samedi 20 janvier 2018 - par doctorix, complotiste

Un appel à la raison concernant l’obligation des 11 vaccins avant deux ans

En regard de mes positions bien connues, il est normal que je me fasse le relai de cet appel émanant des Professeurs Joyeux et Montagnier. Cet appel est remarquablement documenté et plus que raisonnable. Il dénonce parfaitement les manoeuvres très suspectes qui ont été mises en oeuvre pour aboutir à cette décision, la contradiction flagrante qu'elle représente par rapport aux conclusions de l'enquête citoyenne menée par Mme Touraine, ainsi que la violation de nombreuses lois Françaises et internationales concernant le droit des personnes. En particulier il dénonce le tour de passe-passe que représente cette nouvelle réglementation qui vise à contourner la condamnation des laboratoires à présenter un vaccin trivalent et sans aluminium. Cet appel précise bien les dangers d'une vaccination trop jeune, et l'inutilité de la vaccination Hépatite B chez le nourrisson, ainsi que la responsabilité quasi totale du vaccin précoce en ce qui concerne les décès de nourrissons par MSN (Mort Subite du Nourrisson) d'après l'expérience japonaise de 1975, et qui occasionne en France 250 décès de nourrissons chaque année. Enfin il avertit le corps médical des dangers juridiques qu'il encourt et dont ne les protègera aucune loi, d'autant que des comités de victimes se mettront de plus en plus en place pour financer leur défense : des condamnations seront de plus en plus nombreuses, et ils doivent s'y attendre s'ils abdiquent. Cette menace étant complémentaire des risques encourus par la violation du serment d'Hippocrate concernant l'introduction de poisons chez un patient.

Bref, je recommande cette lecture, et je remercie les Pr Joyeux et Montagnier pour leur courage et leur tenacité, malgré les sarcasmes et les humiliations qu'ils subissent. Malheureusement la signature de cette pétition est réservée aux professionnels de santé. Si c'est votre cas, cliquez sur le carré rouge. Mais vous pouvez toujours y accéder pour en prendre connaissance.

APPEL A LA RAISON 
 

11 vaccins : Appel urgent aux personnels et professionnels de santé

Chers collègues, chères consœurs, chers confrères 
 

La nouvelle loi, une erreur grave de santé publique

La nouvelle loi qui impose 11 vaccinations aux enfants est une grave erreur de santé publique. Elle a été amplement évoquée par la presse. 

Nous, professionnels de Santé, prescripteurs et/ou vaccinateurs sommes engagés par la loi sur une voie qui pourrait se retourner contre certains de nos propres patients, contre notre profession, et contre nous-mêmes. 

Vous allez comprendre pourquoi. Cet Appel souligne des éléments importants sur le sujet. Lisez-le attentivement avant d’accepter de le signer. 

Nous ne sommes pas contre les vaccins : nous sommes opposés aux vaccinations systématiques et trop nombreuses avant l’âge de 2 ans. 

Ces pratiques exposent les petits enfants à des complications, car leur système immunitaire n’est pas prêt à recevoir tant d’agressions antigéniques. 

C’est ainsi que l’on peut craindre : 
 

  • Des morts subites du Nourrisson, même si elles sont rares ;
     
  • Des maladies auto-immunes chroniques graves et handicapantes dans les années suivantes particulièrement du fait de la présence de quantités trop importantes de l’adjuvant aluminique dans la composition de la plupart des vaccins ; 
     
  • Des risques de cancers particuliers, des os, des muscles, des cartilages.. que sont les sarcomes, extrêmement graves chez des adolescents et adultes jeunes, détectés déjà chez les animaux recevant des vaccins avec l’adjuvant aluminium. 
     

Vous êtes personnellement concerné si vous êtes :

  • Médecins et Chirurgiens généralistes ou spécialistes, 
     
  • Internes des hôpitaux quelles que soient les spécialités, 
     
  • Etudiants en médecine, pharmacie, kinésithérapie, 
     
  • Pharmaciens d’officine ou d’industrie, 
     
  • Sages-femmes, infirmières-infirmiers et autres personnels de santé 
     
  • diplômé ou en formation. 
     

Si vous appartenez au grand public, hors des professions de santé, n’hésitez pas à proposer ce texte à ceux qui vous soignent. Ils sont plus que jamais concernés et responsables. 

Cet Appel est lancé par deux professeurs de médecine : 
 

 

 

Pr Henri Joyeux
Le Pr Luc Montagnier 

Prix Nobel de Médecine pour la découverte du Virus de l’Immunodéficience Humaine 
 
Pr Henri Joyeux 

Prix International de Cancérologie pour ses travaux en Nutrition 
 


Voici 3 décisions d’une extrême gravité.

  • Tout enfant né en France à partir du 1er janvier 2018 doit désormais obligatoirement recevoir avant ses 2 ans onze vaccins, contre trois auparavant. 
     
  • Les enfants non-vaccinés n’auront plus accès aux établissements d’accueil collectif à compter du 1er juin 2018. 
     
  • Les parents réfractaires ne relèvent plus désormais du Code de la santé publique, mais du Code pénal relatif à la santé de l’enfant qui prévoit une peine beaucoup plus lourde : deux ans de prison et 30 000 euros d’amende. 
     

Aucune consigne spécifique n’est donnée concernant l’état immunitaire des enfants. Rien n’est dit pour promouvoir l’allaitement maternel, – en respectant le choix de la mère -, pourtant recommandé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et qui apporte pourtant la meilleure protection naturelle [1]. L’allaitement permet de reporter les vaccinations au-delà de deux ans, si les parents sont en bonne santé. 

Cette augmentation brutale du nombre de vaccins obligatoires, et des sanctions, est présentée par la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, comme le moyen de « rétablir la confiance des Français  » dans la vaccination. 

Il s’agit d’un CONTRE-SENS de Santé publique, dont la ministre – soutenue de fait par les fabricants de vaccins – veut rendre responsable les familles. 

Cependant : 
 

  • Le procédé est-il scientifique  ? Est-il médicalement justifié  ? Est-il finalement si démocratique ? 
     
  • Est-il respectueux du principe de précaution et du droit français et des traités internationaux souscrits par la France ? 
     
  • Est-il bénéfique à la santé des enfants concernés, et du public en général ?? 
     

Le dispositif mis en place par la loi est malheureusement plus que douteux, entaché de flou voire d’opacité. 

Les familles vont-elles devoir nous demander, avant toute vaccination, un certificat de responsabilité en cas de complications ? 

Pour les 11 maladies, le nourrisson devra recevoir avant ses 2 ans au moins quatre injections intramusculaires, sans compter les rappels  : 
 

  • 1 injection hexavalente contre Diphtérie-Tétanos-Polio-Coqueluche-Haemophilus Inflenzae b et Hépatite B ; 
     
  • 1 injection contre Rougeole-Oreillons-Rubéole (3 virus atténués) ; 
     
  • 1 injection contre le Méningocoque C ; 
     
  • 1 à 2 injections contre les Pneumocoques : un vaccin contre 13 sortes de pneumocoques (vaccin dit 13-valent) et un vaccin contre 23 sortes de pneumocoques (vaccin dit 23-valent). 
     

Pourquoi votre action est importante aujourd’hui

Nous, Professeur Luc Montagnier et Professeur Henri Joyeux, lançons aujourd’hui cet Appel à nos confrères et à tous les personnels de santé de France, à cause d’un danger encore plus immédiat qui vous concerne personnellement en tant que professionnel de santé. 

En tant que professionnel de santé, vous restez ultimement la seule personne responsable de tous les actes que vous pratiquez sur vos patients. 

Aujourd’hui, la ministre de la Santé laisse entendre que l’Etat français « couvrira » tous les cas d’accidents ou effets secondaires liés aux vaccins. 

Cependant, demain, les nouvelles lois sur les « recours collectifs » (« class actions ») menées par des associations de patients, pourraient vous rendre vulnérable à des poursuites judiciaires à titre personnel, avec des conséquences potentiellement dramatiques autant pour votre vie professionnelle que personnelle. 

Cela est d’autant plus vrai que les laboratoires fabricants se sont dégagés de leur responsabilité, alors même que leurs vaccins n’ont pas subi tous les tests qui sont exigés pour les médicaments qui doivent obtenir une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). 

Les effets des onze vaccins sur le système immunitaire immature des enfants de moins de deux ans et dès la 6ème semaine de vie portent en eux-mêmes de nombreuses questions auxquelles la Science n’a pas répondu à ce jour, en particulier dans l’apparition de maladies inflammatoires chroniques ou auto-immunes. 

Il sera très compliqué de soutenir l’inverse devant la Justice : plusieurs jugements y compris au niveau européen ont déjà condamné des laboratoires suite à des maladies relevant de l’aluminium comme la myofasciite à macrophages mais aussi d’autres maladies comme la sclérose en plaques (vaccin hépatite B).[2] 

Actuellement, une procédure est en cours devant le Conseil d’Etat, à la demande de 3055 personnes pour faire retirer l’adjuvant aluminique présent dans les vaccins obligatoires et le remplacer par le phosphate de calcium. La ministre de la Santé doit répondre au plus tard le 15 janvier 2018 devant le Conseil d’État. 

Les possibles conséquences négatives de l’obligation vaccinale généralisée pourraient exposer les professionnels de santé à des actions judiciaires aux fins d’obtenir des dommages et intérêts en cas d’accident. Elles pourraient être examinées demain par la Cour européenne des droits de l’Homme. 

C’est pourquoi nous vous invitons à vous positionner officiellement à nos côtés pour demander au Gouvernement des éléments scientifiques supplémentaires pour justifier sa décision. 

Il ne s’agit en aucun cas de nous opposer à la politique vaccinale, oud’encourager un quelconque mouvement de « résistance aux vaccins », et encore moins de contester l’efficacité des vaccins pour endiguer les maladies infectieuses. Aucun thérapeute sérieux ne peut contester l’efficacité de la vaccination dans de nombreux cas. 

En revanche, il s’agit de faire part aux Autorités de nos interrogations, et nos sérieuses réserves, car notre préoccupation prioritaire est le bien-être et la santé des nourrissons. 

Imposer les onze vaccins ne correspond pas, à l’origine, à une quelconque nécessité de santé publique. 

Contrairement à ce qu’affirment les autorités, il n’y a pas de baisse de la « couverture vaccinale ». 

Pour justifier sa décision, la ministre de la Santé a, en effet, évoqué à plusieurs reprises « une couverture vaccinale qui ne cesse de baisser  ». 

C’est inexact. 

Les données officielles de Santé publique France indiquent le contraire  : en 2015, la couverture des enfants de 2 ans contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, et Haemophilus influenzae b, dépassait les 95 %, alors qu’elle oscillait entre 87 et 91 % entre 2000 et 2013. 

Les taux de couverture pour les autres vaccins [3] progressaient également. La primo-vaccination du nourrisson (3 doses) atteignait 98 % ou plus pour le DTP [4] ce qui est « très élevé et conforme aux objectifs de santé publique », selon l’organisme. 

Si le gouvernement rend obligatoire aujourd’hui onze vaccins au lieu de trois, c’est pour une raison parfaitement connue, qui relève d’un tout autre registre que celui de la médecine pure. 

Il s’agit de contourner une DÉCISION du Conseil d’Etat, une juridiction administrative et non médicale, qui concernait l’ancienne ministre de la Santé. 

En effet, le 8 février 2017, le Conseil d’Etat, juridiction administrative suprême, a demandé au ministère de la Santé « dans un délai de six mois, et sauf à ce que la loi évolue en élargissant le champ des vaccinations obligatoires, de prendre des mesures ou de saisir les autorités compétentes pour permettre de rendre disponible des vaccins correspondant aux seules obligations  ». 

Ces vaccins « correspondant aux seules obligations » étaient en l’occurrence le DT-Polio seul qui a fait ses preuves et que les familles réclament. La pétition que l’un de nous a lancéehttp://petition.ipsn.eu/penurie-vaccin-dt-polio/ sur ce sujet a été signée par 1 138 888 personnes sans la moindre publicité des grands médias, bien au contraire. 

Mais le DT-Polio seul n’était plus disponible en 2008, – par calcul et entente entre les fabricants -, et dans l’indifférence criante des Autorités, qui ont laissé s’écouler les stocks dans les pharmacies en 7 ans. Le DTP n’existait plus que couplé à d’autres vaccins ce qu’on appelle un vaccin multivalent. 

Pourquoi avoir choisi cette voie quand la loi alors en vigueur, reposant sur des bases scientifiques non controversées, prévoyait le DTP seul ? 

En somme l’obligation des onze vaccins permet d’aligner la législation sur les vaccins avec l’état de fait imposé par les fabricants, qui ont rendu introuvable le simple DTP en pharmacie, sans tenir compte de l’exigence des familles. 



Signez cet l’APPEL À LA RAISON pour défendre l’intérêt de vos patients et exiger des Autorités un débat sur des bases sérieuses exclusivement médicales et scientifiques, hors des fabricants et de leurs affiliés. 


 

Pas de justification scientifique ni médicale sérieuse pour le choix des onze vaccins

Les onze vaccins désormais obligatoires étaient jusque-là recommandés sur le calendrier vaccinal, par les Autorités, sur la base de données scientifiques qui n’ont pas été remises en question ; c’est plus qu’une nuance. 

Toutefois, ils ne correspondent pas forcément à des maladies représentant un risque significatif pour TOUS les enfants. 

Le Premier ministre Edouard Philippe a invoqué dans son discours de politique générale de juillet 2017 les dix décès causés par la rougeole entre 2008 et 2016 pour justifier l’obligation de vaccin contre la rougeole. 

Cependant, comme lui a répondu le Collège national des généralistes enseignants (CNGE), la majorité des personnes décédées souffraient d’un déficit immunitaire contre-indiquant cette vaccination. Faut-il croire que le Premier ministre n’ait pas été informé de cela par ses conseillers ? 

Où est la logique ? Nous médecins, comment pouvons-nous encore nous justifier, rester crédibles face à nos patients qui nous demandent des explications ?? 

Et ce n’est pas tout. Pourquoi avoir rendu obligatoire la vaccination contre l’hépatite B et le méningocoque C ? 

– L’hépatite B est une maladie qui ne se transmet que par le sang et les contacts sexuels. Le vaccin est donc utile chez les enfants dont un parent est porteur du virus. Or, il y a un dépistage obligatoire pour la mère à la fin du 2ème trimestre de la grossesse. 

Ce vaccin est inutile chez au moins 95 % des nourrissons. Pourquoi leur faire courir le risque, même très faible, d’effets indésirables, s’il n’y a aucun bienfait en contrepartie ? 

Selon les experts, la durée de protection contre le VHB reste incertaine, elle serait longue (>15 ans) : actuellement, aucun rappel ne semble nécessaire. C’est donc au-delà de 15 ans qu’il faudrait vacciner et uniquement celles et ceux qui courent des risques par leurs comportements ou par leur profession. 

Enfin affirmer qu’avec le vaccin contre l’hépatite B, il n’y a pas d’atteinte neurologique avant 2 ans, ne préjuge pas d’atteinte plus tardive, quand on sait qu’il y a 25 cas de sclérose en plaques (SEP) de plus chaque année (700 enfants au total en France), commençant vers 6 ans et dans un âge moyen de 11-12 ans. 

Une étude épidémiologique rigoureuse s’impose pour comparer les cas de SEP avec la vaccination contre DTP seul, et depuis la diffusion de l’Hexavalent recommandé. Nous l’attendons. 

– Les infections à méningocoque C sont à risque infinitésimal en temps normal. La vaccination ne devrait être envisagée qu’en cas de risque d’épidémie avéré. En dehors de ce cas, dans une lettre ouverte aux députés, des confrères médecins généralistes estiment que : « la vaccination universelle contre le méningocoque C risque de provoquer plus d’effets indésirables graves chez les nourrissons que de bénéfices dans la population générale. [5] ». Nous partageons leur position. 

On connaît actuellement 27 maladies bactériennes, 27 maladies virales, 10 maladies parasitaires, 2 maladies mycobactériennes. La décision de vacciner contre certaines, et pas d’autres, nécessite un débat scientifique qui n’a pas eu lieu

Il y a cependant une logique, mais elle n’est pas d’ordre médical, ni scientifique. 

C’est une « logique » administrative qui arrange les Autorités, sans parler des laboratoires pharmaceutiques. 

Mais cette « logique » entraîne pour nous, professionnels de santé, une insécurité juridique importante. En nous y conformant, nous nous mettons en opposition avec la loi française et avec le droit international comme vous allez le vérifier !! 
 

Non-conformité de l’obligation vaccinale de la loi française avec le droit international

En 2005, l’Unesco a adopté la Déclaration Universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme avec un consensus de 193 pays dont la France. Elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé, de la personne concernée et fondé sur des informations suffisantes. 

Ce n’est évidemment pas le cas de la vaccination obligatoire qui est imposée aux parents sous la menace de sanctions pénales et d’exclusion discriminatoire des collectivités (exclusion des écoles et crèches à compter du 1er juin 2018). Ainsi les enfants fragiles dans les suites de chimiothérapie, ou les poly-allergiques, qui ne peuvent, ne doivent pas être vaccinés, seront-ils exclus à jamais des collectivités ? Rien ne l’indique. 

D’autre part, la Déclaration Universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme prévoit dans son article 2 que le « seul intérêt de la Science ou de la Société ne doit pas prévaloir  ». Or, le principal argument formulé à l’appui de l’obligation vaccinale généralisée est l’intérêt de la société, au nom de la protection des personnes ne pouvant être vaccinées pour raisons médicales. 

Nous sommes donc là aussi dans la contradiction. 

De plus, la nouvelle obligation vaccinale contredit la loi du 4 mars 2002 relative au droit des malades, qui précise qu’« aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne  ». 

Enfin, le « Principe de Précaution », présent dans la Constitution Française, s’oppose évidemment à l’expérimentation grandeur nature, à l’échelle de toute la population des nouveau-nés. 

La décision de vacciner doit rester de la responsabilité de chaque médecin et de chaque famille, sans leur imposer des gestes ne tenant compte ni de l’hérédité, ni des prédispositions du nouveau-né, ni de son cadre de vie et de son risque réel d’infection pour chaque maladie. 

Ce sont les informations que le médecin doit obtenir et il n’est pas envisageable qu’il s’en passe : on ne vaccine pas à l’aveugle. 

C’est la norme dans la plupart des pays européens où les enfants ne sont pas plus infectés qu’en France, alors que la vaccination n’est pas obligatoire. 

Ne serait-il pas plus judicieux que le gouvernement raisonne en termes de recommandations et non sur le mode de l’obligation-sanction ? Les médecins et leurs patients ne sont pas stupides. Et il est bien connu que la responsabilisation donne de meilleurs résultats que la culpabilisation.
La ministre de la santé croit-elle vraiment qu’elle va restaurer la confiance dans les vaccins en laissant planer autant d’inquiétudes sur les épaules des parents et sur celles des professionnels de santé ? 
 

Pas de consensus médical ni citoyen sur les onze vaccins obligatoires

Une concertation citoyenne a eu lieu, mais, contrairement à ce qu’affirment aujourd’hui les autorités et la plupart des médias, cette concertation ne s’est pas prononcée en faveur de l’obligation vaccinale. 

Le Monde Diplomatique de janvier 2018 rappelle que le président de la concertation citoyenne à propos des vaccins, notre collègue Alain Fischer, « n’avait pas noté dans sa déclaration publique d’intérêts avoir reçu en 2013 un prix Sanofi-Institut Pasteur de 100 000€. En outre les conclusions présentées par celui-ci n’étaient pas le reflet de la concertation sur des points majeurs. » 

Les professeurs Olivier Saint-Lary et Vincent Renard, respectivement président et vice-président du Collège National des Généralistes Enseignants (CNGE) l’ont rappelé avec force dans le Quotidien du Médecin du 27 novembre 2017 (p. 15) sous le titre : « Obligation vaccinale : la balance bénéfice/risque semble défavorable.  » : 

« Si une consultation citoyenne a bien eu lieu, aucun des groupes de concertation (usagers et professionnels) ne s’est prononcé en faveur de cette obligation. Seule la conclusion l’a proposée en s’affranchissant des préconisations des deux groupes. » 

Nous sommes donc face à un recul démocratique. Cet élément pourrait là aussi se retourner contre la décision du ministère de la Santé. 

Le comité d’orientation de la concertation citoyenne sur la vaccination a d’ailleurs été dénoncé comme « une véritable opération de propagande (…) menée pour inciter les Français à se vacciner  » par l’ancien secrétaire général de la Conférence nationale de santé Thomas Dietrich [6], qui a dénoncé l’absence de transparence sur les questions de santé. 

Selon l’association pour une information médicale indépendante Formindep, cette concertation constitue « un échec complet  » et traduit « un tableau alarmant de notre démocratie sanitaire  ». 
 

La question des adjuvants, en particulier de l’aluminium dans les vaccins, n’est pas résolue

Les antigènes présents dans les vaccins sont associés à des ADJUVANTS qui ne sont pas sans risques [7] destinés à stimuler d’une façon non spécifique le système immunitaire du nourrisson en construction. 

Le plus utilisé en France est l’Hydroxyde d’aluminium 

Quand la ministre Agnès Buzyn tranquillise les familles en affirmant que cet adjuvant est utilisé et bien supporté depuis 90 ans, elle ne tient pas compte de sa quantité injectée ni des effets secondaires dont l’augmentation des réactions allergiques. Ces effets secondaires étaient jusqu’alors peu répertoriés et leurs capacités empoisonnantes moindres car on apportait auparavant moins d’aluminium. Sans compter que la pratique récente de l’injection intra-musculaire du vaccin le rend plus nocif. 

En outre les changements considérables de notre environnement (pollution chimique de nos aliments par les herbicides, les perturbateurs endocriniens, et peut-être aussi la pollution électromagnétique) pourraient fragiliser les réponses immunitaires aux vaccins tout en favorisant la pénétration de l’aluminium dans le cerveau des nourrissons. 

Quand la ministre cherche sur les grands médias à affoler les familles, s’enorgueillit des décisions qu’elle prend, dénigre celles et ceux qui – sans être contre les vaccins -, mais sont pour une administration vaccinale adaptée à l’âge et à l’état du nourrisson, sous la responsabilité du médecin, elle n’adopte pas une attitude responsable. 

Il faut pourtant ne pas ignorer que l’aluminium a été : 

– supprimé des vaccins animaux du fait de l’apparition de sarcomes (cancers très graves) notamment chez le chat, dans la zone vaccinale, ou ailleurs dans le système osseux, les cartilages, les muscles. 

Une étude italienne sur « les fibrosarcomes des chiens sur le site d’injection des vaccins. Comparaison avec ceux des chats », est très claire, notamment dans son introduction : « des dépôts d’aluminium ont été détectés dans 8 fibrosarcomes canins sur le site présumé de l’injection ainsi que dans11 fibrosarcomes post-vaccinaux félins par la méthode acide aurintricarboxylic. [8] » 

Nous demandons que des recherches dans ce sens soient réalisées sans tarder chez les jeunes atteints de sarcomes quelles que soient les localisations. 

– L’aluminium a été retiré des produits cosmétiques du fait de son absorption transcutanée qui pourrait augmenter les risques de cancer du sein. 

Les animaux, les produits de beauté sont donc sanctuarisés. Mais pas les vaccins pour les enfants, alors que l’aluminium est directement injecté dans le muscle, contournant les protections (barrière intestinale, épiderme). 

Les 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons contiennent 3,8 mg d’aluminium, injectés dans les muscles, ce qui dépasse de loin les normes autorisées pour les adultes. 

Contrairement à ce qui est répété dans de nombreux médias mal informés, et par la ministre elle-même, la toxicité de l’aluminium dans les vaccins a été clairement établie par les travaux du Pr Romain Gherardi [9] qui ont fait l’objet de publications internationales au plus haut niveau. 

De même, l’équipe du Pr Christophe Exley, spécialiste de l’aluminium depuis 30 ans, a pu détecter récemment la présence toxique d’aluminium dans le cerveau de personnes autistes décédées. Certains avaient à peine 14-15 ans. « L’aluminium est intracellulaire. Dans les neurones mais surtout dans les cellules qui ne sont pas neuronales. Ce sont les cellules pro-inflammatoires. Des cellules qui viennent du corps qui traversent la barrière sang-cerveau en emportant l’aluminium avec elles. » https://www.prevention-sante.eu/actus/aluminium-autisme-decouverte-pr-christopher-exley 

C’est bien la voie d’administration qui est importante, car pris par voie digestive l’aluminium est normalement rejeté dans les déchets et donc sans danger, ce qui n’est pas comparable à l’injection intramusculaire, comme certains cherchent à le faire croire, car alors la quasi-totalité de l’aluminium vaccinal est capturé puis retenu dans le système immunitaire. 
 

  • L’hydroxyde d’aluminium des vaccins a l’inconvénient de persister très longtemps (plusieurs années) dans l’organisme. Cette biopersistance est responsable : de la myofasciite à macrophages dans la zone d’injection du vaccin : le 22 décembre 2017, une femme a obtenu une indemnisation suite au développement d’une myofasciite à macrophages après vaccination contre l’hépatite B contenant des adjuvants aluminiques ; 
     
  • d’effets dans d’autres zones du corps, comme les organes lymphoïdes, le cerveau, les os, les reins.., avec des effets à long terme qu’l ne faut pas dissimuler à la population. 
     

Risque de mort subite du nourrisson suite à la vaccination !

La somme desvaccins, utilisés trop tôt chez les nouveau-nés, peut déclencher une réponse inflammatoire puissante, par libération de protéines spéciales fabriquées par un système immunitaire agressé, les cytokines [10], pouvant entraîner la mort subite du nourrisson. 

Une corrélation de temporalité est reconnue dans des cas précis. 

Aux USA, en 2017, une publication [11] fait état parmi 20231 cas de complications rapportées après vaccination contre l’hépatite B, – 51% concernant des enfants de moins de 2 ans -, 197 Sudden Infant Death Syndrome (SIDS), c’est-à-dire Morts subites du nourrisson. Chez d’autres de plus d’un mois et de moins de deux ans, ce sont surtout les atteintes du système nerveux qui sont observées. 

Bien avant, une publication du Consumer Health (Volume 22 Issue 4 April, 1999), http://www.consumerhealth.org/articles/display.cfm?ID=19990705002005, du Dr Viera Schreiber rapportait 41 cas d’enfants morts dans les 21 jours après la première injection vaccinale. Plus des trois quarts des morts subites étaient corrélées à la vaccination. 

Le Dr Schreiber avait pris soin d’enregistrer et d’analyser es troubles respiratoires chez les nourrissons avant et après vaccination. Elle donnait en référence son livre « Vaccination : The Medical Assault on the Immune System ». 


Au Japon, en 1975, 37 cas de morts subites étaient rapportés et reliés aux vaccins. Les vaccinations avant deux ans furent alors supprimées par le gouvernement japonais entre 1975 et 1988. Les déclarations de morts subites ont disparu, jusqu’à ce que la liberté de vacciner de 3 mois à 48 mois reprenne, et que le taux de morts subites reparte à la hausse. 

En 1982, dans Neurology, William C. Torch, pédiatre neurologue, publie « Diphteria-pertussis-tetanus (DPT) immunization : a potential cause of the Sudden Infant Death Syndrome (SIDS) » [12]. Sur 200 cas randomisés, il rapporte 70 cas de mort subite du nourrisson dont les deux tiers avaient été vaccinés au cours des 3 semaines précédentes. Il observait aussi une augmentation du nombre de cas, si on prend en compte un délai plus grand. 

Evidemment toutes ces publications ont été fortement et agressivement attaquées. Mais on ne peut nier la relation temporelle entre vaccination précoce et mort subite. 

Donc ce risque ne peut être passé sous silence. Vous devez en être informé afin que vous connaissiez exactement les dangers possibles de ces 11 vaccins injectés aux nourrissons avant l’âge de deux ans. 

Nous estimons indispensable que ces informations soient portées à votre connaissance. 

Des médecins indiens en 2017, rapportent après vaccination hexavalente, – celle qui fait partie des 6 premières des 11 vaccinations aujourd’hui obligatoires -, parmi les morts subites, 93,3% de décès de nourrissons de moins d’un an dans les 10 premiers jours suivant la vaccination, avec concentration les 3 premiers jours, et 7% dans les 10 jours suivants. 

Chez ceux de plus d’un an, 83% de décès ont été répertoriés dans les 10 premiers jours et 17% après le 10ème jour.[13] La publication fait état du rapport confidentiel (n°19) fourni aux autorités européennes (EMA, European Medical Agency) par la firme GlaxoSmithKline (GSK) sur le sujet. Les collègues indiens demandent aux autorités de santé de leur pays de réviser leur confiance dans les affirmations de l’EMA. 

Voilà pourquoi ce devrait être au seul médecin, et sous sa responsabilité, de prescrire en confiance avec les familles, telle ou telle vaccination chez les nourrissons, les enfants ou les adultes, en fonction de leur état de santé et de leurs besoins de protection, suivant leur environnement et leur mode de vie. 
 

Pour une véritable reconnaissance des complications liées à la vaccination

La grande réticence des familles aux 11 vaccinations obligatoires s’explique aussi par la non-prise en compte des complications liées aux vaccins, plus nombreuses et graves que ne l’affirment les autorités de santé. 

Les cas d’autisme, [14] de fibromyalgie, fatigue chronique, narcolepsie, et autres pathologies auto-immunes attribués par les patients à leur vaccination restent trop nombreux [15] pour être écartés définitivement. 

En effet, selon le professeur Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations, « il est généralement admis que 1 à 10 % des effets secondaires graves liés aux médicaments font l’objet d’une déclaration aux centres régionaux de pharmacovigilance [16] », ce qui signifie que l’écrasante majorité des cas n’est pas analysée. 

En particulier, il n’est pas démontré qu’aucun lien ne sera jamais établi avec la vaccination, notamment pour des cas de cancers observés chez des enfants et des jeunes, tels les sarcomes, cancers très graves, que l’on a relié à l’aluminium chez les animaux dans différentes parties du corps, mais qui restent chez les enfants et les jeunes sans cause(s) reconnue(s), en dehors de dépression immunitaire majeure. 

Face à ces risques bien réels, la confiance ne sera restaurée qu’en proposant les meilleurs vaccins nécessaires, injectés séparément selon l’âge de l’enfant, testés comme les médicaments, et qui ne contiendront plus des adjuvants nocifs
 

Non à la précipitation

Jusqu’à présent, les autorités françaises font la sourde oreille et n’écoutent ni les citoyens qui s’expriment, immédiatement catalogués « complotistes » et « anti », ni les professionnels de santé qui s’inquiètent. 

Ceux qui osent prendre part au débat sont trop rares et alors trop facilement accusés d’être « anti-vaccins ». Cet ostracisme est mené par tous ceux qui veulent imposer les vaccinations dans la précipitation, sans en étudier en détail les conséquences possibles. 

Cela ne correspond absolument pas à notre position qui est prudente, scientifiquement et médicalement fondée, et qui rejoint les conclusions de nombreux experts indépendants des laboratoires. 

Aujourd’hui, la décision hâtive du gouvernement d’imposer les onze vaccins obligatoires met toute la profession médicale dans une position plus qu’inconfortable. 

Avant que ne se produisent les premières conséquences de l’application de la loi, nous vous invitons à signer cet APPEL A LA RAISON pour poser des questions et demander un débat ouvert sur des bases médicales et scientifiques. 


 

 

Nous sommes en démocratie et la force du nombre est indispensable pour faire vivre le débat et empêcher l’enfermement dans une politique contraignante, autoritaire, et aveugle, dont les dommages collatéraux sont connus d’avance. 

Aujourd’hui, on nous assure que tout ira bien. Les récentes affaires du Médiator et d’autres médicaments, où de nombreux praticiens ont été mis en cause, prouvent que les assurances des autorités sont illusoires. 

Elles ne sont de toute façon pas conformes au Serment d’Hippocrate et au principe de la responsabilité du médecin. 

C’est pourquoi nous vous invitons à signer notre Appel à la Raison, et à transférer ce message à tous les praticiens de votre entourage. 

Encore une fois, il ne s’agit en aucun cas de s’opposer au principe de la vaccination, mais au contraire de le réaffirmer face à une politique aventureuse qui ne peut que conduire à semer encore plus le doute dans les esprits !!! 

Selon le Vaccine Confidence Project (« Projet confiance dans les vaccins ») dont les résultats ont été publiés sur EBioMedicine en septembre 2016, 41% des Français interrogés estiment que les vaccins ne sont pas sûrs, un record mondial, malgré une propagande pro-vaccinale intense récente. 

Le phénomène ne peut plus être ignoré. Il dépasse largement le cercle des militants anti-vaccins qui reste très marginal et auquel on cherche trop souvent à nous associer sans le moindre discernement.

Pour restaurer la confiance, demandons au gouvernement le dialogue, la transparence, un vrai débat scientifique basé sur des preuves médicales, pour une décision réellement conforme au bien de chacun. 
 

En conclusion nous demandons un engagement formel et officiel des autorités de santé sur les 5 points suivants

  • Pas de vaccination obligatoire avant les deux ans de l’enfant, sauf nécessité justifiée et prescrite par le médecin responsable. 
     
  • La prise en compte de la protection par les anticorps du lait maternel afin que le maximum d’enfants puisse en bénéficier (et selon le libre choix de la mère), comme cela est recommandé par l’OMS, pour reculer les dates de vaccinations. 
     
  • La soumission impérative des vaccins à des tests adaptés, inspirés de ceux des médicaments pour obtenir l’AMM. 
     
  • La suppression de la vaccination des nourrissons contre l’hépatite B, inutile dès la 6ème de semaine de vie. 
     
  • La mise au point d’adjuvants non toxiques dans les vaccins, tel le phosphate de calcium qui est inoffensif, les preuves scientifiques certaines de la toxicité de l’aluminium étant établies. 
     

Ce n’est qu’à ce prix que la confiance vaccinale sera rétablie dans notre pays. 

N’hésitez pas à diffuser cet APPEL À LA RAISON à tous les personnels de santé parmi vos connaissances. 

Eux aussi doivent être protégés pour rester au service de leurs patients. 

Avec nos remerciements, 

Pr Luc Montagnier
Pr Henri Joyeux 


 

 

**** 

Sources : 

[1] Concentrations of granulocyte colony-stimulationg factor in human milk after in vitro simulations of digestion. DA Calhoun, M Lunoe, Y Du, SL Staba, RD Christensen. Pediatr Res 1999 ; 46(6) : 767-71. 

 Breastfeeding provides passive and likely long-lasting active immunity. LA Hanson. Ann All Asthma Immunol 1998 ; 81(6) : 523-33.

[2] Cours de Justice de l’Union Européenne, affaire C-621/15, « N. W. e. a. contre Sanofi Pasteur MSD SNC e. a. », arrêt du 21 juin 2017. 

[3] Pneumocoque, 91 % ; hépatite B, 88 % ; ROR, 78 %, méningocoque C, 70 %. 

[4] http://invs.santepubliquefrance.fr/Dossiers-thematiques/Maladies-infectieuses/Maladies-a-prevention-vaccinale/Couverture-vaccinale/Donnees/Diphterie-tetanos-poliomyelite-coqueluche 

[5] https://30ansplustard.wordpress.com/2017/10/16/lettre-ouverte-aux-deputes-contre-le-projet-dextension-de-lobligation-de-vaccination-des-nourrissons/ 

[6] Thomas Dietrich, “Démocratie en santé, Les illusions perdues”, contribution au rapport de l’Inspection générale des affaires sociales sur les pilotages de la démocratie en santé au sein du ministère des affaires sociales et de la santé remis le 19 février 2016. 

[7] Aluminium in brain tissue in autism – Matthew MoldaDorcas UmarbAndrew KingcChristopher Exleya – Journal of Trace Elements in Medecine and Biology – – https://doi.org/10.1016/j.jtemb.2017.11.012 

– Non-linear dose-response of aluminium hydroxide adjuvant particles : Selective low dose neurotoxicity– Crépeaux Gu. & all – Toxicology jan.2017 Vol : 375, Page : 48-57 

[8] Vascellari M, Melchiotti E, Bozza MA, Mutinelli F. Fibrosarcomas at presumedsites of injection in dogs : characteristics and comparison with non-vaccinationsite fibrosarcomas and feline post-vaccinal fibrosarcomas. J Vet Med A Physiol Pathol Clin Med. 2003 Aug ;50(6):286-91. 

[9] Travaux de niveau international expliqué avec toutes les références scientifiques dans son livre ”Toxic Story” – Ed Actes-Sud 2017. 

[10] On parle de ”cytokine storm”, tempête ou orage de cytokinique ! 

[11] Safety of currently licensed hepatitis B surface antigen vaccines in the United States, Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), 2005-2015. – Haber P1Moro PL2Ng C2Lewis PW2Hibbs B2Schillie SF3Nelson NP3Li R2Stewart B4Cano MV2Vaccine. 2017 Dec 11. pii : S0264-410X(17)31722-X. doi : 10.1016/j.vaccine.2017.11.079. [Epub ahead of print] 

[12] American Academy of Neurology, 34th Annual Meeting, Apr 25-May 1, 1982. Neurology 32(4):pt.2). 

[13] Infanrix hexa and sudden death : a review of the periodic safety update reports submitted to the European Medicines Agency- Jacob Puliyel, C Sathyamala – Indian Journal of Medical EthicsDOI : 10.20529/IJME.2017.079 

[14] Aluminium in brain tissue in autism – Christopher Exley, Andrew King, Matthew Mold et Dorcas Umar, Journal of Trace Elements in Medicine and Biology, vol. 46, Elsevier, Amsterdam, mars 2018 (en ligne depuis le 26 novembre 2017). 

[15] Voir par exemple récemment dans la presse :https://www.francetvinfo.fr/sante/politique-de-sante/il-ny-a-plus-de-solution-a-part-se-mettre-hors-la-loi-le-desarroi-des-parents-refractaires-aux-nouveaux-vaccins-obligatoires_2536671.html 

[16] Comment faire de la pédagogie autour du vaccin ?”,Actualité et dossier en santé publique Daniel Floret, n°71, Haut Conseil de la Santé Publique, Paris, juin 2010. 



235 réactions


  • zygzornifle zygzornifle 20 janvier 2018 16:04

    on verra quand éclatera le prochain scandale d’ici 3 ou 4 ans le temps que ce distilla de poison agisse ..... 


    • Parlez moi d'amour Parlez moi d’amour 20 janvier 2018 21:58

      @zygzornifle

      Oui, au détriment de familles saccagées par le drame d’un bébé qui aura mal réagit. J’angoisse à l’avance pour ces cas forcément dramatiques d’autant qu’il faudra du temps et de la constance pour faire reconnaître le préjudice de vies gâchées sous le prétexte fallacieux de les protéger.


  • Le Comtois 20 janvier 2018 16:23

    Je reprends ceci, car c’est intéressant… 

    « Les Laboratoires ont réussi à supprimer l’aluminium qui sert d’adjuvant dans les vaccins pour les chiens et les chats…en d’autres termes pas les vaccins pour l’homme ! Or, c’est peu de dire que l’aluminium est suspecté de toxicité ! A tel point que les produits cosmétiques ou sanitaires rivalisent de publicité pour vanter l’absence d’aluminium dans leurs produits. Les déodorants tout particulièrement !

    Un seul exemple  : quand on sait que l’aluminium est suspecté d’intervenir directement dans la maladie d’Alzheimer et que celle-ci est en train de se développer de manière exponentielles dans notre pays, il y a de quoi se poser quelques questions. » Parfaitement légitime n’est ce pas …

    Donc, si un jour il y a des graves problèmes de santé avec cette décision, il faudra que des têtes tombent ! 

     


    • doctorix, complotiste doctorix 20 janvier 2018 17:11

      @Le Comtois
      Et encore, il n’y a aucun rapport entre l’alu ingéré et l’alu injecté, au niveau des concentrations obtenues.

      Multiplier les vaccins grippaux annuels augmente fortement le risque d’Alzheimer (Alu ou mercure dans certain pays encore).
      De plus, le vaccin étant le même pour le bébé et l’adulte, les concentrations tissulaires de toxiques peuvent être quinze fois plus fortes chez le bébé que chez l’adulte.
      On n’imagine pas Mme Buzyness se faire injecter 15 doses par vaccin : c’est pourtant ce qu’elle recommande à nos enfants. 


    • popov 21 janvier 2018 11:11

      @doctorix

       
      Bonjour
       
      Si le phosphate de calcium est aussi efficace que l’hydroxyde d’aluminium et que l’aluminium est tellement dangereux qu’on le retire des vaccins animaux, pourquoi n’est-il pas interdit dans les vaccins humains, surtout ceux administrés aux nourissons ?

      Le prix ? On produit du phosphate de calcium à la tonne pour les engrais et les compléments alimentaires destinés aussi bien à l’alimentation humaine qu’animale.
       
      Est-ce le degré de pureté exigé pour les vaccins qui fait exploser le prix ? Quelle est en fait la différence de prix entre un vaccin à l’aluminium et un vaccin au phosphate de calcium ? 
       
      Est-ce que cette différence ferait un trou dans le budget de la sécu ? Dans ce cas pourquoi ne pas proposer un vaccin à l’aluminium gratuit et un autre au phosphate pour lequel l’utilisateur payerait la différence ?
       
      Il reste une hypothèse assez monstrueuse : les vaccins à l’aluminium, à cause des effets secondaires qu’ils produisent, seraient une source de revenus futurs pour l’industrie pharmaceutique en raison des médicaments qu’elle pourra vendre pour traiter ces effets néfastes. Une sorte d’investissement, en quelque sorte.


       
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    • doctorix, complotiste doctorix 24 janvier 2018 14:13

      @Alcyon
      C’est tout l’art du vaccin : il tue rarement, mais blesse souvent pour la vie, sans tuer.

      L’important pour l’industrie pharmaceutique et vaccinale est de créer des malades à vie. Pas des morts, qui par définition ne rapportent rien.
      Mais des malades, qu’il faudra soigner 80 ans.

    • foufouille foufouille 24 janvier 2018 14:31

      @doctorix

      si tu es malade 80 ans, tu décéderas bien avant. c’est big pharma à cuba ?


  • Giordano Bruno - Non vacciné Giordano Bruno 20 janvier 2018 16:39

    Merci Doctorix pour cet article.

    Je me pose deux questions :
    - Peut-on trouver des vaccins monovalents ou/et sans adjuvants toxiques dans d’autres pays ? Et si oui lesquels ?
    - Que faites-vous avec vos patients vous demandant de vacciner leur enfant ?

    Je vous remercie par avance pour vos réponses.


    • doctorix, complotiste doctorix 20 janvier 2018 17:00

      @Giordano Bruno
      Je ne crois pas qu’il y ait grand choix dans ce domaine. Les labos sont une grande famille...


      Les patients nouveaux, je les informe que je ne vaccine pas.
      La plupart des anciens connaissent ma position. Ceux qui ne l’approuvent pas m’ont quitté.
      Jusqu’ici, je faisais quand même le revaxis après 6 ans, pour rester légaliste (dtpolio).
      Maintenant, avec 11 valences obligatoires, je ne pourrai plus rester dans les clous ;
      Il y a certes une obligation d’être vacciné, mais aucune obligation de vacciner.
      Manquerait plus que ça...
      Le rêve, c’est quand tous les médecins auront compris et pratiqueront le refus, par conviction ou par peur.
      Il y faudra encore un peu de temps.

    • cevennevive cevennevive 20 janvier 2018 17:36

      @doctorix

      « Je ne crois pas qu’il y ait grand choix dans ce domaine. Les labos sont une grande famille... »

      En effet ! Lorsque l’on connaît le problème du Lévothyrox... Toujours pas résolu. 

      Circulez, y’a rien à voir ! Vous n’avez qu’à faire ce que l’on vous dit de faire. Point.


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 21 janvier 2018 09:24

      @cevennevive
      Pour le Lévothyrox, j’ai rencontré une personne qui m’a dit qu’elle commandait l’ancienne version en Espagne...


    • cevennevive cevennevive 21 janvier 2018 10:44

      @Fifi Brind_acier, bonjour,


      Merci. Oui, en effet l’on trouve l’ancienne formule dans certains pays de la CEE. Moi-même en avais acheté en Sicile lors d’une visite à de la parentèle, en septembre.

      Mais, vous conviendrez que ce n’est pas une solution durable. Juste à court terme et aléatoire.

      Bien à vous.



    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 21 janvier 2018 11:06

      @cevennevive
      C’est de l’empoisonnement organisé.


  • popov 21 janvier 2018 11:15

    @doctorix

     
    Bonjour

    (J’ai placé ce commentaire au mauvais endroit, je le recopie donc ici)
     
    Si le phosphate de calcium est aussi efficace que l’hydroxyde d’aluminium et que l’aluminium est tellement dangereux qu’on le retire des vaccins animaux, pourquoi n’est-il pas interdit dans les vaccins humains, surtout ceux administrés aux nourissons ?
     
    Le prix ? On produit du phosphate de calcium à la tonne pour les engrais et les compléments alimentaires destinés aussi bien à l’alimentation humaine qu’animale.
     
    Est-ce le degré de pureté exigé pour les vaccins qui fait exploser le prix ? Quelle est en fait la différence de prix entre un vaccin à l’aluminium et un vaccin au phosphate de calcium ? 
     
    Est-ce que cette différence ferait un trou dans le budget de la sécu ? Dans ce cas pourquoi ne pas proposer un vaccin à l’aluminium gratuit et un autre au phosphate pour lequel l’utilisateur payerait la différence ?
     
    Il reste une hypothèse assez monstrueuse : les vaccins à l’aluminium, à cause des effets secondaires qu’ils produisent, seraient une source de revenus futurs pour l’industrie pharmaceutique en raison des médicaments qu’elle pourra vendre pour traiter ces effets néfastes. Une sorte d’investissement, en quelque sorte.
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    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 21 janvier 2018 17:24

      @popov
      J’ai lu quelque part qu’il faudrait modifier tous les processus des lignes de production des vaccins, pour changer d’adjuvants...


      A moins qu’il y ait du nouveau chez Bigpharma, il n’y a aucun médicament contre la myofasciite à macrophages. « Dites-nous de quoi vous avez besoin, on vous expliquera comment vous en passer », disait Coluche !

      Pour la simple raison qu’il n’y a aucune recherche, le Ministère de la santé ayant déclaré que c’était une maladie imaginaire... Cf « Professeur Fischer auditionné à l’Assemblée Nationale » sur la toxicité de l’aluminium des vaccins...

      Il explique qu’il n’y a qu’en France que des patients se plaignent, et qu’il n’y a aucune recherche sur cette toxicité dans le monde, ce qui est faux. Mais vu le nombre d’adjuvants qu’on insuffle dans les vaccins, (une vraie poubelle) , il est aussi possible qu’il y ait des effets de synergie entre l’aluminium et un ou plusieurs adjuvants... ?


      Pour savoir, il faudrait financer des recherches, et pour financer des recherches, il faut que le problème soit posé. Pour l’instant au Ministère, c’est « circulez, y a rien à voir ! »

      Il finira par y en avoir, des recherches, car les Français sont de plus en plus suspicieux vis à vis de Bigpharma en général, vu les scandales qui se multiplient, et vis à vis des vaccins en particulier. « 56% sont opposés aux 11 vaccins ». Il va arriver un moment où les pertes financières coûteront plus cher aux actionnaires, que de changer d’adjuvant.... 

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  • Giordano Bruno - Non vacciné Giordano Bruno 21 janvier 2018 12:27

    Votre hypothèse monstrueuse est celle qui a largement ma faveur. Je pense que l’intérêt financier des vaccins n’est pas tant la vente desdits vaccins mais les revenus colossaux qui peuvent être obtenus par les soins nécessaires pour prendre en charge les maladies ainsi développées. Asthmatique depuis plus de 40 ans, j’ai rapporté à l’industrie pharmaceutique, et coûté à la collectivité, des milliers d’euros. Après le pompier pyromane, voici, bien plus lucrative, l’industrie pharmacologique pathomane. Comprenez que le souci de ces gens est le profit et non la santé. Les conséquences en découlent tout naturellement.

    On peut ajouter d’autres faits pour étayer l’hypothèse. Par exemple :

    Rendre obligatoire les vaccins avant deux ans, alors qu’ils sont justement moins dangereux après. Le profit en termes de vente de vaccins serait le même qu’ils soient vendus à tel ou tel âge. L’intérêt est donc ailleurs.

    Une équipe a recherché si des nanoparticules étaient présentes dans un ensemble de différents vaccins. Ils en ont trouvé dans tous les vaccins passés en revue sauf un. Celui-ci était le seul vaccin vétérinaire étudié.

    Le test vétérinaire du dépistage de la maladie de Lyme est plus performant que celui destiné aux humains.

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    • doctorix, complotiste doctorix 21 janvier 2018 13:07

      @Giordano Bruno et popov
      J’ai bien peur que vous n’ayez tous deux raison : nous sommes donc trois affreux conspirationnistes.

      La différence de prix entre le mg d’hydroxyde d’Al et du mg de Phosphate de Ca est évident dérisoire.
      Il semble donc qu’il n’y ait qu’une volonté de nuire.
      J’ai déjà expliqué que les vaccins rapportaient pas mal lors de l’injection, mais bien plus encore à long terme puisque les maladies qu’ils induisent remplissent les salles d’attente.
      Les asthmes sont en particulier de l’ordre de 5 fois plus nombreux (et peut-être dix fois) selon les études.
      Les allergies, c’est encore pire, de l’ordre de 20 fois. L’herpes, c’est 63 fois. 
      Etc...Etc...
      En moyenne, on peut considérer que les vaccinés sont 5 fois plus souvent malades que les non vacinés. C’est ce qu’explique ce document :
      C’est bien pourquoi il faut se battre pour obtenir enfin une étude comparative étatique et non diligentée par les labos. Encore faudrait-il trouver un laboratoire d’état non infiltré par la peste laborantesque. Ce qui n’est pas évident : tout est noyauté.
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    • popov 21 janvier 2018 13:40

      @doctorix

       
      Qu’en est-il à Cuba où l’industrie pharmaceutique est nationalisée ? Voici un article qui parle de 11 vaccins dont seulement 3 sont importés.
       
      Il évoque aussi rapidement des effets nocifs de l’aluminium. Cet aluminium est-il présent uniquement dans les 3 vaccins importés ou aussi dans les 8 vaccins cubains ?
       

    • doctorix, complotiste doctorix 21 janvier 2018 14:30

      @popov
      Je n’en sais rien.

      Cuba est un pays qui investit beaucoup dans les vaccins, anti-cancer notamment (une superbe industrie pharmaceutique, soit dit en passant). Il est évident que ce pays a un préjugé favorable aux vaccins.
      Le problème est qu’un facteur n’est jamais pris en compte : la régression spontanée des épidémies, qui est un phénomène d’observation universel, comme le montrent toutes les courbes statistiques. Introduire un vaccin en période de décroissance spontanée tout à fait naturelle et normale permet aux vaccins de s’attribuer des mérites qu’ils n’ont pas.
      Et faire la part de ces deux facteurs est bien difficile.
      Mais pour moi, le vaccin est la mouche du coche, et sa disparition ne changerait pas grand chose au cours des maladies. Ce qui disparaitrait, ce sont les effets indésirables, qui sont infiniment plus importants en nombre et en gravité que ce qu’on en dit. Surtout à moyen et long terme. Seuls sont pris en considération les effets à court terme, parce qu’on ne peut pas faire autrement. Mais les autres sont autrement plus graves et nombreux.
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    • pipiou 21 janvier 2018 14:37

      @doctorix
      Cuba fait partie de Big Pharma c’est l’évidence smiley -)) smiley)


    • doctorix, complotiste doctorix 21 janvier 2018 16:20

      @pipiou
      C’est fou ce qu’on apprend de choses, en vous lisant.


  • Armelle Armelle 22 janvier 2018 09:44

    Quand on prend le temps de regarder ce documentaire diffusé sur Arté (55’), on ne peut s’empêcher de penser que ce dossier des vaccins n’est que l’arbre qui cache une immense forêt !!!
    Un médecin évoque d’ailleurs, non pas un marché de la santé mais bien un marché de la maladie !!!

    https://www.arte.tv/fr/videos/043980-000-A/le-jeune-une-nouvelle-therapie/

    ...Et j’ai tendance à donner plus de crédit à une thérapie qui n’a d’intérêt que, seulement et uniquement pour le malade !!!!!! Et c’est le cas pour celle-ci


    • doctorix, complotiste doctorix 22 janvier 2018 10:12

      @Armelle
      Le jeune est un complément extraordinaire à toute thérapie anti-cancer.

      La présence d’aluminium toxique dans les vaccins, qui pourrait être facilement remplacé par du phosphate de calcium inoffensif (on l’a bien fait dans l’autre sens !), laisse à penser qu’il y a intention délibérée de fabriquer des malades.
      Une théorie certes complotiste mais à laquelle je vais finir par croire.

    • Armelle Armelle 22 janvier 2018 11:02

      @doctorix
      ...Je suppose alors que phosphate de calcium est bien plus cher que l’aluminium ?
       où alors dois-je sortir de cette théorie complotiste et penser que ce produit présente plutôt une difficulté quelconque dans le process de fabrication, voire un problème de « tenue » qui fait que le vaccin ne pourrait se conserver longtemps ? Car dans ce cas, faire le choix d’un produit apportant non seulement des avantages techniques mais en plus des leviers de rentabilité importants ne peut être que judicieux dans le cerveau pourris d’individus pour qui la santé les fait (très bien) vivre !!! Du coup si jusqu’ici je ne portait que peu de crédit à la théorie du complot, je me dit que ce n’était cependant qu’une théorie...


    • njama njama 23 janvier 2018 11:32

      @Armelle

      Le professeur Romain Gherardi... répond aux questions de « L’Obs ».

      Serait-il possible d’utiliser d’autres adjuvants ? Comment faisait-on avant l‘aluminium ?

      En France, jusque dans les années 80, l’institut Pasteur a refusé l’aluminium, il utilisait du phosphate de calcium. On en a dans les os, l’organisme est « équipé » pour le tolérer. Mais quand les laboratoires Mérieux ont racheté l’institut Pasteur dans les années 80, les vaccins Pasteur sont passés à l’aluminium. Alors même que leurs vaccins au phosphate étaient d’excellente qualité.

      Pourquoi ce choix du tout-aluminium ?

      J’ai rencontré le comptable de l’institut Pasteur de l’époque. Il m’a expliqué qu’une dose de vaccin avec du phosphate de calcium coûtait à l’époque 30 centimes de francs de plus qu’une dose avec l’aluminium. De plus, pour obtenir l’immunisation, avec le phosphate, on n’avait besoin que de deux injections alors qu’il en fallait 3 avec l’aluminium. Mérieux a dit : « On préfère vendre 3 vaccins plutôt que 2 ». Il faut comprendre que la politique vaccinale est très déterminée par des intérêts financiers...

      source : Vaccins : « Nous ne savons pas grand-chose sur les effets de l’aluminium »
       L’Obs > Santé 24 sept. 2017


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    • njama njama 23 janvier 2018 11:34

      @ Armelle

      adjuvants vaccins
      hydroxyde d’aluminium vs phosphate de calcium

      « Le phosphate de calcium coûtait à l’époque 30 centimes de francs de plus qu’une dose avec l’aluminium »
      Il y a fort à parier que une troisième dose de vaccin coûte bien plus que 30 centimes de francs - en valeur constante 1980 / 2016 = 0.13 €uro selon un convertisseur Insee - .
      Pour les comptes de la sécu déjà très mal en point, à efficacité égale il vaudrait mieux 2 vaccins que 3, ça ne se discute pas !

      Pour la santé des enfants, à efficacité égale, et pour une toxicité moindre avec le phosphate de calcium, il vaudrait mieux 2 vaccins que 3, ça ne se discute pas !

      Question : Avis scientifiques ou corruption ? pourquoi donc l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), le CTV (Comité technique des vaccinations), le ministère de la santé valident les vaccins contenant des adjuvants aluminiques à l’efficacité moindre, à la toxicité supérieure, et donc plus coûteux ? plutôt que de contraindre l’industriel à les fournir avec l’adjuvant phosphate de calcium.

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    • njama njama 23 janvier 2018 11:51

      @Armelle
      Phosphate de calcium : une alternative aux sels d’aluminium
      https://www.vaccinssansaluminium.org/phosphate-calcium-alternative/

      Le Dossier Intégral
      Septembre 2015
      https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2015/09/Le-phosphate-de-calcium-Une-alternative-aux-sels-daluminium.pdf
      extrait page 10 :

      3. Le changement d’adjuvant est une modification mineure
      La Commission Européenne énonce dans sa directive de 2005 sur les adjuvants dans les vaccins à usage humain que, pour procéder au changement d’adjuvant dans un vaccin déjà autorisé, il n’est pas nécessaire de refaire l’ensemble des études cliniques.
      ...


    • njama njama 23 janvier 2018 11:58

      Le Dossier Intégral extrait page 10-11 :

      4. Le changement d’adjuvant s’est déjà produit : l’exemple des vaccins IPAD
      Comme nous l’indiquions supra, l’Institut Pasteur avait mis au point, au début des années 1970, des vaccins adsorbés sur phosphate de calcium (vaccins dénommés IPAD = Institut Pasteur ADsorbés sur phosphate de calcium), face aux risques présentés par les sels d’aluminium.
      En 1985, la branche vaccins de l’Institut Pasteur, Pasteur Production, fut rachetée par l’Institut Mérieux, donnant naissance à Pasteur Vaccins.
      ...
      Marc Girard (directeur scientifique en 1985 de Pasteur Vaccins - fruit de la fusion Pasteur / Mérieux) précisait que les critères économiques avaient prévalu dans cette volonté d’imposer l’aluminium comme seul adjuvant (30) :
      «  Avec l’arrivée de Mérieux, si vous voulez, les choses sont devenues beaucoup plus professionnelles. (...) c’était des industriels, c’est là où, dans un souci de rationalisation, l’Institut Mérieux a dit «  écoutez, on laisse tomber le phosphate de calcium, tout le monde fait de l’hydroxyde d’aluminium. » (...) Dans une industrie, c’est toujours plus compliqué d’avoir différents produits qu’il faut mélanger, pas mélanger, éviter de mélanger, etc. C’est plus simple d’avoir une ligne unique. »
       

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    • njama njama 23 janvier 2018 12:26

      extrait page 11 : Les choix raisonnables de l’Institut Pasteur n’ont ainsi pas résisté au « réalisme économique ».

      « Nous avons regretté que lors de la fusion Institut Pasteur-Institut Mérieux, le vaccin de ce dernier, sur aluminium adsorbé, ait été préféré aux vaccins Ipad sur phosphate de calcium pour des raisons politiques, même si les vaccins Ipad faisaient 40 % du marché aussi bien en France qu’à l’export  », déplore ainsi le Dr Jean-Paul DAMAS, lauréat de l’Académie nationale de médecine et ancien interne de l’hôpital de l’Institut Pasteur. Une analyse partagée par le Dr Louis LERY, de l’Institut Pasteur, dans une lettre adressée à la Sous-Direction des Affaires scientifiques du ministère des Affaires sociales le 29 septembre 1987 (31) :

      « (...)les publications portant sur les effets toxiques ou les effets indésirables de l’aluminium et de l’hydroxyde d’alumine sont de plus en plus nombreuses, d’année en année. Cet élément pousse ainsi à préférer des produits adjuvantés avec un autre sel minéral comme le calcium, composant habituel de notre économie générale. Récemment, en juillet dernier, l’administration américaine a pris des positions nettes concernant les allergènes retard contenant de l’hydroxyde d’alumine. »

      Malheureusement, ces alertes des chercheurs de l’Institut Pasteur ne furent pas entendues.

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  • njama njama 23 janvier 2018 11:35

    VIDEO. Envoyé spécial. Vaccins pour enfants : les labos font-ils de la vente forcée ?

    Une vidéo compromettante
    Pour deux cadres du laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) qui commercialise ce vaccin hexavalent, il s’agit d’abord de considérations de santé publique – lutter contre l’hépatite B –, et en aucun cas de raisons commerciales ou de rentabilité.

    Pourtant, Sophie Bonnet s’est procuré une vidéo datant de juin 2012, où l’on voit Jean Stéphenne, ancien directeur de la branche vaccin de GSK, se vanter de sa réussite. Il explique que GSK détient tous les brevets sur le vaccin contre l’hépatite B. En le combinant avec des vaccins non protégés par un brevet, le laboratoire étend son monopole sur l’hépatite B aux cinq autres vaccins  : « C’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful […] donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça. » Le labo a donc commercialisé ces vaccins multiples parce qu’il les trouvait beaucoup plus rentables.

    Extrait d’« Envoyé spécial. Se soigner à quel prix ? » du 11 février 2016. https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/envoye-special/video-envoye-special-vaccins-pour-enfants-les-labos-font-ils-de-la-vente-forcee_1311677.html

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    • njama njama 23 janvier 2018 11:36

      Voilà pourquoi les nourrissons français seront vaccinés contre l’hépatite B !

      A communiquer sans modération parce que faut pas compter sur Madame Buzyn pour le dire aux futurs parents

      « Nous avons acheté tous les brevets sur l’hépatite B, c’était la première fois qu’un vaccin était protégé par brevets. Nous avons tous les brevets, et maintenant, vous les concurrents, si vous voulez venir sur le marché, eh bien vous allez devoir négocier avec nous. Je pense que c’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful, et après on a développé des vaccins combinés, c’est à dire on a mis l’hépatite B avec tout autres produits qui n’étaient pas protégés par brevets, et en faisant ça, on rendait évidemment les produits combinés protégés.
      Et donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça... » 
      Déclaration de Jean Stéphenne qui a dirigé la branche vaccins chez GSK pendant 23 ans, en juin 2012

      Le laboratoire a donc cherché à créer un monopole, et il a commercialisé des vaccins multiples parce qu’il les trouvait plus rentables.

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    • nono le simplet 31 janvier 2018 16:06

      @Ar zen
      la rougeole n’existe pas mais je l’ai eue quand même ... les salauds !


    • nono le simplet 31 janvier 2018 16:09

      @nono le simplet
      remarque j’ai peut être attrapé le vaccin même si je ne l’ai pas été ( vacciné ) ... les salauds !


    • Legestr glaz Ar zen 31 janvier 2018 16:34

      @nono le simplet

      Ce qui est exprimé c’est que le « virus » de la rougeole n’existe pas. 

      Les personnes qui sont sujettes à des angines savent qu’il existe deux types d’angines : l’angine virale ou bactérienne et l’angine à streptocoques A. 

      Vous pouvez donc avoir une angine sans avoir été touché par le virus. 

      Ce que disent les Allemands, c’est que le « virus » de la rougeole n’existe pas. La rougeole existe belle et bien. Je l’ai eue aussi. 

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