jeudi 19 juillet 2018 - par heber

Migrations illégales : l’existence de l’Europe et de notre civilisation en question

 

 

MIGRATIONS ILLEGALES : L’EXISTENCE DE L’EUROPE ET DE NOTRE CIVILISATION EN QUESTION.

 

La presse européenne reflète depuis 2015 le manque de réflexion affligeant et l’aveuglement coupable dont, pèle-mêle, dirigeants ,‘’élites intellectuelles ‘’ et hautes consciences morales, civiles ou religieuses, font preuve dans le traitement des questions complexes et dramatiques que posent les mouvements migratoires mondiaux. En proposant des solutions à court terme, totalement dénuées du plus élémentaire bon sens, tous ces dirigeants irresponsables, loin de résoudre les problèmes, aggravent les difficultés des malheureuses populations déplacées comme celles de nos concitoyens, atterrés par tant d’inconscience.

Le dernier sommet des chefs d’état européens illustre parfaitement cette inconséquence et cette triste incapacité à décider une stratégie cohérente ou à mettre en place des mesures rationnelles, chacun faisant cavalier seul, l’œil rivé sur les sondages d’opinion nationaux.

Une fois de plus, la star du sommet, Angela Merkel, a démontré sa totale irresponsabilité et son cynisme abyssal en se targuant publiquement d’avoir réussi à conclure :

-des accords bilatéraux avec 14 autres pays européens pour qu’ils reprennent les immigrés refoulés par l’Allemagne,

 Et

- un compromis entre la CDU et la CSU pour ouvrir des’’ camps de transit ‘’ ( quelle triste résonnance avec d’autres camps allemands du siècle dernier !) aux frontières allemandes pour enfermer ces mêmes migrants en attente d’ expulsion.

On se frotte les yeux en se demandant si c’est bien la même Angela Merkel qui, en 2015, accueillait à bras ouverts des centaines de milliers de réfugiés et d’immigrés en Allemagne, et déclarait à ses compatriotes ‘’ wir shaffen was ‘’ ‘’nous allons y arriver ‘’, en donnant ainsi des leçons de moralité et de générosité au reste de l’Europe et du monde entier. 

 

Oubliés et jetés aux oubliettes, tous ces pauvres migrants et malheureux réfugiés, car la Dame n’a plus, désormais, qu’un seul souci et une seule priorité, conserver, quel qu’en soit le prix , son poste de chancelière et le pouvoir qui s’y attache encore.

Spectacle désolant de la lente déchéance d’un personnage, somme toute dérisoire et pathétique, d’une outre gonflée de vent, dont la suffisance n’a d’égale que son insuffisance.

A sa décharge, reconnaissons que ses collègues chefs de gouvernement, qui n’ont d’autre but que de mettre en place la solution la plus avantageuse pour eux sans aucune considération pour les problèmes des autres et ce en dépit de leurs déclamations et déclarations politiques emplies d’appels à la générosité et à la solidarité - ne sont guère plus brillants.

Faisons foin de ces tristes turpitudes et analysons le problème tel qu’il se pose.

I -Dimension temporelle et ampleur potentielle des mouvements migratoires :

Il y a actuellement environ 70 millions de personnes déplacées dans le monde dont 40 millions ont quitté leur pays d’origine. 25 millions sont sous protection de l’ONU.

3 millions sont demandeurs d’asile.

Les conflits ethniques, religieux et politiques se multiplient dans le monde et les organes multilatéraux ( ONU -OSCE ….) sont incapables de les résoudre.

  La population de l’Afrique va passer de 1,3 à environ 3 milliards d’ici 2050.

 La pauvreté e n Afrique comme en Asie, loin de régresser de façon réellement significative, continuera d’affecter des milliards d’individus d’ici là.

 Les phénomènes climatiques - et au niveau de leurs effets, peu importe qu’ils soient causés par l’homme ou qu’ils soient d’origine naturelle - s’accentuent .Les catastrophes naturelles de plus en plus fréquentes, l’allongement des périodes et l’élargissement des zones de sécheresse, le manque d’eau potable, la déforestation continue, la pénurie alimentaire, la raréfaction des sources d’énergie, la pollution et l’urbanisation croissantes contribuent à multiplier et à exacerber les conflits, la pauvreté et la compétition désespérée entre les différentes communautés et les peuples pour accéder aux ressources naturelles nécessaires à leur survie.

Face à ces défis gigantesques, chaque pays tend à se refermer comme une huître et à se protéger en rejetant la responsabilité d’assumer le poids des mouvements de population sur les autres. L’Australie, les Etats-Unis, les pays du Golfe et bien d’autres encore en sont l’exemple.

 

 

La pression migratoire sur l’Europe n’est qu’à son début et revêtira, d’ici quelques années, une ampleur inédite et insurmontable, si les bonnes décisions ne sont pas prises en temps utile et si l’Europe continue à se montrer plus généreuse et plus accueillante que le reste du monde.

L’accalmie relative de ces mouvements en 2017 et 2018 par rapport à 2015 et aux années antérieures ne constitue qu’un bref répit avant qu’ils ne reprennent une dimension incontrôlable.

2-Le Constat : du rêve merveilleux à la simple réalité :

Ayons le courage de le dire et de le reconnaître, nos pays européens sont incapables de supporter le poids croissant et les difficultés majeures que représenterait, dans un avenir proche, l’accueil sur nos territoires des millions potentiels de nouveaux demandeurs d’asile et de migrants économiques se pressant à nos frontières.

Il serait suicidaire de ne rien faire, de se voiler la face, et de subir passivement le fardeau -financier, social, sécuritaire, culturel et civilisationnel- exorbitant, engendré par ces mouvements migratoires massifs en fonction des seuls souhaits et aspirations des candidats au voyage vers l’Europe ou des fantasmes mondialistes d’une noria de rêveurs irréalistes qui croient en la proche émergence d’un monde global, multiculturel et sans frontières, où tous vivraient en paix, dans la tolérance, le partage et le respect mutuel des valeurs et des coutumes des autres.

Il ne s’agit pas de stigmatiser tous ces malheureux qui se précipitent vers nos frontières, persuadés de trouver chez nous, le bonheur, l’avenir, les moyens d’existence les plus simples et les ressources les plus élémentaires qui font défaut chez eux. Ils ne sont responsables ni de l’endroit où ils sont nés ni de la misère qui y règne.

Pauvres victimes d’un mirage entretenu par les bandits, les mafias, les passeurs, les marchands d’esclave, les exploiteurs de main d’œuvre à bon marché et, aussi, malheureusement, par des idéalistes militants - naïfs et irresponsables - qui leur font miroiter des perspectives irréalistes et leur narrent des contes à dormir debout nés de leurs propres rêves.

A leur place, nous ferions probablement de même, nous essayerions de tout quitter pour atteindre, quels que soient les risques encourus, l’eldorado idéalisé qu’ils croient trouver en Europe.

Malheureusement, le principe de réalité est incontournable. Le nombre potentiel de ces malheureux est immense et beaucoup trop grand pour que nous puissions tous les accueillir.

Notre monde n’est pas un monde de ‘’bisounours ‘’ mais un monde cruel, tragique et sans pitié, où tout signe de faiblesse et de renoncement émanant d’une nation ou d’un ensemble de nations est immédiatement interprété et exploité par les autres.

Sans se résigner à cet état de fait et tout en luttant pour qu’émerge un monde meilleur et plus solidaire, l’Europe doit se garder d’ être la seule à prêter le flanc et à baisser la garde sous peine de disparaître, submergée par des vagues successives d’immigration.

 

 

Continuer à accepter l’installation définitive dans nos pays de millions de migrants contre la volonté claire de nos propres populations, serait, à la fois, irresponsable et criminel, puisque, au lieu de résoudre le problème démesuré que représentent ces millions d’émigrés, nous ne ferions que ruiner les droits, le niveau de vie et le bonheur de nos propres concitoyens, aggraverions nos problèmes de chômage et de sécurité, déliterions nos systèmes de valeurs et nos démocraties, endommagerions gravement nos modèles culturels et vouerions notre cohésion européenne déjà chancelante et notre solidarité nationale, déjà fort mise à mal par la crise, à une disparition accélérée face à la montée de communautarismes rétrogrades et au règne concomitant d’un individualisme ultra-libéral, forcené et sans limites.

Soyons lucide, Il n’y a aucune solution qui puisse rencontrer à la fois, les aspirations des candidats migrants, résoudre leurs difficultés, et préserver nos sociétés européennes. Nos pays européens, aussi riches soient-ils, ne disposent pas des moyens indispensables à l’exercice d’une générosité illimitée et inépuisable.

L’Europe ne doit ni ne peut sacrifier sa prospérité, son modèle social, ses valeurs, ses principes démocratiques, ses valeurs et son âme, pour accueillir et résoudre toute la misère du monde, pour paraphraser la célèbre phrase de Michel Rocard.

Nous devons tirer les conséquences de ce constat et bâtir une stratégie européenne et cohérente sur une base réaliste, qui garantisse un traitement transparent, rapide et systématique des demandes d’asile ou d’immigration économique.

 

3. Règles applicables au droit d’asile.

L’asile doit être strictement réservé aux seuls cas des réfugiés, victimes de persécutions politiques, de conflits et de discriminations de toute nature, contraires aux droits humains.

Tous les ans, le Conseil Européen doit adopter la liste des pays dont les ressortissants sont éligibles à la présentation d’une demande d’asile.

L’asile sur le sol européen n’est accordé qu’exceptionnellement, la solution privilégiée consistant à organiser l’ accueil et le maintien des réfugiés dans les pays voisins ou les plus proches de leur propre pays d’origine où ils peuvent séjourner en toute sécurité, de façon à éviter leur déracinement et à pouvoir dès que les persécutions cessent dans leur propre pays ,les aider à y retourner et à s’y réinstaller.

 

Aucune demande d’asile ne peut être examinée ou retenue suite à l’entrée d’un candidat, légale ou illégale, sur le territoire d’un pays européen. Toute demande doit être présentée dans un des consulats des pays européens, situé soit dans le pays d’origine du candidat soit, si cela s’avère impossible, dans un consulat européen d’un pays voisin.

 

Toute demande d’asile doit être examinée, acceptée ou rejetée, dans un délai maximum de 4 semaines à compter de la date de réception d’une demande complète.

Il n’y a aucun recours possible, suite au rejet d’une demande, que ce soit sur le plan administratif ou judiciaire.

Une seule demande d’asile peut être présentée auprès d’un seul pays européen. La présentation de demandes successives ou simultanées auprès de plusieurs pays européens entraîne le rejet systématique et sans examen de l’ensemble de ces demandes.

Aucune demande d’asile émanant d’un ressortissant d’un pays ne figurant pas sur la liste d’éligibilité arrêtée par le Conseil Européen ne peut être examinée pour quelque motif que ce soit.

Les pays européens financent matériellement et assurent les besoins ( logement, nourriture, santé, éducation, sécurité ) des personnes reconnues éligibles et de leurs familles ( conjoints, ascendants, enfants du couple et personnes à charge ) dans le pays (voisin du leur )où ils se sont réfugiés, en liaison avec les autorités du pays concerné, les organismes multilatéraux, les ONG et avec les autres donateurs de la Communauté internationale. A cet effet, des centres d’accueil spécialisés sont, si nécessaires, ouverts avec l’accord des pays hôtes.

Au cas exceptionnel où une demande d’asile sur le sol national est acceptée par un pays européen, l’autorisation de séjour est limitée à une durée de 1 à 3 ans, renouvelable. Elle est accordée à titre purement personnel et doit être documentée et motivée. Elle ne vaut que pour le territoire du pays européen l’ayant accordée qui doit obligatoirement accueillir le demandeur et subvenir à l’ensemble de ses besoins et à ceux de sa famille proche sur son propre sol. Le droit d’exercer une activité professionnelle rémunérée ainsi que le droit de circulation et d’établissement intra-européen n’existent ni pour le bénéficiaire de l’asile ni pour sa famille. Le droit de regroupement familial est strictement limité au conjoint, aux ascendants et aux enfants directs ou autres personnes à charge de la personne bénéficiant du droit d’asile. Toute activité politique est interdite au réfugié et à sa famille tant qu’il réside sur le territoire européen .

Le bénéficiaire d’un droit d’asile exceptionnel sur le sol européen peut demander à l’issue de sa première période de séjour de 3 ans à bénéficier d’une naturalisation à titre personnel. Cette demande ne peut être présentée qu’une fois et uniquement pour la nationalité du pays ayant octroyé le droit d’asile. Le candidat à la naturalisation doit démontrer qu’il maîtrise la langue du pays concerné et accepter sans aucune limitation ni aucune réserve ou exception, les lois et les principes constitutionnels du pays dont il souhaite acquérir la nationalité.

En cas de refus, aucune autre demande ne peut être présentée.

En cas d’acceptation et de naturalisation, les personnes faisant partie du foyer de la personne naturalisée peuvent à leur tour présenter une demande .Les conditions d’examen et d’octroi sont identiques.

Tout demandeur d’asile ayant pénétré illégalement sur le sol européen, sans avoir respecté les procédures exposées précédemment, est transféré dans un centre de retour ( cf paragraphe 4.4) et soumis au même régime que les immigrés économiques illégaux.Toutefois, le voyage de retour est -dans ce cas particulier- organisé, non vers le pays d’origine du demandeur d’asile mais vers un centre d’accueil du pays voisin le plus proche sauf si l’intéressé choisit, lui-même, de rentrer dans son propre pays d’origine.

 

4.Règles applicables aux migrations économiques :

Toute demande de migration économique vers un pays européen doit être examinée par le consulat du pays européen sollicité dans le pays d’origine du candidat. Elle doit être obligatoirement présentée, à la fois, par le candidat et par l’entreprise (ou autre employeur ) projetant d’ offrir un poste au candidat concerné.

Aucune demande non nominative ne peut être présentée par un employeur.

Aucune demande, non assortie d’une offre d’emploi ferme d’une entreprise ou d’un autre employeur, ne peut être présentée par un candidat.

 

Aucune demande d’immigration économique ne peut être présentée directement sur le sol d’un pays européen ni examinée ou retenue, suite à l’entrée d’un candidat, légale ( tourisme, études ….) ou illégale , en Europe.

Toute demande d’immigration économique, doit être examinée, acceptée ou refusée dans un délai maximal de 8 semaines à compter de la date de réception de la demande complète.

Suite au rejet d’une demande, il n’y a aucun recours possible, que ce soit sur le plan administratif ou judiciaire.

 

En cas d’acceptation, le droit de séjour de l’immigré économique est accordé pour une durée initiale de 1 an, renouvelable 3 fois, 3 ans, la durée maximale de séjour étant de 10 ans.

Aucun regroupement familial n’est accepté pendant cette période.

Les entreprises (ou autres employeurs ) d’un immigré économique ont l’obligation légale d’ accorder à l’immigré économique, chaque trimestre, deux semaines de congés dans son pays d’origine, salaires et voyages intégralement payés. Il n’est pas possible de renoncer à cet avantage ou de lui substituer un autre régime de congé.

Le salaire versé à l’immigrant économique est obligatoirement identique, à horaires prestés et niveau de qualification égaux, à celui versé par l’entreprise ou l’employeur aux travailleurs autochtones du pays européen concerné. Les droits acquis en matière de couverture sociale et de santé sont également identiques ainsi que les versements de pension (qui sont cumulés et versés globalement, assortis de l’intérêt légal en vigueur, lorsque le travailleur immigré économique quitte définitivement son poste).

 Ce nouveau système, est certes beaucoup plus onéreux par rapport aux pratiques actuelles mais juste.

En d’autres termes, le dumping social et le travail au rabais, pratiqués au détriment de travailleurs immigrés économiques, ne seront plus désormais tolérés, la constitution d’un nouveau prolétariat ‘’d’esclaves importés‘’ étant définitivement interdite et sévèrement sanctionnée.

A cet égard, le non-respect des clauses précitées, constatées en flagrant délit, est sanctionné, administrativement et automatiquement, par le versement d’une amende égale à 100 fois le montant fraudé ( salaire + autres droits pécuniaires ). En cas de récidive, la fermeture irrévocable de l’établissement concerné peut être prononcée administrativement  et une peine de prison, ferme et incompressible, de 2 ans de prison doit être immédiatement effectuée par le Directeur /employeur de l’établissement coupable ou par le Directeur général de l’entreprise concernée. L’appel de cette décision devant une juridiction n’est en aucun cas suspensif.

Les marchands de sommeil sont passibles, en cas de flagrant délit, de la confiscation administrative immédiate de leurs biens. Placés en détention provisoire obligatoire dans l’attente de leur procès, ils sont passibles d’une peine de prison minimale de 5 ans ferme, incompressible. L’appel devant une juridiction de cette décision n’est en aucun cas suspensif .

Le droit de séjour et de travail de l’immigré économique n’est valable que dans le pays qui l’a accepté.

Au-delà du maximum de 10 ans de séjour économique dans un pays européen donné, l’immigré économique peut présenter, s’il le souhaite, une nouvelle demande d’immigration économique dans un autre pays européen selon le même système.

A l’issue d’un séjour maximum de 20 ans sur le sol européen, aucune nouvelle demande d’immigration économique ne peut être accordée à un même demandeur.

A l’issue d’une durée de séjour de 9 ans dans un pays européen donné, tout immigré économique peut présenter, à tout moment , une demande de naturalisation et solliciter un regroupement familial ( époux-épouse + enfants directs )dans le seul pays concerné à condition de réussir un examen linguistique et de faire preuve de sa capacité d’intégration et de son acceptation irrévocable et sans aucune réserve des lois et principes constitutionnels du pays européen concerné .

 

5-Adaptations  des lois et règlements en vigueur, d’ordre international, d’ordre européen et d’ordre interne à chaque pays européen :

Les adaptations nécessaires aux conventions internationales seront renégociées ou, en cas d’impossibilité ou de refus des autres signataires, ces conventions seront dénoncées et remplacées par une déclaration internationale et unilatérale des pays européens, reprenant l’ensemble des clauses compatibles avec les dispositions modifiées comme indiqué des dites conventions .

 

Les Constitutions, les règlements européens, les accords de Dublin et Schengen, les lois en vigueur dans chaque pays européen devront également être modifiées en conséquence pour éviter que des juges européens ou nationaux, constitutionnels, administratifs ou civils, voire de simples fonctionnaires ou particuliers ( tous non élus ) puissent s’opposer - parfois sur un plan strictement légal ,mais bien souvent pour des raisons militantes ou sous prétexte d’une interprétation biaisée des dispositions en vigueur, au nom d’un ‘’ boboïsme ‘’ bourgeois , mondialiste et bien-pensant - à la volonté démocratique des peuples et à la mise en œuvre du mandat des élus qu’ils se seront choisis pour mettre fin aux errements et au chaos actuels des politiques migratoires en Europe.

-N.B.-Le meilleur exemple de cette dérive est tout récent. Il s’agit, en France, de la décision récente du Conseil Constitutionnel qui a étendu l’interprétation du concept de fraternité inscrit dans la Constitution Française au monde entier, en garantissant l’impunité à tous les zozos qui violent les lois françaises en aidant des immigrés à passer frauduleusement les frontières françaises et à résider illégalement sur le territoire national.-

L’argument des mondialistes militants consistant à prétendre qu’il est impossible de revenir sur les engagements internationaux pris dans le cadre de la Convention de Genève, des Traités Européens, du Conseil de l’Europe, de la juridiction de la Cour des Droits de l’Homme à Strasbourg ou de tout autre accord ou Traité international, n’est en aucun cas recevable. Tous ces engagements ont été pris à l’époque par les dirigeants et Parlements de nos pays, au nom et en vertu du mandat démocratique que leur a accordé le peuple.

Ce qui a été fait par le peuple et pour le peuple, peut être modifié, s’il le souhaite, par la volonté souveraine du peuple.

 Nul élu, fonctionnaire ou juge, nulle organisation politique, civile ou non gouvernementale, nul lobby intellectuel ou mouvement religieux ne peut prétendre prévaloir sur la volonté clairement exprimée dans les urnes par le peuple.

A cet égard, les particuliers et organisations enfreignant, sciemment et volontairement, les lois et règlements en vigueur, en tentant de se substituer aux autorités légales ou d’entraver et de contrecarrer leurs actions, doivent être poursuivies et tenues pénalement, civilement et financièrement responsables des conséquences directes et indirectes de leurs actes. Elles seront, en particulier, tenues d’assumer sur leurs propre avoirs matériels, bancaires et financiers ainsi que sur leurs autres biens mobiliers ou immobiliers, tous les coûts relatifs au transport, au séjour, à la nourriture, au logement, aux soins, à la santé, à l’éducation, à la sécurité et au voyage de retour des personnes qu’elles auraient introduites ou contribué à introduire illégalement sur le sol européen. Les engins, véhicules, bateaux ayant servi à leurs agissements illégaux seront saisis, mis sous séquestre puis vendus en enchères publiques par les autorités compétentes.

 

 

6-Mesures concrètes destinées à stopper les flux migratoires illégaux  :

6.1 Accords de retour :

 Le Conseil Européen doit donner instruction à la Commission Européenne de conclure au nom de l’UE des accords de réadmission obligatoire avec tous les pays pauvres de départ d’émigration illégale vers l’Europe( pays africains subsahariens, de la corne orientale de l’Afrique et d’Asie Centrale ou du Sud-Est). La signature et le respect de ces accords par ces pays doivent conditionner la continuation des aides publiques directes au développement qui leur sont accordées soit, via le Budget Européen, le Fonds Européen de Développement ou de façon bilatérale par chaque Etat-Membre, soit, de façon indirecte, via les contributions de l’Union Européenne et de chaque Etat-Membre aux organismes multilatéraux (UNHCR, UNRWA, UNICEF et autres Agences de l’ONU, Banque Mondiale, IOM,etc …) ou aux grandes ONG internationales.

Il doit en être de même -en tant que de besoin-avec la Turquie , les pays de l’ex-Yougoslavie, du Voisinage Est et du Voisinage Sud en conditionnant l’octroi des crédits de coopération européens et bilatéraux qui leur sont accordés à la signature d’accords de retour ( lorsque cela s’avère nécessaire comme par exemple , actuellement, pour les trois pays nord-africains, l’Albanie et le Kosovo).

6.2 Donner un coup d’arrêt à la propagande anti-européenne :

L’ action psychologique et la culpabilisation permanente que pratiquent, sans aucune pudeur et avec la complicité de certains média, des associations dites de bienfaisance, des ONG et des mouvements politiques, militant ouvertement pour un monde sans frontières ( ’’no borders ‘’) doivent être combattues par les faits.

L’Union Européenne et ses Etats-Membres sont, de très loin, les premiers donateurs internationaux d’aide au développement au monde ( Ils représentent plus de 50% de l’aide mondiale au développement ) et il serait temps de rappeler cette générosité aux pays récipiendaires, aux organismes multilatéraux et aux ONG qui nous critiquent sans cesse,bien que leurs activités dépendent en grande partie de la générosité de nos contribuables et des énormes efforts également consentis par nos concitoyens sous forme d’actions et de dons privés.

Qu’on arrête donc de donner des leçons de générosité et de comportement à l’Europe, à nos Etats-Membres et à nos concitoyens.

 Si tous les donateurs internationaux faisaient des efforts financiers comparables à ceux consentis par les citoyens européens, que ce soit à titre public ou privé, la situation des pays pauvres et des candidats migrants s’améliorerait déjà grandement.

Et que chacun balaye devant sa porte, à commencer par MM. les rapporteurs internationaux des agences multilatérales et MM. les communicants des grandes ONG mondiale et européennes.

Tôt ou tard, les citoyens européens pourraient bien se lasser de se faire insulter et culpabiliser à longueur de temps par ceux qui devraient plutôt les citer en exemple et les remercier d’être les plus généreux au monde.

6.3- Créer des centres européens de retour dans les pays de transit des migrants illégaux :

Le Conseil Européen doit donner instruction à la Commission Européenne de conclure au nom de l’UE - et dans toute la mesure du possible - des accords avec les principaux pays de transit, eurasiatiques ou nord-Africains ( Turquie, Liban, Egypte, Libye, Tunisie, Algérie, Maroc ) pour qu’ils ouvrent, sur leur sol, avec l’aide de l’Union Européenne et en échange de compensations financières substantielles ,des centres de retour fermés des immigrés illégaux, transitant par leur pays. ils y seraient placés dans l’attente de l’organisation par les autorités nationales concernées et l’UE de voyages groupés de retour vers leur pays d’origine. Les coûts de construction et des frais de fonctionnement de ces centres de retour seraient pris en charge par le Budget Européen ainsi que les frais de séjour, de soin et de voyage de retour des immigrés concernés.

Les coûts en personnels, infrastructures et matériels ( garde-frontières, bateaux, véhicules,  …. ) nécessaires à la surveillance des frontières de ces pays, de leurs côtes méditerranéennes et les actions de lutte contre les passeurs et le trafic d’êtres humains doivent également être couverts financièrement par l’Europe.

Aucune demande d’asile ou d’immigration économique ne peut être étudiée, instruite ou accordée à partir de ces pays et des centres de retour.

Les voyages de retour doivent être organisés selon une périodicité qui minimise la durée de séjour dans ces centres de façon à ce qu’ils soient limités, si possible, à une durée moyenne de trois mois .

6 .4 Créer des centres européens de retour des migrants illégaux sur le sol européen :

Quelle que soit l’efficacité des dispositifs précités, il y aura toujours un nombre résiduel d’immigrés qui parviendront à s’introduire illégalement sur le sol européen. Pour pallier cette éventualité, le Conseil Européen doit également donner instruction à la Commission Européenne de créer - selon les besoins - un ou  plusieurs centres de retour fermés dans les pays d’arrivée des migrants illégaux ( Grèce, Italie, Espagne ) ou dans les grands pays ou zones de destination ( Allemagne, France, Scandinavie, Bénélux, Europe de l’Est). Ces centres doivent être financés, gérés et activés par les Institutions Européennes avec du personnel sous contrat, mis à disposition par les services de police et de garde-frontières des Etats-Membres ( Commission et ses agences spécialisées comme Frontex).

Bénéficiant de terrains mis à disposition par les Etats-Membres - loués et financés sur les ressources du Budget Européen - ces centres doivent relever de la responsabilité directe et entière de la Commission Européenne, chargée par le Conseil Européen de gérer ces centres et d’y organiser le regroupement, l’identification puis le retour des immigrés économiques illégaux vers leurs pays d’origine.

Les immigrés clandestins seront conduits dans ces centres de retour - placés sous la responsabilité des Autorités Européennes- par les polices ou services nationaux, dès qu’ils seront appréhendés sur leurs territoires, les autorités européennes les répartissant entre ces centres en fonction des regroupements nécessaires pour l’organisation de leurs voyages de départ vers leurs pays d’origine.

Aucune demande d’asile, e naturalisation ou de suspension de placement dans un centre de retour, ne peut être entreprise par un immigré illégal ou être examinée et acceptée par une autorité nationale .Aucun recours judiciaire ne peut être formulé par un immigré illégal contre son placement en centre de retour.

 

Les familles, mineurs isolés et femmes seules avec ou sans enfants disposent de secteurs spécifiques à l’intérieur de ces centres, séparés et isolés des secteurs réservés aux hommes célibataires.

Pendant leur séjour dans un centre de retour, les immigrés illégaux ne peuvent ni sortir à l’extérieur des centres ni exercer aucune activité professionnelle ou autre à l’extérieur du centre. Les dépenses afférentes à leur logement, nourriture, frais vestimentaires et divers, y compris les frais médicaux et de médicaments, sont pris en charge par le Budget Communautaire.

Chaque centre dispose, en fonction de sa taille, d’un centre de santé ou d’un hôpital .

Les Autorités Européennes procèdent au regroupement par nationalité des immigrés clandestins entre les différents centres afin d’organiser des voyages périodiques de retour par bateau ou avion vers leurs pays d’origine.

Le séjour dans un centre de retour ne peut excéder trois mois.

Les voyages de retour sont organisés par les autorités européennes et encadrés par leurs personnels avec des moyens de transport affrétés spécialement.

Tout immigré économique illégal est automatiquement privé de tout droit d’entrée, sous quelque forme que ce soit ( visa touristique, visa pour études, visa pour voyage d’affaire etc… ) sur tout le territoire européen pendant une durée de 10 ans suivant son expulsion et la date de son voyage de retour dans son pays d’origine.

6.5 Cas particulier des immigrés économiques, apatrides ou sans origine identifiée, illégalement entrés sur le sol européen :

Dans le cas particulier où il serait impossible d’identifier le pays d’origine de migrants entrés illégalement sur le sol européen, ou au cas rare où il s’agirait de personnes apatrides, la Commission regroupera les personnes concernées dans un centre fermé extracontinental ( une île à déterminer ) où la durée de séjour correspondra au temps nécessaire soit, à l’identification des pays d’origine des immigrés concernés après enquête soit, à trouver un pays extra-européen prêt à les accueillir, en liaison avec les organes spécialisés multilatéraux .

 

7-Conclusion :

L’ampleur mondiale du phénomène de migration auquel seront inévitablement confrontés nos pays européens impose l’adoption d’une stratégie cohérente et d’un ensemble de mesures d’envergure à l’échelle du continent, du type de celles qui ont été exposées, complétées par une augmentation des aides au développement des pays pauvres (cf . mes articles précédents) et d’une politique européenne de contrôle des frontières extérieures de l’Europe ,assorties des moyens humains, matériels et financiers indispensables..

Les dispositions présentées ne prétendent ,en aucun cas, être exhaustives ou être totalement pertinentes et adéquates.

L’objectif de cet article est simplement de donner l’exemple de ce que pourrait être une stratégie - impliquant tous les acteurs et conduite à tous les niveaux et lieux nécessaires -susceptible de parvenir à mieux réguler et maîtriser le phénomène complexe des migrations vers l’Europe.

 Au lieu d’assister, comme actuellement à la prise de mesures désordonnées, erratiques, anarchiques et parfois contradictoires, préconisées, décidées ( ou non décidées) en ordre dispersé par nos dirigeants nationaux et par les Institutions Européennes, nous pourrions donner ainsi un sens et un contenu concrets à une politique européenne utile et pertinente, répondant enfin aux préoccupations légitimes et aux problèmes concrets de nos concitoyens.

Cela nous changerait agréablement de l’ouverture continue et tous azimuts de notre continent à une mondialisation économique effrénée et ultra-libérale et du brassage informe des cultures, mœurs, religions et valeurs que l’on prétend nous imposer d ans la plupart de nos capitales comme à Bruxelles.

Nos peuples ont déjà clairement indiqué, à l’occasion de chaque nouvelle élection, qu’ils ne voulaient ni de cette ouverture sans condition ni de ce brassage universel.

 

Nos dirigeants nationaux et européens ainsi que nos ‘’élites intello- bobo-planétaires’’- aussi aveugles, sourds et inconscients qu’ils soient- feraient bien d’en prendre note, s’ils veulent éviter la lente et inexorable montée des mouvements extrémistes de droite comme de gauche et écarter la déroute inévitable et totale qui les attend aux prochaines grandes échéances électorales, nationales comme européennes.

 



32 réactions


  • hans-de-lunéville 19 juillet 2018 09:54

    TINA, pas la peine de se prendre le choux


  • Jean Roque Jean Roque 19 juillet 2018 12:15

     
     
    L’UE A TUÉ L’EUROPE POUR RENDRE SERVICE AU MONDIALISME

     
    2100 : UE OUEST 25-30% DE BLANCS = SCISSION AVEC L’EST
     
    Le mondialisme essaie aux US avec l’immigration illégale hispanique et le multilinguisme
     
    AUX US, ESPAGNOL ET CHINOIS PEUVENT ÊTRE LANGUES D’ENSEIGNEMENT EN PRIMAIRE !
     
    Les américains ne veulent pas d’un Québec hispanique, => Trump
     
    (guerre US-Mexique, 5 états pris aux Méxicains... Mexico seule capital conquise par les US...)
     
    « LA CULTURE EUROPÉENNE DISPARAÎT DANS LE GLANDS REMPLACEMENT ! »
     
    https://francais.rt.com/international/52374-vous-perdez-culture-immigration-changera-europe-jamais-donald-trump
     
     
     


  • BA 19 juillet 2018 13:46

    "Jusqu’en 2050, l’Europe va s’africaniser, c’est inévitable."


    Stephen Smith, journaliste, écrivain, professeur d’université, spécialiste de l’Afrique, était l’invité de Bourdin Direct ce jeudi. Pour lui, les États européens vont devoir négocier entre eux pour faire face à la forte pression migratoire en provenance de l’Afrique ces prochaines décennies.


    "Jusqu’en 2050, on sait que l’Europe va s’africaniser, les jeunes sont là, ils sont déjà nés, il n’y a rien à faire".


    Ces propos sont de Stephen Smith, journaliste et écrivain, spécialiste de l’Afrique, qui vient de publier "La ruée vers l’Europe : la jeune Afrique en route pour le vieux continent" (éd. Grasset).


    "Je dis ça sans affolement, tempère-t-il ce jeudi dans Bourdin Direct. Quand vous avez un voisin qui en 2050 sera 5 fois plus nombreux que toute l’Europe comprise, il y a une pression migratoire qui est très forte et il faut s’arranger entre voisins européens, il faut négocier".


    Face à cet afflux à venir, Stephen Smith explique : "Il faut prendre la mesure du réel d’abord. Puis il faut des négociations entre l’Europe et l’Afrique pour éviter notamment que ses forces vives quittent le continent africain".


    "L’Afrique ne fait que reproduire des scenarii qui ont eu lieu en Europe"


    "Tant que l’Afrique croit à ce rythme, c’est impossible de juguler. Tous les progrès sont noyés par la progression démographique. Il faut à un moment maîtriser cette croissance démographique. C’est un problème de long terme qui se jouera sur les deux générations à venir, pas avant 2050", explique le journaliste.


    Qui rappelle : "Toutes les régions du monde ont migré. En Europe il y avait 300 millions d’habitants et 60 millions en sont partis, dont 40 millions vers les Etats-Unis. L’Afrique ne fait que reproduire des scenarii qui ont eu lieu en Europe et en Amérique latine. Et il est évident que l’Europe va faire face à une migration très forte depuis l’Afrique, c’est inévitable".


    Stephen Smith estime que ce n’est pas en multipliant les aides au développement vers les pays africains que la situation s’améliorera.


    "Non, ce n’est certainement pas la solution. D’ailleurs c’est une imposture. Nous allons développer un continent d’1,3 milliards d’habitants, soit l’équivalent de la Chine. Et tous ceux qui se sont développés, les millions de personnes qui sont sortis de la pauvreté ces dernières décennies – les chinois, les indiens -, n’en sont jamais sortis par l’aide au développement".


    "L’aide au développement va d’abord permettre à une classe moyenne qui émerge de migrer, de partir du continent africain", prévient-il.


    "A la place des Africains nous ferions pareil"


    Et fermer les frontières ? "Toutes les volontés de fermer les frontières sont inutiles", dit-il, prenant toutefois l’exemple de l’aide versée par les pays européens à la Turquie pour juguler l’immigration qui transite par son territoire.


    "Avec 6 milliards d’euros, les européens se sont achetés la paix de 2,5 millions de migrants, bloqués en Turquie. Mais c’est cynique de parler comme ça. Les gens passeront, par une porte ou une autre. C’est inévitable. Mettez-vous à la place des Africains qui voient de telles inégalités et qui pensent à leur vie ou à leurs enfants. Nous ferions pareil à leur place".



    https://rmc.bfmtv.com/emission/jusqu-en-2050-l-europe-va-s-africaniser-c-est-inevitable-1379850.html



    • mmbbb 20 juillet 2018 13:27

      @BA ou et les europeens ou iront il en Russie , la Pologne l Australie ont pris des mesures severes Quant a l Afrique, c est tout de meme un scenario assez cynique , On nous bassine a longueurs d annees sur les maux de ce continents , les ONG par exemple se font les complices des passeurs en sachant que les migrants sont ceux qui peuvent payer et ceux qui pourraient developper leur pays "L’Afrique ne fait que reproduire des scenarii qui ont eu lieu en Europe«  a un bemol pres le gouvernement americain a ete oblige de limiter cette immigration en legiférant Des 1910 si mes souvenirs sont bons , il y avait des contraintes de sante physiques et mentales Demain ce ne sera plus le meme ordre de grandeur L Amerique etait un continent a peupler a cette epoque Ce n est plus le cas de l Amerique et de l europe Quant a l africanisation de la France notamment elle est deja en cours , parlez a Mr Emmanuel Valls qui cherchait vainement » un White " sur le marche de sa circonscription . Moi je m en tape a vrai dire ce sont les enfants des bisounours qui vivront dans cette nouvelle societe ou le blanc sera peut etre devenu minoritaire


    • Jonas 21 juillet 2018 09:43

      @BA


      La Charité soulage la conscience des droits de l’hommistes tous azimuts , mais ne résout en rien celle des pays dont sont issus les immigrés. 

      L’immigration Africaine est encouragée et même financée par certains gouvernements de ce Continent. qui trouvent là, un moyen facile de résoudre momentanément le problème du chômage et des revendications pour une vie meilleure de leur peuple.

      Ils se débarrassent d’une partie de leurs bouches à nourrir et reçoivent en retours un transfert de devises, qui est dans certains cas supérieur à l’Aide au développement. Jamais dans l’histoire humaine il n’ y a eu une telle fulgurante  démographique , même en Chine et en Inde.  Le manque de courage et de conscience  sur  le phénomène démographique comme migratoire laissent de marbre les dirigeants africains. Lors du dernier sommet ( 31e) des chefs d’Etat de l’Union Africaine qui se tenait en Mauritanie , le 2 et 3 juillet 2018, ces sujets n’ont pas été abordés. Pour eux , leurs compatriotes qui se noient dans les océans ou qui sont ballotés de port en port est une affaire de l’Europe. 

       En 1930, la population de ce Continent était de 150 millions d’habitants , en 2050 , selon les démographes , les africains seront 2,5 milliards d’habitants , contre 1,5 aujourd’hui ,soit un multiplicateur 17. Si en comparaison la France avait crû dans les mêmes proportions , en 2050 les Français seraient 750 millions d’habitants, la moitié de la Chine. 

      La démographie est un sujet tabou pour les dirigeants Africains , alors que ,quelle que soit la croissance , elle sera noyée par le flux de naissance qui anéantirait tout progrès. 
      Un autre cas de cette démographie incontrôlée , le Niger, ce pays comptait en 1960, année de son indépendance 3 millions d’habitants , en 1980, 7 millions d’habitants, aujourd’hui 19 millions et en 2035 les 40 millions d’individus. 

      Tous les « idiots utiles » et tous ceux qui pensent qu’en ouvrant les portes de l’Union Européenne , on résoudra les difficultés du Continent se trompent et se moquent des Africains. 




  • zygzornifle zygzornifle 19 juillet 2018 14:35

    c’est pas l’immigration qui est illégale mais l’Europe qui est illégale de ne pas les laisser rentrer pour le mougeon atteint du syndrome de Stockholm ....


  • foufouille foufouille 19 juillet 2018 14:49
    "Les entreprises (ou autres employeurs ) d’un immigré économique ont l’obligation légale d’ accorder à l’immigré économique, chaque trimestre, deux semaines de congés dans son pays d’origine, salaires et voyages intégralement payés."
    ce qui fait huit semaines par an !


  • heber 19 juillet 2018 15:58

     Foufouille,

    huit semaines de congé soit 15 jours par trimestre pour rentrer chez soi, c’est indispensable pour 
    l’équilibre de personnes éloignés des leurs et seuls à l’étranger.Dans un article ,par définition synthétique,on ne peut pas donner tous les détails mais il est évident que les salariés immigrés préféreront ce système en récupérant le mois supplémentaire accordé en travaillant (à concurrence de ces 22 jours ouvrés + des délais de route )le week-end ou le soir de façon étalée sur l’année.Ce n’est pas une difficulté mais une question d’organisation pratique entre l’employeur et les travailleurs concernés .

  • heber 19 juillet 2018 16:12

    zygornifle,


    Je crois qu’il est irréaliste de croire que nos pays ont les moyens d’accueillir des millions de gens supplémentaires ,pauvres et démunis.Nous ne sommes même pas capables de régler le problème de nos sans-abris, de nos populations vivant sous le seuil de pauvreté (+- 10-15% selon les pays) ,de donner du travail à nos jeunes et moins jeunes ,de loger nos travailleurs modestes- dont certains ,y compris des couples ou femmes isolées avec enfants dorment dans leurs voitures, des caravanes ou des abris précaires- ni d’intégrer nos français immigrés  depuis les années 1950  que nous laissons croupir sans espoir ni perspectives dans les tours et barres d’immeuble de leurs banlieues sinistrées, sans éducation ni emploi ,loin de nos yeux .Commençons par trouver des solutions à ces questions qui nous concernent tous et relèvent de la responsabilité directe de nos états et de nos collectivité nationale,avant de vouloir ,en plus, régler le problème de pauvreté de ces malheureux qui se pressent à nos portes.

  • heber 19 juillet 2018 16:21

    BA 

    Le pire n’est certain que si l’on décide de ne pas réagir et de ne pas lutter .Le diagnostic de ce journaliste est défaitiste .Il correspond à ce que les USA appellent la vieille Europe qui se laisse glisser lentement mais sûrement dans la douceur du renoncement , du déclin et de la mort .

    Je refuse d’adopter cette attitude mortifère ,au nom de nos enfants et petits-enfants .Nous avons le devoir de préserver ce qui ne nous appartient pas mais ce dont nous avons hérité et qui nous a été transmis , au prix parfois de leurs vies, par les générations de français et d’européens qui nous ont précédés au fil des siècles .

  • heber 19 juillet 2018 16:24

    jean Roque,

    même commentaire.Nous avons le devoir de lutter .Les combats désespérés sont aussi les plus beaux mais je reste optimiste .
    Il est encore temps de nous  réveiller  et de redresser la barre

  • wedano 19 juillet 2018 16:24

    Et ta ravissante sœur l’auteur ?


    (Je vous prévient d’avance, ces chiffres sont de qualités gouvernementale.)

    Je bosse pour un patron qui me paye entre 2% et 8% du bénéfice, sur un travail que j’ai éffectué entiérement seul, essentiellement en l’échange d’un proxy administratif.

    Cet homme m’ordonne réguliérement de violer ma morale chrétienne et de ne pas réveler au clients a quelle point il m’exploite, a quelle point il les arnaques, sous la menace de me priver de revenus stable et de devoir faire des démarche administrative ubuesque par moi méme.

    Je me fait raqueter 38% de ce que je suis obligé de déclarer dans mon coin, pour bombarder des connards a qui je ne veux aucun mal a l’autre bout du monde, financer de la propagande féministe et végétarienne, me faire harmoniser et standardiser.

    Il vas de sois que je n’ai ni envie de buter des syrien iraquiens lybien, ni de manger du soja, ni de tolérer la discrimination positive en faveur de qui que ce soit, et certainement pas d’être citoyen du même pays que ces fils de pu*es d’autrichiens.

    Je me fait raqueter 1700€ par an en l’échange de bâtiment en béton jetable de merde, moche, inutiles, qui hébergerons des services dont je me fout, d’une route bouché, d’un centre ville monopolisé. De putains de feu d’artifices, d’exterminateurs de ragondins sans coeur.

    Il ont méme un service qui chassent les chat sans puces ! Il achètent des licences microsoft ! Il fourrent tout leur quota handicapé au sous-sol ! Il ya une milice armée spéciale pour la plage, et une autre spécial pour les parking, des saloperies de mercenaires dans ma république !

    Je me fait raqueter 550€ en l’échange d’un clapier a lapin méme pas si bien maintenu que ca, par un individu fermement identifié que je n’ai jamais vu, dans un contexte contractuel dégelasse, et seulement par ce que la loi l’oblige a descendre le prix « si bas ».

    Cet en*ulé n’a pas réparé ma cloture, cet empaffé préfère repeindre que de réparer les fuite d’eau. Le chauffe eau suce le compteur éléctrique c’est un désastre énergétique et il laisse faire.

    Je me suis fait pété par la milice il y a deux jour, parceque j’avais osé stationné sur un convoyeur de fond 2 minute pour livrer un chéque, a une heure ou il n’y a pas de convoyeur de fond.

    Il y a un mec qui aune voiture tellement grosse, tellement brillante, et qui a tellement l’insolence, la foi en la paix civile, de venir garer sa voiture dans mon bloc de prolo quant il vas voir sa meuf, que dois chaque fois m’empêcher de lui faire un pneud clouté.

    Alors non mec, je ne considéré pas les migrants comme une menace. il y a une longue liste de prédateurs de sang, avant d’en arriver a m’en prendre aux camarades qui m’énerve a parler arabe dans la rue, aux uniformes désarmés, aux faux-culs qui affiche leur hahalitude et conservent a la zeub, aux bande de chomeur, et a tout « mes fréres » « t’a pas une clope, ta pas un euro ».

    Peluche.



    ++



  • heber 19 juillet 2018 16:40

    wedano,

     Si vous lisez attentivement les textes que j’ai écrits,vous constaterez que je préconise des sanctions très sévères envers les différentes sortes d’exploiteurs que vous citez et d’abord de régler les injustices majeures qui existent chez nous .
    Aggraver encore les scandaleux problèmes que vous dénoncez fort justement en important des centaines de milliers de futurs esclaves exploités et corvéables à merci n’est pas souhaitable ni pour eux ni pour nous .

  • heber 19 juillet 2018 17:07

    bob 14, par respect pour l’argot français , je vous suggére d’enlever le t de trop au terme par lequel vous désignez l’appendice que vous semblez tellement affectionner dans vos divers commentaires


  • leypanou 19 juillet 2018 17:15
    nous pourrions donner ainsi un sens et un contenu concrets à une politique européenne utile et pertinente : arrêtez de rêver.

    Comment voulez-vous que des pays qui ont des intérêts différents, qui voient les problèmes de manière différente puissent avoir une même politique ? les Polonais, les Hongrois ou les Tchèques ne voient pas l’immigration comme les Allemands ou les Espagnols. Et on pourrait citer d’autres exemples comme çà en Europe, comme les impôts sur les sociétés (l’Irlande ou le Luxembourg contre la France ou l’Allemagne), l’agriculture, l’énergie, etc.

    Le problème du chômage ou de la misère en Afrique ou ailleurs se règle en Afrique ou ailleurs, pas en France. Sinon, il n’y qu’à faire venir des dizaines de millions d’Indiens miséreux (il y en a facilement 65 millions), plus les Pakistanais, les Érythréens, etc, etc.

    • mmbbb 20 juillet 2018 13:32

      @leypanou millions d’Indiens miséreux (il y en a facilement 65 millions) votre chiffre est faible je dirais plutot 300 millions en fourchette basse L Inde compte desormais plus d un milliard d habitant et depassera bientot la Chine .


  • Allexandre 19 juillet 2018 19:08

    Ne faudrait-il pas dresser un bilan sans complaisance, de ceux qui sont les véritables responsables de la situation actuelle ? Alors seulement serons-nous à même de prendre des décisions réfléchies et humanitaires pour tous.


  • heber 19 juillet 2018 20:11

    ALEXANDRE


    Exact ,tout à fait d’accord sur l’idée mais encore faut-il réussir à les débusquer car ils avancent masqués ;

  • heber 19 juillet 2018 20:13

    Raymond 75

    Très bon exemple dont on pourrait s’inspirer mais je crois qu’il faut aller plus loin ;exiger une proposition de travail pour accorder un visa de séjour aux immigrés économiques

  • heber 19 juillet 2018 20:22

    leypanou

    Effectivement le problème de la misère doit se régler dans les pays pauvres et pas en Europe ;Exportons la prospérité, n’importons pas la misère.
    Nous devons pour cela augmenter nos efforts et notre aide en Afrique et surtout la rendre plus efficace et ciblée vers ceux qui en ont réellement besoin et ne pas la laisser aux mains d’ élites déjà largement pourvues , parfois richissimes et souvent corrompues.
    Quant à l’Europe, proposons des programmes intelligents et répondant aux besoins de nos concitoyens au lieu des coopérations inutiles et insipides  comme aujourd’hui et l’accord entre les pays de bonne volonté viendra sans problème d’autant que les coopérations renforcées permettent déjà d’avancer sans attendre l’unanimité de 27 ou 28 pays

  • banban 19 juillet 2018 20:51

    Il y a une chose que nos riches envie aux riche des pays pauvres ; leurs pauvres. Ces crèves la dalle, on n’en fait ce que l’on n’en veut ; aucune éducation, la faim et la peur qui leurs tenailles le bide.... a ces gens là on leur fait vendre leurs enfants à un bordels pour 1 boîte de conserve. 

    C’est là tout le but de se mondialisme Sorosiens ; accroître sont pouvoir sur la masse. Pour cela on n’a besoin de cette immigration. Jouer de la concurrence sur les classe modeste.
    A quoi bon être riche si ta pas le droit de vie ou de mort sur tes serviteurs ?
    Nos pays occidentaux on octroyé au prolo, - aux laborieux petite gens, des droit quasi similaire, qu’a ce qui possèdent, et il veulent que cela change.
    Leur modèle parfait c’est une plantations de canne à sucre du XVIII, et qu importe là couleurs de peau de leurs negres.



  • heber 19 juillet 2018 23:42

    banban

    l’ importation et l’utilisation des immigrés économiques venant d’Afrique ou des autres continents pour disposer d’un nouveau prolétariat souple et corvéable,taillable et exploitable sans limites , prolétariat qui exerce en outre une forte pression à la baisse sur les salaires et acquis sociaux des travailleurs et ouvriers européens sont évidentes dans l’ensemble des pays européens ( sauf de l’est) ;je ne croisabsolument pas à la sincérité des déclarations jésuistiques des patronats français, allemands et autres plaidant la compassion pour tous ces pauvres gens ni aux grands discours moralisateurs d’Angela Merkel ou de M.Macron.Il y a clairement des intérêts financiers importants qui motivent une bonne partie de toutes ces déclarations altruistes et généreuses 

    • mmbbb 20 juillet 2018 13:35

      @heber le vivre ensemble tant prone par l elite qui s exempte des pricipes qu elle promeut si genereusement sera t il possible . Il suffit de faire une cartographie de la France est de conclure


  • heber 20 juillet 2018 16:24

    mmbbb

    C’est effectivement loin d’être évident mais nous n’avons pas d’autre choix qu’essayer en intégrant sérieusement et assimilant réellement ( sans laisser la possibilité à ceux qui refusent cette intégration de rester sur notre sol) tous nos nouveaux français importés depuis 70 ans et en stoppant toute nouvelle immigration non régulée afin d’éviter la dilution de nos états et nations dans un magma informe où la solidarité et la cohésion de nos sociétés n’existeraient plus, entraînant la fin de notre civilisation ,de sa culture et de ses valeurs

    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam 20 juillet 2018 21:25
      @heber
      Bonjour à toi

      Lorsqu’on « intergre » des gens de force comme tu le dis cela à un nom....
      Tu a oublié ton histoire contemporaine ?
      Eh oui l’Africain contrairement au bobo neu neu aculturé d’ici lui vénère sa culture et la chéris profondément ses racines et ses ancetres.
       
      Bref c’est trop tard, c’est bien avant qu’il fallait vous reveiller cad pas on 2018 ou tu trouve de tres tres nombreuxs terrirtoires qui ne sonts plus « Francais » (sauf administrativement, un peu comme les découpages Administratifs de l’Afrique qui ne relevaient pas du tout de la réalité.. mais d’un fantasme projeté)
       
      Allez habituez vous, vous avez perdu, pleurez un bon coup.
      Bah vos valeurs, vous n’en aviez meme plus ?
      Ni ne le cherissiez ..

      Vous avez meme (pas vous c’est un peu général mes propos un reglement de compte avec certains ici p ex) etés jusqu’a cautionner la traite negriere et la mise en danger d’autrui en se drapant derriere des propos pseudos humanistes d’Ongs a la solde de mafias diverses.

      Au moins les negriers de l’époque revendiquaient leurs sales boulots, sans se draper derriere de l’humanitaire, ils etaient quelque part moins abjects que le collabio gôôchiste qui l’a pendant des années l’a encouragé (*1) ,et en plus en ayant l’applomb de traiter de bas du front et autres noms d’oiseauxs tous ceuxs qui dénoncaient déja à cette époque cette atrocité.

      alors à quoi bon, pourquoi vouloir sauver un peuple (nous) qui est devenu un moins que rien,
      par lachetées ou pire par bétise.


      Les remplacants, cad ces enfants D’afrique j’espere ne reproduirons pas l’erreur fatale que vous aurez faite, et j’espere que euxs au moins (dont une moitié fait partie) ne feronts ni preuve de la lacheté, encore moins de la négligeance que les enfants des ancetres de ce pâys onts fait.

      Bref vous etes sur le titanic qui coule et le clpa de fon est bien plus proche que vous l’imaginez...
       
      Alors au moins dansons, avant l’eradication finale comme disais le petit moustachu qui oeuvrais déja à l’époque dans son génocide(*) programmé

      Note : Je laisse aux lecteurs l’eternel soin d’aller consulter dans le Larousse la définition de « Génocide » et son ensemble.
      Ils decouvrirons enfin le plein sens du mot, et ses mauxs.

      (*) cad juste apres la fin de G marchais qui lui défendais encore l’ouvrier et son peuple...
      Bref ou la gauche etais de gauche quoi ! et pas devenue de gôôche, cad ce machin abject qu’elle est devenue au service de la grande bourgeoisie.

      La suite (la Gôôche) avec R Hue et tant d’autres mouvements immigrationnistes, npa & co il suffit de se documenter un peu.

  • heber 20 juillet 2018 20:26

    Christ Roi Exact,il y a un trafic prospère associant les passeurs des pays de départ,des intermédiaires et des organisations mafieuses daans les pays de réception mais je pense que cela ne représente pas la majorité ni la totalité des passages .


  • heber 20 juillet 2018 21:40

    Ouam,


    ,je refuse de renoncer ;Il faut réagir ;il n’est jamais trop tard sauf si on baisse les bras ;je partage une grande partie de votre analyse mais pas la résignation et l’abdication ;
    vaincus peut-être et  les chances de pouvoir encore redresser la situation s’amenuisent chaque jour davantage, mais vaincus  debout, si défaite il doit y avoir.

    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam 20 juillet 2018 22:31

      @heber

      Salut a toi,
      Je sais herbert je comprends tes propos (Moderatus que j’aime bien ici ) m’a dit exactement la meme chose que tu m’ecris.

      Mais explique moi, pourquoi, de mon coté qui ai été ici et ailleurs et depuis fort longtemps un lanceur d’alerte sur le sujet (*1), qui me suis pris un paquet d’ensemble de quolibets plus qu’insultants en pleine poire (*2), par ces MEMES personnes qui je le rappelle qui se sonts trompés lourdement
      (la situation actuelle l’atteste inutile donc de s’etendre dessus.... et au niveau de la moitié de l’UE)

      Donc pourquoi c’est à moi (d’ou le Nous ou je suis dedans) désormais de rectifier les tres nombreuses erreurs commises par ces gens
      explique moi ceci ?,
      donne moi une seule raison valable ?
       
      C’est irréméiablement non, pour ma part, je n’irai rien redresser ni rectifier du tout,
      et encore moins y aller la fleur au fusil si cela dégénère.

      Lorsque je conduis bourré avec des pneus lisses à 180km/h et les yeuxs bandés, c’est moi le responsable de mes actes ET de ma bétise.
      J’en assume logiquement l’entièreté des conséquences.
      Je ne le fais evidemment pas c’est un exemple pour illustrer nos propos..

      Eh bien ces gens (ceux qui nous onts emmenés par leurs idéologies crasses et / intetets pécuniers / etc...), c’est à euxs désormais de se démerder avec ce problème,
      C’est euxs qui onts descidé de leur propre chef et malgré les avertissements des « bas du front » de l’époque, a EUXS désormais d’assumer l’entièretée de leur légeretée, pour ne pas dire plus.
       
      Et si ils pensent désormais integrer par une gouvernance forcément de nature fachisante l’autre (parce que cela sera le cas) pareil c’est à EUXS et uniquement à EUXS d’assummer et de payer plein pot leur aveuglement ET leur connerie.

      C’est bon, j’ai bien trop donné ....

      Je peut l’illustrer autrement.
      Lorsque je peut inviter un ami, je l’invite, je l’accepte tel qu’il est...
      SANS VOULOIR ENSUITE LE CHANGER

      Si je ne l’aime pas ou ne cautionne pas ses idées, n’a pas d’afffinitées (etc...),
      ou pire si nous sommes radicalement à des idées opposées, je ne l’invite pas.

      Ouam,

    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam 20 juillet 2018 22:34

      @Ouam

      (*1) et (*2)
      Il suffit de lire mes nombreuxs posts sur A Vox sur le sujet, chacun pourra connstater mes positions sur le sujet depuis mon inscription
      Pas dévié d’un yota., contrairement à d’autres qui onts bien godillé.

  • Zolko Zolko 21 juillet 2018 01:53

    Article un peu bête : si la population Africaine augmente de plusieurs centaines de millions de personnes, l’Europe ne peu rien pour résoudre leur problème. DONC : nous nous barricaderons, au besoin en tirant aux frontières. C’est ça la réalité qui nous attends (et surtout celle qui attend les futurs migrants)


  • heber 21 juillet 2018 10:53

    Ouam ;

    Je vous comprends.
     C’ est et ce fut toujours ainsi ; Les précurseurs , ceux qui décèlent la vérité avant tous les autres,qui comprennent et anticipent l’ampleur et la réalité des problèmes  ainsi que leurs conséquences potentielles et en avertissent en premier leurs contemporains  sont la plupart du temps cloués au pilori.Car personne n’aime entendre les porteurs de mauvaises nouvelles qui viennent bousculer le confort des idéées reçues et les rêves chimériques .
    G. Bruno et Galilée ,en annonçant à l’époque que la terre tournait autour du soleil et non l’inverse, en firent l’amère expérience et ce ne sont que deux  exemples historiques parmi des centaines de milliers d’autres .
    Vous avez subi , hélas, mutadis mutandis, le même genre de traitement .
    Mais nous n’exposons pas la vérité pour ceux qui la refusent , nous devons l’exposer pour ceux qui ne la connaissent pas et se font berner par les appareils médiatique ,politique, économique qui les manipulent et surtout nous nous devons de la dire pour tenter de préserver nos descendants qui sont innocents de toutes ces turpitudes.

  • heber 21 juillet 2018 10:58

    Zolko,

    Votre constat sur l’ampleur du problème est correct mais j’espère et je pense qu’il y a, heureusement, encore la possibilité de trouver des solutions moins radicales , moins expéditives et franchement, moins inhumaines et immorales, que de tirer sur les gens comme des lapins pour les dissuader de venir !!!

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