mardi 6 novembre 2012 - par ddacoudre

Gay : le débat des barbares

Le mariage dit gay, certainement langage de communicant plus que déterminant de la reconnaissance relationnelle d’une sexualité entre partenaires du même sexe qui s’exprime depuis la nuit des temps. Elle n’est que l’expression d’une sélection naturelle que la religion a vainement essayé d’effacer des comportements humains, comme ils étaient effacés des reportages animaliers quand ceux-ci s’y livraient.

C’est ainsi que par anthropomorphisme nous avons cru que la fidélité du couple était la règle avant que l’éthologie nous démontre que c’est, le libertinage, et que la fidélité n’est qu’exception. Naturellement en utilisant le terme libertinage j’induis une démoralisation de la relation sexuelle, comme ceux qui utilisent le terme gay en lieu et place d’homosexualité revoient à l’anormalité ce que tolère et admet la nature, nous plaçant de ce fait au dessus d’elle et nous assurant par là même de nous tromper.

L’évolution des connaissances scientifiques du monde dans tous les domaines nous pousse désormais à l’humilité, tant la nature retient comme formes de la multiplication des espèces de variétés d’accouplement, dont seul notre obscurantisme nous fait croire que dans le monde animalier il n’existe pas de culture ou de morale, sans parler du monde des insectes et botanique.

Dans chacun il y a des groupes procréateurs et d’autres non. Si nous interdisions qu’un insecte butineur dépose le pollen qu’il transporte sur une fleur du même genre nous ne mangerions pas grand-chose. Heureusement ils échappent aux interdits religieux même s’ils succombent aux « Flitox » (un ancien insecticide qu’on connu les vieux comme moi).

Aujourd’hui nous savons que nos neurones décident avant nous de l’action dont nous serons les acteurs assumés, mais bien sûr avant que cela ne soit une acceptation éducative et se transforme en référence fondatrice, nous aurons vilipendé, tué, commis en toute bonne foi bons nombres d’atrocités qui feront dire à nos successeurs que nous n’étions que des « barbares » (pas au sens d’étranger).

Entrons donc dans ce débat barbaresque.

La concentration humaine impose l’acceptation de règles, si la religion les a sacralisées, elles n’en demeurent pas moins que cela, même si nous connaissons la portée éducative de la sacralité pour imposer un modèle culturel. La république utilise le même processus mental pour imposer le respect du droit positif qui c’est érigé en modèle laïque. La différence repose essentiellement sur l’aptitude à intégrer l’évolution environnementale qui découle de nos actes.

Il est un certain nombre de fondamentaux dont nous ne savons plus s’ils sont innés ou seulement culturels tant les possibilités d’adaptation offerte par nos neurones sont énormes.

Par exemple devant la diversité biologique que nous offre la vie, la recherche d’une gouvernance économique est-elle innée ou culturelle, produite par l’acceptation de l’universalité Chrétienne qui est la culture fondatrice de l’occident catholique à laquelle souscrivent mêmes des laïques et des athées.

Nous savons qu’elle est d’essence innée, mais seulement une possibilité culturelle parmi tant d’autres, dont l’environnement que nous construisons avec par nos actions fixera son sort durant un laps de temps qui dépendra de nos savoirs et savoirs faire.

Dans le cadre des relations humaines la composition familiale a subi les conséquences de la modification de l’environnement économique par l’autonomie économique féminine qui, en ouvrant les portes de la « libéralisation » de la femme, a offert une voie, une route à ceux qui subissaient le joug de la normalité catholique que la république avait fait sienne. Il ne faut tout de même pas oublier que ceux qui défendent aujourd’hui la sacralité du mariage républicain défendent encore les quelques vestiges d’influences religieuses qu’ils détiennent au travers de la famille sur la république. Il ne faut pas oublier qu’il n’y a pas si longtemps tous les handicapés cérébraux ou asociaux étaient cachés et croupissaient dans de basses fosses ou prisons, sans la transgression des dogmes religieux ou républicain qui les avaient adoptés par des scientifiques.

Il ne faut pas oublier que ce sont des femmes chrétiennes comme Mary Wollstonecraft maitresse d’école et philosophe anglaise et autres protestantes, telle Sarah Monod, qui ont ouvert la voie à la libération de la femme, alors que la république empesée dans ses valeurs catholiques considérait, comme le rappelle la lecture du rapport de Talleyrand à la constituante en 1791, que les femmes ne devraient recevoir qu'une éducation à caractère domestique.

1905 n’a pas tout gommé et la droite catholique rebondit sur ce sujet du mariage homosexuel comme elle a rebondi lors de l’adoption de la loi sur l’IVG ou la peine de mort.

La république comme la religion ne peut nous dispenser d’une réflexion sur ce que nous connaissons du monde d’aujourd’hui qui nous dit que s’il est nécessaire de disposer de fondements, ils ne peuvent être sacralisés sous peine de devenir des cachots pour hérétiques. Et même si nous commettons cette erreur, nous ne feront que retarder l’apparition d’innovateurs comme le furent tous les grands noms de ceux qui ont transgressé les dogmes depuis la nuit des temps pour coller à l’évolution que nous générons, et dont nous sommes si fiers d’apprendre les NOMS, mais qu’il nous est si difficile de suivre à la trace.

Comme je le mentionnais plus haut ce qui sépare la sacralité de la république ou de la religion, c’est l’adaptabilité. La religion ne se réforme jamais, elle subit l’évolution de l’environnement en continuant de croire que ses valeurs sont universelles et d’essence fondatrice d’un univers communiqué aux humains par un intercesseur. C’est là tout le poids de l’obscurantisme qui est présent actuellement et que nous le retrouvons dans ce débat médiatique qui prend en otage l’enfance, comme nous avons coutume de le faire en l’instrumentalisant.

Pourquoi donc notre progéniture serait moins bien éduquée dans d’autres organisations familiales que celle catholique. Doit-on s’honorer qu’au nom de l’éducation catholique nous ayons transmis à nos enfants le droit de tuer, dont nous ne pouvons pas dire qu’ils en aient pas fait usage.

En quoi la religion qui a fait saigner le monde par la colonisation et son prosélytisme est-elle bien placée pour dire ce qui est juste, elle qui se vêt encore dans des chasubles d’un siècle archaïque, utilisant au même titre que tant d’autres avec son intelligence l’ignorance qui nous habite et qui n’est que notre peau de MUE.

Il n’existe aucune démonstration qu’une éducation autre que celle reçue dans une famille catholique normative soit viscéralement néfaste. Il est bien évident que d’une autre forme, il en découlera d’autres comportements qui généreront d’autres actions et nous aurons là comme ailleurs à sélectionner ceux qui facilitent l’épanouissement humains de ceux qui l’asservissent. Ce n’est en cela que l’usage d’aptitude humaine que nous donnent nos neurones et que nous appelons morale, éthique qui ne dépend pas de la vision fondatrice et interprétative qu’on eu les hommes de l’évolution qu’ils ont subi et transcendé.

Alors laisser ceux qui veulent partager un destin commun le faire, élever des enfants s’ils le désirent. Le statut de géniteur ne confère aucune capacité ni assurance d’une bonne éducation ou d’amour de l’autre. Les deux sont une construction culturelle pour laquelle la consécration du mariage n’a que valeur de droit. Pour assurer le suivi héréditaire il n’est point besoin du mariage, mais celui-ci engagent le couple dans une coresponsabilité sur leur futur pour toute chose, pourquoi en priver une partie de la population au prétexte que la nature ne les a pas sélectionné pour être des procréateurs.

Nos actes sont le reflet de notre évolution, les droits de l’homme, les droits de la femme, les droits de l’enfant, aujourd’hui le droit de choisir avec qui l’on veut s’unir pour un jour ou une vie dans l’égalité de droits et devoirs, comme d’autres peuvent aujourd’hui sans se cacher assumer leur monoparentalité conséquence du droit du divorce, de l’autonomie économique et de la « libération de la femme ». Tout cela aura-t-il des conséquences, OUI, avons-nous les moyens de les assumer, OUI.

Allez-vous interdire à un serpent de changer de peau, nous n’empêcherons pas plus une société de MUER. Vous noterez que je n’utilise pas le terme traditionnel de ceux qui vous annoncent une modernité évolutive. Il n’y a rien de moderne en cela ni de régressif nous supprimons seulement les sources de (bruits).



41 réactions


  • philouie 6 novembre 2012 12:56

    Bonjour,

    Bel exemple de l’évolution des mentalités.

    on voit :

    1- que c’est le discours de la science qui fait foi.

    2- que l’être humain n’y ai plus considéré que comme un animal comme les autres, ie qu’il n’y a plus de spécificité humaine.

    3- que ce qui vise à maintenir l’homme comme construction est nommé obscurantisme., c’est à dire que l’échafaudage culturel qui a fait de l’homme ce qu’il est spécifiquement et qui se maintient grâce à la reproduction morale (l’éducation) est jugé archaïque.

    4- que la science est prise pour solution dans la croyance que le progrès est inéluctable et positif.

    Pourquoi pas.

    Seulement si la religion visait au partage de la jouissance, il devient de plus en plus évident que nous crevons du jouir à tous prix . (exploitation des populations en voie de développement, épuisement des ressources naturelles, accroissement des inégalités, augmentation de la violence)
    Il eut été intéressant que l’auteur nous livre les solutions qu’il espère pour remédier aux désordres inhérent à ce nouveau paradigme . (si tant est qu’il en ai conscience, ce qui n’est probablement pas le cas)


    • ddacoudre ddacoudre 6 novembre 2012 22:42

      bonjour philouie

      la science n’est pas une oeuvre de foi, elle est réfutable et donne a chacun les moyen de vérifier ce qu’elle soutient dans la mesure de ce que nous sommes capable de comprendre. elle ne s’oppose pas au besoin de foi qu’exprime les hommes.

      Tout ce qui existe c’est dieu qui la voulu et non le diable, la science nous donne aujourd’hui les moyens de sortir de l’obscurantisme biblique qui, s’il fut une avancé sociétale en son temps pas très lointain, n’est plus au fait de ce que son dieu a permis aux hommes de faire. La création ne se divise pas elle est, et tout ce qui est, est permis par dieu sinon çà n’existerait pas.

      Alors que nous nous division sur ce qui est ou pas une bonne chose pour le développement de la plénitude de l’humain ou de sa complétude au monde est une chose, mais il ne faut pas mettre dans la bouche de dieu, ce qui n’est que le tribu de l’ignorance de l’homme qui se prend pour un dieu tombé des cieux.

      Les réalisations d’aujourd’hui ont pris naissance dans nos actions d’hier, et nous n’en avons pas conscience ou si peu par rapport au milliard de milliard d’actes qui se coaliseront pour donner aujourd’hui. c’est donc dans le passé que nous avons fait le lit de la démarche des homosexuels d’aujourd’hui et personne ne pourra revenir en arrière pour effacer ce qui les a conduit à leurs réclamations d’aujourd’hui.Tant de peuples et tribus ont vécu sans connaître dieu et la bible et ne se sont pas dépravés pour autant.

      Je pourrais même vous expliquer que la bible peut être un fléau pour l’humanité et il est heureux que la nature ou dieu est permis aux hommes d’inventer le préservatif, l’IVG, l’homosexualité, l’hédonisme qui sont autant de régulateur de l’espèce.

      Mais je pourrais tout autant vous expliquez que grâce à la bible qui pousse à la procréation au point de remplir la planète d’humain nous pouvons concevoir que ceci aura pour conséquence que l’homme quittera la terre pour d’autre lieu planétaire et si cela se réalise un jour, ce sera parce que nous sommes capables de le penser et que nous ne pouvons penser quelque chose qui ne puisse pas trouver un jour une réalisation. Faire des choix c’est aussi compliqué que cela, c’est pour cela que ce n’est pas nous qui les faisons, mais là c’est l’histoire du 21e siècle qui ne fait que commencer.

      Et elle a un mal fou a se débarrasser de ses obscurantismes, rien de plus banal. Naturellement il existe des solutions pour sortir de l’impasse qui est la notre, elle se manifesteront pas forcément comme moi je les développe car je suis un sur 7 milliard. ce n’est pas la science qui pose problème, mais l’usage qu’en font les hommes dont beaucoup il me semble ont été élevé dans la famille traditionnelle de l’éducation catholique reprise par la république.

      cordialement.ddacoudre.over-blog.com .


  • totor101 totor101 6 novembre 2012 14:39

    hoooooh !
    les pauvres mouches qu’est ce qu’elles prennent avec ce post alambiqué ! ! ! ! !


  • lowner 6 novembre 2012 15:00

    De belles paroles a lire sans réfléchir , ça passe mieux .
    Il se peut que ciment ou construction d’ une civilisation ne signifient rien pour vous .
    Triste constat du modernisme ambiant .


    • Traroth Traroth 6 novembre 2012 18:37

      Le ciment, c’est pour bétonner, non ?


    • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2012 00:37

      bonjour Iowner

      Nous ne devons pas lire la même histoire humaine, car toutes les civilisations se sont effondrés, faut-il croire que le ciment n’est pas de bonne qualité, mais curieusement des tribus enfoui dans des jungle subsiste encore sans connaitre les chocs de civilisation qui sont les nôtres. je reconnais ils ne deviennent pas aussi âgé que nous.
      cordialement. ddacoudre.over-blog.com.


  • bel95 6 novembre 2012 15:11

    Concours du post le plus tordus vous entrez dans les 1 er places. Verbiage indigeste, posture pseudo-scientiste pour camoufler l’impsse de votre « écrit ».

    La question ne porte pas sur la nécessaire vulgarisation de sa pensée pour respect et aptitude à communiquer. Ici la question qui reste au lecteur couragement arrivé en fin de lign : mais qu’a-t-il voulut dire ???


  •  C BARRATIER C BARRATIER 6 novembre 2012 18:09

    Très bon article.
    C’est difficile pour les adeptes d’une religion de la critiquer ouvertement de l’intérieur, mais beaucoup d’adeptes osent penser par eux mêmes
    Voir ici en table alphabétique des news l’étonnant témoignage d’une croyante.

    Laïcité chrétienne 

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=219


    Les religions ne s’amendent que très lentement, et seulement lorsque le pouvoir politique ne s’y soumet pas. Leurs chefs s’érigent en directeurs de conscience, c’est leur vocabulaire insensé..comme si chaque individu et chaque état n’étaient pas capables de se diriger eux mêmes. Les chefs religieux ont un appétit extraordinaire de pouvoir, c’est pourquoi ils sont dangereux.


  • tf1Goupie 6 novembre 2012 18:57

    Le titre reste incompréhensible : qui sont les barbares ?

    Vous concluez :
    « Tout cela aura-t-il des conséquences, OUI, avons-nous les moyens de les assumer, OUI. »

    Vous n’en savez absolument rien, et vous ne commencez même pas à réfléchir à cette question, or, c’est l’une des questions fondamentales (barbare vous avez dit ?...)

    Petite remarque en passant : « monoparentalité » est un abus de langage ; les enfants possédant un seul parent sont extremement rares dans notre société.


    • philouie 6 novembre 2012 19:19

      le débat des barbares = le débat initiés par les croyants.

      Puisque sans croyant, cette question ne ferait pas débat et serait admise comme une évidence.


    • tf1Goupie 6 novembre 2012 19:31
      « Puisque sans croyant, cette question ne ferait pas débat et serait admise comme une évidence. »

      Et ben va falloir descendre de votre piedestal, puisque cette question n’est pas « une évidence » pour moi et un certain nombre de mes relations athées.

      Il y a 40% de croyants en France selon vous ?

      Sortez dans la rue et parlez avec les gens parce que le mot « débat », de toute évidence", n’a rien d’évident pour vous.


    • philouie 6 novembre 2012 19:53

      A mais, c’est que je suis croyant. (fanatique, donc)

      l’évidence n’est évidente que pour ceux qui se soumettent , comme notre auteur, au discours de la science et à la propagande médiatique.

      ce n’est pas ma position.

      (ma position est celle du missionnaire).


    • philouie 6 novembre 2012 20:18

      A mon sens, pour aller plus loin sur cette question, ce qui est remis en cause sur cette question, ce n’est pas seulement la question de la différenciation sexuelle, mais bien plus, à la suite d’une longue litanie, la place du père.

      Précisément, les religions monothéistes sont patriarcales, et le patriarcat signifie que c’est le père qui, grâce à la parole, dicte la loi.

      Dernier coup de boutoir après plusieurs siècles de sappe.

      ce qui est remis en cause ici, est, à l’évidence la place d’autorité.


    • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2012 01:28

      bonjour groupie

      le monde ne se limite pas à la France et a l’occident très catholique. que je sache l’histoire catholique est couverte de sang et pourtant l’éducation familliale sous l’autorité du père aurais du assurer l’amour et la bonté.

      Toute action humaine à une incidence, hier comme aujourd’hui nous ne sommes qu’une petite pièce d’un puzzle qui en modifie l’image, et nous avons contraint toujours assumé les incidences générés vous auriez plutôt du me dire que j’enfonçais des portes ouvertes, et me demander quels étaient les moyens.
      environ 200 000 personne touchent l’API allocation parent isolé toute ne choisissent pas effectivement de devenir ou rester une famille mono parentale, mais il y a tout de même prés de 2 millions de famille mono parentale., nous ne devons pas avoir les même informations.

      En 2005, 1,76 million de familles sont composées d’un seul adulte qui vit sans conjoint avec un ou plusieurs enfants de moins de 25 ans dans un même logement (tableau 1). Dans 85 % des cas, il s’agit d’une mère et de ses enfants. source Insee.
      cordialement.ddacoudre.over-blog.com.


    • tf1Goupie 7 novembre 2012 09:59

      Vous n’avez pas bien compris ma remarque : une famille monoparentale signifie qu’il n’y a qu’un parent au foyer où réside l’enfant.

      Ce qui ne veut pas dire que l’enfant n’a qu’un parent.
      Ce qui ne veut pas dire que l’enfant n’a pas de relations avec son autre parent.
      Et qui ne veut certainement pas dire que le modèle de référence de l’enfant est d’avoir un seul parent ; c’est extrêmement différent.

      L’enfant qui vit avec sa mère sait qu’il a un père, l’a peut être connu pendant des années, le rencontre peut être de temps en temps, peut éventuellement partir à sa recherche, peut le « visualiser » etc...

      Quant à dire " l’éducation familliale sous l’autorité du père aurais du assurer l’amour et la bonté", c’est un argument que je trouve assez malhonnête : cela revient à démolir un modèle sous le prétexte qu’il n’est pas parfait !!
      D’abord ce modèle n’a pas si mal fonctionné que ça ; ensuite il faudrait que vous soyez capable d’exhiber un autre modèle existant qui a mieux marché. Si oui alors j’attends votre réponse.


    • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2012 13:07

      bonjour groupie

      une famille mono parentale signifie que l’enfant est sous la responsabilité d’un seul des parents. pour l’autre question:Toutes les tribus qui sont disséminés un peut partout en Indonésie en Afrique, en Amérique du sud, elles n’ont jamais engendré des guerres de masses, il y a aussi la civilisation du bouddhisme tibétain. j’espère que vous ne confondrez pas confort et bonheur car vous ne me l’avez pas précisé mais j’ai je pense compris que vous faisiez allusion au développement hédoniste qui n’est pas l’égal du notre chez eux. le plus triste c’est qu’un jour peut-être ils mourons en ignorant que c’est par nos pollutions ou parce que un malade à qui nous aurons donné le pouvoir appuiera sur le bouton nucléaire pour conserver les avantages de la puissance financière qu’il tire du développement d’une société hédoniste.

      cordialement.http://ddacoudre.over-blog.com/pages/nous-ne-pourrons-pas-survivre-a-une-societe-qui-ne-reduit-l-existence-humaine-qu-a-une-valeur-compta-7612473.html.


  • Dolores 7 novembre 2012 10:16

    C’est vrai qu’il n« et pas rare de voir dans la nature de voir 2 mâles d’une même espèce tenter de copuler, encore que la tentative soit brève car le mâle passif est rarement d’accord
    Mais sont-ils pour autant des »bovinsexuels« ou des »caprinsexuels«  ?
    N’est-ce pas plutôt 1 mâles qui relâche la tension parce qu’il n’y a pas de femelles en chaleur ou disponibles pour lui ?

    En dehors de la religion et de la morale,mettez 2 hommes -ou 2 femmes- sur une île, revenez 10 ans après et comptez les enfants.
    Mettez un homme et une femme dans la même situation, la différence risque d’être nette !

    Il est à la mode et »moderne« de prétendre que le fait biologique n’existe pas, il n’en demeure pas moins qu’il faut un homme et une femme pour faire un enfant et qu’un enfant n’est pas une chose que l’on »se passe « par convenance comme n’importe quel objet.

    Je ne suis pas homophobe et j’estime que, individuellement, chacun a le droit de vivre sa vie comme il l’entend.
    Seulement , il ne me semble pas admissible que le mariage homo soit mis à égalité - »le mariage pour tous, seul l’amour compte« - avec le mariage hétéro.
    On veut changer la loi sur laquelle sont basées les sociétés depuis plus de 2000 ans pour une petite minorité de »couples" qui sur le plan biologique sont des fruits secs.

    Vous faites , volontairement ou non, la confusion entre famille monoparentale gay et famille monoparentale suite à un divorce ; dans la première les enfants ont 2 parents de même sexe, dans la deuxième ils ont toujours père et mère malgré le divorce.

    La filiation a une importance capitale :écoutez tous ces jeunes nés sous X et adoptés qui passent des années durant à la recherche de leurs parents biologiques.
    Parents et enfants nous formons une chaîne à travers les siècles : 2 mères ou 2 pères rompent la chaîne.

    Maintenant, qu’on veuille faciliter la vie des homosexuels, tout à fait d’accord.
    Qu’on modifie le Pacs en ce qui concerne l’héritage ou l’adoption, pas la procréation assistée, qu’on organise une cérémonie pour rendre cet acte plus symbolique, mais pas à la mairie.

    Les barbares sont ceux qui pensent que tout est pareil, que tout est de même nature et que tout doit se traiter de la même façon..


    • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2012 13:24

      bonjour Dolores
      nous avons une conception de la famille très catholique.
      la famille c’est développé pour permettre la transmission de l’héritage des biens et possessions, son concept a évolué depuis ces temps engendrés par la sédentarisation, la faire évoluer aujourd’hui vers d’autre humain sexuellement différenciés semble effectivement poser problème.
      Le mariage consacre le choix de personne de vouloir s’unir durablement point. nulle part il n’est dit que c’est pour procréer, sinon il n’y aurait pas d’humain sur terre car au VIII siècle avant jésus christ les mâles ignoraient qu’ils étaient pour quelque chose dans la procréation.
      pourtant ce fut dans cette Grèce archaïque le départ de la connaissance dont nous utilisons encore des savoirs et conservons des vestiges. faut donc croire qu’ils n’ont pas engendré des tarés. mais je suis d’accord sur un point,le fait qu’ils aient été souvent rejetés engendre chez eux un besoin de reconnaissance qu’ils trouvent dans la normalité du mariage, et le problème aurait pu être solutionné au moment du pacs, sauf que a cette époque les mêmes refusaient que le pacs recouvre les mêmes droits que le mariage. il faut se souvenir.http://www.mariage-civil.org/?page_id=318.
      cordialement.ddacoudre.over-blog.com.


    • Joseffa josephine 30 janvier 2013 12:32

      Excellente réponse ! Bravo !


  • tf1Goupie 7 novembre 2012 10:31

    Il est aujourd’hui connu que dans une société d’adultes les non-dits peuvent avoir des conséquences très graves.

    En ce moment ce débat essentiel est très peu abordé en France, que ce soit à la télé, sur le Net ou même dans la société.
    C’est sans doute pour cela que ce sujet « sort » sous forme de manifestations, ou bien de déclarations maladroites de quelques représentants catholiques.

    Sur Avox tous les avis s’expriment, désinhibés, variés (c’est rare que je dise du bien d’Avox).

    Le seul vrai avis qui me dérange sérieusement est : « n’en parlons pas » !

    Je ne sais plus quel est l’abruti qui a dit : « Du débat jaillit la lumière »


    • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2012 13:27

      re groupie
      j’ai bien aimé tes remarques je ne sais plus qui avait dit :ils vivaient dans le noir et se plaignaient de ne pouvoir avancer.
      cordialement.


    • tf1Goupie 7 novembre 2012 13:39

      Et donc il est éventuellement intéressant d’allumer la lumière ?

      C’est étonnant parce qu’il suffit que je fasse des compliments à Avox pour que tous les articles sur le mariage gay deviennent invisibles !

      Y a pas mieux que la modération d’Avox pour rendre parano ....


    • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2012 14:06

      je suis d’accord avec ta dernière remarque mais encore faut-il savoirs d’où elle vient.
      je te copie la fin d’un poème sur le sujet.

      Les docteurs de la loi

      Repaissent leurs disciples

      De caresses mortelles

      D’amours indigents.

      Les maîtres de la foi

      Rassasient leurs adeptes

      D’étreintes funestes

      De cœurs inquisiteurs.

       

      Si j’ai fait le soleil brillant,

      Ce n’est pas pour réfléchir le clinquant.

      Si j’ai fait la nuit étoilée,

      Ce n’est pas pour préserver ses secrets.

       

      La nuit d’été a dévoilé son alphabet,

      L’initié déchiffre les sceaux stellaires.

      La voie lactée a révélé ses mystères,

      La vie se cache derrière l’astre illuminé.

       

      Ceux qui demeurent voûtés,

      Sur un livre sacré ou inspiré,

      Ne distingueront jamais

      En la nuit étoilé qu’un enfer glacé.

       


    • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2012 13:55

      bonjour musima
      i y aurait beaucoup trops de chose à te répondre, mais j’ai compris ce que tu dis.
      d’une part je ne vais pas sur les forum, ce n’est pas là que je continue à m’instruire, ce qui ne veut pas dire que l’expression des hommes n’a pas d’intérêt.

      ton point de vue mercantile de la libération de la femme relève de la stratégie « complotiste », je doute que madame du Chatelet compagne libre de Voltaire et première femme reconnu des « académicienne »de l’époque 16 siècle ait partagé ton analyse historique. juste pour te signaler que ce n’est pas d’aujourd’hui qu’existe des femme libérés.
      ceci dit oui des industriel ont vue dans le développement de la libération de la femme un moyen de faire du fric, comme ils exploiterons le mariage des homosexuels.
      il n’échappe à personne que le danger de notre société est de faire de l’argent avec tout et que l’humain est devenue une marchandise.
      il est donc nécessaire de retrouver une morale et une éthique d’existence voire d’en construire une à l’aube du 21 siècle pour entériner et pérenniser les évolutions de ce monde pour trouver la complétude avec lui comme la possédaient les hommes préhistorique qui avaient avant les écolos ompris que leur puissance dépendait de celle de la planète sur laquelle ils vivaient.
      l’art pariétal pas plus que les fresques des églises ne sont de la peinture artistique mais une écriture pour enseigner et renseigner.
       enfin le nombrilisme humain est normal et imaginer pouvoir vivre sans les insectes ou les plants c’est envisager à court terme sa disparition.
      mais à les examiner nous savons qu’ils n’ont pas été toujours ce qu’ils sont à des vitesses différentes, et nous nous ne resterons pas toujours ce que nous sommes.
      déjà avec la génétique il est possible de se passer de la procréation individuelle. je ne dis pas si c’est une bonne ou mauvaise chose, seulement qu’un jour peut-être nous déposerons un spermatozoïde sélectionné pour être le meilleur sur les meilleurs ovules, comme l’abeille dépose ses pollens,sauf qu’elle elle le fait au hasard tandis que nous nous le ferons en conscience. je pense que cela peut nous conduire à l’eugénisme, mais d’autres, et c’est là que je te rejoins, trouveront qu’il y a une opportunité à faire du fric.

      cordialementddacoudre.over-blog.com.


    • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2012 13:58

      bonjour jullius

      sur 67 millions d’habitants c’est peu. smiley
      cordialement.ddacoudre.over-blog.com.


  • Magnon 7 novembre 2012 12:24

    Et la parité ?
    Le mariage est la formalisation juridique d’une réalité biologique, il faut un père et une mère pour faire un enfant !
    Formaliser juridiquement un non sens biologique, avoir des enfants sans père ou sans mère, des droits sur l’orphelin, sujet de droit auquel la société doit un père et une mère de remplacement, la PMA, procréation de substitution strictement anonyme pour les pères stériles, qui deviendra procréation sans père et je ne parle pas de la division internationale du travail, les hétérosexuels pauvres des pays pauvres fabricants des enfants pour les homosexuels riches des pays riches !

    Jamais une loi n’aura été aussi amorale !


  • iaito68 7 novembre 2012 12:47

    Supprimez toutes références à Dieu, n’obéissez qu’à vos désirs égoïstes, distillez la honte de vos racines, oubliez les lois fondamentales qui donnent sa dignité à chaque être humains...oui, continuez comme cela...
    A vouloir absolument réduire l’homme à l’animalité, il ne faudra pas vous plaindre qu’on vous traitât comme tel...


  • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2012 14:18

    bonjour iaito

    la bible si elle est fondatrice de notre civilisation n’a pas le privilège d’être une vérité absolue.
    les hommes ne sont pas sortie de l’animalité ils sont devenus pire.
    S’il nous faut des règles pour que cela n’empire pas, la bible n’est pas le seul tabou ou totem au monde pour servir d’exemple. Evoluer n’est pas nier ce que fut son utilité, ni mettre en cause ceux qui ont la foi, c’est seulement leur dire qu’il existe un autre monde en dehors du leur.

    cordialement.http://ddacoudre.over-blog.com/pages/du-rat-a-moi-7607770.html.


  • franc 7 novembre 2012 21:40

    « Mettez un homme et un homme dans une île et 10 ans après ,comptez les enfants »

     sauf que là c’est une vision individualienne de l’humain mais aussi fixiste de l’histoire de l’humanité

    ,or l’homme est un être social en plus d’être un être individuel ,et donc que les individus sont liés et interdépendants les uns aux autres et que la collectivité peut réaliser des choses que des individus ne peuvent pas faire ,le corps d’un ’homme ce n’est pas seulement son corps individuel mais le corps de l’univers tout entier et donc aussi les corps des autres hommes comme prolongement comme le dit aussi bien le philosphe catholique Gabriel Marcel que le philosophe athée Karl Marx ; 

     mais encore que l’humanité évolue en commençant d’abord par être un animal mamifère qui a besoin d’un mâle et d’une femelle pour procréer mais qu’ensuite une fois arrivé à un stade supérieur de l’humanité avec le progrès de sa science et de sa conscience ,l’homme peut se passer du couple mâle -femelle de sa nature primitive pour procréer ,soit à l’aide de son intelligence artisanale ou plus technologique du PMA ,ou dans le futur par la création de l’utérus artificiel ou encore par une technique encore plus avancée à l’aide des cellulles souches qui peuvent tout recréer ,et là le mode primitif de procréation hétérosexuelle par mâle-femelle sera complètement archaïque et caduque..Actuellement le mode de GPA (gestation pour autrui) est interdite en France mais pas ailleurs ,or le GPA est tout à fait conforme à la morale suivant la conception ausssi bien marxiste que chrétienne de l’homme entant que être à la fois individuel et social ,et en tant que être social le corps de l’homme est le corps de l’univers tout entier et donc un homme a parfaitement le droit et la légitimité de prêter ou d’emprunter le corp d’un autre en toute conscience . 

     

    Quant au sentiment de la filiation paternelel ou maternel c’est un sentiment de construction sociale et nullement génétique , le véritable géniteur est le spermatozoïde qui par hazard parmis des centaines millions d’autres,et comme le dit le poète Kalil Ghibran :

    « vos enfants ne sont pas vos enfants ,ils passent à travers vous mais ne sont pas de vous ,ils ne vous appartiennent pas mais sont les fils et les filles de l’Appel à la Vie .Vous pouvez donner votre amour mais ne faites pas qu’ils deviennent comme vous ---------------- »

    Les vrais parents sont les parents qui ont reconnu et adopté l’enfant en conscience ,qu’ils aient participé eux -mêmes à la procréation biologique ou non ,les vrais parents sont ceux qui apportent l’amour à l’ebnfant qu’ils soient homme ou femme ,seul ou plusieurs

     

     PS------Moi-même je suis issu d’une famille monoparentale nombreuse ,et je n’ai jamais eu besoin d’un père alors que ma mère suffisait largement à donner de l’amour en même que l’autorité ,j’ai même refusé que mon père revienne à lamort de ma mère


    • ddacoudre ddacoudre 7 novembre 2012 23:57

      bonjour franc

      rare sont ceux qui aborde le sujet par ce bout. demain nous sommes capables de nous passer de l’homme et de la femme pour procréer, si un jour cela se concrétise durablement c’est que la nature ou dieu pour les croyants l’aura reconnu viable. cela fait peur dans une société ou l’éthique à laissé la place à la marchandisation de l’humain et que pour certain l’humain et moins qu’un animal seulement un objet financier. si ces même personne disposent des avancés de la science, les exactions dont ils sont capables pour du fric se fera retourner les populations contre le progrès scientifique, même si nous savons qu’il est source de risque puisque c’est grâce à lui que nous polluons la terre, mais c’est grâce à lui aussi que nous pourrons nous en libérer, sauf que ceux qui commandent aux destinés du monde sont les marchands et il en ont rien a foutre. il faut donc commencer par les viré du pouvoir, et regarder la science pour ce quelle est capable donner la vie et la prolonger.
      l’homme fut contraint à la socialisation au de la de celle du groupe animalier par la sédentarisation et sa concentration.http://ddacoudre.over-blog.com/pages/du-rat-a-moi-7607770.html cordialement.


    • Dolores 8 novembre 2012 13:39

      Franc

      « Le meilleurs des monde » semble votre idéal !

      Je vous rappelle que s’il n’y a plus de parents, on est obligé de droguer tous ces humains et de les mettre sous contraception permanente pour que leur conscience n’affleure pas, qu’ils ne se révoltent pas et qu’ils restent soumis, sans se poser de questions et sous peine de punition, aux lois d’une société où ils suffit de collecter des gamètes pour une reproduction technique de la vie en utérus artificiels en jouant sur l’intelligence des « produits »..
      Relisez Huxley. C’est glaçant ! Même si ce n’est que de la science fiction.

      On ne peut croire que quelqu’un - aussi idiot soit-il - puise désirer une telle société, c’est du délire.

      « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme »


  • franc 8 novembre 2012 16:34

    Vous serez des dieux dit le Jésus de l’Evangile .


    Lorsque les hommes auront atteint un certain niveau de perfectionnement suite à une longue hominisation où ils sortiront et se débarrasseront complètement de leur nature bestiale primitive,alors la vraie démocratie pourra réellement se réaliser en même temps que l’idéal anarchiste ,et le meilleur des mondes sera effectivement réalisé et non pas sa caricature cauchemardesque de Huxley 

  • franc 8 novembre 2012 21:10

    Quand je parle de l’animalité ou de bestialité ce n’est pas le corporel ou l’organique comme tel et que possèdent en commun les animaux et les humains et même des anges ou des dieux ,car l’être transcendant divin n’est pas un être éthéré mais possède aussi un corps mais celui ci-est de nature parfaite ou supérieure ;donc ce qui fait la différence entre l’humain et l’animal c’est avant tout le degré de perfection et de conscience qui permet une certaine auto-évolution ou autoprogression ou autoperfectionnement .L’esprit bestial est un esprit d’inconscience maléfique qui résulte de la nature imparfaite de l’animal comme de l’homme .Dieu par définition est le seul être parfait absolu .Dieu possède un corps transcendant absolu parfait .

    pourquoi Dieu possèderait un corps est une autre question théologique qui demande une longue explication ou démonstration ,néanmoins on peut dire pour être bref que le pincipe corporel est équivalent au principe d’existence et que si Dieu existe il a nécesairement un corps ou que si Dieu n’a pas de corps il n’existerait pas ;cependant l’existence n’est pas équivalent à l’étance ,l’existence implique l’étance mais non pas réciproquement ,l’étance n’implique pas l’existence ;l’existence est plus forte que l’étance ,l’existence c’est l’étance en conscience ,autrement dit:existence=étance +conscience ,la conscience comprenant la rationalité ;Ainsi si on dit que Dieu est ,c’est en fait que l’Idée de Dieu existe ,mais que si on dit que Dieu existe on dit en fait outre que Dieu est c’est à dire que l’Idée de Dieu existe mais qu’en plus il a un corps c’est à dire que l’Idée de Dieu est saisie par une conscience et une conscience rationnelle qui la projette en une concrétude déterministe et mathématique 

    la théorie de l’évolution consistant dans une première étape l’hominisation ,puis dans une deuxième étape l’angélisation ,ensuite dans une troisième étape la divinisation fait de toute la création une christisation de l’Univers par le Logos (c’est la théorie du Christ -Logos comme finalité et achèvement de la Création ,l’union hypostatique joahnique à la fin des temps de tous les hommes avec le Christ et avec Dieu ,« afin que tous soit UN,Moi en Toi et Eux en Nous » dit St-Jean dans son Evangile),c’est aussi pourquoi et en quoi la philosophie marxiste définit un sens de l’Histoire dans un progrès inéluctable et inexorable ,le sens de l’histoire marxiste est en quelque sorte un corollaire du Plan de la Providence chrétienne ,le vrai marxisme comme le vrai christianisme ne s’oppose pas mais se complète en des plans différents ,l’un le marxisme ancre l’Histoire dans l’immanence ,l’autre le christianisme l’ancre dans la transcendance ,mais la l’immanence n’est que la projection homomorphique voire isomorphique de la trancendance par l’intermédiaire de la trancendantalité 


    • ddacoudre ddacoudre 9 novembre 2012 00:28

      bonjour franc

      bonjour franc

      j’ai apprécié ton commentaire, il ma rappelé les nombreuses discutions que j’avais avec un ami pasteur et des souvenir d’une époque ou j’ai fait des stages de formation dans un institut théologique protestant aussi je comprend parfaitement tes propos. et a te surprendre moi un agnostique voire un athée j’y souscris, car en fait tu développes la perception de l humain de l’indéfinissable que vous appelez dieu, mais il est vanité humaine que de vouloir fixer des absolues encore plus avec l’usage d’un langage, tous ceux qui l’on fait les ont vu s’écrouler. Nul doute qu’il existe un Tout ordonné, même notre théorie du big bang n’est que explication humaine
      d’un être qui s’interroge. Souvent je donne comme analogie le principe du pendule dont son mouvement doit son existence au point qui l’attache et lui permet son mouvement, un clou par exemple. En physique ils appellent cela un attracteur. Dieu c’est cela, sauf que le pendule s’il présent ce qu’il y a au dessus de lui qui lui donne l’existence il n’en a que l’idée qu’il peut imaginer, et si jamais il veut devenir le clou, il change d’état comme la glace qui devient eau et l’eau vapeur et il a perdu sa nature de pendule ou bestiale pour toi, le clou peut il être que bon, c’est ce que nous imaginons pour nous séparer de la souffrance comme les bouddhistes.
      sauf que ta représentation ou la mienne faite pour répondre a une nécessité humaine ne sont que pipi de chat au regard de ce que nous donne à voir la science dans la construction du vivant comme du cosmos et que notre conscience comme notre existence échappe à notre contrôle, certes pour une poignée de millisecondes mais y échappe.
      La science ne tue pas Dieu, elle tue tous les rituels ancestraux qui ne sont plus de mise et qui n’ont jamais été un moyen d’accéder à dieu, ce n’est pas réciter des prières ou porter un voile qui permet de comprendre dieu si l’on est pas capable de traduire l’esprit de ceux qui ont sortie les humains de la superstition, si l’on n’est pas capable de traduire des paraboles et de les adaptés au réalité aujourd’hui. s’il fallait coupé la main des voleurs avant d’aller à la rencontre de dieu il n’y aurait que des manchots dans le paradis.
      La science nous rapproche de ce que la pensé bouddhiste a de dieu mais ne lui donne pas un corps, car ils ne partent pas du principe de la genèse qui est une reprise de la création vu par Gilgamesh ou dieu fait l’homme à son image.
      l’image n’est pas sotte car les humain avaient compris qu’il devaient vivre en complétude avec leur environnement dont il retiraient leur force. Nous retrouvons cela dans les trace laissé dans les grottes par l’art pariétal, donc bien avant la datation biblique du monde.
      aujourd’hui la science est en mesure de démontrer que l’humain et la vie est fait de même matière que la cosmologie agencé est coalisé suivant l’attraction que l’on subit.
      souvent je dit qu’un bout de matière dans un accélérateur de particule donnerait au bout rien d’observable, pareil pour l’humain, il deviendrait l’un est l’autre des paquets d’information.
      j’ai développé cela en 1999 :

      « ,,,,,,/Je considère donc, que les « Forces ou énergies ou flux » qui composent l’Univers, combinent toutes choses. Toutes choses de ce que nous sommes, et que nous créons, même si nous ne pouvons encore en définir certaines, et peut-être ne jamais accéder à l’indéfinissable.

       

      En conséquence, en observant les lois que nous connaissons de cet univers, il est plus aisé de comprendre ce que nous sommes et faisons. Cet effort intellectuel consiste à s’observer, comme étant ces forces, étant dans ces forces, et étant le produit de ces forces, et non soumis à ces forces. D’une autre manière, si nous considérons que l’univers est de l’information, nous sommes cette information dans l’information, et produisant de l’information, et non seulement soumis à l’information.

      La nuance est fondamentale car elle modifie l’image, la représentation que nous pouvons avoir de notre « monde cérébral » à partir du « monde sensible ». Parce que, au lieu d’y être soumis, qui peut être interprété comme une condition irréversible, nous serions sous condition de la connaissance de l’organisation de ces forces, de cette information. Nous serions un Être « conditionnel », conditionné à ce qu’il est capable d’en comprendre.,,,/ »

      aujourd’hui la physique quantique s’interroge si l’essence de l’existence de toute chose ne serait pas de l’information. En cela il rejoignent ce que tu développes, ou dans la fin des temps soit l’explosion de notre planète nous reviendrons à l’état d’information qui circule sans but dans l’univers et donne la vie.
      notre structure cérébrale est semblable et les émotions humaines ne varient que par leur intensité devant une situation en fonction de la culture que l’on a reçu, mais quand elle s’interroge sur son essence quel que soit la culture, elle en revient aux mêmes analyses, définit par justement leur culture. La science de la physique utilise le même langage mathématique il en ressort donc une unité de présentation, ce qui n’est pas le cas par le langage parlé qui varie suivant les cultures et utilisent des représentations différentes pour expliquer la même chose, et c’est normal nous n’avons pas des cerveaux différent seulement ce que nous y mettons dedans varie.

      cordialement.


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