samedi 20 août 2011 - par olivier cabanel

Fukushima, tragédie en sous-sol

Plus de 5 mois se sont écoulés depuis la catastrophe de Fukushima, et les gouvernements, comme les lobbys n’en finissent pas d’agiter des écrans de fumée pour tenter de nous masquer une réalité de plus en plus préoccupante.

Dans une courte vidéo consacrée à Tchernobyl, il est intéressant de faire un parallèle avec la situation qui se déroule à Fukushima.

On y entend Giscard affirmer à plusieurs reprises : « je crois tout d’abord qu’il faut rassurer les Français (…) il y a un taux de radioactivité qui est faible et qui ne peut avoir de conséquences pour la santé de la population  ».

Il évoque au sujet de la centrale de Tchernobyl « une technologie rustique » ce qui n’est pas sans nous rappeler la déclaration de Nicolas Sarközi, lors de sa visite au Japon, vantant les mérites de l’EPR, affirmant qu’il est bien plus sur que les centrales japonaises.

« Si on a perdu des marchés et des appels d’offres, c’est parce qu’on est les plus chers. Et si on est les plus chers, c’est parce qu’on est les plus surs » a-t-il déclaré 3 jours après la catastrophe de Fukushima. lien

Ce qui dénote d'un sérieux manque de diplomatie, et qui de plus est totalement erroné.

Comme le dit Marc Aroman du réseau « sortir du nucléaire" : « les centrales japonaises ont 5 barrières de confinement contre 3 en France (…) les entreprises qui ont construit les centrales nucléaires ont une avance nettement supérieure sur les technologies antisismiques »

Opale Crivello porte parole de cette organisation ajoute : « Fessenheim (et d’autres centrales françaises) ont un problème au niveau des coussinets des groupes électrogènes, sujets à une usure prématurée. En cas de coupure électrique, si ceux-ci ne tiennent pas, les conséquences pourraient être catastrophiques, une fusion partielle du cœur est possible ». lien

Et Jean Paul Biberian, ingénieur en Physique Nucléaire et Electronique, maitre de conférences de physique à la faculté des sciences de Luminy de conclure : « Personne n’est en mesure d’exclure l’hypothèse d’un accident (…) les centrales françaises ne seront jamais totalement sures (…) ne continuons pas le Concorde nucléaire, faisons l’Airbus des nouvelles énergies ». lien

On sait que ni le dernier « fleuron » l’EPR, ni les autres centrales, ou l’usine de la Hague, ne résisteront au crash d’un avion de ligne. lien

Mais revenons à Tchernobyl.

C’est ensuite Alain Madelin, alors ministre de l’industrie, des PTT, et du tourisme, qui prend la parole :

« Il faut dans cette affaire du nucléaire jouer complètement le jeu de la transparence (!) On s’aperçoit qu’il n’y a pas eu de maillon faible dans la sécurité des français, il y a eu un maillon faible dans la procédure de communication (…) je tiens à vous dire qu’il n’y a aucun problème de sécurité en France, aucun (…) nous n’avons rien à cacher, nous mettons cartes sur table (…) aucun risque sanitaire (…) aucune inquiétude à avoir ». puis on entend le Professeur Pellerin, responsable du SCPRI (service de protection contre les rayonnements ionisants) : « il s’agit d’une radioactivité qui est notable mais qui ne présente aucun inconvénient sur la santé publique, seulement on a fait tellement de catastrophisme sur le plan du nucléaire qu’on risque de déclencher des paniques (…) ça ne menace personne actuellement sauf peut-être dans le voisinage immédiat de l’usine, et encore c’est surtout dans l’usine que je pense que les Russes ont admis qu’il y avait des personnes lésées »

 A la question « est-ce qu’on a constaté quelque chose au dessus de la France ? » il répondait avec assurance et sérénité :

« Non, parce que les vents ne vont pas dans cette direction là, les vents tournent dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, il y a pas lieu du tout de s’inquiéter, c’est sans aucun dangers pour la santé publique »

Quand à la ministre française de la santé de l’époque, elle prenait la défense du professeur Pellerin en disant : « ils ont travaillé comme des bêtes pendant un mois, seulement ce n’est pas leur métier de faire de la communication »

Alors on se demande ce que le professeur Pellerin faisait sur les plateaux de télévision martelant d’énormes mensonges avec la plus grande conviction ?

Dans ce court documentaire, une experte physicienne russe conclut : « Le plus dangereux isotope sorti du réacteur de Tchernobyl, ce n’est ni le césium, ni le plutonium, mais le mensonge (…) un mensonge qui s’est propagé comme la radioactivité dans notre pays et dans le monde entier ». lien

Mais revenons à Fukushima.

Les coriums des 3 réacteurs sont manifestement partis jouer les « filles de l’air », et pour bien en comprendre le danger, il faut savoir qu’il peut atteindre 3000°C (la lave d’un volcan est en moyenne à 1000°C), faisant fondre la plupart des matériaux qu’il rencontre, détruisant tout sur son passage : il émet tellement de radioactivité (28 térabecquerels par kilo) que personne ne peut s’en approcher sans trouver la mort en quelques secondes.

Il faudra de longs mois pour amener la température du corium "à froid". (À Tchernobyl, il a fallu entre 6 et 7 mois, mais 18 ans après la catastrophe, on mesurait encore une température de 36° C à proximité du combustible fondu).

D’après de nombreux experts, la cuve du réacteur n°1 a été traversée dès le soir du 11 mars, et elle a traversé la dalle de 8 mètres d’épaisseur dès le 12 mars. lien

Sa vitesse de progression est inconnue, mais doit être assez rapide, et s’il s'est rassemblé, il a formé un puits d’environ 0,80cm descendant à la verticale, à moins qu’il ne se soit dispersé s’infiltrant dans des failles rocheuses, se divisant en multiples tentacules, ce qui lui ferait perdre de sa puissance.

Les experts pensent que le pire des cas serait que le corium s’enferme dans le béton, ou dans le sol, ce qui lui permettrait de conserver son intégrité, augmentant le nombre de neutrons récupérés, le rendant inaccessible, et donc quasi impossible à refroidir.

Un autre risque existe, en cas de Melt-through, (syndrome chinois) il peut fragiliser les fondations des réacteurs, provoquant des failles supplémentaires dans le béton des constructions, laissant s’échapper les milliers de litres d’eau encore présente dans la centrale et menaçant la stabilité des bâtiments. lien

Cerise sur le gâteau, comme la centrale n’est qu’à 200 mètres de l’Océan, si le corium rencontre la nappe aquifère en relation avec la mer, la contamination pourrait durer des dizaines d’années, polluant pour longtemps l’ensemble du littoral oriental du Japon.

Les trois coriums de Fukushima représentent 257 tonnes émettant donc plus de 7 millions de terabecquerels. lien. (Celui de Tchernobyl était estimé à un maximum de 80 tonnes).

Il faut aussi se souvenir que le corium du réacteur n°3 contient 300 kg de plutonium. lien

Le 4 aout, (lien) la caméra de surveillance a filmé un énorme dégagement de fumée, et de lumières intenses, puis la même situation s’est produite le 13 aout (lien) le 14 aout (lien) et le 18 aout (lien) (à partir d’une 1’10’’)

Pour beaucoup d’observateurs, il est évident que ces dégagements de vapeur radioactive et de lumières intenses sont provoqués par le corium, chaque fois qu’il rencontre de l’eau. (lien)

Dans ces dégagements de vapeur, on trouve du Neptunium, ce qui est la preuve d’une réaction nucléaire en cours, ce Neptunium-239 a une période de 2,4 jours, et se transforme en Plutonium 239, d’où le fort dégagement de chaleur, lorsque ces matières radioactives atteignent des poches d’eau. lien

Un ouvrier de Fukushima témoigne :

« Des vapeurs massives sortent des fissures de la terre (…) et il semble que la réaction nucléaire arrive du sous-sol. Nous évacuons : prenez garde à la direction du vent (…) nous avons peur ! ». lien

Un autre ouvrier ajoute :

« Prés des réacteurs, il y a beaucoup de fissures dans la terre, la vapeur sort de la, et nous avons découvert 10Sv/h à 6 endroits différents, malgré les annonces du gouvernement ». lien

Alors, lorsque ces jets de vapeur se produisent, les ouvriers sont obligés d’évacuer les lieux, pour échapper au danger radioactif. lien

Paul Gunter évoquant le syndrome chinois, déclare : « 1000 rems sortent de ces fissures (500 rems c’est la dose mortelle) (…) la dose maximale pour le public c’est 100 millirems par an, et là, c’est 1 million de millirems par heure ! Ce sont des doses létales qui sortent du sol.

Ils cherchent à contenir cet accident en construisant des tentes par-dessus les réacteurs, ce qui est un peu absurde et montre qu’on est à un point où on emploie des mesures désespérées.

Mais maintenant la vapeur radioactive remonte du sol par des fissures autour des constructions, ce qui signifie que cet accident est maintenant clairement, sérieusement, bien plus hors de contrôle que ce qu’on veut bien admettre ». vidéo

Pas étonnant dès lors qu’avec les quantités de radioactivité que délivrent chaque jour depuis plus de 5 mois les 3 réacteurs en fusion de Fukushima, les médecins aient détecté de l’iode radioactif dans les tyroïdes de nombreux enfants Japonais. lien

Devant cette situation ingérable, le gouvernement Japonais veut manier une fois de plus la censure, et prépare une révision de la constitution visant à limiter le droit d’expression en cas de catastrophe naturelle. lien

La désinformation continue de plus belle, comme par exemple ces « scientifiques » affirmant que l’on peut boire du plutonium sans danger. lien

Pourtant chacun sait qu’un microgramme de plutonium inhalé peut tuer un être humain en moins de 30 jours. lien

Alors que certains n’hésitent plus à évoquer un génocide (lien) ils sont de plus en plus nombreux à réclamer l’évacuation du Japon. lien

Pour l’expert Christopher Busby, en terme de taux de radioactivité, la situation dans les rues de Tokyo est comparable à celle de Tchernobyl. lien

Mais le silence médiatique mondial continue, puisqu’après le nouveau séisme d’une force de 6,8 qui s’est produit le 19 aout, on pouvait entendre sur l’antenne d’Europe 1, et ailleurs, que cela n’avait pas eu d’incidence sur la centrale nucléaire. lien

Donc, tout va bien…

Car comme dit mon vieil ami africain :

« Le malheur peut être un pas vers le bonheur ».

L’image illustrant l’article provient de « stupiditiz.com »



509 réactions


  • SergeL SergeL 23 août 2011 18:37

    Semer du Tournesol dans son jardin. Celui-ci fixe la radioactivité.


  • Gargantua 24 août 2011 15:36

    article que j’ai lue sur Fukushima,

    Un rapport revendique qu’un False Flag utilisant des armes nucléaires a en fait détruit Fukushima.http://www.alterinfo.net/Qui-a-declenche-la-catastrophe-de-Fukushima-_a60097.html

    Et si le méga tremblement de terre présumé de 9.0 + qui aurait frappé au large des côtes du Japon le 11 Mars n’avait jamais réellement eu lieu, et le tsunami qui en a résulté qui a détruit l’usine nucléaire de Fukushima Daiichi a été en fait une attaque sous fausse bannière délibérée à l’aide d’armes nucléaires ? Le journaliste indépendant Jim Stone présente des preuves convaincantes que l’histoire officielle qu’on nous a tous raconté concernant la catastrophe est une dissimulation bidon pour une attaque concertée contre le Japon, peut-être pour son offre d’enrichir de l’uranium pour l’Iran.


    • Gargantua 24 août 2011 15:38

      sur le même site

      Une nouvelle étude indique un lien possible entre HAARP et le séisme au Japon

      Natural News, Ethan A. Huff, 10 juin 2011


       Des données récentes, publiées par Dimitar Ouzounov et ses collègues du Goddard Space Flight Center de la NASA, dans le Maryland, mettent en évidence certaines anomalies atmosphériques étranges au-dessus du Japon quelques jours avant le séisme et le tsunami qui ont frappé le 11 mars 2011. Selon les observations par satellite, un réchauffement rapide apparemment inexplicables de l’ionosphère au-dessus de l’épicentre a atteint son maximum trois jours seulement avant le tremblement de terre. Cela suggère que de l’énergie dirigée, émise par les émetteurs du High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP), puisse être responsable de l’induction du séisme.


       Signalée dans la publication Technology Review du Massachusetts Institute of Technology (MIT), la présentation des conclusions s’accompagne d’une théorie différente, appelée Couplage entre lithosphère, atmosphère et ionosphère, qui admet l’hypothèse que le réchauffement de l’ionosphère était peut-être dû à l’imminence du tremblement de terre, car la ligne de faille libère du radon radioactif. Cette théorie n’est bien sûr pas vraiment prouvée, mais est plutôt présentée comme une explication possible de la présence de la forte densité d’électrons et de l’émission de rayonnement infrarouge qui ont été observées.


       Une autre explication de ce réchauffement étrange – et qui, après analyse, semble bien plus probable –, c’est que c’était la marque de l’énergie focalisée ayant servi à induire le séisme, et non l’inverse. De nombreux rapports crédibles et des observations scientifiques révèlent que la technique de HAARP est parfaitement utilisable comme arme scalaire, dans le sens où il peut émettre des explosions de fortes impulsions électromagnétiques capables de modifier les conditions météo ou de déclencher des ruptures de lignes de failles.

      Non seulement HAARP à la capacité d’induire des séismes, mais il semble aussi avoir été utilisé contre le Japon


       Un coup d’œil rapide sur les graphiques de données présentés dans le cadre de la recherche d’Ouzounov, montre la présence d’anneaux de chaleur presque parfaits au-dessus de l’épicentre du tremblement de terre. Si le radon émis par la ligne de faille était vraiment responsable de la formation de ces zones de chaleur, leur apparence serait plus que vraisemblablement irrégulière et éparpillée, plutôt que celle de cercles concentriques. Cette anomalie à elle seule détruit la théorie selon laquelle l’imminence du séisme a provoqué ces motifs de la chaleur.


       Par ailleurs, les mesures du Magnétomètre à induction de HAARP, qui visualise le spectre de fréquence des signaux détectés dans le champ géomagnétique de la Terre, montrent qu’une fréquence ultra-basse (ULF) stable d’environ 2,5 Hertz a été émise les jours avant le séisme. Il se trouve que l’ULF de 2,5Hz correspond exactement à la fréquence de résonance produite par un tremblement de terre – et puisque aucun séisme n’est survenu dans les jours avant le tremblement de terre que le Magnétomètre à induction de HAARP a paru indiquer, la conclusion logique est que le signal a été émis pour l’induire.


       Certains soutiendront que HAARP est incapable de produire de telles fréquences, en particulier au niveau de puissance que requerrait le déclenchement d’un énorme tremblement de terre comme le 9,0+ survenu au Japon. Mais le témoignage de divers gouvernements dit le contraire.


       Le 28 avril 1997, à l’université de Géorgie de Athens, lors de la Conférence sur le terrorisme, les armes de destruction massive, et la stratégie zunienne, William S. Cohen, alors ministre à la Défense, a prononcé un important discours. Interrogé sur le terrorisme, Cohen avait ceci à dire dans le cadre de sa réponse à propos du type de moyens existant même à cette époque :

       « D’autres se livrent même à un terrorisme de type écologique, grâce auquel ils peuvent à distance modifier le climat, déclencher des séismes, des éruptions volcaniques, en utilisant des ondes électromagnétiques. »


       Cet aveu va à l’encontre des affirmations formulées par certains, selon qui aucune technique n’existerait, et qu’il est impossible de déclencher l’activité sismique grâce à l’énergie dirigée. Il est clair que ces moyens sont là depuis un moment, et l’idée qu’ils servent d’arme est tout sauf une théorie du complot sans fondement.


       Ensuite, il y a la Résolution sur l’environnement, la sécurité et la politique étrangère [en français] de l’Union européenne, qui a été publié le 14 janvier 1999. Ce rapport, qui décrit différents types de menaces d’armes, contient une section intitulée « HAARP – Un système d’armement modifiant le climat. »


       Ce document explique que HAARP « est conduit conjointement par l’armée de l’air et la marine de guerre de Zunie [et par l’Institut de géophysique de l’université d’Alaska à Fairbanks], » et que l’un de ses objectifs est de « réchauffer des parties de l’ionosphère au moyen d’ondes radio puissantes. » Il indique également les détails suivants :

       « HAARP peut avoir de multiples applications. La manipulation des particularités électriques de l’atmosphère permet de contrôler des énergies gigantesques. Utilisée à des fins militaires contre un ennemi, cette technique peut avoir des conséquences terribles. HAARP permet d’envoyer à un endroit déterminé des millions de fois plus d’énergie que tout autre émetteur traditionnel. L’énergie peut aussi être dirigée contre un objectif mobile, notamment contre des missiles ennemis. »


       Plus tard, les références à HAARP le décrivent comme « un sujet d’inquiétude mondiale, » et soulignent que la plupart des gens ne savent même pas qu’il existe. Évidemment, cela a été écrit il y a plus de dix ans – et pourtant rien n’a vraiment changé depuis, en dépit de plusieurs efforts visant à rendre HAARP plus transparent. Seulement, si HAARP aide vraiment à induire quelques-unes des catastrophes d’apparence naturelle qui se produisent dans le monde, il ne surprendra guère que ce dessein soit toujours gardé essentiellement secret.


      Lien sur les mesures de la sonde magnétométrique de HAARP :
      maestro.haarp.alaska.edu/cgi-bin/scmag/disp-scmag.cgi





  • theproxy theproxy 27 août 2011 10:14

    Bonjour,


    un autre article traitant des joies diverses et variées des conséquences de Fukushima, à savoir l’explosion d’une centrale en zone démographique dense...


    • olivier cabanel olivier cabanel 27 août 2011 10:51

      theproxy
      ceci dit, ça ressemble plus à une campagne de com (une de plus !) qu’a une véritable opération sanitaire, qui de toute façon est trop tardive, puisque des milliers de japonais sont irradiés durablement depuis bientot 6 mois...
      merci de ce lien


  • olivier cabanel olivier cabanel 27 août 2011 20:13

    @ tous
    trés éclairante vidéo a destination des négationistes nucléaires
    http://www.youtube.com/watch?v=ZAszZG6GRY8
    à partager


  • Alpha&Omega 14 septembre 2013 16:18

    Merci Mr Cabanel pour toutes ces infos concernant Fukushima. C’est de la bonne info. Il faut continuer. Je voudrais juste en profiter pour m’adresser aux guignols de foire qui considèrent que « c’est pipo » ou « c’est pas si grave », etc etc... C’est comme pour la politique, le nucléaire,si tu ne t’en occupes pas, un jour cela s’occupera de toi. Il n’y a peut-être pas pire supplice que les maladies des rayons. Même être brulé vif semble plus agréable. Et les photos de ces enfants ! C’est un cauchemar ... Vous êtes vraiment des tarés ! Remarquez bien que si tout ceci n’est que plaisanterie, les lopins de terre ne sont plus très cher aux alentours de la centrale ! Vous devriez faire construire ! En plus, comme vous serez « fluo » la nuit, économie d’énergie. Sans parler des vacances que vous allez nous procurer... Bon vent !
     smiley


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