mercredi 13 mai 2015 - par alinea

La sécurité c’est la liberté

JPEG Notez la délicate ambiguïté de cette phrase !! Il aurait fallu dire : la liberté est sécurité, mais cela ne me convenait pas ; ou bien : la seule sécurité est la liberté, mais cela aurait été au delà de ma pensée parce que je ne suis pas sûre que ce soit le cas, pas plus que pour la première alternative. Donc je garde ce titre et explique : la sécurité la plus fiable, c'est notre liberté.

Pourquoi plus fiable ? Parce qu'elle ne dépend que de nous. Se mettre dans les pattes de qui que ce soit est un risque plus grand qu'être autonome et, en tout cas d'échecs, on ne peut s'en prendre qu'à soi-même, c'est-à-dire une belle occasion d'évoluer. Sinon, comme on le voit de manière quasi systématique aujourd'hui, accuser l'autre de notre malheur, fige la destinée, nous dédouane et nous laisse dans l'immaturité de la dépendance.

L'indépendance nous est chantée, uniquement, dans le fait de gagner sa vie ; or, pour gagner sa vie et quoique l'on fasse, on est dépendant, des clients, de la mode, du patron ; c'est un chant féministe qui considère la dépendance aux horaires, aux patrons, au commerce ou à la politique du moment comme accessoire voire insignifiante tandis que la dépendance à sa famille , c'est le bagne, l'horreur, l'esclavage !

Je pense à peu près exactement le contraire ; ce n'est pas un oxymore, regardez-y de plus près ! À peu près, c'est presque ; on est presque arrivé ! Il y a un point contraire, j'y suis presque.

La liberté décide de ses attachements ; ceux-ci font partie intégrante de notre psychologie, amour, compagnie, coopération, entraide,etc.

On paye les conséquences de nos choix libres et on sait le faire puisque la liberté veut dire l'accord avec soi-même, en responsabilité ; la connaissance de cause, peut-être, mais personne ne détient la connaissance des conséquences. Seule la vigilance, peut-être la prudence, nous épargne. Mais parfois elle ne nous épargne pas, c'est là que la liberté peut être, a posteriori, hissée au rang d'héroïsme. Parce que quoiqu'il arrive, il nous faut assumer.

La liberté, ce n'est pas marcher le nez au vent, sans souci, sans attaches ; ça peut l'être aussi mais cette image est repoussoir pour tous les sédentaires, tous les entreprenants, tous les créateurs ; la liberté n'est pas que contemplation et vide. L'exigence de la liberté est énorme et elle apporte dans notre bas monde son lot d'entraves, d'attaques de la part de tous ses ennemis.

L'arbre est-il libre ? Il donne tout ce qu'il peut en fonction du terrain où il grandit, où il vit. Pour l'homme, ce devrait être aussi cela. Alors oui, il y a des arbres entravés dans leur croissance par la présence d'un autre plus gros, plus haut, juste à côté d'eux ; peu importe, ils croissent au mieux. Pour l'homme, ce devrait être aussi cela. Il y a des arbres qui poussent par hasard dans une faille de falaise, ils mettent des années à pousser leur racines jusqu'à trouver l'eau et la terre. Pour l'homme, ça devrait être ça aussi.

Mais pour savoir le faire, il faut se connaître, connaître son terrain, ses limites. Ou bien vivre dans une société primitive, qualificatif que le civilisé déprécie à tort.

On peut circuler sur une spirale dans des entrelacs à chaque niveau de celle-ci ; un mot se fige et pose un fait, une vérité, une idée à l'instant : on choisit ou pas ce niveau, on éternise ou pas cet instant ; tout énoncé, toute communication appartiennent à un tout mais ne sont que peu de chose en soi ; comme nous sommes peu de chose dans l'univers alors même que nous sommes tout pour nous-mêmes puisque morts, rien ne subsistera.

Il faut donc relativiser. La liberté est relative tout comme la sécurité.

La sécurité est intérieure, si on l'attend d'un autre c'est que l'on est resté enfant ; il y a de bonnes thérapies pour résoudre ce défaut encombrant mais surtout extrêmement nuisible à ceux, émancipés ou qui s'émancipent, qui tentent de mener leur vie en accord avec eux-mêmes et la vie en groupe.

Du reste la pathologie est la même pour ceux qui se croient parents et donnent à tour de bras, leçons et infligent punitions !

La thérapie devrait être obligatoire, vu le nombre de ceux à libérer de leurs chaînes, cela créerait des emplois !!

Notre vraie sécurité est notre conscience, notre vigilance et notre aptitude à la répartie, à la désobéissance ; notre vraie sécurité est notre santé, notre rythme propre préservé. La sécurité qu'on nous vend, c'est la prison. La prison chimique des médicaments, la prison réelle des rythmes imposés, de l'obéissance qui détruit l'imaginaire et la créativité, la prison du regard des autres qui propose l'uniformisation comme seule intégration possible au groupe. Mais surtout, la prison qui empêche la connaissance de soi qui libère. L'audace comme évidence, le don et l'entraide comme relations saines.

Mais c'est la maladie qui est au goût du jour.

Nous nous comportons comme un peuple manipulé comme jamais, qui s'écrase dans l'obéissance ou qui se distrait ou qui râle, mais qui subit. Car la liberté n'est jamais individuelle, elle ne saurait l'être, elle inscrit nos actions dans le grand mouvement social, depuis la famille jusqu'à la politique ; elle inscrit nos actions respectueuses dans les activités qui nous font vivre ; elle est l'arbre dont je parlais plus haut qui a ses racines en terre et ses feuilles dans le vent. Si nous agissons avec conscience et respect, et si la majeur partie des gens le font, alors la sécurité est quasi absolue ; notre vigilance et notre connaissance de soi nous protègent des accidents, des abus, notre respect de l'autre nous protège des impairs et des abus, notre amour de la terre nous protège des violences et des abus. Cette liberté là donne de la joie, ni exaltation ni jouissance, joie.

Mais au lieu de cela, on nous a vendu le « toujours plus » comme étant une partie intégrante de la nature humaine ; ceci est aussi naturel que l'est le capitalisme ! Du reste c'est son système qui nous préparait là : vous n'y pouvez rien, c'est comme ça, nous sommes comme ça, et tant pis pour toutes les sociétés de tous les temps où on ne voyait rien de tel. Alors, mon commerce marche bien ? J'en faire un deuxième, un troisième... une multinationale. Combien d'entreprises humaines aujourd'hui ? Autant que de familles, d'associations, de clans ?

Toujours plus, d'objets/de déchets, toujours plus d'argent/de démunis, toujours plus de performance/de stress/ de dopants,etc.

Pourquoi cela a-t-il marché ?

Il y a tout ce qu'on sait ; la fabrication du consentement, la publicité, la consommation, l'instruction puis l'éducation au rabais,etc. Mais il y a plus, plus profond, plus définitif : la fabrication de la honte, de la honte de soi ; la honte d'être un pagus, un pécras, un bouseux, un péquenot, un cul-terreux, un pignouf, un plouc et autres joyeusetés locales. Et puis toutes les petites mains des ateliers, c'était tellement mieux de faire secrétaire. La honte d'être franc-Comtois, Auvergnat, même pied-noir : vite perdons notre accent, parlons pointu comme à Paris, comme à la radio... ah ce n'était pas du consentement, c'était une féroce ambition.

Et là, on nous l'a vantée, la liberté, le feuillage était si venté que l'arbre s'est déraciné ; c'était tellement nul, ces racines, et tant en sont encore persuadés. Et tout ce qui va avec : la sédentarité, terminée, à nous le monde, à nous les trips, les travels ; fini l'ennui, vive la télé où l'on montre aux filles à quoi il faut ressembler, à tous dans quoi il faut vivre, jamais le deux pièces en HLM qui attend, mais la cuisine américaine et les ustensiles qui vont avec, finis les passoires, les juliennes, vivent les centrifugeuses, les mixers...

Les mots anglais fleurissent, on flippe soudain, on a le blues, on prend un lift pour Paris, on porte des jeans et des sweaters, on réserve un loft, on commande un brunch, on aménage un dressing, on ne court plus, on fait du jogging, on excursionne plus, on fait du trekking, et ça n'arrête pas. Mais on le dénonce.

C'est le progrès, si rapide mais qui vient d'où ? De soi, de nous ?

Pendant ce temps-là on s'oublie un peu beaucoup passionnément mais on se montre, on s'expose, on parade, comme un mannequin porteur d'habits à vendre. Mais ce ne sont pas seulement des draps qu'on a mis par dessus les épaules, des parures, des fêtes, c'est la chair qu'on a vidé de ses fluides, c'est l'âme qu'on a vitrifiée. Les premiers revenaient et retrouvaient avec tendresse maman et sa cuisine, son jardin et ses poules, papa aux mains calleuses et au parler franc ; les deuxièmes, les plus chanceux aimaient jouer avec les chats, ne grimpaient plus dans l'arbre mais s'y balançaient ; les troisièmes n'ont jamais connu ça. Alors les plus simples aiment encore leurs joujoux qu'on sophistique un poil par an pour les tenir à cran. On converse sur leur génialité.

Il semble que la honte réapparaît aujourd'hui, mais sous un nouveau jour ; la chimère est terrassée, mais ce n'est pas Bellérophon qui en libère, c'est l'épuisement de l'errance. Neptune tiens. La frustration exaspérait les désirs et les a transformé en douleur. Cette chimère qui peut aussi bien être un monstre dévastant un pays que le règne néfaste d'un souverain perverti.

Encore un pas peut-être et nous en sortirons.

Le mal est profond, je ne vois que des êtres au moule ou bien des névrosés, et c'est exceptionnel d'en rencontrer un, d'être libre ; on le repère au premier coup d'oeil, on ne peut pas se tromper.

Il n'y a bien que la musique qui s'est fait réapproprier, et aux succès des bals trad' on comprend qu'ils n'étaient pas une mode mais une manière de vivre sa promiscuité. Et que cette forme de fête existe encore, bouger danser ensemble, chorégraphes spontanés sur une musique simple mais pas bête, bien vivants bien présents sans besoin de s'extasier.

La liberté dont je parle n'est pas une utopie, ce but lointain qui fait chanter les poètes, mais bien ici maintenant ; mais au fond, j'y mêle de manière inextricable : la vie, cette vie que ceux qui l'ont en eux et ne la trouvent plus ici, vont chercher dans toutes les contrées, nombreuses, où elle existe encore. La vie, et l'authenticité. D'autres s'y posent par instant dans les concerts, les festivals, car la musique, sauf exceptions, est si vivante, nous touche si profond, qu'elle régénère. Mais la vie, c'est pas une friandise qu'on s'offre le dimanche ou dans laquelle on plonge à l'agonie d'un proche, c'est chaque instant.,

Je sens que je ne me fais pas comprendre.

La vie est forcément libre, la vie totale, pas la survie, pas le fonctionnement ; j'ai fonctionné assez longtemps pour savoir que je n'étais pas vivante, et je n'étais pas libre, toute souffreteuse ; il y a des millions de gens atteints, certes, plus ou moins, mais atteints dans leur psyché, dans leur énergie vitale qui bascule dans la dépression ou bien l'excitation ; pathologies. Les émotions se blessent facilement et entraînent alors une ribambelle de symptômes. On prend ses ressentis pour une vérité sans connaître les filtres qu'on a accumulés là ; on escalade la violence comme une défense ultime, désespérée, fatale. On confond pulsion et instinct, et on insiste.

Où est la liberté dans ce fatras figé ? Où est notre sécurité dans cette susceptibilité ? Et c'est interchangeable !

Alors voilà, nous ne sommes pas sécurisés, parce que nous ne sommes pas libres, alors, nous nous débattons, nous affolant sous le filet qui nous étouffe ; on s'invente des repères, des schémas, des cadres, des cases, des dogmes, des vérités, et, suffoquant, on veut qu'ils soient reconnus, par tous si possible, et si on y croit, on prend le pouvoir puis on abat ses cartes. Ou bien on se bat, des mots des armes comme si l'on défendait sa vie. Car sa névrose c'est sa vie. Oui.

Pour certains, la sécurité est un horizon ouvert, une maison à plusieurs portes jamais fermées ; pour d'autres des étages, des barreaux et des clés. La liberté de fuir s'il y a danger ou l'illusion d'être protégé dans sa prison.

 

À certains moments, la sécurité est de se retirer, quand la tristesse a gagné.



27 réactions


    • Sarah 14 mai 2015 13:40

      @Le p’tit Charles
       

      Et la France vie en régime despotique : l’Etat français renforce sa propre sécurité sans pour autant assurer celle des citoyens.

       

      SI vous continuer à vous laisser faire, vous n’aurez bientôt plus du tout de liberté et plus du tout de sécurité.

       

      Il ne peut y avoir, comme écrit Alinéa, de sécurité sans liberté.

       

      Mais pour restaurer la/les liberté(s), il faudrait d’abord que la France devienne une démocratie.

       

      Une fois la démocratie instaurée, les citoyens pourraient voter pour ce qui leur convient ou pas.

       

      Ils auraient la liberté d’organiser leur propre sécurité comme ils l’entendraient.


  • Fergus Fergus 13 mai 2015 09:20

    Bonjour, Alinea.

    La conception de la Liberté des uns n’étant pas la conception de la Liberté des autres, il est malheureusement impossible à d’échapper à des lois définissant les contours de cette Liberté.

    Je parle là en général, et sans rapport avec la loi potentiellement liberticide qui vient d’être votée par les députés. Il importe donc que chacun d’entre nous soit vigilant et à même, lorsqu’il (ou elle) perçoit un danger, de fédérer les énergies dans un collectif pour s’opposer à des dérives aux fondamentaux de la Liberté couramment admis par la majorité des citoyens. A cet égard, l’apathie générale face au vote de la loi sur le Renseignement ne manque pas d’interpeller sur la capacité de réaction des sociétés modernes très largement anesthésiées.

    Tu parles de « moule », autrement dit de conditionnement des individus, et il est vrai que cette tendance au formatage est lourde. Mais cela n’est pas dépendant des textes de loi, chacun étant libre d’adhérer ou pas à des manières de penser stéréotypées, à des modes, à des comportements grégaires. « un peuple manipulé comme jamais, qui s’écrase dans l’obéissance ou qui se distrait ou qui râle, mais qui subit », écris-tu, et c’est exactement cela. Un constat ô combien déprimant !

    Pour autant, dans cette société sclérosée si décevante, chacun peut, s’il le souhaite, s’extraire des carcans moins législatifs ou procéduraux que routiniers, pour ne pas dire moutonniers. Cela peut passer par le retour à la contemplation de la nature (nous en avons déjà parlé) ou par l’immersion dans les arts, et notamment dans la musique, si bénéfique pour soigner les états dépressifs ou les moments de blues. Ou bien encore dans le don de soi dans des actions à caractère humanitaire, pas forcément à des milliers de kilomètres : la détresse est souvent à nos portes.


  • howahkan Hotah 13 mai 2015 11:05

    Salut alinea,

    pour ma part liberté ,sécurité sont des mots que j’ai abandonné partiellement, je ne vois rien derriere que du vent, que du concept intellectuel illusoire....je n’y vois que du vide...

    je découvre pour moi meme que la quête du bonheur en fait est la résonance de l’inconscient qui pour moi n’est plus un mythe mais une réalité qui se découvre..la quête du bonheur est la résonance d’une vie de « merde »...... la vie de « merde » est le fait réel, la quête du bonheur est le rêve totalement illusoire...

    notre cerveau analytique ou « moi je » , une partie seulement du cerveau dont le fonctionnement se découvre comme il le veut de temps en temps pour moi meme depuis que j’ai appris a vivre la souffrance comme elle se doit...notre cerveau analytique a conclusion binaire n’est pas l’outil qui va nous permettre de vivre, il est l’outil vital pour survivre,sans lui on n’existe pas...

    lorsqu’il rencontre comme problème : je souffre, j’ai peur, j’ai une vie de merde, ça fait très mal etc etc....il n’a aucune idée de ce que cela est, car l’analyse ne sait QUE regarder le passé et le futur imaginaire, pas ce qu’elle ne connaît pas, or la elle essaye d’aborder des sujets sur lesquelles elle n’a aucune information, elle ne peut rien en faire....n’en connaît pas la racine et est incapable de solutionner ce problème comme tant d’autres, et comme ce programme analytique résonne binairement, le fait du malheur va devenir ..la quête du bonheur , de meme le fait de se sentir prisonnier devient la quête de liberté ,mot vide sauf laissez moi tout faire ce que je veux, y compris éradiquer les humains, et de meme le sentiment bien réel d’insécurité devient la quête de sécurité.....le mot a ceci de génial c’est qu’il est une coquille vide dans ce cas...mais pour un esprit superficiel, le vide du mot passe alors dans le champs du connu, meme si c’est faux ,mensonge ou illusion, et alors là le cerveau analytique va alors pouvoir continuer a fonctionner sur du connu, vrai ou faux il s’en tape le cerveau analytique, il n’est qu’une machine qui veut fonctionner...sur du connu...meme faux....

    ceci a pour effet d’empêcher l’intégralité du cerveau de commencer a s’ouvrir à un age ou il est presque intégralement équipée de toutes ses fonctions, nous allons garder le cerveau de l’enfance qui n’est pas capable de vivre ce que il voit a présent car dans le futur il voit sa fin et en meme temps il commence aussi a vouloir que ce qu’il aime dure à jamais, à jamais, à jamais...

    ceci est une contradiction absolue entre ce que je veux et le réel, je veux la continuité absolue mais c’est impossible car demain je ne serais peut etre plus , et apres demain je ne serais plus...etc etc ce qui est aussi dans la nature des choses que cela se produise.., la capacité manquante que je connais par expérience comme d’autres la connaisse , elle sait vivre ce moment ,ce tournant que nous ratons tout le temps depuis des millénaires, elle sait vivre le non connu, l’inconnu, la pseudo peur, etc etc etc là ou se trouve la vie...nous sommes coincé dans la survie....et survie sans vie implique la vision du futur qui est totalement inconnue....ai lieu de vivre cela , je vais essayer de transformer l’inconnu en connu= FAUTE MAJEURE une fois de plus....ou je vais essayer d’y installer de la l’illusion de continuité,de l’illusion de sécurité, de l’illusion de la liberté , qui sont justes des rêves intellectuels sans fondement....alors forcement ma quête n’aura jamais d’aboutissement, alors j’en deviens frustré, je souffre, je suis perpétuellement mécontent, et en meme temps en quête d’absolu inexistant..j’en deviens dément,fou ,mauvais, et surtout en souffrance...
    tout est faux ,illusoire, ignorance....mais là rien n’est encore perdu...ceci est connu de Mère Nature ou de L’Origine ..et là quand tout semble perdu ,quand la souffrance du non sens de vivre est a son apogée......si j’abandonne ce combat qui est finalement irréel de moi x irréel contre moi Y réel donc le combat entre la vérité de ce que moi est et de l’illusion du moi que je veux etre....là le miracle de la vie va se produire comme il le veut....

    il concerne l’ouverture de par elle me d’ une autre fonction du cerveau qui elle n’est pas analytique, ne divise pas , ne donne pas de valeurs, ne hiérarchise pas, etc et et est une connexion avec l’univers donc les autres, la nature profonde des choses....

    je n’aura jamais accès a cela, et heureusement sinon l’univers entier serait détruit depuis longtemps.. il doit d’abord etre vaincu par son propre malheur auto crée...chemin ou l’on rencontre quelques « égarés » seulement...car l’analyse de la pensée entre une promesse future de succès, de bonheur, de profit, de plaisirs etc etc et emprunter un chemin ou je vais rencontrer ma propre souffrance de vivre, « je » fais en fait constamment faire LE MAUVAIS CHOIX...

    le pouvoir réel donc pas les politiciens et autres pantins ne sont pas aussi stupide que cela et savent que de nous orienter vers la quête du bonheur, qui sur ce chemin ou moi je veux sera toujours inexistant, va en fait faire que nous allons utiliser toute notre énergie à courir après une illusion....

    alors nous n’avons plus d’énergie disponible pour deja comprendre ce qui se passe, mais aussi bien sur pour se transformer donc transformer cet enfer des humains..non pas en ce que je veux moi, mais en ce que mère nature avait prévu pour nous, qui sommes une partie d’elle meme....enfin non plus depuis quelques millénaires ou nous refusons d’être partie de l’univers...ça va meme de mal en pis avec l’arrivé de la nouvelle religion de la science depuis 3 à 4 siècles..

    Tout cela pour dire que je sais pour moi meme,mais cela me fut susurré par Mère Nature, « moi je » n’y est pour rien..Mère Nature nous couve en fait de son « attention » , je sais donc pour moi meme que de liberté il n’y a que par rapport à notre programme analytique appelé pensée...ou certes de choisir aussi la couleur de la cuisine, et genre avec ou sans sel les pâtes ?? mais rien de profond..et que de sécurité relative physique il n’y aura pour nous que le jours on nous aurons dépassé ce coté « moi je », pour coopérer sans se oser la question, partager de meme,aider, échanger ,inventer ,etc etc ce qui est la nature meme de la partie du cerveau qui ne marche plus du tout....ou peu..tous ces petits moments étranges que vous ressentez et qui parfois voir souvent vous laissent dans un etat étrange assez longtemps voir meme des jours ou des mois après, plein d’une sorte de « bonté » , de paix étrange, émanent de cette partie du cerveau en général endormie mais prête a se remettre a fonctionner si et seulement si « on » fait ce qui doit l’être !!! ..elle est not reconnexion manquante avec Le grand TOUT...mais aussi avec ce que nous sommes réellement...

    Notre quête de sécurité absolue mal placé est ce qui crée cette insécurité....car il n’y aura jamais de sécurité absolue mais juste une sécurité relative d’être « ensemble » ..ce qui est en quelque sorte passible de peine de mort....attention nous y sommes tous pour quelque chose, toi ,moi ,lui ,eux, nous ..y sommes pour quelque chose , ce monstre c’est notre créature à tous...nous changeons la société change...

    Pour le moment en fait encore un tout petit peu plus faux que nous, tu meurs !!!....on semble vouloir y aller...

    l’étape de la descente aux enfer est nécessaire....là encore rien n’est perdu et loin de là....

    nul n’est obligé d’aller sur ce chemin de la non vie...tout est là pour ne pas y aller...

    vivre est le miracle, il n’y en aura pas d’autres comme il n’y a aucune évolution psychologique, nous sommes un produit fini, qui n’utilise pas tout ce qu’il est...

    évolution voulant juste dire changement, je passe d’un état à l’autre...

     la graine qui contient le chêne n’évolue pas,elle change de forme...la petite graine contient le grand chêne


    • leypanou 13 mai 2015 12:29

      @howahkan Hotah
      agoravox vous a manqué alors ?


    • howahkan Hotah 13 mai 2015 13:05

      @leypanou

      Salut, ni manqué , ni pas manqué....j’étais sur ces sujets, surtout en fait sur le sujet de pseudo sécurité, qui a notre niveau tel que je vois çà est insécurité,car ma pseudo sécurité illusoire matérielle et pseudo psychologique également, je vais aller la chercher en la volant aux autres... car c’est le seul moyen quand un groupe comme nous est totalement divisé...et en voyant l’article d’alinéa, je me suis dis : tiens donc !!! et j’ai essayé de mettre en mot mon propre moment...

      salutations.... smiley


    • gaijin gaijin 13 mai 2015 16:09

      @howahkan Hotah
      salut !
      pour devenir l’arbre la graine doit mourir a son état de graine , sinon elle finit par mourir sans devenir un arbre .......

      namasté


    • howahkan Hotah 13 mai 2015 17:03

      @gaijin

      Je ne sais pas si la graine meurt , je sais qu’elle se transforme ,évidemment elle y perd son etat de graine visuellement tel que le catégorise le cerveau analytique humain,

      mais nous sommes tous si limités si nous n’utilisons que la pensée  !! ..la comparaison ou l’image a des limites bien sur...ce que je ressens ici est que il y a unité totale et que la catégorisation humaine n’a de valeur que pour lui et encore uniquement dans certains champs d’application théorique débouchant ou pas sur une technique, une application, un pseudo savoir etc etc , elle n’est pas valable universellement car finalement il n’y a ni graine ni arbre en fait....ce ne sont que des symboles des concepts.....la réalité donc la vie est totalement au delà du mot...mais le mot est bien pratique pour communiquer bien sur !! j’ai vécu une experience de télépathie de cerveau a cerveau ou le mot était présent...mais pas nos mots, il s’gissit d’une sorte de langage inconnu de moi que je comprenais..c’est arrivé à d’autre que je connais..un language universel alors ?? ..ces autres mots venaient de l’autre partie du cerveau endormi....

      cela dit pour montrer la limite du mot : si j’essaye de manger une recette de cuisine ça va faire juste smiley

      cela dit je voulais aussi mettre en avant c’est que la graine contient l’arbre.........que le début contient donc la finalité..est ce un principe Universel ? je ne cherche pas à répondre....je laisse la question ouverte,active...

      la partie du cerveau qui est endormie est bien sur au delà des mots, au delà de la catégorisation, au delà de la valeur donné, au delà de tout cela...

      mais tu navigues aussi dans ces contrées là ...

      Alors on ne devient jamais des arbres ou des fleurs ? il semblerait que oui ...

      namasté  smiley


    • gaijin gaijin 13 mai 2015 17:29

      @howahkan Hotah
      « que le début contient donc la finalité..est ce un principe Universel ? »
      je crois que oui
      « parce que les choses ne peuvent pas s’ épuiser vient ensuite »avant le commencement « cela signifie que dans le chaos des origines l’ordre a venir est déjà contenu »
      Yi Jing 64 ème hexagramme .....

      bien sur il y a l’au delà des mots mais ce qui est au delà des montagnes doit finir pour arriver par passer les montagnes c’est ce qu’a dit un jour stilgar a muad dib .........
      les mots n’ont pas de sens mais s’ils sont utilisés par quelqu’un qui le sait alors parfois ils ont beaucoup de sens smiley
      ce qui vit vraiment ne peut pas mourir c’est un truc que j’ai entendu un jours comme ça ......

      gate gate ....ETC ...

      je suis content de te revoir smiley


    • howahkan Hotah 13 mai 2015 17:45

      @gaijin

      Merci d’exprimer ce ..contentement..enfin c’est autre chose que merci bien sur..mais là de suite je fais dans le facile et pratique !!

      tiens muad dib est de retours.....je vais me le refaire tiens...bonne idée...il y avait longtemps

      quand au Yi Jing, il y avait longtemps aussi....aurais donc avancé en age ?? ce « récit » est très ...époustouflant en tous les cas, il semble toucher le cerveau à plusieurs niveaux.. comme quoi le mot peu aussi en dire des tonnes...je me senstais en affinité avec ces écrits en tous les cas

      bon à plus, je dois aller chercher les 2 derniers adolescents qui me restent à la maison ...


  • Francis, agnotologue JL 13 mai 2015 12:42

    Ce n’est pas parce que les uns ont la sécurité et la liberté, que les autres n’ont ni l’une ni l’autre, qu’il faut en conclure que l’une est l’autre.

    Permettez moi de copier-coller sous ce titre provocateur, ce que j’ai écrit dans ma page de présentation :

    Ce n’est pas l’aspiration à l’égalité qui s’oppose à la liberté, c’est le besoin de sécurité. Les riches qui ne voient leurs semblables qu’en terme d’utilité, ont bien compris que seul l’argent leur procure à la fois la sécurité et la liberté indécente dont ils sont avides, c’est pourquoi ils n’auront jamais assez d’argent.
     


  • aimable 13 mai 2015 13:28

    la liberté ?
    nous dépendons tous les uns des autres !
     -pour se nourrir
     -pour se vêtir
    -pour se déplacer ( moyens de locomotion )
    -pour lire un livre ( l’écriture et la fabrication )

    que reste- il comme liberté ?
     celle que les autres nous accordent , et que nous accordons aux autres !


  • soi même 13 mai 2015 15:46

    ( la sécurité la plus fiable, c’est notre liberté. ) Vous abord le problème le plus complexe du XIX siècles , et je ne veux pas répondre instinctivement !


  • gaijin gaijin 13 mai 2015 16:07

    salut alinéa
    « La vie est forcément libre, la vie totale, pas la survie, pas le fonctionnement...... »
    pas mieux mais c’est pas facile smiley


  • Jason Jason 13 mai 2015 17:30

    Bonjour Alinea,

    Quand j’ai vu le titre de votre article, je me suis dit, avec ces deux mots sécurité et liberté, voilà un cheval qui va être difficile à mettre au pas. Il m’a fallu beaucoup hésiter avant d’enfourcher ma Rosinante à la recherche d’un moulin à vent que je pourrais pourfendre.

    Et pourtant... Mon voisin a vu son poulailler dévasté par le renard l’hiver dernier. Excusez mon exemple un peu trop campagnard. Il avait bien mis ses volatiles à l’abri, mais, comme on dit aujourd’hui, il y avait une faille dans le système. Si on veut mettre une basse-cour à l’abri, il faut exercer des contraintes. La liberté est alors contrôlée par le protecteur. Evidemment, les volailles n’avaient pas demandé à être protégées. Mais, dans nos sociétés de bipèdes un tantinet carnivores et souvent violentes nous voulons être protégés, et ce d’autant plus qu’il nous est interdit de nous défendre « manu militari ». il faut donc passer par les voies officielles. Et c’est là que les critiques fusent
    .
    La liberté surveillée est le seul recours. La liberté, terme très vaste et abondamment discuté, est donc fortement contrainte, ou limitée par la sécurité. Les deux termes sont donc bridés l’un par l’autre dans un équilibre très difficile à atteindre. Il faut tenir compte des populations, du type de menaces et des circonstances, et n’adopter que des mesures temporaires. Chose délicate, car, quand arrête-t-on les mesures exceptionnelles ?

    Je ne vois pas d’autre solution. La sécurité (matérielle, physique, affective...) fait souvent obstacle à la liberté. Doit-on pour autant être malheureux de cet état de chose ? Pas si on a « une arrière boutique toute sienne », comme dit Montaigne.


    • gaijin gaijin 14 mai 2015 08:47

      @Jason
      «  liberté surveillée »
      ouais super ! donnez nous encore de la novlangue ........c’est comme la flexi sécurité .......
      mais la liberté surveillée c’est pour les prisonniers qui ont été condamnés a cette peine ......

      si les poules sont dans le poulailler c’est dans l’intérêt de celui qui les possède, pas dans le leur alors bien sur elle vont peut être vivre plus longtemps et plus confortablement mais elles ne sauront jamais ce que c’est que la vraie vie d’une poule
      vous pouvez vouloir de cette vie là mais ......
      est ce vous qui le voulez ou vous a t’ on dressé a penser ça , conditionné a préférer le quantitatif au qualitatif ........ ?
      j’aimerais que ça soit le cas


    • Jason Jason 14 mai 2015 09:53

      @gaijin
      Bonjour Gaijin,

      C’est bien intentionnellement que je parle de liberté surveillée. Car, c’est le cas. Et si nous ne voulons pas subir le sort des poulets, il faut un protecteur. Souhaitons qu’il soit le plus bonhomme et le plus aimable possible.

      Rester à vivre en société, c’est se condamner soi-même ; et faire la part des choses.

      Quant à la novlangue, mais elle est partout, souvent habillée de mots anciens ou inoffensifs.

      A propos de poules, je vois autour de moi beaucoup de poules mouillées, c’est la rançon du suffrage universel.


  • olivier cabanel olivier cabanel 13 mai 2015 19:03

    bonjour Alinea

    merci pour cet article qui fait vivre un vrai débat.
    pour ma part, je fais mienne la pensée d’un certain Benjamin Franklin : « un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une, ni l’autre, et finit par perdre les deux »
    c’est dans le droit fil de la jolie phrase de Churchill qui avait déclaré au gouvernement français lors de la dernière guerre mondiale : « vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. vous avez le déshonneur, et vous aurez la guerre ».

    • soi même 13 mai 2015 19:19

      @olivier cabanel, et bien comme atlantiste il y a pas mieux comme profession de foi !


    • Jason Jason 13 mai 2015 19:49

      @olivier cabanel

      Bonjour Olivier Cabanel,

      Benjamin Franklin n’avait pas prévu que la liberté de l’homme blanc aux USA conduirait à la conquête de l’ouest et à tous ses massacres. Liberté, deux poids, deux mesures.


    • olivier cabanel olivier cabanel 13 mai 2015 21:42

      @Jason
      il ne s’agit pas de jauger la pensée de Franklin à l’aune de l’histoire du peuple indien...ou autre.

      c’est un concept général, que l’on peut refuser, ou pas... mais qui pour ma part est limpide.
      faire l’impasse sur la liberté en mettant en avant la sécurité, c’est d’abord se priver de liberté.
      mais ce n’est que mon modeste avis.
       smiley

  • soi même 13 mai 2015 21:04

    Bonsoir, Alinea, texte laborieux et c’est normal c’est un dès sujet les plus importants de notre époque et en même temps celui qui entretient le plus grand mal entendue.

    Et pour causse, la notion de liberté n’est pas compris de la même manière, dans la sphère Anglo—saxonne la liberté est appréhendé au niveau des instincts et de la volonté instinctive de faire ce que l’on veut, et en autre pour cela que la sphère économique est dominé principalement par cette sphère l« Anglo— Américanisme. L’autre sphère est la sphère de l’Europe central qui lie l’idée de la Liberté à la Conscience, qui situe ce combat plus dans le champs des instincts, mais le situe sur le champs de la pensé à l’acquérir, Il y a pas plus belle définition de la Liberté que celle si :
     
     » « Lorsque Kant dit du devoir : « Devoir ! Nom sublime, nom grandiose, qui ne contient en toi rien d’aimable et recélant la flatterie, mais qui exige la soumission », toi qui « établis une loi (…), devant laquelle se taisent toutes les inclinations, même si en secret elles agissent en son encontre », l’homme qui parle à partir de la conscience de l’esprit libre lui répond : « Liberté ! nom accueillant, nom humain, toi qui contiens en toi tout ce qui est cher à la moralité, que mon humanité estime au plus haut point et qui ne fais de moi l’esclave de personne, toi qui ne te contentes pas de poser une loi, mais qui attends ce que mon amour moral reconnaîtra lui-même comme loi, parce qu’en face de toute loi qui ne lui est qu’imposée il se sent non-libre. » "

    Die Philosophie der Freiheit) Rudolf Steiner 1893-1894

    vous me dires et nous où nous trouvons et bien justement entre ses deux sphères d’influences et il est de notre Libre arbitre de comprendre ce que veut dire être Libre.

    Et du coup votre titre ne peut que raisonner autrement si l’on à compris ce que veut dire être Libre, c’est une sécurité spirituel , cette liberté et sans doute sur un autre plan , un inconfort certain que l’on a Librement assumé puisque l’on là choisie librement en toute conscience !


  • JMBerniolles 13 mai 2015 23:46

    Je vois votre texte comme une balade nostalgique sur la disparition de la liberté individuelle.... Quelque chose qui vous tient à coeur.

    Celle-ci se dissous avec l’aliénation, puis s’effondre avec la Loi sécuritaire qui organise l’espionnage individualisé, dernière étape avant le camp de redressement.

    24h avant 1984 comme dit la belle formule qui vise à alerter contre une Loi liberticide largement approuvée de tout bord à l’Assemblée nationale.

    Il y a un aspect que vous négligez un peu. Dans l’arsenal qui vise à limiter le libre arbitre individuel, il y a la liquidation de l’éducation. Nous y sommes également.

    Mais je voulais aussi revenir sur votre parent Benjamin Dessus.
    Son nom me disait quelque chose et j’ai cru qu’il s’agissait d’un artiste de variété.....
    Toutes mes excuses. Je pense que j’ai vu son nom associé à celui de Bernard Laponche que je connais parce qu’après avoir « animé » le mouvement à Saclay en 68, il a été responsable d’un grand service d’études théoriques liées aux réacteurs nucléaires, toujours à Saclay.
    Cela ne s’est pas très bien passé pour ce service et je pense que Laponche en a voulu au CEA de ne pas avoir su reconnaitre son grand talent dans un carrière au plus haut niveau.

    Laponche est donc devenu une espèce de caution scientifique de l’anti nucléaire. En tant que conseiller de la ministre D Voynet, il a participé à l’assassinat de Super Phénix à la suspension du projet EPR et à d’autres actions contre le nucléaire.
    Comme votre parent je pense.
    Le nucléaire n’est pas sans problèmes et j’ai connu des scientifiques qui soulevaient des objections intelligentes. Je suis désolé de dire que ce n’est pas le cas de Laponche, ni d’autres scientifiques authentiques comme Basdevant et Jean-Marie Brom... je connais insuffisamment les écrits de votre parent pour avoir ce type de jugement sur lui.

    Ainsi dans un article publié par Le Monde, un journal dont la médiocrité partisane le conduit à la perte de lecteurs, Laponche, dans son titre même, qualifiait nos réacteurs REP de cocotte minutes. Cela a fait les délices des anti nucléaires, mais une cocotte minute ne produit pas d’électricité. Et il y a des réacteurs nucléaires à gaz. Et beaucoup d’installations fonctionnent sur le cycle de Carnot...

    Peut-être est ce avec votre parent je crois,- Laponche a aussi manipulé des probabilités pour tenter de démontrer qu’un accident nucléaire grave sur un de nos réacteurs nucléaire était très probable prochainement. Je ne vais pas faire une démonstration exhaustive de sa manipulation, mais juste donner un élément de falsification. Quand on raisonne sur une population d’éléments sur lesquels on applique une statistique, il faut que ces éléments soient semblables ; or Tchernobyl, Fukushima Daiichi, TMI ... correspondent à de type de réacteurs très différents pour lesquels l’accident grave n’a pas le même scénario, ni le même impact environnemental.

    Mais votre article est au coeur de notre actualité Loi sur le renseignement, réforme des collèges, propagande des médias










  • Jean Keim Jean Keim 14 mai 2015 08:45

    La liberté restera-t-elle toujours une abstraction ?

    L’idée de la liberté est-elle indissociablement liée au temps et à l’espace ?

    • gaijin gaijin 14 mai 2015 08:54

      @Jean Keim
      pour savoir ce qu’est la liberté il faut commencer par savoir ce qu’elle n’est pas


  • gaijin gaijin 14 mai 2015 08:58

    certainement sans rapport avec le sujet :
    http://www.agoravox.tv/actualites/societe/article/une-entreprise-implante-des-puces-49887

    première étape : on vous les vendra
    deuxième étape : on vous les imposera dans votre intérêt
    troisième étape : elle permettront de vous surveiller
    quatrième étape : vous ne pourrez même plus imaginer une vie sans elles

    bêêêêêee oui .......


  • L'enfoiré L’enfoiré 14 mai 2015 17:08

    Alinéa,

     Le sujet de la sécurité, c’est marrant que cela apparaisse sous un autre angle par un autre rédacteur.
     Alors, j’ajouterais qu’il faut faire attention qu’elle ne mène pas à un avenir de barbelés

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