Banlieue : classe chômeuse, classe dangereuse
Comme promis, place de la République à Paris, les « casseurs » ont offert le spectacle final de la manifestation du 28 mars. Mais quelle est cette jeunesse venue perturber la belle unité syndicale et citoyenne anti-CPE ?

Quelle est-elle, cette jeunesse dévastatrice ?
La question est trop complexe pour prétendre y répondre avec toute l’intelligence et la modestie nécessaires mais tout au moins ai-je vu de près ce jour-là, cette partie de notre population. Voyageant en direction de la Place d’Italie autour de 14 heures, de très jeunes banlieusards s’étaient entassés dans une rame de métro de la ligne 5, où certains manifestants qui ont eu le mauvais destin d’embarquer à la même heure, ont été copieusement agressés, dépouillés, effrayés. La police nationale et de la RATP sont finalement intervenues à la station Quai de la râpée, juste après Bastille. Là, les voyageurs interloqués ont vu s’extraire de la rame une bonne centaine de jeunes pour avancer vers la sortie, d’une démarche solidaire et chaloupée. Dans les mains des expulsés, des téléphones portables dont certains à moitié cassés, des portes feuilles en cours d’exploration, des cartes bancaires muettes. Un butin dont la valeur possédait avant tout le goût de la vengeance stupide et aveugle.
Au croisement de deux mondes.
A cet instant, deux mondes totalement inconnus l’un à l’autre se sont croisés. Avançant en colonne large et serrée, ces jeunes sont passés, la mine hilare et glorieuse, sous le nez des voyageurs sans leur jeter le moindre regard. Dans leurs yeux, la haine, le mépris mais aussi et plus dérangeant, la colère, le ressentiment, un désir terrible de révolte. Parmi les voyageurs à la fibre revendicative, l’envie première que cet étrange et dérangeant désordre social cesse au plus vite.
Une interrogation.
Ici, point d’excuse au comportement de ces jeunes dont la moyenne d’âge ne dépassait pas les 17 ans. Comportement inadmissible et légitimement répréhensible. La répression, c’est peut-être la seule et dernière mesure d’égalité de traitement que l’on sait encore leur offrir. Non, point d’excuse ou d’évangélisme mais au lendemain de cette manifestation monstre qui s’est poursuivie par un rodéo entre casseurs et force de l’ordre, jusqu’à 21 heures, place de la République : une interrogation. Combien de temps encore laissera-t-on le feu de l’inégalité et de l’exclusion sociales couver, puis éclater de temps à autres, aux portes de Paris ? Faudra-t-il y construire des zones de rétention où la police retiendra cette population déchaînée le temps nécessaire à la colère légale de s’exprimer ? Où va-t-on, à tenter ainsi d’endiguer cette révolte primaire car inorganisée, abandonnée de toute bannière politique et laïque ? Combien de temps pourra-t-on tirer le rideau républicain sur les stigmates d’une population objectivement dangereuse et délinquante qui n’a semble-t-il rien à faire de la défense d’un réseau de solidarité dont elle ne bénéficie pas ou ne voit pas dans quelle mesure elle en bénéficie tout de même ? Le chômage des jeunes ? C’est en banlieue qu’il sévit le plus sévèrement sans compter celui de leurs parents. Chômeurs, fils de chômeur et bientôt petit fils de chômeur...
La souffrance des "sans-travail "
Quel que soit le type de contrat, c’est du travail, de la dignité et du salaire qui en découlent, que ces jeunes réclament, voire sans plus le savoir. Un grand spécialiste du travail, l’ergonome François Danielou, a pour habitude de répéter que « la plus grande souffrance au travail est celle de ne pas en avoir ». Combien a-t-il raison ! "Silence , on casse et on dépouille"
Et pourquoi ces scènes d’agression sur le réseau RATP sont-elles si peu rapportées dans les médias ? N’aurions-nous aucune solution à proposer ? Ce vilain spectacle gâcherait-il par trop le beau tableau de la grande fête citoyenne, revendiquant un CDI pour tous , et comme disait ma mère, nous renvoyant à nos piètres ou impossibles revendications, un p’tit cheval et une voiture avec ?
Casseur et chômeur, même danger
Dommage que les patrons des centrales syndicales, que les membres des partis politiques n’aient pas pris le même moyen de transport que le nôtre, pour se rendre à la manifestation. Peut-être alors auraient-ils mesuré toute l’urgence à se pencher vraiment sur le sort de cette classe chômeuse, de cette classe dangereuse. Un chômage et un danger qui ne peuvent, pour l’heure, que s’aggraver. Gare !
217 réactions
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sachez Nicolas que vos dires ne changent rien et que la réalité est la meme. pour le reste je vous laisse maitre de vos définitions et de vos sites extrémistes car le propre d’une idée reçue est justement de se passer d’essayer de penser.
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Appliquez à vous même vos dogmes en vivant la réalité au lieu de feindre de l’avoir vécue !
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Vous êtes gentil mais ne vous inquiétez pas, c’est déjà le cas.
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simplet 29 mars 2006 17:54
bonjour, je viens de lire l’article + qqs uns des différents commentaires enrichissant grandement le débat ( la c’est de l’humour... )
la lutte idéologique à laquelle nous assistons ne nous avancera sans doute à rien, on ne peut tout excuser, mais de là à mettre dans le même sac banlieusards émeutiers casseurs et étudiants un peu musclés, je trouve çà très démago.
D’ailleurs le site d’extrème droite y trouve pleinement sa place, eux sont les rois pour rendre le monde blanc ou noir ( ils préfèreraient blanc mais bon... ) on pourrait aussi créer un forum ou chacun pourra dénoncer des agressions de voyous ou des bavures de flics.. de la à utiliser çà dans un article c’est plutôt moyen..
Je ne suis donc pas d’accord ni avec la rédactrice de l’article ni avec tous ceux qui attisent la haine de l’autre avec de pauvres exemples de la cruelle vie de tous les jours...
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tout à fait d’accord, ancien de la banlieue, ancien voyou, je comprends cette colère, et quelque part l’abandon de toute classe politique confondue ( moi même socialiste, j’ai un peu honte de l’ignorance des élus sur ce sujet), car ils ne l’ont pas vécu
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Dès qu’il est question de la racaille black-beur de banlieue, j’ai remarqué qu’il était d’usage de dénoncer le laxisme qui a prévalu à son égard sous les gouvernements socialo-communistes, comme si ceux-ci étaient les seuls responsables de cette vermine proliférante.
Ceux qui invoquent cet argument on la mémoire courte et sélective. Qui était président de la République Française lorsque le regroupement familial des travailleurs immigrés a été décidé par un décret du 29 avril 1976 ? Valéry Giscard d’Estaing. Qui était premier ministre ? Jacques Chirac.
C’est donc bien la droite parlementaire qui a décidé de faire venir d’énormes populations immigrées.
Les socialo-communistes ont eu à gérer ce terrible héritage légué par un Chirac de droite toujours aussi inconséquent et inconsistant trente ans plus tard.
Ils l’ont certes fait avec une une naïveté et un angélisme confondants et ultra-criticables et sans penser à contrôler sévèrement les naissances au sein de ces populations. Mais dans cette histoire, tous les gouvernements sont responsables, et en premier chef celui qui a eu cette idée abracadabrantesque de faire venir des centaines de milliers de gens pour la plupart intintégrables pour cause de disparition des emplois que leurs pères occupaient dans les usines des Trente Glorieuses.
Que faire maintenant ? Les flics sensés le savent bien : dans chaque cité il y a entre une trentaine et une centaine de cailleras irrécupérables. Ceux-là, il faut les dérouiller et les verrouiller et les isoler de leur milieu pathogène : le communautarisme musulman identitaire. Les foutre en taule ? Mais c’est là qu’ils deviennent gangstéro-islamistes. Les priver de leur nationalité française en modifiant la loi et les expulser ? Oui, dans le pays musulman de leur choix.
Reste, en dehors de la caillera, le problème de l’Islam, inintégrable dans la République parcqu’ontologiquement théocratique... et tenant à le rester, ce qui implique le problème de la condition féminine, etc.
Pour le régler, il faudrait un gouvernement courageux. Pas à la botte de Sarkozy, donc, ce nabot politique qui fricote avec les associations musulmanes islamistes ou hypocritement « modérées » pour acheter la paix des banlieues et remplacer la BAC par des talibans, ce qui n’est vraiment pas un progrès.
Un gouvernement non sarkozyste, donc, qui aurait le courage de s’attaquer à la fois à la misère, à l’illettrisme, à l’islam modéré, militant et missionnaire, mais aussi aux dérives tribales et racistes des BAC, qui se comportent de plus en plus (sous le règne de Sarkozy, tiens tiens...) comme des gangs tribaux inverses vidéos de la caillera.
« Vaste programme », comme disait un certain Charles de Gaulle...
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Et si vous voulez savoir ce que la caillera encapuchonnée pense de la culture, regardez ça.
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Puisque vous semblez connaitre si bien l’histoire de l’immgration, qui en 1981 a décrété que les travailleurs immigrés ne rentreraient pas chez eux, alors que la France avait fait construire sur place des logements pour qu’ils soient bien mieux logés qu’avant leur départ pour la France ?
Vous faite de la diffamation ou vous nagez dans l’ignorance !
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Concernant le regroupement familial, si je me souviens bien, ce n’est pas un effet de la générosité giscardienne mais bien de l’entrée en vigueur et de l’intégration dans le droit français à cette époque de la Convention européenne des Droits de l’Homme rédigée par le Conseil de l’Europe, notamment son article 8 sur le respect de la vie familiale. A noter que cette convention internationale a été ratifiée par la France à un moment où les futurs regroupés familiaux faisaient parti de l’empire colonial français dans l’immédiate après-guerre... Merci de compléter ma réponse si j’ai fait une erreur !
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Très peu cher anonyme,
Je n’ai diffamé personne. J’ai rappelé une réalité historique : c’est la droite qui a décidé en 1976 de faire le regroupement familial. Point-barre. Et j’ai moi-même souligné à quel point les gouvernements de gauche ont totalement merdé dans la gestion du problème de l’immigration musulmane.
Alors ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit, et si tu es trop con et/ou partisan pour le comprendre, étudie un peu l’Histoire.
Capisco
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Quand le contradicteur est à court d’idées et d’arguments, il hausse le ton et insulte pour faire entendre... sa médiocrité.
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Quand on n’est pas d’une médiocrité intellectuelle intégrale, très peu cher anonyme, on expose ses arguments.
Chiche
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Votre commentaire me parait tout à fait pertinent ! Je me souviens quand le ministre en charge sous Giscard, Lionel Stoleru, a fait voter cette loi en application d’une directive Européenne. Giscard a du d’ailleurs s’en rendre compte, puisqu’il a, bien des années plus tard fait scandal en intitulant un article du Figaro Magazine : l’Invasion !
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Bravo pour votre article Tout ce que nos politiques ont trouvé aprés la crise de banlieu, que les étrangers ont interprété comme « gerre civile en france » c’est le CPE. Je pense que pour ces jeunes et moins jeunes ce qu’il faut c’est du travail et non le type de contrat de travail. Mais pour ca il faut que nos politique descendent de leurs planètes parce que eux ils planent dans les nuages (de bonheur) et nous ont est sur terre. Je pense que les erreurs accumulé dans tous les domaines (immigration, éducation, logement...) et par tous nos politiques qu’ils soient de droite ou de gauche c’est à la génération des précaires de les reparer. Alors, ne soyons pas dupe et ne laissons pas cet élan de solidarité contre ce contrat de précarité se faire acaparé par la gauche...
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Comme un gout de déjà vu...
Il y a quelques temps que j’ai quitté le lycée et la fac, mais lycéenne en 90-92 dans un quartier parisien dit « privilégié » je me souviens...de m’être fait raquetter pour quelques pièces dans le fond de ma poche (à l’époque pas de portable ni de lecteur mp3, peu de CB pour les lycéens), des manifestations lycéennes de l’époque où casseurs et délinquants de l’époque (car le terme racaille n’était pas encore d’usage) cassaient les vitres des magasins et dépouillaient de leurs coûteux blousons (des doudounes sans manches ornées d’un canard dans le dos qui faisaient fureur à l’époque), les lycéens trop privilégiés qui avaient choisi de défiler sous la banderole « solidarités avec les lycées de banlieue », là déjà la technique 10 contre 1 faisait recette...sinon pendant cette période j’ai aussi assisté impuissante au tabassage dans le métro de deux jeunes filles par deux ou trois garçons (entouré d’un groupe de quelques dizaine d’autre gamins pour tenir à distance les usagers du métro) parce que trop maquillées et trop décolletées pour être honnêtes...Bref, le phénomène ne date pas d’hier, il est aussi vieux que la crise économique (souvenez vous des skechts de Coluche, « on est une bande de jeunes, on se fend la gueule », avec description de racket et tournante) mais il prend il est vrai une tournure plus inquiétante quand il se double d’une revendication ou d’un regroupement « ethnique » ; au bagarre entre punks à chiens d’extrème gauche et skin-head nourris à l’idéologie d’extrème droite des années 80, semble avoir succéder des formes de regroupement ou d’adhésion qui ne se font plus sur un mode politique mais plus ethnique ou religieux, qui sont quelques part le reflet des tensions qui agitent à plus large échelle le globe, doublé d’une forme de nihilisme et d’acculturation au profit d’une culture hédoniste basée sur la possession (ou la non possession) de biens matériels, signes de réussites sociales (cb, téléphone, lecteur mp3)....pour mémoire et pour conclure, les lycéens du début des années 90 manifestaient pour un meilleur avenir, plus de prof et de moyens pour accéder à un niveau de vie supérieur à celui de leurs parents, un meilleur job...il semble que leurs petits frères est décidé de « zapper » l’étape formation et de passer directement à la consommation des biens matériels, par tout les moyens...
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Complètement d’accord avec toi Mado.
Mais rions un peu quand même avec un néologisme policier abracadabrantesque et bouleversifiant.
Savez-vous comment les rapports de police qualifient les razzias des cailleras ? Par le néoconcept de « délinquance acquisitrice ».
C’est vrai que ça fait plus sérieux et postmoderne que parler de « vols qualifiés ».
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plutôt que de les enfermer peut etre qu’ils faut les aider non ? je comprend pas comment on peut imaginer mettre a l’écart une catégorie de la population... et pour moi les plus grand délinquants ce ne sont pas ceux qui brisent une vitre ou pille un porte fueille .. mais plutôt les politiciens protegés qui detourne des sommes énorme !!
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Parce que ça fait 25 ans qu’on les aide... Qui peut affirmer que les politiques sociales ont donné le moindre signe d’efficacité ? Et les milliards engloutis pour rien ?
Mais je sens que je vais la sacrosainte réponse « c’est parce qu’on les a mal utilisés ces milliards »... Bel exemple de refus de la réalité et de mauvaise foi, surtout quand on sait que une bonne partie de ces milliards sont allés directement dans les poches des associations locals, ont servis à retaper TOUTES LES SEMAINES, les banlieues dégradés...
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Marsu, changez votre place avec la leur et nous verrons bien si vos vérités restent absolues ou relatives.
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Magnifique solution ! Bravo !!! Quel argumentaire !
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on a beau être incorruptible jusqu’à la bêtise, on n’est jamais totalement immunisée contre le chant des sirènes (clin d’oeil bien sur)
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Il ne s’agit pas de vérité, « relative » ou « absolue ».
Je ne prétends détenir aucune vérité. J’entends juste agir et voter pour qu’on ne me fasse pas chier dans la société où je vis. Il s’agit de gestion de rapports de forces socio-culturels sur fond de conflits de civilisations et d’ultralibéralisme généralisé et mondialisé.
Je te raconte un tout petit bout de ma toute petite histoire individuelle, à titre de témoignage.
Je suis né ailleurs qu’en France et fils de militaire raciste et très droitier. A 17 ans, je me suis barré, n’en pouvant plus du racisme et des discours flirtant avec l’extrême-droite. Jeune con réactionnel, je suis donc devenu anti-raciste et de gauche (pas d’extrême), et je me suis empressé d’aller habiter dans le quartier arabe de la première ville française où j’ai atterri. J’ai mis environ deux ans à comprendre ma douleur et mon erreur : bagarres perpétuelles à propos d’histoires de femmes, opinels sortis et gangstérisme généralisé. C’était il y a 36 ans, et à l’époque, c’était encore cool : l’islamisme n’existait pas.
Depuis je suis resté antiraciste et anti-extrême-droite, mais le réel m’a désillé les yeux. La caillera immigrée-musulmane, je sais physiquement ce que c’est.
Ça ne m’empêche pas d’avoir des amis issus de la culture musulmane. Mais ils sont TOUS athées ou agnostiques.
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Question réthorique, vous excellez... Malheureusement , encore une fois, les mots ne guériront jamais les maux...
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« Les mots ne soulagent les maux que le temps des modes, qui sont par nature éphémères. »
Les modes sont éphémères certes, les maux malheureusement permanents...
"Je ne sais pas pour qui je vais voter la prochaine fois. Pas pour l’extrême-droite, c’est sûr."
Hop on a quand même un point commun
« Et j’ai le bagage intellectuel, bien qu’étant issu de classes moyennes-inférieures, »
On est deux aussi
« pour faire une nette disctinction entre la Représentation (les mots), l’Existence (les faits) et la Transcendance (ce qui est au-delà des mots et des faits) »
Je n’aurais pour ma part par la prétention de dire « nette distinction » tant l’exercice est périlleux, sans compter qu’hormis les faits, le reste n’est que « subjection »
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Il y a quand même ce qui est concevable (les mots, les représentations), ce qu’on vit - et entre autre les « maux » concrets qui nous accablent (l’existence) et ce qui nous échappe totalement (la transcendance).
Aucune de ces catégories ne relève de la subjectivité - ou subjectivation comme tu dis - ce qui nous éloigne considérablement des histoires & diners de cons, mais je n’en suis pas sûr.
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Je précise. J’ai écrit : « Aucune de ces catégories ne relève de la subjectivité ».
J’aurais du écrire : « Aucune de ces catégories ne relève de la subjectivité en soi. Elles peuvent toutes être objectivées. Un peu d’épistémologie y suffit ».
Euh... c’est mon côté « caillera épistémologique, et je piquerai jamais le portable de personne, vu que n’en ai pas et n’en désire pas ».
A+
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@Marsupilami
T’es pas le seul toubab a avoir vécu en téci, je te rassure... mais je ne partage pas ton avis...
Des differences de « statuts » existaient deja, et n’ont fait que s’accentuer... Je ne pense pas quand termes d’integration, notre super modele sociale soit le plus belle exemple a suivre. Est si difficile de reconnaitre ça ?
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skin-head’s = d’une souplesse & politesse & sont sous ma protection
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Nos sociétés n’offrent plus d’espoir d’ascension sociale. La société se bipolarise, l’immense classe moyenne est sur le point de mourir. Quelques-uns s’en sortent par le haut, mais la plupart sombre dans la précarité, l’absence d’avenir. Dès lors, les violences deviennent un moyen d’expression bruyant et visible. Pourtant les dirigeants devraient l’avoir pressenti par un symptôme fort : l’abstention aux élections. Les individus, les jeunes en particulier, ne voient pas ce que l’élection de tel ou tel changera pour eux. Et faute de dialogue possible, la seule échappatoire devient la violence. Je ne la cautionne pas, mais comment faire entendre sa voix autrement ? Il est urgent que nos dirigeants répondent aux inquiétudes populaires. Lorsqu’on a plus rien à perdre la révolte paraît bien séduisante. Gageons qu’une autre voie sera trouvée.
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Rodrigue as-tu du cœur ?
C’est par un jour de pluie, après des semaines passées à endurer leurs abjections, que je me décide à écrire.
Ecrire c’est dire, et dire c’est souffrir ! Souffrir de briser des connivences, voire des alliances, souffrir de parler d’un monde qu’on exècre, souffrir enfin d’avoir à rompre des consensus !
Est-ce si grave ? Ce CPE honnis est-il si important ? En soi Non. En soi, Essentiel !
Comme la langue d’Oesope direz-vous ? Oui, comme le fablier disait « Ni bonne, ni mauvaise ».
Voici donc qu’une « génération privée d’avenir » (cela me rappelle « la fin de l’histoire ») manifeste contre un projet de loi sans envergure au prétexte - ai-je entendu - « de forger un modèle conforme à nos aspirations ». Celle qui prononça cet aphorisme percutant était une de ces jeunes filles insipides et à la langue bien pendue dont on voit les visages sans grâce bien que sans ride se répandre sur les plateaux de télévision où elles pérorent sans vergogne face à des adultes - certains fort instruits - qui supportent avec démagogie leurs impertinentes ignorances.
Parce qu’à 20 ans, sortant du moule à imbéciles de l’Education nationale, ON sait ? On sait donc, de source sûre, ce qui pourrait (Voyez comme je suis prudent avec ce conditionnel) sortir le pays (Encore faudrait-il qu’il y en ait un) du marasme !
Parce qu’à 20 ans, on se préoccupe de l’avenir ? Et surtout on s’en inquiète ?
Bon sang ! Mais pour ce qui m’en souvienne, je me demandais seulement si je serais à la hauteur de mes prétentions. Je mesurais l’abîme entre la faiblesse de mon expression, le lâche tissage de mes connaissances et la compétence talentueuse de ces personnalités qui nous donnaient conférence sur conférence dans l’amphithéâtre de notre Ecole. Nos professeurs - qu’ils en soient remerciés - nous expliquaient qu’il nous faudrait changer de postes et d’entreprises pendant une dizaine d’années avent de nous stabiliser, dans une fonction d’abord, un métier ensuite, une firme enfin. A moins que nous n’en eussions fonder une, ce dont nous doutions tout en le désirant comme on l’eut fait d’une femme. Mais surtout, l’œuvre primait, et la réussite, sans que l’argent ne nous obsédât.
A 20 ans, je n’imaginais pas la vieillesse, me sentais éternel, et de l’imprudence avais fait une vertu !
Puis il y eut 68. Première faille, que les dilettantes des facs, c’est-à-dire de l’Université, saisirent au vol pour donner à leur vacuité une densité et une pensée...Enfin « pensée », il y a de ces mots qui vous échappent !
Ils firent de slogans comme « Sous les pavés, la plage » leur structure ; mais ils en devinrent crustacés, et non vertébrés. La carapace les protégeait, les soutenait et les contenait tout à la fois. Ils la sécrétèrent à force de lois protectrices et de garanties payées par d’autres. Ils rejetèrent toute appartenance, tout respect, tout honneur. Pour bien faire, ils vendirent le patrimoine national pour vivre leurs petites existences, et s’engouffrèrent dans le giron étatique afin d’y jouir à satiété de leurs RTT.
Et nous les regardions alors, avec cette ironie teintée de mépris, que caractérisa fort bien la remarque de l’un de nos camarades : « Ils manifestent parce qu’ils ont peur ».
Nous avions en effet, été élevés dans l’adage contraire que tant d’axiomes ou de citations illustraient : « La fortune sourit aux audacieux » « L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt » « Après la victoire resserre la jugulaire » « Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer » « Tu tremble carcasse, mais tu tremblerais bien encore plus si tu savais où je vais te mener ! » etc, etc...
Et nos jeunes filles allaient, belles, racées, propres, pimpantes, coiffées, le sourire pétillant, leurs jambes fines dans des escarpins ; et la vie était belle puisque nous allions où nous devions : vers le Beau, le Bon, le Juste, le Bien, la Gloire. Mais pas celles des saltimbanques, celle des grands artistes ou des savants, celle des capitaines d’industrie, celles des soldats et des héros, des découvreurs ou des défricheurs !
Hélas ! Ils doutent de tout, ils ne se respectent pas, et leur foule hurlante, sombre, sans grâce, mal apprise, indigente, trop nourrie, illettrée, martyrise le Français, leur langue, l’élégance, leur patrie, et réclame des garanties quand eux seuls devraient être la garantie de la Nation !
Michel Serres écrit dans le Parisien « La guerre, toutes les guerres, sont ce que j’appelle à présent « les meurtres des fils ». Les deux guerres mondiales, ce sont des vieillards, à Berlin et à Paris, qui s’entendent pour qu’on massacre leurs propres fils. A chaque fois c’est pareil, nos sociétés ont toujours massacré leurs enfants. Chaque génération recommence. Pour la première fois dans l’histoire, depuis 60 ans nous n’avons pas connu de guerre. Mais les pères d’aujourd’hui ont inventé autre chose pour « tuer leurs fils », cela s’appelle le chômage et la précarité ».
Quel chapelet de contre-vérités ! Ainsi, des gens profitent-ils de leur costume vert pour dire des âneries. Et avec un tel aplomb que je ne résiste pas au plaisir d’en disséquer la litanie.
« la guerre, toutes les guerres,... » Ah bon ? Michel Serres a donc étudié TOUTES guerres que l’humanité a livré, et il peut en tirer une règle générale ?
Mais « guerres »se résume vite aux « deux guerres mondiales » et il poursuit : « Ce sont des vieillards » A quel âge est-on vieillards pour notre immortel ? Et puis dois-je lui rappeler qu’entre 1792 et 1815, les généraux français et nos gouvernants avaient entre 20 et 30 ans ?
Poursuivons. « A Berlin et à Paris » Et pourquoi pas à Londres, Saint Petersbourg, Vienne, Belgrade, Istanbul ? « Qui s’entendent pour qu’on massacre leurs propres fils » Donc, il y a eu conférence entre belligérants pour décider de l’entrée en guerre afin de massacrer leurs fils ? Doit-on lui faire souvenance que s’il y a guerre, c’est précisément qu’on ne s’est pas entendu ? Dieu sait que Daladier, Chamberlain et d’autres se font houspiller depuis pour avoir tenter de l’éviter cette guerre ! A moins que les mots n’aient changé de sens... Plus loin « A chaque fois c’est pareil, nos sociétés ont toujours massacré leurs enfants » Et hop ! Voilà pour la culpabilisation ! Ce fut pourtant Rome qui condamna, et combattit le sacrifice des enfants ; ce fut même un des mobiles des guerres puniques puisqu’à Carthage on sacrifiait à Baal les premier né des grandes familles et puis certains conflits virent le meurtre des « pères » par les enfants, comme au Cambodge les Khmers rouges le firent. Plus loin « Pour la première fois dans l’histoire, depuis 60 ans nous n’avons pas connu de guerre ». Je rappellerai à l’honorable « philosophe » que lorsque celle qui est en cours a commencé, le 11 septembre 2001, la guerre d’Algérie était finie depuis 39 ans, et celle du Viet Nam depuis 21 ans. D’autre part, entre 1815 et 1870 la France connut 55 ans de paix, enfin ne lit-on pas dans Gibbon que certaines provinces du nord de l’Italie n’avait pas connu la guerre depuis des siècles lorsque débutèrent les Invasions germaniques du 4ième siècle ?
Et nous arrivons au bouquet, qui rejoint le fil de mon propos : « Mais les pères d’aujourd’hui » Ceux de 68 ? Qui auraient donc « inventé », c’est-à-dire à dessein, avec objectif malicieux et conscient « le chômage et la précarité » ? Ainsi un « philosophe », de nos jours, s’insurge-t-il contre la « précarité » ? Finis les stoïciens, et même les épicuriens, qui ne pensèrent jamais QUE la « précarité », qui est en soi le propre de l’homme. Aujourd’hui, les « penseurs » (à moins qu’il ne faille dire les « panseurs ») qui utilisent leurs « petites cellules grises », comme dirait Hercule Poirot, et en font même profession, auraient trouver la martingale de l’indestructibilité de l’homme...La précarité est un sentiment permanent que tout humain conscient porte en lui dés qu’il atteint l’âge d’homme et rien, fut-ce le contrat le plus solide, ne peut l’en faire douter.
Comment peut-on parler de « précarité » à 20 ans ? Et de quel chômage parle-t-on, quand les entreprises n’ont souvent aucune candidature sachant lire et écrire pour les postes qu’elles ont à pourvoir ?
Que les « pères » jouent donc leurs rôles en mettant une fessée aux enfants qu’ils n’ont pas éduqué, et que les grands-pères gâteux, même titrés, cessent de gloser pour donner raison aux voyous que leurs fils ont engendré.
Georges Clément Neuilly le, 28 mars 2006
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Ouaf !
Souvenirs, souvenirs, comme dirait notre Jauni nationnal.
On ne fait pas l’histoire en regardant dans le rétroviseur.
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En tous cas, les syndicalistes ont le cul sur le rétroviseur, histoire de bien s’asseoir sur leurs acquis, même s’ils sont dépassés et injustes... Quant au rétroviseur de l’histoire, bien malin celui qui ira faire comprendre aux français, quue l’histoire avance, que le monde avance, mais qu’ils font du surplace depuis un bon nombre d’années désormais !
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Votre commentaire sonne juste.
On ne sait pas quoi répondre et cela mériterait d’être un article.
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Plus fort, j’entends rien... ;)
Pourtant quel honneur de passer le flambeau, quel fierté cela pourrait etre...
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TF1 et le Figaro donnent la parole à ceux que la Pravda française appelle pudiquement « les casseurs ». A lire sans modération pour bien s’imprégner de l’état d’esprit des « chances pour la France » que les pédagogues veulent nous imposer pour sauver nos retraites. Le ridicule ne tue pas ? Dommage !
« Les immigrés ne sont pas là pour être épiciers ou exploités. On veut choisir notre avenir », explique Ramms 16 ans lycéen noir du 20° arrondissement de Paris. Son ami Stéphane, venu du Blanc-Mesnil (Seine-St-Denis), se présente d’emblée comme un Antillais : « entre nous, on s’appelle les galériens, les fauchés, les frères de merde. »« Demandez-leur la solution pour un petit rebeu qui est musulman et qui habite la banlieue », lance un troisième garçon d’origine maghrébine.
« Sarko pensait être débarrassé de nous, mais on revient. Le CPE, on sait pas bien ce que c’est, mais quand on casse, on se fait remarquer », renchérit un peu plus loin Rachid, 15 ans, qui vient de Mantes-la-Jolie (Yvelines) Il fait partie de deux bandes d’une centaine de casseurs encagoulés, avec des foulards palestiniens sur le nez, certains armés de barres de fer, qui ont déferlé boulevard de l’Hôpital (XIIIe), en début de manifestation.
« On est là pour niquer les keufs, en souvenir des »princes« qui sont morts dans un transfo. Les manifestants sont plus riches que nous, y a pas de mal à leur piquer deux-trois phones », explique Jean-Baptiste, 16 ans, Français de parents congolais, de Sarcelles.
Mourad, 16 ans, et Abdoulaye, 17 ans, ont poussé dans le béton de la cité Verlaine de La Courneuve. Hier, ils ont rejoint la manifestation parisienne pour la première fois depuis le début de la contestation anti-CPE. Pour eux, c’est l’occasion de se « faire du fric, vite ». ...
« Ça va être chaud », lancent-ils. En face, certains connaissent à peine la capitale et hésitent, mais les leaders ont réponse à tout : « Notre Paris, c’est les manifestants. » Une géographie de voleurs, qui suit ses cibles qui défilent sans regarder autour. « C’est clair qu’on y va pour dépouiller », avoue Mourad. On attaque dès le début, on prend tout ce qu’on peut. » Ils frappent « pour bloquer les cris, supprimer le signal d’alarme ». Faire peur pour abolir la résistance, paralyser victimes et entourage, leur spécialité. ...
Seuls, Mourad et ses copains se font transparents, se sentent minables. Mais en bande, ils ne connaissent plus de limite et s’en prennent aux « faibles » qu’ils méprisent soudain....Il s’est exonéré des règles depuis bien trop longtemps pour s’émouvoir. Lui qui bouscule sa mère et la « renvoie dans sa cuisine » lorsqu’elle tente de le retenir. Il vit chez lui comme à l’hôtel, profite du lit et du couvert, mais ne touche pas un sou de ses parents. Il se débrouille seul et vit de rapines. Voler lui apporte du superflu, un look de flambeur, de l’équipement audiovisuel digne d’un stand d’exposition.
Même les grands frères n’osent plus s’interposer. « On est pire qu’eux et ils le savent », dit Mourad fièrement. C’est une génération de caïds qui ne veut pas attendre, qui conquiert sa place dans le crime, tout de suite. Cet essaim de gamins armés de poings américains, de bombes de gaz, parfois de couteaux, semble d’autant plus inquiétant qu’on sent ces garçons pris dans une logique suicidaire. [NDRL : la même logique qui pousse à mourir et à tuer pour la gloire d’Allah ?]
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Comment ne fait on pas le constat de mort de notre modele sociale...
Que de talent gacher...
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Retour à la Une Tournée vers l’Est
Après une nouvelle journée de manifestations anti CPE, José Melchor Gonzales revient sur l’opportunité d’une telle réforme et sur l’incapacité chronique de la droite à prendre de bonnes décisions.
Les CNE et CPE étaient une double erreur, la charrue avant les bœufs sur laquelle l’UMP sera sans doute menée au billot de 2007.
Non que l’idée d’une flexibilisation en soi soit mauvaise, au contraire, mais parce que le gouvernement a voulu en faire des préalables, alors qu’ils n’étaient qu’un aboutissement, et qu’en plus ils ne sont que des préalables sans suite, c’est à dire sans un projet global de réforme derrière, qui leur donne une cohérence, et qu’enfin il y a l’aspect chronologique à tout cela qui ajoute la bêtise à la confusion : on ne dispose pas du pouvoir sans rien faire pendant 4 ans, pour tenter de telles réformes en dernière année - c’est-à-dire quand il est trop tard - et en plus en étant à peu près sûr de piquer au vif le monde étudiant, de loin la partie la plus névralgique à l’idée même de la réforme, et non sans raison d’ailleurs... il faut reconnaître que la droite n’a jamais su comprendre le monde universitaire.
Bref, comme nous l’avions dit il y a plusieurs mois, le pack « CNE-CPE » était une erreur à au moins 2 niveaux :
1) Confusion : ce qui n’aurait jamais du être autre chose qu’un aboutissement après des années de réforme ayant permis une vraie reprise de l’emploi dans laquelle se serait inscrite en aboutissement une flexibilisation des contrats de travail, est devenu un préalable obscur à on ne sait quoi, permettant à la gauche de rebondir et sortir de sa torpeur sur la question sociale où sa démagogie peut fonctionner à plein pour accuser la droite de tous les maux sociaux et faire oublier ses propres responsabilités, tout en agitant le spectre de la bête « ultra-libérale » pour effrayer le populo et le mettre dans la rue. Cette confusion est la première faute du gouvernement. À tort ou à raison, ce n’est même plus la question, le CNE apparaît comme une « arnaque » vouée à truquer les chiffres du chômage, le CPE est perçu comme un CIP bis....
2) Tempo : cette réforme devait finir le travail, pas le commencer : depuis 4 ans qu’elle est au pouvoir, la droite devait entamer une politique de réformes économiques, fiscales, permettant une reprise effective de la croissance et de l’emploi dans laquelle seraient inscrites en résultantes CNE et CPE. Réforme de la protection sociale, notamment par son individualisation (privatisation des actes), la diminution des charges sociales pesant sur l’emploi, la baisse de la fiscalité sur les revenus et la consommation, le repli de l’état sur ses rôles régaliens et sa sortie du jeu économique, etc... après 4 ans d’inaction, ajouter à la confusion un tempo aussi soudainement débridé que mal maîtrisé ne pouvait conduire qu’au clash.
Si à cela on doit ajouter aussi la façon dont le gouvernement a voulu « radariser » l’Internet avec la DADSVI de Donnedieu de Vabre, en créant une véritable arme de guerre contre la liberté des échanges sur Internet - un véritable réflexe digne du régime chinois obsédé par le contrôle liberticide - ce qui a touché beaucoup les jeunes, et notamment les étudiants et lycéens pour qui il est aussi naturel d’échanger des fichiers MP3 que pour nous dans les années 80 de se passer des cassettes - et la part de musique « partagée » était bien équivalente - alors que l’idée de la licence globale était certainement novatrice et pleine de bon sens, comment ne pas croire que la droite ne soit pas complètement coupée de la jeunesse et de ses modes de vie, donc de ses inquiétudes face à une société hanté par le chômage et la précarité autant que par l’obsession paranoïaque d’un état policier contrôlant tout, verbalisant à tout va, dès lors qu’il est plus facile de s’en prendre à un internaute ou à un automobiliste, bref aux petits travers de citoyens globalement honnêtes, pendant que loin des radars et des logiciels de partage de MP3, l’on viole, on pille, et on tue même presque en toute impunité dans cet étranger pays qu’est devenu le nôtre, où télécharger une chanson sur Internet est un délit plus grave que d’incendier une école !
Pathétique déclin moral quand le gouvernement a paru tant comprendre les émeutiers de novembre 2005, qu’il n’a jamais semblé manquer depuis de faire montre de sa « bonne volonté » pour satisfaire les banlieues en les couvrant de centaines de millions d’euros, en leur donnant des dizaines de milliers d’emplois dont beaucoup seront fictifs... pardon, « associatifs »... jusqu’à faire de la discrimination positive une règle quasi obligée à laquelle la HALDE veillera, y compris par une coercition sans contrôle lui donnant un véritable statut de tribunal d’exception.
Imagine-t-on qu’un plan similaire aurait pu être accordée aux étudiants inquiets de leur avenir ? 200 millions d’euros pour les filières universitaires, des dizaines de milliers d’emploi promis en fin de cursus y compris par le biais d’associations étudiantes, et un vaste plan de discrimination positive pour les milliers d’étudiants sortant avec des diplômes mais inadaptés au marché du travail et voués à finir à l’ANPE, avec une HALDE (haute autorité de lutte contre la discrimination des étudiants) qui aurait puni patrons et PME refusant d’engager des étudiants de lettres ou d’histoire, largement victimes du chômage eux aussi ?
Cela semble absurde à certains, c’est pourtant ce qu’on a fait pour les émeutiers musulmans de banlieue et qu’on refuse aux étudiants qui auraient pourtant davantage mérité d’attention et de soutien de la part de la nation, quand on sait comment triment aujourd’hui les étudiants pour se payer leurs études et arracher leurs diplômes entre une trentaine d’heures de cours, 26h de boulot chez Mc Do, et une palanquée de bouquins à étudier... peu de ministres tiendraient le rythme d’un étudiant moyen en vérité, quand on voit comment ceux-ci, genre Begag, ont le temps d’écrire des bouquins pendant qu’ils traînent dans leurs ministères ! Évidemment, les étudiants issus des milieux privilégiés et qui savent que leur avenir ne passera pas plus par un CPE que leur présent ne passe par Mc Do, ne risquent pas de comprendre ce qu’aujourd’hui une large majorité d’étudiants vit quotidiennement... Nul doute pourtant qu’avec 200 millions d’euros, ce sont bien des étudiants boursiers qu’on aurait pu soutenir, bien des stages en entreprise qu’on aurait pu financer en partie, bien des formations de reconversion professionnelle qu’on aurait pu offrir à des étudiants surdiplômés mais dans l’impasse sur le marché du travail, et bien un peu d’espoir donné à la jeunesse française qui essaye de s’investir dans ses études et trouve autre chose à faire le samedi soir qu’à brûler des voitures et à violer des filles dans les caves....
Là, peut-être est l’erreur la plus fondamentale de la droite, d’avoir oublié son propre message sur le mérite, et avec lui la jeunesse française, celle qui travaille, qui étudie, celle qui est l’avenir de ce pays, celle à laquelle ne pense pas Sarkozy quand il parle de la « nouvelle France profonde » des banlieues : oui, si la droite avait été à la hauteur de ce principe, elle aurait peut être même rallié les étudiants en leur montrant qu’elle avait su distinguer la jeunesse méritante de ce pays de l’ivraie des banlieues... mais au lieu de cela elle a jeté par ses erreurs et sa méconnaissance de la jeunesse française, le monde étudiant dans les bras de la pire gauche qui soit, celle des anars et des bobos de l’UNEF qui peuvent désormais se réjouir de leur grand retour sur la scène médiatique.
Nul doute que dans les années qui viennent, le CPE sera perçu comme la seconde dissolution de Villepin, mais à ce moment là, la gauche sera peut-être au pouvoir, imposera le vote des étrangers (c’est à dire des banlieues) pour mieux asseoir sa domination électorale en pactisant avec la cinquième colonne du diable musulman régnant dans la périphérie de nos villes, car la gauche, elle, contrairement à la droite, agit et défend les intérêts de ceux qu’elle représente.... Quitte à trahir le petit peuple français qui lui fait parfois confiance mais auquel la droite est incapable d’ouvrir les bras, et pourtant... Ouvriers, agents de maîtrise, petits paysans, viticulteurs, étudiants de milieux modestes, seraient sans doute les premiers bénéficiaires d’une économie ouverte et libéralisée, comme aux Etats-Unis, ce sont souvent ceux là qui font la base électorale du Parti Républicain, tandis que la bourgeoisie vote démocrate.
Mais tant que la droite sera aussi hermétique au peuple, aussi « démocrate » et enfermée dans son élitisme incapable de la moindre conscience populaire, alors on n’est pas près en France d’avoir un Reagan, idole des cols bleus... mais il est vrai qu’on avait bien compris depuis ce deuxième mandat chiraquien, au moins, et on pourrait même dire depuis De Gaulle en fait, à quel point la droite française était bien davantage tournée vers l’Est que vers l’Ouest.
José Melchor Gonzales pour LibertyVox
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Les casseurs de gauche cassent pour exprimer leur colère face au système libéral. Les casseurs de droite cassent pour semer le trouble et favoriser le vote à l’extrème droite.
Les casseurs de banlieue cassent....pour revendiquer le droit à avoir une piscine avec des filles qui dansent autour pour faire comme dans les clips de rap ?
Comme quoi, on trouve toujours plus bas.
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@Z
Quand tu t’appeleras MOMO, que tu chercheras un appart, un boulot, sortir en boite en centre ville, tu pourras peut etre comprendre ce qu’est la precarité...
Je ne sais pas a quelle hauteur , tout est relatif, tu situe ton propos, moi je le mets à la poubelle...
La gauche a droit a cassé, légitime ? a qui t’as demandé l’avis ?
En attendant, c’est avec ce genre de propos d’extremistes que CE SOIR A VOUS METS, CE SOIR ON VOUS METS LE FEU... LEGITIMENANT pour lutter contre la connerie, ce genre de connerie
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n’étant ni butée, ni politiquement engagée, je tente une échappée à droite cher Georges Clément pour vous dire que j’ai eu plaisir à lire vos souvenirs vétérans mais il faut signaler que le monde ne serait pas dans l’état piteux que nous lui connaissons si les jeunes qui ont 20 ans aujourd’hui avaient encore des illusions, les millions d’illusions auxquels vous avez eu droit à leur âge.
IP:xxx.x96.219.42, de quels moyens un prince omnipotent dirigé par son appétit de domination, doit user pour établir et maintenir son pouvoir, l’indéfinissable Machiavel l’a d&jà démontré généreusement...
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Il ne faut pas noyer le poisson MArsu. Il ne s’agit nullement de mes voisins ou des tiens. Nous avons tous connu des voisins insuportables et l’odeur et le bruit ne sont nullement le seul apanage des minorités et ce malgré papa Chirac. Il y a une femme battue par minute en France et toutes sont loin d’être d’origine étrangère. Un enfant battu ou violé ou tué et ce n’est pas non plus l’apanage des populations immigrées. Des diners de famille qui se noient dans le vin avec des opinels à la main aussi.
Cessons de croire que nous sommes vertueux face à la barbarie venue d’ailleurs. La question est de savoir ce qu’il faudra entreprendre à partir de tout de suite pour se sortir de cet échec savamment entretenu et non de verser des rancoeurs mal digérées à longueur de posts.
la France a invité des hommes à venir travailler chez nous, nous les avons parqué dans des bidonvilles, et nous sommes encore, 50 ans après à contester leur citoyenneté à leurs enfants et petits enfants. Ils disent basta et je leur donne raison.
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A gaiaol :Si t’es aussi compréhensible avec la racaille,peux tu essayer de les raisonner un peu,si t’as les couilles !!!!!Et en meme temps essaye de debiter tes conneries chez les victimes de ces dits racailles que t’affectionnes tant !!!!
Le Phacochére
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A gaiaol :Si t’es aussi compréhensible avec la racaille,peux tu essayer de les raisonner un peu,si t’as les couilles !!!!!Et en meme temps essaye de debiter tes conneries chez les victimes de ces dits racailles que t’affectionnes tant(pour voir) !!!!
Le Phacochére
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Je suis d’accord avec toi... sur le fond. Et uniquement sur le fond.
C’est pour ça que j’ai tenu à rappeler que c’est la droite capitaliste et exploiteuse des Trente Glorieuses qui a procédé au regroupement familial après avoir honteusement exploité des immigrés corvéables à merci.
Je n’ai donné mon témoignage hyper-personnel, j’en conviens, que pour montrer qu’un parcours de vie pouvait faire varier les inflexions idéologiques qu’un individu pouvait avoir au départ et auxquelles il pouvait pavloviennement réagir d’une manière ou d’une autre en y substituant d’autres tropismes idéologiques.
Je comprends tout-à-fait tes réflexes humanistes vertueux, et je les partage même en grande partie. Mais, après avoir été un grand voyageur, parce que curieux de la nature humaine et de sa diversité, j’ai cessé de m’illusionner sur les vertus du multiculturalisme et de la tolérance vis-à-vis de civilisations ou religions qui ne nous tolèrent pas.
Je suis peut-être un vieux con social-démocrate, mais, loin de tout universalisme abstrait et invertébré, ce qui me motive, c’est que ceux qui vivront après moi puissent vivre dans une société où les femmes seront non-voilées, où on pourra caricaturer n’importe qui et où on aura le droit d’être athée ou agnostique. Ce qui implique une lutte vigoureuse et rigoureuse contre l’islam et les étasuniens.
A part ce problème du moyen terme, il y a juste les problèmes du long terme : en finir avec l’hypercapitalisme, le consumérisme décervelé et la pollution généralisée.
Sur ces points-là, je ne peux que me contenter de ne pas merder individuellement. Et je le fais.
Au niveau collectif, ça craint un max.
Le grand Mur arrive. Il nous fracassera tous. Je me planterai dedans comme tout le monde, la clope au bec certes, mais en ayant très peu pollué (je fais hyper-gaffe) et sans jamais avoir éhontément exploité personne (tout en ayant été responsable de plusieurs sociétés).
Ce sera dérisoire.
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mon dieu, enfin un gentleman porcin qui sait parler aux femmes. c’est sûr que nous rêvons toutes d’être traitées commes des « couillues »...
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mon dieu, enfin un gentleman porcin qui sait parler aux femmes. c’est sûr que nous rêvons toutes d’être traitées commes des « couillues ».
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Grouik grouikkkkkkkkkkkkkkk
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Grouik grouikkkkkkkkkkkkkkk
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Ma chér(e) Gaiaol croix-tu que je me comporte aussi,voire meme plus mal que la racaille que tu absous ?!!
Le Phacochére
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Acune situtations sociales n’excuse une attitude de voleur et de sauvage ! Où alors c’est que l’intelligence et les valeurs morales ne sont pas partagés et que nous ne naissons effectivement pas égaux. Si c’est le cas, il faudra bien se résoudre à élliminer toutes cette frange poisseuse de la France, et ne plus subir comme des moutons. Il est trop facile de leur trouver des excuses, ils ne sont rien. Il ne peut y avoir de révolution avec de pareils petites graines de débile fascistes et xénophobes, car les racistes ce sont bien eux. Pas d’excuse, trop facile.
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D’accord, eliminons les etudiants radicaux, saccageant, volant les universités !
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J’ai l’impression que tu es toi même un de ces casseurs Al-capone ou alors tu défends une idéologie douteuse !! Et ton Momo on en a rien à foutre !! Si on lui prend une caution plus longue, c’est parce qu’on a pas confiance en lui. C’est à lui de faire ses preuves !!
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@ anti-Al-Capone
Je suis flatté par ton pseudo. Venant d’une personne tenant ce genre de propos, je prend cela comme un compliment.
T’en a rien a foutre des ces jeunes balieusards, c’est bien la le probleme...
Surement qu’ils devront encore mettre en evidence qu’ils vivent dans la meme société que nous... Qu’on le veuille ou non, qu’on en aille rien foutre comme tu dis si bien, mais ils sont bel bien la...
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Je vais délibérement dire une bétise mais... Et si l’ on passait les politiques et les syndicalistes au gondron et aux plumes à chaque fois qu’ils ont tort ou font/disent des bétises ?
Non je retire, tout le goudron de la planète n’y suffirait pas...
Blague à part. Tout ce que l’on voit actuellement, c’est le résultat de 30 à 40 ans d’idéologies, de démagogie et d’aveuglements tant politiques que syndicaux.
Le grand tort de nos ainés (je peux me permettre de le dire, j’ai 26 ans) et de certains jeunes, malheureusement, c’est d’avoir cru (ou de croire encore) que les idé(ologi)es sont la solution. TOUTES les théories sont utopies parce que le monde n’est jamais parfait, il est impossible de tout prévoir. Les théoriciens feraient bien de s’en rappeler. Ce n’est qu’en sacrifiant nos théories et en débattant ensemble que l’on arrivera à un résultat valable, non en citant les livres (ou les idées, pas forcement bien compries, extraites des livres)...
Je crois, peut-être à tort, que nous avons en majorité les mêmes rêves : à savoir vivre dans un monde dominé par la tolérance, l’équité (l’égalité est par trop une valeur galvaudée pour être un terme utilisable intelligement), la solidarité et le respect. Mais pour arriver à ce résultat avant de revendiquer un quelconque droit, nous avons le DEVOIR (notion trop souvent ignorée) de respecter l’autre. « L’enfer c’est les autres » et puisque j’en suis là, une autre citation : « Insensé, toi qui crois que je ne suis pas toi »... C’est à méditer, surtout si on les met en perspective l’une de l’autre...
Il me semble que nous sommes TOUS, COLLECTIVEMENT responsables...
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Oui, j’ai trente ans, je suis completement d’accord avec toi...
J’ai du mal a assumé la politique de mes « parents » aux detriments de mes « enfants »...
On vas payer le passé en engraissant les banques detenant la dette française, un pays hypothequé à plus de67% de sa richesse, des vieux detenant les moitiés de ces memes richesses, travailler certainement plus de 42 ans ( vision tres optimiste)
Finalement ces acquis n’auront profité qu’a une generation.
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J’ai l’impression que le ras-le-bol vis à vis des politiques s’amplifie avec le temps mais aussi, et cela m’inquiète, que de plus en plus de personnes semblent prêtes à cautionner les tirs à balles réelles contres les casseurs...
J’en ai froid dans le dos, mais je commence à me dire que, si la loi du pus fort est la seule valable pour les casseurs, il risque d’être nécessaire d’en arriver là... C’est malsain... Si l’Etat ne se décide pas à agir, nous sommes, et c’est lamentable dans une démocratie, bien parti pour que des milices se forment...
Le pire dans tout cela, c’est que l’on doit cette situation à trente ans d’angelisme de la gauche et de bétise de la droite... On a bradé la citoyenneté, la notion de nationalité. La nationalité, elle s’acquière, légitimement, que si l’on agit en citoyen responsable. Donner la nationalité française à un enfant, né de parents étrangers, parce qu’il est né en France, sans prendre en compte les différences culturelles des parents et sans cours d’éducation civique (y compris pour les parents), c’est une honte.
Etre français n’est pas un droit, c’est une RESPONSABILITE qui donne des DEVOIRS autant que des DROITS...
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Ifelhim,
Je suis d’accord avec toi être francais c’est avoir des devoirs. Mais c’est valable pour les français qui naissent de parents étrangers tout comme pour ceux qui naissent de parents francais. Mais tu peux te poser cette question : les « Français » dit de souche n’ont-ils pas oublié quels sont leurs devoirs vis-à-vis de la france à savoir que la devise « liberté, égalité, fraternité » a été submergée par « discrimination, stigmatisation et méfiance ». Ne se sont ils pas tirés une balle dans le pied par égoisme et par manque d’humanisme ? Comment attendre d’autrui le respect d’une France que l’on a sali soi-même ?
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Vous dites : « Il me semble que nous sommes TOUS, COLLECTIVEMENT responsables... »
Tous, non. N’y incluez pas les jeunes qui eux n’ont encore pas votés ( ou choisi de s’abstenir).
On est dans la merde parce que nous avons choisi ou refuser de choisir ceux qui nous ont gouverné depuis une trentaine d’années. Personne d’autre que nous les a mis là où ils sont ou ont été.
Par contre, les jeunes auront à supporter les inconséquences de leurs aînés, ça c’est une certitude.
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Moi j’aimerais bien entendre ce qu’ils ont à dire ces casseurs. on parle beaucoup d’eux mais ils on ne leur donne pas beaucoup la parole. Quelles sont leurs valeurs ? (chaque être humain en a). Quel est le parcours qui les conduit à cette haine ?
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Groupe Sniper « On est tous chauds pour exterminer les ministres et les fachos., Le seul moyen : brûler des voitures. La haine coule dans nos artères. Les frères sont armés jusqu’aux dents, tous prêts à faire la guerre. Ca va du gun au fusil à pompe, pitbull et rotweiler. Mon seul souhait est de nous voir désormais les envahir. Leur laisser des traces et des séquelles avant de crever. Faut leur en faire baver, v’là la seule chose qu’ils ont méritée »
autres extrait : « Sous l’uniforme, ça sent le porc. Nique sa mère, la police. Que leur drapeau se consume. »
Monsieur R (classe « coup de coeur » à la Fnac) La France est une garce, noublie pas de la b***ser jusquà l’épuiser comme une ...
Smala Extrait de la chanson « meurtre légal » : Quand le macro prend le micro, cest pour niquer la France Guerre raciale, guerre fatale il pour il dent pour dent organisation radicale, par tous les moyens il faut leur niquer leurs mères Gouers (Français) cest toi qui perds. Flippe pour ta femme tes enfants pour ta race on s’est installés ici cest vous qu’on va mettre dehors
Extrait de la chanson « Du miel les abeilles » : La France est un pays de ...
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Il te suffit d’une chanson pour cataloguer toute une population...
C’est de la demago, de la peur, ou de l’ignorance qui te conduit à un raisonnement aussi limiter ?
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Ces émeutes ssont peut etre les signes avant coureurs du déclin de la France. LA france trop démocrate est pénétrée par des vents qui viennent d’ailleurs.Peut etre elle doit se désengorger. Que chacun assume ses responsabilités sans démagogie ni surenchères. Le monde attends la réaction de la France.Quoique ce soit, c’est une chance qu’ elle doit tenir pour revenir en force à la scène internationale. La France est un pays riche de ses penseurs et de son Histoire, ce qui s’y déroule est le résultat inévitable de l’adoption inconditionnelle de l’ultralibéralisme. Le libéralisme n’est pas une tare mais pour vivre avec et en profiter , il faut y adapter l’enseignement et l’Education. Tout le monde est reponsable de ce marasme. La précarité a toujours existé ; c’est en plus une impression qui brouille la conception qu’on pourrait avoir de la vie. Toute fois, il faut pas qu’il soit éprouvé en tant que ségrégation raciale ou religieuse.Les conflits identitaires doivent rester à part. Je crois que le génie farnçais, si génie il y ait,doit s’affirmer et proposer des solutions adéquates que les autres attendent. Le problème est foncièrement attaché à l’Education et à l’Enseignement auxquels les mass médias doivent impérativement penser. il y a un dysfonctionnement qq part,il faut le détecter et le réparer.
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Oui, il y a bien un problème avec une grande partie de cette population musulmane Française. Voir le cas Moussaiou, Al Queda, l’ayant préalablement embauché, l’a viré car il était toujours en retard, fainéant, incapable d’apprendre, juste une racaille Française pleine de haine.
Si il n’y a pas plus d’attentats en France, ce n’est par manque de volonté de cette population, mais parce que « leurs frères Musulmans » les méprisent probablement plus que moi.
Il est temps de déclarer l’indépendance et de renvoyer les colonisateurs en guerre contre la France chez eux. Mais ceux qui veulent rester, sont d’accord avec nos lois, ne doivent pas subir le sort des Europeens ayant décidés de rester en Algérie.
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Cher Vincent au delà de votre commentaire particulièrement intelligent, vous oubliez un détail de l’Histoire. Nous sommes les colonisateurs, pas eux.
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« Nous sommes les colonisateurs, pas eux ».
Certes, il convient Mr Mathieu, de ne pas généraliser, mais vous seriez sans doute très étonné si vous entendiez certains discours tenus en banlieue, et pas seulement parisienne...
Après, on peut toujours débattre et expliquer les choses d’une manière ou d’une autre, mais il convient d’être tout de même bien conscient que ce discours est effectivement tenu.
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@ Thor (IP:xxx.x6.209.106)
Continuer à cataloguer des catégories de citoyens selon qu’ils soient français, maghrébins ou africains déjà ne vous grandit pas. Vou stimulez une idéologie malsaine en désavouant publiquement la notion républicaine qui elle au moins essaie d’être égalitariste.
on dit communément qu’il n’y a de pire aveugle que celui qui n’a pas envie de voir en oubliant souvent que l’idée de la connaissance a surtout son siège dans le coeur plutot que dans l’oeil
On reconnait aussi que l’intelligence n’existe chez l’humain qu’à l’état de puissance.Les conditions qui lui permettent de s’élever en actes n’est réunie que chez un petit nombre la plupart étant livrés à leurs impulsions inférieures.
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Groupe Sniper « On est tous chauds pour exterminer les ministres et les fachos., Le seul moyen : brûler des voitures. La haine coule dans nos artères. Les frères sont armés jusqu’aux dents, tous prêts à faire la guerre. Ca va du gun au fusil à pompe, pitbull et rotweiler. Mon seul souhait est de nous voir désormais les envahir. Leur laisser des traces et des séquelles avant de crever. Faut leur en faire baver, v’là la seule chose qu’ils ont méritée »
autres extrait : « Sous l’uniforme, ça sent le porc. Nique sa mère, la police. Que leur drapeau se consume. »
Monsieur R (classe « coup de coeur » à la Fnac) La France est une garce, noublie pas de la b***ser jusquà l’épuiser comme une ...
Smala Extrait de la chanson « meurtre légal » : Quand le macro prend le micro, cest pour niquer la France Guerre raciale, guerre fatale il pour il dent pour dent organisation radicale, par tous les moyens il faut leur niquer leurs mères Gouers (Français) cest toi qui perds. Flippe pour ta femme tes enfants pour ta race on s’est installés ici cest vous qu’on va mettre dehors
Extrait de la chanson « Du miel les abeilles » : La France est un pays de ...
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C’est drole, on retrouve le meme IP, a 10 min d’intervalle
(IP:xxx.x16.199.14) le 30 mars 2006 à 00H26
Nik la franse sal rasiste
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Enfin un commentaire sensé , je suis de votre avis VINCENT, mais la verité n’ai jamais bonne à entendre n’est-ce pas ? tous ces casseurs , ou ces racailles , ne vont pas tarder à se calmer !!! des la reprise du pouvoir en 2007 par un homme qui aura de la poigne et saura remonter la FRANCE du gouffre vers lequel nous entrennent nos gouvernants .....
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Mes informations sur mon nom « Moussaiou ? »
- plusieurs diplomes de Hautes Ecoles meme en Angleterre. Re :« Oui, il y a bien un problème avec une grande partie de cette population musulmane Française. Voir le cas Moussaiou, Al Queda, l’ayant préalablement embauché, l’a viré car il était toujours en retard, fainéant, incapable d’apprendre, juste une racaille Française pleine de haine ». Vincent, Vous savez le MBA OU un IA ?- Etonnant est comme LaFrance m’a laisse delivrer aux U.S. ?
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Il n’a pas de MBA, ni diplomes de hautes etudes sauf un Master in International Bussiness de London South Bank University, université avec 56% d’étudiants issues de minorités. Pour suivre ce programme de 1 an et 4 mois de stage, il faut avoir un score de 580 au TOEFL et financer ses études...
Il n’a même pas été capable de passer son brevet de pilote privé.
Moussaoui fut déclaré comme « pas bien dans sa tête » par les membres d’Al Queda, cela veut en dire long. Autre témoignage : « il mettait en rogne toutes les personnes qu’il rencontrait ».
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Massaoui etait brule pour M. M. Atta apres le FBI au milieu du mois August 2001 avait un soupcon envers Monsieur Massaoui comme simple Touriste Francais .
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Alors pour un MBA il ne faut pas visitez une universite.Avez-Vous aussi MBA experiences ?
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@Al-Capone
Je vais essayer de ne pas etre trop violent et de m’en tenir aux arguments, que vous puissiez progresser dans votre reflexion.
1) Le fait d’occuper et saccager très partiellement quelques universités particulièrement symbolique est absolument incomparable avec les émeutes de Novembre. C’est du simple bon sens. Quand les anarchistes saccagent une université, ils ne la brule pas, ils ne cherchent pas a tuer les forces de l’ordre venus les déloger, i=et surtout, ils ne tuent personne, eux.
2) Le fait que Momo doivent donner une caution plus longue que Jean ou Jeremy est un phénomène normal qui s’appelle la réalité, ou plutot, la statistique. La probabilité d’avoir un appartement détérioré est plus grande si l’occupant est pauvre et d’origine africaine (arabe ou noir). Ca n’est pas politiquement correct, mais c’est la réalité. Elle est néanmoins suramplifiée par les medias, c’est vrai.
3)La racaille est rejetée parce qu’elle ne veut pas s’intégrer, bien que la société francaise lui ait longtemps tendu la main. Ils sont en echec scolaire=> c’est leur faute. Ils n’ont pas de boulot=> logique, avec 400 mots de vocabulaire.
4) La racaille n’a aucune revendication politique, aucun projet, aucune solidarité « de classe », aucun respect pour les biens ou la vie humaine, elle ne valorise que la haine, le racisme, l’argent. Elle ne connait que 400 mots de vocabulaire et fait la honte de toutes les banlieues francaises, qui ont la malchance d’etre peuplée par ces animaux minoritaires. Minoritaire, tout le monde , depuis 15 ans, dis qu’il suffit d’extirper les « caids » et autres « meneurs » pour améliorer les banlieues. Qu’est ce qu’on attend ? Les interventions des CRS à balles réelles ?
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Merci de votre attention, mais je n’ai pas besoin de votre analyse pour reflechir...vous n’etes pa d’accord avec moi, et vous ne ferez certainement pas changer de point vue avec vos arguments.
Pour moi, un casseur, c’est un casseur.
Que se soit
- Jose Bove qui casse un Mac Do
- Un etudiant qui vole ou saccage un ordinateur de l’université
- Un jeune qui brule une voiture
- un viticulteur qui brule un moto de Flic
- un corse qui bossent une bombe, ou un bretonCe sont TOUS des casseurs, et ils doivent TOUS n’etre considere que comme des casseurs par notre systeme judiciaire. C’est pas le cas.
Quand a vos stats à 2 balles, vous etes peut etre proprio, votre propos est lourd, audieux, je me demande quand meme si un proprio n’a pas d’autre recours legaux pour faire valoir que son bien est deteriore a la sortie d’un locataire, plutot que de pratiquer la discrimination ethnique a l’entrée. je reste polie. Vous n’avez peut etre pas confiance à notre system judiciaire ? Mono n’ont plus ! Voyez, je suis sur qu’en cherchant un peu, vous pourriez vous trouvez des points communs... ;)
Je ne n’aime pas la guerre des chiffres des morts, mais combien de grand parents de ces jeunes sont morts pour la france... faudrait pas l’oublier, leurs parents se sont aussi battu pour leur liberté, pas seulement celui d’etre en cité HLM...
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- Ce qui fait une
- impression, ce
- Vincent, c’est,
- un KO physique.
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Vous etes un >>bebe<< qui estime le blabla.
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Bonnet avec un Thread/Fiche[signe O.B.] a une responsabilite maieure pour les suppression de beaucoup de commentaires.
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Olivier Bonnet 30 mars 2006 02:42
Pardon ? OB (moi !!!) responsable de la censure ??? Que dites-vous ? Chacun « censure » en cliquant sur « signaler un abus », et je ne l’ai pas fait dans cette discussion par exemple. Je l’ai fait ailleurs, c’est vrai, pour signaler des propos antisémites et islamophobes. J’ai tort ?
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Mais il a un Master in International Bussiness de London South Bank University, université avec 56% d’étudiants issues de minorités, pour suivre ce programme de 1 an, il faut avoir un score de 580 au TOEFL et financer ses etudes ... Il n’a même pas été capable de passer son brevet de pilote privé. Si un diplome comme celui la vous impressione, c’est que vous devez etre bien bas !
Moussaoui fut déclaré comme « pas bien dans sa tête » par les membres d’Al Queda, cela veut en dire long. Autre témoignage : « il mettait en rogne toutes les personnes qu’il rencontrait ».
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Voyons les choses de près, les solutions que devrait apporter le génie français ne searient puiser dans le racisme et le chauvinisme. Les immigrés s’intégreraient non pas par la force des choses ou de la loi mais par une volonté saine et délibérée. Ni exclusion,ni extermination ,ni déportation ne feraient le bonheur d’un peuple comme le peuple français. Mais la France doit afficher son identité ,doit élaborer ses lois en fonction de ses réalités sociales. La citoyenneté ne serait une identité creuse mais plutot des droits et des devoirs inculqués dans les esprits dès le jeune age. Les parents seraient responsabilisés des actes de leurs enfants mineurs. La société se porterait partie civile chaque fois qu’il y a un dérapage infantile. L’excommuniation serait une arme efficace pour endiguer les haines de ceux qui vivent sur une terre et la haissent. Excommunier ce serait « défranciser », déporter au bled...Il ne faut pas badiner avec la sécurité sociale surtout face à ceux qui ne reconaissent point une patrie , ceux qui intègrent inconditionnellement l’integrisme sectaire qu’il soit islamique ou autre. Cependant, une nouvelle gestion politique s’impose plus que jamais ; l’égalité des chances sociales doit etre une vérité et non pas un slogan. Car les mécontents ne sont pas toujours des immigrés ou des fils d’immigrés, des fainéants ou des délinquants... Les mécontents seraient tout ceux qui désirent agir sur leur destin ,ceux dont la conscience politique et historique appelle à la révolte. La France est une puissance culturelle, il faut qu’elle agisse dans ce sens , qu’elle mette au devant de la scène ses penseurs libres et humanistes. C’est ce qui lui reste pour aller de l’avant.Les filles d’aujourd’hui sont les femmes de demain comme le disait Appollinaire. Le pays qui a apporté à l’humanité les droits de l’homme et la démocratie ne doit pas etre le premier à les abandonner. Il doit les améliorer et les fructifier davantage. N.B : je ne suis pas français,je n’y vis pas mais j’aime ce pays.Excusez-moi si je m’immisce dans des affires qui ne me concernent pas
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Olivier Bonnet 30 mars 2006 00:09
Sans aucunement trouver d’excuses aux casseurs, le phénomène illustre bien la désespérance sociale. Quand on a envie de tout casser, qu’on ne trouve de défoulement que dans la violence, qu’on n’a plus rien à perdre et rien à faire de quoi que ce soit... Quelle colère s’exprime là ! La « réponse » des casseurs est évidemment inadaptée, condamnable, nihiliste. Mais dans quel monde vivons-nous ? Qui sème le vent...
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D’accord pour le desespérance, mais comment savez-vous qu’elle est sociale chez les caids de banlieue ?
La société française leur a apporté beaucoup plus que celle d’où ils viennent. On leur a donné la santé, l’éducation, un logement à loyer modéré, des aides pour élever leur enfants. Tout cela pourrait être mieux mais ont-ils su en profiter ?
Ces caids de banlieue vivent de délis et sont le plus souvent racistes, incultes et violents. Le phénomène s’installe de génération en génération pour les africains et les nord africains. Cela n’existait pas avec l’immigration européenne (polonaise ou italienne).
Donc, le problème ressemble plus à un problème ethnique et religieux.
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« La société française leur a apporté beaucoup plus que celle d’où ils viennent. On leur a donné la santé, l’éducation, un logement à loyer modéré, des aides pour élever leur enfants. Tout cela pourrait être mieux mais ont-ils su en profiter ? »
Ca veut dire quoi d’où ils viennent jean-pierre ? Expliquez-vous.D’où savez-vous que des gens que vous ne connaissez même pas ont tout ce que vous prétendez qu’ils ont ?
« Ces caids de banlieue vivent de délis et sont le plus souvent racistes, incultes et violents. Le phénomène s’installe de génération en génération pour les africains et les nord africains. Cela n’existait pas avec l’immigration européenne (polonaise ou italienne). »
Vous avez l’air de bien vous y connaitre en racisme et inculture.
Donc, le problème ressemble plus à un problème ethnique et religieux."
Je suis complètement d’accord, votre problème est religieux. Merci pour votre brillante analyse
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« Ca veut dire quoi d’où ils viennent jean-pierre ? Expliquez-vous. »
J’évoque les banlieues dites difficiles et les populations d’origine africaine et nord africaine qui posent un problème.
« D’où savez-vous que des gens que vous ne connaissez même pas ont tout ce que vous prétendez qu’ils ont ? »
Je remarqie que les sociétés d’où ils viennent (côte d’ivoire, ...) proposent moins de prestations sociales que la France (peu d’éducation, pas de santé, pas d’allocations familiales, pas d’HLM, etc.).
En France, en terme social, il y a un progrès pour eux.
Là où il y a une différence, c’est au niveau culturel et religieux. Les relations familiales, la position de la femme, la façon de travailler, par exemple, sont différentes en Europe et en afrique. Et c’est probablement difficile à vivre.
Aussi, parler d’un problème social me parait inadapté. Et je vois plutôt une difficulté de nature ethnique.
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Jean-Pierre,
Je te cite :« La société française leur a apporté beaucoup plus que celle d’où ils viennent. On leur a donné la santé, l’éducation, un logement à loyer modéré, des aides pour élever leur enfants. Tout cela pourrait être mieux mais ont-ils su en profiter ? »
« Celle d’où ils viennent » n’a aucun sens, ils sont nés ici, ont grandi et fait leur scolarité ici et n’en savent pas plus que toi sur leurs origines. tu veux en faire des apatrides alors qu’ils sont ni plus ni moins comme toi et tes enfants. De plus on ne leur a rien donné, c’est faux de dire le contraire, tout comme toi ils paient des impots et donc ils n’ont droit à aucune faveur « particulière ».
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Scaton l’africain
« ils sont nés ici, ont grandi et fait leur scolarité ici et n’en savent pas plus que toi sur leurs origines... »
Pour être bien clair, il ne s’agit pas de toutes les personnes d’origine africaine vivant en France, mais de celles qui se regroupent dans les banlieues, et qui vivent de la délinquance.
Dans ce milieu, je constate le développement d’une sous-culture (parfaitement méprisable) : culte de la violence, aucun sens du devoir, de l’effort, mépris des femmes, racisme, etc.
Je remarque que cela s’installe et se développe au fil des générations et qu’il y a une revendication de son origine (perceptible dans le rap) même si cela n’a plus grand chose à voir avec la culture africaine. Cela a donc un caractère ethnique.
Pourquoi c’est important de poser le problème comme cela ? Car s’ils veulent s’en sortir, il faut d’abord qu’ils abandonnent cette sous-culture.
Une autre solution serait que la République lutte par exemple dans les écoles contre toutes les manifestations de cette ethnie (vêtements, langage, etc.).
Il y a déjà eu des succès, cela a permis de traiter les problèmes bretons ou corses, est-ce qu’ils n’ont pas finis par être (à peu près) intégrés ?
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J’aimerais savoir quels sont les impôts que paient les jeunes des banlieues sans emploi ??????
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ca y est j’ai trouvé une interview d’un « casseur ». Sur le site de La bas si j’y suis,France Inter, émission de Mermet, vers la fin. Instructif.
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Cher Al capone, j’ignorais que les casseurs étaient tous des MOMO à la recherche d’un boulot, merci pour cette prétieuse information sociologique, je n’aurais jamais osé un amalgame aussi raciste pour ma part. J’ignorais d’ailleurs que seul les MOMO avait du mal à se loger à trouver du boulot, et que ça leur donnait ce genre de droit. Toutefois, je me demande en quoi tabasser à 30 une étudiante militante de la gauche universitaire va améliorer la recherche d’appart de MOMO, mais vous devez pouvoir nous expliquer ça très bien.
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M. Olivier Bonnet est un cafteur. M. Olivier Bonnet dénonce les propos qui ne lui plaisent pas. Il l’avoue, mais laisse transpraître un doute quant au bien-fondé de ses notes à la Kommandantur :
« Chacun »censure« en cliquant sur »signaler un abus« , et je ne l’ai pas fait dans cette discussion par exemple. Je l’ai fait ailleurs, c’est vrai, pour signaler des propos antisémites et islamophobes. J’ai tort ? »
Quand on a une nature de balance médiocre et méprisable, on n’a ni raison ni tort de se comporter comme une balance médiocre et méprisable. On n’est juste conforme à soi-même.
Le cèpe a-t-il raison d’être délicieux ? Et l’amanite phalloïde, tort d’être vénéneuse ? Ces questions n’ont pas de sens, M. Bonnet. J’espère vous avoir pleinement rassuré.
P.S. - Plutôt que des notes, envoyez donc des poulets, en ces temps de grippe aviaire. Comme ça, plus tard, vous pourrez dire que vous faisiez de la résistance.
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Olivier Bonnet 30 mars 2006 11:03
Il existe des lois qui punissent l’incitation à la haine raciale. Si vous avez envie que ces forums soient le libre déversoir de discours orduriers, ça vous regarde. Selon vous, il faudrait tout laisser passer ? Ce n’est pas ce que dit la loi.
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« Il existe des lois qui punissent l’incitation à la haine raciale. »
Comme il existait des lois qui punissaient le non-port de l’étoile jaune ! La dénonciation est forcément synchrone avec son temps. C’est donc une question de mode.
« Si vous avez envie que ces forums soient le libre déversoir de discours orduriers, ça vous regarde. Selon vous, il faudrait tout laisser passer ? »
En tant qu’Européen de type caucasien, quand j’entends ce qu’éructent certains rappeurs de type pas caucasiens, ça me fait trop marrer pour que je puisse songer à approuver quelque censure que ce soit...
Pour tout dire, l’incitation à la haine de ma race m’amuse... Et j’ai la faiblesse de croire que c’est comme ça qu’on réagit, quand on est bien dans... sa couleur de peau.
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les jeunes ont souvent des réactions excessives, mais rarement d’opinion politique suffisemment forte pour se mobiliser d’eux-même. aussi je reste convaincu que tout le cirque actuel est organisé par les syndicats, et avec l’appui des partis de gauche. Bien que considérant le CPE comme inefficace, exiter ces jeunes en se cachant derrière est méprisable. Aujourd’hui, les 2 pires maux de la france sont la stupidité du gouvernement et le pouvoir des syndicats.
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Si, ils s’organisent. Voici un communiqué qui montre un bel exemple de non intégration et de haine anti blanc. Et après on dit que ce sont les francais qui sont racistes.
COMMUNIQUE D’ACTION POLICE CFTC
Les casseurs des ghettos, qui sont les mêmes émeutiers de novembre 2005, s’organisent entre eux aux travers des blogs internet pour appeler à l’insurrection lors de la manifestation anti-CEP (contrat première embauche) prévue mardi après-midi au départ de la Place d’Italie à Paris. Ces même blogs appellent à casser du « ’Juif, du Blanc et du Bourge ». On peut encore y lire : « Il faut brûler la France, comme le Hamas brûlera Israël ».
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