroxychloroquine réduit le risque de mort de 66% (lire l’article pour plus de détails). Sur la base de ce que considèrent nos autorités cette étude est fausse obligatoirement grâce à leur système mystérieux de déductions et de conclusions qu’elles seules connaissent. LOL !

      https://www.newsmax.com/world/globaltalk/hydroxychloroquine-coronavirus-deathrate/2020/07/31/id/980040/


  • rodolphe 29 juillet 2020 21:14

    Comme le suggéraient Béchamp et Tissot ,« le microbe n’est rien , le terrain est tout ».

    On aimerait effectivement que le futur vaccin ne devienne pas obligatoire, mais les masques le sont à ce jour et c’est injustifiable scientifiquement (https://www.youtube.com/watch?v=J13v91ESl44&t=37s).

    Pour ceux qui souhaiteraient aborder la vaccination et creuser un peu le sujet.

    https://www.amazon.fr/Vaccinations-v%C3%A9rit%C3%A9s-ind%C3%A9sirables-Michel-Georget/dp/2703307217

    https://www.aimsib.org/2019/05/12/vaccynisme-et-realite/

    https://www.youtube.com/watch?v=1_NcXyDycb8 (HLA Georget)

    https://michel.delorgeril.info/collection-vaccins/


  • caza 29 juillet 2020 22:07

    Bonsoir M Dugué

    Votre publication doit s’adresser à des professionnels universitaires en virologie ou immunologie car plutôt ardue .

    Dans le cas du vaccin antigrippal il doit être fait chaque année et sa formule renouvelée annuellement sur préconisation de l’OMS en raison des mutations perpétuelles du virus .

    Que pourra t il en être de celui du Covid puisqu’il semble que l’immunité induite n’est que temporaire et que l’on ne sait rien des éventuelles mutations du virus

    D’Esculape ,Paracelse à Pasteur Koch Watson l’histoire de la médecine ne manque pas de découvertes avec des moyens plus que limités considérés avec le présent .

    Comment pouvez vous analyser cette stagnation des découvertes alors que la technologie a été plus que décuplée

    Merci


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 29 juillet 2020 22:17

      @caza
      Bonsoir,
      En première analyse, j’explique la stagnation des découvertes, constatée du reste par le Pr Raoult, par une téléologie de la recherche adossée à des principes mécanistes. La technique va vers ses fins. Les possibilités sont bientôt épuisées et le décuplement de la technologie n’y fera rien. Il faut trouver de nouvelles voies. Je connais la difficulté du chemin mais suis trop isolé pour réussir pour autant qu’il y ait une réussite dans les voies alternatives. 


  • DLaF mieux que RN ou Z / Ukraine vraidrapo 30 juillet 2020 05:10

    De mémoire, il me semble qu’on attribue au hasard une des découvertes de Pasteur... Tout espoir n’est donc pas perdu en ce qui concerne cette Covid.

    Cependant, une succession de virus semble normale. Il serait crucial de découvrir un principe permettant l’automaticité d’un vaccin...


  • Alain Proviste Alain Proviste 30 juillet 2020 22:40

    Les scientifiques qui travaillent dans le domaine florissant de la biologie synthétique sont convaincus qu’ils peuvent « supplanter » et surpasser la Nature en utilisant les technologies de vaccination de nouvelle génération telles que le transfert de gènes et les nanoparticules auto-assemblées — ainsi que les nouveaux mécanismes invasifs d’administration de vaccins et de gestion de données tels que les tatouages à points quantiques lisibles par smartphone. E les scientifiques ont commencé à bricoler au milieu des années 1990 des vaccins à base d’acide nucléique, qui comprennent des vaccins à ADN et des vaccins à ARN messager (ARNm). En tant que forme de thérapie génique, ces deux types de vaccins représentent une différence importante par rapport aux vaccins classiques. Alors que les vaccins classiques introduisent un antigène vaccinal pour produire une réponse immunitaire, les vaccins à acide nucléique envoient au contraire à l’organisme des instructions pour produire l’antigène lui-même. Comme l’explique un scientifique, les acides nucléiques « amènent les cellules à fabriquer des morceaux du virus », l’objectif étant que le système immunitaire « déclenche ensuite une réponse à ces morceaux du virus ». es scientifiques ont rapidement compris que les vaccins à ADN et à ARNm présentent tous deux de sérieux inconvénients, et c’est la raison pour laquelle ce type de vaccin n’a jamais été homologué. Néanmoins, près d’un quart (20/83) des vaccins répertoriés, au 23 avril, par l’Organisation mondiale de la santé comme « vaccins candidats » dans la lutte contre le Covid-19, dont deux des principaux prétendants sont des vaccins à ADN (Inovio) ou à ARNm (Moderna) Par définition, les vaccins à ADN comportent le risque d’« intégrer de l’ADN exogène dans le génome de l’hôte, ce qui peut provoquer une mutagenèse grave et induire de nouvelles maladies ». En termes plus compréhensibles, « la perturbation causé par l’ADN est comparable à l’insertion d’un ingrédient étranger dans une recette de cuisine existante, susceptible de modifier le plat qui en résulte ». L’incorporation permanente de gènes synthétiques dans l’ADN du receveur produit essentiellement un être humain génétiquement modifié, avec des effets à long terme inconnus. les vaccins à ARNm les vaccins à ARNm ne devraient atteindre que le cytoplasme de la cellule plutôt que son noyau — un « défi technique plus simple » en apparence — bien que l’approche exige encore « des technologies de distribution capables d’assurer la stabilisation de l’ARNm dans des conditions physiologiques » le vaccin ARNm-1273 de Moderna relèvent ces défis en utilisant « des modifications chimiques pour stabiliser l’ARNm » et des nanoparticules liquides pour « l’emballer sous une forme injectable ».

    Les approches ARNm semblent attirer les scientifiques pourvus d’une vision très mécaniste de l’être humain. L’une de ces personnes fait l’éloge de l’ARNm pour son « inhérente capacité de programmation », en déclarant : « Tout comme un ordinateur [système d’exploitation], la thérapie par ARNm peut reprogrammer [un] corps pour qu’il produise ses propres thérapies » [mis en gras dans le texte original]. Les approches ARNm — qui utilisent des brins d’ARNm « sur mesure » pour « transformer les cellules du corps en usines à médicaments ad hoc » — sont comparés par le PDG de Moderna à « un logiciel : il suffit de tourner la manivelle et de mettre au point toute une kyrielle de produits »

    Alors que la biopharmacie poursuit sa course effrénée — et que l’éthique médicale soit damnée — pour obtenir une immense source de profits grâce au Covid-19, le public doit jeter un regard critique sur les mesures de dissuasion utilisées par l’industrie pharmaceutique pour « garantir la salubrité de ses produits » et devrait fermement s’opposer à la perspective effrayante d’un vaccin obligatoire contre le coronavirus.


  • I.A. 31 juillet 2020 13:21

    @ Bernard Dugué

    Malgré quelques passages indigestes, votre article est très intéressant.

    Comme Rodolphe, et comme vous le reconnaissez finalement : c’est le terrain du patient qui engrange la gravité de la contamination, sans cela, eh bien... rien ! Je veux dire, pas de malignité spécifique (puisqu’il y a déjà 3 familles virales présentant les caractéristiques que vous développez).

    Ce terrain est d’autant plus primordial, que certaines études (Inserm) ont été réalisées sur des patients déjà hospitalisés, mais pour des pathologies autrement plus graves que Covid. Ceux-là ont été contaminés à l’hôpital ou entre deux séjours à l’hôpital, alors qu’ils étaient déjà bien affaiblis.

    Pour ce qui est de la recherche, le fameux « publish or perish » n’aide pas toujours la science à avancer. Revenir au plus près du patient, en observant la virulence d’un virus en regard de sa ou de ses comorbidités (et parfois des traitements qu’il prend pour les soigner), c’est s’éviter de perdre du temps.

    La recherche fondamentale ne doit pas disparaître pour autant.

    Se concentrer sur le système immunitaire pourrait effectivement se révéler bien plus productif qu’on ne le croit, à condition de faire la corrélation avec le mode et les habitudes de vie. Se concentrer peut-être aussi sur les traitements donnés aux personnes atteintes de comorbidités : pour le grand âge, par exemple, c’est souvent de l’aspegic, généralement sans autre justification que la prévention.

    Bien à vous


  • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 5 août 2020 18:04

    La piste Prevotella de Bio Moon réapparaît par un chercheur indien,.

    C’est très long.

    https://blogs.mediapart.fr/igaal/blog/210420/la-folle-histoire-de-la-premiere-theorie-globale-sur-le-coronavirus


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