dimanche 11 novembre 2012 - par lavoixdesparents

Mariage 1 - Mariage 2 : l’impossible égalité

Le gouvernement vient d’approuver en conseil des ministres le projet de loi de « mariage pour tous ». L’objectif annoncé est de donner des droits égaux aux couples de même sexe en leur permettant d’accéder au mariage et à l’adoption.

Au nom de la promotion de l’égalité des droits, le texte de loi supprime près de 200 occurrences des mots « père » et « mère » ou de leurs équivalents (paternel, maternelle,…) dans le code civil et les différents codes et les remplace par le terme « parent ». Mais déjà, les premières failles apparaissent montrant l’impossibilité de rendre les choses parfaitement égales.

Ainsi, l’article 312 du code civil qui stipule que « l’enfant né ou conçu dans le mariage a pour père le mari » demeure inchangé. Que signifie un tel article pour un couple de femmes qui accéderait au mariage ? Qui est le mari ? On voit dès à présent les procédures qui découleraient d’un tel article. Il faut rappeler qu’en Belgique, le premier texte de loi sur le mariage homosexuel en 2003 avait reçu un avis négatif du Conseil Constitutionnel pour cette même raison : il établissait une discrimination entre les couples mariés en n’accordant pas aux couples de même sexe la filiation. Mais si demain on transforme cet article pour donner à l’enfant né dans le mariage les époux comme parents, on créera là encore une discrimination : dans le mariage hétérosexuel, un mari ne peut contester son enfant sauf à apporter la preuve biologique qu’il n’est pas le père. Dans le cas d’un couple de même sexe, comment un parent pourra-t-il contester la parentalité, notamment s’il n’était pas partie prenante au projet d’enfant ? Et si ce droit lui est accordé, un mari qui ne désirait pas la conception de son enfant pourra-t-il en contester la paternité ?

Pour ce qui est de la retraite, le projet de loi modifie l’article L 331-7 du code de la sécurité sociale. Une distinction est créé pour les couples de même sexe : en cas de désaccord, la bonification de retraite pour enfant élevé est répartie 50/50 alors que dans les coupes homme-femme, c’est la mère qui bénéficie de cette bonification en cas de désaccord. Là encore, un tel article pourrait être l’objet de procédures liées à la discrimination établie.

Le projet de loi dans sa rédaction actuelle ne permet pas l’accès à la procréation médicalement assistée (PMA) pour les couples de même sexe alors que tous les couples hétérosexuels stériles y ont droit ; dès lors qu’ils justifient de deux ans de vie commune. Refuser l’accès aux couples de femmes mariées ne tiendrait pas longtemps devant les tribunaux. Le gouvernement laisse d’ailleurs entendre qu’un amendement pourrait être déposé concernant la PMA dans le cadre des débats parlementaires. Et quand il y aura la PMA, comment justifier qu’on n’autorise pas le recours aux mères porteuses (GPA) pour les couples d’hommes ? Et si l’on veut assurer une parfaite égalité, faudra-t-il que la sécurité sociale rembourse la GPA ?

Enfin, le gouvernement a affirmé que les couples hétérosexuels garderaient un livret de famille inchangé avec « Epoux ou Père » et « Epouse ou Mère ». Il devra donc y avoir deux types de livrets de famille selon l’orientation sexuelle des époux. Là encore, n’est-ce pas une discrimination ? Qu’en sera-t-il des papiers administratifs : adopteront-ils la terminologie parent1 – parent 2 que le gouvernement réfute et qui est pourtant utilisée en Espagne par exemple ? Ou bien faudra-t-il prévoir plusieurs piles d’imprimés en fonction de l’orientation sexuelle de la personne concernée ou de ses parents ? Inimaginable, on le voit bien.

En l’état actuel des choses, le texte de loi est une bizarrerie qui tout en faisant la promotion de l’égalité des droits crée de fait sans le dire des mariages de type 1 et des mariages de type 2, source de discriminations nouvelles et porte ouverte à nombre de procédures et de frustrations, tant est vaine la quête de l’égalité.

Un père et une mère sont certes tous deux des parents. Ils sont égaux en dignité. Ils bénéficient de nombre de droits identiques, notamment concernant l’enfant. Mais il est absurde de vouloir les déclarer parfaitement égaux en droit et de nier leurs spécificités.

On peut certes travailler à répondre aux attentes des couples de même sexe… mais imaginer qu’on créera une véritable égalité de droits avec les couples homme-femme, qu’on supprimera toute différence et toute discrimination est une illusion…et il est probable qu’il sera difficile d’avoir des débats pacifiés sur ces questions tant qu’on restera dans la perspective de créer une stricte égalité de droits.



177 réactions


    • sirocco sirocco 12 novembre 2012 00:28

      @ Duralex

      « Un enfant ne naitra plus du rapport d’un homme et d’une femme. »

      Je ne comprends pas où vous voulez en venir...
      Sauf dans le cas particulier de l’accouchement « sous X », un enfant a toujours une mère (biologique) déclarée comme telle mais il n’est pas rare que celle-ci ignore qui est le père, ou ne veuille pas donner le nom du père ou encore que ce dernier ne reconnaisse pas l’enfant.
      Je ne vois pas en quoi les choses, sur ce plan, changeraient avec le « mariage pour tous ».


    • Soi même Soi même 12 novembre 2012 12:40

       @ Duralex, le risque est là, dans les réflexions sur sa discipline de Jaques Testart l’évoque ;

      La procréation surmédicalisée

      c’est pourquoi je trouve que c’est article met bien en lumière même si le pas n’est dit qu’il y a bien une préparation à cette éventualité futur !

      Sans parlé de l’avancer du Génie Génétique, qui a fait des bons dans le domaine, ils sont sur le point de faire de la parthénogenèse, où du clonage

      Actualité > Le premier clone humain est prêt

      Il y aussi une autre recherche qui est l’Utérus Artificiel :

      http://www.arte.tv/fr/l-uterus-artificiel-un-bebe-ou-je-veux/3833660.html

      http://www.arte.tv/fr/l-uterus-artificiel-bebe-ecto-papa-macho/3833780.html

      En réalité tous ces techniques sont là, il manque plus les volontaires pour les peaufines en toute discrétion, et rien de tel que la part de marcher que représente le monde homosexuelles.

      C’est pour cela qu’il y a un tel lobby homosexuelle qui veulent par le mariage qu’il puisent adopté, il y a là bien des intérêts commun entre le lobby homosexuelle et lobby de la recherche génétique même si y a pas en réalité d’accort conclue !

      http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/je-peux-cloner-un-etre-humain_755941.html

      http://www.paperblog.fr/864491/l-homme-enceinte-a-accouche/

      https://www.youtube.com/watch?v=S0M8tyD2aJQ

      la suite des vidéos , est aussi très intéresant.

       Car comment accepter cette technique si il reste dans les différent codes Juridique la notion de la définition de couple parental est constitue un Père et d’une Mère.

      Jusqu’à présent ces techniques cela est interdit et modifiant la définition traditionnelle de la cellule parental en réalité tous les verrous sont lever pour cette technique !

      Et l’on sait que le motif qui va être évoquer pour levé tous les interdits, c’est la manne financier que cela peut généré !

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  • katakakito 11 novembre 2012 21:10

    Question.
    Le divorce est-il prévu ? Si c’est le cas lors d’un remariage un homosexuel (ou une) pourra-t-il (ou elle) changer de type de parenté. Être père légal dans l’un des mariages et mère dans l’autre. Comme c’est « l’Amouourrrr » qui guide ces gens, on peut imaginer qu’un ancien père aime un autre ancien père. Que faire ? Deux enfants « nés » de deux mariages pourront appeler respectivement la même personne papa et maman.
    Ce projet est complètement inepte.
     


    • Romain Desbois 11 novembre 2012 22:25

      ce qui est inepte c’est votre commentaire.

      Vous cherchez à semer la confusion.

      Or, il n’est que question d’appliquer aux homos ce qui se fait déjà pour les hétéros.

      Cu si comprenas ?


  • Elgo 11 novembre 2012 22:01

    Sans parler du fait que le rapport sexuel est un devoir conjugal, puisque son absence peut être un motif de « divorce pour faute ».

    Un rapport sexuel est la pénétration d’un vagin par un pénis. L’activité qui tient lieu de rapport sexuel pour deux hommes ou deux femmes n’est en fait qu’une stimulation mutuelle des zones érogènes ; le rapport sexuel est impossible pour ces gens-là, ce qui rend l’exercice du devoir conjugal impossible et donc le mariage caduc.

    À moins que l’État, par une fiction juridique, confonde les deux, ce qui reviendrait à imposer aux hommes la sodomie et aux femmes l’utilisation d’un god-ceinture.


    • Le chien qui danse 11 novembre 2012 22:10

      S’il faut en arriver là, hé ben allons y, même le rapport sexuel devient la propriété des hétéros....


      Ne vous inquiétez pas, au fond de vous même vous serez toujours convaincu d’être un vrai mâle. C’est juste que publiquement ce ne sera plus une référence sociologique, tout évolue, que devaient dire les chantres du catholicisme radical au passage à la renaissance, ça n’a pas du être triste non plus pour les réactifs...et pourtant la liberté de penser qui en à (en partie) découlé vous sied à merveilles il me semble vu votre liberté de ton qui vous aurez valu le bûcher auparavant. 

    • Romain Desbois 11 novembre 2012 22:29

      Elcon

      Je ne me fais pas de soucis la dessus parce qu’il risque bien d’y avoir bien plus de mariage hétéros caduques que d’hétéros... même proportionnellement.


    • Romain Desbois 11 novembre 2012 22:31

      « que d’homos » voulait je écrire.

      Mais les personnes intelligentes auront rectifié d’elles mêmes smiley


    • Elgo 11 novembre 2012 22:38

      @ Le chien qui danse

      La question est de savoir si l’on peut mettre sur le même plan les rapports hétérosexuel et homosexuel.

      Le premier implique l’altérité des sexes, donc une relation de complémentarité : l’un pénètre, l’autre est pénétré ; l’un donne, l’autre reçoit ; l’un féconde, l’autre est fécondée.

      Dans le deuxième cas, une telle complémentarité est rendue impossible par les propriétés naturelles des deux individus, qui rendent impossible cette relation de complémentarité.

      La seule caractéristique que le rapport homosexuel partage avec un rapport hétérosexuel, c’est le plaisir charnel. J’en conclus que le rapport homosexuel n’est que cela, l’échange d’un plaisir charnel, ce qui ne constitue malheureusement pas un rapport sexuel exact, donc le mariage ne peut pas être valide.

      « Ne vous inquiétez pas, au fond de vous même vous serez toujours convaincu d’être un vrai mâle. C’est juste que publiquement ce ne sera plus une référence sociologique, tout évolue »

      La reconnaissance sociologique du sexe est hors sujet. Ce dont on parle actuellement, c’est de l’impossibilité pour des homosexuels d’avoir un rapport sexuel, puisqu’ils ne disposent que de deux éléments femelles ou deux éléments mâles, alors que le rapport sexuel requiert un élément mâle et un élément femelle.

      @ Romain Ducon

      Non.

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    • Le chien qui danse 12 novembre 2012 10:48

      Excusez moi mais votre théorie ne repose que sur votre approche subjective, un rapport charnel est d’abord une rencontre entre deux êtres, deux âmes quoi.... C’est là que se situe la référence : deux êtres. La pensée et la vie moderne tente de placer l’amour et son expression charnelle avant la réalité séxuée de ceux qui la vivent.


      Alors les considérations anatomiques et mécaniques me semblent un peu courtes pour tenter une définition « universelle » des rapport entre humain et bien sur la qualité de ces rapports. Parce que là vous en êtes à donner une définition pour le genre humain général, pffffoooouuuuiiiittt vous m’épatez !

      Il en reste que vous avez le droit d’être inquiet pour le devenir de l’humanité, c’est à votre honneur. Mais encore une fois, les changements « violent » sont le lot de l’humanité depuis 15000 ans et on peut dire que ça à bougé et ça bougera encore.

      Le mariage hétérosexuel n’est qu’un arrangement sociologique et à ancré nos sociétés dans la forme que nous connaissons. Par là, pendant les siècles on a ignoré les comportements sexuels du genre humain pour en conditionner de force l’attribut hétéro, c’est le retour de boomerang, il fallait que ça arrive.

      Le rapport physique est un art de l’approche et du don à l’autre, les autres considérations me semble superflues et contre productive.


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    • Elgo 12 novembre 2012 18:35

      @ Le chien qui danse

      Nous voilà au noyau de notre désaccord, que vous formulez ainsi : « La pensée et la vie moderne tente de placer l’amour et son expression charnelle avant la réalité séxuée de ceux qui la vivent. »

      En d’autres termes, vous pensez que l’amour entre deux individus justifie l’édification d’une fiction, c’est-à-dire d’une construction imaginaire consciente qui vise à escamoter les parties de la réalité qui ne plaisent pas à la pensée moderne, de sorte à considérer au même niveau les rapports hétérosexuel et homosexuel comme s’ils étaient réellement de même nature.

      Pour ma part, je pense que la réalité est un paramètre important et qu’il ne faut pas l’occulter mais s’y plier, parce que si l’imaginaire humain est assez puissant pour fermer les yeux, il est dangereux de se priver de la vue car on risque de trébucher sur l’obstacle que l’on masque.


    • Pakete 12 novembre 2012 22:19

      @Le Chien Qui Danse

      Il faut bien comprendre qu’Elgo ne conçoit le rapport sexuel qu’à travers la procréation.

      « Deux âmes qui se rapprochent », prendre du plaisir dans la relation sexuelle avec ou sans procréation, pour lui cela n’existe pas.

      C’est ce qu’on appelle « contrôler les consciences en contrôlant les corps », et je rajouterai « le corps des autres », bien entendu.


    • intercepte 13 novembre 2012 14:05

      Faudrait aussi revoir la définition du viol et du rapport sexuel forcer...

      Juridiquement il y a plein de choses à changer pour avoir une égalité suivant ces nouvelles situations qui implique des rapports entre des personnes du même sexe...


    • Elgo 13 novembre 2012 19:33

      @ Pakete

      La procréation est une dimension importante de la relation sexuelle, mais je vous mets au défi de citer une phrase dans laquelle je dis que c’est son seul aspect.

      Je conçois parfaitement que « deux âmes se rapprochent », même si ce sont deux âmes de même sexe. Je dis simplement que, le cas échéant, la manifestation charnelle de ce rapprochement ne peut pas être appelé « relation sexuelle » car ce terme est réservé à la rencontre entre un sexe mâle et un sexe femelle.


  • Attilax Attilax 11 novembre 2012 22:14

    Article intéressant car purement technique et ne se plaçant pas d’un point de vue moral.

    Pour l’égalité de droit, il me semble que le PACS avait bien fait avancer les choses, non ?
    Les homos clament et revendiquent leur droit à la différence, d’accord, mais alors pourquoi vouloir s’approprier le symbole même de la norme hétérosexuelle : le mariage ? On va du coup se retrouver avec un mariage sans mari et sans épouse ? Avec des familles sans père ni mère ? C’est grotesque et pathétique. Heureusement, dans le fond, on s’en fout complètement. La nature reprendra ce qui lui appartient, de toute façon.

    • alinea Alinea 11 novembre 2012 23:17

      Attilax : votre petit post de fin de soirée résume à lui seul tout ce qu’il y a à dire, à mon avis, sur le sujet !


    • sirocco sirocco 12 novembre 2012 00:51

      @ Attilax

      "Les homos clament et revendiquent leur droit à la différence, d’accord, mais alors pourquoi vouloir s’approprier le symbole même de la norme hétérosexuelle : le mariage ?"

      Il me semble que les homos revendiquent plutôt de ne pas être traités différemment et d’avoir les mêmes droits que les hétéros. Sans doute le mariage apporte-t-il des avantages supplémentaires importants par rapport au PACS (par exemple celui de pouvoir adopter).


    • Pakete 12 novembre 2012 22:25

      La ministre de la famille sait bien que le texte, tel qu’il est, va impliquer quelques changements ailleurs.

      Le PS l’a dit et apportera les changements en conséquence.

      Se féliciter d’enfoncer des portes ouvertes, c’est tout ce qui reste au camp des « antis ».


  • Roque 11 novembre 2012 23:12

    C’est le mariage pour quelques uns imposé à tous.

    Ce n’est pas l’union des homos qui nous concerne (6% - ou moins - des unions en France)

    mais l’adoption homo qui va toucher les enfants sans que l’INNOCUITE de l’adoption homo ait été prouvée (les études américaines sont bidonnnées par des lobby homos qui squattent complètement les organisations chargées de ces études. L’INSERM a reconnu en février 2011 que ces études sont méthodologiquement très faibles, scientifiquement invalides ... mais on commençait à le savoir depuis 1990-2000)

    et le bouleversement du code civil sur le point de la filiation.

    Encore une fois il y a derrière tout cela un préjugé idéologique, mais on n’est certainement pas dans la logique, dans un droit bon sens.


    • Le chien qui danse 12 novembre 2012 11:17

      La famille hétéro est un préjugé idéologique, elle n’a rien de naturel.


      Il me semble qu’en certain endroit d’ Afrique l’important est d’avoir des descendants, donner un enfant est chose courante il me semble (je ne suis pas spécialiste) .

      L’occidental s’est rendu propriétaire de tout, même des enfants qui sont la propriété de leur parents, parfois pour le bien mais bien souvent pour le pire. Mais ça doit être bon car nous sommes les champions de l’humanité et tous doivent nous suivre...

      Alors cette histoire de mariage pour tous ne gêne que moyennement les esprits les plus moderne d’AV, c’est le rapport parental qui est dénoncé, bien.

      C’est en filigrane prétendre que les parent hétéros « naturels » sont les seuls à pouvoir élever des enfants dans leur intérêt et équilibre pour bien se situer plus tard comme mâle ou femelle comme si les attributs physiques ne suffisaient pas.
      Parce que le gamin il s’en fout avant d’être conditionné, il est capable d’aimer indifféremment. 

      Si, encore une fois, l’hétéro-filiation était un modèle du genre on s’inclinerais devant l’évidence mais c’est loin, bien loin d’être le cas alors cet histoire de mariage aura au moins le mérite de bousculer des non-dit et faire tomber quelques illusions et remettre la question de l’éducation et de la filiation sur le métier car y’a encore du grain à moudre.
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    • Pakete 12 novembre 2012 22:28

      En quoi le mariage pour les homosexuels va-t-il changé votre quotidien ?

      Surtout qu’il distingue bien qu’il y a des couples homos et hétéros, puisque les termes « père » et « mère » sont conservés dans le cadre d’un mariage hétéro.


  • alinea Alinea 12 novembre 2012 01:01

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  • ourston 12 novembre 2012 05:18

    Avec ce projet de loi, le gouvernement joue les apprentis sorciers. On veut faire plaisir aux homos, mais on oublie l’enfant qui va « naître » dans ce foyer étrange composé de deux « papas » ou deux « mamans ». Pour se construire, un enfant a besoin d’une image maternelle et d’une image paternelle. Le fait qu’il existe beaucoup de familles monoparentales ne remet pas en cause cette nécessité. L’absence d’un des deux parents biologiques constitue un manque pour l’enfant, qu’il lui faudra combler par un parent de substitution en attendant qu’il ait la capacité de rechercher son parent biologique pour combler ce manque.

    Avec le mariage homosexuel, comment l’enfant pourra-t-il construire son identité ? Si on prend en compte l’intéret de l’enfant, la question mérite d’être posée. La tendance à l’indifferenciation des couples hétéro et homo ne risque -t-elle pas de créer une nouvelle différence pour l’enfant, selon qu’il aura été élevé par l’un ou l’autre ? Certains font le « pari » que l’enfant ne pâtira pas de cette situation. Les psychiatres sont loins de partager leur optimiste. Le problème est que ceux qui veulent faire ce pari se déchargent du risque sur l’enfant. Ce n’est pas une attitude très responsable.

    A ce sujet, on pourra lire l’article de Claude Halmos :

    http://www.psychologies.com/Planete/Societe/Articles-et-Dossiers/L-adoption-par-des-couples-homosexuels-et-l-enfant-dans-tout-ca

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  • ourston 12 novembre 2012 05:56

    mardi 3 novembre 1998, discours sur le PACS d’ Elisabeth Guigou,Garde des Sceaux du gouvernement Jospin 
    « Pourquoi l’adoption par un couple homosexuel serait-elle une mauvaise solution ? » déclarait alors Elisabeth Guigou. « Parce que le droit, lorsqu’il crée des filiations artificielles, ne peut ni ignorer, ni abolir la différence entre les sexes. » […] Je veux être parfaitement claire : je reconnais totalement le droit de toute personne à avoir la vie sexuelle de son choix. Mais je dis avec la plus grande fermeté que ce droit ne doit pas être confondu avec un hypothétique droit à l’enfant. […] Je soutiens comme de nombreux psychanalystes et psychiatres qu’un enfant a besoin d’avoir en face de lui, pendant sa croissance, un modèle de l’altérité sexuelle. 


    • Romain Desbois 12 novembre 2012 07:14

      C’est sur que Madame Guigou va nous donner des leçons d’éducation, elle qui n’a pas du voir souvent ses enfants (d’ailleurs victimes de pédophiles à la crèche du parlement européen).

      Les homos comme les hétéros ne vivent pas en vase clos et l’altérité se fait naturellement avec les individus des deux sexes de la famille, des amis et des camarades.

      Faut vraiment qu’on cesse de se baser sur les tarés de parapsychopathes tel que Freud. lui qui voyait des incestes partout avec son complexe d’eodipe.


  • Ruut Ruut 12 novembre 2012 06:10

    Après le mariage et l’adoption, les livres pour enfants ou la notion de papa et maman devront être gommés.

    Nous vivons dans une époque de fou.
    Elle est belle cette démocratie ou les modifications des valeurs morales ne sont même pas soumise a un referendum direct....


    • Romain Desbois 12 novembre 2012 07:07

      les français n’en veulent pas de la démocratie participative. Nous sommes bien en démocratie puisque le peuple en a décidé ainsi.
      C’est déplorable mais c’est ainsi ;


  • Roque 12 novembre 2012 08:16

    @Romain Desbois, comme le dit bien une participante ci-dessus si des choses aussi intimes que la diéfference sexuelle, la parenté et la filiation dépendent d’un alternance parlementaire - sans recherche de large consensus national - on file droit vers la contrainte sociale, voire la dictature. On est justement en train de sortir des clous de la démocratie par la tentative actuelle de passage en force de la représentation parlementaire qui n’est pas la démocratie directe loin de là.

    @Romain Desbois ne pas mélanger homosexualité et altérite (brouillez les sens des mots). L’homosexuel est par définition « homophile » c’est à dire que l’homosexuel pratique l’amour du même (et pratique parfois la discrimination vis à vis des hétérosexuels, eux aussi sont sectaires ... si ! si !) alors que la défense de l’altérite (hétérophilie ou amour de l’autre) appartient aux opposants à la loi. La reconnaissance de l’latérité sexuelle est une reconnaissance de la DIFFERENCE entre les sexes - que la loi essaie de nier sous prétexte d’égalité.

    Cette « recherche du même » une des choses qui explique la constitution en ghetto ou la recherche de ce ghetto spécifique des homophiles.

    Mais il y a une autre raison à la recherche de ce ghetto c’est la mentalité libertarienne dominante chez les homos pour la multiplication des partenaires.

    J’ai trouvé quelques articles sur ce sujet tirés d’une revue de littérature faite en 2005 par des opposants au mariage homosexuel en Espagne : http://www.jurivie.org/documents/articles/rapport_adoption_homo.pdf

    @Romain Desbois ... sans se cacher derrière son petit doigt, j’aimerais savoir ce que tu en penses : est-ce sceintifique ou bien faut-il tout jeter à la poubelle smiley

    Dans Remafedi (1994a) (1) et Remafedi (1994b) (2) 239 hommes homosexuels et bisexuels ont été interviewés. 42% affirment avoir subi des abus sexuels étant mineur. Dans le même sens, Doll et al. (1992) (3) en trouvent 40.8%.

    Goode et Troiden (1980) (4) affirment que, dans un échantillon de 150 hommes homosexuels âgés entre 30 et 40 ans, 69% ont eu un contact sexuel avec un mineur depuis qu’ils ont eu 21 ans, bien qu’ils précisent que seulement 9% de ces mineurs avaient 16 ans ou moins. Ils indiquent que 45% avaient eu 6 compagnons sexuels mineurs ou plus, 78% avaient fait partie d’un groupe d’échangistes et 65% avaient eu plus de 100 compagnons sexuels jusqu’alors.

    La fameuse macro étude de 1994 « The Social Organization of Sexuality : Sexual Practices in the United States » (5) , où sont indiquées les habitudes sexuelles aux États-Unis, donne les données suivantes à propos de la stabilité des couples homosexuels :
    - Êtes-vous fidèle à votre partenaire : 85% des hétérosexuels ont signalé que oui, et seulement 2% des homosexuels ;
    - Nombre moyen de compagnons/compagnes sexuel(le)s au cours de la dernière année : 1,2 chez les hétérosexuels face à 8 chez les homosexuels.
    - Nombre moyen de compagnons/compagnes sexuel(le)s dans la vie : 4 face à 50.
    - Personnes interrogées qui se déclarent monogames, c’est-à-dire 100% fidèles à son compagnon ou à sa compagne : 85% face à moins de 2%.
    - Dans cette même étude la littérature montre que les hommes atteints du SIDA, interrogés sur les années 1980, ont déclaré avoir eu en moyenne 1.100 partenaires au cours de leur vie.

    Une étude menée par A.P. Bell et M.S. Weinberg (6) à San Francisco a montré que 43% des homosexuels ont eu plus de 500 partenaires sexuels et 79% ont déclaré par ailleurs que plus de moitié de ces partenaires leur étaient inconnus ; seulement 3% avaient eu moins de 10 partenaires.

    Kurdek et Schmitt (1986) (7) indiquent que les relations homosexuelles sont beaucoup plus instables. Duffy et Rusbuilt (1985-86) (8 ). Rothblum (9) montre la même chose pour les lesbiennes.

    Des études relatives à la Hollande, de Xiridou et al. (2003) (10) , montrent que la durée moyenne d’une relation « stable » entre homosexuels est d’un an et demi.

    Selon Deneen (1994) (11) , toujours à propos de la Hollande, le nombre moyen de compagnons chez des personnes homosexuelles pour une relation stable est de 2,5 la première année, et arrive à 11 la sixième année, bien que, reconnaît l’auteur, peu sont les couples homosexuels qui arrivent à la sixième année.

    McWhirter et Mattison (12), dans leur étude de 1984 se voient contraints de constater que chez les couples homosexuels la fidélité sexuelle n’existe pas, bien qu’ils le justifient en soutenant que la vraie fidélité est la fidélité émotive.

    Selon un rapport d’Andersson, G. et al. (2004) (13) « Divorce-Risk Patterns in Same-Sex ‘Marriages’ in Norway and Sweden », les unions homosexuelles en Suède – union homosexuelle avec les mêmes conséquences que le mariage, y compris l’adoption depuis 1995 – et en Norvège – où seule l’union homosexuelle est légalisée depuis 1993 – ont un risque de divorce supérieur à 50% pour les gays et à 167% pour les lesbiennes. S’il l’on contrôle les variables démographiques qui provoquent un risque de divorce, la situation n’est pas meilleure : 37% de plus pour les gays et 200% pour les lesbiennes. Si l’on tient compte qu’en Suède il y a 53 divorces pour 100 mariages, le nombre de divorces chez les homosexuels acquiert une proportion encore plus élevée.

     

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    • Romain Desbois 12 novembre 2012 08:53

      Roque bonjour

      Je ne sais pas dans quel monde vous vivez.

      Tout ce dont vous parlez dépend et a toujours dépendu des lois et des changements de régime et de camps politiques. Vous vous réveillez parceque là vous êtes concernés mais tant que c’était que les homos , ca ne dérangeait pas grand monde.

      Vous pratiquez la novlangue ma foi . Qui évoque l’altérité comme argument contre l’adoption par des homosexuels !?!?!

      Pour ne reprendre que la mention de la dernière étude que vous citez.
      Si je vous comprends, alors que je suis en couple depuis 17 ans avec la même personne, sans avoir eu un seul autre amant, vous refuseriez de nous marier (ALERTE TROLL : pas vous vous, c’est un vous général) parce qu’une étude suédoise affirme que les homos divorcent plus que les autres ?
      C’est avec ce genre de conneries que l’on interdit aux homos mâles de donner leur sang et leur moelle en France.

      Et si je vous sors une étude qui prouve que 75% des actes de pédophilie se passent au sein même de la famille de la victime, que c’est souvent le papa, le tonton, le beau-père voire le grand-père, est-ce qu’il faut en déduire qu’il faut interdire aux hétéros d’adopter des enfants ?

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    • lafleche 12 novembre 2012 17:04

      Les faits , rien que les faits . Merci


    • 雛罌粟 雛罌粟 20 juillet 2013 07:56

      Les faits, rien que les faits…

      C’est que Roque nous exhibe une étude de 2004, portant sur des couples observés de 1993 à 2002, et censée démontrer que les homos divorcent davantage que les hétéros.
      Mais qui oublie juste un détail, oh… pas grand-chose : en Suède & Norvège, c’est en 2009 que le mariage est devenu légal pour les couples de même sexe.

  • Roque 12 novembre 2012 08:19

    Sources des articles ci-dessus :

    1. Remafedi, G. (1994a) Predictors of unprotected intercourse among gay and bisexual youth : Knowledge, beliefs,and behavior. Pediatrics. 94 : 163-168.
    2. Remafedi, G. (1994b) Cognitive and behavioral adaptations to HIV/AIDS among gay and bisexual adolescents. Journal of Adolescent Health. 15 : 142-148.
    3. Doll, L., Joy, D., Batholow, B., Harrison, J., Bolan, G., Douglas, J., Saltzman, L., Moss, P., Delgado, W. (1992) Self-reported childhood and adolescent sexual abuse among adult homosexual and bisexual men. Child Abuse & Neglect. 18 : 825-864
    4. Goode, E. y Troiden, R., (1980) Correlates and Accompaniments of Promiscuous Sex Among Male Homosexuals. Psychiatry. 43 : 51-59
    5. Laumann, E. et al. (1.994). “The Social Organization of Sexuality : Sexual Practices in the United States”, University of Chicago.
    6. Bell, A., Weinberg, M., Hammersmith, S. (1981) Sexual Preference : Its Development in Men and Women : Bloomington IN : Indiana U.P.
    7. Kurdek, L. y Schmitt, J. (1986) Relationship quality of partners from heterosexual married, heterosexual cohabiting, and gay and lesbian relationships. Journal of Personality and Social Psychology. 51 : 711
    8. Duffy, D., Rusbuilt, C. (1985-86) Satisfaction and commitment in homosexual and heterosexual relationships. Journal of Homosexuality. 1 : 21
    9. Rothblum, E. (1990), Depression Among Lesbians An Invisible and Unreseached Phenomenon Journal of Gay & Lesbian Psychotherapy 1, 3, 1990, p. 76, citando a P. Blumstein P. Schartz, American Couples. NY : William Morrow, 1983
    10. Xiridou M. et al., “The contribution of steady and casual partnerships to the incidence of HIV infection among homosexual men in Amsterdam”, Aids, 2003, 17, 1029-1038.
    11. Deneen A.A. et al., “Intimacy and sexuality in gay male couples”, Archives of Sexual Behavior, 1994, 23, 421-431.
    12. McWhirter D.P. y Mattison A.M., The Male Couple : How Relationship develops, Prentice-Hall, Englewood Cliffs, NJ, 1984, último capítulo
    13. Andersson, G., Noack, T., Seierstad, A. y Weedon-Fekjær, H. Divorce-Risk Patterns in Same-Sex “Marriages” in Norway and Sweden. Más información en http://paa2004.princeton.edu/downl
    14. http://deshautsetdebats.wordpress.com/2012/05/04/pourquoi-je-suis-contre-le-mariage-homosexuel/

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  • Roque 12 novembre 2012 08:37

    @Talon tu sembles être un adepte de cette mentalité libertarienne dont je parle ci-dessus et c’est ton plein droit d’adulte.

    Mais vis à vis de l’enfant est-ce juste. Comme enfant cela m’a beaucoup dérangé - je ne comprenais rien - mais je comprenais que mon père rentrait à 4 ou 5 heures du matin, et je l’attendais. Je faisais des insomnies, car je dormais dans son lit. Je l’appelais Maman-Pierre et il ne dormait avec ma mère. Et puis d’un seul coup cet excès d’amour s’est volatisé, tant de fois je l’ai attendu tant de fois il n’est pas venu jusqu’à ce que je me fâche vers 13 ans et lui m’a promis que le descendrai plus bas que lui. J’ai toujours confondu adultère et homosexualité et maintenant encore je ne vois pas de différence du point de vue de l’enfant. C’est du vécu, mais si tu penses que je suis homophoe libre à toi. Moi je suis du point de vie des enfants délaissés après avoir été bervé dans un trop d’amour trompeur et finalemen malsain. J’ai fait 11 ans de psychanalyse et je suis maintenant vieux.

    Ma mère m’a dit qu’il rentrait fardé et parfumé comme une cocotte, mais moi je ne l’ai jamais remarqué. Voilà ce que les adultes dépravés homos ou hétéro font subir à leurs « enfants » qu’ils prétendent aimer à la folie. Mon c.l oui !

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  • ricoxy ricoxy 12 novembre 2012 08:46

    Il est déjà difficile de vivre avec trois concepts simples : l’homme, la femme et la famille. Multiplier les concepts, c’est comme multiplier les adhérents à l’Union dite européenne : ça devient un foutoir.


    • Roque 12 novembre 2012 09:04

      La question n’est pas seulement que ce serait difficile, compliqué ou insoluble.

      Il s’agit d’une tromperie sur la marchandise. Il n’en sortira ni égalité vraie (c’est l’idée de l’article), ni baisse franche de la discrimination des homosexuel(le)s (sans doute un peu, mais à la marge avec des risques de réactions contraires si les LGBT en fon trop ... et cette discrimination baisse encore par la simple débat public), ni sentiment de reconnaissance sociale profonde chez les homosexuel(le)s car le malaise qui les habite ne pourra jamais être dissipée par la loi - et ce n’est pas le rôle de la loi de soigner le mal-être intrapsychique. C’est une vision infantile de loi représentée par la père ... et justement les homos masculins fantasment sans cesse la séduction de la mère phallique qui est une chimère. Oui j’ai lu Freud, même si c’est passé de mode !

      S’ils cherchaient vraiment cette reconnaissance profonde ils arrêteraient les outrances de la gaypride et axerait leur promo (et non pas porno !) sur le respect qui leur est du comme toute personne humaine au lieu d’être représentés par ces militants, des guignols qui confondent identité et « identité sexuelle » se définissant ainsi comme des objets sexuels voire comme une espèce à part : cf. Michel Foucault.

      Comment être fier ou fière ce qu’on n’a pas choisi ? C’est une des contradictions de la culture homosexuelle.

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    • Le chien qui danse 12 novembre 2012 11:28

      Ce peut-être ridicule pour certains la gay-pride mais c’est pas pire que le carnaval de Rio, mais bon à Rio c’est la tradition donc ça passe, en France heu....


      Mais alors la propagande mâle et femelle d’hollywood et du cinéma en général et dans la vie de tous les jours qui en découle, et qui en arrive à être d’un ridicule, n’a rien à envier à la gay-pride.... Regardez dans toutes les directions si vous voulez avec un regard acéré sur les choses.

  • bonnes idées 12 novembre 2012 10:42

    Le mariage homosexuel, une trahison de plus venant de notre haute sphère corrompue. Plus rien ne m’étonne venant de ces traîtres à la nation Française. Une si belle et si grande nation autrefois avec de vraies valeurs Gauloises. Le symbole si fort de l’union familiale avec une mère affective et un père autoritaire. Juste équilibre magique d’un épanouissement certain qui a fait ses preuves depuis des millénaires. La destruction de nos valeurs est en marche. Jesus candor lucis aeternae, miserere nobis.

    Il eut été plus passionnant de rédiger un article sur la taxe des flux financiers. Mais cela ne passionne personne à dire vrai.


  • ricoxy ricoxy 12 novembre 2012 10:53

    1. « [...] car le malaise qui les habite ne pourra jamais être dissipée par la loi - et ce n’est pas le rôle de la loi de soigner le mal-être intra-psychique. »

    R1. L’homosexualité, bien sûr, n’est pas exactement une maladie ni un mal-être, mais une « perversion » (au sens freudien, c’est-à-dire l’envers d’une névrose) ; c’est une réponse inadaptée à la réalité. La réalité étant de procréer dans le cadre d’un couple hétéro (oui, je sais, je suis rétrograde). Et il n’est pas non plus question d’analyse ici, car beaucoup d’homosexuels ne ressentent pas le besoin d’être analysés, – donc d’être « soignés ».

    2. « Comment être fier ou fière ce qu’on n’a pas choisi ? C’est une des contradictions de la culture homosexuelle. »

    R2. « Culture homosexuelle » ? Je dirais plutôt comportement, façon d’être et de vivre. La culture étant l’ensemble des aspects intellectuels d’une civilisation, – ce qui n’est pas vraiment le cas ici. Comme vous le signaliez, il s’agit ici encore d’une tromperie dans les mots.


    • Le chien qui danse 12 novembre 2012 11:44

      « La réalité étant de procréer dans le cadre d’un couple hétéro (oui, je sais, je suis rétrograde). »


      Non c’est de moins en moins une réalité, celle qui est plutôt est celle d’une réalité démographique qui va nous péter à la gueule et a celle de vos enfants si vous en avez.

      On ne répondra pas a ces problèmes par « avant c’était papa/maman et c’était bien ». Quoi qu’il en soit, homo ou pas homo le problème de la reproduction et donc démographique détruira les fondements idéologiques du famillialisme, qui n’est qu’une idéologie.

      L’enfant n’est plus un sous produit de ses parents et dont la vie future dépendait, il est un projet social qui un jour jouera sa partition dans le collectif. Cette réalité n’empêche ni de l’aimer ni qu’il puisse aimer et être heureux avec des personnes adultes qui le soutienne et dont il ressent la bienveillance.
      C’est juste qu’on lui apprend à avoir une réflexion propre issue de ses capacités cognitives et intellectuelles qui doivent être développées par ailleurs, si le collectif joue bien son rôle de transmetteur. L’évidence n’est plus issu du « papa à dit » donc « papa à raison », car le monde de papa était le monde de papa le sien sera différent et il vaudrait mieux qu’il ai des outils pour le transformer et s’y réaliser plutôt que de se réfugier dans les jupes de sa mère ou de jouer les caid pour prouver à son tour qu’il en a...
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  • Roque 12 novembre 2012 11:31

    VOUS ECRIVEZ : «  Je ne sais pas dans quel monde vous vivez. » C’est l’argument : vous êtes dépassé et archaïque. C’est sans intérêt comme argument de fond car la société n’avance pas mécaniquement vers un « plus » ou un « progrès ». Ce sont les hommes qui font l’histoire et ils peuvent SE TROMPER. Si vous venez ici me parler des études américaines « qui prouvent que ... » je sors ma doc sur ce point ayant bien signalé que toutes les études jusqu’à 2011 ont été bidonnées par les lobbies LGBT (je fais une différence entre homos lambda et miliants LGBT, voyez-vous). La nullité scientique de toutes ces études - sauf une à vrai dire - a bien été reconnue par l’INSERM en 2011.

    VOUS ECRIVEZ : « Tout ce dont vous parlez dépend et a toujours dépendu des lois et des changements de régime et de camps politiques. Vous vous réveillez parceque là vous êtes concernés mais tant que c’était que les homos , ca ne dérangeait pas grand monde. » C’est bien ce que je dis ce sont les hommes qui font les lois, ils peuvent SE TROMPER. Comme je l’ai dit plus haut : NON justement j’ai été directement concerné par cette affaire et cela a démoli une bonne partie de ma vie. Et personne n’était concerné, m^me pas le fautif direct ! L’argument victimaire ne joue pas que pour les homos, mais également pour les dégâts qu’ils provoquent autour d’eux. Sinon raisonnable : c’est la vie ! 

    Maintenant ce qui me concerne vraiment c’est de savoir pourquoi pour 2% ou moins des unions , il va fallor mettre en vrac tout le droit français. Y a-t-il une recherche de vengeance des homos vis à vis de la société ? Je suis d’accord avec tous les aménagement qui ne touchent ni à la parenté, ni à la filiation - lequelles sont nécesairement SEXUES - êtes-vous ou non d’accord sur ce point ?

    Et je ne serai d’accord avec l’adoption homo que quand le preuve de l’absence de nocivité de cette mesure aura été donnée. Et à mon avis ça va être dur à prouver !

    VOUS ECRIVEZ : «  Vous pratiquez la novlangue ma foi . » Et en quoi s’il vous plait ? Si c’est vrai : OK, mais si c’est faux vous-même vous êtes en train de MANIPULER le sens des mots., car moi j’utilise les mots dans leur sens tout à fait habituel. Qu’en pensez-vous ?

    Pour moi, ce sont les militants LGBT qui pratiquent la manipulation du sens des mots en remplaçant « parenté » qui est la réalité de l’engendrement par « parentalité » laquelle introduit la FICTION juridique des deux mères ou deux pères. Cest eux qui veulent supprimer les mots « père » et « mère » et introduire la parentalité dans le code civil français. Qui est la manipulateur sinon ces militants LGBT. En quelque sorte c’est la « supercherie pour tous ».

    VOUS ECRIVEZ : « Qui évoque l’altérité comme argument contre l’adoption par des homosexuels !?!?! » L’absence d’altérité sexuelle chez les homosexuels est la LIMITE propre à la sexualité homosexuelle. Etes-vous d’accord sur ce point ? Mais ce n’est pas un argument direct contre l’homosexualité.

    J’ai bien dit que les opposants à la loi sont opposés au nom du respect de l’altérité sexuelle et de sa conservation dans la loi. C’est ce respect de la différence sexuelle que la loi soutenue pâr les LGBT essaie de nier. Qui essaie de manipuler sinon ces militants LGBT. Qu’est-ce que vous avez à opposer à ça sinon que vous VOULEZ " les mêmes droits que les hétéros.

    Vous voulez à n’importe quel prix, y compris en vous vengeant sur la nature qui ne vous a pas fait la cadeau de la fertilité - sauf si vous admettez une relation avec l’autre sexe. Je parle de vengeance contre la nature car vous la contournez par la loi - alors que vous la revendiquez pour rendre votre orientation plus légitime. Qui refuse l’altérité sinon vous ? Qui pratique le double langage ? Mais comme je vous l’ai dit plus haut votre VOLONTE se heurte à la NECESSITE biologique quelque soient les contorsions imposées à la loi. A la fin l’égalité parfaite apparaît comme inaccessible ... et c’est bien le sujet de l’article.

    L’argument contre l’adoption est plutôt l’absence de référent réel des deux sexes, les rôles parentaux (la théorie du genre) ne suffisent pas, car l’enfant peut se rendre compte que le géniteur REEL est absent ou n’est pas l’un des deux membres du couple qui l’éduque. C’est un gros problème psychologique, une souffrance en perspective et parfois une dévastation pour l’enfant. Comme je l’ai dit les adultes eux ils s’en foutent ou le cache bien. Les exemples d’observations sur les fantasmes et les conflits parmi les enfants dans les couples de même sexe sont déjà assez nombreux - malgré la censure LGBT très efficace aux Etats Unis. Deux exemples :

    Saakvitne (1998) (1) et Eisold (1998) (2) ont soutenu une discussion [contradictoire] à propos du cas d’étude suivant. Il s’agit d’un cas d’étude qui présente un fils de parents gays qui identifie l’employée de maison comme sa mère. L’enfant croit que les mères sont « embauchées et licenciées ». L’enfant souffre psychologiquement après le renvoi de l’assistante pour s’être insérée émotionnellement dans la vie de l’enfant, et en plus l’arrivée à la maison d’un autre frère adopté. Vue la situation, le couple homosexuel décide de lui faire suivre une thérapie. Le thérapeute découvre que l’enfant amassait de l’argent depuis quelque temps, en pensant que s’il en réunissait suffisamment, il pourrait, selon ses propres mots, « acheter une autre maman ». A la vue du cas, Eisold conclut que les enfants se développent mieux dans des foyers avec un père et une mère, et que telle nécessité ne provient pas d’une imposition sociale, mais d’un impératif biologique, puisque personne n’a appris à l’enfant à avoir besoin d’une mère – c’est plutôt le contraire – et cependant, celui-ci l’identifie chez l’assistante et ressent la nécessité d’en avoir une.

    McCandish (1987) (3) est une étude sur des couples de lesbiennes qui recourent à l’insémination artificielle. On y trouve une conduite similaire à l’antérieure, qui montre une relation peu claire entre la compagne de la mère biologique et le fils. Un enfant essaie d’appeler la compagne de sa mère « papa » et toutes deux lui expliquent que cela n’est pas adéquat. L’enfant explique la situation à ceux qu’appellent au téléphone demandant son père, et leur dit qu’il est avec la compagne de sa mère à qui la personne au téléphone veut parler.

    1.  Saakvitne, K., 1998, “Recreating mother : A commentary on the case analysis,” American J. of Orthopsychiatry 68,3:443-446

    2.  Eisold, B., 1998, “Recreating mother : The consolidation of ‘heterosexual’ gender identifi cation in the young son of homosexual men,” American J. of Orthopsychiatry 68, 3 : 433-442.

    3.  McCandish, B. (1987). Against all odds : Lesbian mother family dynamics. En F. Bozett, ed., Gay and lesbian parents, New York : Praeger

    VOUS ECRIVEZ : «  Pour ne reprendre que la mention de la deJe pense rnière étude que vous citez.
    Si je vous comprends, alors que je suis en couple depuis 17 ans avec la même personne, sans avoir eu un seul autre amant, vous refuseriez de nous marier » Vous êtes donc une exception et je vous crois. Mais il faut bien que vous reconnaissiez que la population à laquelle vous appartenez et que vous défendez à une culture problématique. La loi ne peut pas être faite pour des exceptions comme vous et il en est de même pour l’institution du mariage. Etes vous d’accord sur ce point ? Je vous ai listé de résumé de 13 études scientifiques qui semblent montrer une importante multiplication des partenaires dans la population homosexuelles et vous semblez ne pas bien sasisr qu’il faut démentir avec des enquêtes scientifiques et pas en se défilant comme si ça n’existait pas. Comme si ces PREUVES n’existaient pas. Soit vous êtes dans votre bulle et vous niez tout ce qu’il y a autour de vous (Dans quel monde vivez-vous ? ... souvenez-vous smiley soit vous me présentez des liens avec des contre-enquêtes valides (je dis : valides scientifiquement). Dans mon cas j’admets que la population homosexuelle - notamment américaine - vit sur d’autres normes que les hétérosexuels également américain. Et ces leur droit absolu, mais il faut éviter de se mentir sous prétexte de PENSEE POLITIQUEMENT CORRECTE. Ces enquêtes situent vers moins de 5% les couples homos fidèles et vers « epsilon »% les couples homos qui dépassent 6 ans : votre cas.

    Ce qui est gênant est qu’il semble impossible de faire l’état de la situation parce que vous ne répondez pas à la question : CES ETUDES SONT ELLES SCIENTIFIQUES ou NON et faut-il les jeter à la poubelle ? MERCI de répondre au lieu de nier la réalité. Sans constant commun ou même de désaccord aucun dialogue n’est possible ... vous le savez comme moi.

    VOUS ECRIVEZ : «  (ALERTE TROLL : pas vous vous, c’est un vous général) » L’argument de la dérision survient quand le débat devient difficile pour vous. Bon je vais dire « les autres » alors ! Mais merci de ne pas utiliser ces procédés (stéréotypé) de diversion sans aucun intérêt sur le plan des arguments. Dérision, argument ad hominem et plus ... sont des arguments utilisés quand on ne sait plus quoi dire.

    VOUS ECCRIVEZ : «  parce qu’une étude suédoise affirme que les homos divorcent plus que les autres ? » L’étude a le mérite de mesurer un phénomène enregistré - donc précis - officiellement sur deux pays : Suède et Norvège, si je me souviens bien sur 10 années. C’est une étude précise et importante avec un groupe de contrôle qui est l’ensemble des unions hétérosexuelles enregistrées pendant la même période. Impossible à balayer d’un revers de main. Avez-vous mieux à proposer ? Avez-vous noté que l’instabilité des couples femmes est deux fois plus élevée que celle des couples hommes. Dommage car mon a priori est qu’on peu mieux se passer d’un père que d’une mère. J’ai été surpris de voir que ce problème des couples de femmes a été correctement rapporté - sans être toutefois analysé et commenté comme je le fais sur un site LGTB Belge. Cela semble être bien démontré désormais et le mécanisme m’échappe car le seul couple de femme que je connaisse est bien stable et ancien.

    VOUS ECRIVEZ : «  C’est avec ce genre de conneries que l’on interdit aux homos mâles de donner leur sang et leur moelle en France. » Le risque de sérologie positive dans la population homo est significativement plus élevé que dans la reste de la population, je n’ai peux rien et vous non plus. Voulez vous IMPOSER encore une égalité là où il y a une différence et un risque mortel (contamination 100% à la différence de la contamination sexuelle qui n’est pas 100% en cas de nonprotection). Tout le manque de logique de la LOI est dans ce genre de négation de la différence reportant lma discrimination plus loin (sur les enfants dans le cas de la LOI).

    « Et si je vous sors une étude qui prouve que 75% des actes de pédophilie se passent au sein même de la famille de la victime, que c’est souvent le papa, le tonton, le beau-père voire le grand-père, est-ce qu’il faut en déduire qu’il faut interdire aux hétéros d’adopter des enfants ? » Oui il y a des actes pédophiles dans toutes les famille hétéro, pour les couples homos il y a des études qui prouvent que ça existe significativement plus. Mais j’ai été long ce sera pour le prochain post et puis si :

    Tasker et Golombok (95)

    Il s’agit d’une étude très intéressante parce que, malgré la taille réduite de son échantillon (20 hommes et 26 femmes), c’est l’unique étude connue qui a réalisé un suivi des enfants biologiques de lesbiennes depuis l’enfance jusqu’à l’âge adulte. L’âge moyen des enfants à la fin de la démonstration est de 23,5 ans. Cette étude a démontré que les enfants de lesbiennes ont une prédisposition à l’homosexualité très supérieure à la moyenne. (toutes les différences signalées sont statistiquement significatives)

    Mère lesbienne, c’est ML ou 1. / Mère hétérosexuelle : MH ou 2.

    Attraction sexuelle envers le même sexe, de quelque type que ce soit : 1. ML : 36% / 2. MH : 22%.

    Considération d’une relation homosexuelle éventuelle : 1. ML : 56%  / MH : 14%.

    Relations sexuelles avec le même sexe : 1. ML : 24% / MH : 2. 0%.

    Identité homo ou bisexuelle : 1. ML : 8% / 2. MH : 0%.

    Nombre : 1. ML : 25 / 2. MH : 21

    Encore une fois avez-vous des arguments scientifiques valides à présenter ?

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    • Romain Desbois 12 novembre 2012 11:44

      C’est illisible votre truc, on dirait léo le singe.

      Jai pas tout lu mais le peu me conforte dans le fait qu’il faudrait bien mieux vosu occuper de votre cul que de ce que font les autres du leur.

      Les homos font ceci, les homos ne sont que tant......

      Mais merde parlez de ce que vous connaissez !!!!!

      Même les assoc. d’homos ne savent combien il y en a.

      Et cessez de penser à la place des autres. Je suis une exception ? quand savez vous pauvre type. Marre de ces prêcheurs de boule de cristal, de sondage et autres études qui n’ont de valeurs que le salaire qu’ils ont fait gagner à leur auteur.

      C’est clair ?!?!?!?!


    • Pakete 12 novembre 2012 22:55

      C’est surtout complètement insignifiant.

      Par exemple, les conflits sur la recherche des origines est un conflit qui se passe dans dans toutes les familles adoptantes, et pas uniquement homosexuelle.

      Ou encore, avoir eu une relation avec une fille de 16 ans, en majorité sexuelle, est présenté comme une tare alors que c’est tout à fait légal... Par contre, quand il sort les chiffres de relation avec une personne mineure sur tous les points... On a que la moyenne générale ! Et encore, il faut se fier aux témoignages, et si ça se peut il y en a qui ont répondu juste par provoc’.

      C’est le « talent » de certains : faire passer des « cas difficiles » pour une généralité, ou les masquer dans d’autres considérations en décalage total avec la réalité. Et bien entendu, quand on fait des « généralités » sur le christianisme (ou, plus globalement, sur ce qui les touche personnellement), ça crie au scandale.

      Mais continuez Roque : c’est toujours amusant de vous voir vous débattre dans le vide smiley

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  • Roque 12 novembre 2012 11:42

    D’autres études ...

    LES FANTASMES DES ENFANTS

    Saakvitne (1998) (1) et Eisold (1998) (2) ont soutenu une discussion [contradictoire] à propos du cas d’étude suivant. Il s’agit d’un cas d’étude qui présente un fils de parents gays qui identifie l’employée de maison comme sa mère. L’enfant croit que les mères sont « embauchées et licenciées ». L’enfant souffre psychologiquement après le renvoi de l’assistante pour s’être insérée émotionnellement dans la vie de l’enfant, et en plus l’arrivée à la maison d’un autre frère adopté. Vue la situation, le couple homosexuel décide de lui faire suivre une thérapie. Le thérapeute découvre que l’enfant amassait de l’argent depuis quelque temps, en pensant que s’il en réunissait suffisamment, il pourrait, selon ses propres mots, « acheter une autre maman ». A la vue du cas, Eisold conclut que les enfants se développent mieux dans des foyers avec un père et une mère, et que telle nécessité ne provient pas d’une imposition sociale, mais d’un impératif biologique, puisque personne n’a appris à l’enfant à avoir besoin d’une mère – c’est plutôt le contraire – et cependant, celui-ci l’identifie chez l’assistante et ressent la nécessité d’en avoir une.

    McCandish (1987) (3) est une étude sur des couples de lesbiennes qui recourent à l’insémination artificielle. On y trouve une conduite similaire à l’antérieure, qui montre une relation peu claire entre la compagne de la mère biologique et le fils. Un enfant essaie d’appeler la compagne de sa mère « papa » et toutes deux lui expliquent que cela n’est pas adéquat. L’enfant explique la situation à ceux qu’appellent au téléphone demandant son père, et leur dit qu’il est avec la compagne de sa mère à qui la personne au téléphone veut parler.

    1.  Saakvitne, K., 1998, “Recreating mother : A commentary on the case analysis,” American J. of Orthopsychiatry 68,3:443-446

    2.  Eisold, B., 1998, “Recreating mother : The consolidation of ‘heterosexual’ gender identifi cation in the young son of homosexual men,” American J. of Orthopsychiatry 68, 3 : 433-442.

    3.  McCandish, B. (1987). Against all odds : Lesbian mother family dynamics. En F. Bozett, ed., Gay and lesbian parents, New York : Praeger.

     

    L’INCESTE ET LA REPRODUCTION DE L’HOMOSEXUALITE

    Tasker et Golombok (95)

    Il s’agit d’une étude très intéressante parce que, malgré la taille réduite de son échantillon (20 hommes et 26 femmes), c’est l’unique étude connue qui a réalisé un suivi des enfants biologiques de lesbiennes depuis l’enfance jusqu’à l’âge adulte. L’âge moyen des enfants à la fin de la démonstration est de 23,5 ans. Cette étude a démontré que les enfants de lesbiennes ont une prédisposition à l’homosexualité très supérieure à la moyenne. (toutes les différences signalées sont statistiquement significatives)

    Mère lesbienne = ML : 1. / Mère hétérosexuelle : MH : 2.

    Attraction sexuelle envers le même sexe, de quelque type que ce soit : 1. ML : 36% / 2. MH : 22%.

    Considération d’une relation homosexuelle éventuelle : 1. ML : 56%  / MH : 14%.

    Relations sexuelles avec le même sexe : 1. ML : 24% / MH : 2. 0%.

    Identité homo ou bisexuelle : 1. ML : 8% / 2. MH : 0%.

    Nombre : 1. ML : 25 / 2. MH : 21

     

    Tasker, F., y Golombok, 5. (1995).Adults raised as children in lesbian families. American Journal of Orthopsychiatry 65(2), 203-215

     

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  • Roque 12 novembre 2012 11:52

    Oui ce qu’écrit rocoxy est primaire. Jamais Freud n’a dit que : « La réalité étant de procréer dans le cadre d’un couple hétéro », à moi que rocoxy ne me cite la référence. Cette affirmation c’est le Parisien ou un magazine pipole quelconque, mais pas Sigmund Freud.


  • Roque 12 novembre 2012 12:00

    Cher Romain Desbois je voulais en arriver là : au point où tes slogans ne te servent plus à rien. Il faudrait faire fonctionner ton cerveau et ton coeur, le monde n’est pas tout blanc ni tout noira avec de méchants hétéro et de bons homos (ou l’inverse).

    Tes insultes sont la preuve de la vacuité de ton argumentation sur l’EGALITE A TOUT PRIX et de la TOLERANCE réelle aux idées des autres.

    Certainement tu ne me verras pas dans ton périmètre. Mais si d’autres veulent de frotter à mes arguments je suis disposé à recommence. Ici au moins je n’ai pas encore éte censuré, merci à Agoravox que je ne connaissais pas, il y a encore deux jours.

    Comme on dit chez vous PAX VOBIS CUM !


  • Soi même Soi même 12 novembre 2012 12:48

    Ce qui n’intrique c’est que les féministes ne font pas valoir leurs points de vue sur se sujet !
     Qui dit mot consent ?


    • COLRE COLRE 12 novembre 2012 13:01

      Vous vous trompez : les féministes sont sensibles à toutes les formes de discrimination, notamment sexistes, qu’elles reconnaissent, dénoncent et combattent.


    • Soi même Soi même 12 novembre 2012 13:28

      Ma question est plus tôt d’ordre de position public , bien sur vous me donner la preuve par vous,qu’elles sont là !


    • Romain Desbois 12 novembre 2012 13:56

      Mais ils n’ont pas attendu votre autorisation smiley


  • Roque 12 novembre 2012 14:23

    On a fait le ménage, ça sent le propre ! On en était où déjà ?


  • ZenZoe ZenZoe 12 novembre 2012 15:32

    Le point évoqué dans l’article est très juste et pour tout dire, j’ai tout de suite vu le problème dès qu’on a parlé du fameux mariage pour tous : il ne peut en effet n’y avoir qu’un seul type de mariage, avec des partenaires ayant strictement les mêmes droits. Comment envisager que certains mariés seront traités de manière différente - notamment en matière d’adoption et de PMA ? Le Conseil Constitutionnel sera clair : on a le même mariage pour tous, avec les mêmes droits. Et le texte sera retoqué.


  • franc 12 novembre 2012 16:29

    Voilà les opposants au mariage gay poussés dans leurs derniers retranchements ,tous les arguments qui ont une réelle importance comme par exemple le droit de l’enfant à voir un père et une mère ou la confusion avec souffrance éventuelle de l’indifférenciation chez l’enfant ont été balayés et les voilà qu’ils invoquent maintenant le thème du bouleversement de la filiation comme dernier argument à s’accrocher ,et là encore celui-ci n’est encore que de la fumisterie comme de confondre l’étiquette et le contenu des choses

     

    je ne vois rien rien qui change quoi que ce soit dans la vie réelle en remplaçant les mots père ou mère par le mot parent dans les documents administratifs ;les parents hétérosexuels peuvent toujors se considérer être le père ou la mère de l’enfant dans la vie privée et les enfants peuvent toujours appeler papa ou maman à leur père et mère .L’Etat ou l’Administration n’est pas obligé de rentrer dans la vie intime des gens et est tout à libre de choisir le degré de précision dans la demande des informations sur les citoyens .Si l’Administration ne désire pas rentrer dans le détail ou de connaitre avec plus précision la nature ou la modalité de la parentalité , cela est dans son pouvoir discrétionnaire ,et en l’occurrence c’est une bonne chose que l’Etat ne rentre pas trop dans l’intimité et la connaissance précise des actes privés ou le moins possible .Le fait que l’Administration ou l’Etat ne demande comme information la parentalité et rien de plus sans autte précision ne signifie pas qu’il nie les différents modes de parentalité .Cela n’entrave en rien aux droits des individus et des citoyens ni à la nature de parentalité avec ses différents modes ni à la différence des genres ,au contraire ,le mot parent n’est pas contradictoire avec les mots pères et mères ,sauf que là on ne demande pas de précision c’est tout ,le mot parent englobe à lafois le parent adopteur comme le mot parent géniteur ,le père comme la mère .En aucun cas les parents hétérosexuels ne se trouvent lésés ni niés ou déniés ,mais cela recouvre en même le temps le parent homosexuel ce qui est une réalité et donc un progrès dans la reconnaissance de cette vérité .Il en est de même lorsqu’on a ajouté dans les documents administratifs le mot pacsé en plus de marié ,cela n’enlève en rien les droits des mariés .Le fait qu’un père ou une mère coche dans la case « parent » n’enlève pas le pénis du père ou le vagin de la mère ,il ne faut pas charrier .

    Et comment font les pays qui ont déjà légalisé le mariage et adoption homosexuelle ,cela n’a pas apparemment posé de problème administrativement et juriquement .Et d’ailleurs il ne s’agit pas d’établir l’égalité complète dans l’identité absolue ,mais donner le plus d’égalité possible et le plus de justice et de sécurité possible aux enfants issus des familles homoparentales déjà existente.Comme dans les familles recomposés il ya aussi des difficulltés non insurmontables pour reconnaitre tous les enfants et les enfants eux-m^mes ne sont pas tous des frères et sours au sens biologiques ,et l’on a du inventé des mots et concepts supplémentaires comme demi-frère ou demi-soeur ce qui semble à première vue incorrecte ou fantaisiste dans la définition mais qui ne recouvre pas moins une réalité

     

    On peut d’ailleurs dans les documents administratifs garder les mots père et mère et ajouter à la suite parent 

     

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  • xbrossard 12 novembre 2012 17:14

    n’étant pas pour l’adoption homo (et vraiment loin d’approuver !) j’admets que cette loi aura au moins un avantage : elle supprimera tout les avantages que les femmes avaient sur les hommes dans les couples du point de vue légale (par exemple, le droit de garde des enfants majoritairement pour les femmes)...

    bon là normalement si des femmes du MLF m’ont lues, elles vont commencer par avoir les ovaires qui vont chauffer smiley

    la guerre des sexes n’est pas fini !


  • Roque 12 novembre 2012 17:14

    Je m’étais trompé il y a sur ce forum une censure qui a la main lourde !


  • lafleche 12 novembre 2012 17:18

    Je constate que le lobby homo est trés bien structuré et actif.Avec brio des arguments sont donnés mais pas sur le fond.

    Que recherche vraiment ces couples dans le mariage ?? Si c’est financier il est totalement logique que l’égalité soit la meme que les couples hetero mais n’est ce pas le cas avec le PACS.

    Si c’est pour l’adoption ou la procreation assistée je ne suis pas d’accord car c’est un droit à l’enfant qui est demandé mais on evite d’aborder le droit de l’enfant . Pourrais t’on le definir et se mettre d’accord ?

    Si c’est pour faire comme les couples hetero il ne peut y avoir egalité car les hetero ne sont pas homos et inversement

    Mon deuxieme desaccord et je rejoinds d’autres commentaires je ne vois pas en quel honneur le terme pere ou mere disparaitrait pour faire place a parent 1 ou parent 2 tout cela pour satisfaire une minorité bien organisée.Pourquoi faire eclater ce socle de la famille ?


  • franc 12 novembre 2012 17:27

     l’Administration peut donc mais nullement une obligation d’établir trois cases ou plus ,case1 pour le père,case 2 pour la mère ,case 3 pour parents,et chacun pourra mettre son nom et son prénom dans la case correspondante à leur situation et selon son choix ,je suppose que les hétérosexuels sexuels cocheront plutôt les cases 1 et 2,tandis que les homosexuels la case parent ,mais là encore ce n’est nullement une obligation des hétérosexuels peuvent bien caser sur la case 3 tandis que certains homosexuels cocheront la case 1 ou 2,on voit que cela n’encombre en rien le document administratif comme quand on a ajouté la case pacsé en plus de la case marié et célibataire ,l’argument que cela coûte à changer les imprimés est mesquin .

     

    Et comment dans les pays islamiques où la polygamie est reconnue officiellement se débrouillent-ils avec leur documents administratifs ,à supposer qu’un mari a 40 femmes comme le roi d’Arabie Saoudite, je suppose qu’ils ne mentionnent pas mère 1 ,mère 2,mère3,-------------mère N,--------------,mère40.Pas d’obligation donc de rentrer tous les détails et précision de la vie intime congugale

     

    Pour pallier à la difficulté de nommer mari pour un couple de femme ,rien de plus facile ,il suffit d’ajouter le mot « conjoint » ou « conjointe » à la place ou en plus de« mari » dans le document administratif ou judiciaire

    Le PMA sera sûrement ajouté dans un amendement pour allier à la discrimination entre couples hétérosexuels et couples homosexuelle et éventuellemnt le GPA pour les couples hommes dans l’idéal mais le GPA peut ne pas être retenu pour les couples hommes auquel cas on reste dans une interdiction discriminatoire comme dans le cas actuellement,tout n’est pas parfait dans la législation malheureusement tenant compte du niveau de développement historique de la socoiété ,mais dans dans un futur idéal l’égalité complète pourra être espéré et réalisé .

     

    pour contester la parentalité ,il suffit lors de la naissance ou l’adoption demander aux parents un enfant de signer un document administratif dans unacte juridique pour reconnaitre l’enfant ,une sorte de certficat de reconnaissance de parent,celui qui ne signe pas ce document de certificat ne possède pas le caractère officiel de parent . 

     

    je ne vois pas pourquoi dans la bonification pour la retraite la femme serait privilégiée à l’homme ,il ya là là manifestement une discrimination contre les hommes ,il suffit donc de corriger cette discrimination

     

    On voit donc que les difficultés techniques administratives et juridiques ne sont nullement insurmontables et peuvent être résolus facilement,donc la argument de bouleversment de la filliation est nulle et non avenue ,une fumisterie de plus dans l’argumentation de ceux qui sont contre le mariage pour tous . 

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  • Roque 12 novembre 2012 17:33

    Sur la fidélité entre homos. Qu’en pensez-vous ?

    Goode et Troiden (1980) (4) affirment que, dans un échantillon de 150 hommes homosexuels âgés entre 30 et 40 ans, 69% ont eu un contact sexuel avec un mineur depuis qu’ils ont eu 21 ans, bien qu’ils précisent que seulement 9% de ces mineurs avaient 16 ans ou moins. Ils indiquent que 45% avaient eu 6 compagnons sexuels mineurs ou plus, 78% avaient fait partie d’un groupe d’échangistes et 65% avaient eu plus de 100 compagnons sexuels jusqu’alors.

    La fameuse macro étude de 1994 « The Social Organization of Sexuality : Sexual Practices in the United States » (5) , où sont indiquées les habitudes sexuelles aux États-Unis, donne les données suivantes à propos de la stabilité des couples homosexuels :
    - Êtes-vous fidèle à votre partenaire : 85% des hétérosexuels ont signalé que oui, et seulement 2% des homosexuels ;
    - Nombre moyen de compagnons/compagnes sexuel(le)s au cours de la dernière année : 1,2 chez les hétérosexuels face à 8 chez les homosexuels.
    - Nombre moyen de compagnons/compagnes sexuel(le)s dans la vie : 4 face à 50.
    - Personnes interrogées qui se déclarent monogames, c’est-à-dire 100% fidèles à son compagnon ou à sa compagne : 85% face à moins de 2%.
    - Dans cette même étude la littérature montre que les hommes atteints du SIDA, interrogés sur les années 1980, ont déclaré avoir eu en moyenne 1.100 partenaires au cours de leur vie.

    Une étude menée par A.P. Bell et M.S. Weinberg (6) à San Francisco a montré que 43% des homosexuels ont eu plus de 500 partenaires sexuels et 79% ont déclaré par ailleurs que plus de moitié de ces partenaires leur étaient inconnus ; seulement 3% avaient eu moins de 10 partenaires.

    Kurdek et Schmitt (1986) (7) indiquent que les relations homosexuelles sont beaucoup plus instables. Duffy et Rusbuilt (1985-86) (8 ). Rothblum (9) montre la même chose pour les lesbiennes.

    Des études relatives à la Hollande, de Xiridou et al. (2003) (10) , montrent que la durée moyenne d’une relation « stable » entre homosexuels est d’un an et demi.

    Selon Deneen (1994) (11) , toujours à propos de la Hollande, le nombre moyen de compagnons chez des personnes homosexuelles pour une relation stable est de 2,5 la première année, et arrive à 11 la sixième année, bien que, reconnaît l’auteur, peu sont les couples homosexuels qui arrivent à la sixième année.

    McWhirter et Mattison (12), dans leur étude de 1984 se voient contraints de constater que chez les couples homosexuels la fidélité sexuelle n’existe pas, bien qu’ils le justifient en soutenant que la vraie fidélité est la fidélité émotive.

    Selon un rapport d’Andersson, G. et al. (2004) (13) « Divorce-Risk Patterns in Same-Sex ‘Marriages’ in Norway and Sweden », les unions homosexuelles en Suède – union homosexuelle avec les mêmes conséquences que le mariage, y compris l’adoption depuis 1995 – et en Norvège – où seule l’union homosexuelle est légalisée depuis 1993 – ont un risque de divorce supérieur à 50% pour les gays et à 167% pour les lesbiennes. S’il l’on contrôle les variables démographiques qui provoquent un risque de divorce, la situation n’est pas meilleure : 37% de plus pour les gays et 200% pour les lesbiennes. Si l’on tient compte qu’en Suède il y a 53 divorces pour 100 mariages, le nombre de divorces chez les homosexuels acquiert une proportion encore plus élevée.

    Et test pour savoir combien de temps ça tiendra sur ce forum ...

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  • franc 12 novembre 2012 18:22

    je ne pense pas pas que le caractère d’infidélité soit en soi un motif d’interdiction d’avoir un enfant et il n’est pas sûr qu’un couple échangiste ou multiparteriat soit moins compétent pour éduquer un enfant qu’un couple absolument fidèle .Mme Catherine Millet dans un livre retentissant a raconté qu’elle a passé des soirée où elle se livrait à des centaines d’hommes ,et elle a toujours vécu avec le même homme en étant marié avec lui ,et n’a pas divorcé.

    Les rapports et les enquêtes peuvent toujours être remis en cause car les auteurs ne sont pas toujours objectifs et ont toujours des intentions plus ou moins orientés.Néanmoins à supposer même que les résultats soeint vrais ,on peut toujours les interpréter de manière différente suivant son idéologie propre ,quelqu’un a dit qu’il n’ ya pas pas plus menteur que les statistiques

     

    Si les homosexuels sont beaucoup moins fidèles que les hétérosexuels cela n’est pas un motif suffisant pour interdire le mariage ou l’adoption des homosexuels en général ,car les quelques pourcentages d’homosexuels fidèles ont bien le droit de se marier et d’adopter ,sans compter que ceux qui sont infidèles comme je l’ai déjà dit ne sont pas nécessairement moins compétents à éduquer un enfant chez les homosexuels comme chez les hétérosexuels .Il ya un nombre important de divorces chez les hétérosexuels ,53% dites vous en citant un rapport ,faut il interdire aux hétérosexuels en général de se marier et d’adopter ,et même faut il interdire aux divorcés de se remarier et d’avoir des enfants ,le divorce est légale en France depuis la Révolution Française.

     

    D’ailleurs l’institution du mariage et d’adoption homosexuel ne signifie pas que tous les homosexuels désirent ou vont se marier et adopter des enfants ,seul un petit ou infime pourcentage des homosexuels ,peut-être parmi les quelques pourcents d’homos fidèles , désirent se marier et avoir des enfants .Où est le problème ,alors que des rapports, peut-être contestés par certains mais quel rapport n’est pas contesté y compris celui des opposants , montrent que des enfants éduqués dans une famille homoparentale ne sont pas moins bien traités ou heureux que des enfants éduqués dans des familles hétérosexuelles ;Que des enfants issus des familles homoparentales soeient plus nombreux à être eux-m^me homosexuelles ne prouvent nullement la nocivité de la famille homoparentale ,au contraire si je puis dire ,car on peut bien supposer et je pense que c’est la réalité que la tendance naturelle à l’homosexualité est bien plus importante s’il n’ ya avait ce tabou discriminatoire et cette oppression antihomosexuelle millénaire dans la société judéo-chrétienne ,et que la famille homoparentale est naturellment plus tolérante et moins oppressive que les familles hétérosexuelles quant à l’orientation homosexuelle ,et par là les enfants des homosexuels seraient plus heureux ou épanouis du moins ceux qui ont une orientation homosexuelle naturelle , du moins si l’on admet que l’homosexualité n’est pas une tare ou une perversion ou un crime ,et ce n’est effectivement pas le cas dans les sociétés occidentales concernés par les rapports d’’études

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    • Pakete 12 novembre 2012 22:35

      Au milieu des conneries de ce vieux fossile de Roque, cela fait plaisir de lire ce genre de posts sencés.


    • Romain Desbois 12 novembre 2012 21:58

      Perso je fait quotidiennement ma part de colibri.

      Et vous, dans quel banque êtes vous ? Juste pour voir si vous appliquez ce que vous demandez aux autres .


    • Hermes Hermes 14 novembre 2012 14:09

      @Musima,

      oui, bonne remarque, et d emanière plus générale, les minorités de tous poils se prêtent facilement à l’instrumentalisation dans les maneuvres de diversion et de dissimulation des grands illusionistes qui nous gouvernent.

      C’est le grand inconvénient de se laisser identifier et de s’y plaire, celà endort dans un confort identitaire illusoire et diminue la conscience globale du contexte.

      cdt.


  • franc 12 novembre 2012 21:36

    On voit donc que rien n’interdit fondamentalement le mariage et l’adoption homosexuel tous les arguments contre le mariage homosexuel ont été réfutés y compris le dernier en date sorti du chapeau par les opposants poussés dans leur derniers retranchements et à bout d’arguments à savoir celui du changement de la nature de la filliation qui se révèle être une fumisterie ,à bout d’arguments comme l’est le cardinal 23 qui ne trouve plus comme argument que le mot « supercherie » à la bouche ,tu parles d’un argument .

    La supercherie c’est au contraire le cardinal 23 et son Eglise qui au lieu de servir Jésus et L’Evangile d’Amour sert en fait les ennemis de celui ci à savoir les pharisiens et les cléricaux qui veulent garder leur pouvoir et leurs privilèges afférents par l’exploitation de l’homme par l’homme ,exploitation des hommes faibles et ignorants par des hommes forts et cyniques .En effet cette opposition de l’Eglise au mariage homosexuel est due essentiellement aux deux péchés capitaux de l’Eglise qui l’a constamment abimée ,le cléricalisme et le pharisianisme ,qu’elle n’arrive pas à s’en défaire ,les vieux démons sont toujours là qui guettent et profitent de la moindre occasion pour bondir ,l’occasion se trouve être ici la faiblesse de l’Etat français et des hommes politiques englués dans le capitalisme mondialiste financier ,des hommes politiques qui préfèrent la recherche du pouvoir et de l’argent au lieu de la vérité et de la justice et qui caressent dans le sens du poil de la bête en excitant les bas instincts des jalouseries et mesquineries de l’égocentrisme des hommes ,de leur amour propre,leur vanité et et leur orgueil .La grande supercherie c’est la grande trahison des hommes d’Eglise qui au lieu de servir le Christ sert l’Antéchrist en s’adonnant au conservatisme et à l’intégrisme,au conformisme et à l’obscurantisme , rien de plus contraire à l’esprit révolutionnaire de l’ Evangile et au plan du progrès de la Providence pour l’humanité jusqu’à la perfection à la fin des temps .

    Qu’on en juge .Jésus ne dit -il pas dans l’Evangile :---------------« Qui est mon père ,qui est ma mère ,qui est mon frère et qui est ma soeur ?C’est celui qui fait la volonté de mon Père,c’est celui-là qui est mon père et ma mère et mon frère et ma soeur . » -----------------------N’est-ce pas encore plus révolutionnaire que le mariage gay,encore plus destructeur de la famille ;par cette seule phrase Jésus détruit entièrement et absolument la famille traditionnelle ,la famille biologique au profit de la famille spirituelle ,le lien du sang n’est compté pour rien à côté du lien de l’Esprit .

     

     

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  • Pakete 13 novembre 2012 01:07

    J’ai donc cherché les sources de Roquounet (je le connais d’un autre forum). Il a eu la décence de citer sa « source » sur un autre forum, mais pas ici.

    Alors je vais l’aider un petit peu (faut être solidaire avec les vieux) :

    http://www.jurivie.org/documents/articles/rapport_adoption_homo.pdf

    Jurivie est une organisation belge de « respect de la vie ». Ah, les chrétiens, ils ne peuvent pas s’en empêcher smiley

    http://www.jurivie.org/

    Il est à noter deux points très intéressants sur ce document de Jurivie :

    1- Ils prétendent que « quelques » personnes de l’APA (Association Psychiatrique Américaine) sont du « lobby gay », ce qui invaliderait la position de cette dernière.

    Hélas, hélas, trois fois hélas, la dizaine de personnes supposément « victime » (ou « proche ») du lobby gay ne représentent pas la totalité de l’APA. L’APA c’est plus de 30 000 psychiatres. Si ces études étaient si tordues, de 1 elles ne seraient pas passer, de 2, il y a bien longtemps que ces gens là auraient eu des problèmes avec l’association. Pas parce qu’il y a une ligne idéologique à suivre, mais parce que l’APA est une organisation qui se veut sérieuse et des études « idéologiques » n’y ont pas leur place...

    2- Deuxième truc marrant, les études qui sont présentées comme « démontrant » que les homosexuel(e)s pourraient être de mauvais parent se font pratiquement à l’aune de notions morales d’une part, et d’autre part admettent elles mêmes qu’il faut prendre du recul et qu’il est impossible d’en conclure quoique ce soit à cause du faible échantillonnage !!

    Mais bien sûr, elles sont toujours bonnes à prendre et à copier/coller sur AV hein Roquounet smiley ?

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    • 雛罌粟 雛罌粟 20 juillet 2013 06:11

      Pakete : « J’ai donc cherché les sources de Roquounet […] »


      Oui, notre copieur-colleur fou a en fait pompé un document nommé ¡ No es Igual ! (Ce n’est pas pareil) commandité en 2005 (quand l’Espagne s’apprêtait à légaliser le mariage homo) par les opposants à cette loi, à une officine catholique (genre : entre Alliance Vita et Civitas) nommée HazTeOir ! (fais-toi entendre).

      Ce document est principalement rédigé par deux profs de l’université San Pablo-CEU.
      CEU (= Centro de Estudios Universitarios) est une « œuvre de l’Association catholique de Propagandistes »…

      L’une est présentée comme titulaire d’une maîtrise de philo, l’autre on ne sait pas. La triplette est complétée par l’adjonction d’un… informaticien.
      La première (Mártinez) travaille aussi à l’université Francisco de Vitoria, émanation des Légionnaires du Christ.

      Autant dire que la rigueur et l’impartialité scientifique y sont érigées en règles cardinales, aux fins de fournir un exposé objectif et complet de la question. Qu’en aucun cas il ne saurait y avoir dans ce document quelque coup de ciseau ou mensonge par omission que ce soit…
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  • bonnes idées 13 novembre 2012 08:49

    Et bien voilà, les homosexuels peuvent se marier à présent. Suite à cette loi je n’ai pas reconnu la France lundi matin tellement le peuple attendait cela avec fébrilité. Formidable transformation de notre sphère publique et les sourires s’affichaient sans complexe.
    Zut puisque le débat est clos il va falloir maintenant discuter d’autres problèmes beaucoup plus graves. Après celui de la compétitivité le choc du réel.
    Un peu d’humour ne fait pas de mal en ces temps sataniques.


    • Romain Desbois 13 novembre 2012 08:58

      le mal nommé

      Faites le test d’associer à un politique , une chose qui restera dans les mémoires et vous verrez que ce dont se souviennent les gens , ce sont les réformes sociétales et rien d’autres.

      Ce que vous ne considérez pas grave à l’aune de votre petit égoïsme n’étant pas concerné directement conditionne la vie de milliers voire de millions de gens.

      Puis-je à mon tour considérer que vos propres problèmes ne sont pas graves non plus ?

      Le propre des satanistes est de toujours affirmer que le diable c’est l’autre (les religions monothéistes sont expertes en la matière)


    • bonnes idées 13 novembre 2012 10:14

      J’ai toujours bien aimé votre contrepèterie. En ce qui concerne mes problèmes je souhaite simplement croire dans l’avenir ou tout simplement rêver d’un monde meilleur. Espérer enfin que nous nous entendions afin que notre humanité aille de l’avant. Est-ce trop demandé ? Il y a tellement d’argent utilisé à des fins funestes que cela en devient risible. Alors ne me dîtes pas que rien n’est immuable s’il vous plait. La guerre est-elle inévitable apportant avec elle son lot de souffrance ? N’existe-il pas de demi-mesure ? Pourquoi tant de haine et dans quel but ? Vous désirez l’atome au plus profond de vous ?
      Tellement de questions qui restent sans réponse. Oui dans ma vie je n’ai jamais fait de mal et j’en suis fier. Je suis catholique et je le resterai.


    • Romain Desbois 14 novembre 2012 00:55

      En quoi accepter le mariage CIVIL aux homos ferait de ce monde un monde plus mauvais ?

      Si comme moi vous souhaitez un monde meilleur , alors acceptez que d’autres aient des désirs qui ne nous concernent pas et qu ne nuisent pas à autrui !

      Si vous êtes catholiques , vous devriez devenir végétarien et écouter ce que disait la Pape actue concernant les animaux.

      Le végétarisme, le plus sur moyen de contribuer à un monde meilleur smiley


  • Gilbert Spagnolo dit P@py Gilbert Spagnolo dit P@py 13 novembre 2012 09:52

    Salut lavoixdesparents,


    Pour éviter tout ce tohu-bohu, le plus simple est que la loi.... ne soit pas votée ( il semblerait que c’est ce qui heureusement arrivera !!)


    Samedi à l’initiative de La manif pour tous, plusieurs manifs sont organisées dans différentes grandes des villes françaises.

    Hier , j’ai proposer à la modération un article, le titre :Loi sur l’adoption : « Votre député à voté la loi, .. en 2017 ,.. virez-le ! »

    L’article est sur mon blog..


    @+ P@py


  • Acid World Acid World 13 novembre 2012 10:00

    Au risque de passer pour un méchant fasciste, j’ose rappeler que 100% des couples homosexuels sont stériles malgré les prothèses technologiques ou humaines utilisées pour cacher ce fait.


    Et depuis quand le droit de s’aimer dépend du mariage ? C’est une institution familiale contraignante, une alliance qu’on peut trouver belle ou aliénante mais en tout cas la fondation d’une société. Pas un bonus à accorder aux homosexuels qui je pense sont loin de tous le revendiquer.

  • eric 13 novembre 2012 10:07

    Oui ce texte est encore plus stupide que les precedentes lois societales.il n’y a pas de demand sociale.Surtout, il n’y a pas de demande homo de plus de loi dans leurs relations de couple.Les chiffres du PACS le prouve abondamment. Le soi disant lobby homo est instrumentalise par celui, beucoup plus nombreux de la gauche progressiste. Ils decouvrent qu’avoir une famille « traditionelle », c’est a dire une famille tout court, xevient un facteur clef d’inegalite. Bien sur, plutot que d’encourager la consolidatiin familliale, ils tentent au contraire de fragiliser ces structurew qui leur echappent. Ce texte, parmi d’autre, fait partie d’une volonte concertee de detruire la,societe civile au profit de l’etat. De remplacer les liens sociaux spontannes, par leur gestion par des specalistes remuneres sur fonds publics pour nous apprendre comment nous devons vivre. voir mon pre edent article. Ce texte, par lui meme a assez peu de prtee. Il faut le combattre energiquement comme un aspect d’une pensee globale totalitaire.


    • Francis, agnotologue JL 13 novembre 2012 10:49

      « Le soi disant lobby homo est instrumentalise par celui, beucoup plus nombreux de la gauche progressiste. » (Erix)

      Non ! Le PS, pas plus que l’UMP, n’est de gauche.

      Le lobby derrière ça c’est l’ultralibéralisme que l’on trouve partout où ça grouille grenouille et scribouille.


  • Roque 13 novembre 2012 10:18

    Premier point : comment se fait-il que l’édition du présent débat s’arrête au 12 novembre à 07h07 si on consulte le débat par internet, alors qu’il en est au 13 novembre à 01h07 si on consulte sur le mobile. Environ 30 posts de décalage … ce qui empêche complètement de suivre l’argumentation en cours si on est sur internet. Quelqu’un peut-il m’expliquer ?

     

    J’ai donné toutes les références des articles le 12 novembre à 08h16 (la coupure de l’édition est juste avant …) Il suffit de s’y rendre mais sur le mobile et j’ai bien indiqué que cette revue de littérature a été faite par des opposants au mariage homosexuel. Donc j’ai été parfaitement honnête. A l’origine le document est rédigé en espagnol par trois espagnols, c’est la traduction en français et l’hébergement de cette tradition qui renvient à ce site belge.

    C’est la totalité de la direction de la direction de l’APA qui est accusée d’être favorable aux thèses et militants de la LGBT et non ses 30.000 membres bien évidemment (voir le point 2.1 du document dans le lien)

    En attendant quelques études complémentaires qui seraient également à commenter. Sans s’énerver si possible ?

     

    SUR LES FANTASMES DES ENFANTS CONCERNANT LE GENITEUR ABSENT DU COUPLE HOMO

    Saakvitne (1998) (1) et Eisold (1998) (2) ont soutenu une discussion [contradictoire] à propos du cas d’étude suivant. Il s’agit d’un cas d’étude qui présente un fils de parents gays qui identifie l’employée de maison comme sa mère. L’enfant croit que les mères sont « embauchées et licenciées ». L’enfant souffre psychologiquement après le renvoi de l’assistante pour s’être insérée émotionnellement dans la vie de l’enfant, et en plus l’arrivée à la maison d’un autre frère adopté. Vue la situation, le couple homosexuel décide de lui faire suivre une thérapie. Le thérapeute découvre que l’enfant amassait de l’argent depuis quelque temps, en pensant que s’il en réunissait suffisamment, il pourrait, selon ses propres mots, « acheter une autre maman ». A la vue du cas, Eisold conclut que les enfants se développent mieux dans des foyers avec un père et une mère, et que telle nécessité ne provient pas d’une imposition sociale, mais d’un impératif biologique, puisque personne n’a appris à l’enfant à avoir besoin d’une mère – c’est plutôt le contraire – et cependant, celui-ci l’identifie chez l’assistante et ressent la nécessité d’en avoir une.

    McCandish (1987) (3) est une étude sur des couples de lesbiennes qui recourent à l’insémination artificielle. On y trouve une conduite similaire à l’antérieure, qui montre une relation peu claire entre la compagne de la mère biologique et le fils. Un enfant essaie d’appeler la compagne de sa mère « papa » et toutes deux lui expliquent que cela n’est pas adéquat. L’enfant explique la situation à ceux qu’appellent au téléphone demandant son père, et leur dit qu’il est avec la compagne de sa mère à qui la personne au téléphone veut parler.

     

    SUR LA PEDOPHILE DANS LES COUPLES HOMOPARENTAUX

    Cameron et Cameron (1996) (4 et 5) Cette étude jouit d’un échantillon assez large – plus de 4000 sujets – de personnes qui ont répondu à un questionnaire qui leur a été envoyé par courrier. Parmi tout l’échantillon, 17 ont affirmé avoir au moins un père homosexuel. Les résultats montrent que 4 hommes sur 6 (67%) et 1 femme sur 11 (9%) ont eu une expérience homosexuelle et que 35% s’identifiaient comme homosexuels. On a même trouvé des différences très significatives quant à savoir s’ils avaient entretenu des relations sexuelles avec leurs parents. Le résultat a été de 5 cas sur 17 (29%) chez des enfants de parents homosexuels face à 28 cas sur 4623 (0,6%) chez des enfants de parents hétérosexuels.

     

    SUR LA  REPRODUCTION DU MODELE HOMOSEXUEL PAR COUPLES HOMOPARENTAUX

    Tasker et Golombok (1995) (6). Il s’agit d’une étude très intéressante parce que, malgré la taille réduite de son échantillon [aléatoire] (20 hommes et 26 femmes), c’est l’unique étude connue qui a réalisé un suivi des enfants biologiques de lesbiennes depuis l’enfance jusqu’à l’âge adulte. L’âge moyen des enfants à la fin de la démonstration est de 23,5 ans. Cette étude a démontré que les enfants de lesbiennes ont une prédisposition à l’homosexualité très supérieure à la moyenne. (les différences ici signalées sont statistiquement significatives).  

    1.  Saakvitne, K., 1998, “Recreating mother : A commentary on the case analysis,” American J. of Orthopsychiatry 68,3:443-446

    2.  Eisold, B., 1998, “Recreating mother : The consolidation of ‘heterosexual’ gender identifi cation in the young son of homosexual men,” American J. of Orthopsychiatry 68, 3 : 433-442.

    3.  McCandish, B. (1987). Against all odds : Lesbian mother family dynamics. En F. Bozett, ed., Gay and lesbian parents, New York : Praeger

    4.  Cameron Cameron, P. y Cameron, K. (1996). Homosexual parents. Adolescence, 31(124), 757-776.

    5.  Cameron P. (1999) Homosexual parents : testing “common sense”—a literature review emphasizing the Golombok and Tasker longitudinal study of lesbians’ children. Psychol Rep. 1999 Aug ;85(1) : 282-322

    6.  Tasker, F., y Golombok, 5. (1995). Adults raised as children in lesbian families. American Journal of Orthopsychiatry 65(2), 203-215

    Où est le jugement moral dans ces données ?

    Il y a effectivement des enquêtes qui parlent de « féminisation » des garçons ou de « masculinisation » des filles, mais je n’en ai pas fait été, c’est trop subjectif et il faudrait avoir accès au texte de ces enquête pour mieux en juger. Je n’en ai pas fait été … il semble déjà tellement difficile de reconnaître qu’il y a – en moyenne - une importante multiplication des partenaires chez les homosexuels environ 10 par an pour les résultats les plus concordantes. Il est indéniable que cette philosophie libertarienne – tout à fait assumée - est en contradiction avec la revendication du mariage stable et monogame.

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    • Pakete 13 novembre 2012 17:04

      « Cette philosophie libétarienne »(...)

      Je te remercie, Roquounet. Sincèrement.

      Prendre des « études scientifiques » et balancer une connerie purement moraliste me donne à croire que je n’ai pas tort.

      Vivement la fin de la « civilisation » facholique. Rien de plus démonstratif que vos atermoiements penauds sur la « philosophie libertarienne » (il y a un « r » entre le « e » et le « t ». Quand vous critiquez quelque chose, même de façon fallacieuse, fais le proprement on t’en sera gré) pour voir qu’on s’en approche de plus en plus.


    • 雛罌粟 雛罌粟 20 juillet 2013 07:45

      On pourra dire que vous aurez usé jusqu’à la corde le trio Saakvitne/Eisold/McCandish, étant donné le nombre de fois où vous nous avez balancé, en les dramatisant, les résultats « inquiétants » de leurs études.

      Or la discussion Saakvitne vs. Eisold porte sur… 1 cas ! Quant à McCandish ce sont 5 couples de lesbiennes qu’elle a interrogés.
      Pour quelqu’un qui nous expliquera plus tard (« affaire » Regnerus…) que les études – prétendument commanditées par le « lobby LGBT » – ne valent rien pour cause de petits effectifs, vous faites très fort, non ?

      Et puis surtout on reconnaît les petits propagandistes à certaines erreurs qu’ils commettent, en balançant à qui mieux mieux des études scientifiques à la figure des intervenants, alors qu’ils ont juste recopié sans réfléchir ce que le torchon propagandiste ¡No es igual ! en raconte.
      Je dis ça parce qu’écorcher un si grand nombre de fois le nom de Barbara McCandlish en l’écrivant McCandish – comme l’ont fait les pieds nickelés de l’étude espagnole citée ci-dessus – ça finit par se voir, et c’est ballot.

      Et puis alors, concernant les deux Cameron, qui ont découvert tant de tares chez les homos (drogue, tabac, alcool, et donc… pédophilie), un petit détail mérite d’être mentionné : Paul Cameron a été exclu en 1983 de l’American Psychological Association.
      En 1984, c’est la Nebraska Psychological Association qui l’a éjecté. En 1985 l’American Sociological Association a cru bon d’émettre une résolution affirmant que Cameron n’était pas un sociologue et que ses travaux visaient à systématiquement déformer les travaux d’autres chercheurs.
      En 1996 c’est la Canadian Psychological Association qui dénonce la malhonnêteté de Cameron.
      En 1982 Cameron s’est vanté d’avoir eu connaissance du cas d’un enfant de 4 ans qui aurait été victime de mutilation de la part d’un homosexuel ; mais ce crétin n’a pas imaginé qu’il serait alors interrogé par la police, désireuse d’en savoir davantage.
      Est-il besoin de le préciser : la police n’a rien trouvé…

      On peut dire, Roque, que vous savez bien choisir vos sources…
      Lire la suite ▼

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